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Séismes dans le monde (sauf France et Japon)

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Sarajevo - Tente-quatre mineurs étaient toujours pris au piège vendredi, depuis plus de 16 heures, dans une mine de charbon à Zenica, en Bosnie centrale, dont plusieurs galeries se sont écroulées après un séisme, a-t-on indiqué de source officielle.

Les équipes de secouristes s'emploient à frayer un passage vers les mineurs bloqués dans une galerie qui n'a pas été endommagée par le tremblement de terre, a déclaré à la presse le directeur de la mine de Raspotocje, Esad Civic.

Les secouristes doivent creuser sur une longueur d'environ 100 mètres, et à quelque 600 mètres de profondeur. Ils ont d'abord oeuvré à la mise en place d'un système leur permettant d'injecter de l'oxygène dans la zone où se sont réfugiés les mineurs, a-t-on expliqué.

Personne ne sait combien de temps ça prendra. L'important est qu'ils sont vivants et qu'ils reçoivent des quantités suffisantes d'air propre pour pouvoir attendre l'arrivée des secouristes, a déclaré dans la nuit M. Civic.

Sur 56 mineurs qui se trouvaient dans la mine au moment du séisme, 22 ont regagné la surface et 34 se trouvent toujours dans la zone touchée, a-t-il précisé.

L'épicentre de la secousse de magnitude 3,5, qui s'est produite jeudi à 16H30 (14H30 GMT), était situé à 53 km au nord-ouest de Sarajevo, et a provoqué un coup de grisou dans la mine. Deux mineurs ont été blessés dans cet accident et ont été hospitalisés à Zenica.

De nombreuses familles des mineurs pris au piège attendent inquiètes depuis jeudi soir devant l'entrée de la mine pour avoir des informations. Plusieurs ambulances sont également stationnées devant la mine.

Aucun dégât n'a été signalé ailleurs dans le pays après le séisme.

Romandie 5/9/2014

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Zenica (Bosnie-Herzégovine) - Cinq des 34 mineurs piégés pendant 20 heures dans une mine en Bosnie suite à un séisme sont morts, a déclaré vendredi un responsable syndical Sinan Husic, cité par l'agence officielle bosnienne Fena et la télévision nationale.

Vingt-neuf sur 34 sont sortis, mais malheureusement cinq n'ont pas survécu, a-t-il affirmé, sans expliquer les circonstances des décès. Il a précisé avoir obtenu cette information de secouristes qui se trouvaient encore dans les profondeurs de la mine.

M2N News 5/9/2014


Pour les sauver, les équipes de secouristes ont bataillé pour se frayer un passage sur une longueur d'une centaine de mètres. Les secouristes avait d'abord oeuvré à la mise en place d'un système leur permettant d'injecter de l'oxygène dans la zone où se sont réfugiés les mineurs.

L'épicentre de la secousse de magnitude 3,5, qui s'est produite jeudi à 16H30 (14H30 GMT), était situé à 53 km au nord-ouest de Sarajevo, et a provoqué un coup de grisou dans la mine.

Deux mineurs blessés dans cet accident, qui avaient été hospitalisés à Zenica jeudi, ont pu quitter vendredi l'établissement.

Romandie 5/9/2014

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Jakarta - Un séisme de magnitude 6,5 s'est produit mardi dans le centre de l'Indonésie, a indiqué l'Institut américain de géophysique (USGS), mais il n'y a pas de menace de tsunami, et aucune victime ni dommage n'ont été signalés dans l'immédiat.

JoL™️ 9/9/2014


La secousse a eu lieu en mer à 02H46 GMT à une profondeur de 20 km, dans une zone située à 122 km au sud-est de la ville de Modayag, a précisé l'USGS.

Le tremblement de terre a été ressenti dans la partie nord de l'île de Sulawesi, a indiqué de son côté le chef de l'Agence indonésienne de météorologie, climatologie et géophysique, Mochammad Riyadi. Il n'y a aucune menace de tsunami, a déclaré à l'AFP M. Riyadi.

Aucun dégât ni victime n'ont été signalés jusqu'ici, mais des personnes ont indiqué avoir ressenti la secousse. Nous suivons la situation de près, a-t-il ajouté.

L'Indonésie se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone où des plaques tectoniques se heurtent, ce qui provoque une activité sismique et volcanique fréquente.

Romandie 10/9/2014

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Los Angeles - Un tremblement de terre de magnitude 6,2 a secoué jeudi l'Etat américain de l'Alaska, situé à l'ouest du Canada, selon les services géologiques américains (USGS), qui avait donné une première estimation à 6,1.

Selon le site du Pacific Tsunami Warning Center, il n'y avait actuellement pas d'alerte au tsunami à cause de ce tremblement de terre, qui a eu lieu dans le sud de l'Alaska, près de la ville de Willow, à environ 130 kilomètres au nord-ouest d'Anchorage.

Le séisme s'est produit à une profondeur de 98 kilomètres, a précisé l'USGS.

L'ouest américain a déjà été secoué le mois dernier par un tremblement de terre de magnitude 6,0 dans le nord de la Californie, dans la région de Napa, le plus violent depuis 25 ans dans cette région. Une femme de 65 ans est morte des suites de blessures à la tête subies lors de ce séisme, qui a fait environ 200 blessés et des dégâts considérables dans la région.

Romandie 25/9/2014

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Le tremblement de terre a atteint une magnitude 5,1 sur l'échelle de Richter. Soixante habitations se sont effondrées à Misca, où trois cents personnes sont sinistrées.

Suspicious0bservers 29sep2014


FTVI 29sep2014

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Un tremblement de terre de 7,3 degrés de magnitude s'est produit lundi soir au large du Salvador et du Nicaragua. On signale un mort mais pas de dégâts majeurs.

Le maire de San Miguel, au Salvador, a annoncé sur Twitter la mort d'un homme, victime de la chute d'un poste électrique. Par le même canal, les services de secours nationaux ont invité les habitants des zones côtières à gagner l'intérieur des terres, avant d'indiquer que la zone semblait calme.

L'épicentre du séisme a été localisé 67 km à l'ouest-sud-ouest de Jiquilillo et 40 km sous la croûte terrestre, selon l'institut américain de géophysique USGS.

Après avoir évoqué un risque, le centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique a estimé qu'il n'y avait pas de danger. Au Honduras et au Guatemala, les services de secours ne signalent pour le moment ni victimes ni dégâts.

Romandie 14/10/2014

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Trois mineurs sont morts à la suite d'une secousse tellurique dans une mine privée à Karvina, dans le nord-est de la République tchèque, ont annoncé vendredi les responsables. "La secousse s'est produite vers 11h45 à environ 900 mètres sous terre", a déclaré Marek Sibrt, porte-parole de la compagnie minière OKD.

"Douze employés au total ont été blessés, trois ont été déclarés morts, les autres sont soignés, leurs blessures sont légères", a déclaré M. Sibrt, ajoutant que le séisme a été ressenti dans plusieurs villes de la région.

La ville de Karvina, située à 300 km à l'est de Prague, est la principale ville minière en République tchèque avec quatre mines en fonction. La compagnie minière OKD fait partie du groupe New World Resources company, dont le siège est à Londres et qui est coté à la Bourse de Londres, ainsi qu'à celles de Prague et Varsovie.

Romandie 14/11/2014

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Jakarta - Un séisme de magnitude 7,1 a secoué samedi les îles Moluques, dans l'est de l'Indonésie, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS), provoquant une alerte au tsunami ensuite levée en Indonésie et aux Philippines mais aucune victime ni dégât matériel.

La secousse a été localisée à 46 km de profondeur et à 154 km au nord-ouest de l'île de Ternate, à 10H31 (02H31 GMT), selon l'USGS et a provoqué la panique parmi les habitants.


  euronews 15/11/2014


Des vagues de faible amplitude ont été enregistrées dans plusieurs régions de l'immense archipel indonésien, ont indiqué les autorités, mais l'alerte au tsunami déclenchée par l'Indonésie et les Philippines a été levée environ deux heures après le séisme.

Un tsunami est envisageable sur les côtes situées jusqu'à 300 km de distance du séisme, avait immédiatement indiqué le Centre d'alerte des tsunamis dans le Pacifique. Des vagues de tsunami pourraient atteindre des parties de l'Indonésie, ainsi que des Philippines, du Japon, de Taïwan et d'autres îles dans le Pacifique Sud, selon le Centre. Nous avons émis rapidement une alerte au tsunami, a déclaré à l'AFP un responsable d'une agence météorologique indonésienne.

Julius Galgiano, sismologue du gouvernement philippin, a affirmé que les Philippines avaient également lancé une alerte au tsunami.

Nous avons demandé aux autorités locales de surveiller les effets d'un (éventuel) tsunami le long des côtes, a-t-il poursuivi, ajoutant cependant qu'aucun ordre d'évacuation n'avait été émis et que l'on attendait pas des vagues très hautes.

Même si elle ne s'est pas concrétisée, la crainte d'un tsunami a provoqué la panique parmi les habitants de l'un des pays les plus actifs sur le plan sismique.

Dans la petite île indonésienne de Sangihe, près de l'épicentre, les gens sont sortis de leur maison en courant, ont indiqué les autorités locales.

Les gens des zones côtières ont ressenti une forte secousse, qui a duré un moment, et sont immédiatement allés voir si la mer se retirait de manière anormale, ce qui est le signe annonciateur d'un tsunami, a expliqué à l'AFP Toni Supit, chef du district de Sitaro.

L'Indonésie se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone où des plaques tectoniques se heurtent, ce qui provoque une activité sismique et volcanique fréquente.

En décembre 2004, un très puissant tremblement de terre sous-marin avait provoqué un gigantesque tsunami qui avait entraîné la mort de 170.000 personnes dans la province d'Aceh, sur l'île de Sumatra, en Indonésie, ainsi que des dizaines de milliers d'autres victimes dans d'autres pays ayant des côtes bordant l'océan Indien.

Un séisme de magnitude 6,1 avait frappé cette même île d'Aceh en juillet 2013 provoquant la mort de 30 personnes et des milliers de sans-abri.

Romandie 15/11/2014

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Wellington - Un puissant séisme de magnitude 6,7 a secoué lundi la côte est de la Nouvelle-Zélande, mais les sismologues ont exclu toute menace de tsunami.

AFP 16/11/2014


La secousse, qui s'est produite à 10h33 (22h33 GMT dimanche), a été localisée en mer à près de 200 km de la ville de Gisborne, située sur l'île du Nord, et à une profondeur de 35 km, a précisé l'Institut américain de géophysique (USGS).

L'organisation de la défense civile néo-zélandaise a déclaré qu'il était peu probable qu'il (le séisme, ndlr) cause un tsunami qui menacera la Nouvelle-Zélande.

GeoNet, le service de surveillance sismique néozélandais, a classé la secousse comme grave et a déclaré qu'elle a été ressentie à travers la partie basse de l'île du Nord et dans le haut de l'île du Sud, les deux principales îles de la Nouvelle-Zélande.  Le séisme était cependant trop loin de la côté et trop profond pour causer des dégâts à terre, a déclaré un porte-parole du service.

La Nouvelle-Zélande est située sur la Ceinture de feu du Pacifique où les plaques continentales entrent fréquemment en collision provoquant une importante activité sismique. Le pays subit environ 20.000 secousses par an, dont une moyenne de 2,5 séismes d'une magnitude d'au moins 6.

En février 2011, un séisme de magnitude 6,3 dans la région de Canterbury (île du Sud), autour de Christchurch, avait causé la mort de 185 personnes.

Wellington a subi en 1855 le séisme le plus puissant jamais enregistré en Nouvelle-Zélande. La secousse de magnitude 8,2 a complètement modifié la géographie de la ville en lui faisant gagner 200 mètres sur la mer. Elle n'a toutefois fait que quatre morts.

Depuis juillet 2013, trois séismes de magnitude 6,3 ou plus y ont été relevés, sans qu'ils fassent de dégâts significatifs.

Romandie 17/11/2014

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Athènes - Un séisme de magnitude 5,4 s'est produit sur l'île d'Eubée (nord d'Athènes) dans la nuit de lundi à mardi, a indiqué sur son site l'institut américain de géophysique (USGS), et il a été fortement ressenti à Athènes.

Les secousses, deux très rapprochées à 23H06 GMT, et une un peu moins forte quelques minutes plus tard, ont été nettement perceptibles dans la capitale, faisant notamment chuter des objets.

Selon l'USGS, l'épicentre se trouve au sud-ouest de la ville de Prokopion sur l'île d'Eubée reliée au continent par un pont, distante d'une centaine de km d'Athènes.

Today Breaking NEWS 17/11/2014


Les pompiers, interrogés par l'AFP, n'ont pas mentionné de victimes, mais des appels inquiets dans la capitale, tandis que de nombreux habitants terrifiés sortaient dans les rues.

L'observatoire géodynamique d'Athènes a confirmé ensuite les deux secousses, les évaluant à 5,1, précisant que l'épicentre se situait à 76 km au nord d'Athènes et à 23 km au nord-ouest de Chalkida, sur Eubée. La troisième réplique avait une magnitude de 3,8, selon l'observatoire.

En janvier, plusieurs milliers de personnes se sont retrouvées sans abri sur l'île de Céphalonie, dans la mer Ionienne, à l'ouest du pays, après deux secousses de magnitude 5,8 et 6.

Romandie 18/11/2014

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Jakarta - Un séisme de magnitude de 6,9 a frappé vendredi l'est de l'Indonésie, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS), mais aucune alerte au tsunami n'a été lancée.

Le séisme s'est produit à une profondeur de 48 km dans la mer des Moluques, entre l'île des Célèbes et la chaîne d'îles des Moluques.

JoL™️ 21/11/2014


Le séisme a été fortement ressenti pendant cinq secondes, provoquant la panique des habitants qui ont quitté leurs maisons en courant, a déclaré le porte-parole de l'Agence pour les catastrophes naturelles, Sutopo Purwo Nugroho.

Le porte-parole a précisé n'avoir pas reçu d'informations sur des dégâts ou des victimes.

L'Indonésie est située sur la Ceinture de feu du Pacifique où les plaques continentales entrent fréquemment en contact provoquant une importante activité sismique.


Romandie 21/11/2014

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Pékin - Un séisme de magnitude 5,8 a été enregistré samedi dans l'ouest montagneux de la province du Sichuan, dans le sud-ouest de la Chine, selon l'Institut américain de géophysique (USGS).

Le séisme s'est produit à neuf kilomètres de profondeur, à 39 km de la ville de Kangding, dans l'ouest de la province, peu avant 17h00 (09h00 GMT), et on ne faisait dans un premier temps état ni de dégâts ni de victimes.

Le centre chinois de surveillance des séismes faisait quant à lui état d'une magnitude de 6,3, selon l'agence Chine nouvelle.

En mai 2008, un séisme de 7,9 dans cette même province du Sichuan avait tué plus de 80.000 personnes.


Romandie 22/11/2014

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Pékin - Un séisme de magnitude 5,9 a secoué samedi l'ouest montagneux de la province du Sichuan, dans le sud-ouest de la Chine, selon l'Institut américain de géophysique (USGS), les autorités chinoises faisant état d'un mort et 60 blessés.

Environ 55.000 personnes ont été touchées par le tremblement de terre, selon l'agence de presse Xinhua, qui cite le département régional des affaires civiles.

Le séisme s'est produit à neuf kilomètres de profondeur, à 39 km de la ville de Kangding, dans l'ouest de la province, peu avant 17h00 (09h00 GMT).

CCTV News 22/11/2014


Le centre chinois de surveillance des séismes faisait quant à lui état d'une magnitude de 6,3, selon l'agence Chine nouvelle. La Chine utilise une autre échelle de magnitude que les Etats-Unis.

En mai 2008, un séisme de 7,9 dans cette même province du Sichuan avait tué plus de 80.000 personnes.

La chaîne de télévision chinoise CCTV a montré des images tournées au téléphones mobiles d'habitants en train de courir dans la rue dans ce qui semble être une zone commerciale.

La victime est une femme septuagénaire frappée à la tête par la vitre d'une fenêtre tombée pendant le tremblement, selon l'agence de presse officielle Xinhua. Les 60 blessés ont été conduits à l'hôpital de Ganzi, dont trois dans un état critique, selon la même source.

Un second message fait état de deux morts et non d'un seul mais sans plus de précision.

Romandie 22/11/2014

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Pékin - Un séisme de magnitude 5,6 a frappé mardi la province du Sichuan, dans le sud-ouest de la Chine, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS).

Il n'a été fait état dans l'immédiat d'aucun dégât, ni victime.

Le séisme a touché une région montagneuse à 25 kilomètres au nord-ouest de la ville de Kangding, dans l'ouest de la province, à 23h19 locales (15h19 GMT). Il s'est produit à 16 km de profondeur, selon l'institut chinois des séismes qui a mesuré de son côté la secousse à 5,8.

La même zone avait déjà été frappée samedi par un séisme de magnitude 5,9, faisant cinq morts et des dizaines de blessés.

En mai 2008, plus de 80.000 habitants de cette province avaient été tués par un séisme de magnitude 7,9.


Romandie 25/11/2014

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Un fort séisme d'une magnitude de 6,8 a secoué mercredi l'est de l'Indonésie, a indiqué l'Institut américain de géophysique (USGS). Aucune alerte au tsunami n'a toutefois été émise.

Le séisme est survenu à 41 kilomètres de profondeur sous la mer des Moluques, à 161 kilomètres au nord-ouest de la ville de Kota Ternate, selon l'USGS. "Il a été ressenti assez fortement dans la ville de Manado", sur l'île des Célèbes, a déclaré le météorologiste indonésien Jerisman Purba.

La zone touchée par ce séisme a subi une série de fortes secousses ces dernières semaines, dont une qui a généré des vagues de tsunami de très petite amplitude qui n'ont pas causé de dégâts. Le Centre d'alerte aux tsunamis dans le Pacifique a indiqué qu'il n'y avait pas de risque de tsunami et les autorités locales n'ont pas émis d'alerte.

L'Indonésie se situe sur la "ceinture de feu du Pacifique" où les plaques continentales se rencontrent, causant une activité sismique et volcanique fréquente.


Romandie 26/11/2014

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Bogota - Un fort séisme de magnitude 6,6 a frappé mardi après-midi le nord-est de la Colombie, avec des secousses jusque dans la capitale, Bogota, mais sans faire de victime, selon le premier bilan des autorités.

Pour l'instant, il n'y a pas de personne affectée par le séisme dans tout le pays. Nous restons en alerte, a annoncé le président Juan Manuel Santos, dans un message publié sur son compte Twitter.

 Cette femme dirige les gens lors d'une évacuation à Bogota. (Ricardo Mazalan / Associated Press) / Washington Post

L'épicentre du tremblement de terre, qui s'est produit à 15h55 (20h55 GMT), a été localisé à 161 kilomètres de profondeur dans la commune de Los Santos, située dans la province de Santander, selon le Service géologique colombie (SGC). L'Institut américain de géophysique (USGS) a de son côté enregistré un épicentre d'une profondeur de 147 kilomètres, près de la localité d'Aratoca, à une distance d'environ 270 kilomètres de Bogota.

Nous sommes en train de réaliser un examen de la zone de l'épicentre mais l'impact concerne principalement le nord-est de la Colombie, a indiqué Carlos Ivan Marquez, directeur de l'Unité nationale de gestion des risques, dans une déclaration à la radio Caracol. Pour le moment, nous n'avons pas de situations graves, a-t-il ajouté.

 Dommages causés par le tremblement de terre sur une maison dans le village de Betania à Santander 10 Mars 2015. (Reuters) Emirates

L'aviation civile a précisé que tous les aéroports du pays fonctionnaient normalement, à l'exception de celui de Manizales (centre), en raison de la présence de cendres volcaniques.

Les médias locaux ont fait état d'accidents de voiture à Bogota ainsi que de dommages sur la structure de la mairie de Bucaramanga, capitale de la province de Santander.

Les secousses, qui ont duré plusieurs secondes, ont provoqué des scènes de panique dans les rues de Bogota où plusieurs immeubles ont été évacués par précaution. Il n'y a pas de personnes blessées, a indiqué le maire de la capitale colombienne, Gustavo Petro, faisant état de quelques bâtiments endommagés.

Les feux de circulation se sont mis à trembler comme des drapeaux, a témoigné à l'AFP Luis Aponte, un chauffeur de taxi, au volant de son véhicule à Bogota au moment du tremblement de terre. 

Le séisme a été ressenti dans une grande partie du pays, notamment dans les régions traversées par la cordillère des Andes, selon les autorités, ainsi qu'au Venezuela voisin, selon des témoignages recueillis par l'AFP.

Les pays andins de l'Amérique du Sud comme la Colombie sont situés sur la Ceinture de feu du Pacifique, une zone qui concentre environ 85% de l'activité sismique terrestre.


Romandie 10/3/2015

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Sydney - Un séisme de magnitude 7,5 s'est produit au large des côtes de Papouasie-Nouvelle Guinée lundi, faisant craindre le déferlement de vagues dangereuses autour de l'épicentre, avant la levée de l'alerte au tsunami.

La terre a tremblé à une profondeur de 33 kilomètres, à 55 kilomètres de la ville la plus proche, Kokopo, sur l'île de Nouvelle-Bretagne, et à 787 kilomètres de la capitale, Port Moresby, a rapporté l'Institut géologique américain (USGS).

Le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique avait mis en garde contre des vagues de tsunami dangereuses (...) possibles pour les côtes situées dans un rayon de 1.000 kilomètres autour de l'épicentre. Des vagues de un à trois mètre étaient susceptibles de toucher la Papouasie-Nouvelle-Guinée, et d'autres plus petites, de moins de 30 centimètres, étaient envisagées ailleurs dans le Pacifique, en Australie, au Japon, aux Philippines, en Nouvelle-Calédonie notamment. Mais la menace est passée sans qu'aucun dégât significatif ne soit signalé.

La secousse initiale, d'abord mesurée à 7,7, a été suivie d'une réplique de magnitude 5,7 dans le même secteur.

La ville la plus proche de l'épicentre, Kokopo, capitale de la province de Nouvelle-Bretagne orientale, compte environ 20.000 habitants. Tout le monde a eu peur. Ca a beaucoup secoué dans l'hôtel et des objets sont tombés, a témoigné Leonie Fakal, une employée d'un village de vacances à Kokopo, jointe par l'AFP. Nous sommes tous sortis mais finalement les dégâts sont limités.

Les tremblements de terre sont fréquents en Papouasie-Nouvelle-Guinée, située sur la Ceinture de feu du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.

La dernière secousse d'importance ayant touché le territoire s'est produite en décembre dernier lorsqu'un séisme avait fait trembler l'île Bougainville dans l'archipel des Salomons.

En 2013, un séisme de magnitude 8 avait fait dix morts et détruit des centaines d'habitations sur les Salomons.


Romandie 30/3/2015

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L’activité sismique est particulièrement intense dans le bassin Pacifique, avec, après une première secousse sous-marine de magnitude 7,5 en Papouasie-Nouvelle-Guinée, un autre séisme enregistré à 6,8 au large des îles Samoa, rapporte l’institut géophysique américain USGS.

Le séisme de Samoa s’est produit à 8h18 GMT le 30 mars, à une profondeur estimée à dix kilomètres en-dessous du niveau de la mer, selon les mêmes sources. L’épicentre a été localisé à 155 kilomètres au Sud-sud-ouest de la capitale samoane Apia, à l’Ouest des îles françaises de Wallis-et-Futuna et au Nord du royaume de Tonga. Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé.



Dans un bulletin unique consacré à cet événement, le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) estime qu’il « n’existe pas de danger de tsunami » car ce séisme « n’était pas suffisant » pour en générer un.

À Samoa, un puissant séisme, le 30 septembre 2009, avait généré un tsunami qui avait coûté la vie de plus de 185 personnes, à Samoa, aux Samoa américaines voisines et au Nord du royaume de Tonga. Ce tsunami avait été généré par un puissant séisme sous-marin d’une magnitude de 8,3 sur l’échelle ouverte de Richter, au Sud de Samoa.

Quelques heures plus tôt, lundi, une brève alerte au tsunami avait été lancée dans le Pacifique Sud-ouest, à la suite d’un séisme plus puissant encore, de magnitude 7,5 qui s’est produit tout près de l’île papoue de Nouvelle-Irlande. Dans sa série de bulletins, le PTWC (Pacific Tsunami Warning Center) a précisé que ce séisme sous-marin avait eu lieu le 29 mars 2015 à 23h49 GMT à une trentaine de kilomètres de profondeur, sur l’île de Nouvelle-Irlande, où se trouvent aussi les volcans jumeaux Tavurvur et Vulcain. Ces deux volcans flanquent la ville de Rabaul.

Le PTWC a estimé qu’à la suite de cet événement sismique, des vagues pouvant atteindre les trois mètres de hauteur pourraient se produire le long des côtes de l’île principale de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Toutefois, tout risque de tsunami destructeur et d’ampleur régionale avait rapidement été écarté et les pays du bassin Pacifique n’ont constaté au cours des heures suivantes, que des élévations du niveau de la mer de l’ordre d’une dizaine de centimètres. Selon les premiers comptes-rendus, une vague de trente centimètres de hauteur a été observée dans la baie de Rabaul, toute proche de l’épicentre. Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé, selon le bureau papou de gestion des catastrophes naturelles.

Le séisme à l’origine de cette alerte, a été fortement ressenti à Rabaul, où de nombreuses personnes se sont précipitées en dehors des bâtiments.
« C’est la plus grande secousse que j’ai jamais vécue. J’étais terrorisé. Tous les meubles de ma chambre ont commencé à trembler. Ça a duré environ trente secondes, interminables », a raconté Ephata Samuel, directeur des sports de la chaîne nationale publique NBC, qui se trouvait à Kokopo, non loin de l’épicentre, au moment du séisme.

Le 17 avril 2013, un puissant séisme de magnitude 6,8 sur l’échelle ouverte de Richter s’était produit au Nord de l’île de Nouvelle-Guinée, à une profondeur de 8 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 19 kilomètres à l’Est-sud-est du village d’Aitape, frappé par un énorme tsunami en juillet 1998, qui avait fait plus de deux mille victimes. Ce séisme n’avait fait ni dégât majeur, ni blessé, mais il avait été très fortement ressenti dans toute la région pendant plusieurs minutes. Il avait provoqué des mouvements de panique chez les habitants, qui avaient immédiatement cherché à rejoindre des endroits en surplomb.

Dans cette même région, en juillet 1998, un séisme de magnitude 7 avait provoqué un énorme tsunami qui avait fait plus de deux mille victimes dans la région d’Aitape, rayant de la carte tous les villages de cette portion de la côte néo-guinéenne

Le mont Tavurvur pourrait se réveiller dans les prochains mois. Le 24 mars 2015, les scientifiques de l’observatoire de Rabaul mettaient en garde la population concernant une forte probabilité de réveil éruptif du Mont Tavurvur « entre juin et août » prochains. Les experts, dans leur dernier bulletin, ont d’ores et déjà jugé utile de lancer un appel à la vigilance pour la population, concernant cette période, rapporte la radio nationale NBC.

Ils se basent notamment sur la surveillance de l’activité sismique aux abords de ces deux volcans qui, lors d’un réveil simultané en 1994, avaient enseveli la ville, forçant plusieurs de ses quartiers à être relocalisés dans les environs

Le dernier réveil significatif du Tavurvur remonte à août 2014. Il était entré dans une phase éruptive de type strombolien. Cette activité se caractérise typiquement par la projection d’un épais panache de fumée noire et de lave en fusion qui, au contact de l’atmosphère, retombe solidifiée. La ville avait alors une nouvelle fois été recouverte d’une couche de poussière volcanique acide qui avait causé des dégâts aux cultures vivrières des environs. Par mesure de précaution, plusieurs communautés placées le plus directement sous le vent avaient aussi dû être évacuées et la plupart des activités de la ville (services publics, écoles, sports) avaient dû être interrompues jusqu’à nouvel ordre. D’autres épisodes intenses avaient eu lieu en 2010 et en 2013.

 Image Carte de la ceinture de feu du Pacifique (en rouge) correspondant aux régions de forte densité de volcans ; les traits bleus sont les principales fosses océaniques. Rémih CC BY-SA 30

La plupart des îles de la Mélanésie, ainsi que toutes les régions du Pacifique concernées régulièrement par cette forte activité volcanique et sismique, constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs, qui englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii en formant une sorte de fer à cheval inversé.



La ceinture de feu du Pacifique est un alignement de volcans qui borde l'océan Pacifique sur la majorité de son pourtour, soit environ 40 000 kilomètres. Cet alignement de volcans coïncide avec un ensemble de limites de plaques tectoniques et de failles. Ces limites sont également marquées par les principales fosses océaniques de la planète. La ceinture de feu compte 452 volcans, soit 75 % des volcans émergés de la planète, qu'ils soient actifs ou éteints. Wikipedia




Polynésie 1ère 30/3/2015

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Héraklion (Grèce) - Le séisme de magnitude 6,1 qui s'est produit jeudi soir en Méditerranée, à l'est de l'île grecque de Crète, n'a pas fait de victimes ni de dégâts matériels graves, selon les premières informations des autorités locales.

L'épicentre du tremblement de terre se trouvait à environ 20 km sous la surface de la mer, à 50 km de la zone où se rejoignent les plaques africaine et eurasiatique, selon l'observatoire géologique américain (USGS).

L'Observatoire géophysique d'Athènes a indiqué que l'épicentre du tremblement de terre, qui a eu lieu à 18H21 GMT, est situé à environ 14 km au large de la petite île de Kassos, dans le nord-est de la Crète où le séisme a été fortement ressenti.

Au début je n'ai pas compris ce qui se passait, j'ai senti un certain malaise, le séisme a duré longtemps, a indiqué un journaliste de l'AFP à Héraklion, chef-lieu de l'île. J'ai sauté de la chaise. La terre a tremblé au moins cinq minutes, a indiqué pour sa part Aglaia Terzakis, qui habite dans le village de Rotassi, à une heure et demi de Héraklion.

Je n'ai pas vu de dégâts matériels mais il fait nuit et c'est difficile de voir ce qui s'est passé, a-t-elle ajouté.

Les séismes en Grèce, pays situé aux confins du sud-est de l'Europe et de la Méditerranée, sont fréquents.


Romandie 16/4/2015

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Taipei - Un avis de tsunami émis lundi matin pour des îles du sud du Japon a été levé peu de temps après un séisme qui a secoué la capitale taïwanaise Taipei, faisant un mort et un blessé mais aucun dégât matériel significatif.

Le séisme survenu à 10H43 (01H43 GMT) à 71 kilomètres des côtes est de Taïwan, et mesuré à 6,6 par l'Institut américain de géophysique (USGS), était susceptible d'entraîner une montée d'eau de 1 mètre sur des îles de l'archipel d'Okinawa, dans l'extrême sud du Japon.

 TopVideos 19/4/2015


Aucun raz-de-marée n'a finalement été enregistré et l'Agence nippone de météorologie a levé son alerte au tsunami environ une heure après la secousse.

Un homme âgé est décédé dans l'incendie d'un immeuble de quatre étages dans la ville taïwanaise de New Taipei City après l'explosion d'un transformateur électrique, ont indiqué les pompiers. Un autre habitant intoxiqué par les fumées a été hospitalisé, selon la presse localeLe Japon ne déplore en revanche ni victimes ni dégâts d'importance.

Les autorités locales avaient conseillé à la population de s'éloigner des côtes en prévision de l'arrivée d'une ou plusieurs grosses vagues. Et un porte-parole du gouvernement à Tokyo avait indiqué qu'une cellule spéciale avait été formée pour rassembler les informations.

Le Japon avait enregistré un petit tsunami en février dernier, lequel était cependant sans commune mesure avec celui du 11 mars 2011 qui avait atteint plusieurs dizaines de mètres par endroits et directement tué plus de 18.000 personnes.

Le Japon est situé à la jonction de quatre plaques tectoniques et enregistre chaque année environ 20% des séismes les plus violents recensés sur la planète.

Kuo Kai-wen, le chef de l'agence de sismologie de Taïwan, a prévenu que d'autres tremblements de terre pourraient survenir dans les prochains mois.

Il s'agit du troisième séisme de magnitude supérieure à 6 depuis le début de l'année, nous n'excluons pas la probabilité de survenue de nouveaux séismes puissants, a-t-il indiqué.


Romandie 19/4/2015

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Un puissant séisme de magnitude 7,9 a ébranlé samedi 25 avril le Népal, selon l'Institut américain de géophysique, et de fortes secousses ont été ressenties dans ce pays himalayen. Le tremblement de terre s'est produit à 77 kilomètres au nord-ouest de la capitale Katmandou, où des murs se sont effondrés et des familles se sont ruées à l'extérieur des habitations.

Selon les médias locaux, les secousses ont duré entre 30 secondes et deux minutes, et ont été ressenties en Inde voisine, jusqu'à la capitale, New Delhi

 Shaniya Pathak 25/4/2015


A Katmandou, une dizaine de corps ont été extraits des ruines de la tour de Dharhara, dans le centre de la capitale népalaise qui a subi d'importants dégâts lorsqu'elle a été ébranlée par un séisme de magnitude 7,9 à l'heure du déjeuner

De nombreux immeubles se sont effrondrés et certaines maisons sont réduites à l'état de ruines. Après les premières secousses, les habitants de Katmandou couraient dans les rues, angoissés, tandis que la recherche de survivants dans les décombres commençait.



Francetv info 25/4/2015

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Une avalanche provoquée par le puissant séisme qui s'est produit samedi 25 avril au Népal a en partie enseveli le camp de base sur le versant népalais de l'Everest et coûté la vie au moins 18 personnes, selon un porte-parole de l'armée. Plus tôt, le ministère du Tourisme népalais avait annoncé la mort d'au moins 10 personne, prévenant que "le bilan pourrait grimper. Il y a sans doute des étrangers ainsi que des sherpas [parmi les victimes]".


 Une avalanche provoquée par le puissant séisme qui s'est produit samedi 25 avril 2015 au Népal a en partie enseveli le camp de base sur le versant népalais de l'Everest et coûté la vie à au moins huit personnes.  (ROBERTO SCHMIDT / AFP)

Le syndicat national des guides de haute montagne assure qu'au moins 10 guides français y menaient en ce moment des expéditions. Interrogé par Benoît Gadrey du bureau de France 2 à Lyon, le syndicat français assure avoir réussi à joindre trois de ces professionnels de la montagne, obtenant des "nouvelles rassurantes".

En reportage à proximité du camp de base, la directrice du bureau de l'AFP au Népal est bloquée sur l'Everest. "Nous avons été pris dans le tremblement de terre sur l'Everest. Nous sommes tous les deux OK... Il neige ici, aucun hélicoptère ne peut arriver jusqu'ici", écrit-elle dans un SMS.

 Alex Gavan @AlexGAVAN
Everest base camp huge earthquaqe then huge avalanche from pumori.Running for life from my tent. Unhurt. Many many people up the mountain.
8:31 AM - 25 Avr 2015

Deux alpinistes expérimentés ont raconté qu'un mouvement de panique s'était emparé du camp de base où se trouvaient de nombreuses équipes de grimpeurs, et qui a été "sérieusement endommagé". L'un d'entre eux a ajouté que le séisme avait aussi provoqué une "énorme avalanche"."Sorti en courant de ma tente pour me sauver la vie. Sain et sauf. Beaucoup, beaucoup de monde dans la montagne", a twitté un alpiniste roumain, Alex Gavan, qui se préparait à attaquer la montée près de Lhotse, le quatrième plus haut sommet du monde.

Un autre alpiniste, Daniel Mazur, a précisé que son équipe était restée coincée au camp numéro 1, un peu plus haut dans la montagne, juste après le séisme. "Un puissant séisme a frappé l'Everest. Le camp de base a été sérieusement endommagé. Notre équipe est bloquée dans le camp n°1. S'il vous plaît, priez pour tout le monde", a-t-il twitté.

 
Daniel Mazur @danielmazur
A Massive earthquake just hit Everest. Basecamp has been severely damaged. Our team is caught in camp 1. Please pray for everyone.
10:16 AM - 25 Avr 2015

Quelque 700 alpinistes se trouvent dans le district de Solukhumbhu où se trouve l'Everest, dont 300 devraient être retenus au camp de base, a indiqué le numéro deux de la police locale. "Nous essayons de les atteindre, de voir s'ils sont en sécurité, mais les téléphones ne fonctionnent pas", a-t-il déclaré depuis la ville de Solukhumbhu que les alpinistes en route pour la montagne sont obligés de traverser.

L'Everest avait été frappé l'an dernier par une gigantesque avalanche qui avait tué 16 guides et conduit à la fermeture de l'accès à la montagne


Francetv info 25/4/2015

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Tandis que des dizaines de corps sans vie sont extraits des décombres, le centre-ville de Katmandou (Népal) n'est plus que poussière et gravats, samedi 25 avril. Le tremblement de terre a duré entre trente secondes et deux minutes, selon les témoins. Son épicentre est localisé à 80 km au nord-ouest de la capitale et les secousses ont été ressenties jusqu'en Inde, à New Delhi.

La vidéo ci-dessous montre la réalité de la situation, toutefois certaines images pourraient heurter la sensibilité de certaines personnes et en particulier des plus jeunes.



De nombreux monuments historiques se sont effondrés, comme une tour édifiée au XIXe siècle, haute de 50 mètres. La place Durbar – classée au patrimoine mondial de l'humanité , est méconnaissable. Les centaines de blessés sont soignés à même le sol et les hôpitaux sont débordés. Désormais sans abri, des centaines de personnes vont passer la nuit dehors, dans la peur de nouvelles répliques.


Francetv info 25/4/2015

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Un très violent séisme a frappé samedi le centre du Népal et la capitale Katmandou. Il a fait plus d'un millier de morts dans le petit pays himalayen, dont au moins 18 sur les pentes de l'Everest, et des dizaines d'autres dans les pays voisins.

La secousse d'une magnitude de 7,9 a provoqué l'effondrement d'habitations et d'une tour historique du XIXème siècle dans la capitale népalaise. Il a également fait des victimes et causé des dégâts en Inde et au BangladeshIl s'agit du plus grave séisme survenu au Népal depuis celui de 1934 qui avait fait plus de 8500 morts.

 CNN 25/4/2015


"Nous sommes totalement coupés de la plupart des régions du pays", a dit Ram Narayan Pandey, de l'Autorité népalaise de gestion des catastrophes, l'agence qui coordonne les secours à partir de Katmandou.

Dans le nord de l'Inde, au moins 34 personnes ont été tuées par l'effondrement de leurs maisons dans les Etats de l'Uttar Pradesh et de Bihar. Le Bangladesh a également fait état d'une victime.

A Katmandou, où l'on dénombre au moins au moins 181 morts, une cinquantaine de personnes ont été prises au piège sous les décombres de la tour Bhimsen, ou Dharara. Ce monument construit en 1832 et haut de 14 étages s'est effondré sous la secousse. Plusieurs corps ont été sortis des décombres.

On craint un bilan important en raison de la fragilité des habitations de la ville, qui compte de nombreux temples hindous en bois.

Le séisme s'est produit à 06h11 GMT à 80 km au nord-ouest de Katmandou, selon l'USGS. Il a provoqué des avalanches dans la région du mont Everest.

Le camp de base de l'Everest, sur le versant népalais, a été en partie enseveli par une coulée de neige, ce qui a coûté la vie à au moins dix personnes, selon le ministère du Tourisme, qui parle d'un bilan provisoire. L'armée indiennne a de son côté annoncé qu'une équipe de ses sauveteurs avait retrouvé les corps de 18 personnes sur les pentes du Toit du monde.

Selon des responsables du ministère népalais, environ un millier de personnes, dont quelque 400 alpinistes étrangers qui voulaient profiter de la saison favorable à l'ascension, étaient présents aux abords du camp de base au moment de la catastrophe

Le séisme a immédiatement suscité des réactions de soutien internationales. Les Etats-Unis ont annoncé l'envoi d'une équipe de secours et le déblocage d'une première enveloppe d'un million de dollars pour venir en aide aux victimes.

La Norvège a de son côté promis 30 millions de couronnes (3,6 millions de francs). D'autres pays, dont l'Allemagne et la Suisse, se sont dit prêts à apporter leur aide.


Romandie 25/4/2015

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Washington - Les Etats-Unis ont annoncé samedi l'envoi d'équipes de secours et le déblocage d'une première enveloppe d'un million de dollars pour venir en aide au Népal, touché par un puissant séisme.

L'agence américaine d'aide USAID se prépare à envoyer une équipe de secours et d'assistance, a déclaré le secrétaire d'Etat John Kerry dans un communiqué, précisant qu'une enveloppe initiale d'un million de dollars destinée à l'aide humanitaire allait être débloquée.

Cette somme servira à répondre aux besoins les plus urgents, a indiqué de son côté Jeremy Konyndyk, directeur du bureau d'assistance aux désastres à l'étranger (OFDA), qui fait partie d'USAID.

En outre, une équipe des pompiers du comté de Fairfax, dans la banlieue de Washington, spécialisée dans la recherche de personnes ensevelies a été activée, a annoncé USAID sur Twitter.

Selon un responsable de la Maison Blanche, le président Barack Obama est tenu au courant de l'évolution de la situation au Népal, où, selon la police, plus de 1.000 personnes ont péri dans le séisme d'une magnitude de 7,8. Plusieurs dizaines de personnes seraient mortes en Inde et en Chine.

Bernadette Meehan, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, a présenté aux victimes et à leurs proches les condoléances les plus sincères du peuple américain. Et Washington se tient prêt à soutenir le gouvernement et le peuple du Népal et ceux de la région.


Romandie 25/4/2015

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Un puissant séisme de magnitude 7,9 a ébranlé samedi 25 avril le Népal et le nord de l'Inde. De fortes secousses ont été ressenties dans la capitale du Népal, Katmandou, et jusqu'à New Delhi.

Selon la police, le bilan provisoire s'est alourdi dans la soirée à 1 341 morts, dont 630 dans la vallée de Katmandou. Le tremblement de terre, le plus grave survenu au Népal depuis celui de 1934 qui avait fait plus de 8 500 morts, a également fait des victimes et causé des dégâts en Inde et au Bangladesh.


 Des militaires et des habitants de katmandou (Népal), tente de déblayer les ruines des bâtiments, mis à terre par un séisme survenu samedi 25 avril, afin de retrouver des victimes.  (PRAKASH MATHEMA / AFP)

Le tremblement de terre s'est produit à 77 kilomètres au nord-ouest de Katmandou, où plusieurs bâtiments se sont effondrés. Selon les médias locaux, les secousses ont duré entre 30 secondes et deux minutes, et ont été ressenties en Inde voisine, jusqu'à la capitale indienne, New Delhi. "Nous sommes en train de réunir davantage d'informations et nous nous efforçons de venir en aide à ceux qui ont été touchés, chez nous et au Népal", a tweeté le Premier ministre indien.

Les Etats-Unis viennent en aide au Népal. Le bureau d'assistance aux désastres à l'étranger (OFDA) "va envoyer une équipe de secours et d'assistance pour répondre au séisme au Népal et a autorisé le déblocage d'un million de dollars pour répondre aux besoins les plus urgents", a écrit Jeremy Konyndyk, directeur de l'OFDA sur Twitter. La France s'est également dite prête à apporter son assistance, annonce l'Elysée dans un communiqué.  

Lire la totalité de l'article détaillé et récapitulatif sur Francetv info 25/4/2015

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Le Népal s'efforçait dimanche de venir en aide aux victimes coincées sous les décombres de bâtiments détruits par le séisme qui a frappé la veille Katmandou et le centre du pays, tuant plus de 2000 personnes. L'aide internationale commence à s'organiser.

Selon un bilan encore provisoire dressé par le ministère de l'Intérieur, au moins 2150 personnes ont péri et plus de 5400 autres ont été blessées. La secousse d'une magnitude de 7,9 sur l'échelle de Richter a également été ressentie sur les pentes du mont Everest. Une avalanche y a partiellement détruit un camp de base à 5500 m d'altitude sur le versant népalais, faisant dix-huit morts.

 euronews (en français) 26/4/2015







Romandie 26/4/2015

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Six experts du Corps suisse d'aide humanitaire se sont envolés dimanche matin pour le Népal. Ils vont évaluer les besoins en aide d’urgence après le violent séisme de samedi. Les oeuvres d'entraide se mobilisent également.

L’équipe d'experts compte, outre son chef et sa suppléante, un médecin, un spécialiste en statique des bâtiments, un logisticien et un expert dans le domaine de l’approvisionnement en eau, détaille le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) dans un communiqué. Elle s’est envolée de Kloten à bord d’un avion de la Rega.

 euronews (en français) 26/4/2015



Romandie 26/4/2015

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En quelques secondes, des blocs entiers d'habitations ont été réduits en ruines. Le bilan humain ne cesse de s'alourdir. Pourquoi ce tremblement de terre est-il si meutrier ? Eléments de réponse.

Plus de 2 000 morts, des immeubles effondrés, des monuments entièrement détruits, des paysages dévastés... Les sauveteurs, confrontés à des destructions massives et des difficultés de communication, s'efforcent, dimanche 26 avril, de retrouver des survivants au lendemain du séisme dévastateur de magnitude 7,8 qui a frappé le Népal.

 Un homme pleure, dimanche 26 avril 2015, près des ruines d'un temple après le séisme qui a touché le Népal la veille, à Bhaktapur, près de Katmandou. (NAVESH CHITRAKAR / REUTERS)

Les images sont frappantes : en quelques secondes, des blocs entiers d'habitations ont été réduits en ruines. Si le bilan, toujours provisioire, est dramatiquement élevé, il n'est malheureusement pas surprenant. Explications.

Une activité sismique intense : Le Népal est situé dans une région qui a l'une des activités sismiques les plus intenses du monde, rappelle la BBC (article en anglais). Le Népal est à la confluence entre deux plaques tectoniques : l'eurasienne et l'indienne. Et les montagnes de l'Himalaya sont la conséquence du choc entre ces deux plaques. "Les géologues avertissent que la présence de nombreuses failles le long des montagnes himalayennes comporte le risque d'un événement sismique de très grande ampleur dans la capitale népalaise", prévenait Slate en 2010.

Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que le Népal est touché par des tremblements de terre : en 1934, un séisme de magnitude 8,3 avait fait plus de 8 500 morts dans la capitale népalaise. En 1988, un séisme d'une magnitude de 6,9 avait provoqué la mort de 1 500 personnes dans le pays. Et en 2011, un séisme de magnitude 6,9 avait ébranlé le nord-est de l'Inde, secouant le Népal, et faisant 110 morts.

"Tous les cinquante ans, un tremblement de terre a lieu, on redoute le prochain et il pourrait se produire très bientôt", confiait  le rédacteur en chef de l'hebdomadaire Nepali Times au Monde, en décembre dernier. La secousse du samedi 25 avril, d'une magnitude de 7,8, a particulièrement touché la région de Katmandou, la capitale népalaise dévastée, comme l'épicentre du séisme, situé dans des régions montagneuses, et coupé du monde par des routes impraticables et des réseaux téléphoniques en panne.


   
BBC News (World) 

✔️@BBCWorld
Photos taken in Kathmandu an hour apart by @siobhanheanue. Latest on Nepal #earthquake: http://bbc.in/1GhYknn 
2:25 PM - 25 Avr 2015

Enfin, le Huffington Post souligne un phénomène aggravant : la vallée de Katmandou se trouve est en fait le lit d'un ancien lac, ce qui produit de fortes vibrations du sol en cas de séisme. De quoi rendre les dégâts encore plus massifs.

Des batiments fragiles : A Katmandou, on craint un bilan important en raison de la fragilité des habitations de la ville. La capitale compte de nombreux temples construits avec des "briques cuites et mortier de boue, avec une structure en bois", selon l'Unesco. Le choc a notamment provoqué l'effondrement de la tour historique de Dharhara, l'une des attractions touristiques majeures de la capitale. Des neuf étages de cette tour blanche surmontée d'un minaret de bronze, datant du XIXème siècle, ne restent que des décombres, comme c'est le cas pour de nombreux temples et palais classés au patrimoine mondial de l'Unesco.

A cela s'ajoute, une architecture anarchique. Car si les anciennes batisses sont en ruine, les "immeubles en ciment de construction plus récentes" le sont également. La raison : "les architectes ont toujours ignoré les normes requises pour minimiser les dégâts en cas de séisme", écrit Le Monde.

"Le plus grave, c'est que le pays est très mal préparé contre les tremblements de terre: les techniques de construction népalaises sont inadaptées et la population urbaine ce cesse de croître", s'alarmait Slate en 2010 en listant les cinq sites les plus exposés du monde à un séisme de grande ampleur...


Francetv info 26/4/2015

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A la suite du violent séisme qui a frappé le Népal faisant au moins plus de deux millier de morts, le ministère des affaires étrangères a mis en place une cellule de crise au quai d'Orsay. "Notre ambassade à Katmandou est mobilisée pour venir en aide aux Français résidant ou voyageant au Népal, avec l'appui de notre ambassade à New Delhi", a-t-il déclaré dans un communiqué publié samedi 25 avril.

Les proches des Français en voyage dans la région sont invités à contacter la cellule de crise, au 01 43 17 53 53.

 Des personnes dans les rues de Katmandou face aux ruines de bâtiments mis à terre par le séisme qui a frappé le Népal, samedi 25 avril 2015.  (ARNE ADRIAN / DPA / AFP)

Aucune victime française signalée pour l'instant : En fin d'après-midi, le porte-parole du ministère a annoncé sur Twitter qu'aucune victime française n'avait été signalée. Il a indiqué par ailleurs que 289 Français étaient répertoriés au Népal (pour des séjours supérieurs à 6 mois) et que 256 autres personnes se sont déclarées sur le site Ariane du ministère, un service permettant aux voyageurs d'être contactés en cas de situation de crise. Interrogé sur France 2, il a cependant précisé que ce chiffre était loin d'être exhaustif, précisant que "plusieurs milliers de Français se trouveraient au Népal".

Romain Nadal 
✔️@NadalDiplo
#Nepal: 289 personnes sont inscrites au registre. 256 personnes sont inscrites sur Ariane. A ce stade, aucune victime française signalée
6:41 PM - 25 Apr 2015

Par ailleurs, le séisme a déclenché une avalanche dans l'Everest qui a fait au moins 18 morts au camp de base, dont des alpinistes étrangers, selon un responsable népalais. Contacté par Benoît Gadrey du bureau de France 2 à Lyon, le syndicat national des guides de haute montagne a assuré qu'une dizaine de guides français y menaient en ce moment des expéditions. Le syndicat français a indiqué avoir réussi à tous les joindre par téléphone, obtenant des "nouvelles rassurantes." Leurs groupes sont sains et saufs, soit dans un camp de base, soit dans des villages, a indiqué le syndicat à France 2. Les guides craignent cependant qu'il soit compliqué de les rapatrier, en raison notamment des nombreuses routes coupées.



Mais pas de rapatriement possible dans l'immédiat : En fin d'après-midi, le ministère n'avait pas indiqué si les touristes français seraient ou non rapatriés vers la France. "Des touristes sont partis à pied vers l'aéroport pour essayer de prendre leurs vols ou rentrer dans leur pays. On ne sait pas, pour l'instant, si un rapatriement est prévu. On va rejoindre l'aéroport demain pour essayer de rentrer en France", indique une anthropologue française sur place, contactée par L'Express.fr.

Selon le site Air Journal, le séisme "a aussi endommagé la piste et l’aéroport de Katmandou. Plus aucun avion n’y atterrissait ou en repartait ce samedi, contraignant les compagnies présentes sur cet aéroport à annuler leurs vols".


Francetv info 25/4/2015

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Dimanche, des hélicoptères ont réussi à atterrir, à la faveur d'une amélioration des conditions météorologiques, pour secourir des victimes de l'avalanche.

En ce début de saison, des centaines d'alpinistes se trouvaient au camp de base de l'Everest, situé à 5 500 mètres d'altitude, quand le séisme les a surpris en pleine ascension, samedi 25 avril. Dix-sept corps ont été retrouvés sur le toit du monde et 61 personnes ont été blessées par l'avalanche, a annoncé dimanche Ang Tshering Sherpa, président de l'Association népalaise d'alpinisme.

Ce bilan, encore provisoire, est le plus élevé jamais enregistré sur les pentes du toit du monde. Dimanche, des hélicoptères ont réussi à atterrir sur le sommet himalayen, à la faveur d'une amélioration des conditions météorologiques, pour secourir des victimes de l'avalanche, a rapporté une journaliste de l'AFP présente sur les lieux.

Selon le centre national des opérations d'urgence népalais, le tremblement de terre de magnitude 7,8 a fait 2 430 morts et plus de 6 000 blessés au Népal même - le plus meurtrier depuis 80 ans - selon un bilan encore provisoire dimanche soir.

 Sous la neige, le camp de base de l'Everest, plus haut sommet de la Terre, a été ravagé par une avalanche qui a fait suite au séisme. ROBERTO SCHMIDT / AFP


 Selon des responsables du ministère népalais du Tourisme, un millier de personnes, dont quelque 400 alpinistes étrangers qui voulaient profiter de la période climatique réputée favorable à l'ascension, étaient présents aux abords du camp de base au moment de la catastrophe. Une centaine d'alpinistes et de guides sont désormais pris au piège dans les camps 1 et 2, situés au-dessus du camp de base. ROBERTO SCHMIDT / AFP



 Selon l'alpiniste américain John Reiter, interrogé par la chaîne américaine CNN, des dizaines de personnes sont sérieusement blessées, avec, pour beaucoup d'entre elles, des blessures à la tête. "Les dernières dix-huit heures ont été rudes", a-t-il confié. AZIM AFIF / AP / SIPA



 Quant à Nick Farr, un Australien membre de l'Everest Academy et du Trek Climb Ski Nepal, il a rappelé que les efforts des sauveteurs étaient compliqués par une couverture téléphonique insuffisante. ROBERTO SCHMIDT / AFP



  En dépit de ces conditions difficiles, les secours sont parvenus à transporter 22 blessés du camp de base à une altitude plus basse. ROBERTO SCHMIDT / AFP



 Le camp de base a presque entièrement été détruit par la première avalanche, la plus puissante, qui a suivi le séisme. Mais de nombreuses autres coulées de neige se sont succédé. AZIZ AFIF /SIPA / AP



 Quinze blessés graves ont pu être évacués à bord d'un avion qui a atterri à Katmandou, dimanche, et un hélicoptère a aussi été envoyé sur zone pour venir en aide aux rescapés. ROBERTO SCHMIDT / AFP



 Parmi les blessés figurent des étrangers mais aussi des sherpas népalais. Celui-ci, protégé par des sacs de couchage, respire à l'aide d'un masque à oxygène. ROBERTO SCHMIDT / AFP



 Six hélicoptères ont atterri sur le camp de base, à la faveur d'une amélioration des conditions météorologiques, a expliqué par texto la responsable du bureau népalais de l'AFP, Ammu Kannampilly. "Les gens sont allongés sur des brancards tandis que les hélicoptères atterrissent - une demi-douzaine ce matin, a-t-elle dit. Le temps est clair, il y a un peu de neige." ROBERTO SCHMIDT / AFP



 Des Népalais membres d'une expédition observent un hélicoptère qui emporte des blessés, au camp de base de l'Everest, dimanche 26 avril.  ROBERTO SCHMIDT / AFP



 "Personne ne sait combien il y a de disparus", a expliqué à l'AFP Shinji Tamura, guide pour Himex Tour. Certaines sources au ministère du Tourisme népalais évoquent 14 morts, d'autres annoncent que 17 corps ont été retrouvés. AZIM AFIF / AP / SIPA







Francetv info 26/4/2015

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Le séisme dévastateur qui a frappé le Népal samedi 25 avril a fait 3 218 morts et plus de 6 500 blessés, selon un nouveau bilan communiqué lundi 27 avril par un responsable népalais. Environ 90 personnes ont trouvé la mort dans les pays voisins comme la Chine et l'Inde.

 Un homme marche dans la ville dévastée de Bhaktapur (Népal), après un tremblement de terre, le 27 avril 2015. (NAVESH CHITRAKAR / REUTERS)


Le point sur la situation :


Des secouristes du monde entier commencent à arriver à Katmandou. Ils sont là pour prêter main forte à des habitants démunis, privés pour beaucoup de leur logement. Les équipes humanitaires internationales ont débarqué avec des équipements spéciaux et des chiens renifleurs.

Le tremblement de terre a déclenché une avalanche sur le mont Everest, où une vague de neige a déferlé sur le camp de base. Dix-huit morts ont été confirmés dans le massif, dont de nombreux étrangers, selon des responsables locaux. Mais ce bilan n'est pas définitif car des personnes sont toujours portées disparues.

Le sol tremble encore régulièrement et les répliques sont très violentes. A Katmandou, des dizaines de milliers d'habitants ont passé une nouvelle nuit dehors, sous des tentes, alors que de fortes pluies se sont abattues sur la ville.

Au moins deux Français ont été tués au Népal dans le séisme, selon Laurent Fabius, qui tient une conférence de presse. La France tente de prendre contact avec 676 Français bloqués dans le pays.  Dix Français sont blessés, selon le ministère de l'Intérieur cité par France 2.

• 1 274 français ont été localisés au #Nepal et contacté par le Quai d'Orsay selon le porte-parole @NadalDiplo. @francediplo


Francetv info 27/4/2015

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Un alpiniste allemand a pu filmer de l'intérieur la terrible avalanche qui a balayé le camp de base.

Une gigantesque masse de neige s'abat soudainement sur la caméra, avant que des cris ne retentissent : "Courez !" Un alpiniste allemand, Jost Kobusch, présent au camp de base de l'Everest au moment du séisme au Népal, a pu filmer de l'intérieur la terrible avalanche qui a balayé le camp. La vidéo a été mise en ligne dimanche 26 avril sur son compte YouTube.

 Jost kobusch 26/4/2015


Les images sont impressionnantes. "Le sol tremble", entend-on, quelques secondes avant de voir déferler une montagne de neige. Les alpinistes n'ont manifestement réalisé qu'au dernier moment la menace qui s'abattait sur eux, et n'ont eu que le temps de se jeter au sol, s'abritant tant bien que mal derrière leurs toiles de tente.

Dix-huit décès ont été confirmés dans le massif de l'Everest par un responsable du tourisme népalais à la suite du séisme. Parmi les morts figurent plusieurs grimpeurs étrangers.


Francetv info 26/4/2015

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Membres de l'ONG Pompiers de l'urgence internationale, ces volontaires sont habitués à intervenir en cas de catastrophes naturelles.

Ils ont quitté la France à l'aube, direction Katmandou (Népal). Des pompiers de Limoges (Haute-Vienne), membres de l'ONG Pompiers de l'urgence internationale, ont été mobilisés dimanche 26 avril pour intervenir sur le toit du monde, frappé par un violent séisme samedi.



Une équipe de France 3 Limousin a assisté aux derniers préparatifs avant le départ. "On prend vraiment le minimum : de la communication, du médical, un sac de sauvetage avec des cordes et des mousquetons et des tentes pour faire une base opérationnelle", explique Michel Tromas, le chef de mission. Leur équipement ne doit pas peser plus de 180 kilos.

Ces volontaires et bénévoles ont l'habitude de ce type d'intervention. Ils ont déjà travaillé en Indonésie, en Haïti, aux Philippines ou à Madagascar. Leur mission au Népal doit durer une dizaine de jours.


Francetv info 27/4/2015

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Le séisme survenu samedi au Népal était attendu par les spécialistes. Explications avec France 2.

Le séisme qui a frappé le Népal, samedi 25 avril, le plus violent dans ce pays depuis plus d'un siècle, était attendu par les sismologues depuis plusieurs années. Cette région du globe, le long de la faille himalayenne, est réputée pour son fort risque sismique.



L'une des plaques, la plaque indienne, se rapproche de 2 cm par an de la plaque asiatique. "Ça n'a l'air de rien, 2 cm par an, mais au bout de quelques siècles, ça fait des mètres, la faille coince et tout d'un coup, elle lâche, c'est le tremblement de terre", détaille Vincent Courtillot, géophysicien. Les deux plaques sont entrées en collision et se sont chevauchées le samedi 25 avril, à 80 km de la capitale népalaise Katmandou.

"Toute cette zone a rompu en moins de deux minutes, générant des vibrations extrêmement intenses. Et malheureusement, cette faille passe sous la ville de Katmandou, à 10 km de profondeur, ce qui explique l'ampleur des dégâts", explique Jérôme Vergne, sismologue à l'Institut de physique du globe de Strasbourg.

Le dernier séisme avait eu lieu en 1934, d'une magnitude de 8,4 sur l'échelle de Richter. Il avait fait 17 000 morts au Népal, mais aussi en Inde.

Francetv info 26/4/2015

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Des dizaines de milliers de Népalais sans logement patientaient sous des tentes de fortune lundi dans l'attente de secouristes après le violent séisme qui a fait plus de 3200 morts. L'aide humanitaire suisse devrait livrer une première évaluation lundi soir.

Munis d'équipements spéciaux et accompagnés de chiens renifleurs, les équipes humanitaires internationales débarquent avec la régularité d'une horloge à l'aéroport de Katmandou, dans la banlieue de cette capitale d'ordinaire dynamique.

Pour la Suisse, six experts du Corps suisse d'aide humanitaire sont partis dimanche à bord d'un avion de la Rega. Ils devraient livrer une première évaluation d'ici à lundi soir, a indiqué le délégué du Conseil fédéral à l'aide humanitaire Manuel Bessler lundi matin à Radio SRF. Une deuxième équipe devrait partir mardi ou mercredi, avec du matériel d'aide.

Le tremblement de terre de magnitude 7,8 survenu samedi a fait 3218 morts et plus de 6500 blessés au Népal même - le plus meurtrier depuis 80 ans -, selon un nouveau bilan publié par le service de gestion des catastrophes du ministère népalais de l'Intérieur.

A Katmandou, des dizaines de milliers d'habitants ont passé une nouvelle nuit dehors, sous des tentes de fortune. Le sol tremble encore régulièrement et beaucoup n'ont pas fermé l'oeil de la nuit, n'ayant que quelques bâches de plastique pour se protéger des fortes pluies qui se sont abattues sur la ville.

Les survivants ont besoin d'eau potable et de denrées de base tandis que les zones rurales attendent désespérément l'arrivée de secours, selon un responsable du gouvernement.

"Nous avons besoin d'hélicoptères pour les opérations de secours dans les zones rurales", explique le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Laxmi Prasad Dhakal."Nous avons aussi besoin d'eau potable et de vivres pour les survivants", a-t-il ajouté.

Les grimpeurs qui étaient bloqués depuis deux jours à haute altitude dans l'Everest suite à une avalanche consécutive au séisme ont commencé à être évacués par hélicoptère. Trois appareils ont pu atteindre les camps 1 et 2, situés à plus de 6000 mètres, a indiqué l'alpiniste roumain Alex Gavan.

Les survivants sur l'Everest décrivent un nuage de roches et de glace qui a déferlé samedi sur le camp de base. L'avalanche a fait au moins 17 morts. Plus de 60 personnes ont été blessées.

Selon les estimations, une centaine de grimpeurs et de guides seraient sains et saufs mais coincés aux camps 1 et 2 depuis le tremblement de terre de magnitude 7,9 de samedi qui a rendu impraticable la cascade de glace du glacier du Khumbu qui les relie au camp de base.


Romandie 27/4/2015

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Vingt élèves d'une école des environs de Lille, âgés de 14 à 16 ans, étaient partis au Népal pour donner des cours à des enfants népalais.

C'est une bonne nouvelle que rapporte France Bleu Nord, lundi 27 avril : vingt élèves scolarisés en classe de seconde dans un lycée près de Lille, et partis au Népal pour un voyage humanitaire, ont été retrouvés sains et saufs après le tremblement de terre dévastateur dans lequel plusieurs milliers de personnes ont trouvé la mort.

Des immeubles effondrés à Katmandou (Népal), le 26 avril 2015. (BIKASH KHADGE / CITIZENSIDE.COM / AFP)

L'école a été entièrement détruite, mais les enfants sont indemnes, poursuit-elle. "Ils sont en bonne santé. Ils ont des couvertures pour dormir dehors, et ils ont de la nourriture. Ils ont eu beaucoup, beaucoup de chance". Dès samedi, l'un des professeurs avait réussi à envoyer un mail pour rassurer les parents. Depuis, la classe française est bloquée à quelques kilomètres de la capitale, Katmandou.

"C'est le chaos à Katmandou. Ils sont injoignables", précise sur France Bleu Nord Didier Plasse, père de Noah, 14 ans, qui fait partie du groupe. "Les téléphones portables ne passent pas. On a des informations par un prof qui nous envoie des informations par mail." En liaison avec l'ambassade de France, l'école s'active pour rapatrier les enfants au plus vite.


Francetv info 27/4/2015

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Des centaines de personnes tentent de fuir Katmandou, la capitale du Népal dévastée par le séisme qui a fait plus de 4000 morts. L'ONU a promis une aide humanitaire massive aux sinistrés et la Suisse tente toujours de contacter des dizaines de ses ressortissants (tout comme la France).

Les rescapés du tremblement de terre se ruaient en masse sur les produits alimentaires et les stations-service pour faire des réserves, redoutant des pénuries. Les craintes de maladies ont également émergé parmi les dizaines de milliers d'habitants ayant perdu leur logement et contraints de camper dans des parcs.

Des familles se tassaient dans des cars, certains assis sur le toit, et dans des voitures pour rejoindre leur village d'origine et constater les dégâts. De leur côté, munies d'équipements spéciaux et accompagnés de chiens renifleurs, les équipes humanitaires débarquent à l'aéroport de la capitale où des Népalais tentaient de trouver un vol.

Le Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU prépare une opération "massive" d'aide et espère envoyer au plus vite un premier avion chargé d'aide alimentaire, a annoncé une de ses porte-parole à Genève. Les Etats-Unis vont apporter au total dix millions de dollars d'aide, selon le secrétaire d'Etat John Kerry.

La Suisse a renoncé à envoyer des chiens, pas adaptés à cet environnement de boue, a expliqué le délégué du Conseil fédéral à l'aide humanitaire Manuel Bessler. Les experts dépêchés dimanche ont été rejoints par un autre, avant l'arrivée d'un huitième expert mardi.

Le tremblement de terre, le plus meurtrier en 80 ans au Népal, a fait 4010 tués et plus de 7500 blessés dans ce pays, selon un bilan diffusé par le service de gestion des catastrophes du ministère népalais de l'Intérieur. Certains n'excluent pas que la catastrophe ait fait plus de 5000 tués. Plus de 90 personnes ont par ailleurs péri en Inde et en Chine.

Aucun Suisse ne figure parmi pour l'heure parmi les victimes, a précisé le chef du Centre de gestion de crises du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), Ralf Heckner.


Romandie 27/4/2015

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Une troisième victime très probable et 560 Français toujours recherchés. Quatre jours après le séisme au Népal, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a fait le point mardi 28 avril sur la situation des Français sur place.



"Il y a de fortes présomptions qu'un autre Français ait été emporté par une avalanche", a déclaré Laurent Fabius lors d'un point-presse, précisant que "sa compagne avait été blessée". Le ministre avait déjà annoncé lundi la mort de deux Français à Katmandou.

"Une vingtaine de nos compatriotes ont été blessés, la plupart hospitalisés à Katmandou", a poursuivi le ministre, ajoutant qu'il y avait "des blessés sérieux" mais aucun dont le pronostic vital serait engagé. "Nous avons localisé 2 050 Français qui sont sains et saufs", a précisé le ministre, mais le Quai d'Orsay reste sans nouvelles de 560 autres de ses ressortissants.


Francetv info 28/4/2015

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Deux jours après le séisme qui a secoué le Népal, le bilan fait état de plus de 4000 morts. Francetv info a interrogé Gérard Pascal, chirurgien pour Médecins du monde, qui part lundi soir à Katmandou.

Hôpitaux surchargés, pénurie de médicaments et accès aux soins difficile... Le séisme qui a secoué le Népal samedi 25 avril a fait plus de 7 500 blessés et 4 000 morts. Et les équipes humanitaires se préparent à affronter une "situation de sidération totale". 

 Des victimes du séisme reçoivent des soins à l'hôpital de Dhading Besi (Népal), le 27 avril 2015. (ATHIT PERAWONGMETHA / REUTERS )

Douze membres de l'ONG Médecins du monde (chirurgiens, médecins, infirmiers et logisticiens) décollent de Paris lundi 27 avril au soir, direction Katmandou. Leur mission : aider des équipes médicales népalaises complètement débordées, et porter secours aux victimes ensevelies. Gérard Pascal est chirurgien, membre de l'équipe d'urgence de Médecins du monde. Contacté par francetv info, il redoute que certaines populations isolées ne puissent pas être soignées.

Francetv info : Quel est l'état du système médical népalais ?

Gérard Pascal : Il faut comprendre que le système de santé népalais est assez inégalitaire. A Katmandou, dans la capitale, il y a trois hôpitaux qui sont assez bien équipés, avec plusieurs spécialisations de chirurgie qui permettent de couvrir les soins de base : orthopédie, digestion, traumatologie... Mais dès qu'on s'éloigne de cette ville, l'accès aux soins est très précaire. Les Népalais vont souvent à Katmandou pour se faire soigner, mais le système de santé n'est pas assez solide pour s'occuper des 27 millions d'habitants du pays.

Après le séisme, les principales routes ont été complètement détruites, des villages ont sûrement été rayés de la carte. Nous sommes dans une région montagneuse, ça va être très difficile pour nos équipes de se rendre sur place. Résultat : plusieurs régions sont actuellement enclavées et leurs habitants sont isolés. On va essayer de s'y rendre, d'improviser sur place en fonction de la situation, de trouver des centres de santé fonctionnels. Cela risque de prendre beaucoup de temps, et donc d'écourter la survie de ces personnes. On part avec près de 20 tonnes de matériel ce soir, dont une clinique mobile qui nous permettra d'apporter des premiers soins n'importe où.

Francetv info : Quels sont les types de traumatismes les plus fréquents lors d'un séisme ?

Gérard Pascal : Lors d'une catastrophe de cette ampleur, les blessures et les traumatismes sont évidemment très lourds. Les personnes ensevelies ont souvent les membres écrasés, il faut faire des amputations lorsque les organes ne sont pas soignés à temps. Les premières 48 heures après une catastrophe sont cruciales si l'on veut sauver les blessés. Au-delà, le risque d'infection est beaucoup plus grand et peut aggraver la situation, et atteindre la vitalité des os par exemple.

Il ne faut pas oublier non plus les risques liés à la rupture brutale de soins. Le pays est en état de pénurie, il n'y a pas de médicaments, ni d'accès à l'eau potable. Les personnes qui suivent un traitement quotidien, comme les diabétiques ou les asthmatiques, sont aussi en grand danger, car elles ne peuvent plus se soigner.

Francetv info : Qu'en est-il de l'accompagnement psychologique ?

Gérard Pascal : Même si l'aspect psychologique est primordial, il sera mis en place après les premiers soins d'urgence, d'ici une quinzaine de jours, lorsque de nouveaux renforts de Médecins du monde seront déployés. En général, lors d'un séisme, les traumatismes psychologiques apparaissent quelques semaines après la catastrophe. Actuellement, la population est encore en état de choc et il est trop tôt pour déceler ce genre de traumatisme.

Nous allons essayer de recruter des psychologues sur place qui pourront prendre en charge les victimes et déceler des risques de dépression, de psychose ou de névrose.


Francetv info 27/4/2015

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Lundi 27 avril, deux jours après le séisme survenu au Népal, les secours internationaux arrivent enfin sur place. Les zones plus reculées commencent à être aidées.

Plus de 48 heures après le tremblement de terre qui a secoué le Népal, les secours étrangers arrivent du monde entier. À 80 kilomètres au nord-ouest de Katmandou, la province rurale de Gorkha est au cœur du drame. Pour la première fois, les secours atteignent ces zones isolées. Un hélicoptère indien apporte de quoi manger. Les militaires repartent ensuite avec les blessés les plus graves.



À Katmandou, l'espoir renaît un peu grâce à l'arrivée de l'aide internationale. Si des rescapés sont encore retrouvés, chaque jour qui passe amenuise les chances de retrouver les survivants. Au bord de la rivière, les crémations se succèdent selon le rite hindouiste. "C'est toute une nation qui est en deuil", déclare la journaliste de France 3. Les habitants ont peur des répliques. Ils préfèrent rester dormir dehors. Trois jours après le séisme, c'est presque une deuxième ville qui se constitue sous des abris de fortune.


Francetv info 27/4/2015

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Le bilan s'allourdit après le séisme qui a frappé le Népal, samedi 24 avril. Un dernier bilan réalisé, mardi 28 avril, par les autorités népalaises fait état de plus de 5 000 morts. Un troisième Français a "probablement" été tué, a par ailleurs annoncé Laurent Fabius. Le ministre des Affaires étrangères a précisé que 560 Français étaient toujours introuvables, et que 2 050 autres avaient été localisés et étaient sains et saufs.

 Les recherches se poursuivent à Katmandou (Népal), mardi 28 avril 2015, pour retrouver des victimes du séisme. ( ANADOLU AGENCY / AFP)

• Le nouveau bilan du séisme s'établit désormais à 5 000 morts. La catastrophe a fait également 7 953 blessés. Les secouristes tentent de rejoindre les régions reculées proches de l'épicentre de ce tremblement de terre de magnitude 7,8.

Huit millions de personnes sont touchées par le séisme, selon l'ONU. Plus de 1,4 million de personnes ont besoin de nourriture, la population manquant également d'eau et d'abris, précise l'organisation dans un rapport.

Des centaines de personnes tentaient lundi de fuir Katmandou, la capitale du Népal. Les rescapés se ruaient sur les produits alimentaires et les stations-service pour faire des réserves, redoutant des pénuries. Les craintes de maladies ont également émergé parmi les dizaines de milliers d'habitants ayant perdu leur logement et contraints de camper dans des parcs.

Les pays voisins du Népal ont également été touchés. Près de 100 personnes ont trouvé la mort, notamment en Inde et en Chine.

Francetv info 28/4/2015

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Parmi les secouristes qui partent pour le Népal, ce ne sont pas ceux à qui on pense d'emblée. Et pourtant, des Architectes de l'urgence, une fondation d'utilité publique, sont pressés de se rendre sur place pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être.

Des dizaines de milliers de Népalais ont perdu leur maison en quelques secondes, et les constructions qui restent debout sont fragilisées. Beaucoup d'entre elles menacent de s'effondrer, comme l'explique Claude Marcotte, de France 2.



"Nous, notre travail, cela va être d'abord d'établir des périmètres de sécurité, et ensuite, travailler sur des problématiques qui sont des renforcements de bâtiment et de relogement, si on peut le faire, mais ça, ça demande des moyens, et cela va s'inscrire dans la durée", explique Patrick Coulombel, directeur d'Architectes de l'urgence. 

Une mission à court et à long terme, car pour les Architectes de l'urgence, installer des tentes n'est pas suffisant. Il faut donc dès à présent penser à la construction d'hébergements d'urgence, mais en dur. Cela pourrait prendre plusieurs années.


Francetv info 28/4/2015

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Trois jours après le séisme au Népal, les secouristes et l'armée népalaise fouillent les décombres des immeubles de Katmandou, à la recherche de rescapés. Sur ces images tournées lundi 27 avril, des soldats extirpent une femme des gravats, avant de l'évacuer par hélicoptère.



Selon les Nations unies, le séisme a affecté 8 millions de personnes. Plus de 1,4 million de personnes ont besoin de nourriture, la population manquant également d'eau et d'abris, précise l'organisation dans un rapport.

Selon les derniers chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur, 4 349 personnes ont été tuées et plus de 7 000 personnes blessées par le séisme de magnitude 7,8 qui a frappé la région samedi. "C'est un défi et un moment très difficile pour le Népal", a déclaré le Premier ministre, Sushil Koirala, qui en appelle à l'aide internationale pour obtenir des tentes et des médicaments.


Francetv info 28/4/2015

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Terminaux bondés, file d'attente de plus d'un kilomètre avant d'embarquer... Trois jours après le terrible séisme qui a frappé le Népal, samedi 25 avril, l'aéroport international Tribhuvan de Katmandou est en plein chaos.

De nombreuses organisations humanitaires parties lundi soir pour Katmandou ont été obligées de faire escale dans d'autres villes (New Delhi, Bangkok, Abu Dhabi) faute de pouvoir atterrir au Népal. "Toutes les associations présentes dans l'avion affrété par le ministère des affaires étrangères français sont bloquées", indique Sarah Erskine, membre de l'association Solidarités international, contactée par francetv info. "Nous avons fait escale cette nuit à l'aéroport d'Abu Dhabi et nous devrions arriver mercredi matin à Katmandou, mais cela retarde beaucoup les secours".

 Des touristes attendent devant l'aéroport de Katmandou (Népal), le 27 avril 2015. (AXEL HAGER / DPA)

Selon RTL Belgique, une équipe de 43 secouristes belges, partie dimanche soir, attend toujours de pouvoir atterrir à Katmandou. Lundi, leur avion a dû faire demi-tour faute de place et a fait escale à New Delhi (Inde).

De nombreuses organisations connaissent le même sort : des avions chargés d'aide humanitaire en provenance de Singapour n'ont pas pu atterrir à Katmandou lundi à cause de la congestion. Ils ont été déroutés et ont atterri à Calcutta, en Inde, précise le journal The Straits Times (en anglais).

Après le violent séisme qui a fait plus de 4 000 morts et 7 900 blessés, des milliers de survivants et de touristes tentent de quitter le pays. Sur les réseaux sociaux, certains passagers montrent des photos des files d'attente devant l'aéroport et de la cohue qui règne à l'intérieur du bâtiment.

 
Denis Therriault @DenisTherriault
#Kathmandu | Aéroport international plein d'étrangers qui veulent quitter pays #NepalQuake http://xhne.ws/JUEX1 
2:08 PM - 26 Avr 2015

Un touriste américain en visite au Népal a filmé l'intérieur de l'aéroport. "Ici, c'est le chaos total, l'aéroport est très petit et c'est la seule manière de quitter le pays. Les gens attendent de savoir si leur vol va décoller. Certains dorment par terre depuis deux jours."

Sur sa vidéo, publiée sur ABC News (en anglais), on peut voir des files d'attente de plusieurs mètres devant l'aéroport et des dizaines de personnes assises par terre, en attendant de pouvoir embarquer.


Francetv info 28/4/2015

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Au moins 18 alpinistes ont trouvé la mort sur les pentes du mont Everest samedi 25 avril, suite au violent séisme qui a frappé le Népal. Un trekkeur allemand, Josh Kobush, a filmé l'avalanche mortelle qui s'est abattue sur le camp de base de l'Everest, situé à 5 500 mètres d'altitude. Au cœur de l'avalanche, engloutis par le nuage blanc, les alpinistes sont recouverts de neige, haletants de peur. En une fraction de seconde, tout a été balayé.



Pris dans la tourmente, Michael Churton, un jeune alpiniste anglais, raconte son calvaire. "Tout a disparu. Nos tentes n'étaient plus là. Les gens ont été propulsés. Une personne a disparu sans qu'on sache si elle est encore vivante", confie-t-il.

Un premier décompte fait état de 18 morts et une soixantaine de blessés. Les plus gravement blessés ont été évacués par hélicoptère et les plus valides sont redescendus par leurs propres moyens, avec des images cauchemardesques en tête. "Nous avons vu des horreurs. Certains ont eu le bras arraché par des chutes de pierres", confient, au micro de France 3, deux rescapés. Lundi 27 avril, environ 800 personnes sont toujours quelque part sur les flancs de l'Everest.


Francetv info 28/4/2015

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La vie reprend peu à peu son cours dans la capitale népalaise. Une équipe de France 3 fait un point sur la situation.

De nombreux Népalais quittent les villes pour rejoindre la campagne après le violent séisme de samedi 25 avril. Tous ont peur d'éventuelles nouvelles répliques ou d'effondrements des bâtiments.



Katmandou n'est plus que ruines et gravats. Après le chaos de ces derniers jours, la vie reprend lentement son cours, mais les problèmes restent nombreux. "Tout est sale, pas de toilettes convenables, pas d'eau, pas d'électricité", déplore une habitante au micro de France 3. Devant les rares camions-citernes de l'armée, les files d'attente s'allongent pour obtenir un peu d'eau.

Sur les bords de la rivière Bagmati, les crémations ont commencé. Pour éviter les épidémies, "le gouvernement népalais a ordonné les crémations pendant 24 heures. L'armée a fourni le bois et les corps sont brulés sur place", explique un Népalais.



Francetv info 28/4/2015

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Katmandou - Quelque 250 personnes sont portées disparues après une avalanche survenue mardi dans une région du Népal proche de l'épicentre du récent séisme meurtrier et se trouvant sur un parcours de trekking connu, a indiqué un responsable local.

Une avalanche est survenue aujourd'hui dans l'après-midi à Ghodatabela, une zone se situant sur le trek connu de Langtang, a dit ce responsable, Uddhav Prasad Bhattarai.

Il est difficile de donner le nombre exact de disparus mais ils pourraient être 250 selon une première estimation. Des touristes étrangers pourraient se trouver parmi les personnes disparues mais la zone est difficile d'accès et les communications compliquées, a ajouté ce responsable.

Les opérations de secours ont commencé mais sont freinées par le mauvais temps, selon M. Bhattarai.


Romandie 28/4/2015

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Jusqu'à 50'000 personnes pourraient être blessées suite au tremblement de terre qui a frappé le Népal samedi, a affirmé mardi Handicap International. Les 50 employés de l'ONG présents sur place donnent la priorité aux soins aux blessés.

Leur objectif est d'appuyer les hôpitaux saturés, de limiter les risques de handicaps durables en proposant un suivi après la sortie de l’hôpital, et de prodiguer des soins de réadaptation, a précisé l'ONG.

Le nombre de blessés ne cesse de s’accroître: 6500 sont officiellement recensés, mais leur nombre pourrait dépasser les 50'000, de nombreuses zones proches de l’épicentre du séisme n’ayant pas encore reçu de l’aide, compte tenu des difficultés d’accès, a affirmé Handicap.

Le type de blessures constatées lors de tremblements de terre est généralement lourd: fractures, écrasement des membres, gangrène. Afin que les blessures ne s’aggravent pas et que les patients ne développent pas de séquelles invalidantes, il est important que les blessés soient rapidement pris en charge puis qu’ils aient accès à des soins de réadaptation.

Hélène Robin, responsable de l’urgence Népal à Handicap International, a comparé la situation au séisme de janvier 2010 à Haïti. "Notre intervention en Haïti après le tremblement de terre nous a appris qu’il faut conserver un contact avec les blessés quand ils rentrent chez eux ou chez des proches, pour continuer à leur apporter des soins et donc éviter qu’ils ne développent des handicaps définitifs", a-t-elle souligné.

Le Premier ministre népalais a décrété trois jours de deuil national en souvenir des victimes du séisme qui a tué plus de 5000 personnes selon un dernier bilan. Il a aussi remercié les donateurs, lors d'une allocution télévisée mardi.

"En mémoire des Népalais, des frères et soeurs étrangers, des anciens et des enfants qui ont perdu la vie dans ce séisme meurtrier, nous avons décidé d'observer trois jours de deuil national à partir d'aujourd'hui", a déclaré Sushil Koirala.


Romandie 28/4/20145

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Le bilan du séisme de samedi au Népal pourrait s'élever à 10'000 morts, a déclaré mardi le Premier ministre Sushil Koirala, alors plus de 5000 décès ont déjà été recensés. Les habitants déploraient la lenteur de la réaction des autorités face à la catastrophe.

M. Koirala, qui a décrété trois jours de deuil national, a estimé que le bilan du séisme de samedi pourrait s'élever à 10'000 morts.

La catastrophe a fait 5057 morts et plus de 10'000 blessés au Népal, selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur, tandis qu'une centaine d'autres sont mortes en Inde et en Chine. Parmi ces victimes figurent les 18 alpinistes tués dans l'avalanche monstre qui s'est produite samedi sur l'Everest.

Quelque 250 personnes, dont des touristes étrangers, sont portées disparues après une autre avalanche survenue mardi, a indiqué un responsable local.

Jusqu'à 50'000 personnes pourraient être blessées suite au tremblement de terre, a affirmé de son côté Handicap International. Le type de blessures constatées lors de séismes est généralement lourd: fractures, écrasement des membres, gangrène.

Au total, quelque huit des 28 millions d'habitants du Népal sont affectés, d'une manière ou d'une autre, selon l'ONU.

Le Premier ministre népalais a déclaré que le gouvernement allait tenter de faire parvenir de l'aide d'urgence dans les villages les plus isolés. "Nous recevons des appels à l'aide de toutes parts. Mais nous sommes dans l'incapacité d'organiser simultanément les secours dans de nombreux endroits en raison du manque d'équipements et de spécialistes", a ajouté M. Koirala.

Parallèlement dans Katmandou, la capitale ravagée, les habitants se pressaient dans les magasins pour faire des réserves de denrées de base. De longues files d'attente s'étaient formées devant les stations-service pour y faire le plein.

Les hôpitaux sont débordés et les médecins sont mobilisés 24 heures sur 24 pour soigner les blessés dans des conditions très difficiles. Les morgues arrivent à saturation.

Des appareils des forces aériennes de plusieurs pays se sont joints aux secours. La Suisse, qui dispose d'un bureau de coordination de la Direction du développement et de la coopération (DDC) au Népal, a envoyé sur place une équipe médicale de 10 personnes alors qu'une livraison de matériel d'aide humanitaire est prévue jeudi, a indiqué le Département fédéral des affaires étrangères dans un communiqué diffusé mardi.

Sans attendre, le Programme alimentaire mondial a lancé une opération massive pour aider 1,4 million de personnes. Il va y consacrer 116 millions de dollars (110 millions de francs). Quant à l'UNICEF, elle a lancé un appel urgent aux dons, alors que près de 2,8 millions d’enfants sont touchés par la catastrophe. UNICEF Suisse a débloqué 400'000 francs pour l’aide immédiate.

Des ONG suisses se mobilisent également. Alors que la Chaîne du Bonheur organise une collecte nationale le 5 mai, Terre des hommes, Caritas ou Solidar Suisse ont annoncé mardi l'envoi de personnel et de fonds.


Romandie 28/4/2015

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