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Informations IFAW

Messages recommandés

http://www.ifaw.org/ifaw_france/index.php

Le Commissaire européen à l’Environnement, Monsieur Janez Potočnik, témoigne son soutien aux baleines.

Le Commissaire Janez Potočnik s’est arrêté au stand d’IFAW lors de cette “semaine verte” annuelle qui se tenait à Bruxelles afin d’en apprendre davantage sur les différentes menaces auxquelles sont confrontées les baleines. Alors qu’il posait pour la photo 'whale tail' témoignant de son soutien aux baleines, les chargés de campagne d’IFAW lui ont expliqué que la proposition actuelle soumise par la Présidence de la CBI favorisait les chasseurs – non les baleines. Celle-ci balaie 60 ans de mesures de conservation en faveur des baleines mises en place par la CBI, marginalise la science, lève le moratoire sur la chasse commerciale des baleines et le sanctuaire baleinier de l’Océan austral. Témoignez votre soutien pour la protection des baleines en prenant votre propre photo et en visitant www.tailsforwhales.org



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Des milliers de cartes postales ‘Eléphants’ remises au Commissaire à l’Environnement de l'Union Européenne



Le 22 mars dernier, les voix de 31 000 sympathisants d’IFAW à travers l'Europe ont été entendues de manière ferme et claire.

Le Dr Eve Abe, Chargée de campagne pour les ‘Eléphants’ au sein du bureau d’IFAW à Bruxelles, a présenté au Commissaire à l’Environnement de l'Union Européenne, Janez Potocnik, 31 000 cartes postales (dont plus de 5 000 provenant de France) écrites et envoyées par des sympathisants attentionnés et passionnés. Ces cartes postales visent à encourager l'Union Européenne à s'opposer, de toute urgence, à tout commerce de l’ivoire ainsi qu’à toute initiative cherchant à affaiblir la protection des éléphants.



CRISE: Les éléphants ont besoin de votre aide!


20 ans après l’instauration de l’embargo sur l’ivoire, les éléphants traversent de nouveau une crise car deux pays souhaitent rouvrir le commerce de l’ivoire en vendant leurs stocks.

IFAW maintient que TOUTE vente d’ivoire stimule le braconnage en offrant aux braconniers une couverture leur permettant de vendre leur ivoire illicite. Ce constat est corroboré par les 23 pays africains membres de la Coalition pour l’éléphant d’Afrique, lesquels oeuvrent avec ténacité pour protéger certaines des populations d’éléphants les plus menacées au monde. Ces derniers ont besoin du soutien de l’UE dans leur combat contre le braconnage. IFAW pense que les récentes ventes d’ivoire à destination du Japon et de la Chine ont provoqué une augmentation importante des saisies d’ivoire illicite et une recrudescence du braconnage condamnant ainsi certains pays comme le Sénégal et la Sierra Léone à faire le deuil de leurs éléphants. Seule une interdiction totale du commerce de l’ivoire permettra de sauver cette espèce emblématique.

L’UE a le pouvoir de sauver les éléphants en adoptant une position ferme lors de la prochaine réunion de la CITES (Convention sur le commerce des espèces menacées) en mars. Un vote en faveur d’une interdiction totale du commerce de l’ivoire est vital pour sauver l’éléphant.

Prendre des mesures :
http://e-activist.com/ea-campaign/clientcampaign.do?ea.client.id=100&ea.campaign.id=5698

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411 tortues terrestres d’espèces menacées rapatriées à Madagascar après leur saisie en Malaisie






411 tortues terrestres comptant parmi trois espèces les plus trafiquées, menacées et rares (Astrochelys radiata ou tortue radiée, Pyxis arachnoides ou tortue araignée et Astrochelys yniphora ou tortue à soc) quitteront aujourd’hui la Malaisie où elles avaient été saisies, pour retrouver leur pays d’origine, Madagascar, annoncent aujourd’hui la SOPTOM (Station d'Observation et de Protection des Tortues et de leurs Milieux - www.villagetortues.com) et IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org).

Illégalement collectées dans leur habitat naturel à Madagagascar, ces tortues, dont le commerce international est proscrit en raison de leur inscription à l’Annexe I de la CITES, étaient destinées à alimenter les marchés publics en Chine lorsque les sacs dans lesquels elles étaient entassées ont été interceptés à l’aéroport de Kuala Lumpur (Malaisie) en juillet dernier.

La SOPTOM, qui gère le Village des Tortues d’Ifaty, dans le Sud de Madagascar, s’est naturellement intéressée à cette saisie et a œuvré auprès des autorités tant malgaches que malaises pour que ces animaux menacés et rares puissent être rapatriés vers leur pays d’origine, dans leur habitat naturel. « Les ressources naturelles de Madagascar sont pillées un peu plus chaque jour pour alimenter des trafics de grande ampleur. Il est donc crucial de favoriser le rapatriement d’espèces endémiques telles que ces tortues afin de démontrer que la faune malgache doit rester in natura et ne peut être l’objet d’aucun commerce » indique Bernard Devaux, Secrétaire général de la SOPTOM.

Planifiée aujourd’hui, cette vaste opération financée conjointement par la SOPTOM et IFAW est aussi soutenue par Turtle Survival Alliance et Durrell Wildlife Conservation trust. Les tortues seront transportées par la compagnie Air Mauritius dans des caisses (construites par les Parcs Nationaux malais) jusqu’à la capitale malgache d’Antanarive, où celles-ci seront accueillies par les autorités dont le Ministre de l’Environnement des Eaux et Forêts et du Tourisme de Madagascar en personne, Monsieur Randriarimanana.

Elles rejoindront ensuite le Village des tortues d’Ifaty où elles seront placées en quarantaines-nurseries isolées durant 12 mois et seront soumises à un contrôle sanitaire poussé avant d’être relâchées au sein des 7 ha qu’offre ce village.

« La collaboration des autorités malaises et malgaches pour favoriser ce rapatriement est exemplaire. Cependant elle ne doit pas s’arrêter là. Seule une coopération renforcée et une meilleure coordination entre les deux pays permettra de lutter efficacement contre ces trafics à destination de l’Asie », souligne Céline Sissler-Bienvenu, Responsable du bureau français d’IFAW.

Source : IFAW

22/10/2010

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Au moment où je vous écris ces lignes, des chiens de l'île de Bali en Indonésie sont menacés d'une mort horrible en raison d'une violente épidémie de rage.

La réaction initiale du gouvernement a été de tuer les chiens : 100 000 sont déjà morts, généralement empoisonnés à la strychnine, qui cause une mort terriblement lente et douloureuse. Les animaux se tordent dans d'horribles souffrances pendant des heures, parfaitement conscients tandis que le poison se répand dans leur corps et que leurs poumons cessent de fonctionner.

Après un long combat, le gouvernement a finalement accepté de stopper le massacre et d'essayer de mettre en place une campagne de vaccination contre la rage. Mais nous manquons de temps : nous devons prouver au gouvernement que la vaccination, plutôt que l'abattage, est le seul moyen de contrôler cette horrible maladie.

Notre fenêtre d'action est étroite : nous devons vacciner 70 % des 400 000 chiens de Bali avant que le gouvernement ne change d'avis.

Merci de faire un don pour notre projet de lutte contre la rage à Bali.

Votre don aidera tant d'animaux menacés de maladies, de négligence, de souffrance et de mauvais traitements, comme ces chiens innocents de Bali.

Un meilleur moyen de contrôler la rage

Il ne fait aucun doute que la rage est une terrible maladie, aussi bien pour les chiens que pour les humains.

Mais de tels massacres d'animaux sans discrimination sont incroyablement cruels ET sont inefficaces pour contrôler la maladie.

Les épidémies de rage ne peuvent être maîtrisées que par des campagnes de vaccination menées de manière humaine. En fait, l'Organisation mondiale de la santé recommande de vacciner 70 % de la population de chiens en expliquant que c'est le SEUL moyen de contrôler une épidémie de rage.

La dernière chance des chiens de Bali

Cher(e) ami(e) , nous n'aurons pas d'autres occasions de faire ce qu'il faut à Bali. Nous devons prouver qu'il est possible de stopper cette épidémie de rage de manière humaine ; si nous échouons, le gouvernement pourrait recommencer à empoisonner les animaux.

Évidemment, je ne pourrais pas supporter de voir d'autres chiens mourir, c'est pourquoi j'ai déjà envoyé 50 000 $US pour lancer un programme de vaccination à l'échelle de l'île entière sous l'égide du projet local WSPA/BAWA. L'équipe d'IFAW à Bali, Indonesian Animal Welfare, a déjà vacciné les chiens dans deux villages et travaillera avec la BAWA pour apporter un soutien sur le terrain afin de s'assurer que l'île tout entière sera couverte.

Aujourd'hui, tous ces chiens ont besoin de vous.

Avec votre aide, nous pouvons atteindre notre objectif de protéger tous les chiens de Bali de la rage. Ensuite, nous pourrons utiliser notre succès à Bali pour montrer à d'autres pays que les campagnes de vaccination, et non des massacres de masse brutaux, sont la manière la plus efficace et la plus humaine de réagir à une épidémie de rage.

Si vous avez déjà eu l'occasion d'apprécier l'amitié d'un chien, alors vous savez qu'ils peuvent être des compagnons pleins d'amour et de loyauté. Ils méritent un meilleur sort que d'être victimes d'une maladie pourtant évitable ou condamnés à une mort atroce par empoisonnement à la strychnine.

Je sais que vous préoccupez des animaux autant que moi, et je sais que vous contribuerez à sauver la vie de ces chiens désespérés et des animaux sans défense partout dans le monde.

Faites un don aujourd'hui : http://www.kintera.org/TR.asp?a=jkISK4POLhKVKmL&s=%5B%5Ben_supporter_id%5D%5D&m=%5B%5Ben_MailID2%5D%5D

Avec toute ma gratitude,

Fred O'Regan
Directeur Général d'IFAW

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IFAW réclame instamment un plan de sauvegarde des tigres ambitieux






Alors que les dirigeants des pays abritant des tigres se réunissent ce mois-ci à St Petersbourg en Russie pour élaborer un plan général visant à sauver l’une des espèces les plus menacées au monde, IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) exhorte les gouvernements à intensifier leurs efforts pour infléchir le trafic de parties et produits dérivés du tigre.

« Le braconnage stimulé par le marché noir est la menace majeure qui pèse sur les tigres » a indiqué Fred O’Regan, Directeur Général d’IFAW. « Si les gouvernements n’appliquent pas strictement les interdictions existantes et ferment les yeux sur le commerce du tigre, nous pouvons dire adieu à l’une des plus magnifiques espèces au monde. »


La population de tigres sauvages s’est effondrée de 97% au cours du siècle dernier, passant de 100 000 individus en 1900 en Asie à quelques 3 000 tigres sauvages aujourd’hui.

« Les tigres sont prisonniers d’un cercle vicieux » a indiqué Grace Ge Gabriel, Directrice de la zone Asie pour IFAW. « Le braconnage alimente le marché noir des tigres morts, puis le commerce de parties et de produits dérivés du tigre à leur tour stimulent la demande des consommateurs, ce qui revient à favoriser toujours plus le braconnage. »

L’étendue du commerce illicite des tigres a été mise en évidence le mois dernier par l’arrestation de 25 personnes suspectées de trafic de parties de tigres suite à des raids menés dans six pays de l’aire de répartition des tigres et coordonnés par INTERPOL dans le cadre d’une opération qui aura duré deux mois. Plus de 50 kilos d’os de tigres, comprenant des squelettes et des crânes ont été saisis.

Infléchir le commerce des parties de tigre et éradiquer le braconnage seront deux des questions clés débattues au sommet de St Petersbourg, où les gouvernements des 13 derniers pays à abriter ces animaux tenteront d’arriver à un accord sur un plan global coordonné pour sauver les tigres de l’extinction. Avec l’objectif ambitieux de doubler la population de tigres sauvages dans les 12 années à venir, la stratégie reposera sur des plans d’action nationaux et un engagement commun pour améliorer la conservation des habitats majeurs des tigres dans les pays de son aire de répartition. Il sera question aussi d’action transnationale pour lutter contre le commerce via une meilleure application de la loi et la réduction de la demande des consommateurs.

« C’est peut être notre dernière chance de nous assurer que les discussions et les plans se traduiront bel et bien en une réelle protection des tigres sur le terrain », précise Fred O’Regan.

IFAW est aux avant-postes de la lutte pour la protection des tigres en œuvrant pour mettre fin à tous les types de commerce de parties de tigre et autres produits dérivés, en réduisant la demande des consommateurs, en formant des rangers à la lutte anti-braconnage et en renforçant les capacités, et enfin en protégeant leur habitat.

Source : IFAW
22/11/2010

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Un tigre de l’Amour, rare, abattu par des braconniers en Sibérie






Un tigre de l’Amour (ou tigre de Sibérie), une espèce rare, a été abattu hier par des braconniers près de Vladivostock en Russie. Le tigre a été découvert par une patrouille anti-braconnage d’IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) dans le district de Khasan dans la province de Promorie. Cette zone de la Russie extrême-orientale frontalière de la Chine abrite les 300 à 400 derniers tigres de l’Amour.

Les rangers du Khasan ont arrêté quatre braconniers présumés lesquels étaient en possession du tigre mort, un mâle de 5 ans en bonne santé. Un des braconniers, blessé par l’animal, est actuellement hospitalisé. Les trois autres ont été remis à la police pour un interrogatoire. Si leur culpabilité est avérée, ils risquent une peine maximale de trois ans de prison et une amende de 20 000$.


“Ce crime tire le sonnette d’alarme” a indiqué Masha Vorontsova, Directrice d’IFAW en Russie. « Nous ne pouvons pas sauver les tigres si nous ne combattons pas le braconnage rampant qui est la seule et unique menace majeure pour la survie de cette espèce. »

Les gouvernements des 13 pays de l’aire de répartition du tigre se réuniront la semaine prochaine à Saint-Pétersbourg en Russie pour élaborer un plan global coordonné visant à sauver les tigres de l’extinction. Avec l’objectif ambitieux de doubler la population de tigres sauvages dans les 12 années à venir, la stratégie reposera sur des plans d’action nationaux, un engagement commun pour améliorer la conservation des habitats essentiels aux tigres et la lutte contre le braconnage existant qui est alimenté par le commerce des parties et produits dérivés du tigre.

« Ce sommet est celui de la dernière chance pour les tigres » souligne M. Vorontsova. « Nous devons nous assurer que les discussions et les plans se traduiront bel et bien en une action concrète et efficace et en des accords engageants pour préserver les tigres sur le terrain. »

L’étendue du commerce illicite des tigres a été mise en évidence le mois dernier par l’arrestation de 25 personnes suspectées de trafic de parties de tigres suite à des raids menés dans six pays de l’aire de répartition des tigres et coordonnés par INTERPOL dans le cadre d’une opération qui aura duré deux mois. Plus de 50 kilos d’os de tigres, comprenant des squelettes et des crânes ont été saisis.

IFAW est aux avant-postes de la lutte pour la protection des tigres en œuvrant pour mettre fin à tous les types de commerce de parties de tigre et autres produits dérivés, en réduisant la demande des consommateurs, en formant des rangers à la lutte anti-braconnage et en renforçant les capacités, et enfin en protégeant leur habitat.

Source : IFAW
22/11/2010

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La mort d’un tigre réintroduit dans la réserve de Sariska tire la sonnette d’alarme selon le Ministre






Le Ministre Indien de l’Environnement et de la Forêt, Jairam Ramesh, a qualifié de sonnette d’alarme la mort récente du premier des 5 tigres réhabilités lors de la réintroduction historique de l’espèce dans la réserve de Sariska dans l’Etat Indien du Rajasthan, au nord du pays. Il a pris un certain nombre de mesures pour assurer l’avenir de l’espère dans la réserve.

Il prévoit, dans un avenir proche, un déplacement des populations humaines et la réintroduction d’un nouvel individu à cette population de tigre réintroduite..


« Cet événement tire la sonnette d’alarme pour nous” selon les propos du Ministre rapportés par un journal. “Les six à huit prochains mois seront cruciaux. Nous devons agir rapidement et nous assurer que toutes nos initiatives sont mises en œuvre correctement pour que le programme de relocalisation qui vise à rétablir une population de tigre dans la réserve de Sariska soient un succès.”

La réserve de Sariska qui avait perdu sa population entière de tigres en 2005, compte 28 villages et plus de 10 000 habitants.

Le gouvernement indien a débloqué 300 millions de roupies (487 millions d’euros) pour faciliter le déplacement des populations humaines hors de la réserve de tigres. De plus, afin d’augmenter la viabilité de la population réintroduite, un individu supplémentaire sera bientôt réintroduit dans la réserve.

Le programme de réintroduction des tigres a été initié en 2008 et depuis, 5 tigres dont celui retrouvé mort ont été réintroduits en provenance de la réserve de tigres de Ranthambhore. Le tigre découvert mort, un mâle, était le premier individu à avoir été réintroduit. Il serait mort empoisonné. Une enquête à grande échelle est diligentée.

Afin de renforcer le suivi et la protection des tigres, le Ministre a appelé à l’utilisation de technologies plus pointues alors même que deux dirigeants du département Forestier ont été remplacés selon toute vraisemblance.

« Très récemment un tigre a été abattu par des braconniers dans la zone de Khasan, en Russie extrême orientale, et maintenant c’est l’Inde qui est touchée. Ceci est un avertissement pour tous les pays de l’ère de répartition des tigres comme pour ceux qui veulent les sauver. C’est aussi un sinistre rappel des menaces qui pèsent sur les tigres sauvages dans le monde. Alors que les dirigeants se réunissent pour le Sommet international du Tigre qui doit se tenir à Saint-Pétersbourg en Russie, nous les exhortons à reconnaître les menaces qui pèsent sur les tigres, et à s’attaquer à la question sur le terrain” a déclaré Vivek Menon, Directeur régional de la zone Asie du Sud d’IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) et Directeur exécutif de WTI (Wildlife Trust of India).

Source : IFAW
22/11/2010

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http://www.ifaw.org/ifaw_france/media_center/press_releases/11_23_2010_68888.php
Sommet du tigre : les enfants du monde entier et Yuan Xikun, ambassadeur de l’art chinois, appellent à agir


23 Novembre 2010
(St.-Pétersbourg) - Alors que les gouvernements des 13 pays de l’aire de répartition du tigre se réunissaient hier dans un palais historique de Saint-Pétersbourg en Russie pour entamer trois jours de discussion au plus haut niveau pour s’accorder sur un plan général de sauvegarde des tigres, ils ont été accueillis par les messages vidéos d’enfants du monde entier enregistrés par IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) dans plus de 15 pays lors des six derniers mois.

Que ce soit par des chuchotements, des cris, des rugissements ou des déclarations émouvantes, les enfants des pays de l’aire de répartition des tigres en Asie - notamment la Russie, l’Inde, la Chine et l’Indonésie - ont été rejoints par des jeunes d’Amérique, d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient pour appeler les participants du Sommet International du Tigre à prendre position, à s’engager et à « sauver les tigres ! »
« Cela rend humble d’entendre ces enfants, parlant des langues différentes, prononcer leur propre message pour les tigres. Et pourtant tous ces enfants parlent d’une seule et même voix quand vous recoupez leurs messages » a déclaré, Azzedine Downes, Directeur adjoint d’IFAW présent au Forum du tigre. « Si nos enfants grandissent dans un monde sans tigre, qu’est ce que cela dira sur nous ? »
Les vidéos sont émouvantes et perspicaces. Le message d’un enfant australien, « Quand tu abîmes une partie de la nature, tu abîmes une partie de toi-même » a trouvé un écho dans les constats faits par les gouvernements en ouverture du Forum.
« Les gens doivent réaliser que si les animaux restent dans leur habitat, la forêt, alors cet écosystème restera intact » a déclaré le Ministre Népalais des Forêts, Deepak Bohara lors d’une conférence de presse après son discours au Sommet. « Ce sont non seulement les tigres qui bénéficient des programmes de conservation, mais aussi les populations d’hommes qui vivent à proximité des tigres. »
Parallèlement, l’artiste et sculpteur de renommée internationale, Yuan Xikun a participé avec IFAW à l’ouverture du Sommet du tigre en exposant spécialement des peintures de tigres dans le palais historique qui accueille le Sommet. Une douzaine de ses puissantes peintures de tigre qui mêlent calligraphie chinoise traditionnelle et art occidental resteront exposées durant tout le sommet pour inspirer la volonté et l’engagement nécessaires à l’action pour protéger les tigres de la perte de leur habitat, du braconnage, et du commerce illégal.
“Je suis engagé pour la protection des tigres depuis plus de 40 ans et c’est peut-être là notre dernière chance de les sauver de l’extinction” a déclaré Mr. Yuan. Ses œuvres ont fait le tour du monde comme autant d’ambassadrices de la protection de la nature et des animaux, en allant des éléphants aux rapaces, en passant par les ours polaires et les tigres. En 2007, il a créé un tigre en bronze géant de 21 mètres de long et de 12 mètre de haut pour le zoo de Pékin. L’œuvre appelée « Le saint patron de la forêt » est considérée comme la plus grande sculpture de tigre du monde.
Mr. Yuan n’est pas étranger à la scène politique. Il a acquis une renommée internationale pour sa série de portraits et de sculptures des principaux dirigeants mondiaux comme Bill Clinton, Nelson Mandela ou Fidel Castro, lesquelles ont été exposées par les institutions, les gouvernements et les musées du monde entier. Ses œuvres sont souvent offertes comme des cadeaux officiels par le Premier Ministre chinois. M. Yuan fait aussi partie d’un comité citoyen consultatif de haut niveau consulté par le gouvernement chinois sur les questions politiques.
Aujourd’hui les chefs d’état rejoignent le Premier Ministre Vladimir Poutine pour une réunion du Forum au plus haut niveau durant laquelle les gouvernements des pays de l’aire de répartition devraient approuver le Programme international pour la protection du tigre (Global Tiger Recovery Program - GTRP) et donner lieu à une intervention ministérielle annonçant l’objectif ambitieux de doubler la population de tigres sauvages dans les 12 années à venir.
Le GTRP reposera sur des plans d’action nationaux et des engagements communs pour mieux conserver l’habitat des tigres dans les pays de l’aire de répartition, éradiquer le braconnage et le trafic de parties de tigres.
Les vidéos du programme Rugis ! Pour les tigres ont été filmées par IFAW comme un projet dédié à être présenté au Sommet et s’inscrivent dans le programme éducatif d’IFAW, la Semaine d’action pour les animaux, qui touche plus de 5 millions d’enfants dans le monde chaque année.
Au cours de ce sommet, IFAW présentera officiellement ses programmes éducatifs et la vidéo des enfants rugissant pour les tigres lors d’une table ronde du Sommet du tigre sur les meilleures pratiques dans les campagnes de sensibilisation du public concernant les tigres et les menaces auxquelles ils sont confrontées.

Relations médias: veuillez contacter:
Nancy Barr - (IFAW, Etats-Unis)
Tel: +1 508 744 2069
Mobile: +1 508 564 2427
Courriel: nbarr@ifaw.org

Céline Sissler-Bienvenu (IFAW, France)
Tel: + 03 26 48 29 20
Mobile: + 06 17 56 10 74
Courriel: csissler@ifaw.org

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Huit faucons gerfauts, une espèce rare, saisis à l’aéroport de Moscou






Lundi dernier, des douaniers ont saisi 8 faucons d’une espèce rare et menacée à l’aéroport international Sheremetyevo de Moscou, qu’un passager tentait de faire sortir de Russie, selon IFAW (Fonds International pour la protection des animaux – www.ifaw.org).

Les oiseaux (appelés Faucons gerfauts) ont été découverts dans deux cartons qui devaient être embarqués avec les bagages, dans la soute d’un avion à destination du Moyen- Orient. Ils étaient emmaillotés dans un tissu, encapuchonnés et rangés par quatre dans les cartons. La passagère qui a enregistré les cartons comme ses bagages a été débarquée et détenue avant d’être remise en liberté en attendant de comparaître devant le tribunal.


“Il est illégal de tuer, capturer ou de faire le commerce de ces oiseaux très menacés,” a déclaré Masha Vorontsova, Directrice d’IFAW en Russie. “Au moins 100 faucons gerfauts sauvages sont passés en contrebande hors de Russie chaque année, avant tout pour répondre à la demande issue de la popularité grandissante de la fauconnerie au Moyen-Orient.”

Un faucon gerfaut sauvage peut être vendu jusqu’à 50 000$ au marché noir, soit plus de 37 000€.

Les douaniers supposent que les 8 faucons gerfauts ont été capturés en Russie extrême-orientale puis transportés par avion à Moscou après avoir passé deux contrôles de sécurité et un contrôle douanier sans être détectés. Les oiseaux ont été découverts alors qu’ils étaient chargés dans la soute à bagages d’un avion à destination de Damas, en Syrie.

Les oiseaux ont été placés au centre de réhabilitation des rapaces à Moscou où ils seront soignés jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment vigoureux pour être relâchés dans la nature. L’ornithologue d’IFAW, Sergei Ganusevich, spécialiste de la réhabilitation d’oiseaux, a indiqué qu’il était confiant quant à la survie des 8 oiseaux qui devraient ensuite être ramenés au Kamtchatka pour être relâchés au cours du mois prochain. IFAW a réhabilité et relâché plusieurs douzaines de faucons gerfauts et d’autres espèces d’oiseaux de proie en danger durant les dix dernières années, la plupart d’entre eux ayant été victimes du commerce illégal.

"L’objectif d’IFAW est de protéger ces oiseaux rares des braconniers et des trafiquants, et de les rendre à leur habitat naturel" souligne Masha Vorontsova.

Les faucons gerfauts sont originaires de Russie extrême-orientale. Ils sont les plus grands et les plus forts de tous les faucons et sont très prisés depuis le Moyen-âge pour la fauconnerie. Il reste environ 1000 couples de faucons gerfauts à l’état sauvage en Russie, principalement près du cercle polaire, depuis la péninsule de Kola jusqu’à Chukotka et au Kamchatka. Avant l’hiver, les oiseaux migrent vers le sud en direction du Kamchatka.

Le faucon gerfaut est inscrit à la fois dans la liste rouge des espèces en danger de l’UICN et en annexe I de la CITES. Ce classement interdit tout commerce international de ces oiseaux. IFAW collabore avec la Russie afin d'aider son gouvernement à appliquer efficacement la réglementation de la CITES.

La contrebande d’oiseaux de proie rares depuis ou via la Russie est un problème croissant qui met en danger de nombreux rapaces tels que les faucons gerfauts et les faucons pèlerins.

Source : IFAW
01/12/2010

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Un troisième tigre est abattu alors que le Sommet du tigre s’achève à St-Pétersbourg






Moins de 15 jours après le braconnage d’un tigre en Russie extrême-orientale et l’empoisonnement d’un tigre au nord de l’Inde, un troisième tigre a été abattu il y a deux jours dans le nord-est de l’Etat indien de l’Assam.

Ces incidents mettent en lumière deux des menaces majeures qui pèsent sur les tigres à savoir le braconnage et les conflits homme/tigre, alors même que les autorités gouvernementales des pays de l’aire de répartition du tigre ont finalisé la mise en œuvre d’un plan général de sauvegarde de l’espèce.


La population de tigre a diminué de 97% au cours du XXème siècle et seuls 3000 d’entre eux survivent à l’état sauvage aujourd’hui dans des poches d’habitat dispersées en Asie.

"La mort de ces tigres démontre combien il est critique de traduire les mots en actes" a déclaré Fred O’Regan, Directeur Général d’IFAW dans son discours au Forum International du tigre accueilli par le Premier Ministre Russe, Vladimir Poutine. "IFAW œuvre sur le terrain en appuyant des formations de lutte contre le trafic et la mise en œuvre de moyens supplémentaires au profit des pays de l’aire de répartition du félin confrontés au défi difficile de protéger tant les tigres que les populations humaines qui vivent à proximité des réserves abritant ces animaux."

Les dirigeants des 13 pays de l’aire de répartition du tigre ont adopté un nouveau plan d’action général lors du sommet. Il repose sur des plans d’action nationaux qui identifient les activités de conservation du tigre à mener pour contribuer à l’objectif global visant à doubler la population de tigres sauvages d’ici à 2022.

Le nouveau plan d’action général sollicite l’aide du consortium d’organisations partenaires incluant IFAW, pour former les personnes de terrain des pays de l’aire de répartition du tigre à combattre les menaces qui pèsent sur les tigres, parmi lesquelles le braconnage et les conflits hommes/tigre. Il définit également des activités de collaboration internationale à conduire pour protéger l’habitat des tigres et mettre fin au commerce du tigre.

"Nous espérons que le sommet de St-Pétersbourg est un tournant pour les tigres en mobilisant la volonté politique nécessaire pour sauver cette espèce charismatique aux portes de l’extinction," précise O’Regan. "Mais c’est ce que nous ferons après le sommet en apportant les ressources adaptées aux personnes et aux communautés qui se trouvent en première ligne pour la conservation du tigre qui fera la différence – ou non – pour le sort des tigres sauvages."

IFAW a une grande expertise dans la formation de lutte contre le trafic des espèces sauvages, le renforcement des capacités, et le sauvetage de tigres sauvages blessés ou au cœur de conflits avec des communautés.

Le tigre, abattu il y a deux jours, alors en quête de nourriture dans un village de l’Assam en Inde, avait attaqué et tué deux personnes. IFAW et son partenaire, le Wildlife Trust of India, ont enté de l’endormir afin de le transporter hors du village après qu’il a tué une femme. Mais celui-ci, s’étant réfugié dans une maison, a été abattu par la police alors qu’il attaquait mortellement une autre personne dans sa tentative de fuir.

Cependant, cela ne doit pas faire oublier que de nombreux autres efforts de réhabilitation de tigres ont porté leurs fruits. En avril dernier, IFAW a assisté le Département forestier Indien pour capturer un tigre qui avait tué deux personnes et le relâcher dans le parc national de Manas. En 2008, un tigre tombé dans un puits a été endormi, réhabilité et relâché. En 2004, deux bébés tigres ont été capturés et déplacés après s’être aventurés dans des villages.

Source : IFAW
01/12/2010

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http://www.ifaw.org/ifaw_france/media_center/press_releases/12_6_2010_69063.php


La mission Mercy sauve des centaines de bébés manchots en danger


6 Decembre 2010
(Yarmouth Port, MA) - Les sauveteurs d’Afrique du Sud ont couru au secours de 415 bébés manchots en danger issus des colonies occupant les terres et les îles près de la ville du Cap en Afrique du Sud. Les jeunes manchots, abandonnés par leurs parents, risquaient de mourir de faim. Les poussins sauvés ont été emmenés à la Fondation d’Afrique australe pour la conservation des oiseaux côtiers (Southern African Foundation for the Conservation of Coastal Birds - SANCCOB) où ils seront nourris à la main pour une période approximative de six semaines avant d’être rendus à leur colonie. Deux cent trente six de ces poussins viennent de la colonie de Point, cent cinquante cinq de la presqu’île de Dyer, et vingt-quatre autres proviennent d’autres colonies. C’est le plus grand nombre de poussins dont la SANCCOB ait eu à s’occuper simultanément depuis 2007, quand 481 poussins abandonnés avaient été pris en charge. Cet effort s’inscrit dans le “projet de renforcement des bébé manchots” (Chick Bolstering Project ) soutenu par IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org), en partenariat avec SANCCOB et d’autres groupes de conservation. Depuis 2001, un total de 1 923 bébés manchots ont été admis au centre de SANCCOB, et en 2009, 86% des poussins issus de parents en mue qui ont été secourus ont été relâchés avec succès dans la nature. “Ce projet constitue une partie importante de l’effort de sauvegarde de la population de manchots africains,” a déclaré Neil Greenwood, chargé de campagne pour IFAW. “Les manchots africains sont une espèce capitale et il serait insensé de ne rien faire pour sauver les poussins lorsque cela est possible,” a-t-il ajouté. Dans plusieurs colonies de manchots, les poussins qui naissent tardivement dans la saison sont fréquemment abandonnés par leurs parents quand le temps se réchauffe et que la nourriture se fait rare. Le problème est exacerbé par le fait que les manchots adultes encore présents entament leur mue annuelle à cette période de l’année. Pendant la mue, ceux-ci perdent leur vieilles plumes en attendant que de nouvelles poussent. N’étant plus imperméables, ils ne peuvent plus nager, pêcher, ni se nourrir. “Nos recherches montrent que cet élevage à la main des manchots africains a des effets positifs significatifs sur la conservation des populations sauvages. En effet, les poussins, une fois relâchés, montrent une plus grande espérance de vie jusqu’à l’âge de la reproduction et une plus grande productivité que les oiseaux qui grandissent naturellement en liberté,” a indiqué Venessa Strauss, Directrice de SANCCOB. Les scientifiques ont observé un déclin de plus de 60% des populations de manchots africains en seulement trois générations, ce qui, en début d’année, a mené à reclasser l’espèce dans la catégorie des espèces en danger depuis la catégorie des espèces vulnérables sur la liste rouge de l’UICN des espèces menacées. La lutte contre le déclin catastrophique de la population de manchots et le lancement du projet de « renforcement des bébés manchots » inclut d’autres acteurs de la conservation, notamment le Zoo de Bristol, l’unité de démographie animale de l’université du Cap, le Musée de Roben Island et CapeNature

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Le Japon invité à rappeler sa flotte baleinière






IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) a invité le Japon à rappeler sa flotte baleinière suite à l’information selon laquelle ses navire-usines auraient quitté le port le 2 décembre pour l’Antarctique afin d’y harponner environ 1000 baleines.

Allant à l’encontre de l’opposition générale et de plusieurs lois internationales, la flotte baleinière du Japon fait route vers les sanctuaires vierges de l’Océan austral pour tuer jusqu’à 935 petits rorquals et 50 rorquals communs, une espèce en danger. De plus, le Japon n’a toujours pas officiellement abandonné ses projets visant à chasser 50 baleines à bosse, une espèce classée comme vulnérable.


Malgré l’interdiction internationale de cette chasse, le Japon chasse la baleine dans l’Antarctique sous prétexte de chasse scientifique.

Patrick Ramage, Directeur du Programme international sur les baleines d'IFAW, a déclaré: "Il n’y a, en pratique, aucune science dans la chasse à la baleine scientifique; en réalité la recherche sur les baleines vivantes nous fournit toutes les données requises pour percer les secrets de ces incroyables mammifères ».

"Le témoignage concret de la chasse à la baleine scientifique du Japon se résume à la viande en vente sur le marché au poisson à Tokyo et ailleurs au Japon, montrant ainsi que la chasse à la baleine scientifique est simplement une chasse commerciale qui ne dit pas son nom."

IFAW s’oppose à la chasse à la baleine car c’est une pratique cruelle et inutile. Il n’existe en effet aucun moyen humain de tuer une baleine. L’analyse des vidéos de la chasse à la baleine par des scientifiques d’IFAW a permis d’établir que les baleines pouvaient agoniser pendant plus d’une demi-heure.

Le gouvernement australien a déposé une plainte auprès de la Cour Internationale de Justice contre la chasse à la baleine menée par le Japon dans l’Océan Austral. IFAW appelle tous les gouvernements à engager l’action diplomatique la plus rigoureuse contre le Japon et à exiger qu’il mette fin à son programme de chasse à la baleine sur-le-champ. Le Japon a ignoré les précédents appels, il faudra donc une action bien plus radicale pour produire un effet.

P. Ramage a ajouté: "Continuer à chasser les baleines au 21ème siècle n’est pas digne d’une grande nation comme le Japon. Il y a tellement de pays dans le monde qui récoltent les fruits du seul usage vraiment durable que l’on peut faire des baleines, à savoir leur observation, qui génère le chiffre stupéfiant de 2.1 milliards de dollars par an soit plus de 1.58 milliards d’euros »

"Nous invitons le Japon à rejoindre la révolution que représente l’observation des baleines et à tourner le dos à l’industrie coûteuse et morbide qui entache sa réputation."

Le 4 novembre dernier, IFAW a mis en scène un événement dans le port de Darling à Sydney en Australie, en simulant des souffles de baleines, comme des écrans d’eau sur lesquels étaient projetés les faits horribles rappelant au public la cruauté de la chasse à la baleine du Japon.

Source : IFAW
20/12/2010

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Huit faucons gerfauts victimes de trafic relâchés en Russie extrême-orientale






L'IFAW a annoncé aujourd’hui que 8 faucons gerfaut, une espèce menacée, sauvés lors d’une tentative avortée de passage en contrebande à Moscou le mois dernier, ont été relâchés dans la nature avec succès. Avant leur relâché, les rapaces ont bénéficié de 4 semaines de réhabilitation et ont été transportés dans la péninsule du Kamchatka, l’une des zones d’hivernage du faucon gerfaut.

Ces faucons, très rares, ont été saisis par les douaniers le 21 novembre dernier à l’aéroport international Sheremetyevo de Moscou. Ils étaient emmaillotés dans un tissu, encapuchonnés et emballés à 4 par boite. Le passager qui a enregistré les cartons comme étant ses bagages personnels a été débarqué de l’avion à destination du Moyen-Orient et emprisonné.


“Nous sommes ravis d’aider ces merveilleux oiseaux à retourner à la vie sauvage et de contribuer à maintenir les populations de cette espèce gravement menacée” a déclaré Masha Vorontsova, Directrice d’IFAW en Russie. “C’est un événement heureux, mais nous devons continuer à travailler dur pour protéger une espèce qui est aujourd’hui plus vulnérable que jamais.”

Chaque année, on estime à 100 le nombre de faucons gerfaut illégalement capturés et transportés depuis la Péninsule du Kamchatka. Les faucons gerfaut, étant les plus grands et les plus forts des faucons, sont très prisés pour la fauconnerie avec une forte demande émanant des acheteurs du Moyen-Orient. Les faucons gerfaut sauvages peuvent se vendre jusqu’à 40 000 € au marché noir.

Aujourd’hui, on ne dénombre plus que 1 000 couples de faucons gerfaut vivant encore à l’état sauvage en Russie. Cette espèce figure à la fois sur la liste rouge des espèces en danger de l’UICN et en annexe I de la CITES. Ce classement interdit tout commerce international de ces oiseaux. IFAW collabore avec la Russie afin d'aider son gouvernement à appliquer efficacement la réglementation de la CITES et à relâcher les oiseaux dans leur habitat naturel.

IFAW a réhabilité et relâché plusieurs faucons gerfaut saisis en Russie et des centaines d’oiseaux de proie menacés dans le monde. La plupart avait été victimes du trafic d’espèces sauvages.

Source : IFAW
23/12/2010

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Le Sénat et la chambre des Etats-Unis votent une loi pour protéger les requins






Hier, le Sénat américain et aujourd’hui la Chambre ont voté à l’unanimité une loi qui, une fois promulguée, mettra définitivement fin à la pratique cruelle et non durable du « shark-finning » dans les eaux américaines, et qui encourage les autres pays à faire de même. Le shark- finning, cette pratique inhumaine qui consiste à sectionner à vif les ailerons des requins et à rejeter la carcasse à la mer, a été interdite par le Shark Finning Prohibition Act en 2000. Cette loi obligeait aussi les pêcheurs qui prélevaient les ailerons à conserver et à ramener à terre les requins amputés. Malheureusement, en raison de failles dans le texte de loi, l’interdiction du shark-finning a eu un impact mitigé.

Le Shark Conservation Act introduit par John Kerry (Sénateur démocrate du Massachussetts), devrait renforcer la loi anti-finning de 2000 en obligeant les pêcheurs à débarquer tous les requins entiers, à savoir avec les ailerons encore attachés à la carcasse. Le texte de loi s’applique à tout navire déchargeant des ailerons de requins et pas uniquement les bateaux de pêche.


“C’est une victoire considérable dans le combat mené pour sauver les populations de requins de la disparition et de la cruauté dont ils sont victimes entre les mains des chasseurs d’aileron,” a déclaré Fred O’Regan, Directeur Général d’ IFAW (le Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org). “Grâce au travail et au leadership de John Kerry depuis 10 ans, de grands progrès ont permis de garantir la protection des requins dans nos eaux.”

“Nous pouvons être fiers que le Congrès se soit élevé pour protéger les requins de ce massacre cruel et inutile,” a ajouté Fred O’Regan.

Les conservationnistes, scientifiques et organismes d’application des lois ont reconnu la nécessité d’une approche plus stricte pour mettre en œuvre une interdiction totale du shark-finning et collecter les données nécessaires à la surveillance des populations de requins en déclin. La loi sur le débarquement des requins entiers va considérablement simplifier les efforts de contrôle. Compte tenu de la valeur des ailerons de requin, les navires autres que les bateaux de pêche sortaient des eaux américaines du Pacifique, achetaient des ailerons de requins aux pêcheurs de requins puis les livraient dans les ports américains. La nouvelle interdiction de transfert ou de transport d’ailerons seuls comblera la brèche existante dans la loi actuelle qui permettait cette pratique.

Enfin, et pour amplifier l’effort international visant à protéger les requins, le Shark Conservation Act de 2009 amende le High Seas Driftnet Fishing Moratorium Protection Act pour demander au Secrétaire au Commerce d’établir une liste des nations qui n’ont pas adopté un programme de régulation pour la conservation des requins comparable à celui des Etats-Unis. Cette nouvelle disposition promeut une protection internationale des requins d’une manière cohérente grâce à l’obligation faite aux pêcheurs américains.

Les organismes de régulation fédéraux avaient fait un pas en avant en requérant que les requins soient déchargés à terre avec leur aileron sur toute la côte atlantique, mais la même exigence n’avait pas été observée dans le Pacifique. La loi passée hier devrait garantir une politique cohérente et similaire dans toutes les eaux américaines.

“Plus de la moitié des espèces de requins sont menacées de disparition, ce qui pourrait avoir des répercutions drastiques et complexes sur l’écosystème marin,” a déclaré Jeffrey Flocken, Directeur du bureau d’IFAW à Washington DC. « Garantir une meilleure protection des requins contre la chasse aux ailerons à la fois dans les océans Atlantique et Pacifique est un grand pas en avant pour garantir la survie de ces espèce en situation critique. »

Le Shark Conservation Act va maintenant être soumis à la signature du Président Barack Obama.

Le 16 décembre dernier, le Parlement Européen a pour sa part produit une résolution sur la shark-finning qui demande à la Commission d’interdire l’amputation des requins à bord des bateaux et la remise à la mer des carcasses.

Les requins ont une croissance lente, une période de fécondité tardive et mettent au monde un nombre réduit de petits ce qui fait d’eux une espèce particulièrement vulnérable à la pêche abusive.

Source : IFAW
23/12/2010

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IFAW relache 5 elephanteaux orphelins, secourus en Inde






Aujourd’hui, IFAW transfère 5 éléphanteaux – les représentants d’une espèce menacée- , sauvés et élevés par l’homme, depuis le centre de secours de Kaziranga vers le parc national de Manas dans l’état de l’Assam, au nord-est de l’Inde.

Organisé par IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) et son partenaire, la Wildlife Trust of India (WTI), le relâcher s’inscrit dans l’effort actuel visant à intégrer des éléphants orphelins au sein de hardes sauvages à Manas. Ce travail délicat est mené avec le soutien du département forestier de l’Assam et le Conseil Territorial de Bodoland (BTC).


Les éléphanteaux, une femelle et quatre mâles âgés de 3 à 6 ans, ont été sauvés dans diverses circonstances et proviennent de différents endroits de l’Assam. Tous ces éléphanteaux ont été séparés de leur harde d’origine, soit à l’issue de conflits avec l’homme, de déplacement pour cause d’inondations, ou de leur présence dans des champs de thé. Ne pouvant être réintégrés à leur harde, ces derniers ont été accueillis au centre.

Les éléphants ont été élevés par des vétérinaires et des soignants d’IFAW et de la WTI. Ils ont été nourris au biberon, réunis pour faciliter la création de liens sociaux et ont été promenés en forêt pour leur permettre de gambader et de s’y nourrir en liberté. Avant leur départ, les éléphanteaux ont été chargés sur des camions dimanche puis transportés vers le parc national de Manas pour une acclimatation in situ.

A Manas, le comportement individuel des éléphants et les interactions entre eux et avec les éléphants sauvages seront attentivement observés et enregistrés. Une fois que les éléphants seront totalement détachés de leurs soigneurs puis relâchés dans la nature, ils seront surveillés par des colliers-émetteurs.

“Nous sommes très heureux de voir ces éléphants évoluer dans les forêts du Parc National de Manas. C’est un pas important vers leur réintégration à leur milieu naturel mais il reste néanmoins de nombreux obstacles à franchir. Notre programme de ‘remise en liberté en douceur’ permettra aux éléphants de devenir peu à peu pleinement autonomes, à leur rythme,” a déclaré Ian Robinson, le directeur de l’équipe de Secours d’Urgence d’IFAW.

Cette translocation d’éléphanteaux vers le parc de Manas à l’issue d’un programme de réhabilitation est la troisième à être réalisée. Auparavant huit éléphanteaux avaient fait l’objet d’un déplacement réussi et à ce jour, quatre d’entre eux vivent en liberté et ont de toute évidence été acceptés par des hardes sauvages. Ce projet est une des initiatives de conservation mises en œuvre conjointement par les autorités et IFAW-WTI dans le cadre des efforts déployés pour rendre à Manas sa gloire passée.

“Manas a toujours été une zone de conservation prioritaire, comme l’indique son statut de parc national, de réserve de tigres et de site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Après avoir survécu à une longue période de guerre civile durant laquelle, entre autres pertes, sa population entière de rhinocéros a été décimée, et face à la menace de perdre son statut de patrimoine mondial de l’humanité, le parc de Manas regagne maintenant son aura grâce à des initiatives proactives du gouvernement et de la société civile,” souligne Vivek Menon, Directeur Général de WTI.

En 2006, les rhinocéros ont été réintroduits à Manas pour la première fois depuis l’extermination de la population locale. En plus de la réintroduction des rhinocéros et de la réhabilitation d’autres espèces emblématiques comme le tigre et l’éléphant, IFAW et WTI ont aussi assisté le département forestier et les autorités de BTC en matière d’activités de conservation dans les communautés, de formation et d’équipement des personnels en première ligne, et de soutien au organisations de conservation de terrain.

Source : IFAW
07/02/2011

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IFAW appelle l’Union Européenne à s’engager dans la lutte contre le trafic d’espèces animales alors que 40 kg d’ivoire ont été saisis à Paris






Les Douaniers français ont saisi 40kg d’ivoire chez un particulier à Paris le 8 mars 2011. Les 40 kilos d’ivoire comprenaient plusieurs statuettes représentant des guerriers, des figurines religieuses, des Bouddhas mais aussi des défenses d’éléphants. IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) salue cette prise mais rappelle qu’il s’agit juste de la partie émergée de l’iceberg.

"Chaque année des milliers d’éléphants sont braconnés pour leur ivoire. Ce que l’on a constaté à Paris n’est qu’un aperçu d’un des plus grands trafics au monde" a déclaré Lesley O’Donnell, Directrice du bureau européen d’IFAW." Ce trafic prend son origine en Afrique où des milices organisées et des gangs se livrent au braconnage d’éléphants et revendent l’ivoire pour financer leurs activités illicites qui le mènent en Chine, au Japon, et incontestablement en Europe."


Le coût humain du trafic d’ivoire en Afrique est considérable. Chaque année de nombreux rangers des parcs nationaux périssent en tentant de protéger les éléphants des braconniers équipés d’armes de guerre.

Les éléphants sont une espèce centrale de l’écosystème, dont l’importance est vitale pour protéger l’intégrité de la biodiversité d’une région. L’évolution du braconnage indique qu’ils pourraient bien être rayés de la carte dans certaines régions.

Bien qu’IFAW a déjà formé plus de 10 000 agents de protection de la faune sauvage dans le monde, il reste beaucoup à faire.

"L’Union Européenne doit s’impliquer encore plus dans le combat contre le commerce global d’espèces animales," poursuit Lesley O’Donnell. "Nous avons besoin d’une meilleure application des législations en matière de commerce de la faune sauvage en Europe, nous demandons instamment à l’Union Européenne de prendre la tête d’un mouvement international qui condamne tout assouplissement des législations relatives au commerce de l’ivoire et d’aider les pays africains qui demandent de l’aide dans cette guerre contre la contrebande de la faune sauvage."

Source : IFAW
20/03/2011

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Un massacre sanglant tue 30 éléphants en quatre jours au Tchad

http://www.ifaw.org/ifaw_france/media_center/press_releases/04_15_2011_70095.php


15 avril 2011
(Reims, France) - Une tragédie vient de frapper le Tchad où 30 éléphants ont été retrouvés morts en début de semaine, dépourvus de leurs défenses, celles-ci ayant été retirées par les braconniers. Ces derniers auraient aussi abattu un militaire qui tentait de protéger les éléphants.

Ces éléphants ont été tués entre samedi dernier et mardi en début de semaine.
Ce nouveau massacre porte au moins à 150 le nombre d’éléphants tués pour leur ivoire dans la région du Logone oriental au sud du Tchad au cours des 12 derniers mois. On estime que la population d’éléphants du Tchad s’est effondrée de près de 40% passant de 4 000 individus en 2006 à environ 2 500 d’après le plus récent dénombrement effectué en 2010. Ces animaux ont principalement été braconnés pour leur ivoire.
Céline Sissler-Bienvenu, directrice de la région Afrique francophone pour le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW – www.ifaw.org) souligne que des groupes de braconniers très bien armés et organisés traversent régulièrement la frontière Sud du Tchad (laquelle est partagée avec le Cameroun, la Centrafrique et le Soudan) en quête d’éléphants.
“L’ivoire est exporté illégalement hors d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest pour alimenter les marchés en Asie et en Europe, et très souvent, l’argent récolté aide à financer l’achat d’armes qui serviront dans le cadre de conflits régionaux, à l’image de ce qui se passe dans la région du Darfour, au Soudan et en Centrafrique,” précise Sissler-Bienvenu.
La lutte contre le braconnage est un défi permanent pour le Tchad qui est l’un des pays les plus pauvres et les plus corrompus au monde, la majeure partie de sa population vivant sous le seuil de pauvreté.
Sissler-Bienvenu considère que la seule réponse permettant de mettre fin à ces attaques sanglantes contre les éléphants du Tchad et les autres éléphants menacés d’Afrique, est de réduire la demande pour l’ivoire, notamment en Chine, et s’assurer que les rangers des pays de l’aire de répartition de l’éléphant reçoivent la formation adéquate et l’équipement nécessaire pour affronter les braconniers professionnels.
“Depuis 2009, IFAW finance des projets d’appui à la lutte anti-braconnage (évaluation des besoins, formation pratique, équipement) auprès des rangers et autorités en charge de la conservation dans les pays d’Afrique centrale qui rencontrent d’importantes difficultés à mettre fin à ce trafic sanglant et cruel qu’est celui de l’ivoire,” déclare Sissler-Bienvenu.
“Désormais, ce dont ont besoin ces pays, c’est que la communauté internationale s’engage durablement à soutenir financièrement ces rangers formés et motivés afin qu’ils parviennent efficacement à protéger leurs éléphants.”
Compte tenu des problèmes de sécurité au Tchad, à ce jour, IFAW n’a pas encore été en mesure d’apporter son appui à la lutte contre le braconnage qui y sévit. Dès que la situation le permettra, IFAW se rapprochera du gouvernement tchadien afin de lui proposer son aide.
Il y a deux semaines, les douaniers thaïlandais ont saisi plus de deux tonnes de défenses d’éléphants africains représentant la prise d’ivoire illicite la plus importante de ces dernières années – les 247 défenses, estimées à 2,8 millions d’euros étaient cachées dans une cargaison de poissons congelés en provenance du Kenya. Une analyse ADN est actuellement en cours afin d’identifier l’origine réelle de cet ivoire.

NOTE: La Chine et le Japon ont acheté 108 tonnes d’ivoire lors d’une vente unique en novembre 2008 au Botswana, à l’Afrique du Sud, à la Namibie et au Zimbabwe. Ces ventes légales fournissent toute la couverture nécessaire à l’expansion du commerce illégal de l’ivoire. IFAW dirige des projets d’appui à la lutte anti-braconnage pour protéger les éléphants là où ils vivent.
C’est pourquoi, outre le travail réalisé pour améliorer les politiques et en sus du soutien apporté aux rangers et aux patrouilles de lutte contre le braconnage dans les parcs nationaux de Tsavo (Kenya) et de Liwonde (Malawi) entre autres, IFAW a développé un programme d’appui à la lutte anti-braconnage dispensé par une équipe d’experts.
Nous nous concentrons sur les pays d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest soumis à une forte pression de braconnage contre laquelle ces Etats souhaitent lutter. Notre équipe d’experts en évaluation du braconnage entreprend d’abord une évaluation des besoins en matière de lutte contre le braconnage dans un lieu spécifique pour identifier les contraintes locales et les besoins en équipement. Avant d’envoyer son équipe sur le terrain, IFAW négocie un accord avec le gouvernement qui définit les termes de l’intervention d’IFAW et lui délivre son autorisation.

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Saisie d’ivoire massive en Chine : le commerce illégal de l’ivoire prospère



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http://www.ifaw.org/ifaw_france/media_center/press_releases/4_20_2011_70114.php


(Bruxelles, Belgique) - Une saisie d’ivoire massive, décrite comme une des plus importantes de l’histoire avec pas moins de 707 défenses, 32 bracelets d’ivoire, et une corne de rhinocéros a été effectuée la semaine dernière par des douaniers chinois lors d’une inspection de routine.

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