Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Admin-lane

Activité sismique au Japon depuis le 11 mars

Messages recommandés

De violents séismes menacent l'Extrême-Orient russe


12.03.2011, 17:05



Les îles Kouriles et le Kamtchatka (Extrême-Orient russe) courront des risques sismiques à partir de 7,2 d'intensité dans les neuf mois à venir, prédit Piotr Chebaline de l'Institut international de prévisions sismiques et de géophysique mathématique, cité par ITAR-TASS.

" Dans les neuf mois à venir, un puissant tremblement de terre de plus de 7,2 d'intensité devrait secouer les îles Kouriles et le Kamtchatka. La probabilité de ce séisme est assez élevée : 25-30 pour cent ", a-t-il fait savoir.

Ce séisme est capable de réveiller les volcans des Kouriles et du Kamtchatka. Ce tremblement de terre ne sera pas directement lié au violent séisme de 8,9 de magnitude qui a frappé le Japon vendredi dernier. Les phénomènes du genre enregistrés régulièrement dans la Ceinture de feu du Pacifique à activité sismique accrue sont entre-liés et engendrent des déplacements de plaques tectoniques." Chaque fois, cette région entame une nouvelle étape de la vie. "

L'Institut international de prévisions sismiques et de géophysique mathématique est réputé pour son modèle de prévision de catastrophes à provoquer par des mouvements de la croûte terrestre, basé sur le principe de la recherche maïeutique. Pour prévoir un séisme les scientifiques cherchent des similitudes entre les phénomènes qui les précèdent notamment au moyen de la surveillance des tensions provoquées par la poussée des plaques. Depuis 1978, 6 des 10 prévisions de l'établissement concernant l'Extrême-Orient se sont réalisées. La probabilité du séisme en question au Japon a suscité une préoccupation des scientifiques russes, chargés des prévisions sismiques.



Source : Voix de la Russie

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Nouveau tremblement de terre au nord-est du Japon


Localisation du séisme du 7 avril 2011, à l'est de la préfecture de Miyagi. Latifa Mouaoued/RFI


Un séisme de magnitude 7,4 s'est produit le 7 avril 2011 en soirée dans la région déjà durement touchée il y a moins d’un mois. L’épicentre du séisme se situe à une quarantaine de kilomètres des côtes. L'alerte au tsunami a néanmoins été levée par les autorités. Selon les organismes mesurant la force des séismes, ce dernier tremblement de terre est évalué de 7,1 à 7,4.

Un séisme de magnitude 7,4 s'est produit le 7 avril 2011 au soir dans la région déjà durement touchée il y a moins d’un mois. L’épicentre du séisme se situe à une quarantaine de km des côtes, a annoncé l'Agence météorologique japonaise. Une distance qui a, sans aucun doute, atténué les secousses sur les îles japonaises. Les autorités mettent cependant en garde contre un tsunami dont la vague pourrait atteindre deux mètres de haut.

Cette nouvelle secousse, dont la l'ampleur est estimée à une magnitude de 7,4 par les services météorologiques japonais, s'est produite à 23H23 (heure locale),(14H23 TU). Il a eu lieu à 40 kilomètres de profondeur, dans l'océan Pacifique à une quarantaine de kilomètres ces côtes.

Selon l'Agence météorologique japonaise, les personnes habitant le long des côtes de la préfecture de Miyagi doivent évacuer et se réfugier dans des endroits plus élevés en prévision de ces éventuelles vagues.

Le séisme a été ressenti jusqu'à Tokyo, à 400 km au sud. Les témoins racontent que les meubles ont tremblé ainsi que les immeubles et les maisons et cela pendant plusieurs dizaines de secondes.

C’est déjà dans cette préfecture de Miyagi que, le 11 mars dernier, un séisme de magnitude 9, le plus puissant jamais enregistré au Japon, avait été suivi d'un tsunami de plus de dix mètres qui a tout dévasté sur son passage. La catastrophe a fait près de 28 000 morts et disparus.

La télévision publique NHK a précisé que, cette fois, les deux centrales nucléaires de Fukushima n'ont pas subi de dégâts. La centrale Fukushima Daiichi (N°1) a été gravement accidentée après le passage de la vague de 14 mètres de haut, le 11 mars dernier. Le personnel travaillant sur la centrale nucléaire accidentée a cependant été évacué par précaution. « Les spécialistes du réacteur redoutent que la centrale de Fukushima, déjà fragilisée par le tsunami, ne reçoive le coup de grâce avec ces répliques à répétition », a confié Frédéric Charles, notre correspondant à Tokyo.

Les alertes au tsunami émises pour les côtes nord-est du Japon ont été levées vendredi matin (heure japonaise) selon la chaîne NHK.



RFI 07/04/2011 mise à jour 08/04

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

3 morts et 132 blessés dans le tremblement de terre de jeudi 07 avril 2011


Trois personnes ont été tuées dans un puissant séisme qui a frappé le nord-est du Japon jeudi soir, 132 autres ont été blessées.

Dans la ville de Obanazawa, dans la préfecture de Yamagata, une femme de 63 ans a été retrouvée morte à son domicile vendredi matin suite à l'incendie de sa maison. On soupçonne que que c'est son appareil respiratoire (oxygène) qui en est à l'origine suite à la coupure d'électricité générée par le séisme.

A Ishinomaki, dans la préfecture de Miyagi, 2 hommes de 79 et 85 ans sont décédés dans un hôpital suite, semble-t-il à une crise cardiaque.

Quatre maisons ont été détruites dans la préfecture de Miyagi et 3 ont été incendiées dans les préfectures de Miyagi et d'Iwate.

Source : NHK 08/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites


Le tremblement de terre de magnitude 7,4 qui a frappé la côte du Pacifique du nord-est du Japon jeudi a laissé plus de 2,6 millions de foyers et bureaux sans alimentation électrique jusqu'à vendredi midi.

Le séisme enregistré 6-sur l'échelle sismique japonaise graduée de 0 à 7 à Sendai et dans un autre endroit dans la préfecture de Miyagi. Il inscrit une intensité de 6-minimum dans les zones au large des préfectures de Miyagi et d'Iwate et a été ressenti dans plusieurs régions du Japon.

L'Agence météorologique a émis une alerte aux tsunamis pour les zones côtières de la préfecture de Miyagi et avis d'évacuation pour la côte nord-est du Japon d'Aomori de la préfecture d'Ibaraki. Les alertes ont été levées environ 1h20 après le tremblement de terre.

Il s'agit-là d'une des répliques les plus fortes depuis le grand séisme (magnitude 9) du 11 mars qui a déclenché les tsunamis dévastateurs. Sur l'échelle japonaise (graduée de 0 à 7), ce dernier avait atteint 7.

Source : nhk 08/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Les centrales nucléaires après le tremblement de terre


Centrales nucléaires et des installations connexes dans les zones côtières du nord-est du Japon ont été forcées de s'appuyer sur le pouvoir d'urgence après que leur électricité était coupée au tremblement de terre du jeudi soir.

Les centrales nucléaires et les installations annexes dans les zones touchées par ce nouveau séisme ont été dans l'obligation d'utiliser les systèmes de secours suite à la coupure d'électricité due à ce séisme.

Toutes les centrales nucléaires des préfectures d'Aomori et d'Ibaraki, sont à l'arrêt depuis le 11 mars, mais l'électricité est cruciale pour maintenir les systèmes de refroidissement.

L'agence nucléaire du Japon signale que toutes les lignes d'alimentation externe à la centrale nucléaire de Higashidori, préfecture d'Aomori, ont été coupées suite au séisme d'hier. Les groupes électrogènes fonctionnant au diesel ont pris aussitôt le relais pendant quelques heures, le temps que l'alimentation électrique soit restaurée.

Source :

NHK 08/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Centrale nucléaire d'Onagawa



Selon les agences nucléaire et de la sécurité industrielle du Japon, le séisme qui a frappé à nouveau le nord-est du japon, jeudi, a coupé toutes les lignes électriques extérieures, sauf une, à la centrale d'Onagawa, préfecture de Miyagi. De ce fait, la seule ligne restante est utilisée pour maintenir le refroidissement des réacteurs nucléaires. L'agence nucléaire et l'agence de la sécurité industrielle,

Le système de refroidissement des réservoirs de combustible usé a été désactivé durant un moment en raison de la coupure de courant, mais tous ont été rapidement remis en marche. Après lecture des données, aucune radiation anormale n'émane de cette centrale.


Quant aux centrales de Fukushima Daiichi et Daini, les lectures des instruments de mesure, montre qu'aucun changement n'est intervenu à la suite de ce nouveau séisme.

La centrale nucléaire de Higashidori dans la préfecture d'Aomori, toutes les lignes électriques extérieures ont été coupées, mais le relais a été pris par les groupes électrogènes d'urgence, fonctionnant au diesel, le temps que les lignes soient rétablies .

L'usine avait coupé ses réacteurs et était l'objet d'une inspection au moment du tremblement de terre.
Aucun effet grave n'a été signalé avec les systèmes de refroidissement de réservoirs de stockage pour les barres de combustible irradié.

Le combustible nucléaire retraitement usine à Rokkasho, dans la préfecture d'Aomori, a également perdu tout pouvoir extérieur et fonctionne sur les génératrices d'urgence à l'instant.

L'usine de retraitement du combustible nucléaire à Rokkasho, préfecture d'Aomori, a également dû faire appel (aussitôt) à des générateurs d'électricité d'urgence, suite à la coupure des lignes électriques.

Aucune anomalie n'a été signalées à la centrale nucléaire de Tokai Daini dans la préfecture d'Ibaraki.

Toutes ces centrales nucléaire avaient suspendu le fonctionnement des réacteurs après le 11 mars tremblement de terre et les tsunamis mais, comme on l'a vu, il est essentiel de continuer à refroidir les cuves et liquides et donc l'électricité est nécessaire.

Source : NHK 08/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Tremblement de terre de jeudi endommage la centrale nucléaire de Onagawa


TEPCO annonce que le fort séisme de jeudi a fait déborder les réservoirs de stockge de combustible usé dans l'une de ses centrales nucléaires. Il est signalé que l'eau s'est déversée (a débordé?) sur les 3 réacteurs de la centrale d'Onagawa dans la préfecture de Miyagi. La quantité d'eau serait peu importante.

En revanche TEPCO a également trouvé des fuites d'eau en 5 endroits de la centrale, y compris à l'intérieur des bâtiments abritant les réacteurs...

La société a ajouté que les dispositifs conçus pour contrôler la pression à l'intérieur des bâtiments ont été endommagés à l'édifice de turbine du réacteur numéro 3.


Source : NHK 08/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un nouveau séisme secoue le nord-est du Japon

Un puissant séisme de magnitude 7,1 a eu lieu lundi dans le nord-est du Japon, non loin de la centrale nucléaire de Fukushima, faisant trembler les immeubles de Tokyo.

Il a provoqué une alerte au tsunami qui a finalement été levée.

La secousse a frappé le nord-est du pays un mois jour pour jour après le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars.

Elle a eu lieu à 13 km de profondeur, selon l'Institut américain de veille géologique (USGS). Son épicentre se trouvait à 38 km à l'ouest de la ville d'Iwaki et à 80 km au sud de Fukushima.



Aujourd'hui le Japon 11/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le Japon touché par un nouveau séisme


De magnitude révisée à 7,1, il s’est produit jeudi au nord-est du pays, faisant quatre victimes.

C’est à une quarantaine de kilomètres des côtes japonaises que la terre a tremblé jeudi. L'Agence météorologique japonaise a répertorié un fort séisme de magnitude 7,4 sur l’échelle de Richter. L'Institut de géophysique américain USGS a indiqué qu'il avait été requalifié de 7,1 sur l'échelle de Richter. Cette nouvelle secousse s'est produite à 23h23 heures locales et à une profondeur de 40 kilomètres.

Au moins quatre personnes ont trouvé la mort et plus d'une centaine d'autres ont été blessées dans les préfectures de Miyagi et Yamagata, selon les autorités et l'agence de presse Jiji.

L'agence météorologique japonaise avait mis en garde dans un premier temps contre un tsunami pouvant aller jusqu'à deux mètres de haut. L'alerte a finalement été levée, selon les informations de la télévision japonaise NHK.

L'Agence de sûreté nucléaire a affirmé qu'aucune centrale nucléaire de la région n'avait subi de dégâts. Aucune anomalie n’a été signalée notamment à la centrale de Fukushima Daïchi, fortement touchée par le tsunami dévastateur le 11 mars dernier, a indiqué Tepco qui continue d'injecter de l'azote dans le réacteur n]1 pour éviter une explosion que pourrait provoquer l'accumulation d'hydrogène. Rien d'anormal n'a été constaté à la centrale atomique d'Onagawa, a assuré par ailleurs Tepco. Le processus de refroidissement des barres de combustible s'est brièvement interrompu après le tremblement de terre mais a pu reprendre par la suite.

On ne signalait pas de dégâts ou de blessés dans le reste de la zone touchée par ce nouveau séisme, survenu près d'un mois après celui, dévastateur, du 11 mars.

"On a beau s'y faire, on ne s'y fait pas"
L'ambassadeur de France à Tokyo, Philippe Faure, a raconté sur Europe 1 que "la secousse (de jeudi) a[vait] été longue, assez violente et durable". Il a assuré que la secousse "ressemblait à celle du 11 mars à Tokyo", mais, a-t-il précisé, "sur un mode très mineur". Enfin, Philippe Faure a confié avoir été surpris par ce nouveau tremblement de terre. "On a beau s’y faire, on ne s’y fait pas", a-t-il expliqué.

"On a tous eu la trouille", a raconté sur Europe 1, de son côté, une Française vivant à Tokyo avec ses deux enfants. "Ça a cogné fort et ça a duré assez longtemps", a témoigné Delphine. Selon elle, il s'agissait de la plus forte réplique du séisme depuis le tremblement de terre qui a dévasté le nord-est du pays. "On en a plusieurs fortes, mais très très courtes, et là c'était long et fort", a-t-elle indiqué.

Le tremblement de terre du 11 mars était d'une magnitude 9, le plus puissant jamais enregistré au Japon. Il a été suivi d'un tsunami de plus de dix mètres qui a tout dévasté sur son passage. La catastrophe a fait près de 28.000 morts et disparus.

Source Europe 1 11/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Nouveau séisme au Japon, électricité rétablie à Fukushima



Un puissant tremblement de terre, d'une magnitude de 7,1, a eu lieu dans le nord-est du Japon, sur terre, tout près de la centrale de Fukushima, dont les employés ont été évacués. L'alerte au tsunami a été levée.

Un puissant séisme, d'une magnitude de 7,1 sur l'échelle de Richter selon l'institut de géophysique américain, s'est produit lundi 11 avril dans le nord-est du Japon, tout près de la centrale nucléaire de Fukushima. La secousse, qui est survenue à 17h16 au Japon (8h16 GMT, 10h16 heure française), a été ressentie jusqu'à Tokyo, à 170km au sud de l'épicentre, où les immeubles on tremblé.
L'épicentre est situé sur terre, à 13km seulement de profondeur, dans le sud de la préfecture de Fukushima, déjà frappée il y a exactement un mois par un séisme de magnitude 9 suivi d'un tsunami géant. Le séisme s'est produit exactement à 81km de la ville de Fukushima.

La zone d'évacuation étendue

Immédiatement après le séisme, Tepco a fait évacuer les employés de la centrale nucléaire, où l'alimentation électrique de trois réacteurs (1,2 et 3) a été brièvement interrompue.

Une alerte au tsunami a été déclenchée, puis rapidement levée. La télévision publique nippone NHK avait diffusé une carte indiquant les côtes de la façade Pacifique où un raz-de-marée allant jusqu'à un mètre pouvait se produire.

Par ailleurs, quelques minutes avant le nouveau séisme, le gouvernement japonais a décidé d'évacuer les habitants de localités situées au-delà du rayon actuel de 20 km autour de la centrale, d'où ont été évacués quelque 80.000 habitants. Il redoute, non pas une fuite majeure, mais l'exposition prolongée à de faibles doses de radioactivité. L'évacuation aura lieu dans le mois à venir.

Source : Challenge's 11/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Nouvelle réplique après les commémorations



Un puissant séisme d'une magnitude de 7,1 a frappé ce lundi 11 avril 2011 le nord-est du Japon, moins de trois heures après la minute de silence observée en mémoire de la catastrophe du 11 mars dernier.

Un avis d'alerte au tsunami avec des vagues d'un mètre a été émis, avant d'être plus tard levé. Le séisme a été ressenti près d'Iwaki, ville de la préfecture de Fukushima où est située la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. L'alimentation électrique de trois réacteurs de la centrale a été coupée, a annoncé l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco).

C'est la deuxième réplique de cette intensité, de nombreux bâtiments sont menacés d'effondrement, les autorités appellent à la plus grande prudence.

Au coeur de la zone interdite de Fukushima


Le lendemain du tremblement de terre du 11 mars, le gouvernement japonais décrétait l’évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale de Fukushima Daiichi.

Un journaliste japonais, Tetsuo Jimbo, s’est introduit hier dimanche 10 avril 2011 dans ce no man’s land où les seuls être vivants qui susbistent encore sont les animaux domestiques et le bétail, livrés à eux-mêmes au milieu de ruines abandonnées.



Au fur et à mesure que Testuo Jimbo s'approche de la centrale, le taux de radioactivité grimpe en flèche...

Enfin, ce lundi 11 avril 2011, on a appris par la presse nippone que les autorités japonaises envisagaient d'élargir cette zone d'exclusion autour de la centrale nucléaire de Fukushima, en raison des niveaux élevés de radioactivité.

Source : RFI 11/04/2011 - Frédéric Charles

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Japon: séisme de magnitude 5,8 au nord de Tokyo


Un séisme de magnitude 5,8 s'est produit samedi matin au nord de Tokyo, où les immeubles ont fortement tremblé, a rapporté l'Institut de géophysique américain USGS.

L'épicentre de cette secousse, survenue à 11H19 (02H19 GMT), se trouvait dans la partie sud de la préfecture d'Ibaraki (centre-est), à quelque 80 kilomètres au nord de la capitale, a précisé l'Agence météorologique japonaise.

L'hypocentre était situé à 20 kilomètres de profondeur, selon l'USGS, et à 70 km selon l'Agence nippone. Ce tremblement de terre n'était pas une réplique du séisme de magnitude 9 qui a dévasté le nord-est du Japon le 11 mars, a souligné l'Agence.

Aucune victime ni dégâts majeurs n'ont été signalés dans l'immédiat.

L'opérateur de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, Tokyo Electric Power (Tepco), a assuré que la secousse n'avait pas interrompu l'injection d'eau dans les réacteurs, une opération cruciale pour éviter que le combustible ne chauffe exagérément. Cette centrale, située à 250 km au nord-est de Tokyo, a été gravement endommagée par un séisme de magnitude 9 et un tsunami de 14 mètres de haut le 11 mars. Des explosions et des fuites radioactives sont intervenues depuis sur le site et les autorités tentent d'empêcher cet accident de dégénérer en une catastrophe de plus grande ampleur.

Plus de 400 répliques de magnitude 5 ou plus ont touché l'archipel japonais depuis la catastrophe du 11 mars qui a provoqué la mort ou la disparition de plus de 28.000 personnes.

Afin d'éviter un nouvel accident, l'Agence de sûreté nucléaire japonaise a ordonné vendredi aux neuf compagnies d'électricité gérant des réacteurs nucléaires dans l'archipel de renforcer leurs mesures anti-sismiques et anti-tsunami. Elle leur a notamment demandé de s'assurer que chaque réacteur était connecté à plusieurs lignes d'alimentation électrique d'urgence, de renforcer la résistance de leurs systèmes de distribution du courant et de prendre de nouvelles dispositions pour se protéger contre d'éventuelles vagues géantes.

Le Japon dispose de plus d'une cinquantaine de réacteurs nucléaires sur son territoire, tous situés en bord de mer pour faciliter les opérations de refroidissement.


Source :MSN.COM 15/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme de magnitude 5,8 s'est produit samedi matin au nord de Tokyo, où les immeubles ont fortement tremblé, a rapporté l'Institut de géophysique américain USGS.

L'épicentre de cette secousse, survenue à 11H19 (02H19 GMT), se trouvait dans la partie sud de la préfecture d'Ibaraki (centre-est), à quelque 80 kilomètres au nord de la capitale, a précisé l'Agence météorologique japonaise.

L'hypocentre était situé à 20 kilomètres de profondeur, selon l'USGS, et à 70 km selon l'Agence nippone. Ce tremblement de terre n'était pas une réplique du séisme de magnitude 9 qui a dévasté le nord-est du Japon le 11 mars, a souligné l'Agence.

Aucune victime ni dégâts majeurs n'ont été signalés dans l'immédiat.

L'opérateur de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, Tokyo Electric Power (Tepco), a assuré que la secousse n'avait pas interrompu l'injection d'eau dans les réacteurs, une opération cruciale pour éviter que le combustible ne chauffe exagérément. Cette centrale, située à 250 km au nord-est de Tokyo, a été gravement endommagée par un séisme de magnitude 9 et un tsunami de 14 mètres de haut le 11 mars.

Des explosions et des fuites radioactives sont intervenues depuis sur le site et les autorités tentent d'empêcher cet accident de dégénérer en une catastrophe de plus grande ampleur. Plus de 400 répliques de magnitude 5 ou plus ont touché l'archipel japonais depuis la catastrophe du 11 mars qui a provoqué la mort ou la disparition de plus de 28.000 personnes.

Afin d'éviter un nouvel accident, l'Agence de sûreté nucléaire japonaise a ordonné vendredi aux neuf compagnies d'électricité gérant des réacteurs nucléaires dans l'archipel de renforcer leurs mesures anti-sismiques et anti-tsunami. Elle leur a notamment demandé de s'assurer que chaque réacteur était connecté à plusieurs lignes d'alimentation électrique d'urgence, de renforcer la résistance de leurs systèmes de distribution du courant et de prendre de nouvelles dispositions pour se protéger contre d'éventuelles vagues géantes.

Le Japon dispose de plus d'une cinquantaine de réacteurs nucléaires sur son territoire, tous situés en bord de mer pour faciliter les opérations de refroidissement.

Source : midi librecom 16/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Comme certains d'entre-vous le savent, je suis actuellement au Japon. J'ai donc vécu en direct ce nouveau séisme. N'ayant jamais eu à affronter une telle situation, j'avoue humblement que je n'en menais pas large.

L'appartement dans lequel nous vivons, ma fille mon petit-ils et moi-même s'est mis à tanguer Et rien que de voir ma tête ma fille s'est gentillement moqué de moi...

Une fois les secousses terminées, cela n'a duré que quelques secondes, j'avais encore le sentiment que le sol était mouvant. Je pense que cette réaction est due à la belle peur que j'ai eue.

Sinon, ici à Tokyo, rien n'a changé ou ne semble avoir changé depuis les événements du 11 mars dernier. Selon ma fille, qui est déjà venue au Japon à plusieurs reprises, il y a beaucoup moins d'étrangers qu'avant. Sinon l'accueil de nos hôtes est plutôt sympathique.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La nature elle est drôlement forte. Plus forte que les hommes et tout ce qu'ils ont inventé. Ca serait bien quand même qu'ils inventent quelque chose pour avertir des tremblements de terre. Ca pourrait sauver plein de vies humaines mais aussi des animaux.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Une nouvelle réplique est survenue aujourd'hui vers 23h00.

Je l'ai vécue en direct puisque je suis au Japon, à Roppongi. Je n'étais absolument pas rassurée mais j'ai moins paniqué que la première fois... Ma fille vit cette situation sereinement. Mon petit fils dormait depuis déjà un petit moment et ne s'est pas réveillé.

Pour le moment je n'ai pas de précisions, je les communiquerai ultérieurement dès qu'elles seront publiées.

Ca y est j'ai trouvé l'information :

Magnitude 5,1 - HONSHU EST, JAPON
19 avril 2011 14:10:20 UTC

Détails sur le tremblement de terre

Cet événement a été examiné par un sismologue.
Ampleur : 5.1
Date / Heure
Mardi 19 avril 2011 à 14:10:20 UTC
Mardi 19 avril 2011 à 23:10:20 à l'épicentre
Heure du séisme d'autres fuseaux horaires
Lieu : 36.148 ° N, 139.805 ° E
Profondeur : 58.2 km (36,2 miles)
Région : EST Honshu, Japon
Distances : 45 km (27 miles) S de Utsunomiya, Honshu, Japon
52 km (32 miles) N de Tokyo, Japon
65 km (40 miles) WSW de Mito, Honshu, Japon
70 km (43 miles) ESE de Maebashi, Honshu, Japon

Incertitude Lieu : horizontale + / - 14.8 km (9,2 miles), profondeur + / - 9 km (5,6 miles)
Paramètres : NST = 250, NPH = 256, Dmin = 150.3 km, RMSS = 1,05 sec, Gp = 112 °,
M-type = ampleur vague de corps (Mb), Version = 9
Source : USGS NEIC (WDCS-D)
L'ID d'événement : usc0002uqp

Source : USGS 19/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Japon : violent séisme ressenti à l’est de Tokyo


De magnitude 6 (à 6,3 selon les sources), la nouvelle secousse enregistrée au Japon a été nettement ressentie dans la capitale, indique l’AFP.

Ce jeudi soir (22h37 au Japon), un séisme de magnitude 6 qui s’est produit à l’est de Tokyo dans la préfecture de Chiba, a été nettement ressenti dans la capitale, rapporte l’Agence de météorologie japonaise. Si la secousse a été violente, aucune alerte au tsunami n’a cependant été déclenchée.
L’épicentre de ce tremblement de terre était situé à proximité des côtes est, selon l’Agence.

Depuis le séisme du 11 mars dernier, l’activité tellurique est particulièrement intense du côté de l’archipel nippon. Des centaines de répliques se sont produites depuis et d’autres tremblements de terre ont été enregistrés à des points divers du Japon.

Situé au confluent de quatre plaques tectoniques, le pays endure tous les ans plus de 20% des séismes les plus violents enregistrés dans le monde.Source AFP/Maxisciences 21/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
L'agence japonaise de météorologie craint de nouveaux séismes



L'Agence japonaise de météorologie a appelé à la prudence. Elle redoute en effet de nouveaux séismes dans plusieurs zones du Japon. Elle conseille donc à la population de bien se préparer.

L'agence affirme que l'activité sismique s'intensifie dans différentes zones, dont certaines se trouvent hors des régions ravagées par le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars. Plusieurs régions de l'intérieur des terres de l'est du pays sont concernées.

Toujours selon l'agence, les répliques se font moins fréquentes ces derniers temps. Elle rappelle cependant que, jeudi, un séisme de niveau 4 sur l'échelle japonaise graduée de 0 à 7 a touché les préfectures de Fukushima et de Miyagi.

L'agence craint qu'un nouveau violent séisme ne provoque une seconde catastrophe, spécialement dans les zones où se déroulent les travaux de déblaiement.


Source :

Source :

NHK 29/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
L'est du Japon frappé par un séisme


Un séisme de magnitude 5,9 s'est produit samedi dans l'est du Japon, touchant l'une des zones les plus durement atteintes par le tremblement de terre du 11 mars, mais aucune alerte au tsunami n'a été lancée, a annoncé l'agence météorologique japonaise.

Le séisme s'est produit à 20H31 (11H31 GMT) à quelque 110 km à l'est de Fukushima, près du littoral est de l'île de Honshu, à une profondeur de 30 km, a précisé l'agence.

Aucune alerte au tsunami n'a été lancée et il n'y a pas eu dans l'immédiat d'informations faisant état de dégâts.

Le littoral nord-est de l'île de Honshu, la principale de l'archipel japonais, a été dévastée le 11 mars par un séisme de magnitude 9 et un gigantesque tsunami qui ont fait plus de 23.000 morts et disparus. Voir le dossier Spécial Japon : le Séisme et ses conséquences

Source AFP/libération

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dans l'histoire du Japon, rien ne laissait présager un séisme aussi violent... bien que redouté !

Selon une étude publiée dans Nature, le séisme de magnitude 9 a soulevé l'est du Japon de 3 mètres.

Les scientifiques commencent à comprendre ce qui s'est passé lors du séisme séisme de magnitude 9 qui a frappé le Japon, le 11 mars dernier Le tremblement de terre du Tohoku, qui a eu un effet dévastateur, déclenchant un tsunami, lui-même suivi d'une série d'explosions à la centrale nucléaire de Fukushima, a quelque chose d'exceptionnel. L'énergie qu'il a libérée a été beaucoup plus importante que ce que tous les modèles auraient pu prédire. En effet, la zone de rupture où il s'est produit ne dépassait pas 300 km, et pourtant il a provoqué un soulèvement de 3 m de haut à l'origine du tsunami et un glissement horizontal de 25 m, voire de 50 m à certains endroits.

Le nord-est du Japon connaît de nombreuses secousses de magnitude 7, mais pas une seule dépassant 7,5 n'a été enregistrée depuis 1923. Et aucun témoignage historique ne fait état d'un séisme supérieur à 8,5 depuis le XVIIe siècle. Aucune preuve ou indice ne permettait d'envisager la possibilité d'un séisme d'une telle violence le long de la fosse japonaise -sauf peut-être un événement remontant à l'an 869. C'est ce qu'explique une étude pilotée par Shinzaburo Ozawa, de l'Autorité d'information spatiale du Japon (Nature, 16 juin 2011). Ce travail s'appuie sur les données recueillies par le réseau GPS japonais, le plus dense au monde.

Image : Le Figaro

«Le séisme du Tohoku est très compact», résume Jean-Philippe Avouac, directeur de l'Observatoire de tectonique au Caltech (États-Unis), dont un article accompagne l'étude japonaise. Les scientifiques sont face à un phénomène inédit. En effet, le réseau GPS mis en place en 1994 sur le territoire japonais avait montré que le Japon se déplace de près de 10 cm par an sous la poussée de la plaque pacifique, c'est ce qu'on appelle la subduction (voir infographie ci-dessus). Mais ils avaient aussi noté que, dans la région du Tohoku, il n'y avait aucun glissement. La descente de la plaque pacifique sous la plaque eurasienne était bloquée à cet endroit, exactement comme un tapis roulant. «C'est dans cette zone de blocage que les contraintes se sont accumulées. Et c'est là aussi qu'elles se sont libérées brutalement comme un ressort», explique Jean-Philippe Avouac. Les signaux étaient là. Mais ils n'ont pas été pris en considération.

Au moment du séisme, les GPS ont enregistré, dans certains secteurs du Tohoku, des glissements horizontaux du sol de plusieurs mètres. Ces mouvements ne sont pas homogènes (les flèches sur la carte) parce que la croûte terrestre est dotée d'une certaine plasticité. Là où les contraintes étaient plus fortes, les glissements ont été les plus importants. Curieusement, le séisme a effacé les contraintes du blocage qui s'était installé au large du Tohoku depuis des centaines d'années. L'ensemble de la plus grande île japonaise s'éloigne peu à peu de la côte chinoise sous la poussée de la plaque pacifique.
Pourquoi une zone de blocage s'est-elle installée au large du Tohoku? «On ne sait pas, mais c'est une des questions sur lesquelles nous allons travailler», confie Jean-Philippe Avouac. Elle doit être examinée de près, car on sait maintenant qu'une zone de blocage de faible étendue peut provoquer un cataclysme.

Le réseau GPS: un outil hors pair «Le réseau de stations GPS installées sur le territoire nippon est exceptionnel par sa densité», souligne Jean-Philippe Avouac, directeur de l'Observatoire de tectonique au Caltech (États-Unis). Les Japonais ont été les premiers à investir dans ce type de dispositif.

Depuis la fin des années 1990, plus de 1200 stations GPS enregistrent les déplacements des îles japonaises sous la poussée de la plaque pacifique. «Leurs données, ajoutées à celles des stations sismiques, sont une source extraordinaire d'informations , assure le chercheur. C'est une découverte en soi: les GPS vont permettre de comprendre ce qui s'est passé lors du séisme du 11 mars.»

Plusieurs études ont déjà été publiées à partir de ces données mais il y en aura d'autres dans les prochaines années. «Des réseaux GPS devraient être implantés dans les zones de subduction -là où une plaque tectonique glisse sous une autre», estime Jean-Philippe Avouac.

En Amérique du Sud ou en Himalaya par exemple. À défaut de permettre de prévoir la survenue d'un séisme, elles pourraient donner une idée beaucoup plus précise de l'aléa. À condition toutefois que les experts acceptent de voir les choses en face. En effet, les données GPS avaient montré que des fortes tensions s'accumulaient au large de Sendaï mais rares sont ceux qui ont averti du danger.

Source : Le Figaro.fr 16/06/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme de magnitude 7,3 a secoué le nord-est du Japon





Un tremblement de terre de magnitude 7,3 a secoué le nord-est du Japon dimanche matin. D'une intensité de 4 sur l'échelle japonaise graduée de 0 à 7, les secousses ont été ressenties à 9h57.

L'Agence de météorologie a émis une alerte au tsunami pour le littoral des préfectures d'Iwate, de Fukushima et de Miyagi, qui a été levée à 11h45. Entre-temps, l'agence avait observé des vagues de 10 centimètres au port d'Ofunato, dans la préfecture d'Iwate et à celui de Soma, dans la préfecture de Fukushima.

Toujours selon l'agence, l'épicentre du séisme était situé au large de la côte de Sanriku, à une profondeur de 34 km. La première estimation le donnait d'une magnitude de 7,1. Elle a ensuite été revue à la hausse, à 7,3.

La police locale et les pompiers n'ont signalé aucun dégât.



NHK 10/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le séisme de ce dimanche au Japon serait une réplique à celui du 11 mars


Le tremblement de terre de magnitude 7,3 survenu ce dimanche matin au Japon serait une réplique de celui du 11 mars dernier.

D'après Akira Nagai, un responsable de la surveillance des séismes et des tsunamis au sein de l'Agence de météorologie, le tremblement de terre serait dû à un déplacement horizontal de failles de la plaque tectonique océanique dite plaque Pacifique.

Devant la presse ce dimanche, M. Nagai a précisé que le nombre de répliques était en baisse. Mais, a-t-il ajouté, la puissance du séisme du 11 mars était telle qu'il existe toujours la possibilité de répliques de magnitude 7 ou plus.

Le séisme de dimanche est à l'origine de vagues d'une dizaine de centimètres observées dans le port d'Ofunato, dans la préfecture d'Iwate et dans le port de Soma, dans la préfecture de Fukushima.


nhk 10/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

La terre a tremblé encore une fois au Japon samedi matin, mais aucune alerte au tsunami n’a été émise.

Un fort séisme de magnitude 6,5 a frappé le nord-est du Japon samedi sans faire de dégâts apparents mais aucune alerte au tsunami n’a été émise, selon des sources concordantes.

La secousse s’est produite à 01h34 locales (06h34 en Suisse) au large des côtes de la préfécture de Miyagi, la même qui a été dévastée par le séisme et le tsunami du 11 mars, a indiqué l’institut américain de géophysique (USGS).

Selon les géologues japonais, la secousse a atteint une magnitude de 6,5.

L’épicentre a été localisé à 125 kilomètres au nord-est de la ville de Sendai, la capitale de la préfecture, à une profondeur de 35,7 km, selon l’USGS.

©️ Google Map
L’épicentre a été localisé à 125 kilomètres au nord-est de la ville de Sendai

Le séisme n’a pas provoqué de nouveaux dégâts dans la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, gravement endommagée par le séisme du 11 mars, a indiqué l’opérateur Tepco.
Il n’a pas été fait état dans l’immédiat de victime ni de dégât. De son côté, le Centre de surveillance des tsunami dans le Pacifique a indiqué dans un communiqué qu’il n’y avait pas "de menace de tsunami majeur et destructeur".

Les trains à grande vitesse Tohoku Shinkansen ont temporairement cessé avant que le trafic ne reprenne peu après.

Le Japon a été meurtri le 11 mars par le plus violent séisme enregistré sur son territoire, une secousse tellurique de magnitude 9 au large des côtes nord-est suivie d’un tsunami géant, qui ont fait au moins 21.000 morts et disparus selon le plus récent bilan.

.Le Matin.fr 23/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un violent séisme secoue la préfecture de Fukushima



Un séisme de magnitude estimée à 6,5 a été enregistré dimanche matin dans la préfecture de Fukushima, dans le nord-est du Japon, sans provoquer de risque de tsunami.

D'après l'Agence de météorologie, le tremblement de terre a eu lieu à 3h53 du matin. Son hypocentre a été localisé en mer, au large de la préfecture de Fukushima et à 57 km de profondeur.

Des secousses d'une intensité 5+ sur l'échelle japonaise graduée de 0 à 7 ont été enregistrées dans la ville de Naraha et le village de Kawauchi, toujours dans la préfecture de Fukushima.

L'Agence de sûreté nucléaire et industrielle, la NISA, a annoncé qu'aucun problème n'avait été signalé aux centrales nucléaires Fukushima Dai-ichi et Fukushima Dai-ni.





.NHK 31/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Cette nuit, un séisme de magnitude 6 s'est produit dans le nord-est du Japon, dans la région de Fukushima déjà dévastée en mars dernier par une violente secousse. Cette fois-ci, aucune alerte tsunami n'a été émise et aucune anomalie n'a été détectée à la centrale nucléaire accidentée, selon son opérateur Tepco.

La terre a de nouveau tremblé à Fukushima. Cette nuit, à 3h22 heure locale, un séisme de magnitude 6 a en effet secoué le nord-est du Japon, dans la région qui avait déjà été touchée le 11 mars dernier par le plus violent tremblement de terre enregistré sur le territoire japonais.

Selon l'Agence de météorologie nippone, l'épicentre du nouveau phénomène était situé sur la côte de Fukushima, à 220 kilomètres de Tokyo et son hypocentre à 50 kilomètres de profondeur. Les secousses ont ainsi été nettement ressenties dans la capitale où les immeubles ont même tangué, rapporte romandie.com. Néanmoins, aucune alerte au tsunami n'a été déclenchée suite au phénomène.

Pour l'instant, les autorités n'ont déclaré aucun dégât, ni victime. De même, Tepco l'opérateur de la centrale accidentée de Fukushima, a indiqué ne pas avoir observé de problèmes particuliers dans les installations découlant de ce nouveau séisme. Toutefois, la population a été mise en garde contre les risques de réplique.

Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit chaque année plus de 20% des tremblements de terre les plus violents recensés sur la planète, rappelle romandie.com.


Maxisciences 12/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme de magnitude 6,8 frappe les préfectures de Miyagi et Fukushima


Un séisme de magnitude 6,8 a secoué ce vendredi après-midi les préfectures de Miyagi et Fukushima, dans le nord-est du Japon, déjà affectées par la catastrophe du 11 mars.

L'Agence de météorologie a annoncé que le séisme avait frappé vers 14h36. Son hypocentre était au large de Fukushima, à une profondeur de 20 km.

Aucune anomalie n'a été rapportée à la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi qui avait subi le séisme et le tsunami du 11 mars.

L'Agence de météorologie explique que le tremblement de terre d'aujourd'hui est probablement une réplique de celui de mars. Elle met en garde contre la possibilité de nouvelles secousses puissantes au cours de périodes d'activité sismique qui risquent de se produire cycliquement.

NHK 19/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Selon l'Agence météorologique japonaise, plus de 10.000 secousses sismiques perceptibles ont fait trembler l'Archipel depuis le grand tremblement de terre de l'est du Japon l'année dernière.

Environ 70 pour cent d'entre elles étaient des répliques du séisme de mars, et se sont produites le long de la côte nord-est du Pacifique.

L'agence conseille aux personnes vivant dans des zones sujettes à des mouvements récurrents de l'écorce terrestre de rester sur leurs gardes en cas de fortes secousses.

NHK 09/03/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mercredi à 19H08 heure locale, un séisme de magnitude 6,8 s'est déclenché sur la côte Est de l'île de Honshu au Japon. Les autorités ont mis en garde contre le risque de tsunami d'une hauteur maximale de 50 centimètres.

Un an après le séisme et le tsunami dévastateur, la terre continue de trembler régulièrement au Japon. Mercredi à 19H08 heure locale, une secousse s'est produite au large de la côte Est de l'île de Honshu déjà touchée par la catastrophe en mars dernier.

De magnitude évaluée à 6,8, le séisme s'est déclenché au fond de l'océan Pacifique à 293 kilomètres de la ville de Hachinohe. La profondeur de l'épicentre a été estimée à 26,6 kilomètres, d'après l'Institut de géophysique américaine (USGS). La secousse s'étant révélée assez forte, l'Agence météorologique japonaise a mis en garde contre un risque de tsunami d'une hauteur maximale de 50 centimètres pouvant toucher les côtes des préfectures d'Aomori, d'Iwate (nord-est) et du Hokkaïdo.

Ainsi, elle a conseillé aux habitants vivant près de la côte d'évacuer provisoirement leurs maisons. Pour l'heure, aucun dégât n'a été répertorié et aucune grosse vague n'a déferlé sur les villes côtières.


Maxisciences 14/03/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mardi 27 mars, une secousse sismique de magnitude 6 s'est déclenchée aux alentours de 20H au large de la côte est de Honshu au Japon. Aucune alerte au tsunami n'a été émise.

Les séismes se multiplient ces derniers jours. Après le Chili et le Mexique, c'est de nouveau au tour du Japon de voir sa terre trembler. Mardi soir, aux alentours de 20H heure locale, un séisme de magnitude 6 est survenu au large de la côte est de l'île de Honshu. Selon l'Institut de géophysique américain (USGS), l'épicentre du phénomène se trouvait à 85 kilomètres de la ville de Morioka et à 509 kilomètres de Tokyo. Sa profondeur, elle, a été évaluée à 10 kilomètres sous le niveau de la mer.

L'agence météorologique du Japon avait préalablement estimé la magnitude à 6,4 mais celle-ci a par la suite été revue à la baisse. Suite au phénomène, aucune alerte au tsunami n'a toutefois été émise. Citée par l'AFP, l'agence a ainsi précisé que "les niveaux de la mer peuvent légèrement varier à cause du séisme, mais il n'y a pas de crainte de dégâts". De même, selon la télévision publique japonaise NHK, aucun dégât concernant les installations nucléaires n'a été rapporté dans la zone touchée par le séisme.

Un autre média local a ajouté qu'aucun blessé ou victime n'avait été répertorié. Le 14 mars dernier, un séisme de magnitude 6,8 avait déjà secoué le Japon au niveau de la même région sans faire de dégât majeur. Le 11 mars 2011, un séisme de magnitude 9 au large du nord-est du Japon avait provoqué un tsunami géant qui avait dévasté les villes et villages de la côte, faisant quelque 19.000 morts et disparus, et occasionnant à Fukushima le plus grave accident nucléaire au monde depuis 1986.


Maxisciences 27/03/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Une étude publiée par la municipalité de Tokyo révèle qu’un séisme de magnitude 7,3 en plein centre-ville pourrait causer la mort de près de 10.000 personnes et faire 150.000 blessés. La simulation tient compte des changements telluriques ayant eu lieu depuis le 11 mars 2011.

Une simulation actualisée de la municipalité de Tokyo, au Japon, tient compte des changements telluriques intervenus depuis le tremblement de terre de magnitude 9 survenu au large des côtes nord-est du Japon le 11 mars 2011.

Grâce à cette estimation, le gouvernement souhaite améliorer les dispositifs de prévention et de secours. Plusieurs situations ont ainsi été envisagées. Selon les experts, le pire scénario serait que l’épicentre d’un éventuel séisme de magnitude 7,3 frappe la partie nord de la baie de Tokyo, un jour d'hiver, à 18 heures, avec un vent de 8 mètres par seconde (ce dernier, en attisant les incendies retarderait les secours).

Dans ce cas, un tsunami qui atteindrait jusqu'à 2,61 mètres dans le quartier sud de Shinagawa pourrait déferler dans la ville. Toujours dans cette configuration, 5.600 personnes au moins périraient dans les secousses et 4.100 à cause des flammes et de la fumée. Jusqu'à 147.600 autres seraient blessées, dont 21.900 gravement atteintes, et ce uniquement dans la préfecture de Tokyo (près de 13 millions d'habitants).

La simulation informatique a en outre calculé que 304.300 bâtiments seraient en tout ou en partie détruits, dont près des deux tiers par le feu. Cela laisserait sans abri 3,39 millions d'individus et empêcherait 5,17 millions de personnes de regagner leur domicile à cause des dégâts et de l'arrêt des transports en commun.

D’autres scenarii envisagent également des séismes de magnitude plus élevées (jusqu’à 8,2) mais, paradoxalement, les chiffres sont moins dramatiques. Pourtant, les Japonais doivent se préparer à tout car Tokyo se situe à la jonction entre quatre plaques tectoniques.

Dans les 30 prochaines années, les chances qu’un séisme de magnitude supérieure à 7 survienne sont ainsi de 70%. D’autres études estiment même que la probabilité de telles secousses dans les quatre prochaines années est de 50%.

Les sismologues reconnaissent toutefois qu'il ne s'agit là que d'estimations. Celles-ci se basent sur des données historiques et la connaissance actuelle des mécanismes tectoniques. Elles n'ont aucunement valeur de prévisions.

Néanmoins, l'activité sismique s'est fortement intensifiée à Tokyo depuis le séisme de l'an dernier. Par ailleurs, on relève dans la capitale en moyenne plus de 1,5 tremblement de terre de magnitude supérieure à 3 chaque jour, soit cinq fois plus qu'auparavant.


Maxisciences 20/04/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Au Japon, l'Agence de la météorologie annonce que le nombre de séismes ayant été perçus un peu partout sur l'Archipel cette année a dépassé les 3000. Selon l'agence, près de 60% d'entre eux étaient des répliques du tremblement de terre géant de l'an dernier.

L'agence précise que jusqu'à hier dimanche, 3134 séismes avaient été ressentis au Japon, soit un millier de plus que la moyenne annuelle de 2001 à 2010.

Une analyse des ondes sismiques montre qu'il y a eu plus de 10 mille séismes perceptibles en 2011.

Des officiels de l'agence expliquent que si le nombre de tremblements de terre a diminué par rapport à l'an dernier, de fréquentes activités sismiques continuent à être enregistrées.

Ils demandent à la population de rester en alerte contre d'éventuels séismes puissants d'une magnitude égale ou supérieure à 7, ou susceptibles de déclencher un tsunami.



NHK 31/12/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un violent séisme de magnitude 6,9 a secoué samedi le Japon, sur l'île de Hokkaido (nord), a alerté le Centre américain de géophysique (USGS).

La secousse s'est produite à 23H17 (14H17 GMT) près de la ville d'Obihiro, a précisé l'USGS. Les médias locaux n'ont pas déclenché d'alerte au tsunami.

Aucun dégât ni blessé n'a été rapporté dans l'immédiat, selon la police de Hokkaido citée par la chaîne publique NHK. Aucune anomalie n'a été constatée non plus dans les installations nucléaires, nombreuses dans la préfecture de Aomori (nord de l'île Honshu), selon les compagnies.

Les secousses ont été fortement ressenties dans toute l'île septentrionale de Hokkaido, ainsi que dans les préfectures de l'île centrale de Honshu, selon les données diffusées par l'agence japonaise de météorologie sur son site internet.

L'épicentre se situait sur la partie est de l'île de Hokkaido, avec un hypocentre à 120 kilomètres de profondeur.

Peu avant les secousses, une alerte a retenti à la télévision et à la radio, prévenant de la survenue imminente du séisme, grâce à un système de détection précoce mis en place par l'agence de météo.

Les programmes ont immédiatement été interrompus sur la NHK pour diffuser les informations relatives à ce séisme. Placez-vous en sûreté, éteignez le gaz, faites aussi attention aux chutes d'objets, si vous êtes à l'extérieur n'approchez pas des côtes, a répété l'animateur.

Les secousses qui se sont produites peu après cette alerte ont duré près d'une minute, selon des journalistes de la NHK mettant en garde contre de possibles répliques.

Une conférence de presse de sismologues de l'agence de météo était prévue un peu plus tard dans la nuit


ROMANDIE.COM 2/2/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un tremblement de terre de magnitude 6,3 a secoué l'ouest du Japon samedi près de la ville portuaire de Kobe. Il a fait au moins 24 blessés, ont annoncé l'agence de météorologie nippone et la police.

L'agence avait d'abord évalué la magnitude à 6, mais l'a revue ultérieurement à 6,3. Peu après les secousses, elle a indiqué qu'une légère élévation du niveau de la mer pouvait être observée par endroit, mais elle n'a pas déclenché d'alerte au tsunami.

La police a fait état d'au moins 24 blessés: une dame de 74 ans s'est notamment cassé le col du fémur dans la préfecture de Hyogo, où se trouvait l'épicentre, et une habitante de la préfecture de Fukui (côte de la mer du Japon) de 82 ans a eu la jambe cassée.

La télévision publique NHK a fait état de la rupture d'une canalisation d'eau dans la ville d'Awaji, sur l'île du même nom, et de l'effondrement d'un mur à Osaka.

Le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga, a confirmé que ce séisme n'avait apparemment pas provoqué de dommage majeur. Une cellule de crise du bureau du Premier ministre a toutefois été activée peu après le tremblement de terre qui s'est produit samedi à 05h33 (vendredi à 22h33 en Suisse).

Son hypocentre se situait à 10 kilomètres de profondeur sous la petite île d'Awaji en mer de Seto, près de la ville portuaire de Kobe, a précisé l'agence de météorologie.

Le séisme a fait trembler tout l'ouest de la grande île de Honshu, secouant les immeubles des métropoles de la région industrielle du Kansai, notamment Kobe et Osaka. Proche de la surface, il a été fortement ressenti par les habitants de la région souvent surpris dans leur sommeil.

Les services ferroviaires locaux ont été suspendus et les trains à grande vitesse Shinkansen ont circulé à vitesse réduite dans la région après la secousse initiale, avant que le trafic ne revienne progressivement à la normale en début de matinée.

Les opérations ont été momentanément interrompues à l'aéroport international du Kansai situé à proximité, ainsi qu'à celui d'Itami à Osaka, avant de reprendre assez rapidement.


ROMANDIE 13/4/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Au Japon, un fort séisme a ébranlé samedi matin l'île d'Awaji dans la préfecture occidentale de Hyogo. La secousse, d'une intensité 6 moins sur l'échelle japonaise allant de zéro à sept, a touché à 5 heures 33 la ville d'Awaji, située près de l'épicentre. Les zones environnantes ont subi de fortes secousses.

Selon l'Agence de météorologie du Japon, l'épicentre du séisme a été localisé près de l'île d'Awaji, à une profondeur de 15 kilomètres. La magnitude du séisme est estimée à 6,3 sur l'échelle de Richter.

L'agence appelle à la vigilance en raison des risques élevés d'effondrement des bâtiments et de coulées de boue dans les zones fortement affectées. Elle met aussi en garde contre d'éventuelles secousses secondaires au cours de la prochaine semaine.

Selon des enquêtes menées par la NHK auprès des autorités locales et des pompiers, au moins vingt personnes ont été blessées par les secousses.

L'Autorité de régulation du nucléaire a confirmé n'avoir détecté aucune anomalie dans les centrales nucléaires, les réacteurs expérimentaux dans les universités et les installations de traitement des combustibles nucléaires dans les zones touchées.


NHK 13/4/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La population de l'île d'Awaji, dans la préfecture occidentale nippone de Hyogo, reconstruit les immeubles effondrés après le fort séisme de samedi.

Au moins 24 personnes ont été blessées dans le séisme de magnitude 6 moins sur l'échelle japonaise qui va de zéro à sept. Plus de 1200 bâtiments ont été endommagés sur l'île d'Awaji.

A Sumoto, une ville qui a été particulièrement touchée, 300 employés municipaux ont entamé l'évaluation des dégâts dimanche matin. Des responsables se sont rendus chez les habitants et ont vérifié si les murs et d'autres structures étaient endommagés. La population s'activait à recouvrir les toits des maisons avec des bâches distribuées par les autorités municipales.


NHK 14/4/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dans la préfecture de Hyogo, les responsables de trois villes de l'île d'Awaji confirment que près de 2000 maisons et édifices ont été endommagés par le fort tremblement de terre de samedi.

Les représentants de Sumoto, Awaji et Minami-awaji ont mené une inspection dimanche. Par ailleurs, deux résidents de Sumoto ont été ajoutés à la liste des personnes blessées par le séisme, ce qui porte à 25 le total des blessés à Hyogo et dans les préfectures environnantes.


NHK WORLD 15/4/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un tremblement de terre de magnitude 6,1 s'est produit dimanche à 12H22 locales (03H22 GMT) au large de petites îles japonaises du Pacifique, selon l'institut de géophysique américain (USGS), sans provoquer de tsunami.

L'épicentre de ce séisme se trouvait à environ 640 km au sud de Tokyo et environ 360 kilomètres au sud-ouest de Hachijo-jima, avec un hypocentre à une profondeur de 424 km, a précisé la même source. L'agence de météo nippone a pour sa part mesuré une magnitude 6,7 et une profondeur de 450 kilomètres.

Les secousses ont été très faiblement ressenties dans une large partie est du Japon. L'agence de météo a confirmé qu'il n'y avait pas de risque de tsunami.

Le Japon vit actuellement une période de forte activité sismique, selon des experts japonais. Situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, l'archipel nippon enregistre chaque année 20% des séismes les plus puissants recensés sur la planète. Aucune région du territoire japonais n'est épargnée.

Vendredi, une secousse de magnitude 7,2 s'est produite au nord de l'archipel nippon, au large des îles Kouriles administrées par la Russie. Elle avait été perçue dans toute la partie nord-est du Japon, mais aucune alerte au tsunami n'avait non plus été déclenchée,

Mercredi, une série de plusieurs dizaines de tremblements de terre, dont un de magnitude 6,2, ont secoué toute la journée l'île volcanique de Miyakejima au sud de Tokyo, tandis qu'une autre secousse de magnitude 5,8 a eu lieu le même jour à Miyagi (nord de Tokyo), préfecture la plus meurtrie par le tsunami du 11 mars 2011.

Quelque jours plus tôt, un séisme de magnitude 6,3 avait secoué l'ouest du pays, près de la ville portuaire de Kobe, celle qui avait déjà été saccagée en 1995 par un séisme qui avait tué plus de 6.400 personnes.

Et il y a tout juste une semaine, une secousse de magnitude 5,2 a eu lieu sur la côte de la préfecture de Fukushima, déjà ravagée par le tremblement de terre de magnitude 9 suivi et le tsunami meurtrier du 11 mars 2011.

ROMANDIE 21/4/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un séisme de magnitude 6,1 s'est produit samedi à proximité des côtes nord-est du Japon, a annoncé l'institut de géophysique américain (USGS), mais aucune alerte au tsunami n'a été déclenchée ni aucun dégât rapporté.

Le tremblement de terre a eu lieu à 14H48 locale (05H48 GMT), à 50 km au large de la ville de Namie, située dans la région dévastée par le tsunami du 11 mars 2011 et proche de la centrale nucléaire accidentée Fukushima Daiichi, a expliqué l'USGS. La profondeur a été estimée par l'institut à 41,5 km sous l'Océan Pacifique.

L'agence de météorologie japonaise n'a déclenché aucune alerte ou mise en garde contre un éventuel tsunami.

La compagnie gestionnaire de Fukushima Daiichi, Tokyo Electric Power (Tepco), a indiqué qu'aucune anormalité n'avait été constatée sur le site de la centrale nucléaire après la secousse.

Des responsables des préfectures de Fukushima et Miyagi, les plus proches de l'épicentre, n'ont reçu dans l'immédiat aucune information faisant état de dommage ou de victime.

Cette région avait été dévastée le 11 mars 2011 par un séisme de magnitude 9 au large des côtes nord-est de la grande île japonaise de Honshu qui avait provoqué un tsunami géant, faisant près de 19.000 morts et entraînant l'accident nucléaire de Fukushima.

Le Japon vit actuellement une période de forte activité sismique, selon des experts nippons.

Situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, il enregistre chaque année 20% des séismes les plus puissants recensés sur la planète. Aucune région du territoire japonais n'est épargnée.



----->Pour ceux qui n'ont jamais vécu de séisme, je peux dire que c'est flippant. Il y a deux ans, au Japon justement, nous avons vécu plusieurs séismes que je qualifierai de mineurs... Mais l'un d'eux d'une puissance de 6,4 ou 6,5, je ne sais plus exactement, m'a vraiment terrifiée... et je pèse mes mots ! J'avais une mine tellement défaite que ma fille et mon petit-fils de 8 ans se sont moqués de moi... J'avais mes chaussures à la main, mon sac à portée prête à filer soit sous la table soit dans un trou de souris ! J'avais beau faire confiance aux constructions para-sismiques du Japon, très à la pointe là-dessus... J'étais bigrement inquiète surtout après le fort séisme survenu deux semaines avant notre arrivée... Nous ressentions fortement les secousses (des objets sont tombés) et en plus je voyais les immenses immeubles tanguer juste en face de notre appartement... Quand on ne connaît pas, quand on en a jamais subi et que cela vous arrive : c'est plus qu'impressionnant.


ROMANDIE 18/5/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Tokyo (AFP) - Un séisme de magnitude 6 s'est produit dimanche au large du nord du Japon, la région ébranlée par un tremblement de terre majeur en mars 2011, mais ce dernier séisme n'a pas suscité d'alerte au tsunami, a indiqué l'agence officielle.

Le tremblement de terre s'est produit à midi et demi heure locale (03H29 GMT), dans le Pacifique, au large de la préfecture de Miyagi, ravagée par le séisme de magnitude 9 du 11 mars 2011 qui avait provoqué un gigantesque tsunami.

L'opérateur de la centrale nucléaire Fukushima, Tokyo Electric Power Co, a indiqué ne pas avoir été informé d'un quelconque dysfonctionnement après la secousse de dimanche.

Un séisme de magnitude 6 s'est produit dimanche au large du nord du Japon, la région ébranlée par un tremblement de terre majeur en mars 2011, mais ce dernier séisme n'a pas suscité d'alerte au tsunami, a indiqué l'agence officielle. (c) Afp




SCIENCES ET AVENIR 4/8/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Violent séisme, tornade et pluies diluviennes qui ont fait au moins deux blessés selon les médias, la nature a encore éprouvé le Japon mercredi.

Un tremblement de terre de magnitude 6,5 a d'abord fait vibrer tout l'est de la grande île de Honshu le long de la côte Pacifique, a annoncé l'institut de géophysique américain (USGS). La secousse, intervenue à 09H18 (00H18 GMT), s'est produite à 404 km de profondeur sous l'océan Pacifique, a précisé l'USGS, et à 637 km au sud de Tokyo où les immeubles ont tremblé.

Chaque séisme violent enregistré au Japon, notamment dans l'est, rappelle à la population la terrible journée du 11 mars 2011 : un tremblement de terre de magnitude 9 survenu au large des côtes est du pays avait provoqué un tsunami géant sur le littoral. Plus de 18.000 personnes sont mortes dans cette catastrophe qui avait en outre entraîné un accident nucléaire à la centrale Fukushima Daiichi, le pire depuis celui de Tchernobyl (Ukraine) en 1986.

Dans l'immédiat, le gérant de la centrale nucléaire de Fukushima, Tokyo Electric Power (Tepco), a assuré mercredi qu'aucun problème nouveau n'avait été constaté sur le site endommagé. Nous avons pu confirmer qu'il n'y avait rien d'anormal au vu de diverses mesures relevées sur place, a expliqué un porte-parole de Tepco à l'AFP. Il a ajouté que des équipes patrouillaient sur le vaste site nucléaire pour constater d'éventuels dégâts.

La préfecture de Fukushima, où se trouve cette installation, a en effet été bien secouée comme le reste de la côte Pacifique de la grande île japonaise de Honshu.

Les trains se sont brièvement arrêtés dans les zones touchées, avant de repartir et le trafic est revenu à la normale partout très rapidement, avant d'être de nouveau perturbé dans l'après-midi à cause de précipitations violentes dans diverses régions du pays.

Une tornade a traversé une partie de la préfecture de Tochigi (nord de Tokyo), emportant des toits, arrachant des poteaux, brisant des vitres ou renversant des équipements extérieurs.

Le temps est extrêmement instable, a insisté l'agence de météorologie qui a mis en garde contre les risques de tornades dans plusieurs provinces du pays, à l'exception de l'extrême-sud et du nord.

En cas de tornade, fermez volets, portes et fenêtres et cachez-vous sous une couverture dans un endroit sans ouverture comme des toilettes, a expliqué un présentateur de la chaîne publique NHK.

Par ailleurs, des ordres d'évacuation ont été donnés à plusieurs milliers de foyers à cause des risques d'inondation et glissements de terrain du fait des quantités énormes de pluies redoutées dans le sud-ouest, le centre et une partie de l'est du Japon. Ces précipitations exceptionnelles sont dues à une forte dépression issue d'un typhon.

Lundi, une tornade dans une banlieue nord de Tokyo avait déjà fait plus de 60 blessés et détruit en tout ou partie des centaines de bâtisses. Des tornades se produisent chaque année au Japon lors des chauds étés, des phénomènes imprévisibles qui surgissent soudainement sur les terrains plats lorsque les conditions météo sont très instables, que les températures sont élevées et l'air sec.

Le Japon est aussi victime entre juin et octobre de typhons qui provoquent parfois d'énormes dégâts.


ROMANDIE 4/9/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Tokyo (AFP) - Une équipe de sismologues a entamé vendredi une nouvelle mission de quatre mois pour creuser la croûte terrestre au large du Japon, afin de déterminer l'origine des tremblements de terre.

Ces scientifiques ont appareillé à bord du Chikyu (le "Terre"), un navire de quelque 57.000 tonnes équipé d'une tour de forage de 121 mètres de haut capable de creuser jusqu'à 7.000 mètres sous le fond de la mer.

Parti du port de Shimizu (centre du Japon), ce bateau va les emmener à 80 km de la côte où l'équipe va reprendre un travail de forage entamé en 2007 et conduit régulièrement depuis sous l'océan Pacifique.

 Le navire scientifique Chikyu (le "Terre") et sa tour de forage est amarré dans le port japonais de Shimuzu, dans l'attente d'une nouvelle mission d'exploration, le 11 septembre 2013 (c) Afp

Les chercheurs vont creuser vers la faille Nankai ("la faille de la mer du sud"), là où la plaque de la mer des Philippines glisse sous la plaque eurasienne. L'intense activité géologique de cette zone pourrait entraîner à plus ou moins long terme un séisme potentiellement dévastateur, beaucoup plus puissant que celui de magnitude 9 du 11 mars 2011 intervenu à un millier de kilomètres au nord-est de cette région et qui avait entraîné un tsunami géant.

Le gouvernement japonais a dévoilé l'an passé un scénario catastrophe, selon lequel de méga-secousses au niveau de la faille Nankai doublées d'un tsunami pourrait tuer plus de 320.000 personnes au Japon.

C'est pour en savoir un peu plus sur les facteurs déclencheurs de ces mouvements que les scientifiques veulent creuser jusqu'à 3.600 mètres sous le fond de l'océan lors de cette mission. Ce travail doit préparer une nouvelle mission de forage l'an prochain au même endroit, au cours de laquelle ils espèrent sonder jusqu'à 5.200 mètres, là où les plaques se frottent.

"Ce serait la première fois qu'un forage atteindrait directement une zone sismique, là où une énergie considérable peut être générée, provoquant des mouvements de la croûte terrestre le long des failles en entraînant des tsunami", a expliqué Tamano Omata, chercheur à l'Agence japonaise des sciences et technologies marines et terrestres.

Les scientifiques veulent placer des capteurs dans la croûte terrestre, qui seront reliés à un système d'analyse situé sur la terre ferme.

"Nous voulons pouvoir étudier comment la croûte terrestre bouge dans les instants qui précèdent les tremblements de terre", de façon à mieux prévoir de futurs séismes, a ajouté M. Omata.

Situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, le Japon subit environ 20% des séismes les plus puissants enregistrés chaque année sur la planète.


SCIENCES ET AVENIR 13/9/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un séisme de magnitude 5,3 a secoué dans la nuit de jeudi à vendredi la préfecture de Fukushima qui héberge une centrale nucléaire accidentée, a annoncé l'Institut de géophysique américain (USGS).

La compagnie d'électricité Tepco, qui gère la centrale accidentée Fukushima Daiichi, a assuré qu'aucun problème nouveau ni dégagement supplémentaire de radiation n'avaient été observés sur le site sinistré après cette secousse, a rapporté l'agence de presse Kyodo.

L'agence de météorologie japonaise, qui a estimé pour sa part la magnitude de la secousse à 5,8, n'a lancé de son côté aucune alerte au tsunami. D'après l'USGS, le tremblement de terre s'est produit vendredi à 02H25 locale (17H25 GMT jeudi), à une profondeur de 22,2 km. L'épicentre a été mesuré à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de la ville d'Iwaki au bord de l'océan Pacifique, soit à 175 km au nord-est de Tokyo où les immeubles ont tremblé.

L'épicentre était également situé à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de la centrale de Fukushima Daiichi, ravagée par un séisme de magnitude 9 et un tsunami géant le 11 mars 2011 et dont l'exploitant Tepco continue de faire face à de nombreux problèmes.

Ce tremblement de terre s'est produit quelques heures à peine après une visite sur ce site accidenté du Premier ministre japonais, Shinzo Abe, qui a sommé la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) de fournir un calendrier comportant des mesures destinées à mettre fin aux fuites d'eau radioactive, un problème qui suscite l'inquiétude dans le monde entier.

ROMANDIE 19/9/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme d'une magnitude de 7,5 a été enregistré vendredi à environ 370 km à l'est de l'île d'Honshu au Japon, indique le centre américain de veille géologique (USGS). 

L'alerte au tsunami a été déclenchée par la préfecture de Fukushima. Mais selon le centre américain d'alerte aux tsunamis dans l'océan pacifique, il n'existe pas de risque général de tsunami après ce tremblement de terre. La vague générée ne devrait pas dépasser un mètre. Néanmoins, l'ordre d'évacuer a été donné aux personnels de la centrale de Fukushima.


Le séisme a eu lieu à 03h10 heure locale samedi (17h10 GMT vendredi) à une profondeur de 10 kilomètres et à 320 kilomètres au large de la ville d'Ishinomaki, dans la préfecture de Miyagi, selon l'institut américain de géophysique, l'USGS.
L'USGS a pour sa part évalué la magnitude du séisme à 7,5 et a émis sur son site internet une alerte verte, qui correspond à une faible probabilité de décès ou de pertes économiques.



Europe1 25/10/2013 - Le dauphiné  - Le point

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un puissant séisme a été enregistré vendredi à environ 370 kilomètres à l'est de l'île d'Honshu au Japon. Un tsunami de faible ampleur a été observé sur le littoral. Par précaution, un ordre d'évacuation a été donné au personnel de la centrale accidentée de Fukushima.

Une vague de 30 centimètres de haut a atteint Ishinomaki, dans la préfecture de Miyagi, ville détruite par le tsunami géant du 11 mars 2011. Celui survenu vendredi, de faible ampleur, a aussi touché d'autres endroits de la préfecture et les villes d'Ofunate et Kamaishi dans la préfecture voisine d'Iwate...

Les habitants de ces deux préfectures se sont vu conseiller d'évacuer les environs immédiats du littoral. "Le tsunami pourrait gagner en puissance, restez en alerte", a conseillé la chaîne de télévision NHK aux habitants de la région. D'après la compagnie d'électricité Tohoku Electric Power, citée par la chaîne, une vague de 55 cm a atteint le port d'Onagawa où se trouve une centrale atomique.

Le personnel de la centrale nucléaire de Fukushima, gravement accidentée par le tsunami du 11 mars 2011, a reçu un ordre d'évacuation, a rapporté l'agence de presse japonaise Kyodo. Elle citait la compagnie TEPCO qui gère la centrale, et selon laquelle aucune nouvelle anomalie n'aurait été observée.

 Alek Yoo / Youtube 25/10/2013

Selon les autorités japonaises, le séisme avait une magnitude de 6,8. Le centre américain de veille géologique (USGS) l'a calculée, lui, à 7,6. Aucun dégât matériel n'a été signalé dans l'immédiat.

romandie 25/10/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un tsunami de faible ampleur a atteint la côte nord-est du Japon samedi matin après un séisme de magnitude 7,1 dans l'océan Pacifique, mais aucun dommage ni victime n'a été recensé.

L'alerte au tsunami a été levée par l'agence de météorologie japonaise un peu moins de deux heures après son émission. Nous avons levé l'alerte mais le niveau de la mer pourrait continuer d'être légèrement affecté pendant environ une demi-journée. Restez prudents si vous travaillez du côté de la mer, a expliqué un responsable lors d'une conférence de presse.

Une vague de 40 centimètres a atteint la baie de Kuji, dans la préfecture d'Iwate, et la ville de Soma, dans la préfecture de Fukushima, a rapporté la chaîne de télévision publique NHK. Elle s'est élevée à 30 cm du côté d'Ishinomaki, dans la préfecture de Miyagi, une ville détruite par le tsunami géant du 11 mars 2011. D'après la compagnie d'électricité Tohoku Electric Power, citée par la chaîne, une vague de 55 cm a atteint le port d'Onagawa où se trouve une centrale nucléaire.

Le personnel de la centrale nucléaire de Fukushima, sérieusement accidentée par le tsunami d'il y a deux ans et demi dans la même région, s'est réfugié sur les hauteurs le temps de l'alerte, a expliqué la compagnie Tepco qui gère la centrale, citée par la NHK.

La NHK a précisé qu'aucune anomalie ou montée des niveaux de radioactivité n'avait été constatée sur le site. Elle a ajouté qu'aucun problème n'avait été constaté dans les autres centrales nucléaires de la région, toutes à l'arrêt par précaution depuis la catastrophe de Fukushima.

Le séisme de magnitude 7,1 s'est produit samedi à 02H10 locale (vendredi à 17H10 GMT) à une profondeur de 10 km dans l'océan Pacifique, à un peu plus de 300 km à l'Est d'Ishinomaki et à près de 500 km de Tokyo, selon l'institut américain de géophysique, l'USGS.

L'USGS avait dans un premier temps évalué la magnitude à 7,5, avant d'en abaisser le niveau. Aucune réplique importante n'a été mesurée jusqu'à présent, ni par l'USGS ni par l'agence de météorologie nippone.

Le Japon reste traumatisé par un séisme de magnitude 9 déclenché au large du nord-est du Japon le 11 mars 2011, qui avait entraîné un tsunami de plus de dix mètres de haut sur le littoral affecté samedi par le raz-de-marée de faible ampleur.

D'après l'agence de météorologie japonaise, le tremblement de terre de samedi matin s'inscrit dans le cadre de l'activité sismique élevée enregistrée depuis la secousse de mars 2011.

Plus de 18.000 personnes sont mortes dans la catastrophe à l'époque, qui a entraîné de surcroît l'arrêt des systèmes de refroidissement à la centrale Fukushima Daiichi (220 km au nord-est de Tokyo). L'accident a dégénéré en la plus grave catastrophe nucléaire depuis celle de Tchernobyl (Ukraine) en 1986 et forcé plus de 160.000 personnes à partir de chez elles.

La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) se débat toujours pour contenir les conséquences de cet accident et fait face notamment à la tâche démentielle de gérer les masses d'eau radioactive générées.

Elle a encore dû prendre des précautions en cette fin de semaine face à l'arrivée du typhon Francisco qui devait passer samedi au sud puis à l'est de Tokyo et au nord-est de la grande île de Honshu. Des pluies importantes sont attendues dans toute cette zone.


romandie 26/10/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un violent séisme de magnitude 5,5 a secoué dimanche matin une large partie de l'est du Japon, dont la capitale Tokyo, a annoncé l'Agence nationale de météo, mais aucun dégât ni blessé n'a été signalé pour le moment, selon les chaînes de télévision.

L'épicentre de cette secousse, qui s'est produite vers 07H38 (samedi 22H38 GMT), se trouvait dans la partie nord de la préfecture d'Ibaraki, au nord de Tokyo, à 70 km de profondeur. Il n'y a pas de risque de tsunami, a précisé l'agence.

Aucune anomalie n'a été constatée à la centrale accidentée de Fukushima, également secouée, ni dans d'autres sites nucléaires de la région, tous arrêtés depuis mars 2011, selon les opérateurs concernés.

Le tremblement de terre a été bien ressenti par les habitants de la capitale, ont constaté les journalistes de l'AFP. Cela a bougé pendant une trentaine de secondes, mais les objets ne sont pas tombés, selon une personne qui se trouvait près de l'épicentre, citée par la télévision. 

Les trains à grande vitesse Shinkansen ont été arrêtés quelques minutes pour un contrôle des voies, mais le trafic a vite normalement repris. Quelques rames roulent au ralenti sur les autres lignes, mais aucun tronçon n'est suspendu, selon la compagnie JR East.

A l'aéroport de Tokyo-Narita, les trépidations ont aussi été ressenties mais pas trop violemment et n'ont en rien perturbé les opérations.

Des répliques peuvent se produire, soyez donc vigilants, a cependant indiqué l'Agence de météo.

Ce nouveau fort séisme dans l'est survient exactement deux semaines après un autre, plus violent encore (de magnitude 7,1), qui avait provoqué un petit tsunami sur la côte nord-est du Japon, sans cependant faire de victimes ni de dommages.

Le Japon reste traumatisé par le tremblement de terre de magnitude 9 qui s'était produit au large de sa cote nord-est le 11 mars 2011 et avait déclenché un gigantesque raz-de-marée de plus de 10 voire 20 mètres par endroits, tuant plus de 18.000 personnes. Ce tsunami avait été à l'origine de la catastrophe nucléaire de Fukushima, un complexe atomique qui est toujours extrêmement vulnérable.

Le Japon est situé au confluent de quatre plaques tectoniques et enregistre chaque année plus de 20% des séismes les plus puissants recensés sur Terre.


romandie 10/11/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un groupe d'étude du gouvernement japonais estime qu'un puissant séisme qui frapperait directement la région de Tokyo pourrait causer la mort de 23 mille personnes et des dégâts matériels supérieurs à plus de 900 milliards de dollars.

Revue pour la première fois en huit ans, cette estimation se fonde sur un scénario où un séisme d'une magniture de 7,3 se produirait dans le sud de Tokyo par une soirée venteuse d'hiver.

Le tremblement de terre pourrait provoquer des secousses dévastatrices dans le centre de la capitale et dans certaines régions des trois préfectures voisines, à savoir Kanagawa, Chiba et Saitama.

Les secousses et les incendies provoqués par le séisme pourraient détruire 610 mille bâtiments, laissant 23 mille morts, 123 mille blessés et 58 mille personnes en attente de secours.

Selon le panel, le nombre de morts pourrait être réduit à un dixième, soit à 2300 environ, si davantage d'immeubles sont rendus plus résistants aux séismes et aux incendies. Le panel demande au gouvernement d'élaborer une stratégie, visant à perpétuer le fonctionnement de Tokyo comme capitale pendant la période consécutive à un tel tremblement de terre.

NHK 19/12/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
TOKYO - Un fort séisme d'une magnitude de 6,3 s'est produit vendredi au large de l'île japonaise de Kyushu, dans le sud du Japon, sans provoquer d'alerte au tsunami, a annoncé l'Institut d'études géologiques des États-Unis (USGS).

L'épicentre du tremblement de terre, qui a eu lieu à 02H06 locales (17H06 GMT jeudi), était situé à 13 km au nord de la ville de Kunisaki-shi et à une profondeur de 82 km, a précisé l'USGS. Le centre de surveillance des tsunamis dans le Pacifique n'a pas diffusé de message d'alerte.

Selon les données compilées par la chaîne de télévision publique nippone NHK, un total de 17 blessés plutôt légers, souvent des personnes âgées, avaient été recensés à 6H00 locales (jeudi 21H00 GMT) dans 5 préfectures de l'ouest et du sud (Hiroshima, Oita, Yamaguchi, Okayama et Kochi). Les experts de l'agence de météo appelle à la vigilance, craignant de fortes secousses secondaires dans les jours à venir.

Le séisme, dont la magnitude avait été initialement évaluée à 6,1 par l'agence météorologique japonaise, a secoué fortement les îles de Shikoku, Honshu et Kyushu, a ajouté Kyodo.

Aucune anomalie de fonctionnement n'a toutefois été enregistrée dans les centrales nucléaires d'Ikata, dans la commune d'Ehime, et de Shimane, selon l'agence de presse.

nprimadina1 13/3/2014


En mars 2011, plus de 18.000 personnes ont été tuées lors d'une séisme sous-marin de magnitude 9 qui avait provoqué un tsunami sur la côté nord-est du Japon, le pire désastre qu'ait connu le pays depuis la fin de la 2e guerre mondiale.

Les systèmes de refroidissement de la centrale nucléaire de Fukushima s'étaient bloqués, entraînant la fusion des réacteurs et obligeant plus de 10.000 personnes à prendre la fuite.

Romandie 13/3/2014 - Romandie

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un puissant séisme de magnitude 6,2 s'est produit tôt lundi 5 mai dans l'est du Japon, secouant très violemment les gratte-ciel et maisons du centre de Tokyo, sans entraîner de risque de tsunami mais faisant quand même au moins 11 blessés légers dans la capitale et alentour.


Un tremblement de terre de magnitude 6,2 a secoué la capitale japonaise, tôt lundi matin, sans entraîner de risque de tsunami. AFP


Le tremblement de terre est survenu à 5 h 18 heure locale (22 h 18 dimanche à Paris). Son épicentre était situé sur l'île Izu Oshima, au sud de la capitale, et son hypocentre à 160 kilomètres de profondeur. Le centre américain de surveillance des séismes, l'USGS, a pour sa part évalué la magnitude à 5,8. « C'était un séisme très profond du type qui en général génère peu de répliques », a expliqué lors d'une conférence de presse un sismologue de l'agence de météo.

De toutes petites vibrations ont d'abord été ressenties avant de se transformer en violentes secousses, ont constaté des journalistes de l'AFP. Les plus fortes ont été enregistrées au centre de Tokyo, où se trouvent les ministères et autres administrations essentielles du pays, selon les données fournies par l'agence.

WORLD Breaking NEWS 4/5/2014


Dans le but de rassembler au plus vite les informations sur d'éventuels dégâts, une cellule de crise a été ouverte dans les minutes suivantes dans les locaux hébergeant les services du premier ministre, Shinzo Abe, lequel est actuellement en visite en Europe. Ce lundi est férié au Japon pour la fête de Kodomo no hi, le « jour des enfants ».

Beaucoup de Tokyoïtes, qui redoutent un jour la survenue d'un « big one » destructeur, ont été réveillés par les secousses, qui empêchaient parfois même de tenir debout pour aller jusque dans les lieux les plus sûrs de leur habitation.

Des lignes de trains ont été suspendues pour inspecter les voies, et la circulation a été ralentie sur des tronçons d'autoroutes. Le trafic était en revanche normal à l'aéroport de Tokyo-Haneda, ouvert vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

La compagnie d'électricité Tokyo Electric Power (Tepco) a indiqué qu'aucune anomalie n'avait été relevée à la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, située au nord-est de Tokyo. Aucun problème n'a non plus été détecté dans les autres installations nucléaires affectées par le séisme, d'après la NHK.

ARIRANG NEWS 5/5/2014


Une conférence de presse d'un spécialiste de l'agence de météorologie devait avoir lieu un peu plus tard. L'institution a déjà mis en garde contre les risques de répliques dans les heures et jours à venir.

Le Japon reste traumatisé par le tremblement de terre de magnitude 9 qui s'était produit au large de sa côte nord-est le 11 mars 2011 et avait déclenché un gigantesque raz-de-marée, tuant plus de 18 000 personnes. Ce tsunami avait aussi provoqué l'accident de la centrale de Fukushima. Le Japon est situé au confluent de quatre plaques tectoniques et enregistre chaque année plus de 20 % des séismes les plus puissants recensés sur la planète.


Le monde 5/5/2014

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Tokyo - Un séisme de magnitude 5,6 s'est produit mardi soir au Japon, sur l'île septentrionale de Hokkaido, selon l'Institut américain de géophysique (USGS), mais aucun dégât n'a été recensé pour l'heure et tout risque de tsunami a immédiatement été écarté.

Deux blessés légers, une personne âgée et une jeune collégienne, ont cependant été signalés par la chaîne publique NHK.

L'épicentre de ce tremblement de terre, survenu à 18h05 locales (09H05 GMT), a été localisé dans les terres, près de Sapporo, la principale ville de l'île, à une profondeur de 37 km, a précisé le centre américain de surveillance des séismes, nettement moins selon les autorités nippones.

L'agence japonaise de météo a pour sa part mis en garde contre des répliques dans la semaine à venir. Plusieurs se sont déjà produites dans les minutes et heures suivantes, avec des magnitudes inférieures.

Le Japon est situé au confluent de quatre plaques tectoniques et enregistre chaque année plus de 20% des tremblements de terre les plus puissants recensés sur la planète. Toutefois, les normes de construction au Japon sont si strictes désormais que la plupart des séismes, même puissants, provoquent relativement peu de dégâts matériels.

Début mai, un tremblement de terre de magnitude 6 avait secoué très violemment gratte-ciel et maisons du centre de Tokyo, faisant 17 blessés légers.

Romandie 8/7/2014

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...