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BelleMuezza

Séismes dans le monde (sauf France et Japon)

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Le 27 octobre à 20h04 (28 octobre et 3h04 GMT), un séisme de magnitude 7,7 a eu lieu dans la région de Haida Gwaii et il y a eu plusieurs répliques jusqu'à 4,6 de magnitude.

Localisation: 25 miles S de Sandspit, Colombie-Britannique. Profondeur: 17,5 km (11.81 miles) Latitude: 52,769 degrés nord, Longitude: 131,927 degrés ouest. L'USGS a également mentionné que l'épicentre se trouvait à 202 km au sud-ouest de Prince Rupert, ville côtière de la province canadienne de Colombie-Britannique située à 745 km au nord de Vancouver.

Une alerte tsunami a été émise pour les zones côtières de la Californie à partir de Gualala Point, en Californie (80 miles au NO de San Francisco) à la frontière de l'Oregon et la Californie. Cette alerte a été levée pour cette zone, mais Hawaï a été touché par de petites vagues. Selon les informations déroulantes des chaînes d'informations françaises, les prochaines vagues pourraient être plus fortes et provoquer des risques d'inondation...

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Un tremblement de terre d'une magnitude de 7,7 s'est produit tôt dimanche au large des côtes de Colombie-Britannique. Une vague sans danger a été signalée sur les côtes canadiennes. A Hawaï, où les premières vagues sont arrivées en milieu de matinée, l'alerte au tsunami n'est pas levée.

Tout danger est désormais écarté pour le Canada, mais Hawaï reste en vigilance après un tremblement de terre survenu dans la nuit au large de la Colombie-Britannique. D'une magnitude de 7,7, ce séisme a motivé le lancement d'une alerte au tsunami pour une large portion des côtes ouest du Canada, à savoir les zones côtières de la Colombie-Britannique et de l'Alaska entre le nord de l'île de Vancouver et le Cap Décision. Plusieurs localités côtières canadiennes ont été évacuées. Au final, une vague consécutive au séisme a bien été signalée sur les côtes canadiennes, mais très faible, et guère susceptible de causer des dégâts.

Une alerte similaire a été lancée pour les îles Hawaï. L'arrivée d'une première vague, de taille plutôt modeste, a été signalée peu avant dix heures du matin, heure française. "Le tsunami est en train d'arriver tout juste en ce moment," a précisé à des journalistes Gerard Fryer, éminent géophysicien du centre d'alerte américain aux tsunamis, au moment du passage de cette vague. Des images de la télévision tournées dans l'île de Oahu ont alors montré des ondulations relativement réduites se dirigeant vers les plages de Hawaï. Mais Gerad Fryer a averti les habitants en disant qu'ils ne devaient pas se laisser tromper par les apparences. "La première vague n'est jamais la plus importante," a-t-il dit. Les vagues suivantes pourraient être beaucoup plus fortes et pourraient provoquer des inondations. "Si les vagues sont grandes, cela prend six ou sept heures" avant qu'on puisse lever l'alerte, a ajouté le spécialiste.

Le tremblement de terre est survenu à 4h04, heure française, dans la région de l'archipel de Haida Gwaii (ex-îles de la Reine-Charlotte). Il a été ressenti à travers une grande partie du centre et du nord de la province de Colombie-Britannique, y compris à Prince Rupert, Quesnel et Houston. Selon l'Institut américain de géophysique, l'épicentre de la secousse a été localisé à 139 kilomètres au sud de la ville de Masset. L'agence Séismes Canada a précisé pour sa part que le tremblement de terre avait été suivi par plusieurs répliques, d'une magnitude allant jusqu'à 4,6, mais qu'aucun dégât n'avait été rapporté "pour le moment".



Carte de la propagation du tsunami après le séisme au large de la côte Ouest du Canada (28 octobre 2012) / Crédits : NOAA



Sources : NOAA 28/10/2012 - Ressources Naturelles Canada 28/10/2012 - TF1 - 28/10/2012 -
L'Expression 28/10/2012

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HONOLULU (Etats-Unis) - L'alerte au tsunami qui avait été lancée dans la nuit à Hawaï (Etats-Unis), à la suite d'un fort séisme sur la côte ouest du Canada, a été levée vers 11h00 GMT, a-t-on annoncé de source officielle.

Selon toutes les données dont nous disposons, la menace de tsunami a diminué (...) et ne devrait plus augmenter, a déclaré le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique. Le centre a toutefois prévenu que le niveau des vagues et la force des courants continuaient à présenter des dangers pour les bateaux ou les baigneurs.

Et cette menace va durer encore plusieurs heures, a prévenu le centre.

L'alerte au tsunami avait été lancée après un puissant séisme, d'une magnitude de 7,7, survenu samedi soir au large de la côte pacifique du Canada.


ROMANDIE.COM 28/10/2012

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Un tremblement de terre de magnitude 7,7 a frappé la province canadienne de Colombie britannique, sur la côte Pacifique, provoquant des tsunamis de faible intensité dans certaines zones de Hawaï.

Le séisme a eu lieu à 3h04 en temps universel dimanche matin. Son épicentre se situait à 17,5 km de profondeur, près des îles de la Reine Charlotte, à quelque 600 km au nord-ouest de Vancouver.

Les autorités canadiennes ont fait savoir que d'infimes changement dans les niveaux de marée ont été observés près de l'épicentre. Mais aucun dégât n'a été signalé.

Le Centre américain du Pacifique pour la prévention des tsunamis, installé à Hawaï, a fait savoir qu'une vague de 76 cm avait atteint l'île de Maui et une autre de 43 cm, celle d'Oahu. Les deux vagues ont été observées peu après 9h00 en temps universel dimanche.


NHK 28/10/2012

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Un séisme de magnitude 3,8 a secoué Manille mercredi, faisant trembler des immeubles du centre de la capitale philippine régulièrement touchée par des tremblements de terre, mais aucun dégât n'était immédiatement signalé, ont constaté des journalistes de l'AFP.

La secousse s'est produite à 10H07 (02H07 GMT) et son épicentre a été localisé dans la province de Bulacan, à environ 50 km au nord de Manille, selon l'Institut philippin de vulcanologie et de sismologie (Phivolcs). Un sismologue du Phivolcs, Ishmael Narag, a indiqué à la radio DZBB qu'il ne fallait pas s'attendre à des répliques compte tenu de la faible intensité du séisme.

Les Philippines, archipel composé de plus de 7.000 îles, sont situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, où des plaques tectoniques se rencontrent, provoquant une importante activité sismique et volcanique.

Manille, où vivent plus de 12 millions d'habitants, repose sur une faille sismique majeure et les sismologues mettent en garde depuis longtemps contre la possibilité d'un fort tremblement de terre, aux conséquences dramatiques.


ROMANDIE.COM 31/10/2012

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MANILLE - Un séisme de 6,1 de magnitude a eu lieu au large de l'île méridionale philippine de Mindanao dans la nuit de vendredi à samedi, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS), toutefois ni victimes ni dégâts n'ont été signalés dans l'immédiat.

Dans un premier temps, l'USGS avait fait état d'une magnitude de 6,4. Pour sa part l'Institut de vulcanologie et de sismologie des Philippines a évalué la magnitude de la secousse tellurique à 6,5 degrés de magnitude et mis en garde contre des répliques.

Selon l'USGS, le séisme s'est produit à 38 kilomètres de profondeur à 02h17 heure locale samedi (18h17 GMT vendredi) à environ 87 kilomètres à l'est de la ville de Butuan.

Ni dégâts ni victimes n'ont été signalés dans l'immédiat, a indiqué à l'AFP le responsable de la défense civile, Troy Gallo, ajoutant que des habitants s'étaient seulement plaints que des objets étaient tombés à l'intérieur de leurs maisons.

Les Philippines, archipel composé de plus de 7.000 îles, sont situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, où des plaques tectoniques se rencontrent, provoquant une intense activité sismique et volcanique.

Les Philippines sont l'un des pays les plus exposés aux catastrophes naturelles avec une moyenne de 20 typhons s'abattant sur l'archipel chaque année.

Un tremblement de terre de 7,6 degrés de magnitude avait secoué le 31 août la côte orientale du pays entraînant une alerte au tsunami qui avait contraint plus de 130.000 habitants à quitter leurs domiciles et provoqué un glissement de terrain ayant causé la mort d'une personne.


ROMANDIE.COM 2/11/2012

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Un puissant séisme de 7,4 degrés a secoué mercredi à la mi-journée la côte Pacifique du Guatemala, faisant au moins une quarantaine de morts et 155 blessés dans ce pays, et provoqué des mouvements de panique jusqu'au Mexique et au Salvador voisins.

La zone la plus touchée a été le département de San Marcos, sur la côte guatémaltèque, à environ 250 km à l'ouest de la capitale. C'est dans cette région, où des véhicules ont été détruits, des routes coupées et les télécommunications interrompues, que les décès ont été recensés.

Ce tremblement de terre sous-marin, d'une magnitude de 7,4, a été enregistré à 16H35 GMT, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS) dans un communiqué. Il a eu lieu à 41,6 kilomètres de profondeur, son épicentre s'étant situé en mer à 24 kilomètres au sud-ouest de la ville de Champerico.

"Nous déplorons la mort de 39 personnes, c'est une tragédie, c'est véritablement regrettable. Ce sont des chiffres que nous devons reconfirmer" mais le bilan du séisme "pour l'instant" atteint déjà ce total, a déclaré devant la presse le président Otto Perez au cours d'un déplacement dans la zone de San Marcos. Il a ajouté que 155 autres personnes avaient été blessées et 131 maisons détruites, les autorités débloquant 800 places d'hébergement d'urgence.

Des habitants de la région ont décrit des murs effondrés, pour certains sur des véhicules. Des routes ont également été coupées par des chutes de pierres, selon des témoins.

Le ministre de l'Energie, Erick Archila, a déclaré que le tremblement de terre avait provoqué des coupures d'électricité pour 73.000 foyers, soit dans la quasi totalité du département de San Marcos. Il a indiqué que le courant devrait être rétabli dans une dizaines d'heures.

Dans la ville de Guatemala, des dizaines de personnes se sont précipitées dans les rues dès les premières secousses, notamment dans le centre-ville où s'élèvent de nombreux gratte-ciel, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Au Salvador voisin, où des scènes de panique ont également été signalées, le président Mauricio Funes a ordonné l'évacuation de plages de l'ouest, en raison de risques de tsunamis localisés. "Nous ne parlons pas d'un tsunami de grande ampleur, mais d'effet locaux, c'est pourquoi les avertissements sont locaux", a expliqué Daysi Lopez, porte-parole de l'observatoire de l'environnement salvadorien.

Au Mexique, des immeubles et des écoles ont été évacués dans la capitale et dans les Etats du Chiapas et d'Oaxaca (sud-est), mais aucun dégât sérieux ni victime n'avait été enregistré dans l'après-midi, selon la direction de la protection civile. Comme à chaque secousse, la circulation du métro de Mexico a été suspendue et les passagers évacués.


LE POINT.FR 7/11/2012

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Deux séismes ont frappé le centre de la Birmanie ce dimanche 11 novembre 2012. Une troisième secousse a suivi quelques heures plus tard, lundi matin (heure locale). Les dégâts n'ont pas encore été complètement évalués mais on déplore déjà 13 morts et 40 blessés.

Ce dimanche 11 novembre 2012, deux séismes géographiquement proches se sont produits en Birmanie. Selon l'Institut américain de géophysique (USGS), le premier a frappé à l'aube, il était d'une magnitude de 6,8 sur l'échelle de Richter et son épicentre se situait à 10 kilomètres de profondeur, à une distance de 116 km au nord de Mandalay. Toujours selon l'USGS, le deuxième séisme qui s'est produit en fin de journée était de magnitude 5,8, et son épicentre a été enregistré à 86 km au nord-ouest de Mandalay.

Suite à ces deux premiers séismes, l'USGS a placé le centre de la Birmanie en alerte jaune, avant d'indiquer que "des victimes et des dégâts étaient possibles". Hormis la chute d'une grue, l'effondrement d'un pont en construction et quelques fissures dans les bâtiments de la ville, les autorités n'ont pas relevé de dégâts matériels considérables liés aux tremblements de terre. "Les informations disponibles à ce stade laissent entendre que le séisme n'a pas fait de dégâts graves" a signalé l'Ocha, en fin de journée dimanche. Les conséquences de ces deux séismes seraient donc légers selon les autorités locales mais l'ONG Save The Children a quant à elle alourdi le bilan. L'organisation a déjà déploré treize morts et une quarantaine de blessés - un triste recensement effectué sur quatre sites éparpillés autour de l'épicentre du premier séisme.

En fin de journée, l'ONG Save the Children prévoyait également "des risques de nouvelles secousses fortes". Et elle ne s'était pas trompée car un troisième séisme a frappé la Birmanie. De magnitude 5,6, le tremblement de terre s'est produit peu après minuit lundi matin (heure locale). Son épicentre se situait à une profondeur de 9 kilomètres, à 135 kilomètres au nord de la ville de Mandalay, dans le centre de la Birmanie.



MAXISCIENCES 11/11/2012

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THABEIKKYIN (Birmanie) - Les victimes d'un puissant séisme attendaient les secours lundi dans des villages du centre de la Birmanie, où au moins 13 personnes ont été tuées et des dizaines blessées, selon des travailleurs humanitaires.

Le tremblement de terre initial de magnitude 6,8 s'est produit dimanche au lever du jour à une centaine de kilomètres au nord de Mandalay, deuxième ville du pays. Et plusieurs autres secousses, dont une de 5,8, ont eu lieu depuis dans la région, entretenant la panique des habitants.

Une équipe de journalistes de l'AFP a pu atteindre la ville de Thabeikkyin, près de l'épicentre, où les communications étaient perturbées.

Les patients de l'hôpital étaient soignés sous des tentes de crainte que des répliques n'emportent les murs. Nous avons décidé de ne laisser personne à l'intérieur des bâtiments car les secousses sont continuelles, a expliqué un responsable local sous couvert de l'anonymat. Trois personnes sont mortes dans la zone, dont deux enfants qui se sont noyés après l'effondrement d'une berge, a-t-il précisé. Il était impossible de déterminer si ces victimes étaient déjà comptabilisées ou non dans les bilans officiels.

Je n'ai jamais senti un tel séisme de toute ma vie et tout le monde est terrifié, a indiqué Win Tint, chef d'un village de la commune de Sint Khu, très affectée par le séisme.

Aucune équipe de secours n'est arrivée jusqu'ici pour l'instant, a-t-il ajouté, indiquant qu'une quarantaine de bâtiments du village, dont le monastère, avaient été endommagés.

L'ONG Save The Children, qui a un bureau à Mandalay, avait annoncé dimanche un bilan de 13 morts et 40 blessés admis dans des hôpitaux. Une source officielle à Naypyidaw a fait état d'un bilan de sept morts, quatre disparus et des dizaines de blessés.

Selon le Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (OCHA), citant les autorités birmanes, les dommages sont surtout à déplorer le long du fleuve Irrawaddy. Il y a eu des dommages importants sur les maisons, infrastructures et bâtiments publics, y compris des écoles primaires et élémentaires, des monastères et des pagodes dans divers endroits, a indiqué l'agence onusienne dans un rapport publié lundi.

L'ONU s'est dit prête à soutenir le gouvernement pour porter secours aux sinistrés dans la mesure de ses possibilités, alors qu'elle est déjà engagée dans des efforts humanitaires importants dans l'ouest du pays où plus de 110.000 personnes ont été déplacées par des violences communautaires depuis juin.

Sans aucun doute, nos capacités sont soumises à rude épreuve, nos ressources sont soumises à rude épreuve, alors nous sommes limités en terme de stocks disponibles dans le pays, a déclaré lundi à l'AFP Ashok Nigam, patron de l'ONU en Birmanie.

Le pays est frappé occasionnellement par des secousses telluriques, notamment dans cette région traversée par la fracture de Sagaing, qui parcourt le centre du pays du nord au sud. En mars 2011, une secousse de 6,8 dans l'Etat Shan, près de la frontière avec la Thaïlande et le Laos, avait tué 75 personnes.


ROMANDIE.COM 12/11/2012

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Dimanche, à 16H15 heure locale, un séisme de magnitude 6,5 a ébranlé la côte pacifique du Guatemala, quatre jours après qu'une première secousse a fait quelque 50 morts et plus de 150 blessés.

La terre a de nouveau tremblé au Guatemala. Dimanche, une nouvelle secousse de magnitude évaluée à 6,5 s'est déclenchée sur la côte pacifique du pays. Selon l'Institut de géophysique américain (USGS), elle est survenue aux environs de 16h15 heure locale et son épicentre était situé à 30 kilomètres de Champerico pour une profondeur de 27 kilomètres.

Le séisme a été largement ressenti et a crée la panique parmi les habitants de la région déjà frappée le 7 novembre dernier par une secousse de magnitude 7,4. Ainsi, de nombreux résidents se sont précipités dans les rues pour fuir les bâtiments et les maisons dans plusieurs villes. Et la panique est encore montée avec les quatre répliques de magnitude variant entre 4,5 et 5 qui ont suivi. Néanmoins, ces secousses se sont révélées moins dévastatrices que celle survenue il y a quatre jours. Elle n'aurait fait qu'un blessé et pas de dégâts matériels majeurs d'après les autorités.

Selon le dernier bilan, le séisme du 7 novembre a fait 52 morts, 150 blessés et une vingtaine de disparus. Il a également dévasté plus de 8.000 habitations. Il s'agit du plus puissant séisme ressenti dans le pays depuis 36 ans.


MAXISCIENCES 12/11/2012

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RANGOUN - Le séisme qui a touché le centre de la Birmanie dimanche a fait 26 morts et 12 disparus, a indiqué mardi à l'AFP un responsable de la Croix-rouge birmane, multipliant par deux le précédent bilan alors que la région était encore l'objet de fortes secousses. Au total, 231 personnes ont été blessées, a ajouté Aung Kyaw Htut, secrétaire général adjoint de l'organisation en Birmanie.

Un tremblement de terre initial de magnitude 6,8 s'est produit dimanche au lever du jour à une centaine de kilomètres au nord de Mandalay, deuxième ville du pays. Et plusieurs autres secousses, dont une de 5,8, ont eu lieu depuis dans la région, entretenant la panique des habitants.

La dernière en date, mardi matin, a été recensée par l'Institut américain de géophysique (USGS) à une cinquantaine de kilomètres au sud de la capitale Naypyidaw, d'une magnitude de 4,8.

Aung Kyaw Htut, qui n'a pu préciser combien de personnes étaient sans abri depuis dimanche, a indiqué que plus de 250 maisons avaient été détruites et 22 hôpitaux, 137 édifices religieux, des dizaines de bâtiments officiels et 4 écoles endommagés. Nous fournissons des bâches à certaines des victimes qui doivent être hébergées dans des abris temporaires, a-t-il ajouté.

Le précédent bilan de l'ONG Save the Children faisait état de 13 morts et 40 blessés admis dans des hôpitaux. Un bilan officiel datant de dimanche, évoquait de son côté sept morts, quatre disparus et des dizaines de blessés.

Des journalistes de l'AFP ont pu lundi se rendre dans la ville de Thabeikkyin, près de l'épicentre, où les communications étaient perturbées. Les patients de l'hôpital étaient soignés sous des tentes de crainte que de nouvelles répliques.

Le président Thein Sein avait transmis lundi soir ses condoléances aux victimes de la catastrophe et promis que le gouvernement ferait de son mieux pour les secours et le relogement dans la zone, tout en coopérant avec toutes les organisations internationales.

L'ONU s'est de son côté dit prête à soutenir les opérations de secours aux sinistrés dans la mesure de ses possibilités, alors qu'elle est déjà engagée, depuis juin, dans des efforts humanitaires importants dans l'ouest du pays où plus de 110.000 personnes ont été déplacées par des violences communautaires.



ROMANDIE.COM 13/11/2012

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MEXICO - Un séisme d'une magnitude de 6 a touché le sud du Mexique jeudi matin, a annoncé l'institut de géophysique américain (USGS).

Aucune information faisant état de victimes ou de dommages n'était disponible dans l'immédiat après le séisme qui s'est produit à 03H20 (09H20 GMT) à 31 kilomètres à l'est de la ville d'Altamirano, dans le sud de l'état de Guerrero.

Le séisme d'une magnitude 6,3 selon le Service national de sismologie (SNS) mexicain, a obligé des milliers de personnes à quitter leurs logements.

Selon le maire de la ville de Mexico, Marcelo Ebrard, qui a annoncé la secousse ressentie dans sa ville via son compte Twitter. Il n'a pas fait état de victime ou de dommages.

Des hélicoptères ont survolé la ville de Mexico comme ils le font habituellement en pareil cas, pour évaluer les possibles dégâts sur les infrastructures routières et les immeubles.

L'épicentre du séisme se situe dans une zone géologique à l'origine des secousses qui se produisent dans le centre du pays tous les ans, selon le SNS. L'épicentre était situé à une profondeur de 60,9 km, selon l'USGS


ROMANDIE.COM 15/11/2012

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WASHINGTON - Un séisme de magnitude 7,7 s'est produit tôt samedi matin dans l'Océan pacifique, au large des côtes de l'Alaska, et a provoqué un tsunami potentiellement destructeur mais limité à ces côtes, ont annoncé les autorités américaines.

L'épicentre du séisme, qui s'est produit à 08H58 GMT, est situé à 102 km à l'ouest de la ville de Craig et à une profondeur de neuf kilomètres, a précisé le Centre américain de géophysique (USGS), ajoutant que ni dégâts ni victimes n'avaient été signalés dans l'immédiat.

Le Centre américain d'alerte aux tsunamis pour le Pacifique a toutefois annoncé de son côté que le séisme avait provoqué un tsunami potentiellement destructeur, mais qui n'a touché que la partie de la côte de l'Alaska la plus proche de l'épicentre.

Le niveau de la mer montre qu'un tsunami a été généré, et il peut avoir été destructeur pour les côtes les plus proches de l'épicentre, a-t-il précisé dans un communiqué. Il a ajouté qu'il n'y avait pas de menace de tsunami pour d'autres côtes du Pacifique, même si certaines pourraient voir des changements non destructeurs du niveau de la mer dans les heures qui viennent.

Les maisons ont tremblé à Juneau, la capitale de l'Etat, située à 330 km de l'épicentre du séisme, mais apparemment sans faire de dégâts, rapporte le journal local, le Juneau Empire.

Un séisme de même magnitude avait frappé en octobre les Iles canadiennes de la Reine Charlotte, non loin de l'épicentre du séisme de samedi. Il avait provoqué un petit tsunami qui avait atteint plus tard les côtes d'Hawaii, sans faire de dégâts.


ROMANDIE.COM 5/1/2013

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ROME - Un séisme d'une magnitude de 4,8 a touché vendredi après-midi le nord de la Toscane, dans la province de Lucques, a indiqué à l'AFP l'Institut de vulcanologie et géologie (INGV), sans faire de victimes ni de dégâts, selon les premières informations.

Un séisme d'une magnitude de 4,8 a touché la région de Garfagnana, près de la localité de Castelnuovo et l'épicentre est situé à environ 10 km de profondeur. Il y a eu plusieurs répliques plus faibles, a déclaré Claudio Chiarabba, un responsable de l'INGV. C'est une zone où le danger sismique est d'un niveau élevé, a-t-il ajouté.

Pour le moment nous n'avons aucune information faisant état de victimes ou de dégâts, a déclaré à l'AFP un porte-parole des pompiers de Lucques (Lucca en italien).

Le séisme, qui s'est produit vers 14H50 GMT, a été ressenti à Florence mais aussi dans la région voisine d'Emilie-Romagne et même dans le nord de l'Italie, à Milan, selon les médias italiens. Selon la protection civile d'Emilie-Romagne, aucun dégât n'a été signalé dans l'immédiat dans cette région non plus.

Deux hélicoptères ont été envoyés par ailleurs dans la zone touchée pour vérifier la présence d'éventuels conséquences de ce séisme.

La péninsule est souvent secouée par des tremblements de terre. Le dernier d'importance remonte à mai 2012 lorsque l'Emilie-Romagne (nord-est) avait été frappée à dix jours d'intervalle par deux violents séismes qui avaient fait au total 23 morts et poussé 14.000 personnes hors de chez elles.

Les Italiens ont en outre été particulièrement traumatisés par le séisme de l'Aquila (centre), le 6 avril 2009, qui avait fait plus de 300 morts et des dizaines de milliers de sans-abri.


ROMANDIE.COM 25/1/2013

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SANTIAGO DU CHILI - Un fort séisme de magnitude 6,7 sur l'échelle de Richter a secoué mercredi le centre nord du Chili, a annoncé l'Institut de sismologie de l'Université du Chili à Santiago, sans que les autorités ne fassent état de victimes.

Le tremblement de terre s'est produit à 17H15 heure locale (20H15 GMT) au nord-est de la ville de Vallenar, située à quelque 670 km au nord de la capitale Santiago.

Les secousses sismiques ont provoqué des interruptions dans l'alimentation électrique et dans les réseaux de communication de plusieurs villes des régions du centre et du nord du pays, selon l'institut. Elles ont duré plus d'une minute et ont été ressenties dans au moins cinq régions du centre nord du pays.

Le réseau des services d'urgence du Chili a signalé des bris de vitres de magasins à Copiapo et quelques dégâts sur des habitations à Vallenar.

Le séisme a causé des frayeurs dans la population jusqu'à la région d'Atacama, et dans les zones côtières les habitants sont sortis par crainte d'un tsunami, selon des médias locaux.

Mais le système d'alarme de la Marine nationale a prévenu que le séisme n'avait pas les caractéristiques susceptibles de provoquer un tsunami.


ROMANDIE 30/1/2013

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WASHINGTON - Un puissant séisme de magnitude 6 s'est produit au large des côtes de l'Alaska (Etats-Unis) jeudi, ont annoncé les autorités américaines, mais ni dégâts ni victimes n'ont été recensés dans l'immédiat.

L'épicentre du séisme est situé à 102 km de Craig, en Alaska, et à plus de 1.000 km de Vancouver, dans la province canadienne de Colombie-Britannique, a précisé le Centre américain de géophysique (USGS). Il n'existe aucun risque de tsunami, a précisé le Centre américain d'alerte au tsunami pour le Pacifique.

Un séisme au large de l'Alaska (de magnitude 7,5) s'était déjà produit début janvier dans la même région. Il avait provoqué localement un tsunami et secoué les maisons jusqu'à 330 kilomètre à la ronde, mais n'avait fait ni dégâts ni victimes.



ROMANDIE 31/1/2013

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WASHINGTON - Un violent séisme de magnitude 8,0 s'est produit mercredi au large des îles Salomon, dans le Pacifique, a indiqué le Centre américain de géophysique (USGS) et l'Institut du Pacifique a déclenché une alerte au tsunami.

La secousse s'est produite à 01H12 GMT entre les îles Salomon et le Vanuatu, au nord-est de l'Australie. L'hypocentre du séisme a été localisé à une profondeur de 33 km, à une soixantaine de kilomètres de l'île de Lata.


----->A suivre.


ROMANDIE 6/2/2013

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HONIARA - Un violent séisme de magnitude 8,0 s'est produit mercredi au large des îles Salomon, dans le Pacifique, générant un tsunami et détruisant, selon une source médicale, des villages côtiers, ont indiqué le Centre américain de géophysique (USGS) et l'Institut du Pacifique.

L'information dont nous disposons est que des villages à l'ouest et au sud de Lata le long de la côte auraient été détruits, même si nous ne pouvons pas encore le confirmer, a déclaré à l'AFP le directeur de l'hôpital de Lata, sur l'île principale de l'archipel des Santa Cruz, Ndende.

Le tremblement de terre s'est produit à 01H12 GMT entre les îles Salomon et le Vanuatu, au nord-est de l'Australie, près des îles Santa Cruz frappées par une série de fortes secousses ces derniers jours.

Des témoins ont toutefois indiqué ne pas l'avoir ressenti dans la capitale Honiara, à environ 580 km de l'épicentre.

L'hypocentre du séisme a été localisé à une profondeur de 5,8 km, à une soixantaine de kilomètres de l'île de Lata, selon l'USGS. Une réplique de 6,4 a été enregistrée.

Une alerte au tsunami a été déclenchée pour les îles du Pacifique dont les îles Salomon, la Nouvelle-Calédonie, la Papouasie-Nouvelle Guinée, les Fidji et Wallis-et-Futuna.


ROMANDIE 6/2/2013 - France Info 6/2/2013

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Mercredi, à 1H12 GMT, un violent séisme de magnitude 8,0 s'est déclenché au large des îles Salomon dans l'Océan Pacifique. La secousse a provoqué un tsunami qui a déferlé sur les côtes et aurait fait au moins 5 morts.

La terre a tremblé à plusieurs reprises mercredi dans l'Océan Pacifique au nord-est de l'Australie. Cette nuit, à 0H07 GMT, une première secousse de magnitude 6,3 s'est produite au large des îles Salomon. Or, si celle-ci était déjà puissante, elle a rapidement été suivie d'un second séisme qui s'est lui avéré plus destructeur. Ce tremblement de terre dont la magnitude a atteint 8,0 sur l'échelle de Richter s'est déclenché un peu plus d'une heure plus tard, à 1H12 GMT et à peu près au même endroit.

Selon l'Institut de géophysique américain, l'épicentre de cette seconde secousse était plus précisément situé au large des îles Santa Cruz, à une soixantaine de kilomètres de la ville de Lata et à une profondeur de 28,7 kilomètres. Certaines villes situées à des centaines de kilomètres de l'épicentre ont indiqué ne pas avoir ressenti le séisme. Au vu de ses caractéristiques, celui-ci a toutefois conduit à l'émission d'une alerte au tsunami pour les Salomon, le Vanuatu, Nauru, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Tuvalu, la Nouvelle-Calédonie, Kosrae, les Fidji, Kiribati, ainsi que Wallis et Futuna.

Le déclenchement de l'alerte a créé des scènes de paniques dans plusieurs villes et villages notamment au Fidji, où les sirènes ont retenti. "C'est le chaos à Suva, tout le monde tente d'échapper au tsunami!!", témoignait sur Twitter un internaute depuis la capitale de l'archipel.

Mais l'alerte s'est avérée justifiée puisque la secousse a rapidement généré un tsunami qui a déferlé sur les côtes du Pacifique. Une infirmière de l'hôpital de Lata aux Santa Cruz a confirmé à l'AFP le décès de cinq personnes après l'arrivée sur le littoral d'une vague mesurée à un peu plus de 90 centimètres par l'USGS. Mais il n'était pas possible dans l'immédiat d'attribuer les décès au séisme ou au tsunami. "Une des personnes décédées est un enfant de sexe masculin, les autres sont trois femmes âgées et un homme âgé", a déclaré l'infirmière Chris Rogers.

Le bilan pourrait néanmoins s'alourdir, le gouvernement ayant fait état de nombreux dégâts matériels. "Entre 60 et 70 maisons ont été endommagées par des vagues qui se sont abattues sur au moins quatre villages des Santa Cruz", a déclaré à l'AFP le porte-parole du Premier ministre Gordon Darcy Lilo. Il a également ajouté : "les autorités tentent toujours d'établir le nombre exact (de victimes) et l'étendue des dégâts. Les communications avec les Santa Cruz sont difficiles".

Interrogée par l'AFP, la secrétaire générale de la Croix-Rouge locale, Joanne Zoleveke, a pour sa part évoqué des "maisons emportées" par la mer, sans confirmation officielle. Mais selon un responsable de l'agence locale de gestion des catastrophes naturelles, c'est sur la province orientale de Temotu que se portent les principales inquiétudes : il s'agira de "la province la plus durement touchée si (le séisme) s'avère destructeur".

Selon le centre d'alerte aux tsunamis, une vague de 55 centimètres d'amplitude a été enregistrée dans la province Nord, à Hienghène, et de 48 cm sur l'île de Lifou en Nouvelle-Calédonie. Une vague plus petite de 18 cm a été observée au Vanuatu avant que l'alerte ne soit finalement levée à 3H45 GMT. Cette nuit, les secours ont donc commencé à s'affairer dans les zones sinistrées pour venir en aide aux habitants et évaluer les dégâts provoqués par le séisme et le tsunami. A 6H35 GMT, le séisme avait déjà été suivi de trois répliques de magnitudes 6,4, 6,6 et 6,3.

Les îles Salomon, constituées de 992 îles et îlots, sont situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, où se heurtent des plaques tectoniques provoquant une intense activité sismique et volcanique. En 2007, un tsunami consécutif à un séisme de magnitude 8,1 y avait fait au moins 52 morts et des milliers de sans-abris. Deux ans plus tard, le 29 septembre 2009, la région avait de nouveau été frappée par un puissant séisme suivi d'un tsunami dévastateur, qui avait fait 186 morts aux Samoa et à Tonga.


MAXISCIENCES 6/1/2013

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HONIARA - Un séisme de magnitude 7,1 s'est produit vendredi au large des îles Salomon, deux jours après un puissant tremblement de terre suivi d'un tsunami qui a fait au moins 13 morts et dévasté des villages côtiers de cet archipel du Pacifique, a indiqué le Centre américain de géophysique (USGS).

Cette fois-ci, il n'y a pas de risque de voir se propager un tsunami destructeur, a assuré immédiatement le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique.

Le séisme a frappé vendredi à 11H12 GMT près des côtes des îles Santa Cruz, qui appartiennent aux Salomon, à une profondeur de 9 km, selon l'USGS.

Vendredi, plusieurs répliques avaient déjà freiné les secours aux îles Salomon après le violent séisme de magnitude 8, suivi d'un tsunami, qui avait secoué l'archipel mercredi, faisant au moins treize morts et de nombreux disparus.

Jusqu'à 20 villages ont été rayés de la carte par la vague qui avait pénétré jusqu'à 500 mètres à l'intérieur des terres et 6.000 personnes sont sans abri sur Ndende, l'une des innombrables îles de cet archipel situées au niveau de la mer, avec un relief modéré, et menacées par la montée des océans.

Il n'y a pas de menace de vaste tsunami destructeur si on se fonde sur l'historique des séisme et des tsunamis dans la région, a expliqué à propos de celui de vendredi le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique. Toutefois, des tremblements de terre de cette magnitude génèrent parfois des tsunamis localement qui peuvent s'avérer destructeurs sur des côtes situées à moins de 100 km de leur épicentre, a ajouté l'institut.

La zone avait déjà été secouée par de nombreuses répliques depuis le séisme de mercredi. Dans la nuit de jeudi à vendredi, l'une d'elle, de magnitude de 6,6, avait endommagé l'aéroport de l'île de Ndende où des dizaines de maisons ont été emportées mercredi par le tsunami.

Nous avons d'abord pensé que ce serait assez limité mais il semble désormais que les dégâts soient très importants, avait déclaré dans la nuit à l'AFP Sipuru Rove, porte-parole de l'agence de gestion des catastrophes naturelles des Salomon.

Nous pourrions avoir besoin d'aide extérieure, a-t-il ajouté alors que l'Australie a déjà commencé à mobiliser des moyens financiers et matériels.

Treize personnes ont péri dans le séisme ou le tsunami de mercredi, selon le dernier bilan provisoire du gouvernement local, et un grand nombre d'autres sont portées disparues, a précisé le chef de la diplomatie australienne Bob Carr.

Les répliques empêchent les villageois de revenir chez eux afin de sauver ce qui peut l'être, et perturbent fortement l'acheminement de l'aide d'urgence. Ils descendent au village mais dès qu'il y a une réplique, ils s'empressent de regagner les collines par peur d'un autre tsunami, expliquait Sipuru Rove.

Le pilote de l'avion transportant le Premier ministre des Salomon, Gordon Lilo, avait dû renoncer à se poser sur Ndende, les autorités craignant une détérioration de la piste après une réplique survenue alors que l'appareil était en vol.

Des équipes médicales et du matériel d'urgence (tentes, eau fraîche, colis alimentaires et vêtements) sont parties par bateau de la capitale Honiara jeudi et devaient arriver vendredi soir ou samedi. Le tremblement de terre de mercredi avait déclenché des vagues jusqu'à un mètre, qui ont atteint une partie du rivage des Salomon, du Vanuatu et de la Nouvelle-Calédonie, avant que l'alerte au tsunami ne soit levée deux heures et demi après le séisme.

En 2007, un tsunami consécutif à un séisme de magnitude 8,1 avait fait au moins 52 morts et des milliers de sans-abri aux îles Salomon.

L'archipel fait partie de la ceinture de feu du Pacifique, où l'activité tectonique est particulièrement fréquente et forte.


ROMANDIE 8/2/2013

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La terre a tremblé en Colombie et le séisme s'est fait ressentir jusqu'en Équateur. D'un magnitude de 6,8 sur l’échelle de Richter, ce dernier n'a causé ni dégâts ni fait de morts ou de blessés. Le risque de réplique est minime et aucune alerte au tsunami n'a été lancée.

La Colombie et l’Équateur ont été touchés par un séisme de magnitude 6,8 à 9h16 heure locale (15h16 heure de Paris). Les premiers bilans ne font état d’aucune victime pour ce tremblement de terre dont l’épicentre était situé à 3 km de la ville d’Ospina dans la province colombienne de Nariño, frontalière avec Équateur.

Selon une information relayée par l’AFP, Jaime Raigosa, coordinateur au sein de l'institut colombien de géologie et des mines, a expliqué à la radio colombienne qu’il pourrait ne pas y avoir de répliques car le séisme a eu lieu à grande profondeur. 186 km sous le niveau de la mer pour être exact. Aucune alerte au tsunami n’a été émise par les autorités colombiennes et ce risque a également été exclu par le Centre américain d'alerte au Tsunami situé à Hawaï.

Que ce soit à Quito ou à Bogotá, le séisme a bien été ressenti dans les capitales équatoriennes et colombiennes mais n’a fait ni dégâts ni blessés. Les habitants ont néanmoins quitté certains immeubles pour plus de précaution.


MAXISCIENCES 9/2/2013

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Le premier ministre des îles Salomon appelle la communauté internationale à aider à reconstruire le pays après le tremblement de terre et le tsunami de la semaine dernière.

Le premier ministre Gordon Lilo a lancé cet appel lors d'une interview accordée à la NHK samedi, après avoir effectué une tournée d'inspection dans l'île de Nendo, la plus touchée.

Il a déclaré que le tsunami avait balayé de nombreuses maisons et que des secours d'urgence étaient nécessaires, notamment de la nourriture et de l'eau.

Selon le gouvernement, au moins neuf personnes auraient péri dans le tsunami consécutif au séisme de magnitude 8 qui s'est produit mercredi au large de l'île de Nendo à l'est des îles Salomon.


NHK 9/2/2013

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Après le séisme de mercredi, les iles Salomon ont été à nouveau secouées par une réplique. D'une magnitude de 6,5, elle ne devrait pas provoquer de tsunami dangereux. Le bilan total du tremblement de terre a été rabaissé à 10 morts.

Les Iles Salomon ont été touchées encore une fois. Une réplique de magnitude 6,5 a fait trembler l’archipel dimanche matin à 8h02 (22h02 heure de Paris), soit quatre jour après le séisme initial de magnitude 8 et le tsunami qui ont fait dix morts et 3000 sans-abris. Le dernier bilan était de 13 morts mais il a été revu à la baisse.


"Pour le moment, nous ne savons pas si nous en sommes encore à l'étape des secours d'urgence", a déclaré à l'AFP Joanne Zoleveke, la secrétaire générale de la Croix-Rouge pour les Salomon. Deux bateaux de secours et de ravitaillement ont été envoyés à Lata, la ville principale des iles Santa Cruz. Les communications sont difficiles entre les 992 iles dispersées de l’archipel et le gouvernement a du mal à évaluer les besoins de chacune d’entre elles.



L’épicentre de la réplique se situe seulement à 29 kilomètres de Lata, à 18 kilomètres de profondeur. Selon le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique il ne devrait pas y avoir de tsunami notable. L’Australie a donné 193 000 euros à la Croix-Rouge présente sur place et son ministre des affaires étrangères Bob Carr s’y est rendu.




MAXISCIENCES 10/2/2013

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HONIARA - Une troisième réplique de magnitude 6,3 a secoué aux premières heures de lundi les îles Salomon dans l'océan Pacifique, alors que les secours n'arrivaient pas encore à évaluer l'ampleur des dégats du premier séisme de magnitude 8 il y a cinq jours suivi d'un tsunami.

L'épicentre de la nouvelle réplique s'est située à 51 km au sud-ouest de Lata, ville principale de l'île de Santa Cruz, et à une profondeur de 35 km.

La seconde réplique de magnitude 6,5 avait été enregistrée dimanche matin au large des îles Salomon, quatre jours après un violent séisme suivi d'un tsunami ayant fait au moins dix morts et des milliers de sans-abris.

Un bilan précédent avait fait état d'au moins 13 morts mais il a été revu à dix, dont un enfant retrouvé mort dans un fossé sur une des îles isolées des Santa Cruz, qui font partie de l'archipel.

Selon le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique la seconde réplique ne risquait pas de déclencher un raz-de-marée de grande ampleur;

Quelque 3.000 personnes sont toujours sans-abri, leurs maisons ayant été détruites par les secousses ou le tsunami. Des responsables des autorités à Honiara, la capitale des Salomon, ont indiqué n'avoir toujours pas une évaluation précise des dégâts sur les Santa Cruz. Deux bateaux chargés de vivres et de secours sont arrivés à Lata.

Pour le moment, nous ne savons pas si nous en sommes encore à l'étape des secours d'urgence, a déclaré à l'AFP Joanne Zoleveke, la secrétaire générale de la Croix-Rouge pour les Salomon.

Nous ne savons pas si ce que nous avons envoyé est suffisant ou s'ils ont besoin de plus, et si nous devons faire partir plus de bateaux. On ne peut pas prendre de décision avant d'avoir reçu des évaluations plus précises depuis Lata mais les comunications sont fréquemment interrompues.

La dernière puissante secousse, de magnitude 6,5, a eu lieu dimanche matin à 08H02 (samedi 21H02 GMT), a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS). Elle ne risque pas de déclencher un raz-de-marée de grande ampleur, selon le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique.

L'épicentre de la réplique a été situé par l'USGS à une profondeur de 18 kilomètres, à 29 kilomètres au sud-ouest de Lata, la grande ville de l'île de Ndende, des Santa Cruz.

Le gouvernement des Salomon a décrété la région des Santa Cruz zone de catastrophe. Des images aériennes indiquent que les dégâts se situent notamment sur la région de Lata. L'Australie, qui a alloué 250.000 dollars australiens (193.000 euros) à la Croix-Rouge de l'archipel, a promis dimanche d'accroître son aide. Le ministre australien des Affaires étrangères Bob Carr s'est rendu dans l'archipel.

Les Salomon sont situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, où se heurtent des plaques tectoniques provoquant une intense activité sismique et volcanique.

Constitué de 992 îles et îlots, cet archipel du Commonwealth compte un peu moins de 600.000 habitants vivant essentiellement de la pêche, de l'extraction minière et de l'exploitation forestière.


ROMANDIE 10/2/2013

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Un tremblement de terre d'une magnitude de 5,7 a secoué le centre du Chili dimanche, sans faire de blessés ni de dégâts importants.

Le séisme s'est produit à 35 km au sud-ouest de Valparaiso à une profondeur de 35 km, a indiqué l'USGS, institut géologique américain. Une réplique de magnitude 5 a été enregistrée dans la même zone à une profondeur de 24 km.

Les séismes sont très fréquents au Chili. Le centre-sud du pays avait été dévasté par une secousse très puissante suivie de tsunamis début 2010.


LE FIGARO 10/2/2013

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Plusieurs séismes sont survenus mercredi 13 février le long des côtes à la frontière du Nevada et de San Francisco, le plus fort se situait tout de même à une magnitude de 5,1/

Selon le rapport, les répliques se poursuivent à une fréquence élevée. La dernière était de magnitude 4. Tous les épicentres sont concentrés dans une même zone étroite.

En ce qui concerne Mammoth Mountain (connu pour son champ volcanique et les tremblements de terre au Nevada), Rodger Wilson (auteur des rapports quotidiens) est convaincu que cet essaim (en fait une séquence de répliques) n'est pas directement lié (apparemment du moins) l'activité magmatique de la région de Long Valley.

En ce qui concerne le Basin and Range, ou beaucoup de sismicité a été relevée, ce secteur ne "contient" pas de magma ou, du moins de mouvements de fluides magmatiques en profondeur. les épicentres étant peu profonds, la relation avec l'activité volcanique n'est pas corrélée.

Bien que la faible ampleur des séismes (hormis pour celui de 5,1) des gens ont signalé avoir ressenti certains des séismes (plus d'une vingtaine aujourd'hui) dans un rayonnement plus grand que défini en pareil cas.

Le séisme le plus fort: 5,1 est survenu à 16h10 locales 12.7km de profondeur, latitude 38.028 ° N ° 118,052 W pas très loin de Tenopah (72km).

CLIQUEZ ICI pour lire toutes les informations.


EARTHQUAKE REPORT 13/2/2013 - USGS 13/2/2013

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Un séisme de magnitude 4,8 dont l'épicentre se situait à 90 km au sud-est de la ville de Rome s'est produit samedi soir en Italie, a rapporté l'Institut national de géophysique et de vulcanologie. Il n'y aurait ni blessés ni dégâts, selon le premier bilan.

Ce tremblement de terre a été ressenti de Rome à Naples et dans les Abruzzes. Des immeubles ont tremblé et une certaine panique s'est emparée de la région des Abruzzes. Quelques maisons ont été légèrement endommagées.

L'épicentre du séisme a été localisé à Frosinone, à mi-chemin entre Rome et Naples, à une profondeur de 10,7 kilomètres, a indiqué l'Institut italien de géophysique.

Les services d'urgence ont été assaillis d'appels d'habitants de la région des Abruzzes, où un autre séisme, d'une magnitude de 6,3 cette fois, avait détruit en 2009 la ville médiévale de L'Aquila, faisant 309 morts.


ROMANDIE 17/2/2013

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Un séisme d'une magnitude de 5,6 s'est produit mercredi après-midi dans l'Etat mexicain de Colima et a été ressenti jusqu'à Mexico, bien que de manière modérée, a annoncé le service mexicain de sismologie (SSN).

Le séisme s'est produit à 15H23 locales (21H23 GMT) et son épicentre a été localisé près de la ville d'Armeria, dans l'Etat de Colima, selon le site internet du SSN.

Les autorités de la ville de Colima (482 km à l'ouest de Mexico), pas plus que celles de Guadalajara ou de la capitale n'ont fait état de victimes ou de dégâts.


LE POINT 21/2/2013

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MOSCOU - Un séisme de magnitude 6,9 a été enregistré jeudi dans le Pacifique à l'est de la Russie et ressenti jusque dans la péninsule du Kamtchatka en Extrême-Orient russe, sans faire ni victimes ni dégâts, selon un premier bilan.

Le séisme a été enregistré à 14H05 GMT au large des îles Kouriles, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS). L'épicentre du tremblement de terre se situe à 52,5 km de profondeur dans le Pacifique et à environ 2.200 km de Tokyo, précise l'USGS.

Des secousses d'une magnitude 5 ont été ressenties à Petropavlovsk-Kamtchatski, le chef-lieu de la péninsule du Kamtchatka, mais il n'a fait ni victimes ni dégâts, a indiqué pour sa part un porte-parole de la station sismique Petropavlovskaïa, cité par l'agence Interfax. Par ailleurs, aucune alerte au tsunami n'a été lancée, selon cette source.

Les Kouriles, archipel qui s'étend de l'extrême Nord du Japon à la péninsule du Kamtchatka, sont des îles volcaniques situées au point de rencontre de la plaque du Pacifique avec celle d'Okhotsk, qui elle-même fait partie de la plaque nord-américaine, souligne l'USGS.

[b]L'archipel russe, qui sépare la mer d'Okhotsk et l'océan Pacifique, est l'une des régions les plus exposées aux séismes dans le monde, observe le centre américain.[/b]

Depuis 1900, sept séismes de grande ampleur --d'une magnitude supérieure ou égale à 8,3-- sont survenus le long de cet archipel.



ROMANDIE 28/2/2013

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SYDNEY - Un puissant séisme de magnitude 6,7 a secoué lundi la Papouasie-Nouvelle-Guinée, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS), sans décréter d'alerte au tsunami et les sismologues estiment que les dégâts devraient être limités.

La secousse s'est produite à 44 km de Finschhafen et à 320 km de la capitale Port Moresby à une profondeur de 84 km selon l'USGS. Il n'y a pas de menace de tsunami destructeur, a-t-on déclaré au Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique.

Des séismes d'une telle magnitude sont courants en Papouasie-Nouvelle-Guinée, un pays pauvre situé sur la Ceinture de feu du Pacifique, et où se heurtent des plaques tectoniques provoquant une intense activité sismique et volcanique. Geoscience Australia, l'agence scientifique australienne chargée de surveiller les mouvements tectoniques dans la région, a estimé la profondeur de l'hypocentre à une cinquantaine de km, ce qui rend la secousse trop profonde pour provoquer un tsunami.

Le séisme ne devrait pas avoir causé de dégâts car c'était trop profond et trop loin des côtes, a déclaré à l'AFP le sismologue Mark Leonard. Il se sera fait sentir mais il n'était pas assez fort pour provoquer l'effondrement de bâtiments, a-t-il ajouté. Des séismes de cette taille sont la routine en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

En 1998, un tsunami géant avait fait plus de 2.000 morts près d'Aitape, sur la côte nord-ouest du pays.


ROMANDIE 11/3/2013

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WASHINGTON - Un séisme de magnitude 6,2 a secoué lundi en fin d'après-midi le Guatemala, a alerté le Centre américain de géophysique (USGS).

La secousse s'est produite à 17H02 (23H02 GMT) tout près de la capitale Guatemala City, à une dizaine de kilomètres au sud-est du centre ville, et à une profondeur d'environ 200 kilomètres, a précisé l'USGS. On ne sait pas encore s'il y a des blessés ou des dégâts.

La secousse a également été ressentie au Salvador voisin, où aucune victime n'a été rapportée.

Le Guatemala est un pays d'Amérique centrale situé sur une zone tectonique complexe, avec pas moins de quatre plaques majeures à proximité. Il a déjà été touché par de puissants séismes par le passé. Le principal, d'une magnitude de 7,5, avait fait plus de 23.000 morts le 4 février 1976.


ROMANDIE 26/3/2013

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TAIPEI - Un puissant séisme a fait trembler des immeubles dans la capitale taïwanaise, Taipei, mercredi et a été ressenti sur tout le territoire, faisant au moins un mort et dix-neuf blessés, selon des journalistes de l'AFP et des agences gouvernementales.

La secousse survenue à 10H03 (02H03 GMT) a été mesurée par le Centre américain de géophysique (USGS) à 6,0 de magnitude. Son épicentre se situait à 48 kilomètres à l'est de Nantou (centre) et à 20,7 kilomètres de profondeur.

L'agence météorologique nationale l'a estimée à 6,1 de magnitude et indiqué qu'il s'agissait du plus puissant depuis le début de l'année. Cinq répliques de faible magnitude ont suivi.

Selon les pompiers, une femme de 72 ans a été écrasée par un mur qui s'est effondré dans un temple de Nantou. Au moins dix-neuf personnes ont été légèrement blessés à Nantou et dans les comtés limitrophes de Changhua et Taichung. Le séisme a également provoqué un incendie qui a été rapidement maîtrisé.

La circulation du métro à Taipei a été interrompue et tous les trains à grande vitesse du pays ont été immobilisés en attendant l'inspection du réseau ferré.

J'ai eu peur et j'étais nerveux parce que le séisme m'a rappelé le tremblement de terre meurtrier du 21 septembre 1999, a confié à l'AFP Chen Shao-sheng, un employé de l'hôpital privé de Nantou. Le comté de Nantou avait été l'épicentre en septembre 1999 d'un tremblement de terre de magnitude 7,6 qui avait fait 2.400 morts, la catastrophe naturelle la plus meurtrière de l'histoire récente de l'île.

Taïwan, situé à la jonction de deux plaques tectoniques, est régulièrement frappé par des séismes. Début mars, un séisme de magnitude 5,6 avait également secoué des bâtiments à Taipei, sans faire ni victimes ni dégâts matériels.


ROMANDIE 27/3/2013

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MADRID - Un séisme de magnitude 4,6 a secoué mercredi l'île volcanique d'El Hierro, dans l'archipel espagnol des Canaries, théâtre depuis une dizaine de jours d'un regain d'activité sismique qui a contraint le gouvernement régional à décréter dans la soirée plusieurs mesures de précaution.

Depuis mercredi matin, une centaine de secousses ont été enregistrées dont la plus forte, de magnitude 4,6, est survenue à 15H07 GMT. L'épicentre du séisme était situé dans l'Atlantique, à l'ouest de l'île d'El Hierro et à 19 kilomètres de profondeur, a précisé l'Institut géographique national(IGN). C'est dans ce secteur que des centaines de secousses, associées à une activité volcanique sous-marine, ont été enregistrées depuis le 18 mars.

Face à ce regain d'activité, le gouvernement régional des Canaries a décrété mercredi soir plusieurs mesures de protection des habitants de l'ouest de l'île, la zone où la probabilité que l'activité sismique ait un impact est la plus grande, explique-t-il dans un communiqué. Les autorités ont d'une part élevé le niveau d'alerte dans cette zone, jusqu'au niveau intermédiaire, jaune, sur une échelle de trois.

Cet échelon implique qu'il faut se préparer à une évolution défavorable du phénomène et, plus important encore, qu'il faut être attentif aux messages officiels de prévention et de prudence qui seront spécifiquement adressés aux zones à risques, explique le gouvernement. D'autre part, les autorités ont fermé deux tronçons de route et la voie la plus proche de la paroi d'un tunnel de cette zone.

Pendant l'été et l'automne 2011, des milliers de secousses, la plupart très faibles, avaient secoué la petite île espagnole, perchée dans l'Atlantique sur un ancien volcan sous-marin et peuplée de 10.000 habitants. Le 10 octobre 2011, une éruption volcanique sous-marine s'était produite à cinq kilomètres de ses côtes, deux jours après une secousse de magnitude 4,3.

Pendant des mois, l'île de 287 kilomètres carrés, la plus à l'ouest de l'archipel des Canaries, avait vécu au rythme de cette intense activité sismique, surveillée avec inquiétude par les équipes de vulcanologues et par les habitants dont des centaines avaient dû être évacués.



ROMANDIE 28/3/2013

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MANILLE - Un tremblement de terre de moyenne intensité a fait trembler jeudi les immeubles dans la capitale des Philippines Manille, ont indiqué à l'AFP des sismologues, estimant que ce séisme qualifié de modéré ne provoquerait pas de dégâts significatifs à Manille.

Le séisme de magnitude 5,4 s'est produit dans le nord rural de l'archipel, a précisé le chef de l'Institut philippin de vulcanologie, Renato Solidum. Selon le Centre américain de géophysique (USGS), le séisme de magnitude 5,3 est survenu à 10H27 (02H27 GMT) à 158 kilomètres au nord-est de la capitale, à une profondeur de 38 kilomètres.

Eunice Fernando, employée au Manila Hotel, a raconté que le palace avait été secoué mais que les clients n'avaient pas paniqué. Les lustres se sont mis à se balancer en cliquetant, nous avons eu un peu peur, a-t-elle dit à l'AFP.

Les Philippines sont situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, où se heurtent des plaques tectoniques provoquant une intense activité sismique et volcanique.

En août l'an dernier, un tremblement de terre de 7,6 degrés de magnitude avait secoué la côte orientale du pays entraînant une alerte au tsunami qui avait contraint plus de 130.000 habitants à quitter leurs domiciles et provoqué un glissement de terrain ayant causé la mort d'une personne.


ROMANDIE 4/4/2013

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WASHINGTON - Un puissant séisme de magnitude 6,2 s'est produit vendredi à 13H00 GMT à l'est de la Russie et à proximité de la frontière avec la Chine et la Corée du Nord, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS).

L'épicentre du tremblement de terre, d'une profondeur de 561 kilomètres, est situé au sud-ouest de Vladivostok, à 9 kilomètres au nord de la ville de Zarubino en Russie, selon l'USGS. Il se trouve également à 63 km de Hunchun en Chine et 608 km au nord-est de la capitale nord-coréenne Pyongyang, a précisé l'institut américain.

Aucun blessé ni dégât dû à ce séisme, qui a frappé dans la nuit de vendredi à samedi en heure locale, n'avait été rapporté dans l'immédiat.

Un séisme de magnitude 6,1 avait été enregistré le mois dernier à l'extrême est de la Russie. Un autre plus puissant de magnitude 6,9 s'était également produit en février dans le Pacifique à l'est de la Russie, et ressenti jusque dans la péninsule du Kamtchatka en Extrême-Orient russe, sans faire ni victimes ni dégâts.

L'archipel russe, qui sépare la mer d'Okhotsk et l'océan Pacifique, est l'une des régions les plus exposées aux séismes dans le monde, selon le centre américain.

Depuis 1900, sept séismes de grande ampleur --d'une magnitude supérieure ou égale à 8,3-- sont survenus le long de cet archipel.


ROMANDIE 5/4/2013

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Un séisme de magnitude 7,1 a frappé samedi la province indonésienne de Papouasie, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS), provoquant un mouvement de panique dans la population mais pas de victime dans l'immédiat. La secousse n'a entraîné aucun tsunami, a précisé le centre d'alerte de tsunami du Pacifique.

"Le séisme a eu lieu sur terre, il n'y a pas de menace de tsunami", a aussi déclaré un responsable de l'agence de météorologie, climatologie et géophysique du pays, précisant: "nous n'avons reçu aucune information sur des dégâts".

Le tremblement de terre a secoué la province à 13h42 (heure locale) à une profondeur de 75 kilomètres, à 272 kilomètres ouest-sud ouest de la capitale de la province Jayapura, a précisé l'USGS. Localement, le séisme a été évalué à une magnitude de 7,2.

Certains habitants de la capitale se sont précipités dans les rues. "Je me suis précipité dans les escaliers pour sortir aussi vite que j'ai pu, craignant l'effondrement de l'immeuble", a raconté une jeune femme qui participait à une réunion au premier étage d'un hôtel de Jayapura lorsqu'elle a ressenti "une forte secousse".

"Les lampes, les tables et les chaises se sont mises à trembler. Dans la panique, les gens ont poussé des cris pour faire sortir les autres de l'hôtel", a-t-elle ajouté. Suharjono, de l'agence locale de météo a expliqué que le séisme avait été fortement ressenti dans la ville de Mulia, dans le district de Puncak Jaya.

ROMANDIE 6/4/2013

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Mardi après-midi, un séisme de magnitude 6,1 a frappé le sud de l'Iran. Selon un premier bilan, la secousse aurait fait au moins 30 morts et des centaines de blessés. "Je regardais la télévision quand tout l'immeuble s'est mis à trembler. On a eu très peur", raconte un habitant d'Abou Dhabi à l'AFP. "Nous avons ressenti une légère secousse à Dubaï il y a un moment. Les lustres tremblaient", a raconté de son côté un habitant de Dubaï sur Twitter. Moins de quatre heures après le séisme de magnitude 6,1 qui a frappé le sud de l'Iran, les autorités locales ont fait part d'un nouveau bilan.

Alors qu'aucune victime n'avait été immédiatement rapportée, ce bilan fait désormais état d'au moins 30 morts et de centaines de blessés. "Sur la base des derniers chiffres, 30 de nos concitoyens ont été tués", a déclaré à la télévision Fereydoun Hasanvand, faisant état également de plus de 800 blessés suite au tremblement de terre, dont l'épicentre se situe dans la localité de Kaki (12.000 habitants), à 89 km au sud-est de la ville côtière de Bandar Bouchehr.

Les forces de sécurité et des équipes de secours ont été déployées et des tentes, des couvertures et de la nourriture ont été distribuées, mais le chef du Croissant-Rouge iranien, Mahmoud Mozafar, a dit craindre que le bilan s'alourdisse, rapporte l'AFP. "Il est probable qu'il y ait des dégâts, étant donné que la zone touchée est rurale", a-t-il ainsi expliqué aux médias, notant des dégâts majeurs et un village détruit à 100% dans la zone de Khormoj.

La secousse qui a eu lieu à 16H22 heure locale, a été ressentie dans plusieurs villes de la région et dans les monarchies arabes du Golfe proches de l'Iran, notamment les Emirats arabes unis, Bahreïn, le Qatar et le Koweït provoquant la panique dans certaines tours de bureaux, selon des témoins. Les médias locaux ont rapporté que plusieurs tours avaient été évacuées à Dubaï. "Tout le bureau a tremblé. On a eu peur", a raconté pour sa part un employé travaillant dans une tour de la capitale koweïtienne.

Selon la télévision, l'électricité et les communications téléphoniques ont été coupées dans le secteur touché où près d'une quinzaine de répliques ont été enregistrées. La plus forte a été mesurée à 5,3 de magnitude.

Toutefois, l'unique centrale nucléaire du pays n'a semble t-il pas été touchée, si l'on en croit les autorités. "Aucun dégât n'a été enregistré à la centrale nucléaire de Bouchehr", a déclaré le gouverneur de la province de Bouchehr, Fereydoun Hasanvand. L'ingénieur en chef de la centrale, Mahmoud Jafari, a également assuré qu'il n'y avait eu aucune rupture dans les protocoles opérationnels ou de sécurité.

Mais le bilan matériel comme humain est susceptible de s'alourdir d'heure en heure au fur et à mesure que les secours s'affairent dans les zones sinistrées.



MAXISCIENCES 9/4/2013

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TEHERAN - Un puissant séisme de magnitude 6,1 a frappé mardi le sud de l'Iran, à une centaine de kilomètres de la ville de Bouchehr où est construite la seule centrale nucléaire iranienne, a annoncé le Centre sismique iranien.

[...]L''épicentre est situé à Kaki, à 89 km au sud-est de la ville côtière de Bandar Bouchehr, selon l'Institut iranien. Le séisme a eu lieu à 16h22 (locales, 11H52 GMT), selon le Centre américain de géophysique (USGS) qui a estimé sa magnitude à 6,3.

L'Iran est situé sur plusieurs failles sismiques importantes et a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs.

Le séisme le plus meurtrier ces dernières années a tué 31.000 personnes, soit un quart de la population, dans la ville de Bam (sud) en décembre 2003. En août 2012, deux secousses de magnitude 6,3 et 6,4 avaient fait 306 morts et plus de 3.000 blessés, près de la ville de Tabriz (nord-ouest).

ROMANDIE 9/4/2013

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Le puissant séisme qui a frappé mardi une zone rurale du sud de l'Iran a fait 37 tués, 860 blessés et de nombreux dégâts, selon un bilan fourni mercredi par les autorités. Elles ont mis fin aux opérations de sauvetage.

La centrale nucléaire de Bouchehr, à une centaine de kilomètres au nord de l'impact, n'a pas été touchée, ont confirmé le responsable du programme nucléaire iranien et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Les opérations de sauvetage ont pris fin car plus personne ne se trouve sous les décombres, a de son côté annoncé le chef du Croissant-rouge iranien, Mahmoud Mozafar. Au total, vingt survivants bloqués sous les gravats ont été secourus alors que près de 800 maisons ont été détruites par le séisme, selon l'agence FARS.

D'une magnitude de 6,1 sur l'échelle ouverte de Richter, l'épicentre du séisme se trouvait à 89 km au sud-est de la ville côtière de Bandar Bouchehr. La secousse a également été ressentie dans plusieurs pays du golfe Persique.

Les forces de sécurité et des équipes de secours ont été déployées et un millier de tentes montées, a indiqué Mahmoud Mozafar. Des couvertures et de la nourriture ont également été distribuées. Près d'une quinzaine de répliques ont été enregistrées, la plus forte ayant été mesurée à 5,3 de magnitude.

L'Iran se trouve sur plusieurs failles sismiques importantes et a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs.

ROMANDIE 10/4/2013

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SYDNEY - Un séisme de magnitude 6,6 s'est produit dimanche en Papouasie-Nouvelle-Guinée, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS), sans décréter d'alerte au tsunami.

L'USGS a révisé en légère baisse sa première estimation, qui était de 6,7 points.

Le tremblement de terre a eu lieu à 105 km à l'ouest de Panguna, à une profondeur de 64 km, a ajouté le Centre, qui a là aussi révisé ses premiers chiffres. Panguna est une ville sur l'île de Bougainville, qui est située à l'est de l'île principale.

Des séismes d'une telle magnitude sont courants en Papouasie-Nouvelle-Guinée, un pays pauvre situé sur la Ceinture de feu du Pacifique, et où se heurtent des plaques tectoniques provoquant une intense activité sismique et volcanique.

En 1998, un tsunami géant avait fait plus de 2.000 morts près d'Aitape, sur la côte nord-ouest du pays.

ROMANDIE 14/4/2013

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L'information vient tout juste d'être diffusée à travers les médias, sans plus de précision pour l'instant... Dans un premier temps annoncé étant d'une magnitude de 8 puis de 7,8. Il a été ressenti, entre autres, en Inde et au Pakistan.

Un séisme de 7,5 de magnitude a frappé mardi le sud-est de l'Iran, a annoncé le centre iranien de sismologie, une semaine après un précédent tremblement de terre qui a fait près de 40 morts dans le sud-ouest du pays. Toutefois, l'Institut d'études géologiques des États-Unis (USGS) annonce un séisme de magnitude 7,8.

L'épicentre du séisme est situé à 80 km au nord de la ville de Saravan, près de la frontière avec le Pakistan, a ajouté le centre de sismologie. Les médias iraniens n'ont pas fait état de victime dans l'immédiat. Mais 5 équipes de secours ont été envoyées des villes de Saravan et Khash pour évaluer les dégâts, selon le chef du Croissant-rouge iranien Mahmoud Mozafar, cité par l'agence Isna.

Le séisme s'est produit à une profondeur de 15,2 kilomètres, précise l'USGS. Les secousses qui se sont produites vers 12h44 ont été ressenties à travers tout le Golfe et jusqu'à New Delhi.

Les secousses ont été ressenties à travers tout le Golfe (à Doha notamment, des immeubles ont été évacués) et jusqu'à New Delhi. Dans la capitale indienne, des gens se sont précipités dans les rues, ont rapporté des correspondants de Reuters sur place. Au Pakistan, notamment à Islamabad, des bâtiments ont tremblé. Dans la plus grande ville du pays, Karachi, de nombreuses personnes ont précipitamment quitté les bâtiments terrorisés, selon des témoins.

Située sur plusieurs failles sismiques importantes, la République islamique d'Iran a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs.

ROMANDIE 16/4/2013 - Le Monde 16/4/2013 - L'Orient le Jour - ROMANDIE -

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QUETTA (Pakistan) - Le violent séisme qui a frappé mardi le sud-est de l'Iran a fait au moins huit morts et détruit plus d'un millier de maisons au Pakistan voisin, ont indiqué les autorités locales.

Ashraf Baloch, responsable de l'hôpital local de Mashkail, petite ville frontalière de l'Iran dans la province pakistanaise du Baloutchistan, a signalé à l'AFP 8 morts, révisant à la hausse un précédent bilan faisant état de cinq décès.

Les proches des victimes nous ont aussi dit que 25 personnes avaient été blessées, a ajouté le responsable de cet hôpital reculé du Baloutchistan, plus grande province du Pakistan mais aussi la moins peuplée. Selon ce responsable, plusieurs centaines de maisons ont été détruites dans le seul district local de Washuk.

Selon la télévision d'Etat pakistanaise, le séisme a causé l'effondrement de plus d'un millier de masures en briques de terre. Le Premier ministre intérimaire pakistanais, Hazar Khan Khoso, a demandé aux autorités provinciales du Baloutchistan de porter secours aux personnes affligées par cette calamité, voire de les évacuer.

La Jamaat-ud-Dawa, une organisation sur la liste noire de l'ONU des groupes terroristes et soupçonnée de servir de paravent au groupe islamiste armé Lashkar-e-Taïba, a annoncé via son compte Twitter que ses secouristes étaient déjà déployés sur le terrain. Les secouristes ont atteint les districts Kharan et Panjgour où les efforts d'urgence ont commencé, a écrit l'organisation dont le chef Hafiz Saeed, est recherché par les Etats-Unis.

Le tremblement de terre a été ressenti dans les grandes villes du Pakistan comme la capitale Islamabad, et Karachi, mégapole du sud du pays où de nombreuses personnes ont envahi les rues craignant l'effondrement d'immeubles, selon un journaliste de l'AFP sur place.

Selon le centre de sismologie iranien, l'épicentre de ce séisme d'une magnitude de 7,7 est situé à environ 80 km au nord de la ville de Saravan, près de la frontière avec le Pakistan. Le centre américain de géophysique chiffre toutefois la magnitude de ce tremblement de terre à 7,8 et les autorités pakistanaises à 7,9.

ROMANDIE 16/4/2013

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Le plus important séisme en plus de 50 ans sur le sol iranien a fait des dizaines de morts mardi dans une région limitrophe et isolée du Pakistan voisin et secoué des immeubles jusqu'en Inde et dans les pays du Golfe.

La secousse, qui a eu lieu à 15H14 heure locale (10H44 GMT), a été évaluée à une magnitude de 7,7 par le Centre iranien de sismologie, voire à 7,8 par le centre américain de géophysique. "C'est la plus forte secousse dans le pays depuis 1957", a affirmé Mehdi Zareh, un responsable du Centre iranien cité par l'agence de presse Isna.

"L'épicentre du séisme est situé dans une zone désertique de la province du Sistan-Baloutchistan. Les villes les plus proches, Saravan et Khash, ont subi peu de dégâts", a affirmé un responsable du Centre national de gestion des crises, Morteza Akbar-Pour. "Jusqu'ici, seulement 27 blessés" ont été dénombrés, a indiqué le préfet de Saravan, Mohammad Sharif Khaleghi, cité par l'agence de presse Irna. Selon un responsable local du ministère de la Santé, cité par l'agence Fars, plus 20 villages ont subi des dégâts importants.

Toutefois, un officiel iranien repris par Reuters a déclaré à la télévision que des centaines de personnes pourraient avoir péri au vu de la sévérité du séisme. La zone la plus touchée, le long de la frontière sud-est de l'Iran, abrite quelque 2 millions de personnes qui vivent dans des villages où les maisons sont très souvent construites en briques, ce qui les rend particulièrement vulnérables au tremblement de terre. ->Source Maxisciences 16/04/2013

20 équipes de secours ont été envoyées sur place pour évaluer les dégâts, selon le chef du Croissant-rouge iranien Mahmoud Mozafar, cité par l'agence Isna. Et les autorités ont déclaré l'état d'urgence dans la zone touchée, située à plus de 1.300 km de la capitale Téhéran.

Dans la province pakistanaise du Baloutchistan, frontalière de l'est iranien, les autorités ont dénombré au moins 34 morts et 80 blessés dans le seul hôpital de Mashkail, ville reculée située à quelques kilomètres de la frontière iranienne, a dit à l'AFP un haut responsable gouvernemental.

Selon la télévision d'Etat pakistanaise, le séisme a causé l'effondrement de plus de mille masures en briques de terre dans cette vaste province pauvre et peu densément peuplée. Le Premier ministre intérimaire pakistanais, Hazar Khan Khoso, a demandé aux autorités provinciales du Baloutchistan de "porter secours aux personnes affligées par cette calamité", voire de les "évacuer".

Les paramilitaires ont été déployés sur place et des hélicoptères de l'armée transportant notamment du personnel médical et des tentes étaient en route pour Maskhail, ont indiqué les forces de sécurité pakistanaises.

La secousse a été ressentie dans la capitale pakistanaise Islamabad et dans la métropole du pays, Karachi, où de nombreuses personnes ont précipitamment quitté les bâtiments terrorisés, selon des témoins. Le séisme a été aussi fortement perçu dans les monarchies voisines du Golfe, notamment les Emirats arabes unis où les habitants ont évacué les tours d'habitation et de bureaux, selon des témoins.
Les tours abritant les compagnies dans le centre financier de Dubaï et Media City, ainsi que les immeubles d'habitation du front de mer, ont été évacués. "Tout le monde est descendu dans la rue. C'est la panique", a affirmé Rami, le directeur d'une compagnie d'assurance.

Le séisme a également fait trembler la terre au Koweït, notamment dans les zones côtières, à Bahreïn où les immeubles ont été évacués dans le centre financier de Manama, dans l'est de l'Arabie saoudite et Oman, selon des habitants.
Tout comme dans le nord de l'Inde et notamment New Delhi où beaucoup d'habitants ont préféré quitter les immeubles par précaution, selon des journalistes de l'AFP.

Le 9 avril, un séisme de magnitude 6,1 avait frappé une zone rurale du sud-ouest de l'Iran faisant 37 morts et plus de 800 blessés. La secousse n'avait pas endommagé la centrale nucléaire de Bouchehr, la seule de ce pays, construite à une centaine de kilomètres au nord de l'épicentre, selon les autorités.

Située sur plusieurs failles sismiques importantes, l'Iran a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs. Le plus meurtrier ces dernières années a fait, en décembre 2003, 26.000 morts à Bam (sud), soit un quart de la population de cette ville.

Yahoo actualités 16/4/2013

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Malgré leurs relations tendues avec Téhéran, les Etats-Unis ont proposé mardi leur aide à l'Iran et au Pakistan, victimes d'un important séisme qui a fait des dizaines de morts. "Nous nous tenons prêts à offrir toute assistance en ces temps difficiles", a déclaré le chef de la diplomatie américaine dans un communiqué.

Le secrétaire d'Etat, John Kerry, a présenté ses "plus sincères condoléances" aux familles des victimes après le séisme le plus puissant qu'ait connu l'Iran depuis 50 ans.

Le plus important séisme en plus de 50 ans sur le sol iranien a fait des dizaines de morts mardi dans une région limitrophe et isolée du Pakistan voisin et secoué des immeubles jusqu'en Inde et dans les pays du Golfe.

La secousse a été évaluée à une magnitude de 7,7 par le Centre iranien de sismologie, voire à 7,8 par le centre américain de géophysique. "C'est la plus forte secousse dans le pays depuis 1957", a affirmé Mehdi Zareh, un responsable du Centre iranien cité par l'agence de presse Isna.

"Jusqu'ici, seulement 27 blessés" ont été dénombrés, a indiqué le préfet de Saravan, Mohammad Sharif Khaleghi, cité par l'agence de presse Irna. Selon un responsable local du ministère de la Santé, cité par l'agence Fars, plus 20 villages ont subi des dégâts importants. L'état d'urgence a été décrété dans la zone touchée, située à plus de 1.300 km de la capitale Téhéran.

Dans la province pakistanaise du Baloutchistan, frontalière de l'est iranien, les autorités ont dénombré au moins 34 morts et 80 blessés dans le seul hôpital de Mashkail, ville reculée située à quelques kilomètres de la frontière iranienne, a dit à l'AFP un haut responsable gouvernemental.

Les relations entre Washington et Téhéran avaient connu un redoux en 2003 après le séisme de Bam, à la suite duquel le président Khatami avait accepté l'aide américaine. Mais depuis, l'Iran a rejeté toute aide venant des Etats-Unis. Les deux pays n'ont plus de relations diplomatiques depuis la révolution islamique de 1979.


ROMANDIE 17/4/2013

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SYDNEY - Un puissant séisme de magnitude 6,8 a secoué la Papouasie-Nouvelle-Guinée mercredi, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS), sans décréter d'alerte au tsunami.

La secousse a eu lieu à une profondeur très faible de 7 km et à 19 km à l'est de la petite ville d'Aitape sur la côte nord du pays, à 08H55 (22H55 GMT mardi), a précisé l'USGS.

----->A suivre pour des infos complémentaires s'il y a lieu


ROMANDIE 17/4/2013

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TOKYO - Un séisme de magnitude 7,2 s'est produit vendredi au nord du Japon, au large des îles Kouriles administrées par la Russie, mais aucun blessé n'a été déploré et aucune alerte au tsunami émise, ont annoncé l'Institut de géophysique américain (USGS) et les autorités locales.

L'épicentre était situé à plus de 500 km au nord-est de l'île septentrionale japonaise de Hokkaido et à une trentaine de kilomètres au large d'Ouroup, un îlot inhabité de l'archipel russe des Kouriles, selon l'USGS.L'USGS a estimé que la secousse s'était produite à 03H05 GMT à une profondeur de 122,3 km. Une réplique de magnitude 5,7 s'est déclenchée dans la même zone dix minutes après./b]

Le séisme a été ressenti dans tout le nord-est du Japon, mais aucun blessé ni dégât n'ont été constatés dans l'archipel nippon, a expliqué la police japonaise à l'AFP, ni sur les îles russes, d'après l'agence Itar-Tass citant les autorités locales.

[b]Itar-Tass a rapporté que les bâtiments avaient tremblé environ une minute dans la ville de Kourilsk, située à 250 km de l'épicentre, sur l'île d'Itouroup. Les habitants sont sortis dans la rue sur le moment mais la situation est vite retournée à la normale.


Le Japon vit actuellement une période de forte activité sismique, selon des experts japonais. Situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, l'archipel nippon enregistre chaque année 20% des séismes les plus puissants recensés sur la planète. Aucune région du territoire japonais n'est épargnée.

Mercredi, une série de plusieurs dizaines de tremblements de terre, dont un de magnitude 6,2, ont secoué toute la journée l'île volcanique de Miyakejima au sud de Tokyo, tandis qu'une autre secousse de magnitude 5,8 a eu lieu le même jour à Miyagi (nord de Tokyo), préfecture la plus meurtrie par le tsunami du 11 mars 2011.

Samedi matin, un séisme de magnitude 6,3 avait secoué l'ouest du pays, près de la ville portuaire de Kobe, déjà dévastée en 1995 par un séisme qui avait tué plus de 6.400 personnes. Et dimanche, une secousse de magnitude 5,2 a eu lieu sur la côte de la préfecture de Fukushima, déjà ravagée par le tremblement de terre de magnitude 9 suivi et le tsunami meurtrier du 11 mars 2011.

ROMANDIE 19/4/2013

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Un tremblement de terre d'une magnitude de 6,6 degrés a fait une centaine de morts et plus de 2000 blessés samedi dans le Sichuan, province du sud-ouest de la Chine. L'armée a immédiatement envoyé 2000 hommes sur place.


Un violent séisme, d'une magnitude de 6,6 degrés, a secoué tôt ce matin la province chinoise du Sichuan. La secousse s'est produite à 8h02, et, à la mi-journée, les bilans provisoires faisaient état d'au moins 152 morts et plus de 2000 blessés. L'émotion et l'angoisse sont d'autant plus fortes que la région a déjà été endeuillée par le tremblement de terre de 2008, d'une magnitude de 7,9 qui avait fait 70.000 morts et 18.000 disparus.

L'épicentre a été localisé à Ya'an, dans le district de Lushan, selon le centre américain de veille géologique (USGS) qui l'a mesuré à 6,6. Une mesure chinoise donne même 7 degrés de magnitude.

La secousse a été ressentie fortement jusqu'à Chengdu, capitale de la province, qui se trouve à 140 kilomètres et où les habitants sont sortis de leur domicile en pyjama. Elle a été suivie de nombreuses répliques. L'USGS craint des dommages importants, à l'aune de la faible profondeur du séisme, estimée à 12 kms. Les premières photos montrent des bâtiments effondrés, avec de nombreux gravats encombrant les rues.

Selon l'agence Chine nouvelle, la plupart des morts ont été signalés dans le comté de Lushan, où l'électricité et l'eau ont été coupées et de nombreux bâtiments détruits. Une trentaine de survivants ont été extraits des décombres. Dans les villages les plus proches de l'épicentre, quasiment tous les bâtiments de petite taille se sont effondrés, montrent les images de la télévision d'Etat.

L'agence chinoise de météorologie a mis en garde contre les risques de glissements de terrain samedi et dimanche dans le comté de Lushan.

L'armée a immédiatement envoyé 2000 hommes sur place. Et le nouveau premier ministre Li Keqiang a décollé de Pékin en milieu de journée pour se rendre sur le terrain, comme l'avait fait son prédécesseur Wen Jiabao en 2008. L'accès des secours est entravé par des glissements de terrain.

Arrivé sur place en hélicoptère, Li Keqiang a pris la direction des opérations de secours dans la localité de Longmen, dans le comté de Lushan, a rapporté Chine nouvelle.

Le Premier ministre a notamment demandé la réouverture d'une route menant au comté de Baoxing, l'une des zones les plus touchées, et il a invité les secours à "agir rapidement". "La question la plus urgente pour le moment est d'agir pendant les 24 heures qui suivent le séisme, le moment où on peut sauver des vies", avait auparavant déclaré Li Keqiang, cité par Chine nouvelle. A l'heure actuelle, l'armée a dépêché 6.000 hommes sur les lieux du sinistre, précise Chine nouvelle.

Selon la télévision officielle CCTV, seuls les véhicules des services de secours sont autorisés à pénétrer dans Ya'an. Cette ville de 1,5 million d'habitants est considérée comme le berceau de la culture du thé. Elle abrite aussi l'un des principaux centres de protection du panda géant. "Il y a toujours des secousses et des tremblements mais nous sommes en sécurité. Les pandas vont bien", a déclaré un porte-parole de la réserve de Bifengxia, où vivent une centaine de ces animaux menacés d'extinction qui avaient été durement affectés par le séisme de 2008.

Une information - non confirmée - mais publiée sur le grand portail d'information sina.com, affirme que des étudiants sont pris au piège sous un bâtiment universitaire qui s'est effondré à Ya'an. Des mots qui rappellent cruellement les centaines d'écoliers ensevelis sous les décombres de leurs établissements en 2008. Un drame qui avait suscité une violente polémique sur la qualité des constructions et donc la responsabilité des autorités locales.

LE FIGARO 20/4/2013 - SCIENCES ET AVENIR

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Des milliers de secouristes, militaires, civils ou simples voisins s'affairaient dimanche à dégager les victimes et soigner les milliers de blessés du séisme qui a frappé samedi la province chinoise du Sichuan (sud-ouest). Selon un dernier bilan provisoire, la secousse a fait 186 morts, 21 disparus et 11'300 blessés.

Plus de 24 heures après la secousse tellurique de magnitude 6,6 qui a détruit une dizaine de milliers d'habitations dans cette région montagneuse et très peuplée, les blessés continuaient d'affluer dans les hôpitaux submergés, accueillis la plupart sous des tentes dressées pour l'occasion.

Les autorités ont fait savoir que le bilan ne devrait pas augmenter significativement. Un millier de blessés se trouvent toutefois dans un état grave.

Contrairement au séisme de 2008, qui avait fait 70'000 morts dans le même région, aucune école ne s'est effondrée, relève Chen Yong, directeur adjoint de la cellule de crise de Ya'an. "Nos écoles sont les bâtiments les plus sûrs et les plus solides", a-t-il déclaré. "Le gouvernement chinois a investi beaucoup d'argent dans les bâtiments scolaires et hospitaliers. Je peux garantir qu'aucune école ne s'est effondrée."

Pompiers et secouristes ont travaillé toute la nuit, utilisant des équipements radar et des chiens. Ils ont réussi à extraire 91 personnes vivantes des décombres, selon le ministère de la Sécurité publique.

Plus de 1300 répliques ont suivi la secousse initiale, qui a duré une trentaine de secondes. Son épicentre était situé près de la ville de Ya'an, dans le comté de Lushan, à 140 km à de la capitale provinciale, Chengdu. Peuplée d'1,5 million d'habitants, Ya'an est considérée comme le berceau de la culture du thé.

La plupart des morts ont été signalés dans le comté Lushan, où l'électricité et l'eau ont été coupées et de nombreux bâtiments détruits. Les constructions dans les zones rurales chinoises sont souvent de qualité médiocre et les normes antisismiques rarement respectées.



ROMANDIE 21/4/2013

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MOSCOU - Un séisme de magnitude 6,3 s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi au large des îles Kouriles (Extrême-Orient russe), un archipel de l'Océan Pacifique au centre d'un conflit territorial entre la Russie et le Japon, a annoncé le service de géophysique de l'Académie des sciences russe.

L'épicentre du séisme, qui a eu lieu à 06H58 locales (18H58 GMT), était situé près de l'île de Paramouchir, à 130 km à l'est de la ville de Severo-Kourilsk, a précisé un porte-parole du service, cité par l'agence Itar-Tass.

Le tremblement de terre n'a fait ni victimes ni dégâts, a précisé à l'AFP un porte-parole de l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence.

Vendredi, un séisme de magnitude 6.0 s'était déjà produit au large des îles Kouriles, son épicentre se trouvant près de l'îlot inhabité d'Ouroup. Il avait été suivi d'une réplique de magnitude 5,7 quelques minutes après.

Ce tremblement de terre avait été ressenti dans tout le Nord-Est de l'archipel japonais, mais aucune alerte au tsunami n'avait été déclenchée.



ROMANDIE 20/4/2013

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Les opérations de secours dans la région du sud-ouest de la Chine frappée samedi par un séisme meurtrier s'intensifiaient lundi. Mais les répliques sismiques et les difficultés d'accès aux zones sinistrées compliquent la mission des secouristes.

Le dernier bilan officiel des victimes s'établissait lundi à 188 morts, 25 disparus et près de 11'500 blessés.

Plus de 48 heures après la secousse de magnitude 6,6 qui a ébranlé la province du Sichuan, l'une des plus peuplées de Chine, certains sites n'étaient encore accessibles qu'à pied.

Un groupe de 198 secouristes dépêchés par la Russie était attendu lundi à l'aéroport de Chengdu, a annoncé l'agence de sismologie provinciale, citée par l'agence de presse Chine nouvelle. De la capitale du Sichuan, ils devaient se rendre immédiatement dans la zone touchée de la ville de Ya'an. Ils rejoindront les milliers de militaires, pompiers, policiers, déjà à pied d'oeuvre. Des volontaires et bénévoles, non mandatés par les autorités, ont également afflué de tout le pays, ajoutant à la congestion sur les routes.

Plus de 2000 répliques sismiques, la plus violente atteignant 5,4 de magnitude, se sont succédé depuis samedi matin. Ces répétitions ont augmenté la psychose des rescapés, aussi inquiets par la pluie attendue dans la région et qui pourrait aggraver les conditions.

Environ 17'000 familles ont perdu leur domicile dans la catastrophe, selon le bureau des affaires civiles du Sichuan.

ROMANDIE 22/4/2013

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Les équipes de sauveteurs en Chine se livrent à une course contre la montre pour retrouver des survivants au Sichuan, qui a subi un violent séisme. Les habitants de Ya'an, dans le comté montagneux de Lushan, ont été victimes samedi d'un séisme d'une magnitude de 7.

Dans les zones rurales, certains habitants seraient enfouis sous les décombres de bâtiments effondrés. Selon les sauveteurs, les premières 72 heures sont cruciales pour tenter de retrouver des survivants prisonniers des décombres.

Les habitants, aidés de 19.000 soldats et officiers de police, travaillent sans relâche pour retrouver le maximum de personnes avant cette échéance fatidique. Le travail des sauveteurs est gêné par les secousses secondaires. Ils découvrent aussi que les routes de montagne sont bloquées par des éboulements.

Sur place, les gens manquent de produits de première nécessité, notamment de médicaments et de tentes. L'hygiène est également de plus en plus problématique.

Selon les responsables régionaux du Sichuan, la mort de 192 personnes a été confirmée, et 23 personnes sont toujours portées disparues. Plus de 11 000 personnes sont blessées, dont près d'un millier sont dans une situation critique.

NHK 23/4/2013

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