Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Admin-lane

CHASSE : toute la vérité sur la chasse - Actualités / Informations

Messages recommandés

Alexandre, 16 ans, permis de chasse en poche, a entamé sa première campagne de chasse à Saint-Martin-Lacaussade (Gironde), ce dimanche 13 septembre au matin. "Depuis tout petit, je suis mon grand-père et là je suis avec mon fusil", explique-t-il au micro de France 3.



À ses côtés, son grand-père : Jacky. Lui en est à plus d'un demi-siècle d'ouverture de chasse. Le duo familial et leurs copains s'engagent dans une zone de vignes. 10 minutes se sont écoulées. Les chiens aboient autour d'un massif. Alexandre jette un coup d'oeil et tire. Un lapin tombe. Alexandre a réussi son coup.

Puis nos deux compères continuent leur épopée à la recherche du gibier, avec toujours à l'esprit les règles de sécurité. "Il y a eu beaucoup d'accidents cette année, parce que les gens ne faisaient pas attention", remarque Alexandre


----->Je déteste ces gens qui tirent sur tout ce qui bouge à deux (oiseaux) et 4 pattes ! Bien évidemment, les renards feront très certainement partie des nombreuses victimes non pas parce que cette espèce est nuisible dans le sens propre, mais parce qu'elle fait concurrence aux humains en matière de proies !


Francetv info 14/9/2015

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le réseau « Sécurité à la chasse » de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) publie chaque année le bilan des accidents de la saison écoulée (du 1er juin 2014 au 31 mai 2015) après en avoir analysé la nature et les circonstances. Ces informations permettent d’améliorer la formation des chasseurs à la sécurité.

Pour la saison 2014/2015, le nombre total d’accidents s’élève à 122 dont 14 mortels. Il est important de noter que la tendance à la baisse des accidents mortels se poursuit cette année encore (16 l’an dernier).

Ces résultats montrent que le travail de formation mené au sein des fédérations départementales des chasseurs, en lien avec la division du permis de chasser de l’ONCFS, porte ses fruits. Pour rappel, lors de l’épreuve de l’examen du permis de chasser, les questions liées à la sécurité sont éliminatoires.

 L’analyse détaillée des chiffres de la saison 2014-2015 montre que 86% des blessés sont des chasseurs (dont 25% d’auto-accidents). On ne relève aucun non-chasseur parmi les 14 accidents mortels.

L’analyse détaillée des 14 accidents mortels survenus lors de la dernière saison de chasse permet d’identifier un certain nombre de points communs à tous :

. le tir sans identifier la cible
. le départ intempestif de l’arme sans gibier
. le tir en direction de la traque ou sans prise en compte de l’angle des 30 degrés
. la proportion importante d’armes semi-automatiques dans ces accidents mortels
. un âge plus élevé que la moyenne des chasseurs
. la non-matérialisation de l’angle des 30 degrés
. une distance entre l’auteur et la victime à chaque fois inférieure à 80 mètres
On note l’implication de la chevrotine pour deux des 14 accidents mortels.

- 8 règles d'or pour la sécurité de la chasse au petit gibier "devant soi".

8 règles d'or pour la sécurité de la chasse au grand gibier en battue.

ONCFS 29/7/2015

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
En Suisse, dans le Valais, environ 2400 disciples de Diane seront sur pied de guerre dès lundi pour l'ouverture de la chasse au gros gibier. Cerfs, chamois et chevreuils se retrouveront en ligne de mire de tous les fusils du canton.

Ce que beaucoup considèrent comme un sport, Peter Scheibler le voit comme un instrument de gestion. Le chef du service valaisan de la chasse parle chiffres, objectifs. La priorité reste la stabilisation du cheptel de cerfs à environ 5000 individus.

"Le cerf est l'animal qui cause le plus de dégâts", explique M. Scheibler. Les forêts en souffrent beaucoup, surtout au sortir de l'hiver. Et le cerf fait une forte concurrence aux autres espèces, chevreuils et chamois en premier.

Cette année, Peter Scheibler attend des chasseurs valaisans qu'ils abattent 1700 cerfs, mâles, femelles et jeunes. Malgré la présence de 2400 chasseurs, ce n'est pas sûr que l'objectif soit atteint. L'animal est futé. Dès les premiers coups de feu, il se réfugie dans les districts francs, là où tout tir est interdit.

La plupart des cerfs sont abattus les premiers jours de chasse. Le nombre de bêtes présentées aux contrôleurs a ensuite tendance à diminuer rapidement. Et pourtant, chaque chasseur est autorisé à tirer trois cerfs mâles, deux femelles et un nombre illimité de faons.

Pour le chamois et le chevreuil, le chef du service de la chasse n'a pas d'objectifs aussi précis. Il estime que 2700 à 2800 chamois et 1400 à 1500 chevreuils tomberont durant les deux semaines de chasse au gros gibier.

Il est très difficile de compter le cheptel de ces deux espèces. A la fin de l'hiver, les cerfs sont les premiers à sortir des forêts. Il est plus facile de les compter. Les chevreuils et chamois demeurent plus à l'abri, rendant les comptages difficiles. Mais les observations montrent que le cheptel se porte bien avec un effectif qui semble stable. Les estimations font état d'environ 20'000 chamois en Valais. Quant aux chevreuils, il est pratiquement impossible de les compter.

Les tirs de chevreuils et de chamois pourraient être plus élevés cette année. Les deux précédents hivers ont été favorables. Ces deux espèces pourraient être plus nombreuses, les chasseurs en profiteront.

Mais rares sont ceux qui pourront atteindre le quota de trois chamois et une chevrette. Ils pourront se rattraper plus tard dans l'année avec la chasse basse durant laquelle les chevreuils mâles seront visés.


----->Les dégâts occasionnés aux forêts ne sont pas uniquement imputables aux animaux qui y vivent... C'est le résultat de la pression faite, par les humains, sur les prédateurs qui en est, selon moi, l'une des causes principales. C'est le cas dans de nombreuses régions du monde. En cause l'expansion de la population humaine, nécessistant l'accroissement des besoins en terre... (ce que chacun peut comprendre)... Mais comme les prédateurs font peur aux populations et qu'ils font concurrence à l'homme, on les tue. C'est après que l'on s'aperçoit que cette situation provoque un déséquilibre qui sert à justifier la nécessité de gérer les populations de certaines espèces d'animaux sauvages ! Ce faisant,on pollue l'environnement avec les cartouches...

Romandie 19/9/2015

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La tularémie est une maladie qui s'attrape par contact ou par inhalation. L'institut de veille sanitaire a lance une alerte.  Le nombre de personnes atteintes est en hausse. Déjà 71 cas recensés en France.

La saison de la chasse reprend ce dimanche 20 septembre en Haute-Normandie et le 27 septembre en Basse-Normandie. Dans les régions voisines, la Bretagne, le Centre et la Picardie, les cas de tuléramie, une maladie infectieuse, augmentent.

 Photo d'illustration : Abri cache pour la chasse aux cerfs. MJCdetroit  CC BY-SA 3.0

Comment cette maladie ce transmet-elle aux chasseurs ? : En touchant un animal mort ou vivant contaminé.  Le dépeçage du gibier est un facteur de risque. La bactérie se transmet aussi par inhalation.  Les lièvres font partie des gibiers les plus contagieux. Une piqûre de tique peut aussi déclencher la maladie.

Quels sont les symptômes ? : La maladie se déclare entre 2 à 4 semaines après la contamination. La fièvre, une fatigue inhabituelle, une conjonctivite, doivent alerter. Un traitement antibiotique permet de guérir la tularémie. Faute de soins,  la maladie peut provoquer une pneumonie ou une scepticimie.

Quels moyens de prévention ? : L'institut de veille sanitaire donne ces recommandations :

- porter des vêtements à manches et jambes longues pour les activités de loisirs en forêt et rechercher les tiques sur la peau au retour des activités en plein air.

- Eviter de chasser des animaux apparemment faibles ou malades en vue de leur consommation.

- Porter systématiquement des gants étanches pour réaliser le dépeçage et l'evicération du gibier, nettoyer méticuleusement le couteau-en conservant les gants- se laver soigneusement les mains et les avant-bras après ces opérations.

- en cas de blessure accidentelle lors du dépeçage ou de l’éviscération, la plaie doit être immédiatement nettoyée,

-  cuire à coeur la viande de gibier avant de la consommer.

- Enfin, en cas de symptômes évocateurs tels que la fièvre associée à des ganglions de taille augmentée ou une plaie cutanée cicatrisant  difficilement, il convient de consulter un médecin et de lui mentionner l’activité de chasse.


F3 Normandie 18/9/2015

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La tularémie est une maladie infectieuse provoquée par Francisella tularensis, le bacille de Francis (anciennement Pasteurella tularensis), une petite bactérie qui a la propriété de traverser la peau saine.


 Une culture de Francisella tularensis. CDC/Larry Stauffer, Oregon State Public Health Laboratory / domaine public.


Dans un article de 2007, le biologiste moléculaire Siro Igino Trevisanato décrit une maladie (en anglais) qui a sévi en -1350 au Moyen-Orient et dont les symptômes et le mode d'infection, connus par des lettres envoyées au pharaon Akhénaton au sujet d'un fléau à Simyra, rappellent cette maladie. Une décennie plus tard, les hittites attaquent cette région et sont à leur tour contaminés. Les Arzawas voulant conquérir les terres de leur voisin hittite, ce dernier laisse volontairement dans ses villages pillés des moutons contaminés. Il s'agit du premier usage connu d'arme biologique. Cette arme se répand dès lors dans toute l'Anatolie puis sur le continent européen lors des guerres par les Égéens de la Grèce antique.

La maladie a été décrite pour la première fois en 1911 par George W.McCoy, un chirurgien militaire, sur des écureuils du lac de Tulare dans le Comté de Tulare en Californie. La bactérie Francisella tularensis est isolée l'année suivante chez un patient souffrant d'une deer fly fever (fièvre de la mouche du daim), sous le nom de Bacterium tularense. En 1921, Francis décrit précisément la maladie sous le nom de tularémie, mais différents synonymes persistent : rabbit fever (fièvre du lapin), hare fever (fièvre du lièvre), maladie de Ohara, maladie de Francis…

En 1924, Parker, Spencer et Francis isolent la bactérie chez la tique Dermacentor andersoni et démontrent le rôle des tiques dans la transmission de la bactérie. Dès 1929, Parker montre qu'il existe une transmission transovarienne de la bactérie, établissant ainsi le rôle des tiques en tant que réservoir de la maladie.

 Lésion tularémique sur la main droite.. CDC Public Health Image Library http://phil.cdc.gov/Phil/quicksearch.asp / domaine public

La tularémie est une zoonose due à un très petit coccobacille (0,3 - 0,6 microns) : Francisella tularensis. Le réservoir principal de la bactérie est constitué par les lagomorphes et les rongeurs, mais la bactérie peut infecter bien d'autres espèces de vertébrés et d'invertébrés

En France, elle atteint essentiellement les populations de lièvres et la maladie peut être transmise à l'homme par contact avec les viscères (chasse). Ainsi les lièvres et les tiques représentent les principaux vecteurs de l’infection humaine. Dans les trois quart des cas, elle est transmise par contact direct de la peau (pénétration du germe à travers la peau saine possible mais favorisée par des égratignures) avec des animaux infectés, des végétaux, le sol, le matériel contaminé (clous, lame, etc.) ou par des éclaboussures projetées dans l’œil ou sur des plaies cutanées. Plus rarement, la contamination peut être causée par des piqures d’insectes Tabanidae et par l'ingestion d’aliments ou d’eau contaminés.

Ce germe est très rare en Europe occidentale mais relativement fréquent en Europe orientale et en Scandinavie. La maladie peut revêtir une forme locale : ganglion qui évolue vers la suppuration (bubon :  pustule, abcès, cloque) ou une forme typhoïde, généralisée, parfois avec éruption. Le traitement préconisé : Cyclines ou fluoroquinolones associés à un aminoside pendant 14 jours. 

Vu sa propriété de traverser la peau intacte, Francisella tularensis a été (ou est encore) une arme bactériologique possible.

En France, la tularémie fait partie des Maladies infectieuses à déclaration obligatoire depuis 2002 et depuis 2011 des dangers sanitaires de 2ème catégorie. La tularémie, sous toutes ses formes cliniques, est inscrite au tableau des maladies professionnelles sous le numéro 68 pour le régime général, et sous le numéro 7 pour le régime agricole.

A noter : Il existe un vaccin préventif. La vaccination des populations à risque a permis d'obtenir une diminution significative du taux de morbidité. Les vaccins à germe atténués du biovar paleartica fabriqués aux USA permettent d'induire une immunité de 5 à 9 ans.

En France, la faible fréquence de la maladie n'a jamais justifié la mise en oeuvre d'un plan vaccinal.

Wikipedia - Caducee.net

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...