pacemaker91 0 Posté(e) le 4 août 2010 L'Equateur a créé mardi un fonds destiné à accueillir les donations de l'Allemagne et d'autres pays riches pour que Quito s'abstienne de forages pétroliers dans une réserve naturelle d'Amazonie.Le projet, mis au point par les Nations unies, concerne les 1.750 km2 du parc national Yasuni. L'absence d'exploitation pétrolière dans la région permettrait d'éviter la diffusion dans l'air de 410 millions de tonnes de dioxyde de carbone, fait valoir l'Equateur, membre de l'Opep.Le parc Yasuni, au coeur de l'Amazonie, est l'une des zones de biodiversité les plus riches du monde. Il compte davantage d'espèces d'arbres que toute l'Amérique du Nord.Le gouvernement équatorien demande à des pays donateurs comme l'Allemagne ou l'Italie de verser un total de 3,6 milliards de dollars (2,7 milliards d'euros) - la moitié des revenus d'exportation pétrolière du pays - pour garantir que la réserve sera laissée intacte.Seule l'Allemagne a signé à ce jour un accord avec Quito, promettant de verser annuellement 50 millions de dollars au cours des 12 prochaines années."Les conséquences de l'exploitation pétrolière ne trouvent pas toujours leur réponse dans la technologie. Il existe une palette de risques que nous sommes incapables de contrôler, comme le montre la catastrophe dans le golfe du Mexique", déclarait récemment à Reuters la ministre équatorienne du Patrimoine Maria Espinosa."Aujourd'hui, c'est un projet en avance sur son temps. Dans dix ans, ces projets seront la règle et non pas l'exception. Il faut créer des économies de l'après-pétrole, de nouveaux modèles de production et de consommation."Jean-Stéphane Brosse pour le service français Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 août 2010 WASHINGTON, 4 août 2010 (AFP) - Les conséquences sur l'environnement de la marée noire dans le golfe du Mexique pourraient se faire ressentir pendant "des décennies", a prévenu mercredi une haute responsable américaine.> Elle s'est toutefois voulue optimiste sur les conséquences de la pollution sur les produits de la mer destinés à la consommation humaine, soulignant que ces organismes dégradaient naturellement les hydrocarbures en quelques semaines.Mais les autorités américaines continueront à mener des analyses à long terme pour s'assurer de la qualité de ces produits, a assuré Mme Lubchenco. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 septembre 2010 Le mercredi 25 août, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites) a lancé un nouvel outil : un site Internet regroupant toutes les données du commerce international des espèces protégées.Cet outil interactif a été lancé à l'occasion du 35e anniversaire de la Convention créée pour garantir que le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages ne représente pas un danger pour leur survie. Le site permet de suivre les tendances du commerce mondial et national des espèces protégées, en se basant sur les données fournies par les 175 États ayant ratifié la convention.Ce tableau de bord a été développé par le Centre de suivi de la conservation mondiale du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). Il permet de faire connaître les espèces faisant l'objet de transactions, et les volumes concernés. Les utilisateurs de cette base de données peuvent ainsi apprendre que les peaux de reptiles, et tout particulièrement celles des crocodiles, sont commercialisées de façon légale, et sur de gros volumes. Ils peuvent aussi découvrir que la Colombie est l'un des principaux exportateurs de caïmans à lunettes. Quelque 5,6 millions de données sur le commerce des espèces sauvages sont regroupées dans cet instrument unique. Depuis sa création en 1975, ce sont plus de 10 millions de transactions d'espèces de plantes et d'animaux qui ont été signalées au secrétariat de la Cites.Donnez votre avis, de´couvrez les photos et toute l'actualité sciences et environnement sur Maxisciences Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 septembre 2010 RIO DE JANEIRO, 6 sept 2010 (AFP) - Une importante sécheresse touche la forêt amazonienne et le Pantanal, une vaste région du centre-ouest du Brésil en partie marécageuse, deux régions qui abritent de nombreuses espèces de faune et de flore du pays, a indiqué lundi la défense civile.> "La baisse des eaux du Jurua est très grande. Ici, dans la commune d'Itamarati, nous ne sommes qu'à 60 cm de la pire sécheresse de 2005", a expliqué le maire de la ville, Joao Campelo, sur le site G1 du groupe de médias Globo.Selon lui, les agriculteurs de la région ont enregistré de lourds préjudices dans les plantations de pastèques, de manioc et de fruits.D'autres communes comme Envira (à 1.218 km de Manaus), également desservies normalement par voie fluviale, ont décrété l'état d'urgence et le gouvernement régional doit envoyer prochainement des aliments et de l'eau aux sinistrés dont le nombre est estimé à plus de 80.000 personnes. Ces communes ne sont plus accessibles qu'à pied, par des sentiers à travers la forêt.Dans le Pantanal, la sécheresse mais aussi l'action humaine, avec l'assèchement de canaux naturels, ont provoqué une baisse dramatique du niveau des eaux de la baie de Chacoré, la troisième la plus importante du pays en volume d'eau.C'est la pire sécheresse depuis 1973, selon les autorités. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 septembre 2010 Le Cerrado est 'une forêt amazonienne à l'envers'. Au-dessus du sol, une savane avec ses arbres et arbustes aux troncs tordus, à l'écorce épaisse, aux petites feuilles dures, qui explosent en fleurs au retour du printemps, juste avant les pluies salvatrices. Sous terre, des racines longues et profondes qui vont chercher l'eau dans les entrailles d'un sol desséché par le soleil une partie de l'année. Le Cerrado ne connaît que deux saisons : la saison sèche et la saison des pluies. Lire la suite l'articlePhotos/Vidéos liées Brasilia lance un plan pour sauver la végétation du Cerrado, savane menacée par …Plus Agrandir la photo Cette végétation de transition entre forêt amazonienne et régions côtières est menacée par l'homme. En moins d'un demi-siècle, les deux millions de km2 de savane ont perdu la moitié de leur couverture végétale. Alerté par de nombreuses études, le gouvernement brésilien vient de lancer un plan de préservation du Cerrado, victime de l'avancée de la frontière agricole et de l'urbanisation qui s'amplifie. Les autorités veulent réduire de 40 % le rythme des destructions d'ici à 2020 et y consacrer 150 millions d'euros sur un an.Le plateau, situé au centre du Brésil, est le berceau des trois plus grands bassins hydrographiques d'Amérique du Sud. Sa faune et sa flore sont d'une richesse extraordinaire, mais à peine 3 % de la surface sont protégés et des espèces animales sont menacées d'extinction. Des unités de conservation, sortes de parcs nationaux, seront installées sur 25 000 km2, alors que 55 000 km2 seront convertis en réserves indiennes.L'avancée des activités humaines a coïncidé avec la construction de Brasilia, capitale futuriste d'un pays qui s'éveillait à l'industrialisation, il y a un demi-siècle. A commencé alors le labour du Cerrado et de sa végétation basse, facile à éliminer. Entre les villes, l'agriculture a gagné du terrain. La région du Centre-Ouest est devenue le grenier du Brésil. Selon l'Institut brésilien de recherche agricole, 59 % du soja, 26 % du maïs, 18 % du riz, 48 % du café et 70 % de la viande sont produits sous ces latitudes tropicales Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 septembre 2010 La banquise arctique poursuit son déclin : l'étendue de glace de mer autour du pôle Nord semble avoir connu son minimum estival aux environs du jeudi 23 septembre, avec une surface de 4,6 millions de km2 environ, selon le National Snow and Ice Data Center (NSIDC) américain. Le record de septembre 2007 (environ 4,2 millions de km2) n'a pas été battu. Mais l'été 2010 aura connu l'un des trois retraits les plus importants de la banquise arctique enregistrés en trente ans d'observations satellite. L'écart par rapport à la moyenne mesurée entre 1979 et 2000 est éloquent : environ 2 millions de km2 de banquise ont été perdus - soit quatre fois la superficie de la France -, dans un phénomène dont l'accélération récente surprend les glaciologues et déjoue leurs prévisions.Ce phénomène est au centre d'une attention considérable, tant de la part des scientifiques que de des industries extractrices ou des Etats. Libre de glace en été dans les prochaines décennies, l'océan arctique offrira de nouvelles voies navigables ou encore des sites où les activités de prospection gazière ou pétrolière seront possibles.RAYONNEMENT SOLAIRESi elle ne contribue pas à l'élévation du niveau des mers, les scientifiques voient dans la disparition des grandes surfaces blanches de la banquise un dangereux amplificateur du réchauffement. En effet, la glace réfléchit environ 80 % du rayonnement solaire qu'elle reçoit, tandis que l'océan n'en renvoie que 10 %. D'où un apport considérable d'énergie supplémentaire au système climatique.Quelque peu atypique par comparaison avec les années précédentes, le comportement de la banquise a même brièvement trompé l'optimisme, relatif, des chercheurs du NSIDC. Le centre américain de référence chargé de surveiller l'évolution de la glace de mer avait annoncé, le 15 septembre, que les étendues gelées de l'océan Arctique avaient atteint leur minimum saisonnier cinq jours plus tôt. La banquise devait donc commencer à se reconstituer et à gagner en surface avec le retour de l'automne et de températures plus rigoureuses. Il n'en a rien été. Après une brève stagnation, la glace s'est remise à fondre plusieurs jours durant. Et, le 21 septembre, le NSIDC publiait un bref communiqué invalidant le bilan saisonnier rendu public quelques jours plus tôt...... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 septembre 2010 PARIS, 29 sept 2010 (AFP) - La majorité des rivières du monde souffrent de la pollution, de l'urbanisation ou de surexploitation, et les milliards investis par les pays riches pour y remédier masquent souvent la menace qui pèse sur la biodiversité, souligne une étude publiée mercredi.> Pour cette enquête, qui fait la Une de la revue scientifique britannique Nature, un groupe international de chercheurs a dressé le bilan de santé des plus grandes rivières de la planète, évaluant l'accès à l'eau pour les populations humaines et l'état de l'environnement grâce à une modélisation informatique.Au total, 23 "facteurs de stress", comme le niveau de pollution, la richesse de la faune et de la flore aquatique, le taux d'urbanisation, le développement agricole et industriel ou le captage d'eau, ont été rentrés dans l'ordinateur.Le diagnostic fait froid dans le dos: près de 80% de la population mondiale vit dans des zones où les rivières sont gravement menacées, notamment aux Etats-Unis et en Europe de l'ouest.Sur les 47 rivières et fleuves les plus importants, soit la moitié de l'eau douce du globe, 30 sont jugés au moins "moyennement" menacés. Huit d'entre eux sont exposés à une menace très élevée en termes d'accès à l'eau pour la population, et quatorze à une menace très élevée pour la biodiversité, soulignent les auteurs."On ne peut plus continuer à s'intéresser d'un côté à l'accès à l'eau et d'un autre côté à la biodiversité. Les deux sont liés", insiste le Pr Charles Vörösmarty, de la City University de New York.Certes, les pays riches ont massivement investi dans des barrages, des réservoirs ou l'aménagement des bassins versants, ce qui a permis d'y diminuer de 95% les risques qui pèsent sur l'approvisionnement en eau de leurs 850 millions d'habitants.Mais tout cet argent n'a pas contribué à diminuer les tensions sur les rivières elles-mêmes et a souvent eu un impact très négatif sur l'environnement aquatique.Pour les auteurs de l'étude, il serait donc bien plus judicieux, et économique, de soigner le mal à la source plutôt que de traiter les symptômes à coups de milliards de dollars.Dans les pays en voie de développement, dépourvus des richesses nécessaires à la construction de telles infrastructures, 3,4 milliards d'habitants sont exposés à la menace la plus élevée. "La majeure partie de l'Afrique, de vastes zones d'Asie centrale, la Chine, l'Inde, le Pérou ou la Bolivie se débattent pour mettre en place des réseaux élémentaires d'eau potable et d'assainissement", relève l'étude.Déjà bien sombre, le tableau ne serait pourtant pas complet, soulignent les chercheurs. Faute de données suffisantes, ils n'ont en effet pas inclus dans leur modèle informatique la pollution minière ou les rejets croissants de substances pharmaceutiques en tous genres dans l'eau des rivières. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 11 octobre 2010 Le Mékong est un véritable réservoir de nouvelles espèces animales et végétales. En 2009, près de 150 espèces ont ainsi été répertoriées, le taux de découvertes dans ce fleuve d'Asie du sud-est étant quasiment sans égal dans le monde.Comme l'indique le Fonds mondial pour la nature (WWF), ce sont quelque 145 espèces qui ont été découvertes dans le Mékong l'année dernière. Parmi elles, un poisson denté de 1,7 centimètre de long, une grenouille qui chante comme un cricket, un oiseau chauve, le seul connu en Asie à ce jour, ou encore un "poisson-aspirateur", qui se sert de son corps pour se coller aux rochers et remonter les cours d'eau.De nombreuses espèces végétales ont également été recensées, le WWF évoquant notamment l'impressionnante Nepenthes bokorensis, qui se nourrit d'insectes et peut mesurer jusqu'à sept mètres de long."Le taux de découvertes dans le Mékong est quasiment sans égal dans le monde", souligne le conservateur régional de l'organisation écologiste Stuart Chapman. Pour lui, la richesse de la biodiversité du Mékong doit être attribuée à "l'immense diversité géographique et climatique dans la région, de la haute altitude à la dense forêt tropicale en passant par des eaux douces parmi les plus riches du monde".Mais si la région dite du Grand Mékong, qui traverse la province chinoise du Yunnan, la Birmanie, le Laos, le Cambodge, la Thaïlande et le Vietnam, est l'une des plus riches en terme de biodiversité, elle est aussi l'une des plus menacées. L'éléphant d'Asie, le dauphin du Mékong et le poisson-chat géant, menacé par les projets de barrage sur le fleuve, figurent ainsi parmi les espèces en grand danger qu'abrite le Grand Mékong. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 11 octobre 2010 BRUXELLES, 10 oct 2010 (AFP) - Cinq experts en dépollution envoyés par l'UE à la demande de la Hongrie y seront lundi à pied d'oeuvre pour examiner l'impact environnemental sur les sites touchés le 4 octobre par des coulées de boues rouges toxiques, a annoncé dimanche la Commission européenne.> Ces experts se rendront immédiatement sur place, dans la région d'Ajka, avec un officier de liaison de la Commission arrivé dès samedi en Hongrie, pour évaluer la situation et les remèdes à apporter à court et moyen terme, a précisé la Commission.Ils devront vérifier l'impact sur l'environnement, en particulier la terre agricole et l'eau, y compris en sous-sol, ainsi que sur la flore et la faune, a-t-elle expliqué.Il leur faudra aussi donner leur avis d'expert sur les meilleures méthodes à mettre en oeuvre pour prévenir et réduire les effets négatifs de la catastrophe sur l'environnement, et décontaminer puis réhabiliter les zones habitées et agricoles, dans le village de Kolontar et autour.Le 4 octobre, une marée de bouge rouge hautement toxique issue d'un réservoir fissuré de l'usine de bauxite-aluminium d'Ajka (à 160 km à l'ouest de Budapest), exploitée par le groupe hongrois MAL, s'était déversée comme un raz-de-marée sur 40 km2, détruisant l'écosystème des rivières Torna et Marcal et atteignant, sous une forme diluée, la Raab, puis le Danube lui-même.Trois jours plus tard, le 7, le gouvernement hongrois avait demandé formellement à l'UE son assistance au titre du mécanisme de protection civile de l'UE. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 octobre 2010 Monde - Le WWF édite un rapport selon lequel l'humanité utilise désormais une planète et demie pour subvenir à ses besoins. Autrement dit, l'Homme utilise une fois et demie plus de ressources que ce que la planète Terre est en mesure de lui fournir. Le rapport Planète Vivante 2010 de l'organisme WWF indique que "l'homme a utilisé l'équivalent d'une planète et demie en 2007 pour répondre aux besoins de ses activités". Le texte précise en outre que l'empreinte écologique de l'humanité, c'est-à-dire la surface de terre et le volume d'eau requis pour produire les ressources renouvelables utilisées par la population sur une année, a doublé depuis 1966. Au train où vont les choses, l'organisation informe que l'humanité aura besoin de deux planètes en 2030 si rien ne change. Car il ressort également de ce rapport que la Terre met un an et demi pour produire les ressources que l'humanité utilise en un an.L'ONG précise le rôle fondamental des pays riches dans cette empreinte écologique : 37% de celle-ci émanent des 31 pays membres de l'OCDE. Les Émirats arabes unis, le Qatar, le Danemark, la Belgique, les États-Unis, l'Estonie, le Canada, l'Australie, le Koweït et l'Irlande sont les pays à la plus forte empreinte écologique, ajoute WWF."Si chaque habitant de la planète vivait comme un habitant moyen des Etats-Unis ou des Emirats arabes unis, il faudrait une biocapacité équivalente à plus de 4,5 planètes pour répondre à la consommation de l'humanité et absorber les émissions de CO2", souligne le texte. La Belgique a même une empreinte de 4,4 planètes et la Suisse de 2,8. La tête de ce classement peu glorieux est occupée par les Emirats Arabes Unis, avec une empreinte de 5,9 planètes. L'Afghanistan et Haïti n'ont qu'une empreinte de 0,4. "Si tout le monde vivait comme le citoyen indien moyen, l'humanité n'utiliserait même pas la moitié de la biocapacité de la planète". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 octobre 2010 http://terresacree.org/rechauf.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 octobre 2010 http://www.naturavox.fr/Rechauffement-climatique Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 octobre 2010 http://www.liensutiles.org/envirt.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 octobre 2010 PARIS, 22 oct 2010 (AFP) - Une équipe scientifique internationale va vivre pendant deux mois, en novembre-décembre, dans une zone encore largement inexplorée de la planète, le massif du Makay à Madagascar, pour étudier sa biodiversité et tourner un documentaire en 3D qui sera diffusé sur Canal+.> Une première expédition menée et organisée par le jeune explorateur Evrard Wendenbaum a eu lieu en janvier. Le Makay, au sud-ouest de Madagascar, est un labyrinthe de canyons de plusieurs centaines de mètres de profondeur ou faune et flore se sont développées en autarcie."Quand j'ai vu les images, j'ai compris qu'il s'agissait d'une découverte importante et que nous avions tous les ingrédients pour tourner un documentaire. On avait l'impression de voir un film tiré d'un roman de Jules Verne", a expliqué à l'AFP Stéphane Millière, président de Gedeon Programmes.La première expédition a permis de récolter des centaines d'échantillons à analyser, de découvrir des plantes et des espèces inconnues. Deux grottes ornées montrant des dizaines de dessins de zébus, de personnages, de mains ont aussi été repérées.L'objectif est de s'appuyer sur les résultats de l'expédition et sur les recommandations des scientifiques pour obtenir le statut d'aire protégée.En novembre-décembre, c'est une équipe internationale d'experts dans tous les domaines (mammifères, reptiles, botanique, anthropologie, géologie) et "en très bonne forme physique" qui va s'immerger dans le massif du Makay.Tourné avec la technologie du 3D, le documentaire résultant de l'expédition sera diffusé également en 2D sur Canal+, à la rentrée 2011.Gedeon Programmes a d'autres projets de tournages 3D, notamment une série sur l'histoire de Paris en collaboration avec Canal+, Planète et la Ville de Paris, et un long métrage animalier "Amazonia", avec France 2 et Canal+. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 octobre 2010 http://www.20minutes.fr/article/612759/planete-l-amazonie-richesse-naturelle-preserver Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 octobre 2010 @Choupi91 a écrit:http://www.20minutes.fr/article/612759/planete-l-amazonie-richesse-naturelle-preserverNagoya, Japon - Dans le cadre de la conférence internationale sur la biodiversité qui se tient actuellement à Nagoya, le WWF a présenté un rapport sur l'état de la faune et la flore amazoniennes. D'après cette étude, quelque 1.200 espèces ont été découvertes en Amazonie au cours des dix dernières années. Lire la suite l'articlePhotos/Vidéos liées Amazonie : 1.200 nouvelles espèces y ont été découvertes en dix ans Agrandir la photo Plus de photos Sciences Entre 1999 et 2009, plus de 1.200 nouvelles espèces ont été identifiées, soit une espèce tous les trois jours, révèle le rapport baptisé L'Amazonie vivante. Ce sont ainsi 637 plantes, 257 poissons, 216 amphibiens, 55 reptiles, 16 oiseaux et 39 mammifères qui ont été découverts dans cette région du monde au cours de la dernière décennie.Parmi ces espèces, un immense poisson chat a été découvert en 2005 dans le fleuve Amazone. Long de 1 mètre 50, et pesant 32 kilos, un spécimen de ce "poisson Goliath" a été capturé en 2007 au Venezuela. Un perroquet chauve, un dauphin de rivière, sept singes, deux porcs-épics mais aussi une nouvelle espèce de tortue, ainsi que 28 serpents et 26 lézards ont également été recensés dans le bassin de l'Amazone, qui s'étend sur neuf pays.Une incroyable biodiversité qui recèle encore de nombreuses espèces inconnues, menacées par les activités humaines. "Le paysage se transforme à grande vitesse", alerte Francisco Ruiz, qui a coordonné le rapport. "L'humanité a causé la destruction d'au moins 17% de la forêt tropicale amazonienne au cours des 50 dernières années", a-t-il déploré, dénonçant une demande croissante de terres pour l'élevage et la culture.Réunis à Nagoya depuis près de dix jours, les représentants de plus de 190 pays tentent de trouver un accord pour lutter contre cette érosion de la biodiversité. Une importante augmentation du nombre d'aires protégées, sur terre comme en mer, est attendue par les défenseurs de l'environnement. Aujourd'hui, 13% de la surface de la terre et 1% de la surface des océans bénéficient d'une telle protection. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 novembre 2010 PARIS, 12 nov 2010 (AFP) - "Il faut sauver la biodiversité!": cet appel à la mobilisation répété depuis des années par les scientifiques prend tout son sens avec "Le gorille et l'orchidée", livre-événement destiné aux enfants comme aux adultes qui sort le 18 novembre dans les librairies.> De la civette de Malabar, petit mammifère carnivore du sud-ouest de l'Inde, à l'orang-outan de Sumatra ou au gorille des montagnes dans les forêts tropicales d'altitude d'Afrique, en passant par l'orchidée blanche de Luzon, aux Philippines, ou le thon rouge de Méditerranée et d'Atlantique Nord, il propose un voyage dans une trentaine de milieux de vie, dont la forêt tropicale, la savane, les océans ou les déserts.Il permet de comprendre les causes et les conséquences de l'extinction qui menace les plantes et les animaux, dont la chance de survie "dépend en ce moment des humains, des humains de tous les âges", rappelle l'astrophysicien Hubert Reeves dans la préface.L'album, co-écrit par Laurana Serres-Giardi, Stéphane Van Inghelandt et Alain Serres et illustré par Zaü, explique simplement l'histoire que les hommes ont tissée entre eux et le monde naturel. Le rapport de domination qu'ils ont instauré altère l'infinie variété de la vie sur terre et met en péril la faune, la flore et même l'humanité.En début de chapitre, un texte introductif résume quels comportements humains (déforestation, surpêche, nouvelles routes, trafic...) menacent l'équilibre du milieu dont il est question. Les particularités de vie de chaque espèce sont ensuite détaillées. Quand ils existent, les efforts pour réintroduire les espèces (parfois avec succès) sont racontés.L'ouvrage se referme sur "la Terre de demain" et sur les humains qui "ont mal à la Terre", des communautés dont l'existence est menacée parce que leur environnement est détruit. Il explique comment les citoyens des pays industrialisés peuvent être solidaires de ceux en difficulté, en agissant notamment "en consommateurs éclairés". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 novembre 2010 Des associations de cabanoniers, pêcheurs, randonneurs et plaisanciers ont adressé au président de la République une lettre pour protéger les Calanques de Marseille. Pour ces 25 associations, le projet de parc national ne cherche pas à préserver un espace qui compte plus d'un million de personnes.La lettre ouverte qui a été adressée à Nicolas Sarkozy est signée par 25 associations de cabanoniers, pêcheurs, randonneurs et de plaisanciers. Cette lettre demande au président "d'initier une démarche nouvelle" qui prendrait en compte "les dimensions humaine et locale" en ce qui concerne le projet de parc national des Calanques de Marseille.Le parc des Calanques (troisième parc périurbain au monde après ceux du Cap et de Sydney) vise à la préservation de la biodiversité, de la quiétude des lieux et du patrimoine culturel.Les différentes associations dénoncent dans la lettre "une concertation erratique où la démagogie l'a trop longtemps disputé à l'opacité, à l'autoritarisme et à l'arbitraire et qui n'a pu engendrer qu'une légitime défiance". Elles ajoutent : "Nous en appelons à votre sagesse pour que la protection de nos calanques ne s'engage pas au détriment de notre culture, de nos modes de vie et nos traditions".Cette levée de boucliers intervient après l'annonce de l'ancienne secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno, à la mi-octobre, de la création du parc, à l'est de Marseille. Prévu pour 2011, il est présenté comme étant "premier parc national d'interface terre-mer bénéficiant d'une telle superficie de coeur marin". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 novembre 2010 Premier pollueur du monde devant les États-Unis, la Chine vit largement au-dessus de ses moyens environnementaux, alerte le Fonds mondial pour la nature (WWF). Si l'empreinte écologique du pays n'arrive pas en tête au niveau mondial, c'est sa croissance qui inquiète particulièrement l'ONG. "En 2003, si le monde entier avait consommé autant que le peuple chinois, l'humanité n'aurait eu besoin que de 0,8 fois les ressources de la Terre, même pas une Terre entière. Mais sur la période 2003-2007, car nos chiffres les plus récents remontent à trois ans, on peut voir que la croissance de l'empreinte écologique a augmenté de 50%, passant de 0,8 à 1,2 fois les ressources de la Terre. Ce qui montre que le niveau de croissance est extrêmement rapide, et que si le développement se poursuit ainsi, ce ne sera pas soutenable", explique le WWF dans un récent rapport.Alors que le pays s'efforce avant tout de répondre à la demande d'une population de plus en plus urbaine, la Chine a réussi au cours des cinq dernières années à améliorer sa biocapacité, souligne l'ONG. Mais malheureusement, cela ne suffit pas à compenser les impacts néfastes de l'explosion de la consommation.Interrogé par Reuters, James Leape, le directeur général de l'organisation, explique que l'empreinte écologique de la Chine, à savoir son exploitation des terres arables, des forêts, des stocks de poissons et ses émissions de gaz à effet de serre, est environ 20% plus importante que ce que la planète est capable de supporter. "Ça la place au milieu du peloton, mais évidemment sur une voie qui n'est pas viable à long terme", souligne-t-il. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 novembre 2010 PEKIN, 18 nov 2010 (AFP) - La Chine a défendu jeudi sa décision de construire un barrage sur le cours supérieur du Brahmapoutre au Tibet, malgré des inquiétudes sur l'approvisionnement de la région située en aval, en Inde et au Bangladesh, et de possibles nuisances aux écosystèmes.> La Chine "prend pleinement en considération les possibles conséquences sur la région située en aval", a-t-il assuré.La construction du barrage a officiellement commencé vendredi dernier, a indiqué la presse chinoise.Selon le quotidien Global Times, l'édifice sera "la première centrale hydroélectrique géante sur le plateau tibétain" avec six turbines d'une puissance de 85 mégawatts chacune, destinée à fournir le Tibet en électricité.Son coût est évalué à 7,9 milliards de yuans (872 millions d'euros), précise le journal.La possibilité qu'une partie des eaux du Brahmapoutre, principal cours d'eau se jetant dans le golfe du Bengale avec le Gange, soient détournées ou retenues au Tibet soulève des inquiétudes en Inde.En Chine même, des voix se sont élevées pour dénoncer les conséquences écologiques du projet, en raison de la richesse en biodiversité de la vallée du Yarlung Tsangbo (nom tibétain du Brahmapoutre)."La faune et la flore diversifiées qui se sont développées au cours de dizaines de millions d'années vont être endommagées", selon Wang Yongchen, fondateur de l'association basée à Pékin Volontaires pour la terre verte, cité par le Global Times.Pour satisfaire des besoins en rapide augmentation en électricité et en eau, la Chine est engagée dans un vaste programme de construction de barrages, surtout dans la partie occidentale, plus montagneuse, de son territoire.Cette année, des barrages construits dans la province du Yunnan (sud-ouest) sur le cours supérieur du Mékong ont été jugés responsables du très faible niveau du fleuve en Asie Sud-Est, une accusation qui a toutefois été rejetée par Pékin. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 novembre 2010 ANGERS, 18 nov 2010 (AFP) - Le parc Terra Botanica, ouvert le 10 avril aux portes d'Angers, a réussi son pari pour sa première saison avec plus de 258.000 visiteurs dans ce parc à thème axé sur les splendeurs du monde végétal, ont annoncé ses responsables jeudi lors d'une conférence de presse.> La bonne surprise pour le parc a été la durée moyenne des visites, espérée à 04h00 et qui a atteint en réalité 5h30.La provenance des visiteurs est quasi exclusivement régionale: 50% du Maine-et-Loire, 20% des quatre départements des Pays-de-la-Loire et 30% hors de la région."C'est un jeune site avec seulement 200 jours d'ouverture", a précisé Jean-Pierre Chavassieux, président de Terra Botanica, qui a annoncé un investissement de 400.000 euros pour la prochaine saison et a pris un engagement sur le renouvellement entier du fleurissement pour le printemps et l'automne 2012.Selon M. Chavassieux, si "Terra Botanica n'a pas eu d'incidences négatives sur le reste de la fréquentation touristique", "je ne m'aventurerais pas à parler d'effet positif mais à terme il y en aura, c'est certain".Le parc, financé à 80% par le Conseil général du Maine-et-Loire, s'est fixé comme objectif en 2011 d'atteindre les 280.000 visiteurs et se donne cinq ans avant de tirer un vrai bilan et d'envisager d'éventuels agrandissements, a confié son président.Avec 11 hectares d'espaces paysagers et aquatiques, de salles obscures et serres géantes, jalonnés de 40 attractions et animations, le parc, d'un coût de 83 millions d'euros, s'articule autour de quatre thématiques: le "Convoité", le "Généreux", le "Mystérieux" et l'"Apprivoisé". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 novembre 2010 Une campagne de sensibilisation aux conséquences du changement climatique a été lancée ce week-end. Sa particularité ? Elle est visible depuis l'espace. La campagne 350 EARTH, qui a été lancée le week-end dernier, a pour but de sensibiliser la population aux problèmes du réchauffement climatique. A cette occasion, des installations ont été mises en place dans plusieurs pays pour former des dessins géants qui peuvent être vus du ciel. Ainsi, on peut apercevoir le visage d'une jeune fille dessiné sur un delta menacé en Espagne, tandis qu'un aigle a été formé aux États-Unis."L'art peut faire passer d'une autre manière que la science l'importance de la menace que représente le changement climatique pour notre planète", a expliqué Bill McKibben, l'initiateur de la campagne 350 EARTH. "Les meilleurs scientifiques du monde ont essayé d'éveiller la conscience des politiciens à la crise climatique. Nous comptons désormais sur l'aide d'artistes". A noter que la campagne tire son nom du niveau de dioxyde de carbone jugé acceptable par les scientifiques. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 décembre 2010 HELSINKI, 1 déc 2010 (AFP) - Une espèce animale ou végétale sur dix en Finlande est menacée d'extinction en raison du réchauffement climatique, a annoncé mercredi le ministère finlandais de l'Environnement.> Sur les 2.247 espèces menacées en Finlande, seules quelques dizaines le sont au niveau mondial, a précisé l'Institut finlandais de l'Environnement."Toutefois, c'est significatif car cela veut dire que la nature en Finlande a beaucoup changé et rapidement (...) à cause du réchauffement climatique", a expliqué à l'AFP un porte-parole de l'Institut, Heikki Toivonen.Selon lui, l'augmentation du nombre d'espèces d'oiseaux menacées, par exemple, illustre le fait que la migration depuis et vers le sud du Sahara est rendue nettement plus difficile avec le réchauffement et l'assèchement de l'Afrique du nord.Ainsi, le statut de la tourterelle des bois est passé en Finlande de "vulnérable" à "en danger critique d'extinction", celui du combattant varié et de la fauvette épervière est passé d'un coup à "en danger d'extinction" alors qu'aucune de ces deux espèces n'était menacée en Finlande il y a encore dix ans."Le réchauffement et les hivers plus doux ont également provoqué le déclin de certains mammifères adaptés à vie dans des conditions neigeuses et glaciales, comme le lièvre des montagnes, le glouton et le phoque", selon le ministère. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 décembre 2010 250 milliards de microfragments de plastique contamineraient la Méditerranée, des déchets minuscules avalés par les planctons, eux-mêmes mangés par les poissons et qui pourraient finir dans nos assiettes, selon les premières données de l'expédition Méditerranée en danger (MED), qui mobilise une équipe de chercheurs issus d'une dizaine de laboratoires universitaires européens. «L'ordre de grandeur des quantités de microdéchets plastiques flottants serait d'environ 250 milliards de microfragments pour l'ensemble de la Méditerranée», selon François Galgani de l'Institut français de Recherche pour l'Exploration de la Mer (Ifremer). L'Ifremer et les experts de l'Université de Liège (Belgique) viennent de fournir une première évaluation (pdf ici) de l'étendue des dégâts à partir des échantillons prélevés en juillet dernier par les membres de MED sur le littoral français, du nord de l'Italie et de l'Espagne.(Carte de navigation de l'expédition MED) «Nous avons fait les premiers prélèvements sur une hauteur de 10 à 15 cm d'eau, c'est donc une extrapolation sur des microdéchets flottants, ce n'est pas sur toute la colonne d'eau», a précisé à l'AFP le chef de l'expédition Bruno Dumontet, mais c'est déjà «particulièrement inquiétant». Le projet, monté par des bénévoles qui ont loué un voilier de 17 mètres sur leurs fonds propres pour la première campagne, est également porté par une vingtaine de chercheurs d'une dizaine de laboratoires universitaires européens. Méduses : «Pour 2011 on prévoit de continuer les prélèvements pour avoir une analyse globale sur toute la Méditerranée, mer relativement fermée, pas très grande et (idéale) pour étudier ce type de pollution», renchérit Bruno Dumontet ajoutant que son expédition est la première du genre en France et en Europe. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 décembre 2010 Selon le gouvernement indonésien, le centre de l'île de Bornéo aurait été choisi, dans le cadre d'un accord avec la Norvège, comme région pilote pour mener des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), engendrées par la déforestation. Le centre de l'île de Bornéo fait partie des régions d'Indonésie les plus touchées par la déforestation. La province de Kalimantan Centre en particulier. Elle possède "une couverture forestière étendue et des tourbières", précise à l'AFP Kuntoro Mangkusubroto, chargé de l'application du mécanisme REDD+ (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts) en Indonésie. Il s'agit de zones convoitées par les industries de l'huile de palme notamment. La plupart des projets que Kuntoro Mangkusubroto mène pour lutter contre la déforestation dans son pays entrent dans le cadre d'un accord conclu avec la Norvège au mois de mai. Celle-ci s'est engagée à consacrer jusqu'à un milliard de dollars pour préserver les forêts indonésiennes, à condition d'obtenir des résultats. L'Indonésie, en contrepartie, doit appliquer un moratoire de deux ans des conversions de tourbières et de forêts en terres cultivées à partir de 2011. Malgré les objectifs ambitieux qu'affiche le pays, Greenpeace se montre dubitatif. L'organisation écologiste a récemment affirmé que ce programme serait "sapé par le pouvoir des industries de l'huile de palme et de la pâte à papier", qui projettent de tripler leur production d'ici à 2020 et 2025. Des accusations rejetées en bloc par les autorités indonésiennes, indique l'AFP. Selon l'Onu, la déforestation représente 17% des émissions globales de gaz à effet de serre. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 janvier 2011 Le Sahara Forest Project est une initiative voulue pour empêcher les populations vivant dans le désert de fuir vers d'autres régions, moins arides, où les conditions sont moins difficiles. L'idée est de créer des oasis artificielles pour verdir le Sahara. Depuis peu, ce projet est soutenu par la Norvège, qui collabore désormais avec la Jordanie pour lutter contre l'avancée du désert. Six millions d'hectares. C'est la surface qu'engloutit le désert chaque année. Grâce aux oasis artificelles et high tech, qui viendraient exploiter l'énergie solaire et l'eau salée, le désert devrait être plus vert dans le futur. C'est en tout cas ce que désirent la Norvège et la Jordanie, qui viennent de conclure un accord. Plusieurs études doivent être menées sur place, dans le Sahara, et des fonds pour un projet pilote ont été promis par les autorités du pays nordique. Un site de 200.000 mètres carrés à Aqaba, dans le sud de la Jordanie non loin de la mer Rouge, a été choisi pour faire des tests. Le projet prévoit la création d'une centrale solaire à concentration ainsi que l'utilisation des technologies de Seawater Greenhouse (serre à eau de mer, qui va servir à fournir de l'eau douce). Les oasis doivent produire de l'énergie électrique renouvelable, des emplois locaux et favoriser la création d'une couverture végétale. Celle-ci permettra de lutter contre l'érosion et la désertification. Les cultures doivent par ailleurs produire de la nourriture et du biocarburant à partir d'algues. En reverdissant ainsi les terres arides, les concepteurs de ce projet insistent sur le fait que cela permettra d'emprisonner du dioxyde de carbone, et ainsi de lutter contre le réchauffement de la planète. Un nouvel écosystème, en compétition avec le désert, devrait donc voir le jour grâce à ces oasis artificielles. Une première démonstration du fonctionnement du centre doit être faite en 2012. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 janvier 2011 Vendredi 14 janvier, une réunion présidée par le Premier ministre congolais Adolphe Muzito et la directrice générale de l'Unesco Irina Bukova, s'est tenue à Kinshasa en République Démocratique du Congo. L'Organisation des Nations unies s'inquiète face aux menaces qui pèsent sur cinq sites naturels congolais classés au Patrimoine mondial. Les cinq sites concernés sont les parcs nationaux des Virunga, de la Garamba, de Kahuzi-Biega, et de la Salonga, et la Réserve de faune à okapis. Ces sites abritent une diversité unique de plantes, mais aussi des animaux rares tels que le gorille des montagnes, l'okapi, ou le rhinocéros blanc du Nord. Les nombreuses crises qu'a traversées le pays au cours des vingt dernières années, mais aussi la déforestation et l'exploitation minière artisanale, mettent en danger cette richesse, souligne l'Unesco sur son site Internet. Lors de la réunion organisée vendredi à Kinshasa, l'Organisation a tenu à assurer son soutien à la RDC, afin de l'aider à mettre en place une "gestion durable" des parcs classés au patrimoine mondial. "Je suis convaincue de la volonté de toute la communauté internationale à vous apporter tout le soutien nécessaire et vous savez que vous pouvez compter sur celui de l'Unesco", a ainsi déclaré Mme Bokova, citée par l'AFP. De son côté, le ministre congolais de l'Environnement, José Endundo Bononge, a assuré que "la RDC est parvenue à assurer le maintien de ses aires protégées, dans des conditions parfois dramatiques", au fil des crises militaires qu'elle a connues. Dans une déclaration dite de Kinshasa, le gouvernement s'est toutefois engagé à mettre en oeuvre des mesures coercitives imposées par le comité du patrimoine mondial pour la réhabilitation de ces sites menacés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 janvier 2011 Depuis deux ans, le projet fait l'objet de débats houleux, mais d'ici à la fin de l'année, le parc national des calanques devrait enfin être crée. Reste toutefois à satisfaire chaque partie lors de l'élaboration des réglementations qui encadreront le projet. Au cours des deux dernières années, près de 200 débats ont réuni pêcheurs, plaisanciers, grimpeurs, cabanonniers et élus autour de ce projet, qui lorsqu'il verra le jour, deviendra le premier parc péri-urbain européen. "Jamais aucun projet n'aura été autant débattu et concerté, et pourtant que n'ai-je entendu ?", souligne auprès de l'AFP le député UMP Guy Teissier, président du Groupe d'intérêt public (GIP) porteur du projet. La parc national des Calanques a, comme le précisait le pré-projet de charte, pour vocation de "préserver la biodiversité, la quiétude des lieux et le patrimoine culturel" d'un site naturel qui voit chaque année défiler 1,3 million de promeneurs. Le 11 février, l'assemblée générale du GIP se réunira pour prendre une décision. Et M. Teissier se montre très optimiste quant à l'issue de cette réunion. "Nous nous acheminons vers des points de convergence" qui permettront de rédiger la version finale de la charte, estime celui qui s'est engagé à créer ce parc d'ici à la fin 2011. Toutefois, l'adoption de cette charte ne sera pas l'ultime étape du projet. 200 acteurs locaux devront encore être concertés, tandis qu'une enquête publique sera lancée. Un sondage a récemment été commandité par le GIP, et 76% des personnes interrogées assuraient alors être "favorables" à la création du parc national. Toutefois, 38% des sondés considéraient ce site, qui concerne cinq communes et devrait s'étendre sur 11.200 hectares de terres et 48.000 en mer, comme allant à "l'encontre du mode de vie et des traditions des calanques". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 février 2011 Des photographies d'indiens isolés dans l'Amazonie brésilienne, prises par des agents de la Fondation nationale de l'indien (Funai), viennent d'être publiées. L'objectif pour cette organisation ? Attirer l'attention sur ces indigènes menacés par l'arrivée de bûcherons illégaux. "Il est nécessaire de réaffirmer que ces peuples existent (...). Les droits élémentaires de ces peuples, avant tout le droit à la vie, ont été ignorés tout au long de l'occupation brutale des terres par le Brésil. Nous devons donc les protéger", écrit le responsable de la Coordination des organisations indigènes d'Amazonie, Marco Apurina, sur son site Internet. Ces peuples, ce sont les indiens d'une tribu qui vit isolée dans l'Amazonie, à la frontière entre le Brésil et le Pérou. Les nouvelles photographies de ces indiens, prises lors d'un survol effectué par des agents de la Funai -les seuls à pouvoir les approcher-, sont des clichés que l'on voit très rarement sur Internet. Ils montrent un adulte, le corps peint en rouge, et des enfants, visiblement en bonne santé, relaye la BBC. On peut également voir qu'ils possèdent des machettes et mangent des fruits comme la papaye. La plus grande menace qui pèse sur cette tribu à l'heure actuelle est la déforestation illégale. "Les bûcherons illégaux vont détruire cette tribu. Il est vital que le gouvernement péruvien les arrête avant qu'il ne soit trop tard", alerte le directeur de Survival International, Stephen Corry, cité par la même source. Les Blancs sont interdits d'accès dans ces régions. Les autorités brésiliennes ont peur que les indigènes contractent des maladies contre lesquelles ils ne sont pas immunisés. Au total, il existerait au Brésil 67 tribus qui ont choisi de rester vivre dans la forêt, estime la Funai. Seules 30 d'entre elles seraient connues à l'heure actuelle. Selon la BBC, des premières photographies de cette même tribu avaient été diffusées en 2008. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 février 2011 < KUALA LUMPUR, 7 fév 2011 (AFP) - Along Sega, le chef coutumier de l'un des derniers peuples nomades de l'île de Bornéo qui s'était rendu célèbre en luttant contre la déforestation, est récemment décédé dans un hôpital malaisien, a annoncé lundi une association de défense des peuples indigènes.> "Il était courageux et déterminé à défendre le mode de vie des Penan", qui vivent de la chasse et de la cueillette, se nourrissant de la faune et de la flore des forêts tropicales, a indiqué lundi Harrison Ngau, un avocat des droits des Penan.Dans les années 1980, les Penan avaient mené une lutte médiatique contre les sociétés de déboisement, bloquant des routes et saisissant la justice.Along Sega avait été ensuite très déçu lorsque les autorités n'avaient pas respecté leur promesse de créer une réserve protégée dans laquelle les Penan auraient pu perpétuer leurs traditions."Après mon décès, mon peuple continuera notre lutte car je leur ai demandé de ne pas abandonner", a déclaré en 2005 le chef coutumier, selon le Fonds Bruno Manser, du nom du défenseur suisse des droits des peuples autochtones disparu à Bornéo en 2000 dans des circonstances mystérieuses.La population des Penan du Sarawak est estimée à environ 10.000 personnes, dont seulement 300 à 400 seraient toujours nomades. La plupart se sont sédentarisées, sous l'influence notamment de missionnaires chrétiens.jsm-sls/jri/dfg Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 février 2011 Le mois dernier d'impressionnantes inondations ravageaient l'Australie. Jeudi, le cyclone Yasi a lui aussi frappé le continent en causant des dégâts à la Grande barrière de corail, qui mettra, selon les experts, plusieurs années à se réparer. Jeudi dernier, le cyclone Yasi a frappé le continent australien. D'une intensité maximale (5 sur 5), ses vents de 290 km/h ont endommagé les coraux de la Grande barrière, indiquent les experts. La Grande barrière de corail australienne fait 354.000 kilomètres carrés mais souffre énormément des changements climatiques. Même si les cyclones sont fréquents dans la région, l'acidification des océans favorise leur fréquence et les coraux en pâtissent directement. Un scientifique, cité par Sciences et Avenir, indique que "les cyclones endommagent les récifs. Ils sont particulièrement préjudiciables en eau peu profonde : ils brisent les coraux et peuvent tuer des récifs entiers de coraux vivants, ce qui réduit la surface totale occupée par ces organismes ". De plus, les inondations du mois dernier ont charrié des tonnes de débris et de sédiments sans compter les pesticides et autres impuretés vers l'océan en détruisant les coraux. Selon les autorités du parc marin de la Grande barrière de corail, les coraux pourraient mettre dix ans à se remettre de ces deux catastrophes naturelles. Mais le réchauffement climatique favorise l'apparition de cyclones de plus en plus violents (à l'image de Yasi) qui ne laissent pas le temps aux récifs coraliens de se reconstituer. Depuis 1990, la croissance des coraux de la Grande barrière à très nettement diminué. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 février 2011 La région Bretagne va assigner en justice la fédération écologiste France Nature Environnement (FNE) pour "atteinte à son image" avec le lancement d'une campagne d'affichage présentant notamment une plage recouverte d'algues vertes. "Le conseil régional de Bretagne a décidé, au nom de la défense des intérêts des Bretons, d'assigner devant le tribunal de grande instance de Paris l'association FNE, notamment pour atteinte à son image", a indiqué son président, Jean-Yves Le Drian (PS), dans un communiqué. La région reproche à l'association de présenter "la première région agricole de France comme source de pollution et de mise en danger d'autrui", précise M. Le Drian. Le Comité régional du tourisme de Bretagne a de son côté annoncé mercredi la saisie de l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité, le gendarme de la pub. Une campagne qui fait débat. La campagne lancée par FNE à Paris en marge du Salon de l'agriculture présente notamment un enfant jouant sur une plage couverte d'algues vertes en soulignant que la décomposition de ces algues, dont la prolifération est liée aux rejets azotés agricoles, "dégage un gaz mortel". La campagne de FNE, qui comprend six affiches, dénonce également les OGM et les pesticides et ne vise pas spécifiquement la Bretagne. Cette région est cependant la plus touchée par le phénomène des algues vertes. En 2009, un transporteur et un cheval y avaient péri après avoir inhalé les émanations d'algues en décomposition. Le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a jugé dans la matinée que la campagne d'affichage constituait un "scandale" et une "provocation à quelques jours du Salon de l'agriculture". France Nature Environnement, qui regroupe 3.000 associations, a assumé le caractère "choc" de sa campagne et dénoncé dénoncé mardi la "censure" de certains de ses visuels par Metrobus, la régie publicitaire de la RATP, qui a refusé... lire la suite de l'article sur Libération.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 février 2011 Dans le golfe du Mexique, des scientifiques américains ont découvert une couche de pétrole de plusieurs centimètres d'épaisseur déposée sur les fonds marins. Issue de la marée noire d'avril 2010, celle-ci aurait un effet désastreux sur les organismes en contact. Les restes des 800 millions de litres de pétrole libérés pendant la marée noire d'avril 2010 se cacheraient en profondeur. C'est ce qu'ont révélé samedi dernier à Washington, des scientifiques de l'Université de Georgie, lors de la conférence de l'American Association for the Advancement of science. Après des expéditions organisées l'été dernier dans le golfe du Mexique, ceux-ci avaient espéré qu'ils ne trouveraient plus aucun résidu de pétrole. Mais en explorant les fonds marins à l'aide d'un insubmersible, ils ont découvert en décembre dernier un dépôt de pétrole de près de 10 centimètres d'épaisseur. D'après leurs conclusions, celui-ci se serait formé entre juin et septembre 2010 et ne semblerait aucunement en passe de se dégrader. Mais là n'est pas le plus sérieux de la découverte. Dans les fonds marins, les scientifiques ont aussi observé des quantités d'organismes morts piégés ou asphyxiés par la couche de pétrole. Des crabes, des vers, des étoiles de mer et d'autres animaux sur lesquels la marée noire a eu un effet "dévastateur". "Tous ces organismes ainsi que les coraux ont été considérablement affectés, et par affectés j'entends essentiellement tués", a expliqué à BBC News le Pr Samantha Joye qui a conduit les expéditions. Pourtant, les animaux des fonds marins ont un rôle essentiel dans la chaine alimentaire aquatique : ils stimulent l'activité des micro-organismes et oxygènent les sédiments. S'ils sont impactés, c'est donc aussi l'avenir de toutes les espèces qui est en danger, y compris celles que nous mangeons. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 février 2011 < WASHINGTON, 21 fév 2011 (AFP) - Un groupe de chercheurs américains a défendu l'expérimentation scientifique sur les animaux lors d'une importante réunion scientifique à Washington, affirmant qu'elle permettait de sauver des vies.> L'expérimentation sur les animaux a permis des "avancées majeures dans la recherche qui ont amélioré la qualité de vie" des hommes, ont-ils affirmé."Arrêter les expériences sur les animaux signifierait que nous ne pourrions plus fournir des traitements et des soins dans des délais opportuns. Et cela voudrait dire que des gens mourraient", a assuré à l'AFP Stuart Zola, de l'Université Emory, qui abrite un important centre de recherche sur les primates.Les tests sur les animaux permettent entre autres de travailler à des traitements pour des maladies comme le diabète ou le sida, et sont utilisés dans le cadre de la recherche sur les cellules souches, selon ces chercheurs.Ils ont souligné le fait que ces pratiques faisaient l'objet de règles draconiennes aux Etats-Unis pour que les animaux soient traités dignement."C'est strictement encadré", a dit Stuart Zola. Les organisations subventionnées par l'Etat doivent prendre soin des animaux et "même pour un seul rongeur, tous les protocoles doivent être examinés" et validés par des commissions d'experts.Des dizaines de millions d'animaux sont utilisés chaque année dans le monde à des fins expérimentales. Ces tests sont critiqués par les organisations de défense des animaux, qui font pression sur les laboratoires scientifiques, appelant parfois au boycott des produits ainsi fabriqués.Mais le recours aux expériences sur les animaux est parfois indispensable, comme pour soigner l'hépatite C, a expliqué John Vandenberg, du Centre national de recherche sur les primates du sud-ouest, basé au Texas."Il y a un vrai manque d'informations dans le monde sur l'origine des traitements et des vaccins", a-t-il regretté.kdz/eg/cel Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 février 2011 < SAINT-NAZAIRE (Loire-Atlantique), 21 fév 2011 (AFP) - Le groupe pétrolier Total a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) après la pollution de la Loire en mars 2008 par 500 tonnes de fuel, a-t-on appris lundi de source judiciaire.> Ce renvoi, à une date encore indéterminée, correspond aux réquisitions du parquet.Le 16 mars 2008, une fuite de fuel sur une canalisation de la raffinerie de Donges avait entraîné une importante pollution. Trois mois et demi avaient été nécessaires pour nettoyer 90 km de côtes de l'estuaire et du littoral, polluées par 500 tonnes de fioul lourd.Le parquet de Saint-Nazaire avait ouvert en avril 2008 une information judiciaire pour "pollution" après l'annonce par des communes et associations écologistes qu'elles saisissaient la justice.La région des Pays de la Loire et le conseil général de la Vendée avaient aussi porté plainte.axt-phs/am/DS Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2011 A la fois décoratif et doté de propriétés médicinales, le souci est originaire du pourtour méditerranéen. D'un jaune orangé éclatant, ses fleurs une fois séchées présentent de nombreuses vertus. Pourtant, Calendula officinalis - c'est son appellation botanique - est surtout connue pour ses indications dermatologiques. Le capitule floral contient des flavonoïdes, des carotènes et une petite quantité d'huile essentielle. Sa teneur élevée en triterpènes serait à la source de son activité anti-inflammatoire. En usage externe, le souci constitue un traitement d'appoint adoucissant et antiprurigineux. C'est-à-dire qu'il calme les démangeaisons. Grâce à son action antiseptique, anti-inflammatoire et cicatrisante, il est particulièrement recommandé dans le traitement des affections de la peau et de la cavité buccale. Il est également utilisé pour soigner les crevasses, les petites plaies, les piqûres d'insectes et l'érythème solaire. Le souci entre d'ailleurs dans la composition de très nombreux produits cosmétiques mais aussi de certains médicaments utilisés en dermatologie. Pour préparer une décoction, prenez 5 g de fleurs séchées pour un litre d'eau. Faites bouillir 10 minutes et laissez reposer 5 minutes. Il suffit ensuite d'utiliser la décoction en compresses ou en bains. Enfin, vous, pouvez également aromatiser salades et préparations culinaires avec des pétales frais de souci. Quant aux fleurs séchées, elles peuvent parfaitement accompagner les fruits de mer, les soupes, les ragoûts, les viandes, les gâteaux et les biscuits. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 février 2011 En 2100, le niveau de la mer devrait être de 80 à 150 centimètres plus élevé qu'aujourd'hui. Mais les scientifiques précisent qu'il s'agit d'une moyenne. Dépassant cinq mètres par endroit, les eaux baisseraient également dans d'autres régions du globe. Il ne fait aujourd'hui plus de doute que le niveau de la mer augmente au fil des ans. En 50 ans, chaque année a vu le niveau progresser de 2 millimètres avec une accélération à 3 millimètres ces dernières années. Mais comme l'a expliqué le géologue Jeff Williams lors du congrès de l'Association américaine pour l'avancement de la science à Washington, "à certains endroits, les continents sont en train de couler par eux-mêmes, alors qu'à d'autres, ils se relèvent. Et les courants peuvent provoquer des accumulations d'eau plus ou moins temporaires à certains endroits". En effet, comme le rapporte La Presse, à la fin d'une période de glaciation, les terres se relèvent sous les glaciers puis redescendent après un certain temps. "Dans les régions où la glaciation est terminée depuis peu, comme dans le nord de l'Amérique du Nord, les terres sont encore en train de remonter", indique Jeff Williams. Ainsi, en Louisiane, le niveau de l'océan grimpe d'un centimètre par an à cause du changement climatique, mais également de l'affaissement des terres. Parallèlement, d'autres perturbations sont à prévoir dans l'Arctique notamment. "Les glaces protégeaient les côtes contre les tempêtes. Il y aura plus d'érosion quand l'Arctique sera complètement libre de glace, en 2050. Des villages en Alaska ont déjà été évacués à cause de l'augmentation de l'érosion", poursuit le géologue. De plus, les estuaires d'eau salée pénétreront plus les fleuves, perturbant l'ensemble de leur écosystème. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 février 2011 Suivant la mobilisation des présidents de régions et des écologistes, les Parcs naturels régionaux expliquent aujourd'hui s'opposer fermement à l'exploitation du gaz de schiste. Le gaz de schiste est un gaz naturel emprisonné dans le schiste, une roche sédimentaire ou métamorphique. Alors que cette roche est facilement trouvable dans le monde entier, plusieurs entreprises se sont lancées dans l'extraction du gaz de schiste, arguant qu'il s'agit là de la solution pour pallier la diminution des réserves de gaz classiques. Mais les écologistes élèvent la voix et les Parcs naturels français viennent de faire savoir qu'ils étaient contre l'exploitation de ce gaz. Plus précisément, la Fédération des Parcs naturels régionaux de France a réclamé l'annulation des autorisations d'exploitation délivrées sur sept parcs naturels, ainsi qu'une interdiction de l'exploration et de l'exploitation de cette énergie sur leurs domaines. La Fédération explique ainsi qu'il s'agit-là de protéger l'environnement, alors que la technique de forage hydraulique implique l'injection de produits chimiques dans les sols, rapporte 20minutes.fr. Du côté de la sphère politique, Nathalie Kosciusko-Morizet a récemment assuré que les autorisations en cours étaient suspendues afin qu'une étude soit menée sur le sujet, et cela alors que le ministre chargé de l'Energie, Eric Besson, faisait savoir dernièrement sur Europe 1 que : "La France n'a pas fermé la porte au gaz de schiste". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 mars 2011 Ce mardi 1er mars a été marqué par l'apparition étonnante de nombreuses aurores boréales dans le ciel de l'Arctique. Les observateurs ont fait état de ces merveilleux spectacles qui se sont déroulés pendant toute la journée en Norvège, Suède, Lettonie et au nord de l'Irlande. L'histoire des aurores boréales commence au niveau du Soleil. A sa surface, se forme le vent solaire, un courant tellement puissant qu'il peut transporter de grandes quantités de particules à travers le système solaire et au-delà. Lorsque ces particules arrivent au niveau de la Terre, celles-ci sont attirées par les pôles magnétiques du nord et du sud. A l'entrée de l'atmosphère, les particules solaires vont heurter les atomes d'oxygène et d'azote. Lorsque beaucoup de ces collisions ont lieu, l'oxygène et l'azote émettent assez de lumière pour être détectables à l'oeil nu. Ce mardi, le vent solaire a ébranlé le champ magnétique de la Terre, engendrant d'impressionnantes aurores boréales pendant la journée entière. Celles-ci ont été observées dans le ciel de Norvège, Suède, Lettonie ainsi qu'au nord de l'Irlande. Alors que le spectacle de la journée a touché à sa fin, il est prévu que d'autres vents solaires puissent déclencher une nouvelle série d'aurores boréales. Afin d'être averti des prochains événements, un signal d'alerte a été mis en place sur le site de l'Université de Lancaster au Royaume-Uni. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 mars 2011 La Commission européenne a annoncé son intention de débloquer deux millions d'euros supplémentaires dans le cadre du programme BEST, pour la préservation et l'exploitation durable de la biodiversité des régions ultrapériphériques et des territoires d'outre-mer. Le programme BEST a pour but de financer des projets élaborés dans le respect de l'environnement et la protection de la biodiversité exceptionnelle de ces territoires qui abritent plus d'espèces endémiques que l'ensemble de l'Europe continentale. Comme l'explique le site Fenêtre sur l'Europe, il vise à renforcer les aides financières consacrées à la protection de la nature et à la gestion durable des écosystèmes, afin d'allier développement économique et préservation des richesses naturelles qu'offrent les pays et territoires d'outre-mer et les régions ultrapériphériques. Les fonds consacrés à ce programme serviront ainsi à financer la désignation et la gestion de zones protégées, la réhabilitation d'écosystèmes dégradés, la restauration des mangroves, ou encore la protection des récifs coralliens. L'argent permettra en outre d'encourager la lutte contre le changement climatique en finançant des solutions naturelles. Au mois de mai prochain, la Commission européenne lancera un appel aux responsables de projets souhaitant obtenir une aide financière dans le cadre du programme. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 mars 2011 Les glaces du Groenland et de l'Antarctique perdent de leur masse à un rythme accéléré. C'est la conclusion d'une nouvelle étude réalisée à partir d'observations satellitaires, financée par la NASA et publiée mardi 8 mars, qui fait craindre une montée des océans plus importante que prédit jusqu'à présent. Cette recherche, la plus longue portant sur les changements de masse des glaces polaires, laisse penser que les pertes subies aux deux pôles dépassent celles des glaciers et des calottes de glace des montagnes pour devenir le principal contributeur à la montée des océans. En outre, l'augmentation du niveau des océans pourrait se produire beaucoup plus tôt que ne le projettent les modèles actuels.UNE FONTE TROIS FOIS PLUS RAPIDE QUE CELLE DES GLACIERS DE MONTAGNECette observation de près de vingt ans montre qu'en 2006 le Groenland et l'Antarctique ont perdu ensemble 475 milliards de tonnes de glace en moyenne. Un tel volume est suffisant pour faire grimper le niveau des océans de 1,3 millimètre en moyenne par an. Chaque année, au cours de l'étude, les deux masses de glaces arctiques et antarctiques ont perdu ensemble 36,3 milliards de tonnes en moyenne de plus que l'année précédente.En comparaison, une étude de 2006 portant sur les glaciers et calottes de glace des montagnes estimait la perte à 402 milliards de tonnes par an en moyenne, avec une accélération de la fonte d'une année sur l'autre trois fois plus faible que dans l'Arctique et l'Antarctique.AUGMENTATION DU NIVEAU DES OCÉANS DE 32 CM D'ICI À 2050Si les taux de fonte aux deux pôles continuent à ces rythmes durant les quatre prochaines décennies, la perte cumulée de glace ferait monter les océans de 15 centimètres d'ici à 2050, concluent les auteurs de cette étude publiée dans l'édition de mars des Geophysical Research Letters. Outre ces 15 centimètres, la fonte des glaciers et des calottes glaciaires des montagnes ajouteraient 8 centimètres, sans oublier un accroissement de 9 centimètres résultant de la dilatation thermique des eaux. Finalement, les océans pourraient donc voir leur niveau monter de 32 centimètres d'ici à 2050, selon ces chercheurs.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 mars 2011 < PARIS, 9 mars 2011 (AFP) - L'association écologiste Robin des Bois a dénoncé mercredi dans un rapport la hausse, dans "l'indifférence des pouvoirs publics", des "marées noires" dans les cours d'eau de France, notamment après des accidents de camions dont les réservoirs se déversent.> Alors que la pollution aux PCB entraîne souvent des restrictions ou interdictions de pêche, ces "marées noires" s'amplifient "dans l'indifférence des pouvoirs publics", écrit l'association dans son Atlas."Nous sommes étonnés par la différence entre la perception des marées noires en mer et en eaux douces", relève Jacky Bonnemains, son président."L'une des explications est sans doute que les pollutions en rivière sont emportées par le courant vers l'aval. Le fleuve est un lieu de transit et n'appartient à personne. La plage est un terminal pour la marée noire et elle est considérée comme un bien public", poursuit-il.Dans son Atlas, l'association souligne que ces pollutions condamnent faune et flore "à une triple peine": "le colmatage et l'engluement, la longue dégradation de l'habitat et la bioaccumulation de micropolluants toxiques et persistants comme les métaux lourds".L'association considère comme "marée noire" tout "déversement d'hydrocarbure" (pétrole brut, carburants, huiles, solvants...) dans un cours d'eau.Le bilan a été largement réalisé à partir d'articles de la presse régionale faisant état de ces pollutions et de leurs causes, a expliqué à l'AFP Christine Bossard, chargée de campagne."Il est évident qu'il y a beaucoup de pollutions qui ne sont pas connues", précise-t-elle.Par ailleurs, si certaines régions semblent épargnées, comme la Corse ou la zone entre Marseille et Nice, cela peut signifier qu'aucune pollution n'a eu lieu, ou plus probablement pour Christine Bossard qu'elle s'est déroulée dans "l'indifférence" des médias et populations locales.Parmi les causes identifiées de ces marées noires, l'Atlas cite en premier lieu les accidents impliquant des poids lourds dont la citerne ou le réservoir se percent, le carburant se répandant jusqu'à des cours d'eau.La deuxième cause est la "maintenance dégradée, la vétusté ou l'abandon des cuves à fioul de chauffage". Les pollutions par hydrocarbures d'origine industrielle passent de la première à la troisième place.Suivent les pollutions d'origine agricole comme les vidanges intempestives de cuves à fioul ou à gazole et enfin, le dégazage lié au transport et tourisme fluvial."Compte tenu des incertitudes des évaluations et de l'absence de quantification pour les 2/3 des déversements connus, Robin des Bois estime à 5.735.000 de litres le volume d'hydrocarbures rejetés dans les eaux douces sur les trois dernières années", précise M. Bonnemains.cls/jca/hj Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 mars 2011 < QUITO, 13 mars 2011 (AFP) - Trois sites touristiques de la réserve naturelle des Galapagos ont été endommagés par les vagues déclenchées de l'autre côté de l'océan Pacifique par le séisme de vendredi au Japon, ont annoncé dimanche les autorités de ces îles au large de l'Equateur.> Au site dit d'El Garrapatero (Santa Cruz), où se trouvait une lagune utilisée par des flamands, les vagues ont balayé la bande de sable qui la séparait de la mer et qui servait aussi de lieu de nidification naturelle pour des tortues marines. Les nids ont été détruits, a précisé le PNG.Sur Santa Cruz, les vagues sont entrées jusqu'à 400 mètres à l'intérieur des terres, provoquant des inondations et des dommages, par exemple sur un quai d'accostement, mais pas de victimes.Le président équatorien Rafael Correa avait décrété vendredi matin l'état d'exception et ordonné l'évacuation des personnes situées dans des zones à risque.Les tortues d'un centre d'élevage sur l'île et d'autres espèces ont été évacuées dès l'alerte au tsunami vers des zones plus élevées de la réserve où les travaux de nettoyage des débris charriés par les eaux continuaient dimanche.L'archipel, situé à environ 1.000 km à l'ouest des côtes équatoriennes, est composé de 13 îles principales et 17 îlots. Il fait partie depuis trente ans des sites classés par l'UNESCO comme patrimoine naturel de l'humanité, pour la richesse particulière de sa faune et de sa flore maritime et terrestre. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 mars 2011 Le pollen est un vecteur de fertilité dont le transport est ferment d'amour, comme le montre le nouveau film de Disney Nature. La chronique de Serge Orru, du WWF. Sur les quelque 6000 langues vivantes répertoriées dans le monde, il en est une dont on parle peu alors même qu'elle a manifesté les premiers signes de vie sur Terre. Cette langue, plus exactement ce langage, est universel. C'est le langage de la Nature: la "pollinisation". De l'hémisphère nord à l'hémisphère sud, la pollinisation est pratiquée par de multiples espèces végétales et animales. Elle désigne le mode de reproduction des fleurs par le transport de leurs grains de pollen. Un transport assuré par le vent, l'eau mais aussi par les abeilles, les papillons, les oiseaux et les chauves-souris. L'histoire d'amour entre cette faune et les fleurs assure le maillage de la grande chaîne du vivant à laquelle nous appartenons. Le nouveau film de Disney Nature, Pollen, en salles à partir du 16 mars 2011, nous raconte cette histoire. Son réalisateur Louie Schwartzberg lève le voile sur les mondes fantastiques des pollinisateurs que nos sociétés urbaines ont perdus de vue. Guidés par la butineuse voix de Mélanie Laurent de Mélanie Laurent, nous nous sentons davantage responsables devant ce cinémascope de la Nature empreint de magie et de beauté. En cela, Pollen est un film écologiste. Il apporte les clés de compréhension d'un langage qui unit les hommes entre eux et avec la planète. Il est une métaphore en sons et images de ce Tout dont nous faisons partie. Or qu'est-ce que l'écologie si ce n'est aussi l'art des relations humaines, l'aspiration à un monde finalement plus humain, en harmonie avec la Nature? Tirant partie des dernières avancées technologiques en matière de cinéma numérique, le film nous réconcilie avec l'idée du progrès mis au service ici de l'environnement par la sensibilisation du grand public. La pollinisation permet le bon fonctionnement des écosystèmes dont bénéficie... Lire la suite sur LEXPRESS.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 mars 2011 Le dévastateur tsunami engendré vendredi au Japon par un violent séisme, a sur son chemin frappé les îles Galapagos. Plusieurs sites touristiques de l'archipel équatorien, dont Charles Darwin avait étudié la biodiversité, ont été endommagés. Trois sites ont été particulièrement affectés par le passage de la vague meurtrière et destructrice, dont deux sur l'île de San Cristobal, et un sur celle de Santa Cruz, a indiqué la direction du Parc national des Galapagos (PNG), rapporte le site Canoë. Le tsunami a atteint les îles en début de soirée pour pénétrer jusqu'à un demi-kilomètre à l'intérieur des terres. Barques et bateaux de pêcheurs ont été emportés, comme les maisons de 260 familles. A Santa Cruz, sur le site d'El Garrapatero, une lagune où vivaient des tortues marines qui nidifiaient sur la bande de sable qui la séparait de la mer, a été balayée par le tsunami. Tous les nids qui s'y trouvaient ont été détruits. Sur cette même île, la vague a atteint la Station Darwin, centre d'incubation et d'élevage des tortues qui, créé en 1964, a permis de sauver plusieurs espèces menacées de disparition. Mais la plupart des reptiles ont pu être évacués à temps vers des zones plus élevées de la réserve en grande partie détruite. Situé à 1.000 kilomètres environ à l'ouest des côtes équatoriennes, l'archipel des Galapagos comptes treize îles et dix-sept îlots. Depuis trente ans, il est classé au patrimoine mondial de l'Unesco pour la faune et la flore exceptionnelles qu'il abrite. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 mars 2011 Encouragée par le réchauffement climatique, la fonte du glacier Colonia engendre de multiples inondations dans la région d'Aysen, en Patagonie chilienne. Les habitants de la région vivent sous la menace d'une catastrophe venant des montagnes qui les entourent. Cette situation est mise en lumière dans un article publié par la revue Nature, et rapporté par le site Actualités news environnement. Depuis le printemps 2008, la région d'Aysen a déjà connu sept évènements catastrophiques, des jökulhlaup, (course de glacier en islandais). Le lac Cachet 2, situé sur le glacier Colonia, a vu à chaque fois, et en quelques heures seulement, ses 200 millions de m3 d'eau drainés dans le lac et le fleuve Colonia. Transportée dans la confluence de ce fleuve avec le Baker, l'eau s'est transformée en une immense vague allant jusqu'à 25 kilomètres en amont, et 100 kilomètres en aval, vers l'Océan Pacifique, engendrant alors de graves inondations dont les dernières remontent au 4 mars dernier. Pour le glaciologue Gino Casassa, chercheur au Centre pour les Études Scientifiques de Valdivia (CECS), l'origine de ces phénomènes est l'ouverture et la fermeture d'un tunnel naturel formé par l'eau fondue à huit kilomètres sous le glacier Colonia, et reliant le lac Cachet 2 au lac Colonia. Une situation aggravée par le réchauffement climatique. "Les glaciers de la Patagonie en général ont diminué de volume au cours des dernières décennies" explique le glaciologue. Or "les lacs augmentent aux dépends de la glace et génèrent des situations dans lesquelles il y a un danger de drainage. Dans le cas du glacier Colonia, cet amincissement a affaibli le barrage naturel que constitue le glacier", souligne-t-il. Face à cette menace constante, des stations de surveillance du niveau de l'eau ont été mises en place à Cachet 2, dans le lac Colonia et le Fleuve Baker. Pour les experts, le drainage répété du lac ne cessera pas avant que la glace ait assez fondu pour créer un canal de drainage permanent. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 mars 2011 BERLIN, 28 mars 2011 (AFP) - Une fillette de 7 ans a découvert un boa constricteur dans la cuvette de ses toilettes, a rapporté lundi la police allemande.> Les autorités sont toutefois arrivées trop tard pour capturer l'animal, qui a disparu dans les tuyauxAprès examen de la photo, les autorités ont affirmé que le serpent n'était pas dangereux pour les humains, mais il n'était sûr pour autant que les habitants de l'immeuble veuillent utiliser leurs toilettes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 mars 2011 < ATTENTION - Avec source Tepco ///> Il s'agit du plus haut niveau mesuré d'iode 131 depuis le début de la catastrophe déclenchée le 11 mars par un très fort séisme suivi d'un tsunami.Dimanche avait été annoncé un taux d'iode radioactif 1.850 fois supérieur à la norme légale dans l'eau prélevée à quelque centaines de mètres de Fukushima.Depuis le début de l'accident, toujours en cours, la centrale japonaise a rejeté de nombreux produits radioactifs, principalement de l'iode et du césium, transportés par les milliers de tonnes d'eau qui ont été déversées par les secours pour refroidir les installations et dont une partie a nécessairement ruisselé dans le Pacifique tout proche après ce "lessivage".Selon Tepco et l'Agence de sûreté nucléaire nippone, cette radioactivité relâchée dans la mer se dilue avec les marées et le risque sur les algues et les animaux marins n'est pas important.Mais selon d'autres spécialistes, ces rejets radioactifs dans l'océan Pacifique seront sans conséquence majeure à l'échelle planétaire, mais ils pourraient avoir un impact notable, voire durable, sur la vie marine au large de la centrale japonaise.Les techniciens qui luttent depuis bientôt vingt jours pour éviter une catastrophe majeure à Fukushima sont entravés dans leurs opérations par des nappes d'eau fortement radioactive qui ont envahi des salles et des galeries techniques.Ils sont confrontés à un cercle vicieux: il est vital de refroidir les réacteurs, mais plus ils utilisent d'eau, plus les nappes radioactives augmentent. Et moins ils injectent d'eau, plus la température augmente dans les réacteurs.kdf-seb/gca/ple Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 avril 2011 PARIS, 3 avr 2011 (AFP) - En 20 ans, 40 milliards de dollars ont été dépensés pour préserver la nature, mais jamais les espèces n'ont disparu à un taux aussi rapide: Arte explore mercredi les contradictions mais aussi les espoirs liés à la conservation de la nature.> "En 20 ans, 40 milliards de dollars ont été dépensés au nom de la préservation de la nature, mais, en parallèle, le taux de disparition des espèces a été multiplié par 10 et les espaces naturels ont fondu de 2 millions de km2", dit le réalisateur Bernard Guerrini dans le film.Jamais aussi présent, le concept de "conservation" apparaît parfois "trouble", ajoute-t-il, évoquant ces réserves naturelles qui confondent parfois protection des animaux et affaires, ou les difficultés de recenser certains insectes qui ne bénéficient pas des mêmes égards que les "stars" de la biodiversité que sont les bébés phoques, les tigres ou les primates"L'emphase mise sur certaines espèces charismatiques occulte la préservation d'espèces moins nobles, souvent plus indispensables aux grands équilibres naturels", regrette le réalisateur dans ce film de 90 minutes réalisé en partenariat avec le Muséum national d'Histoire naturelle et l'ONG Pro-NaturaC'est au coeur de la forêt malgache que le réalisateur déniche l'action la plus aboutie en matière de "conservation"A l'initiative de l'ONG "L'homme et l'environnement", la protection des arbres y va de pair avec un développement économique des communautés locales grâce à l'exploitation "raisonnable" de plantes aux vertus médicinales"Il n'y a pas de protection sans mettre l'homme au centre", en conclut le réalisateur.Le documentaire sera diffusé par Arte (mercredi à 20h40) dans le cadre d'une programmation spéciale "Développement durable", du 4 au 9 avril. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 avril 2011 La couche d'ozone, qui protège la Terre des rayonnements ultraviolets, a enregistré une diminution record ces derniers mois au-dessus de l'Arctique, a déclaré mardi l'Organisation météorologique mondiale (OMM). "La diminution d'ozone (...) a atteint un niveau sans précédent au-dessus de l'Arctique ce printemps en raison de la présence constante de substances réduisant l'ozone dans l'atmosphère et d'un hiver très froid dans la stratosphère", a déclaré l'OMM dans un communiqué.Stephanie Nebehay, Jean-Stéphane Brosse pour le service français Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites