pacemaker91 0 Posté(e) le 18 novembre 2011 Grande diffusion, s'il vous plaît, pour PEYOT mort de faim et de soif à Badefols-sur-Dordogne! Vous découvrirez sa terrible histoire en pièce jointe à communiquer en même temps que l'envoi de la lettre aux adresses ci-dessous.On peut également coller cette lettre directement dans le site de ce village pas vraiment sympa, c'est le moins que l'on puisse en dire!http://www.pays-de-bergerac.com/mairie/badefols-dordogne/contact_mairie.htmMerci de communiquer un max! Je compte sur vous!Merci beaucoup. Stella E-mails: wlmailhtml:contact@pays-de-bergerac.com, wlmailhtml:v.demade@wanadoo.fr, wlmailhtml:e.lachaud@wanadoo.fr, wlmailhtml:ph-baldo@wanadoo.fr, wlmailhtml:office.buissoncadouin@wanadoo.fr, wlmailhtml:spanc-cccadouin@wanadoo.fr, wlmailhtml:e.pivetta@wanadoo.fr, wlmailhtml:marpadubuisson1@orange.fr, wlmailhtml:chapichapo0438@orange.fr Monsieur le Maire, Mesdames, Messieurs,C’est avec effarement que je viens de prendre connaissance de l’histoire terrible du chien PEYOT dont personne ne s’est préoccupé alors qu’il est mort lentement, dans la solitude, dans la souffrance et l’indifférence de tout un village et d’une SPA qui n’est, à mon sens, pas digne de ce nom. Il ne s’agit pas pour vous, pour nous, de nous dire : après tout ce n’était qu’un chien ; il s’agit encore moins pour vous, pour nous de lui demander pardon car ce serait trop simple. Il s’agit pour vous, Monsieur le Maire, pour nous et pour toutes les personnes qui l’ont laissé à sa triste agonie, de nous poser la question : Mais que vaut notre humanité et de quoi sont faites nos valeurs morales ? Car c’est bien de cela qu’il s’agit ! PEYOT est mort d’une mort infâme parce que l’être humain est infâme, parce que toutes les personnes qui auraient pu lui épargner une mort dont elles-mêmes en frémiraient d’avance sont infâmes. Aimer les animaux, Monsieur le Maire, ne veut pas dire se désintéresser de ses contemporains, bien au contraire. Aucune fierté, aucun bonheur ne peuvent naître d’un cœur qui ne sait compatir et ne sait protéger la vie tout simplement, parce qu’une vie quelle qu’elle soit est précieuse. Je ne vous salue pas Monsieur le Maire. Je ne salue pas votre village, j’écris plutôt : Honte à lui ! Par ce courriel il n’aura pas été dit que ce pauvre animal sera parti sans une dernière pensée compatissante, certes, mais ô combien douloureuse et écoeurée : la mienne ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites