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pacemaker91

Le salon de l'Agriculture - année 2011

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Ici les informations du salon de l'Agriculture en 2011, bien évidement un salon que l'association animal ami ne peut pas soutenir !!

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Attention, les résistances aux antibiotiques qui touchent les animaux peuvent avoir des conséquences dramatiques chez l'homme.



Le Salon de l'agriculture bat son plein. De magnifiques animaux, en pleine santé (du moins à leur arrivée, car le séjour parisien est souvent rude pour eux), y sont présentés, choyés et caressés. Et pourtant il ne faut pas oublier le sort réservé à tous ceux élevés dans des conditions très difficiles, parfois en batterie, qui ne verront jamais un brin d'herbe fraîche, voire la lumière du jour. Et qui recevront des antibiotiques plus souvent que de raison pour prévenir les risques sanitaires d'un manque de propreté et d'un excès de promiscuité.
"Pendant longtemps on a donné des antibiotiques à petite dose pour favoriser la croissance des animaux d'élevage", rappelle le Pr Patrice Courvalin, éminent spécialiste des résistances aux antibiotiques à l'institut Pasteur de Paris et qui s'est battu avec vigueur contre ce type d'usage dont les bénéfices sur la taille n'ont jamais été prouvés et qui a été finalement interdit en Europe en 1999. "Aujourd'hui, on donne toujours des antibiotiques à forte dose pour traiter des maladies, mais aussi à dose moyenne pour prévenir les épidémies dans les élevages. C'est la facilité pour ceux qui ne sont pas assez attentifs à l'hygiène."
Les antibiotiques récents sont plus actifs
Et ils doivent être nombreux si l'on en croit les experts de l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail), qui a récemment organisé une journée sur l'antibiorésistance en santé animale en collaboration avec la Direction générale de l'alimentation et la Direction générale de la santé et de la protection du consommateur de la Commission européenne.

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La PMAF débat du bien-être au Salon International de l'Agriculture


http://pmaf.org/news/80/86/La-PMAF-debat-du-bien-etre-au-Salon-International-de-l-Agriculture.html




Mardi 22 février, la PMAF sera au Salon International de l'Agriculture pour participer à un débat public « Bien-être et protection des animaux d'élevage : une attention quotidienne ».


Organisé par le stand Terre d'Elevage1, ce débat s'inscrit dans une série de cinq conférences du lundi 21 au vendredi 25 février.
Au travers de témoignages concrets, un éleveur de bovin, un expert de l'Institut de l'Elevage et un salarié de la PMAF échangeront ouvertement avec une quinzaine d'interlocuteurs en contact avec le bien-être animal dans leur vie professionnelle : élus, journalistes, éleveurs, etc.
La PMAF exposera ses différents points de vue sur l'élevage, le transport et l'abattage des ruminants et ses actions entreprises dans un esprit de construction et de dialogue. Une bonne occasion pour la PMAF d'être le porte-parole des citoyens, des consommateurs, … et des animaux bien sûr !
Située dans un espace ouvert, vous pouvez venir suivre cette conférence en vous rendant sur le stand « Terre d’élevage, Terre durable » (Hall 1 - Allée K – stand n°77/78) mardi 22 février à 17h.1 Le stand Terre d’élevage regroupe la Confédération Nationale de l’élevage, le Centre National Interprofessionnel de l'Economie Laitière (Cniel), l’Interprofession laitière, le Centre d'Information des Viandes (CIV) et FranceAgriMer.

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Le 23/02/2011
5ème jour : les marchés aux "bestiaux"




Voir la vidéo
Marché aux "bestiaux"



On croit que le lait et les fromages sont des produits qui ne causent pas de souffrances aux animaux. On nous dit souvent que la traite soulage ! Pourtant l'état dans lequel nous retrouvons les vaches et les chèvres après quelques années de service est inquiétant. En plus d'avoir subi de nombreuses séparations douloureuses d'avec leurs petits, elles souffrent fréquemment de boiteries et de mammites (inflammation des pis).

Dans cette vidéo, nous pouvons voir des vaches laitières d'une maigreur extrême. La sélection génétique vise avant tout à augmenter leur rendement, leur système digestif est tellement "optimisé" pour la lactation qu'il ne nourrit plus la vache souffrant alors de la faim !

Epuisées par cette production laitière intensive, les vaches sont envoyées à l'abattoir vers 5 ans alors que leur espérance de vie est de 20 ans et plus. Les chèvres, maigrichonnes elles aussi, ont des onglons (sabots) dont la corne pousse continuellement : sur les marchés, certaines chèvres les ont très longs alors qu'ils devraient être taillés régulièrement.

Du côté des petits que les éleveur doivent faire naître pour activer la lactation, ils sont brinqueballés dès leur plus jeune âge et s'ils ne sont pas gardés pour venir renouveler le cheptel, ils finissent le plus souvent rapidement dans les abattoirs.

A lire le dossier Lait, yaourt, formage : souffrance insoupçonnée
(ancien lavachequipleure.com)

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http://www.l214.com/


Bruno Le Maire soutient l'élevage en batterie

23/02/2011

Aujourd'hui, 6ème jour : les poules pondeuses




Images tournées en France en 2010.
Sixième enquête vidéo d'une série de 9 enquêtes qui seront révélées chaque jour tout au long de la tenue du salon.


  • Lire Bruno Le Maire soutient l'élevage en batterie

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@Choupi91 a écrit:



http://www.l214.com/


Bruno Le Maire soutient l'élevage en batterie

23/02/2011

Aujourd'hui, 6ème jour : les poules pondeuses




Images tournées en France en 2010.
Sixième enquête vidéo d'une série de 9 enquêtes qui seront révélées chaque jour tout au long de la tenue du salon.


  • Lire Bruno Le Maire soutient l'élevage en batterie



http://www.l214.com/salon-agriculture-2011/6eme-jour-poules-pondeuses

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http://www.l214.com/salon-agriculture


7ème jour : les poulets de chair




Voir la vidéo

En France, 740 millions de poulets sont tués chaque année. 82% d'entre eux sont élevés dans des élevages intensifs, dans d'immenses hangars, grandissant sur une litière de plus en plus sale à mesure que les jours passent.

Les poulets qui grandissent dans ces endroits nauséabonds et sombres sont issus de souches à croissance rapide : la recherche scientifique, par croisements génétiques, a créé ces poulets dont les muscles grossissent plus vite que le reste de leur corps, en particulier que leurs os et leur coeur. Ce sont des animaux boiteux exposés aux insuffisances cardiaques et nombre d'entre eux en meurent avant le ramassage qui intervient le plus souvent à leur 42e jour.

Les images que nous vous dévoilons aujourd'hui ont été tournées pendant un ramassage à destination de l'abattoir. On peut y voir ces milliers d'oiseaux littéralement cueillis par des ouvriers pressés par la rentabilité.

Une face de plus du modèle agricole français qui ne prend soin ni des animaux, ni des êtres humains, ni de l'environnement.
Passons à l'action : écrire aux maires



Aujourd'hui, on remet ça avec les communes : nous vous proposons de toucher les mairies qui gèrent bien souvent, entre autres, les cantines scolaires des écoles primaires et les cantines municipales. C'est aujourd'hui une amorce qui sera suivie d'une campagne coordonnée par l'Association Végétarienne de France et L214.

Ecrivez à votre mairie (ou à celle de la ville la plus proche) par mail ou par courrier. Incitez-les à suivre les enquêtes de cette semaine et à mettre en place dans leur ville les jours végétariens hebdomadaires. Un jour par semaine où les produits d'origine animale sont retirés du menu, c'est moins d'animaux dans les élevages, moins de départ pour l'abattoir, moins de problèmes de santé chez les humains, un meilleur partage des ressources et moins de dégâts sur l'environnement.

Madame, Monsieur,

Le Salon de l'Agriculture est une occasion de faire le point sur notre alimentation. La France fait partie des pays européens dont les habitants consomment le plus de viande, beurre, fromage et œufs. Elle est également dans le peloton de tête en ce qui concerne les produits de la mer. Seul l'élevage industriel et la surpêche permettent un tel niveau de consommation.
Pendant la durée du Salon, chaque jour, vous pouvez suivre une nouvelle enquête vidéo sur le site www.L214.com qui dévoile en quelques minutes le modèle agricole français. A votre disposition également, le site viande.info qui expose les dégâts provoqués par le modèle alimentaire et agricole français sur les animaux, les êtres humains et l'environnement.
Il est désormais indispensable de se mobiliser pour limiter les dégâts. Une proposition simple permet d'atténuer notre impact dans l'ensemble des domaines : il s'agit de promouvoir le jour végétarien hebdomadaire. La restauration scolaire est en effet une excellente façon de sensibiliser les citoyens de demain et de leur faire découvrir qu'une alimentation équilibrée peut se composer facilement à base de végétaux.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.

À demain 9h pour www.L214.com la prochaine vidéo de "notre" salon de l'agriculture.


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8ème jour : les canards




Voir la vidéo

En France, on ne gave que les canards mâles. 43 millions de femelles sont donc écartées peu après l'éclosion : broyées, gazées ou parfois expédiées dans les pays de l'Est.

En France, les canards gavés sont maintenus pour 87% d'entre eux dans d'étroites cages individuelles. C'est pourtant interdit dans l'Union européenne depuis le 1er janvier 2011. Mais, en France, le ministère de l'Agriculture étant à la botte des filières, il semble impossible de faire respecter la réglementation.

En France, on gave à la pompe hydraulique ou pneumatique qui en quelques secondes injecte jusqu'à 900g de pâtée dans le jabot des oiseaux.

En France, 1 million de canards meurent en cours de gavage.

En France, on mange le foie de canards malades ayant contracté une stéatose hépatique.

Ailleurs, nombre de pays interdisent le gavage, considéré comme un acte de cruauté envers les animaux.

Peut-on encore faire passer pour une tradition de savoir-vivre une coutume barbare qui consiste à enfoncer dans la gorge d'un animal encagé l'embout d'un entonnoir ou d'une pompe pneumatique ? Peut-on en être fier ?
En savoir plus sur la production de foie gras


Passons à l'action :
écrire à la Commission européenne




Voici des années que nous luttons contre un délai concernant la disparition des cages individuelles.

Après avoir accordé un délai supplémentaire de 5 ans à la filière française du foie gras pour mettre ses cages aux normes européennes, le ministère de l'Agriculture prévoit aujourd'hui de lui apporter une aide financière pour installer de nouvelles cages, qui, selon toute vraisemblance, ne respecteront même pas la législation. La Commission européenne avait reconnu que notre plainte à l'encontre de la France au sujet des cages individuelles était fondée mais avait déclaré préférer suivre les évolutions plutôt que de sanctionner par « souci d'efficacité » (sic).

C'est pourquoi, nous faisons appel à vous pour inciter la Commission européenne à réagir fermement à l'encontre de la France qui s'illustre par ses infractions aux réglementations européennes.
Un exemple de courrier



Madame, Monsieur,

La Recommandation du Conseil de l'Europe de 1999 protégeant les canards utilisés dans la production de foie gras interdit aujourd'hui les cages individuelles. Les producteurs ont eu 12 ans pour se mettre aux normes.
Pourtant, aujourd'hui, en France, elles continuent d'être massivement utilisées par la filière. La Commission européenne n'est-elle pas dotée d'un système de sanctions proportionné, dissuasif et effectif ?
Le ministère de l'Agriculture demande votre approbation pour une aide financière concernant la mise aux normes de ces élevages hors la loi. Cela soulève trois objections :

  • Accéder à une telle demande serait donner un signal désastreux. On indiquerait par là qu’ignorer les décisions européennes est une stratégie gagnante : il suffit de jouer l’immobilisme, de clamer qu’il est impossible d’effectuer les adaptations nécessaires dans les délais impartis puis de mendier auprès des pouvoirs publics pour voir pleuvoir des aides importantes.
  • En France, le chiffre d'affaire de cette filière se dénombre en milliard d'euros. Dans d'autres pays, la mise aux normes s'est faite sans l'aide des pouvoirs publics. Va-t-on introduire une distorsion de concurrence au profit des gaveurs français ?
  • La plupart des systèmes alternatifs développés en France, en particulier les cages collectives ne répondent pas à l'article 10 en particulier points 2, 6, 7 et 10 de la Recommandation concernant l'accès à l'eau, la litière et la liberté de mouvement. Va-t-on financer des cages collectives illégales ?


Aussi, je vous demande de bien vouloir agir au plus vite pour faire respecter la réglementation en vigueur et de refuser de donner des aides à une filière loin d'être dans le besoin.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.
A qui adresser cette lettre ?



Au sein de la Commission européenne, la DG Sanco est en charge des questions relatives aux animaux.
On peut la joindre par un formulaire sur son site. On peut également le faire par courrier à cette adresse :
Commission Européenne
Health & Consumers Directorate-General
B – 1049 Bruxelles
Belgique
Merci de votre mobilisation à nos côtés !



À demain 9h www.L214.com pour la dernière vidéo de "notre" salon de l'agriculture.

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source : association L214





9ème jour : les dindes




Voir la vidéo

Tout au long de cette semaine, nous aurons suivi un instant quelques milliers d'animaux, dans la vraie vie, dans l'envers du décor, détenus dans des élevages où leur morne vie s'écoule avant le départ pour l'abattoir. Nous aurons vu l’enfer ordinaire des élevages ordinaires : c’est ainsi que « notre modèle agricole et alimentaire » emprisonne, mutile, déforme par sélection génétique, brutalise, et finalement tue un milliard d’animaux par an.

Cette dernière vidéo de la semaine porte sur les dindes. Les dindes et les dindons sont en effet élevés séparément, leurs courbes de croissance étant trop différentes. Moins grosses que les dindons, les dindes sont attrapées par deux lors du ramassage et balancées dans des caisses de transports. Des images aussi dures que celles des vidéos précédentes : banalité de la violence faite aux animaux.
De l'énergie pour continuer



Ces enquêtes demandent un investissement de notre part, elles nous exposent à des dangers aussi bien physiques que juridiques. C'est que les filières n'apprécient guère que l'on dévoile la réalité de ce que vivent les animaux d'élevage. Si ce n’est déjà fait, vous pouvez aider L214 à continuer son travail d'information par un don ou par une adhésion.

Tout au long de cette semaine, nous avons reçu des messages de soutien et des copies de lettres que vous avez envoyées aux élus : un excellent carburant pour renforcer notre détermination !

Continuons dans les semaines et mois qui viennent à adresser des courriers aux grandes enseignes, élus ou institutions afin d’être entendus.
Nous vous remercions chaleureusement de cette semaine de mobilisation à nos côtés ! A très bientôt.

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Invité
Bien sur que même au salon de l'agriculture les animaux sont stréssés, on tripote la vache , son veau elle en a marre de ces gens qui tatent à tout vent , mais oui il faut bien amuser les citadins , pour ne pas qu'ils croient que les bêtes ne sont que dans les zoos........mais dans une zonz clin pour les voir

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