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Génial ! c'est plein d'idées et de poésie ! Et "Vert Nid Sage", quel joli nom... Bravo à ce monsieur.

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Moi non, je ne suis pas manuelle pour deux sous ! C'est d'autant plus admirable de voir de quoi sont capables certaines personnes ! Et puis, le bois est une matière noble et extraordinaire, elle a une âme, il faut bien le dire...

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Invité
Bonjour,
Nous offrons une livraison gratuite à domicile d'aliments haut de gamme et d'accessoires pour vos animaux de compagnie (chiens, chats, oiseaux, rongeurs ...).
Nous livrons pour le moment dans certaines villes de l'Essonne (91) et des Yvelines (78).

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un petit renseignement pour la litière pour chat à 5 euro le paquet : combien de kg et quelle est la qualité ? Merci

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Invité
nous n'avons pas de paquet a 5 euros !! du quel sagit-il ??

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Invité
Ce sont des sacs à litière que l'on met sur son bac puis on verse la litière dedans. Ca facilite le nettoyage comme un sac poubelle.
Ils sont vendus par 10.
Sinon nous avons pour le moment des litières dans la rubrique "soins" ou "destockage chien/chat".

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Un exemple de ce que l'on peut lire sur le site viandeinfo :


La viande, un concentré de souffrance



Les victimes directes de notre gargantuesque consommation de produits d’origine animale sont les animaux mangés. Il est impossible de produire une telle quantité de viande sans entasser les animaux, les doter de corps difformes à force de sélections génétiques, les adapter de force par des mutilations à des conditions de vie qui limitent drastiquement leurs comportements.
Élevage intensif :
une écrasante majorité



Des hangars immenses, des silos imposants, des dizaines de milliers d’animaux enfermés. Voilà à quoi ressemblent la plupart des fermes professionnelles qui se sont développées depuis les années 70.
En France :
82% des 700 millions de poulets de chair sont élevés sans accès à l’extérieur[1]
81% des 47 millions de poules pondeuses sont élevées en batterie de cages[2]
99% des 40 millions de lapins sont élevés en batterie de cages[3]
90% des 25 millions de cochons sont élevés sur caillebotis en bâtiments[4]


Si les bovins ont encore souvent un accès à l’extérieur, certains d’entre eux passent aussi leur vie en stabulation.
Les oeufs de poules, de canards ou de dindes, éclosent par milliers dans des armoires à incubation, donnant naissance à des poussins qui cherchent en vain un contact maternel.
Synchronisés par commodité


La plupart des animaux sont élevés par bandes - tous les animaux d’une bande ont le même âge : naissance, sevrage, engraissement, transport et abattage sont ainsi planifiés et synchronisés.
Sélectionnés pour la rentabilité


Les souches d’animaux sélectionnées favorisent la prolificité ou la capacité d’engraissement. Ainsi, la souche « poule pondeuse » et la souche « poulet de chair » sont différentes.
Les poussins mâles issus de la souche « pondeuse » sont éliminés par broyage ou gazage au début de leur très courte vie. La filière « foie gras » effectue aussi un sexage en début de vie, les femelles n’étant pas utilisées pour produire du foie gras en France. C’est ainsi que la majorité d’entre elles sont tuées dès leur premier jour.
Séparation mère / petits


Pour la production de lait, les vaches, brebis et chèvres sont généralement inséminées chaque année. Les petits auxquels elles donnent naissance leur sont rapidement enlevés. Ces séparations affectent aussi bien les jeunes que leurs mères.
Les truies sont entravées et ne peuvent développer que des relations tronquées avec leurs petits.

Productivité poussée



Les poules pondeuses pondent aujourd’hui près de 300 oeufs par an contre 60 lorsqu’elles vivent à l’état sauvage[5]. Les truies donnent naissance à 27 petits par an contre 16 en 1970[6]. Les poulets sont abattus à 42 jours contre 80 il y a 20 ans[7]. Ces performances ne sont pas sans dommages pour les animaux.
Les sélections génétiques font apparaître des boîteries notamment chez les poulets de chair et chez les vaches laitières, les uns poussés à produire du muscle au détriment de leurs autres organes, les autres à produire de grandes quantités de lait[8].
Mutilés pour cohabiter


Dès le début de leur vie, des mutilations sont pratiquées pour « adapter » les animaux à la claustration, à la surpopulation des élevages ou au goût des consommateurs :
- épointage des becs ;
- dégriffage des pattes des poules et des canards ;
- coupe des queues ;
- rognage des dents des cochons ;
- écornage des veaux ;
- castration des porcs, des veaux, des chapons.
Comportements limités


Étendre les ailes, se dresser, fouiner, ronger, explorer, élever ses petits, se déplacer, prendre l’air... la liste des comportements entravés est longue dans la plupart des élevages.
En France, plus de 80% des animaux sont élevés en bâtiments fermés, parqués en cage ou sur des caillebotis sans accès à l’extérieur.

Mortalité en élevage



De nombreux animaux meurent avant d’avoir atteint l’âge où ils sont abattus. A titre d’exemple, dans les élevages cunicoles, ils sont 25% à trépasser[9] et 20% dans les élevages porcins[10].
Transportés sur de longues distances


Les animaux peuvent être transportés sur de longues distances. Les trajets à travers l’Europe restent fréquents. Le chargement, le transport et le déchargement sont de grandes sources de stress pour les animaux. Nombre d’entre eux en meurent. S’il existe un règlement européen en la matière, le rapport de l’office vétérinaire européen dresse un état des lieux mitigé de la situation en France[11].
Abattus à la chaîne


Une directive européenne tente de limiter les souffrances inévitables de la mise à mort des animaux. Si des progrès notables ont été réalisés grâce à cette réglementation, les infractions restent nombreuses tant du point de vue de la protection des animaux[12] que du point de vue sanitaire[13].
Agir pour les animaux


On reconnaît désormais que les animaux vertébrés, les céphalopodes et divers crustacés éprouvent des sensations et émotions et possèdent des capacités cognitives.
Certains labels, comme le bio ou le Label Rouge, ont des cahiers des charges qui permettent aux animaux de pouvoir exprimer une gamme plus importante de comportements. Avec les niveaux de consommation actuels, il reste toutefois illusoire d’espérer améliorer le sort d’un si grand nombre d’animaux, nécessairement confinés dans des espaces restreints, et « traités » par un nombre réduit de travailleurs. C’est pourquoi diminuer significativement sa consommation de produits animaux est indispensable, tout en se détournant des produits issus de l’élevage intensif. Il est aussi possible d’éviter de contribuer à la souffrance et à la mort des animaux d’élevage en s’abstenant d’en consommer.




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