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LYON, 2 fév 2011 (AFP) - Une "association de lutte contre l'expérimentation sur les animaux", Animal Rights Militia (ARM), a revendiqué l'incendie des locaux administratifs de la société Biomatech Namsa, dans la nuit du 12 décembre 2010, à Chasse-sur-Rhône (Isère), a indiqué mercredi à l'AFP le parquet de Lyon.> "Trois de leurs militants sont emprisonnés en Suisse depuis avril dernier et par cette action violente, ils ont ainsi voulu manifester leur soutien à ces activistes", a-t-il dit.

Les trois militants avaient été interpellés pour avoir planifié une action contre un centre de biotechnologie d'IBM en Suisse.

Quelque 300 m2 de bureaux de Biomatech Namsa, spécialisée dans l'évaluation des produits de santé à l'aide de tests toxicologiques, étaient partis en fumée et deux bonbonnes de gaz avaient été retrouvées dans les décombres.

Toutefois, les laboratoires n'avaient pas été touchés, selon la direction du site.

Le 26 janvier, le parquet de Vienne s'était dessaisi de l'affaire au profit de la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Lyon.

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< WASHINGTON, 21 fév 2011 (AFP) - Un groupe de chercheurs américains a défendu l'expérimentation scientifique sur les animaux lors d'une importante réunion scientifique à Washington, affirmant qu'elle permettait de sauver des vies.> L'expérimentation sur les animaux a permis des "avancées majeures dans la recherche qui ont amélioré la qualité de vie" des hommes, ont-ils affirmé.

"Arrêter les expériences sur les animaux signifierait que nous ne pourrions plus fournir des traitements et des soins dans des délais opportuns. Et cela voudrait dire que des gens mourraient", a assuré à l'AFP Stuart Zola, de l'Université Emory, qui abrite un important centre de recherche sur les primates.

Les tests sur les animaux permettent entre autres de travailler à des traitements pour des maladies comme le diabète ou le sida, et sont utilisés dans le cadre de la recherche sur les cellules souches, selon ces chercheurs.

Ils ont souligné le fait que ces pratiques faisaient l'objet de règles draconiennes aux Etats-Unis pour que les animaux soient traités dignement.

"C'est strictement encadré", a dit Stuart Zola. Les organisations subventionnées par l'Etat doivent prendre soin des animaux et "même pour un seul rongeur, tous les protocoles doivent être examinés" et validés par des commissions d'experts.

Des dizaines de millions d'animaux sont utilisés chaque année dans le monde à des fins expérimentales. Ces tests sont critiqués par les organisations de défense des animaux, qui font pression sur les laboratoires scientifiques, appelant parfois au boycott des produits ainsi fabriqués.

Mais le recours aux expériences sur les animaux est parfois indispensable, comme pour soigner l'hépatite C, a expliqué John Vandenberg, du Centre national de recherche sur les primates du sud-ouest, basé au Texas.

"Il y a un vrai manque d'informations dans le monde sur l'origine des traitements et des vaccins", a-t-il regretté.


kdz/eg/cel

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Expérimentation animale : NON au recul de la Loi sur les cosmétiques

http://www.one-voice.fr/fr/article/experimentation-animale-non-au-recul-de-la-loi-sur-les-cosmetiques



Mars 2011 - En dépit de la loi votée en septembre dernier, l’Europe est sur le point de reculer la date de la fin de l’expérimentation animale pour tous les cosmétiques. One Voice dénonce une position inacceptable et appelle tous ceux qui aspirent à un monde plus éthique à faire entendre leur voix en signant massivement la pétition mise en ligne.


En 2013, plus aucun cosmétique ou produit d’hygiène testé sur les animaux ne pourra être commercialisé en Europe. C’est en tout cas ce que prévoyait la Directive européenne sur les cosmétiques. Alors que l’expérimentation animale pour les produits finis est interdite dans l’UE depuis 2009, ce délai supplémentaire devait permettre le développement de méthodes alternatives à trois types de tests échappant à la loi – toxicité de doses répétées, toxicité pour la reproduction, toxico-cinétique – et entrant dans la mise au point de nombreux produits de beauté. Or, suite au rapport d’un groupe de chercheurs, la Commission européenne est prête à reculer la date de mise en application de la Directive, faisant ainsi fi des règles votées par son propre Parlement.
Pour dire NON à ce report, qui implique la mise sur le marché européen de nouveaux produits cosmétiques testés sur les animaux, signez la pétition en ligne ici : http://nocruelcosmetics.org/sign_up.php?lang=france

Encore dix ans de souffrances et de tortures
Sur la recommandation des scientifiques, la Commission accorderait en effet aux laboratoires un délai supplémentaire de 10 ans ! Au prétexte que les méthodes substitutives à ces trois tests ne seraient pas prêtes avant. Si la Commission entérine cette position, des millions d’animaux continueront à souffrir, à être torturés et à mourir pour la fabrication d’une crème antiride ou d’un shampoing. Parallèlement, les firmes cosmétiques et les laboratoires poursuivront leur macabre commerce engrangeant des bénéfices toujours plus élevés.

La voix des lobbys contre l’éthique
Pour One Voice, reculer la date de fin de ces trois tests sur animaux est non seulement contraire à l’éthique à laquelle aspire une majorité d’Européens mais aussi contre-productif. Augmenter le délai n’accélèrera en rien la mise au point de méthodes alternatives. Seule la perspective de ne pouvoir bientôt plus vendre leurs produits nous paraît être un moteur suffisant pour contraindre firmes cosmétiques et laboratoires à recourir à des systèmes d’expérimentation plus fiables, plus économiques et plus respectueux du vivant. En quelques années, de nombreux tests de toxicité basés sur des méthodes ne détruisant aucune vie ont déjà vu le jour.

Une position indéfendable et hors la loi
Après l’adoption d’une Directive pour le moins décevante en termes d’éthique et de progrès, une première entrave à la loi avec la sortie de son périmètre de deux autres tests sur animaux, cette nouvelle atteinte à la Directive cosmétiques est inacceptable. One Voice, représentant pour la France de la Coalition européenne pour la fin de l’expérimentation animale, appelle tous les citoyens d’Europe à dire un Non définitif à l’expérimentation animale sur leur territoire et les invite à rappeler les instances européennes au respect de la loi plutôt qu’aux diktats financiers.

Les citoyens européens ont le pouvoir de dire Non
En signant notre pétition, et en la faisant signer autour de vous, faites entendre votre refus de la cruauté. Vous agirez ainsi pour le devenir d’un monde plus éthique, plus paisible et plus respectueux de tout être vivant. Les animaux y ont droit aussi. Rappelons que chaque année, plus de 12 millions d’entre eux, dont des chiens, des chats et des primates, sont sacrifiés au nom de notre « bien-être ».


One Voice vous invite à participer à la manifestation contre l’expérimentation animale organisée le 23 avril 2011 par Antidote Europe, la Fondation Brigitte Bardot et International Campaigns. Rendez-vous Place de l’Hôtel de ville à Paris à 13H30.

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Samedi, des milliers de manifestants venus de France, de Belgique, de Suisse et même d'Italie se sont rassemblés pour protester contre la vivisection qui utilise des animaux à titre expérimental dans des laboratoires.



Le collectif associatif International Campaigns a mobilisé plusieurs associations anti-vivisections devant l'Hôtel de Ville de Paris à l'occasion de la "journée mondiale des animaux de laboratoire" qui avait lieu samedi dernier. Christophe Marie, de la Fondation Brigitte Bardot, a indiqué à l'AFP que d'autres rassemblements avaient également lieu, au même moment, en Grande-Bretagne.

De très nombreuses associations étaient réunies, parmi lesquelles la Fondation Brigitte Bardot, Antidote Europe, Animaux en péril, Gaia ou encore Equivita. Les manifestants ont brandi des banderoles avec les slogans choc : "Stop the Torture", "vivisection ? abolition !" ou encore "Dans les laboratoires de vivisection en Europe, un animal meurt toutes les trois secondes".

Des cercueils portant des noms d'animaux "utilisés et sacrifiés" avaient également été disposés sur la place de la mairie de Paris pour protester contre l'utilisation des animaux dans l'industrie cosmétique. Selon les organisateurs, 12 millions en Europe et un milliard d'animaux à travers le monde sont ainsi manipulés et mis à mort pour tester les produits qu'on trouve ensuite dans les grands magasins. Le cortège s'est ensuite rendu place des Vosges, devant la maison de Victor Hugo, "le premier président de la ligue antivivisectionniste française", en 1883.

Le Monde rapporte que les associations dénoncent le "caractère régressif" de la réglementation européenne qui "manque de volonté politique [pour] développer des méthodes substitutives". L'abolition pure et simple de la pratique a été demandée.

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@Choupi91 a écrit:
Samedi, des milliers de manifestants venus de France, de Belgique, de Suisse et même d'Italie se sont rassemblés pour protester contre la vivisection qui utilise des animaux à titre expérimental dans des laboratoires.



Le collectif associatif International Campaigns a mobilisé plusieurs associations anti-vivisections devant l'Hôtel de Ville de Paris à l'occasion de la "journée mondiale des animaux de laboratoire" qui avait lieu samedi dernier. Christophe Marie, de la Fondation Brigitte Bardot, a indiqué à l'AFP que d'autres rassemblements avaient également lieu, au même moment, en Grande-Bretagne.

De très nombreuses associations étaient réunies, parmi lesquelles la Fondation Brigitte Bardot, Antidote Europe, Animaux en péril, Gaia ou encore Equivita. Les manifestants ont brandi des banderoles avec les slogans choc : "Stop the Torture", "vivisection ? abolition !" ou encore "Dans les laboratoires de vivisection en Europe, un animal meurt toutes les trois secondes".

Des cercueils portant des noms d'animaux "utilisés et sacrifiés" avaient également été disposés sur la place de la mairie de Paris pour protester contre l'utilisation des animaux dans l'industrie cosmétique. Selon les organisateurs, 12 millions en Europe et un milliard d'animaux à travers le monde sont ainsi manipulés et mis à mort pour tester les produits qu'on trouve ensuite dans les grands magasins. Le cortège s'est ensuite rendu place des Vosges, devant la maison de Victor Hugo, "le premier président de la ligue antivivisectionniste française", en 1883.

Le Monde rapporte que les associations dénoncent le "caractère régressif" de la réglementation européenne qui "manque de volonté politique [pour] développer des méthodes substitutives". L'abolition pure et simple de la pratique a été demandée.


D'autres associations de protection des animaux étaient également présentes au défilé ...

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Les animaux familiers matières premières de laboratoire



http://www.one-voice.fr/fr/article/les-animaux-familiers-matieres-premieres-de-laboratoire



Alors qu’ils sont près de 20 millions à partager nos foyers, les chiens et les chats sont également une matière première prisée des laboratoires. Conditions de vie déplorables, transports éprouvants, violences, enfermement, manque de soins… One Voice dénonce des souffrances et des morts indignes de l’humanité et de l’histoire qui nous lie à ces compagnons de longue date.




Empoisonnement, mutilation, brûlure, électrocution, privation de nourriture ou d’eau, gavage, mise en situation de détresse, manque de soins, abandon, mort… selon votre qualité -particulier ou chercheur- ces actes de barbaries sont soit passibles de condamnations pénales, soit tout à fait justifiés, voire encouragés au nom du progrès scientifique. « Deux poids, deux mesures » que One Voice dénoncent au nom de la responsabilité envers ces animaux qui, depuis des siècles, partagent la vie des humains.
Situation schizophrénique
En 2006, 42,7% des foyers français ont choisi la compagnie des chiens ou des chats. Ils sont ainsi, 8,8 millions de chiens et 9,7 millions de chats, plaçant la France au 4e rang mondial pour la possession de félins et au 5e pour celle des canidés. Selon des études très sérieuses, il est avéré que leur présence aide à vivre et à guérir. En plus de rompre la solitude des esseulés, de servir de lien social, l’animal aurait aussi des vertus thérapeutiques. Le seul fait de le caresser entraîne, par exemple, une baisse de la tension artérielle. L’homme et son compagnon à quatre pattes ont évolué ensemble au cours des millénaires. Chats et chiens ont acquis un tel niveau de domestication qu’ils font partie intégrante du foyer. Même si tous nos animaux familiers n’y sont pas traités avec le respect qui leur est dû, comment peut-on accepter les traitements, légalisés et financés par nos impôts, qui leur sont infligés dans les laboratoires ?
Souffrance et morts injustifiables
La fourniture de chiens et chats aux laboratoires entraîne inévitablement souffrance et morts injustifiables que One Voice dénonce par ses actions. Information, en s’appuyant sur des enquêtes d’investigation sur les conditions d’élevage et de détention non respectueuses de la loi ; pétitions et interventions sur le terrain pour le sauvetage d’animaux, pour empêcher l’ouverture de nouveaux centres d’élevage ou réclamer la fermeture de centres indignes sont quelques-unes d’entre elles.


Conditions d’hébergement et traitements dramatiques
La directive européenne est très précise sur les conditions d’élevage et d’expérimentation sur les chiens et chats. Toutefois le manque de transparence, notamment concernant l’utilisation des anesthésiants et analgésiques, le déficit d’informations, le rappel à l’ordre de la Commission européenne pour manquements graves de la France, le secret dans lequel se drapent fournisseurs et laboratoires… nous portent à croire que, dans ces activités à but lucratif, les conditions essentielles du bien-être des animaux sont loin d’être mises en application. Pour preuves, les rapports réalisés par nos enquêteurs infiltrés qui ont constaté, entre autres, que des animaliers utilisaient le Karcher pour calmer les chiens lors d’une sortie pour nettoyer leur cage, ou qu’une petite chatte avait passé trois jours dans une gare en transit vers le laboratoire. Lors du sauvetage de quatre chiennes, que One Voice a réussi à acheter dans un centre d’élevage spécialisé, ou lors de la libération de 9 beagles, l’état des animaux a permis de prendre la mesure de l’horreur : cages sur sol humide, à même les cailloux, isolement alors que le Beagle a besoin de relations sociales, sous alimentation, plaies diverses, terreur devant les autres chiens et les humains, panique à l’approche d’une caresse… Il est vrai qu’en France, il est interdit aux employés des centres d’élevage de chiens de les caresser. À ces souffrances psychologiques et physiques déjà considérables, il faut ajouter les traitements qu’ils subissent au cours des tests où, parfois, le sadisme de certains employés ne fait qu’aggraver une situation déjà dramatique.


Une position moralement critiquable
Le fait que les maladies soient induites de façon artificielle et les différences qui existent entre les espèces compromettent pourtant, selon de nombreux scientifiques, la valeur pour l’être humain des résultats obtenus par ce type d’expériences. L’aspirine, par exemple, provoque des problèmes de grossesse chez les chattes. Tandis que l’Europe a considérablement diminué le nombre d’expériences sur les chiens et les chats et prône le développement de méthodes substitutives, la France se maintient dans une position moralement critiquable. L’hexagone se place en effet au premier rang du nombre de chats utilisés et au second pour les chiens. Et cela, en dépit de la désapprobation d’une grande majorité de ses citoyens : 72 % des Français sont contre l’expérimentation sur chiens et chats (sondage Ipsos/One Voice – Février 2003).
72 % des Français sont contre l’expérimentation sur chiens et chats (sondage Ipsos/One Voice – Février 2003).

Domaines de recherche sur chiens et chats
En 2004, 1 313 chats et 5 539 chiens ont été utilisés en France à des fins expérimentales (cf. Rapport statistique du Ministère de l’Education supérieure et de la Recherche). Ce sont surtout les Beagles, pour leur douceur et leur taille appropriée aux manipulations, ainsi que les Labrador et Golden Retriever (les chiens préférés des Français) qui sont utilisés pour la vivisection. Les chats sont principalement utilisés dans la recherche et le développement pour les produits et les applications pharmaceutiques, dentaires et vétérinaires, tout comme les chiens, qui sont toutefois plus largement employés dans les tests de toxicité et d’innocuité des produits. Les domaines de recherche sur les chats concernent le sommeil, le cerveau et le comportement, l’équilibre et la vision. Pour les chiens : tests de médicaments, digestion, cœur et système sanguin.

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