Topic des faits divers

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Publié le 31/08/2010 09:39 | F.Ab
Saint-Alban. Un vendeur ambulant braqué
vol
Un commerçant a été violemment pris à partie, dans la nuit de samedi à dimanche, à Saint-Alban, par des individus armés de battes de base-ball. Les agresseurs ont mis la main sur envrion 1000 € en espèce avant de prendre la fuite. En état de choc, la victime a été prise en charge par le secours et conduite à l'hôpital. Ses jours ne sont pas en danger.

Samedi soir, après le match de rugby au Stadium, le commerçant ambulant rejoint son domicile, à Saint-Alban, après avoir passé la soirée aux abords de l'enceinte sportive pour vendre des sandwiches et des boissons. Une activité commerciale qu'il a l'habitude d'exercer à bord d'un camion pour chaque manifestation sportive ou culturelle. Mais arrivé devant chez lui, l'homme est agressé par quatre individus qui n'hésitent pas à le frapper avec des battes de base-ball. Les agresseurs exigent la recette de la soirée et prennent aussitôt la fuite. L'enquête a été confiée à la gendarmerie. En novembre 2009, une jeune femme avait été agressée par des individus à Portet-sur-Garonne alors qu'elle ramenait la recette de la buvette du Stade-Toulousain, aux Sept-Deniers. Les malfrats avaient alors mis la main sur 35 000€. Début août, les gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse-Mirail ont interpellé deux individus qui ont été écroués à la suite de cette affaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/31/897274-Saint-Alban-Un-vendeur-ambulant-braque.html

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Publié le 31/08/2010 08:00 - Modifié le 31/08/2010 à 08:21 | Fabrice Vironneau
Bébé défenestré : le dossier médical de la mère examiné
drame



Cécile , ici accompagnée de sa sœur, se trouve toujours à l'hôpital. /Photo DDM, archives, Michel Viala. Cécile, 34 ans, est toujours hospitalisée d'office à l'hôpital de Purpan à Toulouse. Cette femme est fortement soupçonnée d'avoir jeté, jeudi, son nourrisson par la fenêtre de son appartement. Les enquêteurs s'intéressent de près à son passé médical.

Fortement soupçonnée d'avoir jeté son nourrisson par la fenêtre de son appartement du centre ville de Toulouse, jeudi soir, Cécile, 34 ans, est toujours hospitalisée d'office. « Cela n'arrête pas le cours de la Justice », expliquait, vendredi, le procureur de la République, Michel Valet. Durant le week-end, il a requis la mise en examen pour homicide volontaire aggravé. Toutefois, les enquêteurs de la brigade criminelle doivent encore patienter pour entendre la jeune mère. Compte tenu de la complexité du dossier, un collège de médecins experts, tous extérieurs au ressort de la cour d'appel de Toulouse, pourrait intervenir dans le dossier. Ils seraient chargés de se prononcer sur l'état psychique et surtout sur la responsabilité pénale de la jeune femme. De leur côté, les policiers s'intéressent de près à son passé médical. Un point sur lequel le procureur de la République, contacté hier, s'est refusé à faire le moindre commentaire. Cécile aurait ainsi bénéficié depuis peu d'un traitement médical lourd pour pallier ses problèmes psychiatriques. Des médicaments qu'elle aurait pris de manière aléatoire ces derniers jours. Au courant de son état très fragile, son proche entourage ne s'en serait pas réellement rendu compte. La jeune femme est décrite par de rares voisins comme « resplendissante », comme une « belle femme enceinte ». Selon sa famille, elle désirait son enfant et voulait mener sa grossesse à terme. Un avis que ne partageaient apparemment pas les médecins chargés de son suivi. Devant certaines difficultés rencontrées par la jeune femme, ces derniers auraient préféré provoquer l'accouchement 15 jours avant le terme. Cette intervention a-t-elle déclenché chez elle un nouveau trouble psychologique ? Les enquêteurs tentent également de savoir si toutes les précautions ont été prises par la communauté médicale pour assurer le suivi de la jeune maman. Quoi qu'il en soit ce dossier, dramatique, va très rapidement être pris dans un véritable bras de fer entre les différents experts médicaux qui seront chargés de l'examiner.


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Le père reprenait son travail
Le jour du drame, jeudi dernier, le compagnon de Cécile, un jeune médecin toulousain reprenait son activité. Conscient de la fragilité de son épouse, il avait demandé à sa mère de passer une partie de la journée dans leur appartement. Elle est venue jusqu'à 13 heures. En fin d'après-midi, c'est la propre sœur de Cécile qui s'est présentée à la porte. Elle a frappé durant près de 30 minutes sans résultat. Contactée, la belle-mère est rapidement revenue sur place et a réussi à ouvrir la porte d'entrée. Les deux femmes ont vite compris que le drame qui venait de se produire.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/31/897210-Bebe-defenestre-le-dossier-medical-de-la-mere-examine.html

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Édition du lundi 30 août 2010
AudeUn homme tué par balles à son domicile

Julien FITTE



« C’est vrai que c’est suspect, mais cela ne veut pas dire qu’il a été abattu ». Francis Battut, le procureur de la République de Carcassonne, restait hier soir très prudent sur les circonstances dans lesquelles un homme de 42 ans a trouvé la mort, la semaine dernière, dans un appartement du centre-ville.

Le corps d’Abderhamane Zelmati a été découvert dimanche en début d’après-midi, après que l’un de ses voisins de la rue Chartran, en centre-ville, inquiet, eut donné l’alerte. La victime, visiblement décédée depuis plusieurs jours, a été retrouvée dans les toilettes de son logement du troisième étage.

Un premier examen de son corps ne laisse pourtant guère de doute sur l’origine du drame : les traces d’au moins deux balles ont été relevées, l’une dans la tête, l’autre dans l’épaule. Selon plusieurs voisins, le crime aurait pu être commis dans la nuit de jeudi à vendredi. « Vers 2 h 30, j’ai entendu du bruit et je me suis mis à la fenêtre, raconte un habitant de ce quartier à la vie nocturne parfois agitée. J’ai vu deux hommes bizarres qui essayaient de rentrer dans l’immeuble par la porte, puis qui sont passés par derrière. Ensuite, je les ai vus se cacher derrière un container à poubelle quand une voiture est passée à vive allure dans la rue.»
L’enquête a été confiée à la division criminelle du Service régional de police judiciaire, qui a envoyé plusieurs enquêteurs sur place, afin d’en savoir plus sur la personnalité de la victime.

La fouille de l’appartement a permis de découvrir deux armes à feu, un revolver et un fusil, plus de 2 000 euros en liquide, des traces de produits stupéfiants, ainsi que des éléments relatifs à une comptabilité.

Officiellement Rmiste, l’homme travaillait semble-t-il occasionnellement en discothèque et était connu à Carcassone comme consommateur et revendeur de produits stupéfiants.

Les policiers de l’identité judiciaire sont restés dimanche soir jusqu’à minuit sur les lieux du crime, afin d’y prélever tout indice et élément susceptible de faire progresser l’enquête, qui pourrait s’orienter vers la piste d’un règlement de comptes lié au trafic de stupéfiants.


François BARRÈRE, Yannick BONNEFOY

http://www.midilibre.com/articles/2010/08/30/A-LA-UNE-Un-Carcassonnais-tue-par-balles-a-son-domicile-1364340.php5

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Édition du lundi 30 août 2010
Aix-en-ProvenceDerrière le meurtre atroce de William Modolo, la toxicomanie

AFP



Les cinq personnes accusées d'avoir torturé à mort William Modolo, 21 ans, en mai 2006, ont en partie reconnu hier leurs responsabilités et présenté, pour certains, de timides regrets face à la famille du jeune homme effondrée par la litanie de souffrances qu'il a subies.

« Je reconnais ce qui m'est reproché et je voulais demander pardon à la famille de William pour tout ce qu'on a fait », a notamment déclaré Jean-Pierre Planqueel, 31 ans, considéré comme le chef du petit groupe qui, pendant plusieurs heures, a torturé à mort le jeune homme.

Planqueel est accusé d'assassinat mais également d'actes de torture ainsi que d'avoir violé la victime avec des bouteilles de bière, tout comme Franck Julien, 39 ans, qui a reconnu « avoir arraché des dents » à William Modolo. « J'étais sous alcool, défoncé », a-t-il dit, réfutant cependant l'accusation de viol. « Je n'ai pas sodomisé William », a-t-il précisé, ajoutant : « Je tiens à demander pardon à la famille, c'est tout, voilà ». Le troisième homme du groupe, Arnaud Frapech, 30 ans, accusé de complicité d'assassinat et d'actes de torture, a déclaré qu'il avait sa « part de responsabilité dans ce qui s'est passé ». Mais, dans la foulée, il a estimé n'avoir eu qu'une « petite dispute » avec William, « indépendamment du reste ». « Je le considérais comme un ami et je n'avais aucune raison de lui faire de mal ». Aurélie Piteux, 24 ans, la compagne de Planqueel, a, quant à elle, refusé d'endosser une quelconque responsabilité dans ce qui s'est passé : « Je reconnais que j'étais présente mais je n'ai pas violenté William ». Barbara Jean-Louis, 28 ans, accusée de complicité d'assassinat et de non-empêchement de crime, a très brièvement reconnu les faits, la voix nouée. Enfin, le cas d'un dernier accusé, Lucien Boursier, 57 ans, a été disjoint.

Les membres de la famille « veulent plus de précisions, cela ne suffit pas de dire : "On s'excuse, on reconnaît tout" », a déclaré Me Monique Touitou, avocate des proches. « Ils attendent de savoir tout ce qu’ils ont fait à leur fils et surtout de comprendre car c’est là le vrai problème : il n’y a pas de mobile, il n’y a que des prétextes futiles, insignifiants » pour expliquer les crimes, a-t-elle ajouté.

Les six accusés ont connu des parcours chaotiques. Complètement désocialisés, voire sans domicile fixe ou en rupture complète avec leur milieu familial, les accusés étaient pour la plupart de très importants consommateurs de drogue (cocaïne et cannabis, notamment) et d’alcool.

Selon les résultats de l’autopsie, William Modolo avait été violé, blessé à plusieurs reprises par un instrument « piquant ou tranchant», tabassé avec différents objets. Sa peau avait été brûlée à plusieurs endroits et douze de ses dents avaient été arrachées.
Verdict attendu le 10 septembre.

http://www.midilibre.com/articles/2010/08/30/A-LA-UNE-Derriere-le-meurtre-atroce-de-William-la-toxicomanie-1364342.php5

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Coupures d'électricité, routes endommagées : l'ouragan Earl est passé lundi 30 août près de Saint-Martin et Saint-Barthélemy en provoquant d'importants dégâts, et ses vents soufflant à 200 km/h menaçaient désormais Porto Rico.

Saint-Martin et Saint-Barthélémy frappées par l'ouragan Earl Agrandir la photo La ministre de l'outre-mer française, Marie-Luce Penchard, a affirmé lundi qu'elle 'n'avait pas de connaissance de pertes humaines, selon un premier bilan' établi à 21 heures, heure française, pour les deux îles. L'oeil du cyclone est passé dans la matinée de lundi à une cinquantaine de kilomètres seulement de Saint-Martin. Mme Penchard, qui se rendra dans les deux collectivités d'outre-mer dès 'mardi matin', a fait état de dégâts matériels importants. Le réseau routier de Saint-Martin est endommagé par des 'chutes d'arbres' et 'la moitié des habitants sont privés d'électricité'. L'approvisionnement en eau potable de la collectivité est stoppé car 'l'usine de dessalement serait touchée', selon Mme Penchard.

A Saint-Barthélemy, la gare maritime, le quartier flamand et l'hôtel de la collectivité seraient inondés. En Guadeloupe, EDF comptait lundi matin 4 000 abonnés privés d'électricité. 'Il s'agit d'une première évaluation', a souligné la ministre de l'outre-mer, qui va 'estimer les besoins' lors de son déplacement prévu jusqu'à jeudi au moins et débloquer les crédits d'urgence et le fonds de secours de l'outre-mer.

'Les vents soufflent tellement fort que les gens ne peuvent pas encore sortir', a-t-elle affirmé dans la soirée. 'Nous avons de l'eau partout, il y a des projectiles qui volent et ceux qui sortiraient mettraient leurs vies en péril', avait affirmé peu avant Jacques Simonnet, le préfet-délégué auprès des collectivités d'outre-mer de Saint-Martin et Saint-Barthélemy.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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Mardi après-midi, vers 16 heures, le conducteur d’une ambulance privée a perdu le contrôle de son véhicule sur l’autoroute A6, au nord de Pouilly-en-Auxois, en Côte-d'Or.

Une femme de 77 ans qui se trouvait dans l’ambulance est morte sur le coup.

Un autre passager de l’ambulance, un homme de 47 ans, a été héliporté, dans un état grave, vers le CHU de Dijon.

Les gendarmes du peloton autoroutier de Pouilly-en-Auxois ont ouvert une enquête pour connaître les circonstances exactes de ce dramatique accident.

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Le Pont Saint-Laurent à Grenoble, après le drame du 23 août 2010. (Max PPP)

Le 22 août, vers 22 heures, en plein centre de Grenoble, une jeune femme de 19 ans, désespérée parce que son petit ami l’avait quittée, s’est jetée du pont Saint-Laurent, dans l’Isère.

Jean Ferrante, 53 ans, s’est alors précipité dans la rivière pour lui porter secours.

Ce bon nageur est mort noyé, emporté par les remous, rappelle Le Dauphiné Libéré.

La jeune femme suicidaire avait été ramenée à terre par les secours, saine et sauve, avant d’être transportée en soins psychiatriques à l’hôpital de Grenoble.

Le corps de Jean Ferrante a été retrouvé ce mardi, dans l’Isère, à hauteur de la commune de Saint-Martin-le-Vinoux, à quelques kilomètres de Grenoble.

Le corps a été formellement reconnu par les proches de la victime.

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C’est le fils de ce quinquagénaire qui a alerté les gendarmes.

Vivant en Ariège, il n’avait plus de nouvelles de son père depuis un certain temps.

Quand les gendarmes ont pénétré dans le ce logement situé au premier étage d’un immeuble résidentiel, à Bouguenais, dans la banlieue de Nantes, ils ont découvert le corps momifié de cet homme de 57 ans.

Ce quinquagénaire, porteur d’une pile cardiaque, était mort, dans l’indifférence totale, depuis deux ans, selon la gendarmerie.

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Le 14 août, au matin, cette femme âgée de 62 ans, avait été retrouvée, rue de Cambrai, près du canal de l’Ourcq, dans le 19ème arrondissement de Paris.

La sexagénaire, ensanglantée et pieds nus, avait été découverte « vêtue d’un simple caleçon et d’un tee-shirt ».

Selon la Police judiciaire, « elle présentait de multiples lésions laissant penser qu’elle avait été victime d’une agression violente ».

La victime, qui aurait été violée, est toujours hospitalisée.

En état de choc, elle n’a toujours pas été entendue par les enquêteurs.

L’enquête de voisinage dans l’entourage de la victime n’a rien donné, précise 20Minutes.

Les enquêteurs du 2e district de police judiciaire (DPJ) ont lancé un appel à témoins demandant à «toute personne susceptible d'avoir des renseignements» sur cette agression, de bien vouloir contacter l'Etat-major de la PJ au 01 45 44 31 82.

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Cannes, Alpes-Maritimes. Ce vrai contrôleur des impôts a quelques problèmes… Samedi, il a quitté l’hôtel du Cannet où il se trouvait sans régler la note de 250 euros, raconte Nice

Le contrôleur des impôts quitte l'hôtel sans payer Agrandir la photo Il ne manque pourtant pas de moyens et ses précédents séjours dans plusieurs établissements hôteliers de Nice et de Cannes se seraient bien passés. L’homme est particulièrement costaud. Il a été récemment muté des Yvelines pour un poste sur la Côte d’Azur, d’après ce journal.

Le gérant du dernier hôtel où il est passé à Cannes a mené son enquête auprès des taxis. Il a pu ainsi le localiser. Les policiers l'ont cherché calmement.

Aux officiers qui l’interrogeaient, il a déclaré qu’il étai parti de l’hôtel parce qu’il y était «bombardé de radiations, attaqué par des ondes électromagnétiques émanant du voisinage». Le psychologue qui l'a examiné a confirmé qu’il présente des troubles importants du comportement.

Il a donc été hospitalisé d’office au service psychiatrique de l’hôpital de Cannes, selon Nice Matin.

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http://fr.news.yahoo.com/63/20100905/tfr-il-tabasse-sa-femme-et-son-bb-de-22-019dcf9.html

ben c'est pas cher payé

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Une septuagénaire retrouvée indemne après sept jours passés dans la forêt


Une femme âgée dehttp://www.ladepeche.fr/article/2010/09/06/900594-Une-septuagenaire-retrouvee-indemne-apres-sept-jours-passes-dans-la-foret.html

78 ans portée disparue depuis le 29 août en Haute-Savoie a été retrouvée saine et sauve. Une femme âgée de 78 ans portée disparue depuis le 29 août en Haute-Savoie a été retrouvée saine et sauve samedi après sept jours et six nuits passés dans une forêt sans manger, et en buvant un peu d'eau de pluie tombée sur des feuilles. La septuagénaire, Michèle Riotton, qui avait quitté son domicile d'Armoy (Haute-Savoie) le dimanche 29 août était tombée au cours de sa promenade en forêt dans un ravin escarpé où elle a été retrouvée samedi, vers 9 h30, par des habitants partis à sa recherche. « Il a plu dimanche soir, lundi et la nuit suivante. Pire, la température bascule largement en dessous des 10°C la nuit et elle n'était vêtue que d'un pull », raconte le maire de la commune d'Armoy, Laurent Rabhi.

Michèle Riotton était connue dans le village pour avoir l'habitude de faire deux à trois heures de marche chaque jour. « C'est une personne très alerte », assure Florence Frossard, conseillère municipale d'Armoy, qui a participé aux premières recherches.

« Vraiment, tout le village a participé aux recherches, et hier (samedi, ndlr) c'était l'émotion », a déclaré Florence Frossard, conseillère municipale d'Armoy. Souffrant de quelques contusions, la septuagénaire miraculée a été admise samedi au centre hospitalier de Thonon-les-Bains.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/06/900886-Trompe-la-mort-foudroye-cinq-fois-en-neuf-ans-et-toujours-vivant.html

Un agriculteur cubain a survécu à cinq impacts de foudre en neuf ans, a rapporté dimanche le site digital Cubadebate.

Jorge Marquez, du village de La Julia, dans la province de Las Tunas (est), a raconté avoir été foudroyé une première fois le 5 juillet 1982 au volant de son tracteur: "Cela m'a perforé les tympans, m'a brûlé la peau du dos et m'a arraché les plombages des molaires", a-t-il dit.

Puis, en 1987, par deux fois la foudre l'a rattrapé, avant un nouvel impact l'année suivante, suivie d'un cinquième en 1991, a assuré Jorge Marquez, un "ancien" du village, dont la maison a elle été touchée 15 fois par la foudre en deux ans.

"Je crois que suis aimanté. Généralement, les personnes sur qui tombe la foudre en meurent et moi, on dirait que mon corps accepte cette puissance divine, même si ses effets font très mal", a-t-il commenté.

Transporté inanimé à l'hôpital les deux première fois, Jorge Marquez ne s'est plus évanoui les suivantes, bien que, a-t-il dit, il a eu "très mal aux articulations et aux voies respiratoires".

"Les deux dernières fois, c'était plus faible, pas parce qu'elle (la foudre) était tombée plus loin, mais plutôt parce qu'on dirait que mon corps s'y est habitué", a-t-il dit.

Jorge Marquez dit aussi avoir lu récemment qu'un garde-forestier américain avait été frappé sept fois par la foudre.

"Si c'est un record, je n'ai aucune envie de le battre", a-t-il plaisanté.

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Le petit garçon de 6 ans a fait une chute de plusieurs mètres mardi. Les raisons de sa chute ne sont pas encore connues.

Il est décédé des suites de ses blessures ce mercredi, rapporte France Bleu.

Selon les premiers, l'enfant a été laissé seul par sa maman qui était partie faire des courses. Les parents pourraient être poursuivis pour défaut de surveillance, précise toujours France Bleu.

Plus d'informations dans quelques minutes sur Le Post.fr.

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Dimanche au petit-matin, quand cette femme de 45 ans est revenue au domicile conjugal, à Montigny-le-Bretonneux, dans les Yvelines, son mari l’a mortellement poignardée de trois coups de couteau.

La quadragénaire a été transportée, dans un état grave, à l’hôpital George-Pompidou, à Paris, où elle est décédée.

Selon les premiers éléments de l’enquête, cette femme revenait de chez son amant, où elle avait passé la nuit.

Le mari jaloux a été interpellé et placé en garde à vue.

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Pour avoir défendu une de ses élèves, ce prof de sport s'est fait tabasser par quatre ados, lundi, à Beaubreuil près de Limoges, en Haute-Vienne.

Les jeunes, âgés de 13 à 14 ans, ont été rapidement interpellés et vont être présentés devant un juge pour enfant ce jeudi après-midi.

"Ils devraient être mis en examen pour 'violences volontaires en réunion sur personne chargée d'une mission de service public'", nous rapporte le procureur de la République de Limoges.

Une enquête est conduite par la Sûreté départementale de la police de Limoges, rapporte La Montagne.

Que s'est-il précisément passé? Quelles sont les raisons de l'altercation?

Contacté, ce jeudi, par Le Post, Michel Garrandaux, procureur de la République de Limoges et Jean-Louis Lobstein, inspecteur académique de Limoges, reviennent sur les faits.

Tout commence lundi pendant un cours de gymnastique durant lequel trois anciens élèves du collège Firmin Roz de Beaubreuil lancent des insultes contre une collégienne qui aurait refusé de leur donner son numéro de téléphone.

"Ils ont provoqué la jeune fille en affirmant: 'les blondes c'est toutes des putes'", nous raconte, le procureur de Limoges.

"Ils lui ont jeté des pierres avant de lui donner de nombreux coups de pieds et de poings", raconte le procureur. Le professeur de sport intervient dans la bagarre et parvient rapidement à y mettre fin. "D'autre passants sont également intervenus pour calmer le jeu", nous rapporte l'inspecteur académique de Limoges.

"L'enseignant décide d'interrompre son cours et se dirige vers le collège", nous indique le procureur de Limoges. C'est sur la route de l'établissement que les trois jeunes et un autre élève du collège agressent le prof de sport par derrière. "L'enseignant reçoit à son tour des coups de pieds et de poings", ajoute Michel Garrandaux.

"J'ai l'habitude d'en prendre (des coups, ndlr), je fais du full-contact et de la boxe. Mais il valait mieux que je ne réplique pas. J'aurais été en tort. J'ai donc ...

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Il était 17 heures, jeudi, quand deux hommes se sont violemment affrontés, en plein centre-ville de Tarbes dans les Hautes-Pyrénées.

Selon un témoin de la scène, la rixe « a débuté sur la place de l’hôtel de ville pour une histoire de garde de chiens », puis « les deux hommes se sont violemment empoignés devant le Monoprix et la victime a atterri, titubant et en sang, devant un bar ».

Alertée par les commerçants, les policiers municipaux sont rapidement intervenus sur les lieux de l'altercation.

La victime a été transportée à l’hôpital de Tarbes.

Elle ne serait blessée que superficiellement, indique La Semaine des Pyrénées.

L’auteur des coups est toujours en fuite.

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Alors qu'elle était en visite au salon de l'Agriculture, Barbara Morel, la protégée de Geneviève de Fontenay, s'est prise un oeuf lancé par un inconnu.

Depuis que Geneviève Fontenay a quitté Endemol Production, qui détient les droits du concours Miss France, une véritable guerre médiatique est déclarée. En effet, la doyenne des Miss a fondé son propre concours de beauté : Miss Nationale. Le salon de l'Agriculture se déroulant Porte de Versailles à Paris depuis le 19 février, Laury Thilleman et Barbara Morel ne pouvait évidemment pas manquer ce rendez-vous. Alors que la première paradait au salon le 22 février, la seconde faisait elle ses mondanités ce jeudi. Malheureusement pour l'élue du concours de Geneviève de Fontenay, la visite ne s'est pas passée comme prévu. Après quelques traits d'humour comme, "elle (la vache, ndlr) est Lorraine comme moi et en plus elle est noir et blanc... je suis Lorraine comme la vache", la Miss Barbara Morel s'est pris un œuf jeté par un inconnu. Toute la scène a été filmée par le journaliste Eric Minsky-Kravetz pour le compte du site internet tvidf.fr.

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Lundi, en venant travailler, les dix-huit salariés de ce magasin de prêt-à-porter, dans le centre-ville de Grenoble, en Isère, ont trouvé porte-close.

Le magasin était fermé et le patron invisible depuis deux semaines, précise Le Parisien. "On n’a aucun préavis, aucune lettre de licenciement. Du coup, on se retrouve du jour au lendemain sans salaire, sans possibilité de percevoir des indemnités et dans l’impossibilité de se présenter à Pôle emploi. C’est scandaleux. Il nous traite comme des moins que rien", témoigne dans Le Parisien, Fanny, une vendeuse du magasin. Des salariés qui avaient eu une première alerte, samedi. "Le soir, avant de partir en week-end, on nous a lu une lettre de notre patron qui expliquait qu’il ne pouvait plus continuer, qu’il s’excusait de nous mettre dans l’embarras", ajoute Fanny. Les salariés ont assigné leur patron devant les prud’hommes. L’audience est prévue pour le 16 mars. "Ce qui leur arrive est scandaleux, inqualifiable. Juridiquement, ils sont toujours à la disposition de leur employeur. Alors qu’ils ne sont plus payés et qu’ils n’ont plus de travail. Ils sont victimes d’un patron voyou" explique Marc Deroudille, secrétaire adjoint de l’union départementale FO.

Voici un reportage sur le sujet :
(Source vidéo: BFM TV)

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Un Américain a eu la désagréable surprise de recevoir une facture de 11,5 millions d'euros pour son abonnement au câble, qui ne lui coûte habituellement que 80 euros par mois.



La télévision aux Etats-Unis serait-elle devenue trop chère ? Pour le lieutenant Daniel DeVirgilio de Beaverton en Ohio, il semble en tout cas que cela soit aujourd'hui au-dessus de ses moyens. En effet, il a récemment reçu une facture de... 16 millions de dollars, soit 11,5 millions d'euros, pour son abonnement au câble !
D'après le Dayton Daily News, le tarif habituel de l'opérateur Time Warner Cable est de 80 euros par mois. Le lieutenant de 26 ans a découvert cette énorme facture après avoir vu sa carte de crédit retirée. Après avoir regardé plus précisément les détails de la somme à payer, l'infortuné s'est aperçu que c'était son abonnement au "March Madness", le tournoi final du championnat universitaire américain de basket, qui était à l'origine de l'erreur.
En effet, chaque match regardé lui avait été facturé 1 million de dollars (750 000 euros). "Nous nous excusons pour le désagrément causé par cette affaire", a déclaré un porte-parole de la Time Warner. "Nous allons voir directement avec ce client pour régler ce problème." Daniel DeVirgilio va bientôt pouvoir souffler.

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Dans la nuit de dimanche à lundi, 3 couples ont dérobé le distributeur de préservatifs de la pharmacie située à Couffouleux, petite commune du Tarn.



Les 3 garçons et les 3 filles n'ont pas hésité à démonter le distributeur armés d'un cardan de voiture (pour servir de levier) et d'un marteau.
Comme il était près de minuit, leur petit manége a été suffisamment bruyant pour attirer l'attention ou réveiller les gens du voisinage qui ont cru à un cambriolage de la pharmacie.
Quand les gendarmes, prévenus, sont arrivés sur les lieux les "voleurs" avaient déjà pris la poudre d'escampette...
Leur voiture avait été repéré par un témoin. Le véhicule, une peugeot de couleur grise, a été retrouvée quelques kilométres plus loin abandonnée.
Les gendarmes ont retrouvé, dans le coffre, le distributeur de préservatifs. Celui-ci ne contenait que 5 boites (pour une valeur d'environ 10 €)
Le propriétaire de la voiture a vite été identifié. Il a été interpellé lundi matin et placé en garde à vue. Dénoncés, les 5 autres jeunes gens se sont présentés dans l'après-midi à la brigade de gendarmerie.
Dans le cadre de l'audition, il ont reconnu l'iresponsabilité de leur geste. "On cherchait un trophée et l'idée nous est venue en passant devant la pharmacie" a avoué l'un d'eux explique le quotidien La Dépêche.
Les fêtards doivent maintenant payer les dégats causés par l'arrachage du distributeurs.

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Avant qu'une éventuelle loi punissant les clients de prostitués soit votée, Roselyne Bachelot a souhaité expérimenter divers modes de châtiments. Parmi ceux retenus : la perspective de passer une nuit à ses côtés semble être la mesure la plus dissuasive pour les habitués.



Un premier contrevenant, pris en flagrant délit dans une allée du bois de Boulogne, a pu tester dans les conditions du direct la dureté de la condamnation. Amené au logement de fonction de l’ex-acheteuse de vaccins, le prévenu s’est vu infliger une terrible soirée à base de "Chazal-Foucault", suivi d’une double verveine et de la lecture des œuvres complètes d’Henri Troyat jusqu’à une heure avancée de la nuit. Un régime qui devrait calmer les ardeurs des amateurs de sexualité tarifée.

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L'affaire du Mediator a montré les liens parfois trop proches que peuvent entretenir un grand laboratoire pharmaceutique comme Servier et les autorités de santé. Mais l'influence des labos peut s'exercer aussi dans un autre domaine : celui de la presse médicale.



Voici quelques jours, Virginie Bagouet a quitté Impact médecine après des mois de conflit avec sa hiérarchie. Elle travaillait depuis février 2008 dans ce magazine spécialisé à destination des généralistes. Mardi 5 avril, elle est auditionnée à sa demande par la mission commune d'information du Sénat sur le Mediator.
Mails et pièces à l'appui, la journaliste dénonce en effet des censures, explicites ou implicites, de son travail, notamment par rapport à Servier. Le journal, lui, estime avoir 'respecté l'éthique'.
ARTICLES EN RELECTURE CHEZ SERVIER ?
Craignant les foudres du laboratoire, l'un des principaux annonceurs de l'hebdomadaire, la rédaction en chef aurait ainsi, selon l'ex-salariée, refusé de parler du livre du docteur Irène Frachon, Mediator 150 mg, combien de morts ? (Dialogues.fr, 2010).
Même après l'étude de la Caisse nationale d'assurance-maladie sur ce médicament, qui confirmait, en octobre 2010, les craintes du Dr Frachon, Impact médecine n'a pas fait état de ces critiques. 'Notre rédactrice en chef a accepté qu'une des journalistes fasse un article. Mais son papier, très factuel, n'a finalement pas été publié. Raison invoquée par la rédaction en chef : 'C'est trop sensible''', raconte encore Virgine Bagouet.
Interrogée par Le Monde.fr, la directrice de la rédaction d'Impact Médecine, Anne Prigent, relativise : 'C'est vrai, nous n'en avons pas parlé, mais comme l'ensemble de la presse. Nous n'avons pas de rubrique 'Livres' et nous ne voyions pas la nécessité, à sa sortie en juin 2010, de revenir sur cette affaire, puisque le Mediator a été interdit en 2009'. Elle dément toute 'censure', 'à moins que vous appeliez censure la réécriture d'articles mal construits', et dénonce un 'mauvais procès'. ... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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Vendredi, cette adolescente de 14 ans, a répondu à un rendez-vous via le réseau social Facebook et par SMS.





Quand elle est arrivée à son rendez-vous, dans le Parc de Sceaux, dans les Hauts-de-Seine, elle a été rouée de coups par une dizaine de personnes, dont certaines âgées de 14 à 16 ans.
Selon une source proche de l’enquête, elle a été frappée à coups de béquilles et aspergée de gaz lacrymogène.
Une agression qui a été filmée, précise TF1 News.
C’est un passant qui a mis fin à l’agression.
Il a réussi également à s’emparer de l’appareil photo ayant servi à filmer l’agression.
C’est grâce aux images de cet appareil que neuf personnes ont été interpellées par les policiers.
Six d’entre elles ont été mises en examen pour « violences volontaires ».
Elles ont été placées sous contrôle judiciaire.
Les trois autres personnes ont été laissées libres.
Elles n’auraient fait qu’assister à la scène.
Elles seront prochainement convoquées devant le juge des enfants pour « non assistance à personne en danger ».

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Jeudi soir vers 23h45 (heure de Tokyo), un nouveau séisme, de magnitude 7,4, a frappé le nord-est de l'archipel nippon. Quatre personnes ont été tuées et une centaine d'autres blessées dans cette catastrophe. En revanche, la centrale accidentée de Fukushima a été épargnée.

Le Japon redoutait une seconde vague, d'un à deux mètres de haut. Mais l'alerte au tsunami, lancée peu après les nouvelles secousses ressenties jeudi soir, est désormais levée. Pour autant, le séisme qui a frappé le nord-est du Japon a tout de même été meurtrier : quatre personnes ont perdu la vie, selon la télévision publique japonaise NHK et l'agence de presse Jiji. Une centaine de blessés sont également à déplorer. Le tremblement de terre s'est produit à 23h32 (14h32 GMT) à une profondeur de 49 kilomètres, selon l'Institut de géophysique américain (USGS). Son épicentre était situé dans l'océan Pacifique, à 66 kilomètres à l'est de la ville de Sendai (préfecture de Miyagi). Bonne nouvelle, l'Agence de sûreté nucléaire a affirmé qu'aucune centrale atomique de la région n'avait subi de dégâts. Ainsi, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, accidentée depuis le séisme de magnitude 9 et le tsunami du 11 mars, a été épargnée. Cependant, des petits débordements d'eau faiblement radioactive ont eu lieu au niveau des piscines de désactivation de combustible usé à la centrale nucléaire d'Onagawa (nord-est), rapportent l'exploitant et l'Agence de sûreté nucléaire. Lors d'une conférence de presse ce vendredi, un responsable de l'Agence a déclaré : "En raison des secousses, plusieurs anomalies ont été relevées dans les bâtiments des réacteurs". Toutefois, il a souligné que le niveau de radioactivité était "très inférieur" à la limite légale. Ce qui n'a pas empêché pour autant l'évacuation du personnel vers l'intérieur des terres par mesure de précaution. 3,3 millions de foyers privés d'électricité. Les personnes qui vivent le long des côtes de la préfecture de Miyagi ont également dû évacuer vers des e... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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Un ballon, bien seul | WORLDPICTURES/MAXPPP/SYLVIE GROSBOIS





Le 9 janvier dernier, un match opposait les footballeurs amateurs de Pégomas à ceux du FC Porto-Cannes.
Un match interrompu à la suite de l’exclusion de quatre joueurs de l’équipe cannoise.
Des joueurs qui avaient été sanctionnés par des cartons rouge, rapporte Le Parisien.
A la suite de cette interruption, l’arbitre avait été violemment pris à partie par des joueurs alors qu’il se dirigeait vers les vestiaires du stade.
Ces derniers comparaissaient, jeudi, devant le tribunal correctionnel de Grasse, pour « violences en réunion commises lors d’une manifestation sportive. »
Ils ont été condamnés à six mois de prison avec sursis.
Ils devront en outre verser 10 000 euros de dommages et intérêts à l’arbitre.
Ils encouraient trois ans de prison et 45 000 euros d’amende.
Deux des joueurs ont reconnu les faits, les deux autres les nient.
Au cours de l’audience de jeudi, l’arbitre a indiqué que le jour des faits, il avait « esquivé un coup du N°7 » et qu’il avait « été assommé par le N°8 ».
L’arbitre ajoutant :
"Puis, j'ai vu plein de joueurs venir vers moi. Ils m'ont roué de coups de pieds".

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Ce jeudi matin, aux environs de 11h30, un enfant de 7 ans, scolarisé en CE1, a tenté de mettre le feu à son école, à Villeneuve-d’Ascq, dans le Nord.

Le garçonnet a craqué une allumette dans la gaine d’aération des toilettes de l’école, rapporte La Voix du Nord. Après avoir découvert le début d’incendie, une enseignante a fait évacuer les élèves de l’établissement. Aucun blessé n’est à déplorer. Mais le début d’incendie a provoqué des dégâts dans l’école. Le jeune élève avait prévenu ses camarades de classe qu’il allait « mettre le feu à l’école » précise La Voix du Nord. Ce matin, avant de quitter le domicile familial, il avait « emprunté » des allumettes et avant de tenter de mettre le feu à l’école, il s’était fait exclure volontairement de sa classe… Vu le jeune âge de l’écolier, le parquet de Lille l’a déclaré non responsable.

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Le comédien a annulé sa participation au festival d'Avignon à cause de la présence du chanteur Bertrand Cantat. En exclusivité, il se confie au Figaro. Le comédien qui achève le tournage de son film avec Michael Haneke , vient d'annoncer qu'il ne participerait pas au prochain festival d'Avignon, dans le cadre des soirées de France Culture, parce que Bertrand Cantat, qu'il considère comme l'assassin de sa fille Marie en juillet 2003, est annoncé à l'affiche du spectacle de Wajdi Mouawad, dans la carrière de Boulbon.
«J'ai des scrupules. Je suis peut-être impudique en décidant de ne pas aller à Avignon et de parler des sentiments que j'éprouve. Mais je ne peux pas accepter de dire des poètes dans le cadre du festival alors que Bertrand Cantat va s'y produire. Je ne comprends pas cet homme. Je ne comprends pas qu'il puisse se présenter sur une scène cet été à Avignon. Au Canada, où devait être créé le spectacle, sa présence a été discutée jusque devant l'Assemblée Nationale du Québec car il est sous le coup d'une interdiction de fait. Là-bas, ce qu'il a fait est punissable de la prison à vie».
«L'homme que je déteste le plus au monde»
«Et ce qu'il a fait c'est tuer une femme. Pour cela il a fait quatre ans de prison. Ne pourrait-il pas se faire discret? Il s'est révélé avec le drame. Je l'avais trouvé sympathique mais il a été incapable d'assumer quoi que ce soit après le drame, la mort de Marie en juillet 2003. Et aujourd'hui, c'est un homme que je déteste, et je vais dire une chose terrible, il s'est conduit comme une merde et il est l'homme que je déteste le plus au monde.
Comment les gens ne comprennent-ils pas qu'il y a quelque chose de terrible dans la manière qu'il a de revenir, comme si de rien. Être au festival d'Avignon, pour moi, cela a toujours été un bonheur. C'est la ville où j'ai fait mes études autrefois, où j'ai travaillé avec Vilar. J'y suis revenu plus récemment. Mais huit ans après la mort tragique de Marie, il n'est pas ... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr

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Ce sont les voisins de cette vieille dame qui, indisposés par l’odeur, ont alerté la police.



Jeudi, quand les policiers sont entrés dans cet appartement situé dans une résidence de Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, ils ont découvert le corps sans vie de cette dame de 90 ans, sur un monticule de détritus.
Un appartement rempli d’ordures, indique une source proche de l’enquête.
Déférés au parquet de Nanterre, les deux fils de cette nonagénaire, âgés d’une soixantaine d’années, ont été mis en examen pour "délaissement de personne vulnérable ayant entrainé la mort" et "non-assistance à personne en danger".
Samedi, ils ont été placés en détention provisoire.
Les deux frères occupaient chacun un appartement dans la même résidence que leur mère.
Ils ont livré des versions contradictoires aux enquêteurs sur la date du décès de leur mère, indique Le Figaro.
Une source proche de l’enquête a indiqué que les deux frères semblaient un "peu largués".
Leurs appartements se trouvaient également dans un état d'extrême saleté avec des détritus en quantité très importante, indique une source judiciaire.
Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux fils étaient sans emploi.
Bibliothécaire et ingénieur informatique de formation, ils n'avaient pas de problème d'argent, rapporte Le Figaro.
Ils vivaient des rentes laissées par leurs parents.
L’autopsie de la nonagénaire a été réalisée vendredi.
Une autopsie qui a conclu à un décès consécutif à un "manque de soin et d’attention".

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Depuis le mois de novembre, treize jeunes filles de 13 ans d’une classe de 6ème du collège Marie-de-Luxembourg, à La Fère, dans l’Aisne, étaient littéralement terrorisées par deux élèves, âgés de 12 et 13 ans.



Des jeunes victimes qui auraient subi des violences, des brimades, des humiliations ainsi que des attouchements sexuels.
Les faits n’ont été dévoilés que récemment, à l’occasion d’une réunion parents-professeurs, rapporte Le Courrier Picard.
Alertée par les enseignants, la direction de l’établissement a fait un signalement au commissariat de police de Tergnier.
Une véritable omerta régnait sur cette classe de 24 élèves.
« Ce qui nous a surpris, c’est que la classe a fait bloc. Les fillettes étaient terrorisées » indique Maïté Perray, principale adjointe du collège.
Les adolescentes ont été entendues par les policiers la semaine dernière.
Les deux jeunes garçons ont été auditionnés par les policiers.
L’un aurait reconnu avoir commis des brimades sur cinq des collégiennes, indique Le Courrier Picard.
L’autre nie les faits.
Jean-Louis Griffon, le principal du collège a indiqué que « dans un souci de protéger les victimes et l’agresseur » l’élève qui nie les faits a été « remis à titre conservatoire à sa famille », en attendant son passage devant le conseil de discipline.

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Samedi dernier, une petite fille de 4 ans a échappé à la surveillance de sa soeur et a pris le train pour Paris sans surveillance. Heureusement, elle a vite été retrouvée, sans une égratignure.



L'anecdote aurait pu connaître une fin plus tragique, mais elle s'est finalement terminée au mieux.
Une fillette de 4 ans accompagnait sa grande soeur adolescente pendant que celle-ci faisait ses courses. Échappant à sa surveillance l'espace d'un instant vers 17h45, elle a enfourché sa trottinette et s'est rendue à la gare de Colombes (Hauts-de-Seine), près de Paris.
Là, elle est montée dans un train qui l'a emmenée quelques kilomètres plus loin. Ce n'est que deux heures plus tard, un peu avant 20h et après un appel lancé à toutes les unités de polices mobilisées, que la petite fille a été retrouvée.
"Très dégourdie", selon les sources policières qui ont rapporté l'anecdote, la petite fille a été récupérée par ses parents dans la salle des pas perdus de la gare Saint-Lazare, ces derniers étant infiniment rassurés de la ramener indemne à la maison. L'histoire ne dit pas si son imprudence a été réprimandée ou non.

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Les petits auraient été victimes d'enfants plus âgés, scolarisés en primaire. Une enquête a été ouverte.



Une enquête a été ouverte dans une école primaire de Laval, après des "faits de violence physique" commis par des élèves sur plusieurs enfants scolarisés en maternelle, a indiqué, mardi, le procureur de la République à Laval. "Nous avons des faits de violence dans une école", a annoncé le procureur, Raphaël Sanesi, lors d'un point de presse. "On est en train de chercher à obtenir des précisions. Ce sont des faits surprenants. Je ne peux pas encore me prononcer sur leur gravité", a-t-il poursuivi.
En l'état actuel de l'enquête, "cinq ou six enfants" auraient été victimes de violences, a affirmé le procureur, en précisant que "ce sont des parents qui ont transmis des informations sur des comportements anormaux". Dans les premières auditions, "il y a des éléments d'ordre scatologique", a-t-il dit. La brigade des mineurs mène ces auditions, a-t-il encore indiqué. Selon des sources proches de l'enquête, plusieurs enfants d'une école maternelle de Laval ont été victimes de "violences" de la part d'élèves de CM2. L'alerte a été donnée par les parents d'une fillette de maternelle victime d'une infection urinaire, selon les mêmes sources.
Les faits se sont déroulés dans l'école primaire et maternelle Val-de-Bootz, un établissement très tranquille près du centre de Laval où les enfants de grande section de maternelle peuvent se retrouver mélangés à des primaires en cour de récréation. Une cellule de soutien psychologique a été mise en place mardi. Une réunion de crise avait été organisée lundi à l'école en présence de l'inspecteur d'académie et du maire, selon le quotidien régional Ouest-France. Le mi... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr

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voilà un acte doublement débile mais l'être humain sera t'il un jour vraiment intelligent ?

Dans la nuit de jeudi à vendredi, des individus ont déposé une tête de porc devant la porte de la mosquée de Reims, dans la Marne.



L’Association de la mosquée et du centre islamique de Reims (Amcir) a déposé plainte, indique Europe 1.
Rachid El Haouari, le président de l’Amcir a précisé que « depuis le début de la construction de la mosquée de Reims fin 2009, les actes de malveillances se sont succédé ».
Le président ajoutant : « Celui-ci est l'insulte de trop qui nous fait sortir de notre réserve ».
L’Amcir enregistre un nombre inquiétant de mails insultants et de lettres contenant des pages du Coran brûlés, a précisé Rachid El Haouari.
Le Conseil français du culte musulman a condamné « avec la plus grande fermeté la profanation dont a été victime la mosquée et le centre islamique de Reims ».
Selon le Conseil musulman, le nombre « d’actes de violence et de haine a plus que doublé en 2010 et le bilan du premier trimestre de 2011 n’est guère rassurant ».