Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
BelleMuezza

Séismes dans le monde (sauf France et Japon)

Messages recommandés

Séisme au Mexique



MEXICO - Un puissant séisme de magnitude 6,5 a frappé jeudi matin la province de Veracruz, dans le sud-est du Mexique, a annoncé l'Institut de géophysique américain (USGS), mais la protection civile mexicaine n'a fait état à ce stade d'aucun dégât ni victime.

La secousse s'est produite à 08h11, heure locale, à 167 km de profondeur et son épicentre se trouvait à 57 km au sud de la ville de Las Choapas, dans l'État de Veracruz.

Elle a été si puissante qu'elle a été ressentie quelque 500 km plus à l'ouest dans la capitale Mexico, où des immeubles et des restaurants ont fortement tremblé ; des gens sont sortis en courant de leurs maisons et des écoliers se sont rassemblés à l'extérieur.

Le séisme a également été fortement ressenti dans l'État du Chiapas (sud), à la frontière avec le Guatemala, selon un correspondant de l'AFP.

Aucun dégât ni victime n'est à signaler, a toutefois indiqué la protection civile mexicaine.


Source : CANOE 07/04/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Séisme au Portugal



Un séisme de magnitude 4 a été enregistré samedi matin dans le sud du Portugal et ressenti dans plusieurs villes de la région touristique de l'Algarve, sans faire de dégâts, a annoncé l'Institut de météorologie.

Le tremblement de terre s'est produit à 07H37 (locales et GMT) à 12 kilomètres au nord-est de la ville de Silves (250 km au sud de Lisbonne), a précisé l'institut dans un communiqué.

"Selon les premières informations disponibles, le séisme n'a fait ni blessé ni dégât", a ajouté l'institut qui précise que la secousse a été ressentie dans les régions de Monchique, Silves, Albufeira et Lagoa.

Les séismes de faible ou moyenne magnitude sont fréquents dans le sud du Portugal, mais n'occasionnent que très rarement des dégâts ou victimes. (belga)


Source : 7sur7 26/03/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme en Espagne fait 8 morts
Un puissant tremblement de terre a fait 8 morts en Espagne.

Selon le Centre américain d'observation géologique, un séisme de magnitude 5,1 a frappé la ville de Lorca, dans la région de Murcie, mercredi, un peu avant 19 heures, heure locale.

Un autre tremblement de terre d'une magnitude de 4,5 s'était produit dans la région 90 minutes auparavant. L'épicentre pour les deux secousses se trouvait à moins de 10 km de profondeur.

Le premier bilan, établi à 10 morts par le gouvernement espagnol, a ensuite été rectifié à 8.

Selon les autorités de Murcie, des dizaines de personnes ont été blessées et hospitalisées.

Lorca se situe à environ 350 km au sud de Madrid, la capitale espagnole. C'est une ville d'environ 90 000 habitants qui abrite de nombreux bâtiments anciens, y compris une forteresse médiévale.


Source :

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le séisme de magnitude 5,1 a secoué mercredi le sud-est de l'Espagne, provoquant la panique dans la petite ville de Lorca.

Un séisme a fait au moins neuf morts, selon un nouveau bilan, mercredi dans le sud-est de l'Espagne, semant la panique dans la ville de Lorca où de nombreux bâtiments se sont écroulés et jetant à la rue des milliers d'habitants. Quelque 167 blessés, dont trois dans un état grave, ont été hospitalisés après le tremblement de terre.

Le séisme de magnitude 5,1 - ressenti jusqu'à Madrid, à environ 350 kilomètres au nord-ouest - a été enregistré à 18H47, avec un épicentre situé dans la région de Lorca, ville de 92.700 habitants, à 70 km au sud-ouest de Murcie. Il avait été précédé d'une première secousse à 17H05 de magnitude 4,4.


Image : TVE


Dans le centre historique, le tremblement de terre, le plus meurtrier en Espagne depuis 1956, a précipité au sol des façades anciennes, des corniches, et même le clocher de l'église San Diego.

Des milliers de sans-abris
En pleine rue, dans des hangars ou des parcs, des milliers d'habitants de Lorca, dans le sud-est de l'Espagne, passaient jeudi leur première journée hors de chez eux après le séisme. Environ 15.000 personnes, selon la Croix-Rouge, ont été chassées de leurs maisons.

A la nuit tombée, de petits groupes de rescapés enveloppés dans des couvertures s'étaient formés à l'écart des ruines. Des dizaines de personnes ont ainsi passées la nuit à même le sol sur un terrain de basket, enroulées dans des couvertures.

Dans le centre-ville aux maisons lézardées, certaines menaçant de s'écrouler, les secouristes continuaient d'évacuer les habitants.

Une unité militaire d'intervention de 225 hommes a été dépêchée sur place, ainsi que que 400 secouristes, selon le ministère de l'Intérieur. La Croix-Rouge a monté trois hôpitaux de campagne. 400 personnes ont été évacuées de deux hôpitaux à bord de 350 ambulances, selon le gouvernement régional.

Jeudi matin, la Croix-Rouge avait distribué 7.720 couvertures, de la nourriture, de l'eau et 800 lits pliants pour un hangar tranformé en centre d'hébergement, a indiqué une porte-parole, Carla Vera. Elle a aussi mobilisé 24 ambulances et installé trois hôpitaux de campagne.
Dans les rues envahies de gravats, aux façades détruites, des pierres tombaient encore des murs, des voitures étaient disloquées sous des tonnes de débris, une énorme cloche tombée d'un clocher écrasée au sol. Un peu plus tard, un clocher s'écroulait en direct devant les caméras de télévision, ajoutant encore à la panique. Le ministère de l'Intérieur a fait état de dégâts matériels très lourds. "Il y a des dégâts partout dans la ville", a déclaré le maire de Lorca.

Virtudes, une femme médecin de la ville, confiait sur le site du quotidien El Pais être "morte de peur". "C'est comme dans un film", "On attend les répliques". "Nous avons eu très peur. Je vais passer la nuit par là, je ne sais pas où", racontait dans une rue de Lorca un vieil homme, hagard, serrant une couverture contre lui, dans le sifflement des sirènes d'ambulances.

"Une des régions de la péninsule où le risque sismique est le plus élevé"
Le directeur des services sismiques espagnols, Emilio Carreno, a expliqué que la région de Murcie, en bordure de la Méditerranée, était "une des régions de la péninsule où le risque sismique est le plus élevé". "Il est normal d'atteindre de telles magnitudes, mais nous n'avons pas non plus l'habitude de très fortes magnitudes dans cette région".

Le tremblement de terre, ressenti dans tout le sud de l'Espagne, est le plus meurtrier enregistré dans ce pays depuis avril 1956, lorsqu'un séisme avait tué 11 personnes et fait plus de 70 blessés dans plusieurs villages de la région de Grenade, en Andalousie.

Source : Libération.fr 12/05/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Séisme en Espagne: un risque de répliques non-négligeable

Un séisme de magnitude 5,1, précédé d'une première secousse de magnitude 4,4, a dévasté la ville de Lorca, dans le sud-est de l'Espagne. On dénombre 9 morts et 130 blessés. Un sismologue à l'Observatoire Royal de Belgique a expliqué, en direct au Journal de 13h sur RTL-TVI, que le risque de répliques est non-négligeable.


Un puissant séisme a secoué le sud-est de l'Espagne ce mercredi, le plus meurtrier depuis 1956. "C’est une zone où il y a une certaine activité sismique qui est encore relativement modérée mais non négligeable et on sait que dans le passé il y a régulièrement eu des séismes de magnitude supérieure à 6. Ce qu’on a eu hier n’est pas encore le pire à quoi on peut s’attendre dans cette région", explique Michel Van Camp, sismologue à l’Observatoire Royal de Belgique. "Si on regarde au 19e siècle, il y a eu une petite dizaine de séismes de magnitudes voisines de 6 et on totalise au cours du 19e siècle 1500 morts environ dans la région. Ce n’est donc pas exceptionnel", ajoute-t-il.

"Cela reste une région sismiquement active"
Le séisme de magnitude 5,1 survenu mercredi dans le sud-est de l'Espagne a été précédé d'une première secousse de magnitude 4. Depuis, la région connaît de fréquentes micro-répliques, comme en témoigne Sandrine Mercier, correspondante RTL en direct sur place. "Normalement, les répliques doivent aller décroissantes, mais ici par exemple on a eu un précurseur de magnitude 4 suivi d’un séisme de magnitude 5. On espère que ça va diminuer mais ça reste une région sismiquement active, donc on ne peut pas promettre que dans les semaines qui viennent il ne puisse pas y avoir autre chose dans la région", explique encore le sismologue.


Source : RTL.be 12/05/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Déjà 30 répliques

"Lorca a reçu pas moins de trente répliques depuis le séisme mercredi soir, mais elles étaient excessivement faibles, quasi imperceptibles par la population qui s’inquiète très fortement." a déclaré Sandrine Mercier, correspondante RTL en direct du Centre d’urgence de la Croix-Rouge où sont réunis.

Des centaines de secouristes
Une unité militaire d'intervention de 225 hommes a été dépêchée sur place, ainsi que 400 secouristes, selon le ministère de l'Intérieur. La Croix rouge a monté trois hôpitaux de campagne. A la nuit tombée, de petits groupes de rescapés enveloppés dans des couvertures s'étaient formés à l'écart des ruines. Des dizaines de personnes ont ainsi passé la nuit à même le sol sur un terrain de basket, enroulées dans des couvertures. Dans le centre-ville aux maisons lézardées, certaines menaçant de s'écrouler, les secouristes continuaient d'évacuer les habitants. "

Les gens sont dans la rue. Nous mettons en place des endroits pour qu'ils puissent passer la nuit. Nous avons appelé les centres commerciaux pour qu'ils fournissent de l'eau, des aliments et des couvertures", a déclaré le maire de Lorca, Francisco Jodar, sur le site d'El Pais.

Au total, 10.000 personnes, selon les autorités locales, ont été évacuées dans cette ville de 92.700 habitants, à 70 km au sud-ouest de Murcie, où les services publics s'organisaient pour distribuer de la nourriture.

Source : RTL.be 11/05/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le plus meurtrier dpuis 1956



Le tremblement de terre, ressenti dans tout le sud de l'Espagne, est le plus meurtrier enregistré dans ce pays depuis avril 1956, lorsqu'un séisme avait tué 12 personnes et fait plus de 70 blessés dans plusieurs villages de la région de Grenade, en Andalousie


Source : RTL.be 11/05/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Je suis sincèrement navrée pour ce qui c'est passé hier en Espagne, ma seconde patrie... puisque j'ai des origines espagnoles... qui remontent même à très très loin...

Comme pour lors de toute catastrophe, j'ai une pensée pour les victimes et leur famille... Ainsi que pour les personnes qui ont dû quitté leur maison...

Certainement que des édifices anciens ont été touchés ou détruits par ce séisme. Cependant, il n'est en aucun comparable aux derniers séismes survenus ces derniers mois en Asie... et en d'autres points du monde... C'est triste à dire, mais le choc le plus rude concerne essentiellement des bâtiments... Heureusement d'ailleurs...

Je comprends tout de même le choc des espagnols peu ou pas préparés à vivre de telles catastrophes et, semble-t-il, l'absence de constructions parasismiques... Il y a en Espagne, et plus globalement en Europe, un problème de communication, de préparation et d'anticipation pour permettre à la population de pouvoir ou savoir réagir en conséquence.


Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Témoignage d'une employée de l'Ambassade de France à Lorca



Source : Europe 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
[b]Alerte au tsunami après un séisme en Alaska[/b]

Un puissant séisme de 7,4 de magnitude a secoué les îles Aléoutiennes, à l'ouest de l'Alaska, jeudi 23 juin au soir. Les autorités américaines ont émis une alerte locale au tsunami dans l'océan Pacifique. Aucune information sur des victimes ou dégâts n'était immédiatement disponible. Les îles Aléoutiennes appartiennent à l'Etat américain de l'Alaska. L'archipel de quelque 300 petites îles volcaniques est régulièrement touché par des séismes.

Le centre d'alerte aux tsunami d'Alaska et de la côte occidentale américaine (WCATWC) a lancé un avis, demandant aux personnes vivant sur la côte de "se déplacer immédiatement à l'intérieur des terres dans des zones élevées et de se tenir à l'écart de tous les ports et des bras de mer". Le séisme a frappé à 5 h 09, heure de Paris. les îles Fox, à 163 km à l'est du petit port de pêche d'Atka, et à quelque 1 680 km à l'ouest-sud-ouest de la principale ville de l'Alaska, Anchorage, a précisé l'Institut géophysique américain (USGS) dans un communiqué.

(Lorsque je trouverai une carte indiquant la localisation du séisme, je l'ajouterai)

Source : Le Monde.fr 24/06/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mardi 12 juillet 2001 à 4h47 heure locale, un tremblement de terre de magnitude 6,2 a frappé l'archipel des Philippines. Aucune alerte au tsunami n'a été émise et le séisme n'a fait ni dégât ni victime.

Ce matin, L'Institut de géophysique américain (USGS) a annoncé qu'un séisme de magnitude avait secoué l'archipel des Philippines dans la nuit de lundi à mardi. Dans un premier temps évaluée à 6,6, la secousse s'est produite à 4H47 heure locale à 125 kilomètres à l'Ouest de l'ile Negros et à une profondeur de 19 kilomètres.

"Nous n'avons émis aucune alerte au tsunami. Nous avons vérifié les zones alentour et on ne nous a fait part d'aucun dégât ou de blessé", a indiqué Nazario Caro, responsable de l'Agence de gestion des risques cité par Romandie.com.

Composé de 7.000 iles, l'archipel des Philippines est le siège de fréquentes activités sismiques et volcaniques car il est situé sur la Ceinture de feu du Pacifique., une zone de rencontre entre des plaques tectoniques. Une des lignes de fracture se situe même directement sous Manille, la capitale des Philippines. Les sismologues du pays ont ainsi prévenu que la ville n'était pas préparée à l'éventualité d'un grave tremblement de terre, comme le rapporte Romandie.com.


Maxisciences 12/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Violent séisme en Ouzbékistan


Un violent séisme a frappé mercredi l'Ouzbékistan, faisant au
moins 13 morts et 86 blessés.

L'Agence américaine de géologie a signalé
une magnitude de 6,1, situant l'épicentre à la frontière du Kirghiztan.

.NHK 21/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mercredi à 1H35 heure locale (soit mardi à 21H35 heure de Paris), un puissant tremblement de terre de magnitude 6,2 a secoué le Kirghizstan, se propageant jusqu’en Ouzbékistan où il a fait 13 morts parmi la population de plusieurs villes et villages de la région de Ferghana, dans l'est du pays. Les victimes ont péri dans l’effondrement de leurs maisons, et 86 autres personnes ont dû être soignées et 35 hospitalisées, selon le ministère ouzbèke des Situations d'urgence cité par Reuters.

Le séisme s’est produit dans la vallée de Ferghana, qui court sur 3 pays : l'Ouzbékistan, le Tadjikistan et enfin le Kirghizstan, où a été localisé l’épicentre du phénomène (précisément à 42 kilomètres au sud-ouest de la ville de Ferghana). Pour l'instant, aucune victime ne serait à déplorer au Kirghizstan.

Cette partie de l’Asie centrale, très peuplée, est une région à haut risque sismique : en 2008, un tremblement de terre avait déjà tué 70 personnes au Kirghizstan alors qu'en 1966, des milliers de personnes s'étaient retrouvées sans-abri après un séisme de magnitude 7,5 dans la capitale ouzbèke, Tachkent.



.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Italie : un séisme de magnitude 4,3 enregistré à Turin



Un séisme de magnitude 4,3 a ébranlé mardi 26 juillet la région du Piémont au nord de l'Italie. La puissante secousse, dont l'épicentre a été localisé à proximité des villes de Cumiana, Canterbury et Pinasca-Dubbione, s'est nettement fait ressentir à Turin. Les dommages restent pour l'heure superficiels.

L'Institut national de géophysique et vulcanologie (INVG) a enregistré hier à 14h32 une forte secousse de magnitude 4,3 dans la région italienne du Piémont. Selon les informations récoltées, l'épicentre se situerait aux environs des villes de Canterbury, Pinasca-Dubbione, Cumiana à une profondeur de près de 25 kilomètres. Une distance relativement importante qui a favorisé la perception de l'ébranlement bien au delà du foyer, dans les départements frontaliers des Hautes-Alpes, de la Savoie et de la Haute-Savoie.

Des dégâts superficiels
A Turin, capitale du Piémont, le séisme s'est nettement fait ressentir. Selon le journal italien La Repubblica, de nombreux bureaux situés en particulier aux niveaux supérieurs des immeubles ont dû être évacués. L'ébranlement, bien qu'impressionnant n'a toutefois provoqué que des dommages matériels de faible proportion.

Le rapport établi par les autorités de la ville ne fait état d'aucun blessé et désigne seulement une fissure préoccupante au sein d'un immeuble rue Vercelli. Par précaution, de nombreux itinéraires de randonnée dans la région montagneuse avoisinante ont été fermés tandis que le trafic ferroviaire a été temporairement suspendu sur la ligne Turin-Modane et Turin-Torre Pellice. L'interruption du service devrait être prolongée jusqu'à la fin des contrôles sur l'intégrité de l'infrastructure.

Un événement qui se produit tous les dix ans

"Les séismes sont fréquents dans les Alpes franco-italiennes, où chaque jour se produisent deux événements, habituellement de faible magnitude. Les séismes de magnitude 4,5 sont en revanche beaucoup moins fréquents, puisqu'ils ne se produisent statistiquement qu'une fois tous les 10 ans" indique dans un communiqué le Réseau sismologique des Alpes (SISMALP).

Selon les archives de la zone, les deux derniers événements sismiques de cette ampleur remontent à 1996 avec une secousse de magnitude 4,6 à Epagny (Haute-Savoie) et 2005 où le tremblement de 4,4 à été enregistré à Vallorine (Haute-Savoie).



.Maxisciences 26/07/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme secoue la côte Est des Etats-Unis

Un séisme d'une magnitude de 5,8 est survenu mardi sur la côte Est des Etats-Unis, amenant beaucoup de personnes à évacuer.

Des tremblements de terre se produisent rarement dans cette partie du pays. Il s'agit en effet du premier séisme d'une magnitude supérieure à 5 à frapper l'Etat de Virginie depuis 1897.

NHK 24/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Séisme inhabituel dans l'est américain



La terre a tremblé mardi dans l'est des États-Unis, en Virginie. Un séisme qui donne aux scientifiques l'occasion de mieux connaître la sismicité de cette région peu habituée aux secousses.

S’il n’avait pas empêché Dominique Strauss-Kahn de récupérer son passeport mardi soir à New-York, suite à l'évacuation et à la fermeture des services judiciaires, le séisme qui a secoué l’est des États-Unis serait sans doute passé quasiment inaperçu en France. Outre-Atlantique, ce tremblement de terre a surpris, y compris des scientifiques sommés de fournir des explications au public.

Le séisme d’une magnitude de 5,8 qui s’est produit mardi 23 à 17h51 TU (19h51 en France) a été ressenti de la Géorgie à la Nouvelle-Angleterre, selon l’USGS (l’institut de géophysique américain). L’épicentre est situé près de la ville de Mineral, en Virginie, à seulement 6 kilomètres de profondeur, ce qui explique que la secousse ait été importante dans cette zone. Le séisme n’a pas provoqué de gros dégâts ni fait de victimes.



Un habitant de Mineral constate les dégâts du séisme dans sa maison mardi 23 août 2011. (AP Photo/Steve Helber)

La Virginie n’est pas un « point chaud » de la planète, elle n’est pas non plus au-dessus d'une zone de subduction. Cet Etat se situe sur la plaque nord-américaine mais loin de ses dangereuses limites, contrairement à la Californie. L’ouest des États-Unis est traversé par la faille de San Andreas, rencontre entre la plaque américaine et la plaque Pacifique. Les deux plaques glissent l’une sur l’autre et lorsque les contraintes accumulées sont brusquement relâchées, cela déclenche des séismes potentiellement très violents.

Rien de tel en Virginie. Deux zones sismiques sont connues en Virginie : celle de Virginie centrale, entre Charlottesville et Richmond, où s’est produit le séisme du 23 août ; une autre dans le comté de Giles. C’est là que le précédent séisme d’une magnitude comparable (5,9) s’est produit en 1897. Sur la zone de Virginie centrale, le dernier séisme remonte à 1875 et sa magnitude est estimée à 4,8.

La faille de San Andreas est l’une des zones sismiques les plus étudiées au monde. Par contraste, peu d’instruments sont installés dans l’est du pays et les mécanismes qui déclenchent les séismes dans cette zone stable de la plaque américaine sont mal connus. Un réseau de sismomètres doit être déployé dans les mois qui viennent.

Sciences et Avenir 24/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Etats-Unis : le séisme provoque l'arrêt d'une centrale nucléaire


La secousse de magnitude 5,8 survenue mardi après-midi sur la côte Est des Etats-Unis a entrainé l'arrêt des deux réacteurs d'une centrale nucléaire de Virginie, située à quelques kilomètres de l'épicentre. Aucun dégât apparent n'a été constaté, selon l'exploitant.

La catastrophe de Fukushima survenue en mars dernier au Japon a mis en évidence le risque considérable que pouvaient représenter les séismes pour les centrales nucléaires. Suite à la secousse ressentie hier après-midi sur la côte Est des Etats-Unis, l'autorité nucléaire américaine (NRC) s'est donc logiquement inquiétée de l'état des centrales situées dans le périmètre touché. C'est ainsi que la société Dominion Nuclear qui exploite la centrale de North Anna localisée en Virginie, a indiqué que le séisme avait provoqué une coupure de courant et l'arrêt de deux réacteurs.

"Les réacteurs se sont arrêtés automatiquement en raison d'une coupure d'électricité liée au séisme, et ce malgré la mise en route automatique des générateurs diesel de secours", a expliqué à CNN, David Heacock président de la société exploitante. La centrale de North Anna est en effet située à quelques kilomètres de l'épicentre localisé par l'institut de géophysique américain. Toutefois, aucun dégât apparent n'a été constaté, selon le responsable qui a également précisé que les 250.000 foyers alimentés par la centrale n'avaient pas été affectés par l'arrêt des réacteurs. Suite à la secousse, la société Dominion Nuclear a pu activer un système de redistribution électrique grâce à d'autres centrales.

De son côté, le NRC a indiqué que des alertes mineures avaient été signalées dans une dizaine d'autres centrales de la côte Est. Elle a ainsi souligné qu'elle allait continuer à surveiller la situation à la centrale de North Anna comme dans les autres installations, rapporte l'AFP.

Maxisciences 24/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le Pérou secoué par un fort séisme de magnitude 7



Mercredi à 12h46 heure locale, un séisme de magnitude 7 a fait trembler l'Est du Pérou. Ressenti jusqu'à la capitale Lima, il n'a toutefois pas fait de dégât majeur, ni de victime, en raison de la grande profondeur de son épicentre évaluée à 149 kilomètres.

Les séismes sont décidément extrêmement fréquents en ce moment. Après les Etats-Unis, c'est au tour du Pérou d'être victime d'une secousse tellurique, cette fois-ci bien plus forte. Mercredi, à 12H46 heure locale, un tremblement de terre de magnitude a nettement secoué l'est du pays andin et a été ressenti jusque dans sa capitale à Lima.



Selon l'institut de géophysique du Pérou, l'épicentre du phénomène se trouvait à 80 kilomètres au nord de la ville de Pucallpa, soit à environ 600 kilomètres de Lima. Toutefois, il a été situé à une profondeur de 149 kilomètres, soit bien plus qu'habituellement. Un des responsables de l'institut a ainsi indiqué que cette profondeur expliquait pourquoi le séisme n'avait pas paru si fort à Pucallpa qui compte 200.000 habitants.

Ni panique, ni dégât majeur

En effet, plus la secousse est profonde, moins elle est susceptible de causer des dégâts, précise l'AP. Si les immeubles ont fortement tremblé dans plusieurs villes, aucun dommage matériel, ni victime n'a donc été recensé, "si ce n'est quelques coupure de courant", a précisé à des médias péruviens le directeur de l'Institut de Défense civile. De même, le tremblement n'a causé aucun mouvement de panique parmi la population qui s'est contentée d'évacuer dans le calme les bâtiments et bureaux.

Néanmoins dans l'après-midi, "des contacts étaient en cours avec des localités plus reculées du Pérou amazonien" pour connaitre leur situation suite au séisme, a rajouté le directeur. Le Pérou est l'un des pays possédant la plus forte activité sismique. En 2007, il a ainsi connu son plus violent séisme de magnitude 7,9 qui a fait 596 morts et a ravagé la ville de Pisco.

Maxisciences 25/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le Pérou secoué par un fort séisme de magnitude 7



Mercredi à 12h46 heure locale, un séisme de magnitude 7 a fait trembler l'Est du Pérou. Ressenti jusqu'à la capitale Lima, il n'a toutefois pas fait de dégât majeur, ni de victime, en raison de la grande profondeur de son épicentre évaluée à 149 kilomètres.

Les séismes sont décidément extrêmement fréquents en ce moment. Après les Etats-Unis, c'est au tour du Pérou d'être victime d'une secousse tellurique, cette fois-ci bien plus forte. Mercredi, à 12H46 heure locale, un tremblement de terre de magnitude a nettement secoué l'est du pays andin et a été ressenti jusque dans sa capitale à Lima.

Selon l'institut de géophysique du Pérou, l'épicentre du phénomène se trouvait à 80 kilomètres au nord de la ville de Pucallpa, soit à environ 600 kilomètres de Lima. Toutefois, il a été situé à une profondeur de 149 kilomètres, soit bien plus qu'habituellement. Un des responsables de l'institut a ainsi indiqué que cette profondeur expliquait pourquoi le séisme n'avait pas paru si fort à Pucallpa qui compte 200.000 habitants.

Ni panique, ni dégât majeur

En effet, plus la secousse est profonde, moins elle est susceptible de causer des dégâts, précise l'AP. Si les immeubles ont fortement tremblé dans plusieurs villes, aucun dommage matériel, ni victime n'a donc été recensé, "si ce n'est quelques coupure de courant", a précisé à des médias péruviens le directeur de l'Institut de Défense civile. De même, le tremblement n'a causé aucun mouvement de panique parmi la population qui s'est contentée d'évacuer dans le calme les bâtiments et bureaux.

Néanmoins dans l'après-midi, "des contacts étaient en cours avec des localités plus reculées du Pérou amazonien" pour connaitre leur situation suite au séisme, a rajouté le directeur. Le Pérou est l'un des pays possédant la plus forte activité sismique. En 2007, il a ainsi connu son plus violent séisme de magnitude 7,9 qui a fait 596 morts et a ravagé la ville de Pisco.

Maxisciences 25/08/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme en Alaska impose une brève alerte au tsunami

Un fort séisme de magnitude 7 s’est produit aujourd’hui au large de l’Alaska, près des îles Aléoutiennes, et a fait craindre un raz-de-marée. Mais c’est une vaguelette qui a touché les îles Aléoutiennes.

À 6 h 56 en heure locale (10 h 56 TU, soit près de 13 h pour la France métropolitaine), un fort séisme s’est produit au fond de l’océan Pacifique, à quelques dizaines de kilomètres des îles Fox, qui font partie de l’archipel des îles Aléoutiennes, au sud-ouest de l’Alaska.

Selon l’USGS (US Geological Survey), le séisme a atteint une magnitude de 7,1 et l’hypocentre (le point de départ de la rupture) serait situé à 35 kilomètres de profondeur sous la surface de l’océan.

Le tremblement sous-marin n’a provoqué aucun dégât à terre mais sa violence a fait craindre un possible raz-de-marée. Une alerte au tsunami a été lancée pour être finalement rapidement levée.

Cette zone est connue des géologues et riche en secousses sismiques. Ce chapelet d’îles qui relie la pointe de l’Alaska, à l’est, au Kamtchaka, à l’ouest, et qui sépare l’océan Pacifique de la mer de Bering, marque la limite entre deux plaques tectoniques. Au sud de l’archipel, le fond marin forme une fosse profonde, dépassant les 7.000 mètres. C’est donc une zone de subduction, où le plancher de l’océan Pacifique glisse sous la plaque nord-américaine.

Futura Sciences 02/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dans la nuit de lundi à mardi, l'île de Sumatra en Indonésie a été frappée par un séisme de magnitude 6,6 qui a été ressenti dans plusieurs villes. A Subulussalam, un jeune garçon de 12 ans est mort suite à la chute d'un mur qui l'a surpris alors qu'il dormait.

La terre a tremblé cette nuit sur l'île de Sumatra en Indonésie. Peu après minuit, à 17H55 GMT, un séisme de magnitude 6,6 s'est déclenché dans le nord du territoire, surprenant les habitants dans leur sommeil. Les secousses ont été ressenties dans plusieurs villes notamment Banda Aceh et Medan, provoquant des scènes de panique. "Ma femme criait, mes enfants pleuraient. Nous avons vu nos murs commencer à craquer et tout ce qui était dans la maison tombait", raconte Burhan Mardiansyah, un habitant de la ville de Singkil, cité par usatoday.com.

Selon l'institut de géophysique américain (USGS), l'épicentre était localisé à environ 400 kilomètres au sud-est de Banda Aceh et à 52 kilomètres de profondeur. Au total, les secousses ont environ durer deux minutes et ont causé de nombreux dégâts essentiellement matériels : des poteaux électriques se sont entre autres abattus sur les maisons. Toutefois, "un jeune garçon a été tué et une autre personne grièvement blessée", a précisé à l'AFP Sutopo Purwo Nugroho, porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes naturelles.

Un mort mais pas d'alerte au tsunami

Dans la province d'Aceh, à Subulussalam, "l'enfant âgé de 12 ans était en train de dormir à côté de sa mère quand un mur s'est effondré et des briques sont tombées sur son ventre, l'écrasant. Sa mère nous l'a amené mais nous n'avons pas pu le sauver à temps", a expliqué le docteur Hasbi, cité par l'AP. Malgré la violence du séisme, aucune alerte au tsunami n'a été émise. Le centre d'alerte au tsunami pour le Pacifique, installé à Hawaï, a estimé que le séisme était localisé trop à l'intérieur des terres pour causer un raz-de-marée.

"C'est le séisme le plus puissant que j'ai jamais connu. J'ai pensé que c'était la fin du monde", a déclaré Abdul Kader Angkat, un agriculteur de 42 ans. Pourtant, en décembre 2004, un séisme bien plus puissant de magnitude 9,1 avait déjà ravagé la province indonésienne d'Aceh et déclenché un énorme tsunami qui s'était propagé sur tout le pourtour de l'océan Indien, tuant plus de 220.000 personnes.



Maxisciences 06/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mercredi à 23H28 heure locale, une secousse de magnitude 4,2 a fait trembler pendant quelques secondes la ville de New Delhi en Inde. Le séisme a provoqué la panique chez les habitants mais n'a fait ni dégât ni victime.

Le phénomène a surpris les habitants dans leur sommeil. Hier soir, à 23H28 heure locale, la ville de New Delhi a été réveillée en sursaut par un séisme de magnitude 4,2 qui a fait trembler les bâtiments et maisons pendant une dizaine de secondes.

Le début de la secousse a été accompagné d'un bruit semblable à une forte explosion qui a provoqué la panique chez les habitants qui se sont précipités dans les rues. Selon la chaine d'informations NDTV, le séisme a été ressentie jusque dans les villes périphériques de la capitale, dont Norda et Gurgaon dans l'Etat de l'Haryana.

Shailesh Nayak, secrétaire au ministère des Sciences de la Terre, et le directeur général du Département météorologique indien (IMD) Ajit Tyagi ont confirmé l'intensité du phénomène et la localisation de son épicentre situé à la frontière de l'Etat de New Delhi et de celui de l'Haryana. Les autorités n'ont pour l'instant recensé ni dégât ni victime. De même, les pompiers et la police locale ont déclaré qu'ils n'avaient reçu aucun appel de détresse, selon Indian express.

Maxisciences 08/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme de magnitude 6,8 s'est produit dimanche au Sikkim, Etat du nord-est de l'Inde situé dans une région montagneuse, et ses secousses ont été ressenties dans la capitale fédérale New Delhi ainsi qu'au Bhoutan et au Népal.

Des habitants de la capitale du Sikkim, Gangtok, ont rapporté que de larges fissures étaient apparues sur des bâtiments.

"Au moins trois personnes ont été tuées à Katmandou lorsqu'un mur de l'ambassade de Grande-Bretagne s'est effondré en raison du séisme, et deux autres ont été tuées dans l'est du Népal", a déclaré à l'AFP Binod Singh, porte-parole de la police nationale.

La circulation s'est arrêtée à Katmandou et les hôtels et les bars ont été évacués. Des centaines de touristes et d'employés de bureaux inquiets attendaient des nouvelles dans les parkings et les rues alors que les pluies de la mousson tombaient

Selon l'institut de géophysique américain USGS, le séisme s'est produit à 18h10 heure locale (12h40 GMT), et son épicentre était situé à environ 60 kilomètres au nord-ouest de Gangtok.

"C'était un très fort séisme. Nous avons mis en alerte les forces armées et les paramilitaires", a déclaré M. Gyatso.

Les lignes téléphoniques terrestres ont été temporairement mises hors service à Gangtok et les réseaux de téléphonie mobile ont été rapidement surchargés, ce qui a rendu difficiles les communications avec la zone affectée.

Selon C.K. Dahal, un habitant de Gangtok qui s'exprimait sur la chaîne CNN-IBN, la ville a été plongée dans l'obscurité et l'électricité s'est immédiatement coupée après le séisme, qui a duré près de 20 secondes.

"Il n'y a pas d'électricité. Tout le monde est dehors, dans les rues", a-t-il dit.

"Nous avons tous couru hors de nos maisons, certains ont sauté par leurs fenêtres. On peut voir que des bâtiments se sont fissurés", a-t-il ajouté.

Manish Sharma, un médecin qui assistait à une conférence à Gangtok, a déclaré à la chaîne d'information NDTV que tous les résidents de l'hôtel avaient sauté par les fenêtres dès les premières secousses.

"Je suis devant le bâtiment de l'Assemblée législative de Gangtok et je peux voir l'un des bâtiments extérieurs dont la partie supérieure est coupée en deux", a témoigné ce médecin.

"Je peux voir partiellement de la lumière dans cette partie. Le bâtiment ne s'est pas effondré, mais il est en deux parties, l'une d'elle s'est déplacée", a-t-il poursuivi. "La police essaie de calmer les gens."

De puissantes secousses ont également été ressenties à Guwahati, principale ville de l'Etat voisin indien d'Assam, située à quelque 600 kilomètres de l'épicentre. Là aussi, les habitants pris de panique sont descendus dans les rues.

Au Bhoutan, les secousses ont été ressenties dans la capitale Thimphu.

Le Matin 18/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme de magnitude 6,9 a secoué dimanche le Sikkim, Etat du nord-est de l'Inde situé dans une région montagneuse. Il a fait au moins 36 morts. Ce bilan a été établi lundi à partir de décomptes officiels.

Dans le sud du Tibet, la secousse a fait sept morts, selon l'agence Chine nouvelle. Le nombre des blessés comptabilisés dans un district du sud de cette région sous contrôle chinois est de 22, a précisé l'agence officielle.

Le séisme a aussi été ressenti au Népal, au Bhoutan, au Bangladesh et dans les villes indiennes de Guwahati, Calcutta et la capitale fédérale New Delhi.

Le Premier ministre indien Manmohan Singh a convoqué une réunion d'urgence avec l'Autorité de gestion des catastrophes nationales. Le chef de son cabinet, Ajit Seth, a indiqué que des équipes de secours des Etats indiens voisins étaient envoyées dans le Sikkim.


Le Matin 19/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Les risques sismiques en Inde



L'Inde figure au deuxième rang des pays du monde les plus exposés aux catastrophes ; chaque année, les seules inondations saisonnières affectent des millions d'habitants. Ce pays est aussi durement éprouvé par des tremblements de terre. 180.000 morts en 873 ; 300.000 à Calcutta en 1737 ; 3.000 au Cachemire en 1885 ; 1.500 dans la région de l'Assam en 1897 (magnitude 8,0) ; 20.000 à Kangra en 1905 (magnitude 8,6) ; 10.700 en 1934 (magnitude 8,4) ; 30.000 à Quetta en 1935 (magnitude 7,5) ; 1.526 dans la région de l'Assam en 1950 (magnitude 8,6) ; 213 à Gilgit au Cachemire le 12 septembre 1981 (magnitude 5,9) ; 1.500 à 2.000 morts et 1.383 blessés dans le Nord de l'Inde le 19 octobre 1991 (magnitude 7) ; 9.748 morts, plus de 15.000 blessés et 30.000 sans abri à Khillari dans le sud le 29 septembre 1993 (magnitude 6,3) ; environ 40 morts, 1.000 à 1.500 blessés et 30.000 sans abris dans le sud de l'Inde le 21 mai 1997 (magnitude 5,6) ; une centaine de morts -magnitude 6.8- et plus de 100.000 sans abri en avril 1999 ... Mais parmi les pires catastrophes, il y a le séisme de 2001.

En Inde, les séismes se déroulent habituellement dans le nord du pays, au niveau de l’Himalaya, là où se rencontrent les plaques indienne et eurasienne. La déformation de cette zone himalayenne est importante, la plaque Indienne se rapproche de la plaque Eurasienne à la vitesse de 4,2 cm par an. Pour comparaison, la plaque africaine remonte vers la plaque eurasienne à la vitesse de 0,7 cm par an.

Au sud de cette zone himalayenne, la plaque Indienne est constituée de roches âgées de plusieurs milliards d’années, roches parmi les plus anciennes de la planète (craton indien). La sismicité de ce craton est plus faible que celle de la zone himalayenne, et plus généralement de celle du Japon ou de la Californie. Quelques gros séismes destructeurs, de magnitude comprise entre 6 et 8, se sont néanmoins produits dans la péninsule Indienne, en particulier le long de la côte occidentale (Bombay en 1618, Kutch en 1819, Bellary en 1843, Paliyad en 1938, Anjar en 1956, Ratnagiri en 1962, Koyna en 1967 et Govari en 1969).

Le séisme du 26 janvier 2001 s’est produit dans une région qui avait déjà été dévastée en 1819 par le séisme de Kutch : la surprise liée à la survenue de ce séisme dans cette région du monde est donc relative. Ce séisme, situé à 200 km de la frontière entre les plaques indienne et eurasienne, est typique des séismes « intraplaques » : séismes se produisant à l’intérieur des plaques.

Une étude menée par l’IPSN montre que des séismes de forte magnitude peuvent se produire loin des limites de plaques (170 à 3000 km) à l’intérieur même de zones réputées stables (boucliers anciens, chaînes de montagnes anciennes…). Elle identifie une trentaine de séismes de ce type dans le monde, de magnitude supérieure à 6,5, dont deux dans la péninsule indienne : séisme de Koyna en 1967 et celui de Kutch en 1819.

Le fait que des séismes puissent survenir dans des zones réputées calmes sismiquement (sismicité connue très faible) a conduit à l’adoption d’un niveau sismique minimal à prendre en compte pour la conception des installations nucléaires françaises.

Chambon

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
18 morts en Inde et au Népal dans le séisme de dimanche

Les médias indiens annoncent que le séisme de magnitude 6,9 qui a frappé le nord-est de l'Inde dimanche a fait 18 morts et plus de 100 blessés.

Le séisme s'est produit dans une partie montagneuse de l'Etat indien du Sikkim, près de la frontière avec le Népal.

La télévision indienne a indiqué que des bâtiments s'étaient effondrés au Sikkim et dans d'autres zones. Elle fait état de 13 morts et plus de 100 blessés en Inde. Toujours selon la télévision, cinq personnes auraient péri au Népal.

Le gouvernement indien a dépêché sur place un groupe de travail pour évaluer les dégâts. On ne connaît toujours pas clairement l'étendue des destructions à cause des coupures de courant et des perturbations touchant les services téléphoniques. Les routes bloquées par les glissements de terrain risquent de ralentir les secours.



NHK 19/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le séisme survenu dimanche dans l'Himalaya fait 56 morts, bilan provisoire. Il a touché l'Inde, le Népal et la Chine.

Les autorités indiennes ont rapporté que les secousses avaient provoqué l'effondrement de plusieurs bâtiments dans l'Etat himalayen du Sikkim, dans le nord-est du pays, tuant 43 personnes et en blessant 109 autres.

Au Népal on dénombre 6 victimes.

En Chine, l'agence Chine Nouvelle a annoncé que 7 personnes avaient trouvé la mort dans la région autonome du Tibet.

L'étendue totale des dégâts demeure inconnue. Les lignes téléphoniques sont coupées et d'importantes chutes de pluie empêchent les hélicoptères de survoler les zones touchées.

Le gouvernement indien a envoyé des unités militaires sur place. Certaines routes de montagne qui constituent des voies d'accès importantes sont bloquées par la boue et les rochers, ce qui rend le travail des sauveteurs difficile.

L'Etat du Sikkim, qui compte plus de 600 000 habitants, est connu entre autres pour être le berceau et principal lieu de production du célèbre thé Darjeeling.

NHK 19/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Lundi entre 12H et 14H30 heure locale, le Guatemala a été victime d'une suite de quatre séismes de magnitude comprise en 4,7 et 5,8. Les secousses ont provoqué des glissements de terrain et tué au moins une personne. Elles ont été ressenties jusqu'au Salvador voisin.

La terre ne cesse de trembler depuis hier au Guatemala. Lundi, une série de quatre séismes de magnitude 4,8, 5,8, 4,8 et 4,5 s'est déclenchée dans le sud du pays dans le département de Santa Rosa. Espacées de 30 minutes à près d'une heure, les secousses se sont produites entre 12H et 14H30 heure locale, surprenant les habitants en pleine journée. Peu puissantes mais répétées, elles ont été ressenties jusque dans le centre-ville de la capitale où des centaines de personnes ont été évacuées des bâtiments publics, hôtels et bureaux.

En effet, selon le directeur de l'Institut national de sismologie Eddy Sanchez, les épicentres des trois séismes de magnitude comprise entre 4,5 et 4,8 étaient situés à quelque 130 kilomètres au sud de la capitale Guatemala et à une profondeur d'entre 35 et 60 kilomètres. Quant à la secousse de 5,8, son épicentre a été localisé par l'Institut de géophysique américain (USGS) bien plus proche de la ville, à une cinquantaine de kilomètres et à près de 40 kilomètres de profondeur.

Des dégâts importants

Intervenus en pleine saison des pluies, les quatre séismes ont fait trembler les bâtiments mais ont également provoqué de nombreux glissements de terrain, entraînant la destruction d'habitations et le blocage de certaines routes. Plusieurs véhicules ont été détruits et les secousses ont coupé l'électricité et le téléphone dans plusieurs villes, selon les services de secours cités par The Guardian. Pour l'instant, le bilan provisoire fait état d'au moins un mort, une femme ensevelie dans l'effondrement de sa maison à Cuilapa, et de deux autres victimes encore à confirmer. Toutefois, des habitants sont toujours portés disparus, laissant supposer un bilan plus grave tandis que les secours s'affairent dans les décombres pour venir en aide aux sinistrés.

Suite aux séismes, le président Alvaro Colom a appelé au calme et a mobilisé la totalité des forces disponibles. Il a par ailleurs indiqué qu'il "n'y avait aucun raison de penser que quelque chose de plus puissant pourrait se déclencher". Néanmoins, tard dans la soirée, la terre continuait de trembler au Guatemala.

Maxisciences 20/09/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
D'après le Centre américain d'étude géologique, un puissant séisme de magnitude 7,3 a secoué ce dimanche l'est de la Turquie.

Son épicentre se situe près de la frontière avec l'Iran. Son foyer serait à 7 km de profondeur. L'ampleur des dégâts n'est pas encore connue.

D'après l'agence officielle turque Anatolia, quelques bâtiments se sont effondrés et il y a des répliques.

NHK 23/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le bilan humain pourrait être catastrophique et les dégâts considérables. Un fort tremblement de terre, de magnitude 7,3 selon l'institut américain de géophysique USGS, s'est produit dimanche dans l'est de la Turquie. L'institut de sismologie de Kandilli à Istanbul a, lui, fait état d'une magnitude de 6,6. La province orientale de Van, proche de la frontière iranienne a été fortement touchée. Le centre sismologique turc s'attend à au moins 500 morts, voire 1 000.

Ainsi, à Ercis une ville quelque 70 000 habitants, l'hôpital dénombrait dimanche soir au mois 50 morts, selon un site allemand. Un milliers de personnes seraient blessées. Les opérations de secours ont été entravées par la tombée de la nuit. Elles se poursuivaient à la lumière des générateurs alors que la température ne devrait pas dépasser les 3 degrés Celsius dans toute la zone du séisme.

Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, à Istanbul lors du tremblement de terre, s'est rendu à Van avec plusieurs ministres. La France ainsi que plusieurs pays dont Israël ont proposé leur aide, en dépit des vives tensions diplomatiques entre les deux pays. Le président Barack Obama a annoncé que «les Etats-Unis se tiennent prêts à aider Ankara». L'Otan a également proposé son aide. L'Union européenne a présenté ses condoléances à la Turquie.

L'épicentre du tremblement de terre s'est produit à 10h41 GMT (12h41 heure française), se trouve à 19 kilomètres au nord-est de Van, et à une profondeur de 7,2 kilomètres, selon l'USGS.



Les dégâts les plus importants auraient été constatés, à Ercis, une agglomération de 70 000 habitants environ, située sur une faille. Selon le site du magazine allemand «Der Spiegel», l'hôpital local dénombre plus de 50 morts. Un photographe de l'AFP a vu sur place des dégâts massifs sur l'artère principale. De nombreux habitants quittaient la ville, privée d'électricité, formant un convoi sur l'autoroute. Par crainte de répliques, les gens restaient à l'extérieur et s'apprêtaient à passer la nuit à la belle étoile autour de braseros, dans l'attente des tentes promises par les autorités.

La chaîne de télévision d'information NTV a rapporté que dans cette seule ville, un millier de blessés étaient à déplorer. «Nous avons un urgent besoin d'aide, nous avons besoin de médecins et paramédicaux», a lancé le maire.» «J'ai vu trois ou quatre corps extraits d'un immeuble de 8 étages qui s'est effondré» a expliqué à l'AFP Salim, un habitant d'une trentaine d'années.

A Van, qui compte 380 000 habitants, 50 personnes ont été hospitalisées. L'aéroport de la ville a subi des dégâts et les vols ont été déroutés vers Erzurum, à environ 400 km plus au nord. «Certains bâtiments ont subi des dommages, mais nous n'avons pas reçu d'informations sur des victimes. La secousse a provoqué une grande panique», affirmait le maire, Bekir Kaya, en début d'après-midi sur la chaîne privée turque d'information NTV.

Le responsable a souligné que le réseau téléphonique de la cité était sérieusement endommagé. Le tremblement de terre, ressenti dans les provinces avoisinantes, a entraîné un important mouvement de panique. Les premières images diffusées montraient des habitants en train de fuir dans le désordre leurs habitations.

Le Croissant Rouge s'est mobilisé et a commencé à envoyer des tentes et des secouristes dans la zone sinistrée. «C'est un puissant séisme qui peut faire des ravages», a souligné le président de cette organisation caritative. L'armée doit aider les secours. De nombreux logements ont été construits en Turquie sans que les normes établies ne soient entièrement respectées.

Le pays, qui est traversé par plusieurs failles, notamment dans l'est et le nord-ouest, connaît de fréquents tremblements de terre. Deux forts séismes dans les régions très peuplées et industrialisées du nord-ouest y avaient fait environ 20 00 morts, en août et novembre 1999, et les experts s'accordent sur le fait que la région d'Istanbul est menacée d'un fort séisme. En 1970, un séisme avait fait plus de 100 morts dans la province de Kütahya (nord-ouest).

afp / le parisien.fr 23/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un très fort tremblement de terre a secoué l'est de la Turquie ce dimanche 23 octobre 2011. C'est la province de Van, non loin de la frontière iranienne qui a été touchée par la secousse de 7,3 sur l'échelle de Richter. Selon le centre sismologique turc, il est à craindre qu'un séisme d'une telle puissance fasse des centaines de morts.

Les premiers secours tentent de dégager des habitants piégés sous les décombres, à Tabanli près de Van, en Turquie, le 23 octobre 2011. REUTERS/Abdurrahman Antakyali/Anadolu Agency

Une dizaine de bâtiments se sont effondrés dans la ville de Van, et près d'une centaine d'autres, dont un pensionnat de jeunes filles, sont détruits dans la ville d'Ercis, à 25 kilomètres au nord, et tout proche de l’épicentre.

Les premiers bilans connus risquent de s’alourdir, mais les autorités locales parlent de 15 morts à Van, ville de 400.000 habitants, et d’une soixantaine de victimes à Ercis, la bourgade la plus touchée. Et dans la province voisine de Bitlis, une fillette de 9 ans a été retirée sans vie des ruines de sa maison.

Ces bilans chiffrés sont provisoires, et vont certainement s’aggraver dans les heures à venir, tout en restant relativement limités, prévoit le ministre de l’Intérieur. L’heure à laquelle la terre a tremblé ce dimanche ensoleillé à 13h41, fait que peu des habitants de la région étaient chez eux.

L’aide humanitaire et les moyens d’hébergement ont commencé à arriver sur place, et des centaines de tentes du Croissant rouge sont actuellement en cours de montage. Les recherches dans les décombres se poursuivent, menées par des pompiers, des guides-sauveteurs de montagne et des secouristes de la sécurité civile. De son côté, l’armée a mis à disposition deux avions gros porteurs pour acheminer l’aide et des hélicoptères survolent les campagnes pour évaluer la situation.

Le Premier ministre a annulé son programme pour se rendre dans la région, où très souvent les moyens de télécommunication et même l’électricité sont coupés.

L’aéroport de Van a été fermé. On ne sait pas si c’est en raison de dégâts qu’il aurait subi ou pour éviter un accident en cas de réplique. Les hôpitaux de la région sont en fonction, mais bien sûr débordés.

« Le séisme a été très fortement ressenti à Van, une ville de 380 000 habitants, et dans ses environs, provoquant, selon les premières informations, des dégâts et des pertes en vies humaines », a indiqué la direction des situations d'urgence, un organisme officiel à Ankara, sans préciser le nombre des morts. Des personnes sont ensevelies sous les décombres, soulignent les médias. Plusieurs dizaines de maisons et d'autres bâtiments se sont effondrés à la suite du séisme dans la province orientale de Van, proche de la frontière iranienne et peuplée majoritairement de Kurdes, à plus de 1 200 km à l'est de la capitale Ankara, a rapporté l'agence de presse Anatolie.

Un tremblement de terre de magnitude 7,3 a frappé l'est de la Turquie, le 23 octobtre 2011.
earthquake.usgs.gov


Elle a précisé que 50 personnes avaient été hospitalisées dans la cité de Van, où, d'après les autorités locales, l'aéroport civil reste opérationnel. Les chaînes de télévision avaient affirmé qu'il avait subi des dégâts et avait été fermé. L'épicentre du tremblement de terre de magnitude 7,3 qui s'est produit à 10H41 GMT, se trouvait à 19 kilomètres au nord-est de Van et à une profondeur de 7,2 kilomètres, a fait savoir aux Etats-Unis l'USGS, la référence en matière de séismes. L'une des répliques, survenue un quart d'heure plus tard, à 10H56 GMT et dont l'épicentre a également été localisé à 19 kilomètres au nord-est de cette agglomération, a eu une magnitude de 5,6, selon l'USGS.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui se trouvait à Istanbul au moment du séisme, devait partir sans délai pour Van avec plusieurs ministres, dont celui de la Santé, a annoncé la chaîne privée de télévision NTV. « Certains bâtiments ont subi des dommages (...) La secousse a provoqué une grande panique », a dit le maire de Van, Bekir Kaya, sur NTV. En général, c'est dans les villages reculés où les maisons sont faites de pisé qu'il y a le plus de dégâts. Le maire a souligné que le réseau téléphonique de sa ville avait été fortement endommagé.

Le tremblement de terre, ressenti dans les provinces avoisinantes, ainsi qu'en Iran, a entraîné un important mouvement de panique. Les premières images diffusées montraient des habitants en train de fuir dans le désordre leurs habitations et au moins deux bâtiments de plusieurs étages détruits. Le Croissant-Rouge s'est mobilisé et a commencé à envoyer des tentes et des secouristes dans la zone sinistrée. « C'est un puissant séisme qui peut faire des ravages », a souligné le président de cette organisation caritative, Lutfi Akan.

L'armée devait aussi dépêcher des secouristes. Un séisme de cette force est d'autant plus susceptible de provoquer de substantiels dégâts en Turquie que de nombreux logements ont été construits sans que les normes établies ne soient entièrement respectées, ont averti les sismologues cités par les chaînes de télévision. La Turquie, qui est traversée par plusieurs failles, notamment dans l'est et le nord-ouest, connaît de fréquents tremblements de terre.

Deux forts séismes dans les régions très peuplées et industrialisées du nord-ouest y avaient fait environ 20 000 morts, en août et novembre 1999, et les experts s'accordent sur le fait que la région d'Istanbul est sous la menace d'une telle catastrophe naturelle. En 1976, un tremblement de terre avait fait plus de 3 800 morts à Caldiran, dans la province de Van.

RFI 23/10/2011 - Jérôme Bastion

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
En Turquie, où un violent séisme a fait plus de 200 morts, les recherches se poursuivent pour secourir les survivants.

Un tremblement de terre de magnitude 7,2 a secoué dimanche l'est du pays, près de la frontière iranienne.

Selon le ministre de l'Intérieur Idris Naim Sahin, le séisme a fait au moins 217 morts et 1090 blessés.

Le premier ministre Recep Tayyip Erdogan s'est rendu dimanche dans les zones sinistrées. Il a déclaré qu'il ignorait combien de personnes restaient bloquées sous les décombres mais que les secours seraient organisés en conséquence.

Plus de 1200 secouristes prennent part aux opérations avec le soutien de l'armée. Les répliques sont encore nombreuses.

NHK 24/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dans l'est de la Turquie, les répliques contrecarrent les opérations de secours

En Turquie, le bilan encore provisoire du violent séisme qui a touché l'est du pays dépasse les 270 morts, alors que beaucoup de personnes sont encore piégées sous les décombres de bâtiments.

Le tremblement de terre d'une magnitude de 7,2 a détruit dimanche des immeubles dans une vaste région. L'agence de presse Anatolia fait état de 279 morts et d'environ 1300 blessés.

Bon nombre de bâtiments effondrés se trouvent dans les centres urbains, mais on ne connaît pas encore en détail l'étendue des dégâts dans les régions rurales.

Environ 1200 secouristes de tout le pays et des militaires continuent jour et nuit leurs travaux de recherche et de sauvetage au moyen d'équipements lourds. Mais les répliques les obligent à suspendre temporairement leurs opérations.

La communauté internationale, notamment le Japon et les Etats-Unis, ont proposé leur assistance, mais le gouvernement d'Ankara affirme être capable de s'occuper seul de la situation.

Rappelons que, dans les régions sinistrées, la guérilla séparatiste kurde est en lutte armée contre les forces gouvernementales près de la frontière avec l'Irak au sud.

Les Kurdes des régions touchées critiquent le gouvernement, l'accusant de refuser l'aide des pays étrangers pour dissimuler la campagne des sécessionnistes kurdes.

NHK 25/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Les miracles existent. Plus de deux jours après le séisme qui a touché l'est de la Turquie dimanche. Plus de deux jours après le séisme qui a touché l'est de la Turquie dimanche, les secours continuent sans relâche à rechercher des survivants. Ils ont été récompensés mardi en retrouvant vivant un bébé, Azra, âgé de deux semaines dans les décombres d'un immeuble à Ercis, une ville particulièrement touchée par la catastrophe avec Van.

Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, sa mère, Seniha, et sa grand-mère, Gülzade, ont été retrouvées saines et sauves quelques minutes plus tard. Le bilan provisoire du tremblement de terre fait état de 432 morts et 1 350 blessés.

L'heureuse découverte a provoqué la surprise et la joie des secouristes qui creusaient depuis plusieurs heures dans les décombres, au départ pour retrouver la mère du nourrisson. AFP PHOTO / ADEM ALTAN

La très jeune rescapée a rapidement été placée sous assistance respiratoire. AFP PHOTO/ ADEM ALTA

Cliquez ICI pour voir d'autres images

AFP / LE PARISIEN.FR 25/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
... Des sauveteurs affirment que le père de famille se trouve aussi dans les décombres mais il n'a pas pour l'instant donné de signe de vie. Au même moment, à Ercis, une autre équipe de secouristes a retiré vivant d'un amas de béton un homme d'une trentaine d'années.

Plus tard dans la soirée, à Van, chef lieu de la province, un garçon de 10 ans a été retiré en vie des décombres de son immeuble, dont son père et son frère avaient été auparavant extraits.

Les victimes sont particulièrement nombreuses à Ercis et à Van, la capitale régionale. Les centaines de secouristes mènent une course contre la montre. Ils ont travaillé sans relâche dans un froid glacial pendant toute la nuit. Durant la nuit, un policier et sa femme, puis une femme enceinte et ses deux enfants, ont été retrouvés vivants dans les décombres.

Malheureusement, ce sont surtout des corps inertes qui sont retirés des décombres, après le séisme de magnitude 7,2, le plus fort de ces dernières années en Turquie. Selon l'Afad, 2.262 bâtiments se sont effondrés dans la zone sinistrée, principalement à Ercis et Van, deux villes peuplées en majorité de Kurdes et proche de l'Iran.

Cliquez ICI pour lire la totalité de l'article

AFP / Le Parisien.fr 25/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Les équipes de sauvetage internationales ont commencé à arriver dans la province de Van en Turquie orientale, 3 jours après le séisme meurtrier de dimanche.

Le dernier bilan fait état de 461 morts. De nombreuses personnes seraient encore bloquées sous les décombres des quelque 3000 bâtiments qui se sont effondrés.

Dans un premier temps, le gouvernement turc avait décliné les propositions d'aide internationale à l'exception de celles de quelques pays, affirmant que la Turquie était capable de gérer par elle-même la catastrophe. Toutefois, mardi, il a sollicité des équipements de secours auprès d'une trentaine de pays.

Israël a décidé d'envoyer de l'aide à la Turquie en dépit de la détérioration des liens entre les deux pays. Un avion transportant des couvertures et d'autres équipements a décollé pour la Turquie mardi.

Des équipes médicales japonaises sont arrivées dans les zones dévastées et ont commencé à soigner les blessés.

Une infirmière a expliqué que de nombreux Turcs étaient venus au Japon pour aider la population japonaise après la double catastrophe du 11 mars. Elle a indiqué que cette fois, c'était au tour du Japon d'aider la Turquie.

Selon les estimations officielles, environ 600 000 personnes sont affectées par le séisme.

NHK 27/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le séisme de magnitude 7,2 qui a secoué dimanche la province orientale turque de Van, a fait 523 morts et 1 650 blessés, selon un nouveau bilan provisoire fourni jeudi par la Direction officielle des situations d'urgence. Un précédent bilan donné mercredi soir par cette même instance était de 481 morts.

Les secouristes jetaient encore jeudi leurs dernières forces dans la bataille avant l'arrivée de la neige et l'entrée en action des bulldozers.

Le gouvernement turc a, de son côté, fini par accepter l'aide étrangère, y compris venant de l'Arménie et d'Israël. Un avion cargo israélien transportant de l'aide humanitaire et notamment cinq logements préfabriqués, a d'ailleurs atterri jeudi à Ankara, a rapporté l'agence de presse Anatolie.

Un étudiant sauvé après 91 heures sous les débris

Depuis le sauvetage miraculeux, mardi, d'un bébé de deux semaines, la petite Azra Karaduman, de sa mère et de sa grand-mère des décombres d'un immeuble, cinq nouveaux survivants ont été dégagés des ruines, selon l'hôpital de campagne installé dans la salle de sport d'Ercis. Jeudi, un étudiant de 19 ans a été tiré d'affaires après 91 heures sous les décombres. Muhammet a été extrait des débris d'un immeuble effondré de quatre étages, a affirmé la chaîne d'information NTV.

La plupart des victimes proviennnent d'Ercis et de Van. Dans cette deuxième ville, la capitale régionale, les détenus d'une prison endommagée par le séisme se sont révoltés mardi soir contre les autorités pénitentiaires qui refusaient de les transférer vers un autre établissement plus sûr. Ils ont mis le feu à leurs couvertures. Des tirs d'armes à feu provenant de l'intérieur du complexe ont été entendus.

Pillage de camions du Croissant-Rouge turc

A Van également, dix-sept camions d'aide du Croissant-Rouge ont été «pillés» par des inconnus. Selon la police locale, il s'agirait d'actes commis par des rescapés s'estimant livrés à eux-mêmes. Selon des habitants d'Ercis, la ville la plus touchée par le tremblement de terre, des inconnus ont arrêté mardi un camion chargé de tentes en provenance de la province voisine d'Agri. Après avoir battu le chauffeur, ils se sont emparés de la cargaison, probablement pour la revendre au marché noir.

Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a admis mercredi des difficultés dans l'acheminement des premiers secours. «Au début, dans les 24 premières heures, il y a eu vraiment des manquements, nous le reconnaissons», a-t-il admis, assurant que «l'Etat s'est mobilisé avec toutes ses institutions».

Des sinistrés de la province orientale de Van ont critiqué la lenteur de la distribution des tentes et accusé les autorités de discrimination ethnique. La population de l'Est est majoritairement kurde, une ethnie estimée à 15 millions d'habitants sur 75 millions.

Le pays a besoin de logements préfabriqués et de conteneurs pour abriter les rescapés. Après avoir dans un premier temps réfusé, le gouvernement turc acceptera finalement l'aide proposée par une trentaine de pays, y compris d'Israël en dépit des tensions entre les deux pays. Celles-ci remontent au raid d'un commando israélien contre une flottille à destination de Gaza, qui a coûté la vie à neuf militants turcs en mai 2010.

Un avion ukrainien transportant des tentes avec un système de chauffage a atterri mercredi soir à l'aéroport d'Erzurum, proche de la province de Van, et de l'aide devait parvenir très prochainement par voie aérienne d'Italie. Un avion français transportant un lot de grandes tentes familiales partira jeudi Paris, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères.


Photo : AFP/ADEM ALTAN


AFP / Le Parisien.fr 27/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
un nouveau bilan officiel rendu public jeudi, le séisme de magnitude 7,2 qui a secoué dimanche la province orientale turque de Van a fait 523 morts et 1650 blessés. Pas moins de 185 personnes ont été extraites vivantes des décombres.
Plus de 91 heures après le séisme de magnitude 7,2 survenu dans la province de Van située dans l'est de la Turquie, le bilan rendu par les autorités ne cesse de s'alourdir. Jeudi, il a ainsi été élevé à 523 morts et quelques 1.650 blessés, tandis que les équipes d'intervention continuent de s'affairer dans les décombres pour tenter de retrouver des survivants.

Depuis lundi, 185 personnes ont pu être extraites vivantes de bâtiments ou maisons effondrés, parmi lesquels un bébé âgé d'à peine 15 jours qui a rapidement été conduit à l'hôpital d'Ankara avec sa mère. De même, à Ercis, un étudiant de 19 ans, Muhammet, a été retiré vivant des décombres d'un immeuble de quatre étages qui s'est effondré dans la ville la plus sinistrée, a rapporté la chaine d'information NTV.

Face aux dégâts considérables causés par le séisme, la Turquie a accepté mercredi l'aide d'Israël, en dépit des relations conflictuelles que les deux nations entretiennent. Jeudi, un avion cargo de la compagnie aérienne nationale israélienne transportant cinq logements préfabriqués à destination des victimes du séisme a ainsi atterri à 09h00 à Ankara, d'après l'agence de presse Anatolie.
Maxisciences 27/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
... Selon une agence de presse turque, le jeune homme est dans une condition stable mais il souffre de déshydratation. Etudiant dans un cours du soir, il a été transporté immédiatement à l'hôpital.

Les taux de survie pour tous ceux qui sont prisonniers des décombres sont réputés pour chuter sensiblement 72 heures après un séisme.

Malgré la découverte de ce jeune homme encore en vie, les efforts de sauvetage des survivants ont été interrompus dans certaines zones car il n'y a guère plus d'espoir de retrouver des personnes en vie alors que le froid sévit la nuit dans les zones dévastées.

NHK 28/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
En Turquie, les secouristes sont parvenus à extraire un adolescent resté bloqué sous les décombres, plus de 100 heures après le puissant séisme qui a secoué la région.

L'adolescent, âgé de 13 ans, a été secouru ce vendredi en matinée dans la ville de Ercis, où la secousse a été la plus violente.

Il souffrirait de blessures mais sa vie ne serait pas en danger. Dans la même ville, un jeune homme de 18 ans a été sauvé jeudi soir, 100 heures après le séisme.

A ce jour, le bilan du violent tremblement de terre survenu dimanche est de 570 morts.

Bien qu'ils aient pu secourir deux personnes, les sauveteurs ont cessé leurs opérations dans certaines zones car les chances de survie sont considérablement réduites 72 heures après une secousse.

Par ailleurs, le froid qui règne dans la région dévastée compromet également les chances de secourir des victimes sous les décombres.

NHK 28/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
En Turquie, le bilan du séisme survenu la semaine dernière dépasse désormais les 600 morts.

Les autorités turques ont confirmé 601 décès et près de 4100 blessés, à ce jour. Par ailleurs, le tremblement de terre du 23 octobre aurait fait 600 000 sinistrés environ.

Plus de 200 personnes ont été extraites des décombres dans la province de Van, dans l'est du pays. Toutefois, aucun survivant n'a été retrouvé depuis qu'un garçon de 13 ans a pu être secouru vendredi.

Les opérations de sauvetage ont pris fin dans la plupart des zones affectées.

De nombreux survivants préfèrent passer leurs nuits à l'extérieur, craignant que des répliques ne détruisent leurs habitations.

Les sinistrés se plaignent par ailleurs du nombre insuffisant de tentes et de couvertures à l'approche de l'hiver, qui s'annonce long et glacial.

NHK 31/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
En Turquie, le bilan du séisme survenu la semaine dernière dépasse désormais les 600 morts.

Plus de 200 personnes ont été extraites des décombres dans la province de Van, dans l'est du pays. Toutefois, aucun survivant n'a été retrouvé depuis qu'un garçon de 13 ans a pu être secouru vendredi.

Les opérations de sauvetage ont pris fin dans la plupart des zones affectées.

NHK 31/10/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le Japon accordera une assistance de 10 millions de dollars à la Turquie pour l'aider à construire des logements temporaires pour les personnes affectées par le puissant séisme survenu le mois dernier.

Le gouvernement japonais a pris cette décision mercredi.

Cette aide fait suite à l'envoi de tentes et d'autres produits d'urgence d'une valeur de 400 000 dollars, via la JICA, l'Agence japonaise de coopération internationale.

Selon les autorités turques, le tremblement de terre qui a frappé l'est du pays le 23 octobre a fait 601 morts et quelque 4150 blessés.

Plus de 4500 bâtiments auraient également été détruits.

NHK 02/11/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La probabilité qu'un puissant séisme frappe prochainement Christchurch, la deuxième ville de Nouvelle-Zélande partiellement détruite en février par un tremblement de terre, est forte et plus importante que prévu, ont averti les scientifiques vendredi.

Le risque qu'une secousse tellurique d'une magnitude comprise entre 6 et 6,4 survienne dans les douze mois à venir est évalué à 15% alors qu'il était de 10% en septembre.

Le risque augmente à 46% (contre 37% lors des précédents calculs) pour un séisme de magnitude 5,5 à 5,9.

"Rien n'a changé sous la croûte terrestre pour expliquer le risque accru de séisme, ce sont les calculs de probabilité qui sont différents", a indiqué Kelvin Berryman, de l'institut public néo-zélandais GNS Science.

Le puissant séisme de magnitude 6,3 qui a frappé Christchurch le 22 février a fait 181 morts et détruit une grande partie du centre-ville, occasionnant quelque 20 milliards de dollars néo-zélandais (11,5 milliards d'euros) de dégâts.

Six mois auparavant, le 4 septembre, la cité avait été secouée par un premier tremblement de terre, de magnitude 7, qui n'avait pas fait de victimes, mais causé de gros dégâts matériels. De nombreuses répliques ont depuis été enregistrées.

Les séismes des derniers mois se sont produits sur une faille que les scientifiques n'avaient pas détectée jusqu'à présent. GNS Science pense qu'elle a été inactive pendant 16.000 ans, jusqu'en septembre 2010.

La Nouvelle-Zélande, située sur la Ceinture du feu du Pacifique, à la frontière des plaques tectoniques australienne et du Pacifique, enregistre jusqu'à 15.000 secousses par an.

AFP / Sciences et Avenir 04/11/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Samedi, le centre de l'Oklahoma au centre des Etats-Unis a été agité par deux tremblements de terre dont un de magnitude 5,6. Une puissance record pour cette région, selon le centre américain de géophysique (USGS).

C'est un évènement rare qui s'est produit ce week-end dans l'Etat américain de l'Oklahoma. Dans la journée de samedi, les habitants ont été surpris par deux secousses sismiques : une survenue dans la nuit à 2H12 heure locale (7H12 UTC) et une autre à 22H53 (3H53 UTC dimanche). Or, si la première était de magnitude 4,7, la seconde s'est élevée à 5,6, une puissance encore jamais atteinte dans cette région, a précisé le centre américain de géophysique (USGS). En effet, le séisme le plus puissant enregistré auparavant dans cet Etat remonte à 1952 avec une magnitude de 5,5.

D'après les données établies par l'USGS, l'épicentre du premier séisme était situé à 9 kilomètres au nord de la ville de Prague à une profondeur de 4 kilomètres. Celui du second, par contre, était situé à 6 kilomètres à l'est de la localité de Sparks à une profondeur de 5 kilomètres. Ressentie jusqu'au nord du Texas, la dernière secousse n'a fait aucune victime, seulement des dégâts matériels mais a causé une grande frayeur chez les habitants.

"Un tableau près du téléviseur s'est décroché du mur et nous avons sursauté car nous avons alors cru que quelque chose avait heurté la maison. C'était comme un grondement et je n'avais jamais entendu quelque chose d'aussi fort", a raconté au journal The Oklahoman, Noeh Morales, un résident d'Oklahoma City.

De son côté, le responsable des services d'urgence du comté de Lincoln, Joey Wakefield cité par le quotidien The Tulsa World, a mentionné des déformations de la chaussée sur des portions d'une autoroute et l'effondrement d'une cheminée d'une maison de deux étages près de la ville de Prague. D'autres bâtiments ont aussi subi des dommages, selon lui. "Cela a été un assez mauvais petit tremblement de terre", a-t-il déclaré cité par l'AFP.

Maxisciences 07/11/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un séisme de magnitude 5,6 a frappé l'est de la Turquie, 2 semaines après la secousse mortelle qui s'est produite dans la région. La presse locale a confirmé la mort de 3 personnes.

Selon l'Institut américain de géologie, le tremblement de terre est survenu mercredi aux alentours de 21h20, heure locale. Son épicentre a été enregistré à 5 km de pronfondeur, dans l'est du pays.

Selon des informations communiquées par la télévision d'Etat, 18 bâtiments se sont effondrés, dont 2 hôtels. Trois morts ont été confirmées et des dizaines de personnes seraient bloquées sous les décombres.

Une vidéo enregistrée dans la province de Van, près de l'épicentre, montre des immeubles de béton totalement aplatis et des rues jonchées de gravats.

Rappelons que le 23 octobre, la région a subi un séisme de magnitude 7,2.

Dans la même province de Van, la plus durement touchée, le séisme a détruit plus de 2200 immeubles, faisant au moins 600 morts et plus de 4000 blessés.

NHK 10/11/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un travailleur humanitaire japonais extrait des décombres d'un hôtel en Turquie, où un violent séisme s'est produit mercredi, est finalement décédé.

La secousse, d'une magnitude 5,6, s'est produite peu après 21h00 dans l'est de la Turquie.

Selon le gouvernement turc, 25 immeubles, dont 2 hôtels, se sont effondrés dans la capitale provinciale de Van, proche de l'épicentre. Huit morts au moins ont été confirmées et des dizaines de personnes seraient bloquées sous les décombres.

Depuis le violent tremblement de terre survenu fin octobre dans la même région, le travailleur humanitaire Atsushi Miyazaki, membre d'une Association d'aide et de secours basée à Tokyo, se trouvait dans un des hôtels affectés avec une collègue. Cette dernière, Miyuki Konnai, a également été secourue et elle serait encore vivante.

Selon l'association, M. Miyazaki avait été extrait des décombres environ 13 heures après le séisme.

NHK 10/11/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le bilan en terme de vie humaine du nouveau séisme survenu dans l'est du pays : 8 morts.


A noter également que 25 bâtiments se sont effondrés. Parmi ceux-ci, deux hôtels. Ce matin, les secours s'affairaient dans les décombres de l'hôtel Bayram et sont parvenus à en extraire deux blessés : un homme d'une soixantaine d'années et un second âgé de 25 à 30 ans, selon l'agence de presse Anatolie. Deux heures plus tard, c'est un Japonais, membre d'une association humanitaire, qui a été secouru dans les mêmes débris mais il a succombé peu après à ses blessures, rapporte l'AFP.

"Ce qui est réconfortant, c'est que 23 des 25 bâtiments étaient déjà vides. Il n'y avait des gens que dans deux hôtels, et c'est là que se poursuivent les travaux", a commenté le vice-premier ministre Besir Atalay.

Ce nouveau séisme a provoqué un véritable mouvement de panique chez les habitants, encore marqués par le précédent séisme qui a fait près de 600 morts.

Cliquez ICI pour lire la totalité de l'article


Maxisciences 10/11/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un fort tremblement de terre, de magnitude 6,7, a frappé l’Etat de Guerrero, au sud du Mexique, dans la soirée de samedi, et violemment secoué la capitale, causant au moins deux morts, selon un premier bilan officiel.

Le séisme s’est produit à 19 h 47 locales (1 h 47 GMT) et son épicentre s’est situé dans l’Etat du Guerrero, à 166 km au sud-ouest de Mexico, a indiqué l’Institut d’études géologiques des Etats-Unis (USGS), basé à Miami, sur son site internet.

Dans le Guerrero deux personnes sont mortes, dont un enfant de 11 ans, et deux femmes ont été blessées, a indiqué à la presse le porte-parole du gouvernement de cet Etat, Arturo Martinez, à Chilpancingo, sa capitale.

À Mexico, de nombreux habitants qui assistaient à des soirées organisées par diverses institutions à l’occasion des fêtes de Noël ont abandonné les étages des immeubles du centre-ville au milieu des cris d’alarme pour se précipiter dans la rue.

Dans la capitale, le problème le plus grave est l’interruption du courant électrique à 25 endroits, a affirmé le directeur des services de Protection civile du District fédéral, Elias Moreno. Le chef du gouvernement du District fédéral, Marcelo Ebrard, a cependant précisé que les transports en commun, y compris le métro, de même que les installations de l’aéroport fonctionnaient normalement.

Le tremblement de terre s’est produit alors que des milliers de pèlerins ont commencé à arriver à Mexico pour participer aux célébrations de la fête de la vierge de Guadalupe, patronne du Mexique, le 12 décembre.

En 1985 un séisme de magnitude 8,1 avait laissé au moins 10 000 morts à Mexico.

Sud-Ouest 11/12/2011

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...