Admin-lane 0 Posté(e) le 27 novembre 2010 Sujet en provenance du Blog UnanimusL'ARTICLE INTEGRAL ICIIl semblerait bien que dans un très proche avenir, il soit impossible de se procurer soit des médicaments à base de plantes, soit des plantes elles-mêmes.Pourquoi ? Le lobbying des industries chimiques et/ou pharmaceutiques a frappé !Il semblerait bien les préparations à base de plante vont disparaître, ainsi que la possibilité pour les herboristes de les prescrire !. Depuis de nombreuses années, l’industrie pharmaceutique, tente d’éliminer toute concurrence, Il semble bien que le but soit atteint, puisque le 1er avril 2011 pratiquement toutes les plantes médicinales seront illégales dans l’Union Européenne. L’approche adoptée aux Etats-Unis est un peu différente, mais a le même effet dévastateur. Serions-nous devenues de simples COBAYES HUMAINS pour toutes les cochonneries que l’industrie pharmaceutique choisit de mettre sur le marché! Et, en plus, nous devons payer le prix imposé sans avoir la certitude d'un résultat... On ne nous laisse plus le choix... Les lobbyings en place sont quasiment arrivés à contrôler ou plutôt à limiter nos choix en matière de santé ! On peut ajouter que c'est à peu près la même chose avec la nourriture (les OGM par ex). De là à penser que ce "CONTROLE" nous interdira le libre choix en matière de soins et de santé, il n'y a qu'un pas !!!. Cela fait froid dans le dos quand on sait que les mérites vantés à force de marketing et de publicité ne sont pas totalement fondés puisqu'il n'y a aucune preuve de l'inocuité à long terme de certains produits. Il suffit souvent de regarder les notices des médicaments pour voir les nombreux effets secondaires engendrés. Ca vous donne envie de les prendre ? Moi non... Ne dit-on pas souvent : on soigne d'un côté pour détraquer un autre côté. La directive européenne pour les produits à base de plantes médicinales traditionnelles (THMPD) a été décrétée le 31 mars 2004.(1) Elle réglemente l’usage des produits à base de plantes qui étaient auparavant librement échangés. Cette directive demande à ce que toutes les préparations à base de plantes soit soumises au même type de procédure que les médicaments. Peu importe si une plante est d’un usage courant depuis des milliers d’années. Le coût de cette procédure, estimé de 90.000 à 140.000 euros par plante ! C'est bien au-delà de ce que la plupart des fabricants peuvent payer, et chaque plante d’un composé doit être traitée séparément. Peu importe si une plante utilisée depuis des milliers d’années est sans danger et efficace. Elle sera considérée comme un médicament. Bien sûr, les plantes sont loin d’être des médicaments. Ce sont des préparations faites à partir de sources biologiques. Elles ne sont pas nécessairement purifiées, car cela peut modifier leur nature et leur efficacité, comme pour tout aliment. C’est une distorsion de leur nature et de la nature de l’herboriste de les prendre pour des médicaments. Cela, bien sûr, ne compte pas pour le monde pharmaceutique européen contrôlé par Big Pharma, qui a gravé le corporatisme dans le marbre de sa constitution. Le Dr. Robert Verkerk de l’Alliance for Natural Health, International (ANH) décrit le problème qui se pose si l’on demande à ce que les préparations à base de plantes répondent aux mêmes normes de conformité que les médicaments : Faire passer un remède classique à base de plantes provenant d’une culture médicale traditionnelle non-européenne au travers du système d’autorisation de mise sur le marché de l’UE s’apparente à faire passer une cheville carrée dans un trou rond. Le système de régulation ignore les traditions spécifiques et n’est donc pas adapté. Une adaptation est requise de toute urgence si la directive est discriminatoire à l’égard des cultures non-européennes et viole par conséquent les droits de l’homme.(2) Droit commercial Pour mieux comprendre comment cela peut se produire, il faut savoir que les lois du commerce ont été au centre des initiatives visant à mettre tous les aspects de l’alimentation et la médecine sous le contrôle de l’industrie pharmaceutique et de l’agrobusiness. Si vous avez suivi ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis concernant le lait cru et la Food and Drug Administration (FDA) qui déclare que les aliments se transforment par magie en médicaments quand on affirme qu’ils sont bons pour la santé, vous avez pu remarquer que la Federal Trade Commission (FTC) a pris part au processus. Les aliments et les médecines traditionnelles sont considérés comme des questions commerciales plutôt que comme une question de droits de l’homme. Cela place les désirs des grandes corporations, plutôt que les besoins et désirs des gens, au centre des lois sur les aliments et plantes. C’est cette distorsion qui transparaît dans les déclarations outrageusement absurdes de la FDA, affirmant par exemple que les Cheerios (des céréales de petit-déjeûner) et les noix sont presque des médicaments simplement parce qu’on dit que c’est bon pour la santé. Le but de tout cela est de sécuriser le monde pour le libre-échange des méga-corporations. Les besoins et la santé des gens ne rentrent tout simplement pas en considération. Comment lutter contre cette intrusion sur notre santé et notre bien-être et j'ajoute notre liberté de choix! Ce n’est pas chose faite, du moins, pas tout à fait. Si vous tenez aux plantes, et si vous vous souciez des vitamines et autres suppléments, agissez s’il vous plait. Même si ces questions vous semblent sans importance, pensez aux gens pour qui ça ne l’est pas. Doit-on leur interdire le droit au traitement médical et aux soins de santé de leur choix ? L’ANH lutte activement contre ces intrusions. Ils vont actuellement devant les tribunaux pour tenter de stopper la mise en application de la THMPD. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils réussiront, mais l’histoire récente montre qu’aucune manœuvre légale ne peut s’opposer à ce rouleau compresseur. Nous ne pouvons pas nous asseoir et attendre les résultats de leurs efforts. Nous devons voir leurs efforts comme faisant partie d’un tout, dans lequel nous jouons tous un rôle. C’est A NOUS TOUS, à chacun d’entre-nous, d’agir. Si vous vivez en Europe, envoyez s’il vous plaît une lettre ou un message à votre Membre du Parlement Européen. Envoyez une lettre déclarant, en termes non équivoques, que vous soutenez fortement l’action de l’ANH pour stopper la mise en application de la THMPD et que vous espérez qu’ils vont aussi prendre position pour les droits des gens de pouvoir choisir les remèdes médicinaux si cela est leur volonté. C’est seulement en luttant activement que cette farce contre notre bien-être et notre liberté peut être stoppée.. Si nous restons dans l’apathie, alors ça arrivera. Notre droit à protéger notre santé et celle de nos enfants est sur la balance. Si vous vous souciez du bien-être de vos enfants et petits-enfants, vous devez agir. Exprimez-vous, car maintenant, c’est le moment de vérité. Vous pouvez rester assis et ne rien faire, ou vous pouvez vous exprimer. Et après l’avoir fait, parlez-en à toutes les personnes que vous connaissez. Dites-leur qu’il est temps d’agir. Il n’y a vraiment pas de temps à perdre. Lettre-type en français Concerne : Directive sur les plantes médicinales traditionnelles Madame, Monsieur, Je soutiens vivement les systèmes de santé traditionnels anciens, y compris ceux qui se sont construits au fil des millénaires dans des pays non-européens. Jusqu’à maintenant, aucune plante chinoise ou indienne (ayurvédique) n’a fait l’objet d’une autorisation au titre des dispositions prévues par la directive. Je suis préoccupé par le fait que les plantes issues de ces traditions, et que j’utilise comme compléments alimentaires depuis de nombreuses années, soient interdites au terme de la période transitoire prévue par la directive, à savoir le 31 mars 2011. Il convient d’apporter en urgence des amendements à cette directive afin qu’elle prenne davantage en compte les préparations à base de plantes non-européennes. Je vous prie instamment d’exercer les pressions nécessaires sur votre gouvernement ainsi que sur la Direction générale de la santé et des consommateurs (DG SANCO) afin de présenter de tels amendements. Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes meilleures salutations. Une autre lettre-type Concerne : Directive sur les plantes médicinales traditionnelles Madame, Monsieur, Venant d’apprendre avec stupeur le projet Européen concernant l’interdiction des plantes médicinales, je m’insurge quant à cette violation primaire aux droits humains. Ma famille s’est toujours soignée par les plantes et a constaté leur haute efficacité. Doit-on devenir des cobayes des lobbys pharmaceutiques sans alternative, sachant y compris que les médicaments qui soignent un problème spécifique ont des effets secondaires catastrophiques à d’autres niveaux ? J’estime qu’on ne peut pas annuler un savoir ancestral de médecine par les plantes pour le seul profit de multinationales pharmaceutiques. L’heure est très grave et je vous prie de prendre en compte ce cri d’alarme avant que de sérieux problèmes n’émergent. Il convient d’apporter en urgence des amendements à cette directive afin qu’elle prenne davantage en compte les préparations à base de plantes non-Européennes. Je vous prie instamment d’exercer les pressions nécessaires au Parlement européen ainsi que sur la Direction générale de la santé et des consommateurs (DG SANCO) afin de présenter de tels amendements. Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes meilleures salutations. L'auteur de cette alerte (Yves Michel sur Unanimus) a fait un lien avec le Codex Alimentarius [2], "Cette Directive Européenne s’inscrit en droite ligne avec cette ignominie qu’est le Codex Alimentaire qui est entré en vigueur le 31 décembre 2009, et que le gouvernement Sarkozy a avalisé et cautionne dans sa version officielle". http://www.senat.fr/rap/r99-450/r99-4500.html Alors que L’Afrique du Sud et l’Inde refusent de se soumettre à ces directives, et qu'aux États-Unis et au Royaume-Uni, la résistance s’organise. Cela signifie que des centaines de compléments alimentaires, des remèdes simples, deviendront introuvables dans leur forme efficace. Le but des règles du Codex qui s’appliqueront au niveau mondial est de bloquer la production de tout ce qui ne tombe pas directement dans l’escarcelle de l’industrie pharmaceutique. Le Codex n’est rien d’autre qu’un moyen assurant le contrôle des sources de nourriture de la ferme à la fourchette. Cela va même beaucoup plus loin : en plus de s’occuper de l’alimentation, le Codex définit aussi les normes pour les vitamines et compléments alimentaires, les nomenclatures de soins, les aliments biologiques, les aliments OGM, l’étiquetage sur les emballages alimentaires, la publicité pour les aliments, les additifs alimentaires et les résidus de pesticides et de drogues vétérinaires dans les aliments. Il va de soi que, pour toutes ces questions, que nous sommes en droit de penser que des puissances économiques agissant à notre insu et je dirai même contre nous, les autres humains... l’OMS et le Codex entendent privilégier leurs propres intérêts économiques, et surtout ceux des industries pharmaceutiques, chimiques et génétiques qu’elles contrôlent par l’intermédiaire de la finance internationale. Ainsi, par exemple, les vitamines qui seront commercialisées en dehors des circuits de Big Pharma, ne pourront l’être que si elles contiennent très peu de substance active, c’est-à-dire si elles ne servent à rien. Ces règles ont été approuvées par le Parlement de l’Union européenne en 2002. Alors que la Convention de Stockholm s’est efforcée de réduire la présence de pesticides autorisés dans les aliments, le Codex autorise sept des neufs pesticides les plus toxiques au monde, avec 206 autres pesticides toxiques !Le Dr Matthias Rath écrivait le 1er décembre 2008 : « Le Codex Alimentaire sera vu par les générations à venir comme la plus grande menace contre le droit humain fondamental à la santé. Jamais auparavant dans l’histoire un petit groupe d’intérêts, l’industrie pharmaceutique, n’avait essayé de manière aussi éhontée de compromettre la santé de millions de gens de façon à maintenir ses milliards de dollars de vente de médicaments prescrits » Bienvenue dans la belle et grande prison appelée Europe… belle violation des droits de l’homme, Charte Européenne des Droits de l’Homme déjà violée par la « Note Explicative à La Charte Européenne des Droits de l’Homme »….Dans le même esprit : Au Canada: avec la loi (bill c 51), ils se sont donnés les moyens de mettre en état d'arrestation toute personne cultivant des plantes ayant des propriétés médicinales, même si vous la cultivez pour le culinaire, le romarin par exemple.Présentement, la loi n'est pas appliquée, mais elle est applicable. Sources : En anglais : http://gaia-health.com/articles301/000301-big-pharma-scores-big-win-medicinal-herbs-disappear-eu.shtml En français : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8816 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 26 mars 2011 Comme je l'annonçais dès le 27 novembre 2010, les plantes médecinales ou considérées comme telles vont devenir illégales en France et dans l'Union Européenne. De nombreux compléments alimentaires sont donc aussi visés puisqu'ils sont composés en grande partie de plantes !Après le 30 avril 2011, de nombreux produits et compléments alimentaires à base de plantes vont devenir illégaux en France. Il faut être conscient qu'il sagit d'une restriction supplémentaire à notre liberté de choisir nos thérapies.... Au mieux, avant d'être mises sur le marché, pour les plantes qui seront "autorisées" au même titre que les médicaments, il est question de leur faire subir un traitement afin de retirer de la plante certains des composants actifs... J'en avais parlé à l'époque avec le pharmacien près de chez moi... il n'était pas au courant !!! J'en avais aussi parlé avec mon médecin : lui non plus n'avait pas cette information.Ma conclusion est que l'on se moque complètement de nous, français et Européens... bien que cela ne soit guère mieux aux Etats-Unis, selon les documents que j'ai pu lire à ce sujet (avec des difficultés certaines car tout est en anglais avec des termes qui par moments m'ont paru obscurs!).Si demain vous voulez pouvoir vous "soigner" naturellement, il est impératif de signer la pétition qui suit (en bas de la page). On veut nous enlever le droit de nous soigner librement. On veut nous imposer la médication chimique et tant pis pour les effets secondaires... En conséquence nous devenons tous des cobayes du lobbying pharmaceutique et donc pour certains d'entre-nous des morts en puissance !!!Cette puissante industrie veut faire taire et tomber dans l'oubli la connaissance des remèdes ancestraux qui ont fait leur preuve (le savoir-faire).... juste pour pouvoir s'approprier à 100% les effets bénéfiques des propriétés des plantes. La plupart des médicaments sont, il ne faut pas l'oublier, des copies chimiques de produits naturels... et cette chimie n'est pas la meilleure symbiose qui soit pour notre organisme.Tout le monde n'a pas un jardin pour pouvoir cultiver ses propres plantes médecinales ou aromatiques... Les plantes ont des propriétés spécifiques pour les humains et pour les animaux, nombreuses sont celles qui sont utilisées depuis des centaines, voire des milliers d'années... Autrefois dans les facultés l'enseignement de l'herboristerie avait sa place... Le métier d'herboriste, en France, a été supprimé en 1941... et la botanique n'est plus enseignée...Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Parce qu'une nouvelle directive européenne, la THMPD (Traditional Herbal Medicinal Products Directive) va être transposée en droit français. (voir l'article précédent)Cette directive impose aux produits thérapeutiques à base de plantes de passer par une procédure d'agrément simplifiée par rapport aux médicaments normaux, mais néanmoins extrêmement lourde pour des petits producteurs qui n'ont pas les moyens financiers, ni les bataillons d'avocats des grands groupes pharmaceutiques.Cette directive, qui date de 2004, a déjà été partiellement transposée dans notre droit en 2008, en imposant cette procédure aux nouveaux produits entrant sur le marché européen.La Médecine traditionnelle Chinoise (MTC) et l'Ayurveda (médecine indienne), ont été particulièrement touchés. Les patients et citoyens européens ont été privés de centaines de produits, qui auraient pu potentiellement soigner leurs maladies, sans qu'ils s'en aperçoivent. Mais cette directive épargnait jusqu'à présent les produits qui étaient déjà commercialisés depuis longtemps sur notre continent, en particulier évidemment les plantes européennes bien connues.Or, à partir du 30 avril, tous les produits à base de plantes, et portant des allégations thérapeutiques, même reconnues depuis des centaines ou des milliers d'années, vont devoir passer par cette procédure. On estime que cela coûtera aux fabricants entre 100 000 et 150 000 euros de faire agréer un seul produit.Sans aucun doute, des centaines, voire des milliers de plantes vont disparaître des rayons des distributeurs.Selon vous, à qui va profiter "le crime", qui va faire des bénéfices sur notre dos ? Les multinationales pharmaceutiques bien sûr !!! Elles doivent se frotter les mains d'avance : par ici les sous... Face à ce péril, des patients et des citoyens se sont organisés pour résister et une pétition a été lancée... que vous pouvez signer en cliquant en bas de cette page.- En Angleterre, c'est l'Alliance for Natural Health (ANH) qui mène le combat. - Au niveau européen, une fondation a été créée la European Benefyt Foundation, pour la défense de la Médecine Traditionnelle Chinoise.- En France, de nombreux sites Internet (dont Love Animalia Naturalis) et groupes de militants ont diffusé l'information. L'organisateur de la pétition a créé un Collectif pour la Défense de la Médecine Naturelle.S'il existe des charlatans, cela ne justifie pas les persécutions que subissent de nombreux producteurs de plantes et de compléments alimentaires. Toute cette vigilance profiterait plus au bien collectif si elle servait à mieux vérifier ce qui se trouve dans les médicaments issus de la pétrochimie, dont les effets secondaires sont, pour le coup, incontestables et parfois gravissimes.Faut-il rappeler l'affaire du Vioxx, de l'Avandia, du Médiator, et, aujourd'hui, du Buflomédil ?•Nous pensons que la directive THMPD impose une procédure administrative trop lourde et trop coûteuse pour de nombreux traitements naturels qui existent depuis longtemps, et qui ne sont pas dangereux.•L'argument de notre « sécurité » nous semble être une fois de plus utilisé pour justifier des atteintes à nos droits humains fondamentaux.•Nous ne voulons pas de cette nouvelle restriction de notre liberté à nous soigner autrement.Bien entendu, nous vous encourageons à faire toutes les recherches nécessaires sur Internet concernant cette affaire, afin de vous faire votre propre opinion, sans vous arrêter aux personnes qui affirment un peu vite qu'il n'y a pas de danger !!Il est plus que jamais urgent de signer notre pétition.Il y en a marre de voir nos libertés s'envoler les unes après les autres ! Il y en a marre que l'on veuille sans cesse nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Il y en a marre que l'on veuille tout régenter, tout aseptiser... Il faut des lois, c'est certain, pour préserver l'ordre public... Là on pousse le bouchon un peu trop loin, juste pour le profit de quelques-uns...Et puis vous savez quoi : à force de vouloir tout aseptiser : notre organisme ne fabrique plus les anticorps pour faire face à certaines attaques microbiennes... résultat : notre organisme s'affaiblit. Je reste persuadée, personnellement, que c'est une des raisons pour lesquelles nous développons de plus en plus d'allergies... Il y a un juste milieu à ne pas dépasser pour préserver notre santé !!!Source : Défense médecine naturelle Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 26 mars 2011 “ Si les gens du peuple permettent au gouvernement de décider de leur nourriture et de leurs médicaments, leurs corps ne tarderont pas à présenter l’état pitoyable des âmes qui vivent sous la tyrannie. »Thomas JEFFERSON, (1743-1826) 3ème Président des Etats-Unis, auteur de la Déclaration d’Indépendance Voici ce que dit un médecin, à propos de la réglementation en cours d'application...Nous avons permis à l’industrie pharmaceutique de corrompre les règles de la science. Nous avons accepté de garder le silence quand, en douce, des connivences se sont créées entre les gouvernements, les pouvoirs académiques et l’industrie pour camoufler des informations indispensables à nos patients. Nous sommes aussi restés silencieux quand nos facultés de médecine ont, à la chaîne, produit des diplômés qui n’ont aucune connaissance des dilemmes et des scandales que l’on retrouve médecine. Nous avons permis que la corruption s’installe dans de nombreux journaux médicaux.Dr Aubrey BLUMSOHNhttp://gaia-health.com/articles301/000301-big-pharma-scores-big-win-medicinal-herbs-disappear-eu.shtmlhttp://www.amisdelaterre.org/Les-Plantes-Medicinales-patrimoine.htmlVoir aussi le site Réseau Semences Paysannes Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 22 juin 2011 Remise de votre pétition aujourd'hui à BruxellesCi-dessous, reproduction du mail reçu du collectif pour la protection de la santé naturelle... Tous les signataires des pétitions devraient avoir reçu cette réponse...Madame, Monsieur,C'est aujourd'hui à 13 heures que nous allons remettre les pétitions au Parlement européen, à Bruxelles, pour la défense des médicaments à base de plantes en Europe.Grâce à votre mobilisation, nous avons obtenu pas moins de 1,4 millions de signatures, sans compter les 850 000 signatures que le mouvement citoyen Avaaz a récoltées à notre suite.Nous serons nombreux au Parlement européen. Une grande conférence a été organisée par la députée européenne Michèle Rivasi, et les eurodéputés Satu Hassi, Heide Rühle, Carl Schlyter and Bart Staes. Elle se tiendra de 13 heures à 16 heures, dans la salle A5G3 du Parlement.Les représentants de la Commission européenne (DG SANCO), de l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) et de l’Autorité européenne des aliments (EFSA) répondront aux questions que se posent les citoyens européens sur la directive 24/2004/CE, aussi appelée THMPD (Traditional Herbal Medicinal Products Directive). Vous pouvez aussi poser des questions via la page Facebook créée par Madame Rivasi sur le sujet : http://www.facebook.com/event.php?eid=106006196160172Rappelons que la directive THMPD crée une Autorisation de Mise sur le Marché « simplifiée » pour les médicaments à base de plantes, dont le coût est estimé à... 100 000 à 140 000 euros par plante, une somme hors de portée pour la plupart des fabricants (qui travaillent à l'échelle artisanale).Cette nouvelle procédure est en train d'entraîner la disparition de nombreux remèdes à base de plantes, dont la rentabilité financière ne peut justifier de tels investissement. On redoute également la faillite d'une myriade de petits acteurs du secteur qui n'ont pas la puissance financière pour se plier à la nouvelle procédure. (Lire absolument à ce sujet l'interview de l'herboriste Michel Pierre, ci-dessous).Bien entendu, les autorités se veulent rassurantes. Elles affirment qu'elles se montreront ouvertes et respectueuses des traditions médicinales les plus anciennes et les plus éprouvées.Mais comme l'a rappelé la députée Michèle Rivasi sur son site Internet le 16 juin :« Fin février 2011, la liste communautaire des substances, préparations et remèdes traditionnels à base de plantes déjà enregistrés ne comptait que 215 produits. Et seules 79 monographies communautaires de plantes médicinales ont été finalisées à ce jour. »Deux-cent-quinze produits, alors que des dizaines de milliers de remèdes à base de plantes étaient autorisées en Europe jusqu'au 30 avril 2011, la date butoir de mise en application de la directive THMPD.C'est le nettoyage par le vide.De plus, cette nouvelle législation étant mal connue et difficile à interpréter, de nombreux fabricants et distributeurs se retrouvent dans une situation d'insécurité juridique qui bloque toute initiative de leur part.La difficulté vient notamment de la définition des médicaments à base plantes, extrêmement large et floue, qui englobe un très grand nombre de plantes et toutes les préparations à base de plantes (substances végétales concassées ou pulvérisées, teintures, extraits, huiles essentielles, jus obtenus par pression). Seraient ainsi assujetties à une demande d’AMM toutes les plantes ayant un principe actif et l’ensemble des préparations officinales préparées par les professionnels de la santé.Beaucoup de grossistes et de distributeurs préfèrent ne plus commercialiser les plantes par crainte des risques encourus, à tel point que la survie toute la filière en Europe est aujourd'hui menacée. Si elle disparait, les patients européens n'auront plus la possibilité pratique de se procurer de nombreuses plantes médicinales, quand bien même celles-ci seraient théoriquement autorisées par l'Union Européenne.Pour toutes ces raisons, nous continuons à dénoncer haut et fort la directive 24/2004/CE qui, loin d'avoir pour effet de protéger les patients en leur garantissant des produits de qualité à base de plante, représente bel et bien l'arrêt de mort d'un savoir ancestral majeur de notre civilisation, les remèdes traditionnels à base de plante.Plus que jamais, il est urgent de proposer des solutions législatives et administratives alternatives à ce que propose la directive européenne 24/2004/CE pour sauver les herboristeries qui proposent un savoir et un savoir-faire irremplaçables dans le domaine des plantes médicinales et des préparations à base de plantes, et de contribuer ainsi à préserver le bien être de tous. Pour relever ce défi, nous sommes en cours de constitution d'une structure à Bruxelles dédiée à la protection de la santé naturelle en Europe. Notre prochaine communication aura pour but d'en annoncer le lancement, et sera accompagnée d'un appel à toutes les structures existantes qui souhaitent contribuer à ce travail essentiel.Avec mes remerciements de votre intérêt pour cette cause essentielle,Augustin de LivoisCollectif pour la Protection de la Santé Naturelle Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 22 juin 2011 Suite du mail... Et oui c'est long... mais il y a tellement à dire...INTERVIEW (A LIRE ABSOLUMENT !)Michel Pierre, vous êtes propriétaire de l’herboristerie du Palais Royal à Paris depuis 40 ans selon les règles en vigueur de l’époque. Vous avez écrit plusieurs livres dont « Secret des plantes » (éditions Artémis) et vous en terminez un autre aux éditions du Chêne. Quel impact a eu la pleine entrée en vigueur de la directive 2004/24 (Directive THMPD) sur votre activité ?Il faut bien comprendre que l’on ne peut pas se contenter de parler des herboristes. Il faut prendre en compte tous les acteurs du secteur : les cueilleurs, les producteurs, les grossistes, et les herboristes au bout de la chaîne. C’est bien toute une filière que l’on risque de tuer en appliquant cette directive et tous les emplois qui vont avec. Pour les cueilleurs et les producteurs surtout, ces limitations représenteront un manque à gagner important. Une grande partie du monde agricole pâtira de ce texte. Avec cette directive, on coupe presque définitivement le lien qui existe entre le terroir et le reste de la société et on prend le risque de perdre en même temps un immense savoir ancestral qui faisait la force de nos régions. Rappelons que plus de 50 % de nos herbes sont produites en France.En ce qui me concerne, c’est d’abord mon herboristerie qui m’inquiète. Je distribue chaque année environ 30 tonnes d’herbes auprès de 60 000 clients dont de nombreux médecins. Ce chiffre pourrait être divisé par deux, ce qui m’obligerait à licencier quatre de mes huit salariés. Dans ces conditions, je ne pourrais plus travailler, je n’aurais plus qu’à devenir consultant extérieur pour une pharmacie !Alors bien sûr, le ministère de la santé se veut rassurant, les institutions européennes aussi. On nous dit que plus de 600 plantes seraient autorisées en Europe et que c’est bien assez pour proposer des produits aux clients mais ce ne sont que des paroles. En attendant, depuis que la directive est passée, mon grossiste refuse de me vendre certaines plantes car il ne sait pas aujourd’hui quels sont les risques qu’il encourt. Il faut du temps, il parait, pour que soit établie cette liste de plantes. Mais combien ? Deux ans ? Trois ans ? Il en faudra probablement moins pour que l’herboristerie disparaisse complètement en France, et nous sommes une quinzaine.En réaction à la pétition que le Collectif pour la défense de la médecine naturelle a lancée le 16 mars dernier (Guérison défendue) et qui a rassemblé plus de 1,4 million de signataires, la Commission européenne et certains grands journaux ont estimé qu’entre le vote de la directive (2004) et son application (2011), il y avait eu suffisamment de temps pour que les acteurs du secteur puisse déposer des demandes d’autorisation de mise sur le marché (AMM). Qu’en pensez vous ? Cela montre simplement que les institutions européennes n’ont aucune connaissance du terrain en France. Aujourd’hui une herboristerie n’a pas le droit de déposer de dossier d’AMM.Nous pouvons déposer des demandes comme n’importe quelle société vendant des compléments alimentaires auprès de la DGCCRF, mais la liste est très loin de la quantité de plantes vendues en herboristerie.En fin de compte, depuis la suppression du diplôme d’Herboriste en 1941, sous le régime de Vichy, rien n’a été fait par les pouvoirs publics en faveur de l’herboristerie. Au fil des années et des législations notre métier a été étouffé petit à petit dans la plus grande indifférence générale jusqu’à cette pétition. Et je me réjouis qu’elle ait touchée autant de personnes en Europe. C’est peut être là, l’un de nos derniers espoirs : que les gens réagissent face aux limitations qu’on nous impose sans nous consulter. On nous tue à petit feu.On nous explique aussi avec le principe de reconnaissance mutuelle, qu’on peut aller se fournir partout en Europe. Je peux aller chercher des plantes en Italie ou en Allemagne qui sont interdites en France. Mais nous ne sommes pas un multinationale ! Nous n’avons pas les moyens d’aller chercher toutes ces plantes ailleurs sans compter qu’il parait aberrant d’aller chercher en Allemagne des plantes qui poussent déjà chez nous et que l’on utilise depuis des générations.La solution serait peut être d’inviter les herboristes européens à venir s’installer en France, puisque le diplôme existe en Allemagne, Italie, Espagne, ou autoriser les pharmaciens à ouvrir des herboristeries, cela fait quand même partie de notre culture.Concrètement, avez-vous des exemples de plantes qu’aujourd’hui vous ne pouvez plus distribuer à l’issue de la pleine entrée en vigueur de la directive THMPD ?Bien sûr. Prenez par exemple la Chélidoine. Avec la nouvelle directive, elle sera soumise à une AMM pour toute distribution parce qu’elle contient des dérivés de benzylisoquinonéique, un alcooloïde, qui pris en trop grande quantité, peut provoquer des hépatites A, mais il s’agit d'extraits, pas de plantes pour infusion.Nous on la proposait en tisane. C’est désormais impossible. Mais vous la trouverez en pharmacie sous forme de gélules ou de teintures, sauf que ces gélules sont conçues avec des extraits de plantes qui sont bien plus puissants que la plante en elle-même, et là, il faudra être attentif.Je comprend que l’on interdise la vente du sassafras qui peut avoir des conséquences sur le système nerveux, je comprend que l’on interdise la vente d’extraits alcoolisés, ou d’huile essentielle d’absinthe, mais je ne comprend pas que l’on ne puisse plus vendre la plante pour faire des tisanes.ET VOUS ? EST-CE QUE VOUS LE COMPRENEZ ???Pour REVOIR NOTRE VIDEO SUR LA DIRECTIVE THMPD, RENDEZ-VOUS SUR: www.defensemedecinenaturelle.euENVOYEZ LE LIEN A TOUS VOS AMIS. C'EST LE DERNIER MOMENT POUR OBTENIR DES SIGNATURES À NOTRE PETITION QUI SE TROUVE ICI (VERSION FRANÇAISE) :http://defensemedecinenaturelle.eu/signerlapetition.phpA vos souris pour faire entendre vos voix et voir respecter notre droit à nous soigner comme nous le souhaiton.A ma connaissance, il y a moins d'effets secondaires qu'avec les médicaments qui nous empoisonnent quand ils ne nous tuent pas ou ne font pas de nous des légumes pour le restant de nos jours... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 5 septembre 2011 Mail reçu de l'institut pour la Protection de la Santé Naturelle mercredi dernier. Votre mobilisation massive au sujet de la directive THMPD (médicaments à base de plantes médicinales) a eu un premier résultat : les autorités européennes ont déclaré avoir compris qu'elles devaient faire des propositions concrètes pour limiter les ravages de leur directive !Cette promesse a été faite lors d'une rencontre organisée à Bruxelles le 21 juin 2011 par la députée européenne Michèle Rivasi suite à notre pétition et aux nombreuses questions écrites posées par les parlementaires à la Commission Européenne grâce à vous.L’événement, intitulé «Everything you want to know on the TRADITIONAL HERBAL MEDICINE PRODUCTS DIRECTIVE », a réuni 70 personnes et a offert une excellente occasion de remettre vos signatures à Andrej Ryz, directeur de la Direction Santé publique au sein de la DG Santé et consommateurs de la Commission Européenne.Mais le bilan a été clair : pour l'instant, la situation est tout simplement catastrophique. Anthony Humphrey, un des directeurs de l'agence européenne du médicament a reconnu lors de cette rencontre que, sur 1351 dossiers qui ont été déposés pour obtenir des médicaments traditionnels à base de plante depuis sept ans, l'administration européenne n'en a pour accepté que... 53 pour l'instant.C'est bien simple : 87 % des dossiers examinés ont été refusés. Pire encore : concernant les dossiers déposés par la France, aucun n'a été accepté. Zéro. Rien. Nulla.Le désastre que nous avions annoncé est donc en train de se produire, malheureusement.Il faut ajouter à cela que la directive THMPD a créé un situation d'insécurité juridique maximale. Ainsi que nous l'avions annoncé, seuls les plus gros laboratoires pharmaceutiques, ceux qui emploient des bataillons d'avocats à plein-temps, sont équipés pour se mettre aux normes.Dans les herboristeries artisanales en France, ou ce qu'il en reste, flotte un parfum de désespoir. Les grossistes sont en partie bloqués. Personne ne sait plus s’ils peut encore distribuer des plantes ou des préparations à base de plantes. Dans le doute, beaucoup préfèrent s'abstenir.Et on constate un regain des descentes de la « Police de la santé », qui fait feu de tout bois pour engager des poursuites contre les herboristes, y compris pour «exercice illégal de la pharmacie». Il est possible que ce soit lié au fait que l'Union Européenne ait déclaré que tous les remèdes à base de plantes, y compris ceux qui sont utilisés depuis des millénaires, ne peuvent plus être vendus sans «agrément». Au mois d'avril, alors que la Directive entrait pleinement en application, c'est la plus totale confusion qui s'était installée : les uns se sont alarmés ; les autres se sont voulus rassurants.Mais tout le monde est tombé d'accord, aujourd'hui, sur le fait que, pour les petits acteurs, c'est le cercueil à plus ou moins long terme.Nous avions accusé les grands laboratoires d'avoir fait le coup. Mais la réalité semble enore plus terre-à-terre : en fait, ainsi que l'a révélé la table-ronde organisée à Bruxelles, la vérité brute est que la Commission européenne ne connait rien aux médicaments traditionnels à base de plantes. Elle ne savait pas que la fabrication et la distribution des remèdes médicinaux s’est toujours faite localement par des petits acteurs économiques – cueilleurs, producteurs, herboristes. Alors, sans s'en rendre compte, elle a fait un texte qui revenait à signer leur arrêt de mort.Prochaine étapeLors de la rencontre, les représentants de la Commission européenne ont déclaré qu'ils ne changeraient pas le texte d'eux-mêmes, mais les députés européens présents, en particulier la député française Michèle Rivasi, ont affirmé qu’ils se saisiraient du dossier pour faire changer la directive, devant le soulèvement populaire que nous avons causé.Pour l’IPSN cela veut dire que nous devons continuer notre action auprès des députés européens pour qu’ils déposent des amendements destinés à améliorer le texte. Il faudra aussi agir au niveau national. L’administration française doit clarifier ses positions de façon urgente ; qu’elle dise comment il faut comprendre le texte et ce que les professionnels de la santé sont en droit ou non de faire. Enfin, chacun de nous peut agir sur le plan personnel.D'abord en continuant à informer son entourage des dangers qui pèsent sur le droit de chacun de choisir sa médecine.Ensuite en faisant mieux connaître les traitements naturels qui soignent vraiment. Car c'est après tout le meilleur argument en faveur des médecines naturelles.Un bon moyen de le faire est de s'inscrire à un des nombreux services d'information gratuits qui existent aujourd'hui sur Internet, et qui vous informent des nouvelles découvertes de la médecine naturelle. Il y a en particulier la lettre d'information de Jean-Marc Dupuis (pour vous inscrire, cliquer sur ce lien). Jean-Marc fait un travail essentiel pour nous soutenir en nous aidant à rédiger les articles sur le site, www.institut-protection-sante-naturelle.fr. Sa lettre d'information gratuite est une mine de renseignements utiles et passionnants. Il vous explique comment traiter les maladies les plus graves grâce aux nouveaux traitements naturels, validés par la recherche scientifique. Il vous suffit d'aller sur cette page suivante et d'entrer votre adresse courriel.Ce sera donc à l’IPSN d’exercer une vigilance constante sur ce que proposeront les députés européens, tout en maintenant une forte pression pour que nous obtenions un résultat tangible sur le terrain.Bien à vous,Augustin de LivoisDirecteurwww.institut-protection-sante-naturelle.eu Institut pour la Protection de la Santé Naturelle - 253A Chaussée de Wavre - 1050 BRUXELLES Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites