pacemaker91 0 Posté(e) le 26 octobre 2010 http://www.enviro2b.com/2009/06/10/lefsa-encourage-les-alternatives-a-l%E2%80%99experimentation-animale/L’EFSA encourage les alternatives à l’expérimentation animale Publié par Rédaction le 10/06/09 dans la catégorie Société & Ecologie. Surveiller les réactions RSS 2.0. Les réactions sont closes. L'agence sanitaire européenne souhaite limiter au maximum l'expérimentation animale en favorisant les alternatives qui se développent.Le comité scientifique de l’EFSA a souligné dans un avis l’importance d’utiliser des approches d’évaluation des risques dans le domaine de la sécurité de l’alimentation humaine et animale qui, non seulement, minimisent l’utilisation des animaux à des fins expérimentales et leur souffrance mais qui tendent aussi au remplacement des tests sur les animaux par des méthodes alternatives. L’avis publié passe en revue les dernières avancées en matière d’utilisation d’animaux à des fins expérimentales dans différents domaines d’activité d’évaluation des risques de l’EFSA et expose les stratégies qui permettent de réduire le nombre nécessaire d’études sur les animaux.L’avis insiste sur le fait que les essais sur les animaux doivent être menés conformément aux lignes directrices approuvées par la Commission européenne, les agences européennes ou d’autres organismes internationaux comme l’OCDE. Il recommande également d’instaurer un dialogue entre l’EFSA et la Commission européenne sur les meilleures façons d’aborder l’introduction de nouvelles méthodes de test validées dans les lignes directrices existantes ; méthodes basées sur le remplacement, la réduction et l’amélioration des essais sur les animaux. En outre, il met l’accent sur l’importance d’une bonne communication dans ce domaine entre les différentes agences s’occupant de l’évaluation des risques chimiques.« Le présent avis constitue un examen approfondi des principes directeurs relatifs à l’utilisation d’animaux à des fins expérimentales. Il résume les possibilités de remplacement, de réduction et d’amélioration des essais sur les animaux dans les différents domaines d’activité de l’EFSA. Nous espérons que cet avis aidera l’EFSA à développer une approche proactive et scientifiquement fondée en matière de bien-être des animaux dans ses activités d’évaluation des risques », a déclaré le professeur Vittorio Silano, président du comité scientifique de l’EFSA.La plupart des évaluations des risques réalisées par l’EFSA nécessitent des données expérimentales. Il est actuellement impossible d’obtenir toutes les données et les informations requises pour assurer un niveau élevé de protection du consommateur sans un certain recours à l’expérimentation sur les animaux.Cet avis dresse la liste des méthodes alternatives aux essais sur les animaux reconnues internationalement et disponibles pour différents types d’études utilisées dans l’évaluation des risques – par exemple la toxicité aiguë, les tests d’irritation cutanée et d’irritation oculaire – et préconisent que ces méthodes soient utilisées e lien avec la législation communautaire existante. Pour les domaines dans lesquels les méthodes alternatives ne permettent pas de fournir toutes les informations nécessaires – comme la toxicité pour la reproduction et le développement – l’avis décrit des stratégies intégrées de test et d’évaluation des risques qui peuvent aider à réduire le recours à des expériences sur animaux.Des solutionsL’avis propose également des solutions pour une meilleure mise en œuvre des pratiques liées au bien-être des animaux dans le cadre des travaux de l’EFSA. Le comité scientifique constate que, en vertu de la législation européenne existante, les demandeurs qui soumettent des dossiers à l’EFSA devraient utiliser autant que possible les méthodes alternatives reconnues aux essais sur les animaux.En outre, l’avis insiste sur l’importance de promouvoir pleinement l’utilisation de telles méthodes dans tous les documents d’orientation mis au point par l’EFSA à l’usage des demandeurs. Le comité scientifique recommande également que, lors des évaluations des risques, l’ensemble des données existantes et disponibles soit examiné avant de demander à effectuer des études sur les animaux supplémentaires.Améliorer le bien-être animalLe présent avis se situe dans le droit fil de l’engagement de l’EFSA de continuellement chercher à améliorer le bien-être des animaux dans le cadre de ses évaluations des risques. Le comité scientifique a recommandé que l’EFSA assure le suivi du présent avis par un compte-rendu des progrès réalisés dans le domaine des méthodes alternatives aux essais sur les animaux d’ici trois ans. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 octobre 2010 La Picardie cherchera des alternatives à l’expérimentation animale Publié par Rédaction le 8/02/10 dans la catégorie Sites & Urbanisme. Surveiller les réactions RSS 2.0. Les réactions sont closes. Eric Woerth, Ministre du Budget, et Claude Gewerc, Président du Conseil régional de Picardie, ont posé vendredi dernier à l’INERIS la première pierre de la nouvelle plateforme expérimentale du pôle national applicatif en toxicologie-écotoxicologie. L'entité picarde devrait permettre à terme de limiter au maximum l'expérimentation animale.Eric Woerth, Ministre du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique, et Claude Gewerc, Président du Conseil régional de Picardie, ont posé ce vendredi 5 février la première pierre de la plateforme expérimentale pour la validation et le développement de méthodes alternatives en expérimentation animale.Située sur le site de l’INERIS à Verneuil-en-Halatte (Oise), cette plateforme expérimentale est un équipement structurant du pôle national applicatif en toxicologie et écotoxicologie lancé en 2009 pour répondre aux exigences du Grenelle de l’Environnement et contribuer à la mise en oeuvre du règlement européen REACh sur les substances chimiques. La plateforme expérimentale pour la validation et le développement de méthodes alternatives permet la calibration des modèles mathématiques (approche in silico) et des modèles biologiques isolés (tests in vitro) ou organes artificiels. 7 M€Concrètement, ces méthodes alternatives limitent le recours à l’expérimentation animale (in vivo) pour étudier les effets des substances chimiques et évaluer leurs risques biologiques. Dotée de 1 500 m2 de laboratoires, la plateforme disposera d’équipements dédiés à la voie d’exposition par inhalation et donnera la possibilité d’étudier les substances à l’échelle nanométrique (nanoparticules).Mis en oeuvre dans le cadre du Contrat de projet Etat-Région pour la période 2007-2013, cet équipement stratégique ancre en Picardie le pôle national applicatif en toxicologie et écotoxicologie dont il constitue le premier investissement structurant. D’un coût global de 7 M€, dont 3 M€ ont d’ores et déjà été financés par la Région Picardie.L’enjeu de cette plateforme expérimentale est triple. Il est tout d’abord scientifique, pour comprendre et quantifier les effets des matières chimiques sur les différentes cibles étudiées, depuis les sites cellulaires jusqu’à l’individu tout entier. C’est aussi un défi technologique pour parvenir à anticiper les effets des molécules chimiques à l’aide d’outils prédictifs. Enfin, il s’agit enfin d’un enjeu opérationnel, dans la perspective de la montée en puissance de la directive REACh qui demande aux industriels de faire la preuve de la non toxicité des produits qu’ils commercialisent.Complémentaire avec l’institut LaSalle BeauvaisCette plateforme consacrée à la chimie est complémentaire de celle dédiée à la biologie (voie d’exposition : ingestion), qui sera hébergée par l’Institut LaSalle Beauvais, ainsi que des installations spécifiques d’écotoxicologie existant à l’INERIS (mésocosme). Le pôle national applicatif en toxicologie et écotoxicologie, lancé en janvier 2009 à l'initiative de l’INERIS, répond aux attentes du Grenelle de l’Environnement et à l’effort de recherche et d’innovation lié à la mise en oeuvre du règlement européen REACh.L’objectif est de parvenir à une prédiction des dangers des substances plus éthique, moins coûteuse et plus efficace. Le pôle s’inscrit en effet dans les perspectives dessinées par le GIS méthodes alternatives, animé par l’INERIS et l’AFSSAPS en partenariat avec le monde associatif, la recherche, les industriels et les pouvoirs publics. Dans le contexte des alternatives en expérimentation animale, il satisfait les exigences de la directive européenne en préparation sur le bien-être animal, affirme le communiqué de l’INERIS. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 avril 2011 http://www.international-campaigns.org/ic/questions-reponses-peta.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites