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Séismes dans le monde (sauf France et Japon)

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Le ministre des Affaires étrangères a précisé que trente Français n'avaient toujours pas été localisés, mercredi matin.

Laurent Fabius a donné un nouveau bilan du nombre de victimes françaises, mercredi 6 mai sur Europe 1, après le séisme qui a frappé le Népal le 25 avril. Le ministre des Affaires étrangères a fait état de quatre morts français, et s'est dit "extrêmement inquiet" du sort de neuf autres personnes. Trente ressortissants "n'ont pas encore été localisés", a-t-il ajouté.



Dimanche, dans son dernier bilan, le Quai d'Orsay parlait de trois morts et sept personnes "présumées disparues". Un groupe de six randonneurs français, notamment, se trouvait sans doute dans le village de Langtang, complètement ravagé par une avalanche.

Le bilan total de la catastrophe se situera "probablement autour de 10 000 morts", a estimé Laurent Fabius, le dernier chiffre donné par les autorités népalaises étant de 7 557 morts et 14 000 blessés. Le chef de la diplomatie française a rendu hommage aux ONG et aux administrations, "qui ont fait un travail magnifique".


Francetv info 6/5/2015

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La zone a été complètement ravagée par les chutes de neige et de pierres provoquées par le séisme qui a frappé le Népal le 25 avril dernier.

C'est une des images les plus marquantes des dégâts causés par le tremblement de terre du 25 avril. La vallée de Langtang, au nord de Katmandou (Népal), n'est aujourd'hui plus qu'un amas de boue, de roches, et de neige fondue. Le village n'existe plus. 



Une équipe de France 2 a pu survoler la zone : on n'y distingue que quelques ruines à basse altitude. "Avant, c'était un grand village, l'avalanche est venue de là-haut", explique le pilote de l'hélicoptère en indiquant le massif montagneux qui entoure la vallée.

Tout s'est passé en moins d'une minute. La montagne s'est littéralement écroulée sur le village. Par endroit, la terre s'est même ouverte. Quand l'hélicoptère se pose, des sacs blancs attendent d'être embarqués. Ils contiennent quatre corps retrouvés quelques heures plus tôt, qui n'ont pas été identifiés.


Francetv info 5/5/2015

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Sydney - Un séisme de magnitude 7,1 s'est produit jeudi entre les îles Salomon et la Papouasie-Nouvelle-Guinée, dans le Pacifique, déclenchant brièvement une alerte au tsunami, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS).

Le séisme est survenu à 07H10 GMT à une profondeur de 23 kilomètres, à 144 kilomètres au sud-ouest de la ville la plus proche de Panguna, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, et à 642 kilomètres de la capitale des Salomon, Honiara. L'USGS avait dans un premier temps annoncé un séisme de magnitude 7,2.

Le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique a mis en garde contre des vagues de tsunami dangereuses (...) possibles pour les côtes situées dans un rayon de 300 kilomètres autour de l'épicentre avant de lever son alerte.

 JoL™️ 7/5/2015


Selon le sismologue Jonathan Bathgate de Geoscience Australia, l'impact éventuel d'un tsunami modéré dans cette région était limité. C'est un littoral faiblement peuplé et nous pensons que même si un petit tsunami se produit, il ne sera quasiment pas ressenti, avait-il ajouté.

Il s'agit de la seconde alerte au tsunami cette semaine pour cette région située sur la Ceinture de feu du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.

Un séisme de magnitude 7,4 et une alerte au tsunami avaient déclenché un début de panique mardi sur l'île de Nouvelle-Bretagne, mais la menace était passée sans faire ni dégâts matériels ni victimes.

En 2013, un séisme de magnitude 8 avait fait dix morts et détruit des centaines d'habitations sur les Salomons.

Romandie 7/5/2015

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L'aide fait encore défaut dans les zones les plus isolées au Népal, a affirmé jeudi à Genève la Fédération internationale de la Croix-Rouge. La distribution des secours doit être accélérée pour répondre aux "immenses besoins" persistant dans ces régions.

Il faut y répondre avant que la mousson n'arrive au mois de juin, a averti Dev Ratna Dhakwa, secrétaire général de la société de Croix-Rouge népalaise. Les sinistrés dans les villages les plus éloignés et dans les zones montagneuses sont extrêmement vulnérables, a-t-il souligné.

Les volontaires de la Croix-Rouge découvrent encore de nombreuses familles entassées sous des abris de fortune. Il faut les atteindre de toute urgence avec des tentes et des bâches avant que les routes ne soient impraticables et que les pluies n'isolent des communautés entières, a affirmé la Croix-Rouge.

Des avions remplis de secours de la Fédération internationale de la Croix-Rouge atterrissent pratiquement tous les jours à l'aéroport de Katmandou et des marchandises sont aussi acheminées par voie terrestre depuis l'Inde. Des camions partent quotidiennement de la capitale pour les quatorze districts les plus touchés.

Mais des défis logistiques majeurs persistent pour atteindre tous les sinistrés en dehors de la vallée de Katmandou, signale la Fédération. Elle a distribué jusqu'ici des tentes et bâches pour abriter 130'000 personnes et 30'000 bâches supplémentaires doivent arriver ces prochains jours.


Romandie 7/5/2015

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Deux semaines après le séisme au Népal qui a fait plus de 7 500 morts et 14 000 blessés, la situation des rescapés reste particulièrement difficile dans les zones les plus reculées.

Vu du ciel, Kerauja n'est plus qu'un vaste champ de ruines. Le village, planté au sommet d'une montagne, est dévasté. Peu de maisons ont résisté au tremblement de terre. Les survivants se déplacent au milieu des gravats. Le village ne peut être ravitaillé que par voie aérienne, comme des dizaines d'autres dans cette région proche de l'épicentre du séisme.



Depuis quelques jours, le programme alimentaire mondial (PAM) est à pied d'oeuvre. "Nous avons distribué des vivres à plus de 260 000 personnes et nous avons l'intention d'atteindre 1,4 million de personnes au cours des trois prochains mois", explique au micro de France 3, Angeli Mendoza, porte-parole du PAM.

Chautara, village de 6 000 habitants, à trois heures de Katmandou est lui aussi totalement dévasté. Les secours sont dans une course contre la montre pour soulager les populations les plus reculées, avant l'arrivée de la mousson de juin. Un défi, alors que l'ONU annonce n'avoir reçu qu'une infime partie des fonds d'urgence.


Francetv info 9/5/2015

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Les proches des Français toujours portés disparus au Népal sont en colère contre les autorités françaises. Une équipe de France 3 fait le point sur la situation.

Après le séisme au Népal qui a fait près de 8 000 morts fin avril, neuf Français sont toujours portés disparus. Leurs familles estiment que le gouvernement ne fait pas le maximum pour les retrouver. Ces ressortissants français participaient à un trek dans le parc national du Langtang, proche de l'épicentre du séisme. Pour les secouristes espagnols qui fouillent la zone, la tâche est immense. Tous les villages ont été dévastés.



A la recherche des corps de ses ressortissants, la France a envoyé un guide de haute montagne. Paris ne prévoit pas d'autre mission de recherche sur place. Alors, à 7 000 km de là, les familles françaises tentent de faire bouger les choses. Elles dénoncent l'immobilisme des autorités. "Dans la recherche des corps, pour nous, rien n'a été fait, tout reste à faire. Peut-être que c'est très chaotique, mais au moins que la France essaye de mettre les moyens", confie Valentin Curmi, frère d'un disparu.

Face au désarroi des familles, le ministère des Affaires étrangères assure que tout est fait pour retrouver les victimes. Leurs proches devraient être reçus dans quelques jours au Quai d'Orsay.


Francetv info 10/5/2015

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Selon les autorités népalaises, le bilan, en date du 11 mai, de ce tremblement de terre est de 7 800 morts et près de 16 000 blessés. Par ailleurs, le séisme a détruit 300 000 maisons.

 Un homme marche au milieu des décombres à Lamosangu, au Népal, le 11 mai 2015. ( ANADOLU AGENCY / AFP)

Le bilan s'alourdit, deux semaines après le séisme au Népal. Le nombre de Français tués le 25 avril s'élève désormais à dix, a déclaré, lundi 11 mai, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères français. "S'agissant de nos ressortissants, dix d'entre eux ont péri dans cette catastrophe : deux à Katmandou, huit dans la vallée du Langtang", a précisé le porte-parole du Quai d'Orsay.

La vallée de Langtang, au nord de Katmandou, n'est aujourd'hui plus qu'un amas de boue, de roches et de neige fondue. Une équipe de France 2 a pu survoler la zone le 6 mai dernier (voir l'un des précédents messages).


Francetv info 11/5/2015

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Katmandou - Un séisme de magnitude 7,4 a touché mardi le Népal, déjà dévasté par un tremblement de terre meurtrier le 25 avril, semant la panique dans la capitale, Katmandou, selon des témoins et l'Institut américain de géophysique (USGS).

Les habitants terrifiés de la capitale se sont rués à l'extérieur peu après la secousse qui s'est produite à 12H35 locales et a duré environ une minute, selon une journaliste de l'AFP.

Des sirènes ont retenti dans la ville, cependant aucune victime n'était annoncée dans l'immédiat.

 Lekha Yadav 12/5/2015


Le séisme du 25 avril a détruit d'importantes zones de Katmandou et fait des dizaines de milliers de sans-abri. Il a tué plus de 7.800 personnes au Népal et une centaine en Inde et en Chine.


Romandie 12/5/2015

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Un violent séisme de magnitude 7,4 sur l'échelle de Richter a secoué mardi le Népal et fait plusieurs victimes. A Chautara, ville proche de l'épicentre située à 83 km à l'est de Katmandou, des corps ont été retirés des décombres d'immeubles affaissés.

Plusieurs bâtiments se sont effondrés dans cette ville, où au moins quatre corps ont été retirés des décombres et des blessés transportés à l'hôpital, ont rapporté des ONG et l'Organisation pour les migrations des Nations unies (OIM)

 YTRENDS NEW 12/5/2015


La secousse a duré environ une minute, selon une journaliste de l'AFP. Des blessés ont aussi été signalés près de la frontière avec le Tibet.

Chautara est proche de l'épicentre du tremblement de terre, localisé par l'institut de veille géologique USGS près du camp de base du mont Everest, à seulement 19 km de profondeur, dans la région la plus durement touchée par le séisme du 25 avril.

Trois importants glissements de terrain se sont aussi produits dans cette région de Sindhupalchowk, frontalière du Tibet, où l'on signale au moins douze blessés, ont annoncé les autorités locales.

Un séisme de magnitude 7,8 a dévasté le Népal le 25 avril, faisant au moins 8046 morts et plus de 17'800 blessés, selon le dernier bilan fourni par les autorités népalaises.


Romandie 12/5/2015

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Un séisme de magnitude 7,4 sur l'échelle de Richter a secoué le Népal, mardi 12 mai. Les habitants de la capitale, Katmandou, ont trouvé refuge dans les rues, et il a été ressenti jusqu'à New Delhi, en Inde, selon des témoins.

 Un quartier de Sankhu, dans la banlieue de Katmandou (Népal), le 11 mai 2015. (ATHIT PERAWONGMETHA / REUTERS)

• L'épicentre à 83 km de Katmandou, plusieurs répliques. Selon l'institut de veille géologique américain USGS, l'épicentre du tremblement de terre est situé à 83 km de Katmandou et à une soixantaine de kilomètres de Namche Bazar, près du camp de base du mont Everest. Selon les premiers témoignages, publiés sur Twitter, la terre a d'abord tremblé pendant une vingtaine de secondes, et au moins cinq secousses de magnitude 5 à 6,3 ont suivi en moins d'une heure.

• Plusieurs victimes au Népal et en Inde. Au moins quatre personnes sont mortes à Chautara, à l'est de Katmandou, après l'effondrement de plusieurs immeubles, selon l'agence Reuters. Le séisme aurait également fait un mort dans le nord de l'Inde.

• Deux semaines après un premier séisme meurtrier. Le 25 avril dernier déjà, un premier tremblement de terre et ses répliques ont fait au moins 8 046 morts et plus de 17 800 blessés au Népal.

Quelques éléments du fil du live de Francetv Info (voir le lien source en bas à gauche pour lire la totalité) :


• 11h17 : On redoute de nouvelles victimes après le nouveau séisme ayant tué au moins quatre personnes et déclenché la panique dans la capitale népalaise, Katmandou. Une photo publiée sur Twitter montre un immeuble qui s'est totalement effondré. Des piétons, présents dans la rue au moment de la secousse, pourraient se trouver dans les décombres.

• 11h12 : Une agence de l'ONU citée par l'AFP confirme la mort de quatre personnes après le nouveau séisme qui a touché le Népal.

• 11h03 : Des membres de Solidarités international se trouvent à Chautara, où l'effondrement d'immeubles aurait fait plusieurs victimes. Thierry Benlahsen, responsable de l'ONG humanitaire qui a pu joindre ses équipes sur place, confirme que plusieurs habitations s'y sont écroulées, tout comme à Katmandou et à Golche, dans une zone montagneuse. Il évoque "un certain nombre de blessés" pris en charge par ses équipes, dans une ambiance qui mêle "panique et résignation".

"La nuit, les habitants dorment sur des terrains plats, mais se réfugient pendant la journée sous des maisons parfois délabrées pour se protéger du soleil", détaille Thierry Benlahsen. Il se déclare également "inquiet" par rapport aux glissements de terrain qui pourraient survenir en montagne, notamment dans des villages aux fondations déjà fragilisées par les précédentes secousses.

 11h01 : Streets deserted and shops closed as people have fled to humanitarian hub uphill. 


• 10h59 : Un internaute présent à Chautara, au Népal, à une cinquantaine de kilomètres de Katmandou, poste sur Twitter des photos montrant les rues de villes désertes et des immeubles effondrés.


11h01 : Chautara buildings after the new quake. Most were still occupied despite damage from the 1st EQ. #NepalEarthquake


• 10h55 : Conséquence de ce violent séisme, l'aéroport de Katmandou est de nouveau fermé. Les avions en vol doivent attendre un feu vert pour atterrir.

• 10h35 : Il y aurait eu 3 glissements de terrain à Sindhupalchowk, déjà ravagé par le précédent séisme. Habitants vivent dehors sous des tentes.

• 10h47 : Le correspondant du Monde en Asie du Sud rapporte que des glissements de terrain se sont produits à la suite du nouveau puissant séisme qui a frappé le Népal. A Katmandou, un habitant lui confie avoir assisté aux "mêmes scènes de chaos" que lors du tremblement de terre qui a touché le pays le 25 avril.

• 10h45 : Contacté par francetv info, Gérard Pascal, chirurgien membre du conseil d'administration de Médecins du monde, explique que les équipes de l'organisation présentes au Népal font face à un "afflux de blessés, en nombre apparemment important", après le nouveau séisme qui a frappé le pays ce matin. "Ce n'est peut-être pas le 'Big one' que l'on redoutait, mais c'est un très gros tremblement de terre", assure-t-il.

"Nos équipes se trouvent en montagne, à Golche (à environ 50 km au nord-ouest de l'épicentre). Elles sont protégées et vont bien. Nous allons nous réunir sous peu pour prendre les décisions qui s'imposent", précise le responsable.



Francetv info 12/5/2015

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12h35, le président népalais intervient au Parlement quand soudain, la terre se met à trembler. Deux semaines après le tremblement de terre qui a touché le Népal, le pays est en proie à un nouveau séisme, mardi 12 mai


Un séisme très puissant, de magnitude 7,3. Partout, les scènes de panique se multiplient, les habitants cherchent à se réfugier le plus loin possible des bâtiments. "C’était vraiment très fort, tout a bougé, les portes, les poteaux", commente une jeune femme.



Dans certains quartiers de Katmandou, la capitale, des édifices qui ne s’étaient pas écroulés le 25 avril n’ont, cette fois, pas résisté. Au fil des minutes, l’inquiétude augmente : "J’essaie d’appeler chez moi, mais je n’y arrive pas, ça ne passe pas", explique en larmes une Népalaise. L’épicentre du séisme se trouve à environ 80 kilomètres à l’est de Katmandou, près du mont Everest. Selon l’ONU, le pire est à craindre dans un pays déjà à genoux, qui comptait plus de 8 000 morts après le séisme du 25 avril.


Francetv info 12/5/2015

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Moins de trois semaines après le tremblement de terre meurtrier du 25 avril au Népal, un nouveau séisme, de magnitude 7,3, a frappé le pays. La secousse a été ressentie jusqu'à New Delhi et Calcutta, en Inde. Selon les premiers bilans, au moins 48 personnes sont mortes au Népal et 17 en Inde. Les blessés se comptent par centaines, 18 jours après le séisme qui a tué plus de 8 000 personnes.


 Des immeubles détruits dans le village de Lamosangu (Népal), près de la frontière chinoise, le 10 mai 2015. (METIN AKTAS / ANADOLU AGENCY / AFP)

Que s'est-il passé ? : Le séisme s'est produit à 76 km à l'est de Katmandou à 12h35 (8h35, heure de Paris). Il était un peu moins fort que celui du 25 avril, dont la magnitude était de 7,8, selon l'institut américain de géophysique USGS.

La télévision népalaise a montré des images de bâtiments historiques se balançant au rythme des mouvements du sol, tandis que les zones rurales ont été touchées par de nouveaux glissements de terrain.

Le tremblement de terre a été ressenti jusqu'à New Delhi, à 1 000 km de là, où des employés ont évacué leurs bureaux. Dans la capitale indienne, les immeubles ont tremblé pendant plus d'une minute. Le séisme a également provoqué l'effondrement de bâtiments au Tibet, sous contrôle chinois, provoquant la mort d'au moins une personne.

 L'épicentre du séisme de magnitude 7,4 survenu le 12 mai 2015 au Népal se situe à l'ouest de Katmandou, près de l'Everest. (GOOGLE MAPS / FRANCETV INFO)

Quelles ont été les zones touchées ? : Huit personnes sont mortes dans la vallée de Katmandou et deux immeubles se sont effondrés dans la capitale. De grandes fissures sont apparues sur d'autres bâtiments.

Les districts de Dolakha et Sindhupalchowk, parmi les plus touchés par le premier tremblement de terre, ont à nouveau payé un lourd tribut. Dans le seul district de Dolakha, la mort de 26 personnes a été confirmée. "De nombreuses maisons se sont effondrées à Dolakha et il y a un risque que le nombre de morts dans ce district augmente", a fait savoir le ministre de l'Intérieur.

La Croix-Rouge a indiqué avoir reçu des informations faisant état de nombreuses victimes à Chautara, dans le district de Sindhupalchowk, où elle gère un hôpital de campagne.

Comment a réagi la population ? : Les habitants de la capitale, effrayés, ont fui leur logement peu après la secousse de 12h35. "Nous l'avons ressentie et immédiatement une foule immense s'est mise à courir en tous sens", a raconté Suresh Sharma, qui se trouvait alors au marché. "C'était effrayant et j'ai eu du mal à sortir", a ajouté cette femme de 63 ans. Les habitants sont terrifiés à l'idée que ces nouveaux épisodes entraînent l'effondrement de bâtiments déjà très endommagés.

Rose Foley, qui travaille pour l'Unicef à Katmandou, a expliqué que les équipes s'étaient réfugiées sous des tables : "Nous sommes sortis le plus vite possible. Assis dehors, nous avions l'impression d'être sur un bateau en haute mer, au fur et à mesure que des répliques survenaient".

Dans le principal hôpital de la ville, les patients blessés fin avril ont été évacués sur des chaises roulantes. Chacun tentait de joindre sa famille tandis que le personnel médical commençait à dresser des tentes sur le parking. Les klaxons retentissaient dans la capitale, les habitants essayant de rentrer chez eux pour prendre des nouvelles de leur famille.

Une deuxième secousse, de magnitude 6,3, a fait trembler la petite nation himalayenne, une demi-heure après la première, selon l'USGS, suivie d'au moins cinq autres, de plus faible intensité. Les premières secousses ont duré environ une minute, selon une journaliste de l'AFP à Katmandou.

Et les autorités ? : L'aéroport de la capitale népalaise a été fermé par précaution pendant quelques heures. Il sert de porte d'entrée principale à l'aide internationale dans le pays, où les secours apportent encore eau, nourriture et assistance médicale aux victimes des zones reculées les plus touchées par le séisme d'avril, qui a fait des dizaines de milliers de sans-abri.

"Au moment d'une catastrophe naturelle comme celle-ci, il nous faut faire face avec patience et courage", a déclaré le Premier ministre après une réunion d'urgence du gouvernement.

La police népalaise a diffusé ses consignes de sécurité sur Twitter : "Merci de rester à l'extérieur, aidez-nous à garder la circulation fluide, n'encombrez pas le réseau. Préférez les SMS".


Francetv info 12/5/2015

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Le Népal, dévasté fin avril par un tremblement de terre qui a tué plus de 8 000 personnes, a été frappé par un nouveau séisme et de puissantes répliques, mardi 12 mai. Au moins 48 personnes ont été tuées et la panique a envahi les rues de Katmandou, la capitale. Plus de 1 000 personnes seraient également blessées.

Le séisme, d'une magnitude de 7,3, est survenu à 12h35, heure locale. Il s'est produit à environ 80 km à l'est de Katmandou, moins de trois semaines après le violent tremblement de terre de magnitude 7,8.

 A Katmandou, dès la première secousse de magnitude 7,3, les Népalais ont quitté bureaux et habitations pour se protéger des éventuels effondrements. METIN AKTAS / ANADOLU AGENCY / AFP


 Un hôpital de la capitale népalaise a dû évacuer des patients à la hâte, alors que plusieurs répliques secouaient encore la région. PRAKASH MATHEMA / AFP


 Immédiatement après le séisme qui a duré une vingtaine de secondes, les Népalais, pas encore remis du tremblement de terre du 25 avril, ont tenté de joindre leurs proches. METIN AKTAS / ANADOLU AGENCY / AFP


 Les rues ont à nouveau été envahies par la poussière, comme ici à Sankhu, non loin de Katmandou. ANIK RAHMAN / NURPHOTO


 Dans la capitale, des bâtiments épargnés par le précédent séisme se sont cette fois écroulés. ATHIT PERAWONGMETHA / REUTERS



 Le séisme a été ressenti jusqu'à Calcutta, dans l'est de l'Inde, où ces employés ont évacué les bureaux pour s'agglutiner sur un terre-plein au milieu d'une rue. RUPAK DO CHOWDHURI / REUTERS


 En Inde aussi, il y a eu des morts, comme ici à Bihar, où un groupe de femmes pleure un proche tué dans l'effondrement d'un mur. REUTERS



 Militaires népalais et secouristes internationaux, déjà mobilisés après le séisme meurtrier du 25 avril, inspectent les immeubles effondrés, à Katmandou.  ATHIT PERAWONGMETHA / REUTERS



 A Sankhu, au Népal, un homme creuse dans les décombres de sa maison. NAVESH CHITRAKAR / REUTERS



 Dans cette localité, Ganga, une femme de 71 ans, a été blessée. ANIK RAHMAN / NURPHOTO / AFP



 Au moins 1 000 personnes ont été blessées dans ce nouveau séisme. NAVESH CHITRAKAR / REUTERS







Francetv info 12/5/2015 Camille Caldini

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Au moins trois gros glissements de terrain se sont produits dans la région de Sindhulpalchok, frontalière du Tibet, où l'on signale au moins 12 blessés.

Un nouveau séisme, suivi de puissantes répliques, a secoué, mardi 12 mai, le Népal. Dans ce pays déjà dévasté fin avril par un tremblement de terre qui a fait plus de 8 000 victimes, ces nouvelles secousses ont fait au moins 48 morts et provoqué des effondrements d'immeubles et des glissements de terrain. 

 Cette vidéo filmée par un résident du côté chinois de la frontière avec le Népal, elle montre un éboulement de la montagne dans le comté de Nyalam, Région autonome du Tibet, suite au tremblement de terre de magnitude 7,4 qui a frappé le Népal mardi après-midi. New China TV 12/5/2015


A une cinquantaine de kilomètres à l'est de la capitale, dans le district de Kavrepalanchok, le tremblement de terre a entraîné "un énorme glissement de terrain", a tweeté un journaliste népalais à Washington, relayant les informations de médias locaux.

Suivez l'actu de ce nouveau séisme sur Francetv Info


Francetv info 12/5/2015

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Sauf en cas de disparition non signalée, il pourrait s'agir d'un bilan définitif pour la France.

Le bilan s'alourdit, deux semaines après le séisme au Népal. Le nombre de Français tués le 25 avril s'élève désormais à dix, a déclaré, lundi 11 mai, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères français.

Selon les autorités népalaises, le bilan de ce tremblement de terre est à ce jour de plus de 8000 morts et plus de 16 000 blessés. Le séisme a détruit 300 000 maisons.

"S'agissant de nos ressortissants, dix d'entre eux ont péri dans cette catastrophe : deux à Katmandou, huit dans la vallée du Langtang", a précisé le porte-parole du Quai d'Orsay. Le précédent bilan du ministère, mercredi dernier, faisait état de quatre morts et neuf disparus français. Parmi ces derniers, six ont été retrouvés morts et trois vivants.

Au total, plus de 3 000 Français ont été localisés sains et saufs grâce aux actions de l'ambassade de France à Katmandou et du centre de crise et de soutien, qui "ont permis de dissiper les inquiétudes sur les cas signalés depuis le séisme", a ajouté le ministère. Sauf en cas de disparition non signalée, il pourrait donc s'agir d'un bilan définitif pour la France.


Francetv info 11/5/2015

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Après les séismes des 25 et 26 avril, qui ont causé plus de 8.000 victimes, le Népal vient à nouveau de subir plusieurs tremblements de terre. La secousse la plus forte a été ressentie vers 12 h 30 heure locale, soit 8 h 50 en France métropolitaine (ou 6 h 50 TU)

Selon l’USGS (institut américain de Géophysique), la magnitude a atteint 7,3 et l’épicentre se trouve à 83 kilomètres à l’est de Katmandou, la capitale déjà fortement touchée par les séismes d’avril.

 Le nouveau séisme qui vient de toucher le Népal se situe dans la même zone géologique que ceux d'avril dernier, là où se heurtent les plaques indienne et eurasienne. ©️ Idé

Une série de secousses a suivi. Le site du CSEM (Centre sismologique euro-méditerranéen) en répertoriait neuf à 12 h 30 (heure métropolitaine), toutes d’une magnitude supérieure à 5, dont l’une à 6,3 une demi-heure après le séisme principal.

Comme le rappelait le CNRS lors du dernier séisme au Népal, cette région est située entre deux plaques continentales en collision, celle de l’Inde et celle de l’Eurasie, au niveau du Tibet, causant l’érection de la chaîne himalayenne, avec une vitesse relative très élevée, de 17 à 21 millimètres par an

Le séisme du 25 avril a eu lieu à cause d’une rupture de la faille frontale appelée MFT (Main Frontal Thrust). La surface concernée aurait été de 150 kilomètres (est-ouest) sur 50 kilomètres (nord-sud). La rupture s’était propagée vers l’est, donc vers la région qui avait connu un mouvement important lors du dernier grand séisme de 1934.



Futura Sciences 12/5/2015

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Les sauveteurs se sont activés autour des décombres à Katmandou, mercredi 13 mai, après le second séisme qui a touché la capitale népalaise. Ils ont tenté de localiser de possibles survivants, coincés sous les immeubles qui se sont effondrés

Le tremblement de terre, de magnitude 7,3, a fait 65 morts à travers le pays mardi, moins de trois semaines après la violente secousse qui a tué plus de 8000 personnes.



Un nouveau drame qui complique la tâche des secouristes, chargés d'acheminer de l'eau, de la nourriture et des abris dans les zones touchées par le séisme. "Nous nous étions concentrés sur la distribution d'aide, mais depuis hier nos ressources sont déployées à nouveau sur des opérations de recherche", a indiqué Laxmi Prasad Dhakal, porte-parole du ministère de l'Intérieur népalais.

A Katmandou, de nombreux blessés ont été soignés sous des tentes de fortune, mercredi. Ils refusent d'être traités dans les bâtiments des hôpitaux, par crainte d'une nouvelle secousse. Comme eux, des milliers d'habitants de la capitale ont passé la nuit dans la rue, sous des tentes.


Francetv info 14/5/2015

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Le Premier ministre népalais a lancé un appel dimanche visant à collecter deux milliards de dollars pour un fonds de reconstruction. Ce pays a été dévasté par deux violents séismes ayant fait plus de 8500 tués.

"Notre but est de récolter deux milliards de dollars. Le gouvernement a budgété 200 millions de dollars" pour lancer le fonds et "appelle les donateurs et le secteur privé à apporter leur contribution", a déclaré le Premier ministre Sushil Koirala.

Le gouvernement népalais, au pouvoir depuis un an, a été très critiqué pour avoir tardé à réagir après le séisme de magnitude 7,8 fin avril, suivi d'un autre de magnitude 7,3 le 12 mai, qui ont ravagé les infrastructures de ce pays pauvre et détruit des milliers d'habitations.

"La réhabilitation et la reconstruction sont très importantes pour nous et nous espérons que nos amis viendront avec grand coeur à notre secours", a également ajouté le Premier ministre.

Plus d'une vingtaine de pays, dont la Suisse, se sont engagés dans les opérations de secours et d'assistance depuis le premier séisme, dépêchant au Népal des sauveteurs et de l'aide humanitaire.

Mais l'ONU a annoncé ce mois-ci n'avoir reçu que 22 millions de dollars en réponse à son appel pour 415 millions de dollars.

La Croix-Rouge a souligné samedi qu'elle travaillait "encore en mode d'urgence absolue" au Népal. Elle a revu à la hausse son appel à dons, de 35 millions à 93 millions de dollars au total, expliquant que le second séisme a "exacerbé la situation" dramatique provoquée par le premier.


Romandie 17/5/2015

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Deux séismes de magnitude 6,8 se sont produits samedi au large des îles Salomon dans l'océan Pacifique, sans déclencher d'alerte au tsunami. Il s'agit de la troisième et quatrième secousse majeure en trois jours, a annoncé l'institut américain de géophysique (USGS).

Les premières informations ne faisaient pas état de dégâts. Les épicentres des deux tremblements de terre, survenus à deux heures d'écart, se situaient non loin l'un de l'autre, à une profondeur d'environ dix kilomètres et à quelque 450-500 kilomètres au sud-est de la capitale Honiara.

 DAHBOO77 22/5/2015


L'institut Geoscience Australia a, lui, estimé leur puissance à respectivement 7,1 et 6,9. Il est assez inhabituel d'avoir deux séismes importants "l'un à côté de l'autre", a noté le sismologue Mark Leonerd, tout en faisant remarquer que l'activité sismique est particulièrement marquée dans la région.

Les îles Salomon sont situées sur la "ceinture de feu" du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique. "Ce type de zone est plutôt actif en ce moment", a commenté M. Leonerd.

C'est la troisième journée d'affilée que les îles Salomon sont sujettes à des secousses de magnitude 6 ou supérieure. Un séisme de magnitude 6 avait déjà eu lieu vendredi, et un autre de magnitude 6,9 le jour précédent. Ces tremblements de terre n'avaient pas causé de dégâts majeurs.



Romandie 22/5/2015

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Un tremblement de terre d'une magnitude de 5,4 a secoué l'Etat américain du Nevada vendredi, à proximité de la petite ville de Caliente, au nord-est de Las Vegas, a annoncé l'institut de veille géophysique (USGS). Aucun dégât n'a pour l'instant été annoncé.

 TruthTube451 (AKA MrGlasgowTruther) 22/5/2015


Le séisme a été enregistré à une profondeur de 19,4 km près de la frontière avec l'Utah. Son épicentre était situé à 145 km au nord-est de Las Vegas où il a été ressenti.

La secousse a été suivie moins de 20 minutes plus tard par une réplique, plus petite, de magnitude 3,8.

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Le tremblement de terre du 25 avril, qui a fait 8 500 morts, a laissé des traces. Le pays tente de se relever, mais les dégâts sont encore immenses.

Les habitants de Katmandou, au Népal, tentent de reprendre un semblant de vie au milieu des ruines. Mais le quotidien est toujours extrêmement dur, un mois après le terrible séisme qui a frappé leur pays. Ils s'en remettent donc à la prière devant les temples bouddhistes.



"Ici, on est toujours très effrayé, parce qu'il continue d'y avoir des secousses, même un mois après le séisme. Beaucoup de maisons sont fissurées, endommagées, et les gens vivent dans les tentes" confie Udaya Silakar, un habitant, au micro de France 3. Ces habitations de fortune ont été montées dans les jardins publics au lendemain du séisme. Des familles entières y vivent encore, avec les moyens du bord.

"Il n'y a plus grand-chose que je puisse faire dans cet état", témoigne Rishi Khanal, survivant du séisme qui a été amputé d'une jambe. Les travaux de déblaiement sont encore en cours et la saison de la mousson arrive, ce qui inquiète les associations humanitaires.  

Depuis le séisme du 25 avril, suivi par une autre violente secousse le 12 mai dernier, un demi-million de logements ont été détruits et près de 9 000 personnes sont mortes.


Francetv info 26/5/2015

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Des milliers d'enfants ont repris le chemin de l'école dimanche au Népal, un peu plus d'un mois après le séisme qui a dévasté une partie du pays. Des classes sommaires ont été aménagées loin des bâtiments fragilisés qui menacent à tout moment de s'effondrer.

Des classes en bambou ont été dressées sur le terrain de football de l'école publique Madan Smarak, dans la vallée de Katmandou. D'autres cours sont tenus dans des locaux en dur sur lesquels des ingénieurs en BTP ont écrit: "Sécurisé".

"Nous sommes restés à la maison trop longtemps, c'est bien de venir jouer ici et de revoir mes copains", confie Muskan Bajracharya, 9 ans. Sahaj Shrestha, 8 ans, est collé à son père sur le chemin de l'école. Selon sa mère Mina Shrestha, le jeune garçon terrorisé par le tremblement de terre refuse de rester seul depuis. "Les répliques continuent. Il est difficile de ne pas s'inquiéter en envoyant les enfants à l'école, mais les enseignants nous ont assuré qu'il n'y avait rien à craindre", dit-elle."Au moins, voir ses amis et étudier lui changera les idées".

Les écoliers plus âgés sont encouragés à vider leur sac devant leurs camarades pour raconter ce qu'ils ont vécu, la perte de leur maison, souvent la mort d'un proche. "Nous ne faisons pas cours comme d'habitude et nous avons formé les enseignants pour qu'ils aident les enfants à surmonter le traumatisme du séisme", explique le directeur, Govinda Poudel.

Le séisme de magnitude 7,8 est survenu le 25 avril, suivi d'une autre forte secousse le 12 mai. Il a fait plus de 8600 morts et détruit des centaines de milliers d'édifices.

Pas moins de 8000 écoles ont été endommagées. Dans les districts les plus touchés, Gorkha, Sindhupalchowk et Nuwakot, ce sont 90% des établissements scolaires qui ont été mis par terre. Le séisme s'est produit un samedi après-midi, alors que les enfants étaient chez eux.

Les écoles devaient initialement rouvrir le 17 mai, mais la réplique du 12 mai, de magnitude 7,4, a différé la rentrée. Le directeur général de l'éducation au Népal, Dilli Ram Rimal, dit espérer que les écoles seront de plus en plus nombreuses dans les jours et les semaines qui viennent à pouvoir accueillir leurs élèves. "Nous savons que toutes les écoles n'ont pas les ressources nécessaires pour fonctionner. Mais l'éducation est une part importante du processus de reconstruction et nous devons commencer ce processus", explique-t-il.


Romandie 31/5/2015

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Kuala Lumpur - Quatre alpinistes ont été blessés et plus de 200 dont des étrangers étaient bloqués vendredi au mont Kinabalu, point culminant de la Malaisie, à la suite d'un séisme de magnitude 6,0 sur l'île de Bornéo, selon des responsables et médias locaux.

L'Institut américain de géophysique (USGS) a précisé que la secousse s'était produite dans la matinée à une profondeur de 10 km, et que son épicentre était situé à 19 km de la ville de Ranau et à 54 km de Kota Kinabalu. Cette ville est aussi la capitale de l'Etat de Sabah, abritant le mont Kinabalu culminant à 4.095 mètres d'altitude.

 Vue de randonneurs dans la partie supérieure de la montagne avec une corde, au sol, permettant de s'assurer pour éviter les chutes. LotteMae CC BY-SA 3.0

Les autorités de ce pays d'Asie du Sud-Est ont ordonné à environ 200 alpinistes et au moins 40 guides locaux de rester au sommet du mont Kinabalu en raison des risques de chutes de pierres et rochers dans cette montagne pittoresque et touristique parmi les plus fréquentées de la région.

Selon des médias locaux, des Malaisiens et des étrangers se trouvent parmi les alpinistes bloqués, en attendant l'intervention des secours. Au moins quatre alpinistes ont été légèrement blessés, notamment à la tête, par la chute de pierres dans la montagne. Toutes les activités d'alpinisme ont été interrompues jusqu'à nouvel ordre.

 Le mont Kinabalu, en malais Gunung Kinabalu, est une montagne de Malaisie, point culminant de ce pays et de l'île de Bornéo avec 4 095 mètres d'altitude. Sa grande biodiversité est rendue possible par une géologie et un climat uniques. Elle comprend de nombreuses espèces endémiques, notamment plusieurs plantes carnivores ainsi que de nombreuses orchidées, protégées par le parc national du Kinabalu. Vue du mont Kinabalu. En agrandissant l'image on peut voir, au second plan, vers le centre, les "oreilles d'âne" intactes (photo prise le 14 mars 2006 par Oscark CC BY-SA 3.0

Le séisme était tellement fort que l'une des deux cimes de montagne appelées les Oreilles d'Âne s'est brisée, a indiqué le ministre du Tourisme de l'Etat de Sabah, Masidi Manjun, sur son compte Twitter. "Mauvaise nouvelle confirmée! Une partie des emblématiques +Oreilles d'Âne+ du mont Kinabalu a disparu en raison d'un fort séisme", a-t-il écrit dans un tweet.

Un habitant de Kota Kinabalu, Colin Forsythe, a rapporté que le tremblement de terre avait duré environ 15 secondes, et a ressenti le choc comme si un camion s'était écrasé contre un mur de briques.

Il n'y a eu ni victime ni dégâts majeurs, et aucune alerte au tsunami. L'île de Bornéo est baignée par l'océan Pacifique.

Les séismes d'une importante magnitude sont rares en Malaisie, pays situé à l'extérieur de la ceinture de feu du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.


Romandie 5/6/2015 - Wikipedia

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Les 137 randonneurs bloqués sur le mont Kinabalu, à la suite d'un fort tremblement de terre sur l'île de Bornéo, ont tous été secourus, a annoncé un responsable samedi. Les médias malaisiens font état de deux morts.

 WORLD NEWS 5/6/2015


L'institut américain de géophysique (USGS) a indiqué que la secousse s'était produite à une profondeur de 10 km, et que son épicentre était situé à 54 km de Kota Kinabalu, la capitale de Sabah. Aucun dégât matériel majeur n'a été recensé.


Romandie 6/6/2015

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Au moins 11 personnes ont été tuées et 8 sont portées disparues après le séisme de magnitude 6 vendredi sur le mont Kinabalu, à Bornéo, en Malaisie, a annoncé samedi un responsable. En revanche, 137 randonneurs bloqués sur le mont Kinabalu ont été secourus.

"Onze corps ont été retrouvés, dont deux sont identifiés, et huit personnes sont toujours portées disparues", a annoncé sur Twitter le ministre du Tourisme de l'Etat de Sabah, Masidi Manjun. Il a précisé que ce premier bilan des autorités remontait à samedi midi (06h00 suisses).

Le tremblement de terre, l'un des plus forts dans le pays depuis des décennies, a eu lieu tôt vendredi dans cette région montagneuse. Il a touché une vaste zone de l'Etat de Sabah, qui abrite le mont Kinabalu (4095 mètres).

La secousse a provoqué des glissements de terrain et la chute d'immense blocs de roches sur cette montagne, l'un des plus hauts sommets d'Asie du Sud-Est. Le Kinabalu est très prisé par les amateurs de trekking et parmi les plus fréquentés de la région.

Le site The Kinabalu Today, citant des sauveteurs, affirme que la plupart des personnes présentes sur la montagne au moment du séisme étaient des ressortissants malaisiens. Des randonneurs originaires de Singapour, des États-Unis, Philippines, de Grande-Bretagne, Thaïlande, Turquie, Chine et du Japon se trouvaient également sur place.

L'institut américain de géophysique (USGS) a indiqué que la secousse s'était produite à une profondeur de 10 km, et que son épicentre était situé à 54 km de Kota Kinabalu, la capitale de Sabah. Aucun dégât matériel majeur n'a été recensé.

 khabarkinabalu re 5/6/2015 


Romandie 6/6/2015

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Au moins 19 personnes ont été tuées et 17 sont portées disparues après le séisme de magnitude 6 vendredi sur le mont Kinabalu, à Bornéo, en Malaisie, ont annoncé samedi plusieurs sources. En revanche, 137 randonneurs bloqués sur le mont Kinabalu ont été secourus.

Tous ces 137 grimpeurs, dont plusieurs étrangers, qui étaient bloqués quand la terre a tremblé vendredi, ont pu rejoindre les locaux du Parc national du Kinabalu, a annoncé sur Twitter le ministre du Tourisme de l'Etat de Sabah. Toutes les activités d'escalade sur le mont Kinabalu sont arrêtées pendant trois semaines dès samedi, a précisé Masidi Manjun.

Les grimpeurs qui ont été bloqués appartiennent à 16 nationalités. Il y a notamment 117 Malaisiens, 38 Singapouriens, cinq Américains et deux Français. Le mont Kinabalu culmine à 4095 mètres sur l'île de Bornéo.

Le tremblement de terre, l'un des plus forts dans le pays depuis des décennies, a eu lieu tôt vendredi dans cette région montagneuse. Il a touché une vaste zone de l'Etat de Sabah, qui abrite le mont Kinabalu. La secousse a provoqué des glissements de terrain et la chute d'immense blocs de roche sur cette montagne, l'un des plus hauts sommets d'Asie du Sud-Est. Le Kinabalu est très prisé par les amateurs de trekking et parmi les plus fréquentés de la région.

L'institut américain de géophysique (USGS) a indiqué que la secousse s'était produite à une profondeur de 10 km, et que son épicentre était situé à 54 km de Kota Kinabalu, la capitale de Sabah. Aucun dégât matériel majeur n'a été recensé.

Les séismes d'une importante magnitude sont rares en Malaisie, pays situé à l'extérieur de la "ceinture de feu" du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.


Romandie 6/6/2015

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kundasang (Malaisie) - Cinq collégiens singapouriens figurent parmi 16 personnes tuées dans un violent séisme survenu au mont Kinabalu, un sommet de Malaisie apprécié des randonneurs, ont annoncé dimanche les autorités des deux pays.

Les autorités malaisiennes ont déclaré que le bilan du désastre s'élevait à 16 morts après la découverte de trois nouveaux corps. Trois personnes sont toujours portées disparues après le tremblement de terre de magnitude 6 qui a frappé vendredi cette montagne située dans l'Etat de Sabah sur l'île de Bornéo. 

 wochit News 6/6/2015


Le tremblement de terre, l'un des plus forts recensés en Malaisie depuis des décennies, a provoqué de gigantesques glissements de terrain et la chute d'immenses blocs de roches. Des sections entières de chemins de randonnées ont été ensevelies.

La montagne, qui culmine à 4.095 mètres, figure parmi les plus hauts sommets d'Asie du Sud-Est. Le mont Kinabalu est très prisé par les amateurs de trekking et parmi les plus fréquentés de la région. Les randonnées ont été suspendues par les autorités pour au moins trois semaines. Environ 20.000 randonneurs réalisent chaque année l'ascension du Mont Kinabalu, considérée comme relativement facile.

Le mont Kinabalu est considéré comme sacré par la tribu Kadazan Dusun qui y vit.

Des utilisateurs malaisiens des réseaux sociaux ont suggéré que le séisme était une manifestation de la colère des esprits de la tribu après la publication sur internet la semaine dernière de photographies d'un groupe d'hommes et de femmes d'apparence occidentale dans le plus simple appareil, prises au sommet de la montagne.


Romandie 7/6/2015

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Le Népal a rouvert officiellement lundi les sites historiques de Katmandou, en dépit d'inquiétudes sur la sécurité. Cette réouverture intervient sept semaines après un séisme meurtrier qui a partiellement détruit le patrimoine culturel du pays.

Chants et danses traditionnels ont apporté une note de gaieté lors de la cérémonie officielle organisée sur la "Durbar Square" de Bhaktapur, près de la capitale. Une place riche en temples hindous, palais royal et statues, mais dont une partie a été très endommagée.

Le séisme de magnitude 7,8 qui a ébranlé le Népal le 25 avril a tué plus de 8700 personnes et porté un sévère coup à ses trois anciennes places royales, les "Durbar Squares" de Katmandou, Patan et Bhaktapur inscrites au Patrimoine mondial de l'Unesco.

"Le Népal est sûr, ne vous inquiétez pas, c'est notre message aujourd'hui", a dit le directeur général du département d'Archéologie du ministère du Tourisme, Bhesh Narayan Dahal. "Rouvrir ces sites n'est pas prématuré. Il s'agit d'anticiper pour que le prochain pic de la saison touristique, entre septembre et novembre, soit le moment approprié pour la venue des touristes", a-t-il ajouté.

Le Népal est encore secoué par des répliques quotidiennes et les poutres et gravats des édifices architecturaux endommagés parsèment encore ces trois places réputées. Sur celle de Katmandou, les piétons suivent un étroit passage entre les monuments sur lesquels sont placardés des panneaux avertissant de leur danger.

L'Unesco a exprimé sa préoccupation face à cette réouverture jugée anticipée, estimant que ces sites sont "encore dans un état précaire". "Il y a encore un risque d'effondrement de bâtiments. Sur la Durbar Square de Katmandou, une façade entière menace encore de s'effondrer, on ne peut pas avoir des gens qui marchent juste en-dessous", a estimé Christian Manhart, le directeur de l'Unesco au Népal. Il a aussi insisté sur la nécessité de renforcer la sécurité sur les sites pour éviter le vol de précieuses oeuvres d'art.

Les trois places Durbar datent d'entre le XIIe et le XVIIIe siècle, quand la vallée de Katmandou était divisée en trois royaumes hindous. Elles restent au coeur de la vie quotidienne des habitants tout en étant les sites de tourisme culturel parmi les plus renommés du pays.

Le Népal dépend pour une part importante du tourisme et selon un laboratoire d'idées basé dans la capitale népalaise, le "Nepal Economic Forum", 80% des réservations d'hôtel ont été annulées depuis le séisme.


Romandie 15/6/2015

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Pékin - Le puissant séisme de magnitude 7,8 survenu au Népal le 25 avril a déplacé le Mont Everest, plus haut sommet du monde (8.848 m), de 3 centimètres vers le sud-ouest, a indiqué l'Administration nationale chinoise d'études, de cartographie et d'information géologique, cité mardi par la presse.

Selon une étude de cette administration, l'Everest s'est élevé de 3 cm au cours des dix dernières années, à raison de 0,3 cm/an, tout en se déplaçant de 40 centimètres vers le nord-est, soit au rythme de 4 cm par an.

L'Everest se déplace constamment vers le nord-est et le séisme lui a fait faire un petit bond dans la direction opposée, a déclaré le vice-directeur de l'Institut de géologie de l'administration chinoise chargée des séismes, Xu Xiwei, cité par le China Daily. L'amplitude du mouvement est normale, selon lui.

Situé à la frontière du Népal et de la Région autonome chinoise du Tibet, l'Everest constitue un bon point d'observation du mouvement des plaques tectoniques eurasienne et indienne, qui se rencontrent dans cette région hautement sismique, selon lui.

La deuxième séisme survenu au Népal le 12 mai, d'une magnitude de 7,5, n'a pas provoqué de déplacement particulier de l'Everest, selon l'étude, réalisée à l'aide d'instruments de mesure satellitaires.

Le double séisme a fait plus de 8.700 morts au Népal et a été particulièrement meurtrier pour les alpinistes dans l'Everest, avec au moins 18 morts sous des avalanches.

Des scientifiques ont établi que la vallée densément peuplée de Katmandou, située à quelque 80 kilomètres au sud-est de l'épicentre du séisme, a été déplacée d'environ deux mètres vers le sud sous le choc.

La ville-même de Katmandou, capitale du Népal, a glissé de plus de 1,5 mètre en direction du sud et a été soulevée de près d'un mètre, a déclaré à l'AFP Madhu Sudan Adhikari, chef du département des études au ministère népalais de l'Administration territoriale.

Nous avons étudié le coeur des zones affectées par le séisme et il y a eu un mouvement général (de déplacement) vers le sud, a-t-il indiqué.

La hauteur officielle de l'Everest est de 8.848 m, déterminée en 1954 par une étude indienne, mais elle peut varier de plusieurs mètres selon les critères retenus.

- La Chine l'abaisse de quatre mètres en excluant la couche de glace et de neige du sommet, tandis que les Etats-Unis l'ont mesuré à 8.850 m en 1999 en utilisant une technologie GPS, une hauteur finalement retenue par la Société américaine de géographie.

La première mesure du Mont Everest remonte à 1856, près de 100 ans avant sa conquête en 1953 par le Sherpa Tenzing Norgay et l'alpiniste néo-zélandais Edmund Hillary.

La Chine et le Népal ont passé un compromis en 2010 sur la hauteur de l'Everest, le Népal le mesurant à 8.848 m en y incluant la couche neigeuse et la Chine à 8.844 m en excluant celle-ci.


Romandie 1/6/2015

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Sydney - Un puissant séisme a eu lieu samedi au large des îles Salomon, dans l'océan Pacifique, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS), en lui attribuant une magnitude de 7,0 après une estimation initiale de 7,5.

L'épicentre du séisme se trouvait à environ 78 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de la localité de Lata, sur les îles Salomon, et à 583 kilomètres de Honiara, capitale de cet archipel, a indiqué l'USGS.

Le Centre d'alerte au tsunami du Pacifique, qui a son siège à Hawaï, a estimé que le risque de tsunami était faible.

Sur la base de toutes les données disponibles, la menace de tsunami provenant de ce séisme est maintenant passée, pour l'essentiel, a déclaré le Centre, qui a pour sa part évalué à 6,9 la magnitude du tremblement de terre.

Les îles Salomon sont situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, zone où se rencontrent des plaques tectoniques, ce qui produit une fréquente activité sismique et volcanique.


Romandie 18/7/2015

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Jakarta - Un séisme de magnitude 7,0 a frappé la province indonésienne de Papouasie, a annoncé mardi l'institut américain de géologie (USGS), sans qu'aucune alerte au tsunami ne soit émise.

La terre a tremblé à 06H41 (21H41 GMT lundi), à environ 250 kilomètres à l'ouest de la capitale de la province, Jayapura, et à une profondeur de 52 km, selon l'USGS.

Le centre d'alerte aux tsunamis dans le Pacifique, basé à Hawaï, a écarté tout risque de tsunami, le séisme s'étant produit à l'intérieur des terres, sous la jungle d'Irian Jaya.

Selon le site internet Earthquake-Report, le secteur est constitué de montagnes escarpées et sa végétation est tropicale, ce qui veut dire qu'il y a un vrai risque de glissements de terrain dangereux.

L'Indonésie est située sur la ceinture de feu du Pacifique, un alignement de volcans qui bordent l'océan Pacifique en suivant un ensemble de limites de plaques tectoniques et de failles sismiques.


Romandie 27/7/2015

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Jayapura (Indonésie) - Un séisme de magnitude 7,0 s'est produit mardi dans une région montagneuse isolée de l'est de l'Indonésie, endommageant plusieurs bâtiments et faisant un disparu, selon un premier bilan des autorités de l'archipel.

La terre a tremblé à 06h41 (21h41 GMT lundi), à environ 250 kilomètres à l'ouest de Jayapura, capitale de la province de Papouasie, et à une profondeur de 52 kilomètres, a précisé l'Institut américain de géologie (USGS). Aucune alerte au tsunami n'a été déclenchée après le séisme survenu dans une montagne couverte de jungle et peu habitée.

Le séisme a été ressenti très fortement pendant quatre secondes, a déclaré le porte-parole de l'agence indonésienne des situations d'urgence, Sutopo Purwo Nugroho. Des habitants ont été pris de panique et se sont rués hors de leurs domiciles, a-t-il ajouté.

Deux maisons, un hôpital et un magasin dans la ville de Kasonaweja ont été légèrement endommagés, et une personne est portée disparue après avoir avoir été emportée par les eaux d'une rivière, a détaillé Sutopo.

Des secouristes étaient toujours en chemin pour essayer d'atteindre la zone la plus proche de l'épicentre, ce qui pourrait prendre plusieurs heures, a-t-il dit.

Selon le site internet spécialisé Earthquake-Report, le secteur est constitué de montagnes escarpées et sa végétation est tropicale, ce qui veut dire qu'il y a un vrai risque de glissements de terrain dangereux.

L'Indonésie est située sur la ceinture de feu du Pacifique, un alignement de volcans qui bordent l'océan Pacifique en suivant un ensemble de limites de plaques tectoniques et de failles sismiques.

Romandie 28/7/2015

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La terre a tremblé samedi soir dans le nord-est de l'Italie, à environ 70 kilomètres des Grisons. L'épicentre du séisme de magnitude 3,7 se situait près de Cimego, au nord du lac de Garde, à 6,5 km de profondeur, selon le service sismologique suisse de l'EPFZ.

La secousse a été ressentie à 22h47 dans une zone étendue, mais il ne faut pas s'attendre à des dégâts, a précisé l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ).

Quelque 950 séismes ont été enregistrés en 2014 en Suisse et dans les pays limitrophes, contre environ 600 l'année précédente et 500 en 2012. Les magnitudes des secousses étaient inférieures à 3,2.


Romandie 2/8/2015

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Au moins deux enfants ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi dans un séisme qui a frappé l'est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris vendredi de source officielle. La secousse la plus forte a atteint 5,6 sur l'échelle de Richter.

"Une maison s'est écroulée" près de l'aéroport de Bukavu "provoquant la mort de deux enfants", a déclaré Lambert Mende, porte-parole du gouvernement, dans un message à la presse. Bukavu est la capitale de la province du Sud-Kivu, où un séisme avait fait sept morts en 2008.

Il y a eu une "grosse frayeur à Goma", capitale de la province voisine du Nord-Kivu, "mais l'épicentre du séisme est situé plutôt dans le Lac Tanganyika plus près de Bukavu, selon l'Observatoire volcanologique de Goma", a souligné M. Mende.

Un journaliste de l'AFP à Bukavu a indiqué que trois secousses avaient été ressenties entre 03h15 et 03H50 locales. La première était la plus forte. Le séisme a été ressenti jusque Walungu, à 70 km au nord-ouest de Bukavu.

Le 3 février 2008, un tremblement de terre dans l'est de la RDC avait fait 45 morts - sept au Sud-Kivu et 38 au Rwanda, pays voisin. Des centaines de personnes avaient été blessées dans les deux pays, où le séisme avait surpris les fidèles dans les églises, en pleine prière dominicale.

BUKAVU (RDCongo) - Un séisme d'une magnitude d'au moins 5,6 degrés sur l'échelle de Richter a frappé l'est de la République démocratique du Congo dans la nuit de jeudi à vendredi, faisant au moins un mort, a-t-on appris de sources officielle et locale.

Un policier est mort dans l'écroulement d'un mur à Kabare, un groupement de localités proche de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu (est), a déclaré à l'AFP Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais. La mort de ce policier a été confirmée par une source locale.

Auparavant, le gouvernement avait fait état de la mort de deux enfants dans l'écroulement d'une maison près de l'aéroport de Bukavu. Mais selon une source locale, les enfants auraient péri dans un incendie qui s'est déclaré peu avant le séisme avant de s'étendre à plusieurs boutiques.

S'appuyant sur des informations de l'Observatoire volcanologique de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu, M. Mende avait indiqué que le séisme était d'une magnitude de 5,6 sur l'échelle de Richter. Elle serait montée jusqu'à 5,9 selon le professeur Dieudonné Wafula Mifundu, chercheur au département de géophysique du Centre de recherche en sciences naturelles (CRSN), au Sud-Kivu.

Le séisme a par ailleurs été ressenti à Goma, à Walungu, à 70 km au nord-ouest de Bukavu, à Uvira, à quelque 125 km au sud de la capitale provinciale.

Un conseil des ministres, auquel participeront des responsables de sécurité, vient d'être convoqué pour faire le point de la situation, à indiqué à l'AFP le gouverneur intérimaire du Sud-Kivu, Jean Julien Miruho. Romandie




Romandie 7/8/2015

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BUKAVU (RDCongo) - Un séisme d'une magnitude d'au moins 5,6 degrés sur l'échelle de Richter a frappé l'est de la République démocratique du Congo dans la nuit de jeudi à vendredi, faisant au moins un mort, a-t-on appris de sources officielle et locale.

Un policier est mort dans l'écroulement d'un mur à Kabare, un groupement de localités proche de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu (est), a déclaré à l'AFP Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais. La mort de ce policier a été confirmée par une source locale.

Auparavant, le gouvernement avait fait état de la mort de deux enfants dans l'écroulement d'une maison près de l'aéroport de Bukavu. Mais selon une source locale, les enfants auraient péri dans un incendie qui s'est déclaré peu avant le séisme avant de s'étendre à plusieurs boutiques. Cette deuxième version a été confirmée par une source médicale locale, qui a tenu à l'anonymat: Les deux enfants sont morts calcinés après un incendie qui s'est déclaré quelques temps avant le séisme.

Un bureau de coordination de la protection civile au Sud-Kivu a de son côté confirmé à l'AFP que le bilan provisoire du séisme était de un policier tué et plusieurs blessés. Il a ajouté que des centaines de maisons ont été détruites, surtout dans les territoires de Kalehe et de Kabare.

S'appuyant sur des informations de l'Observatoire volcanologique de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu, M. Mende avait indiqué que le séisme était d'une magnitude de 5,6 sur l'échelle de Richter. Elle serait montée jusqu'à 5,9 selon le professeur Dieudonné Wafula Mifundu, chercheur au département de géophysique du Centre de recherche en sciences naturelles (CRSN), au Sud-Kivu.

Trois secousses, dont la première a été la plus forte, ont été ressenties entre 03h15 et 03H50 à Bukavu, a constaté un journaliste de l'AFP sur place. Plusieurs constructions ont été fissurées par le tremblement de terre et un mur s'est écroulé dans un parcelle.

J'ai eu peur! On est dans un maison à étage, et quand des secousses ont commencé, on est sorti à l'extérieur. Il y a eu beaucoup de monde dehors parce que dans notre quartier il y a beaucoup de maisons à étages, a expliqué à l'AFP Jérémie, qui habite Bukavu.

Le séisme a par ailleurs été ressenti à Goma, à Walungu, à 70 km au nord-ouest de Bukavu, et à Uvira, à quelque 125 km au sud de la capitale provinciale.

Certains habitants craignent que le séisme ne réveille l'activité du volcan Nyiragongo, dont la dernière éruption, en 2002, avait détruit la moitié de Goma. Toutefois, vendredi après-midi, lors d'une conférence de presse, M. Mende a souligné que l'Observatoire volcanologique de Goma (...) a laissé entendre qu'aucune alerte n'a été lancée jusqu'à présent concernant d'éventuelles conséquences sur le Nyiragongo.

Un conseil des ministres du Sud-Kivu a été convoqué pour faire le point de la situation, à indiqué à l'AFP le gouverneur intérimaire du Sud-Kivu, Jean Julien Miruho.

Kinshasa fait part de toute sa compassion à l'égard des victimes, a indiqué M. Mende. Martin Kobler, chef de la Mission de l'ONU (Monusco), a pour sa part exprimé en anglais sur Twitter sa profonde compassion à tous ceux affectés par le séisme d'aujourd'hui dans les Nord et Sud Kivu, ainsi que dans la région.

 Mike Rock 7/8/2015




Romandie 7/8/2015

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Les circuits d'ascension n'étaient pas accessibles depuis le tremblement de terre du 25 avril. Le séisme a fait plus de 8 700 morts, dont de nombreux alpinistes.

La route vers le plus haut sommet du monde est de nouveau accessible. Le Népal a rouvert, dimanche 23 août, les sentiers de l'Everest aux alpinistes pour la saison d'automne. Les autorités ont ainsi accordé les premiers permis d'ascension depuis le séisme meurtrier d'avril, qui a fait 8 700 morts. Une avalanche avait alors notamment ravagé le camp de base. 

 Une maison reste encore endommagée par le séisme d'avril, le 14 juillet 2015, à Bhaktapur (Népal).  (NAVESH CHITRAKAR / REUTERS)

Après l'avalanche, des centaines d'alpinistes avaient dû abandonner leur ascension, marquant une deuxième saison estivale sans visiteurs pour le plus haut sommet du monde. En 2014, la mort de 16 guides népalais dans une avalanche avait en effet décidé les autorités à fermer les chemins d'accès au sommet.

Le Népal, très dépendant du tourisme avec ses huit sommets supérieurs à 8 000 mètres, a demandé à des experts internationaux d'évaluer la sécurité des chemins les plus prisés par les randonneurs et les alpinistes dans l'Everest et la région de l'Annapurna. La plus grande partie des gîtes d'accueil et des chemins de trekking sur l'Everest n'ont pas été endommagés par le séisme, indique leur rapport.

Cinq zones à risque ont été identifiées le long du parcours principal et une évaluation complète devra être menée après la mousson. Le célèbre chemin de trekking du Langtang, détruit, demeure fermé aux randonneurs.

Cette année, l'alpiniste japonais Nobokazu Kuriki tentera pour la cinquième fois d'atteindre le sommet. Nobokazu Kuriki, qui a perdu neuf orteils dans une précédente tentative de gravir l'Everest, sera épaulé par une équipe de cinq personnes, mais montera du dernier camp au sommet en solo. "L'Everest a connu des tragédies ces deux dernières années, je veux aider le Népal à redonner vie à son tourisme", a lancé l'alpiniste âgé de 33 ans, qui compte atteindre le sommet à la mi-septembre.


Francetv info 24/8/2015

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Mexico - Un puissant séisme de 6,6 de magnitude a eu lieu tôt dimanche au large des côtes du nord-ouest du Mexique, a annoncé l'Institut géophysique des Etats-Unis (USGS).

Le tremblement de terre a frappé une zone située au large de la région touristique de la Basse-Californie et de l'Etat de Sinaloa. Il a eu lieu à 03H14 (08H14 GMT) à une profondeur de 10 kilomètres, à 59 kilomètres au sud-ouest de la ville de Topolobampo (Etat de Sinaloa).

Aucune victime ni aucun dégât n'ont été signalés dans l'immédiat.

La Basse-Californie est célèbre pour sa station balnéaire de Los Cabos, très fréquentée par les touristes, américains notamment.


 Mary Greeley 13/9/2015


Romandie 13/9/2015

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Un séisme de 8,3 degrés de magnitude qui s'est produit mercredi au large du Chili a fait au moins cinq morts et un disparu. Le gouvernement chilien a ordonné l'évacuation d'environ un million de personnes des zones côtières, où une alerte au tsunami est en vigueur.

 8.3 Chile Earth quake 16 9 2015


Romandie 17/9/2015

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Santiago du Chili - Le centre du Chili a été touché mercredi soir par un séisme de très forte intensité, avec une magnitude évaluée jusqu'à 8,3, poussant les autorités à déclencher une alerte au tsunami sur les côtes du pays.

Pour le moment, aucun dommmage contre les personnes, aucune altération des services basiques ou des infrastructures n'a été constaté, a assuré le Bureau national des situations d'urgence (Onemi).

La magnitude, calculée dans un premier temps à 7,2 par le centre sismologique national de l'université du Chili, a ensuite été revue à la hausse par le gouvernement chilien à 8, tandis que l'Institut américain de géologie (USGS) se montrait plus alarmiste, à 8,3.

 Reclaiming the Butterfly 16/9/2015


Le tremblement de terre a été enregistré à 19H54 (22H54 GMT) à 36 kilomètres à l'ouest de la ville de Canela Baja, dans la région de Coquimbo (500 kilomètres au nord de Santiago) et à une profondeur de 11 kilomètres, a indiqué le centre sismologique national de l'université du Chili.

La secousse est survenue en début de soirée, affectant la capitale Santiago, qui compte 6,6 millions d'habitants, et a été suivie de nombreuses répliques. Elle a été ressentie jusqu'à Buenos Aires, en Argentine, à 1.400 kilomètres de là.

A Santiago, elle a provoqué un vaste mouvement de panique dans la population, des milliers d'habitants sortant dans les rues, a constaté un journaliste de l'AFP.

La Marine chilienne a immédiatement lancé une alerte au tsunami pour l'ensemble des côtes du pays sud-américain.


Romandie 17/9/2015

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Le séisme de magnitude 8,3 qui a secoué hier le Chili a occasionné la mort de 8 personnes. L'alerte au raz-de-marée a été levée. Un million d'habitants des zones côtières ont dû être évacués.

Dans la nuit de mercredi à jeudi le sous-secrétaire du ministère de l'Intérieur, Mahmoud Aleuy, a précisé que l'état de catastrophe avait été prononcé pour la province de Choapa, où se trouve l'épicentre du séisme d'une magnitude de 8,3 selon l'Institut américain de géologie (USGS). La présidente Michelle Bachelet devait se rendre dans les zones les plus touchées par le séisme.

Selon l'Institut américain de géologie, la secousse a été enregistrée à 19h54, heure  locale), à 280 km au nord de Santiago, en mer à 46 km à l'ouest de la petite localité de Canela Baja. Trois répliques toutes supérieures à six degrés de magnitude ont eu lieu dans l'heure qui a suivi la première secousse.

Des vagues de 4,5m ont déferlé à Coquimbo, a rapporté la marine. "Des quartiers d'habitations sont inondés. (...) L'océan a atteint le centre-ville", a déclaré le maire de la ville, Cristian Galleguillos. Des dizaines de répliques, dont certaines très fortes, continuaient à être recensées jeudi, maintenant les habitants sur le qui-vive.

Des alertes au raz-de-marée ont été diffusées pour d'autres régions sud-américaines. En Amérique centrale, le Nicaragua a évacué pendant quelques heures mercredi soir 18'000 habitants de 83 communes de la côte Pacifique.

En Nouvelle-Zélande, les autorités ont conseillé aux habitants des zones côtières de l'est du pays de se tenir à l'écart des plages en raison "de courants inhabituellement forts et de vagues imprévisibles près du rivage.

[...]Le séisme a également été ressenti dans plusieurs régions de l'Argentine, comme Catamarca et Tucuman (nord), Mendoza (ouest) et Cordoba (centre).


Romandie 17/9/2015

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Tokyo - Un tsunami de 80 cm a été enregistré vendredi matin sur la côte Est du Japon, plus de 24 heures après un puissant séisme au Chili, a annoncé l'Agence japonaise de météorologie.

Cette dernière avait averti à 03H00 dans la nuit (jeudi 18H00 GMT) d'une possible montée d'eau de 0,20 à 1 mètre tout au long de la côte Est de l'archipel, de l'île septentrionale de Hokkaido à Okinawa à l'extrême sud.

L'agence a indiqué qu'un premier petit raz-de-marée de 10 cm avait été mesuré sur le littoral de la préfecture d'Iwate (nord-est) avant 6H30 locales (jeudi 21H30 GMT), puis un plus important de 30 cm à 07H13 près de la ville côtière de Kuji située dans la même province.

A 09H38 locales (00H38 GMT), une nouvelle montée d'eau de 80cm a été enregistrée, toujours à Kuji, après une hauteur de 70 cm une heure plus tôt.

N'approchez pas du littoral jusqu'à la levée de l'avis de tsunami, a déclaré un responsable de l'agence de météorologie, Yohei Hasegawa, lors d'une conférence de presse, des conseils relayés par le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga, lors de son point de presse matinal. Nous ne craignons pas vraiment d'inondation des terres, mais les flots peuvent être rapides et emporter une personne (qui se trouverait sur la côte), a-t-il ajouté.

Des hauteurs de tsunami de 10 à 40 centimètres ont été également enregistrées en plusieurs autres endroits le long de la côte, du nord au sud.

Un séisme de magnitude 8,3, le plus fort à l'échelle mondiale pour 2015, a frappé mercredi soir le Chili (jeudi matin heure du Japon), non loin des côtes, provoquant l'évacuation d'un million de personnes devant la crainte d'un tsunami, une alerte finalement levée par la suite par le Bureau national des situations d'urgence (Onemi).

Les côtes du nord-est touchées vendredi matin par le petit tsunami au Japon sont les mêmes que celles qui avaient été dévastées par le gigantesque raz-de-marée du 11 mars 2011 consécutif à un puissant tremblement de terre de magnitude 9,0 au large du nord-est de l'archipel.


Romandie 18/9/2015

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Ce séisme est le 6e plus violent dans l'histoire du Chili et le plus puissant enregistré cette année dans le monde. Plus de 20 000 personnes restent sans électricité.

Le séisme qui a durement frappé le nord et le centre du Chili mercredi a fait 13 morts, selon un nouveau bilan établi vendredi 19 septembre, 48 heures après la catastrophe. Six personnes sont également portées disparues depuis ce tremblement de terre d'une magnitude de 8,3 et le tsunami qui a suivi. Le dernier bilan faisait état de douze morts. La nouvelle victime est un homme dont le corps a été retrouvé par la police sur une des plages du port de pêche de Coquimbo, envahi par la mer après la secousse.

 Des habitants marchent dans les débris après le séisme, à Coquimbo, le 18 septembre 2015. (MARTIN BERNETTI / AFP)

Ce séisme est le 6e plus violent dans l'histoire du Chili et le plus puissant enregistré cette année dans le monde. Dans cette zone située à 400 km au nord de Santiago, la catastrophe a fait plus de 1 500 sinistrés, 262 édifices ont été endommagés et plus de 24 000 familles sont toujours privées d'électricité. L'état d'urgence reste en vigueur pour la région de Coquimbo, où la présidente Michelle Bachelet s'est rendue deux fois pour rencontrer les habitants.

Malgré l'intensité de la secousse, le bilan de ce séisme reste assez limité. Le pays semble avoir tiré les leçons d'une précédente catastrophe, beaucoup plus meurtrière : le 27 février 2010, un séisme de 8,8 degrés suivi d'un raz de marée avait causé la mort de plus de 500 personnes et provoqué 30 milliards de dollars de dégâts.

Cette semaine, les protocoles ont fonctionné. Quelques minutes après le séisme, la Marine nationale a lancé une alerte au tsunami sur tout le territoire, provoquant l'évacuation d'un million de personnes qui ont pu regagner leurs foyers saines et sauves quelques heures plus tard.
 
.Francetv info 19/9/2015

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Jakarta - Un séisme sous-marin d'une magnitude de 6,6 (bien : 6,6) a été enregistré à l'est de l'Indonésie, selon l'institut américain USGS, mais aucune alerte au tsunami n'a été lancée.

L'épicentre du séisme, qui s'est produit vers 01H00 locale vendredi(16H00 GMT jeudi), était situé à une profondeur de 24 (bien 24) kilomètres, à 30 km de Sorong, ville située à l'extrémité nord-ouest de la partie indonésienne de la Papouasie, a précisé l'USGS. Le centre d'alerte spécialisé du Pacifique a indiqué qu'il n'y avait pas de danger de tsunami.

L'USGS a légèrement corrigé à la baisse son estimation de magnitude, qu'il avait initialement donné à 6,9. Aucune information n'a fait état dans l'immédiat de victimes ou de dégâts.

L'Indonésie est située sur la ceinture de feu du Pacifique, où la collision de plaques tectoniques cause de fréquents séismes et une importante activité volcanique. En juillet un séisme de magnitude 7 avait fait un mort et endommagé des bâtiments en Papouasie.

En 2004, un énorme séisme sous-marin, au nord-ouest de l'Indonésie, avait provoqué un gigantesque tsunami, tuant plus de 170.000 personnes en Indonésie et des dizaines de milliers d'autres dans plusieurs pays de l'océan indien.


Romandie 24/9/2015

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Plus de 60 personnes ont été blessées et 200 logements endommagés vendredi dans un puissant séisme dans l'est de l'Indonésie, selon l'agence pour la gestion des catastrophes. La secousse sous-marine de magnitude 6,6 s'est produite vers 01h00 (heure locale).

L'épicentre se situait non loin de Sorong, localité de l'extrémité nord-ouest de la partie indonésienne de la Papouasie. Les gens sont sortis de leurs maisons en criant. 

Dix-sept personnes ont été grièvement blessées et 45 autres plus légèrement atteintes, a déclaré un porte-parole de l'agence.

L'Indonésie se situe sur la "ceinture de feu" de l'océan Pacifique, où la collision de plaques tectoniques cause de fréquentes secousses et une importante activité volcanique.

En 2004, un séisme sous-marin dévastateur, au nord-ouest de l'Indonésie, avait provoqué un gigantesque tsunami, tuant plus de 170'000 personnes en Indonésie même et des dizaines de milliers d'autres dans plusieurs pays de l'océan indien.


Romandie 25/9/2015

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Buenos Aires - Un séime de magnitude 5,9 a secoué samedi matin le nord de l'Argentine, faisant au moins un mort et plusieurs blessés, a annoncé Hector Romero, maire de la ville d'El Galpon, l'une des plus touchées.

Le séisme s'est produit à 08H33 locales (11H33 GMT), avec un épicentre situé dans le sud-est de la province de Salta, à dix km de profondeur, selon l'Institut national de prévention sismique.

 TopTips News 17/10/2015


Une femme est morte écrasée par un mur qui s'est effondré, a précisé M. Romero sur la radio Cadena 3, ajoutant que l'hôpital de cette ville de 7.000 habitants s'était écroulé.

Le séisme s'est fait sentir dans les provinces voisines de Tucumán, Santiago del Estero et Jujuy, dans le nord du pays. Il y a des gens qui se retrouvent sans rien. Nous sommes sans eau ni lumière, a déclaré le maire.

Un séisme de magnitude de 6,1 degrés a fait deux morts dans la province de Salta le 27 février 2010.


Romandie 17/10/2015

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Après la catastrophe d'avril 2015, les archéologues réinvestissent les grandes cités royales de la vallée de Katmandou, au Népal, sous l'égide de l'Unesco.

Tout doucement, Katmandou renaît du chaos, permettant aux archéologues de reprendre possession des lieux. Le 25 avril dernier, en effet, un séisme meurtrier de magnitude 7,8 sur l’échelle de Richter a frappé le Népal et dévasté des provinces entières, faisant 8000 morts et des centaines de milliers de sans-abri. Cette catastrophe naturelle, suivie de nombreuses répliques et d’un autre tremblement de terre le 12 mai, s’est aussi accompagné d’un désastre culturel avec la destruction de monuments uniques, dont plusieurs situés dans la vallée de Katmandou et sa capitale (1350m d’altitude) inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

 Début des travaux archéologiques menés par l'Unesco sur le Durbar Square de Patan, dans la vallée de Katmandou, au Népal. A l'arrière ce qui reste du temple de Char Narayan totalement détruit lors du séisme d'avril 2015. Copyright Robin Conningham - Université de Durham (UK)/Unesco

Au cœur des anciens royaumes de Katmandou, Baktapur et Patan, des temples et des sanctuaires du 12ème au 18ème siècle en bois et briques ont été détruits. C’est donc par les centres de ces trois cités ravagées qu’une équipe internationale associée aux chercheurs du Département d’Archéologie du gouvernement du Népal, viennent de débuter une série d’enquêtes et de fouilles de sauvetage autour des temples effondrés.

"Avant que les sanctuaires ne soient rebâtis, nous allons procéder aux relevés des places endommagées de Patan, Bhaktapur et celle d’Hanuman Dhoka, à Katmandou, explique Robin Cunningham, archéologue à l’université de Durham (Angleterre) impliqué dans ces recherches. Le but est en effet de créer une carte archéologique du patrimoine dans ces trois principaux Durbar*, pour mieux les protéger des risques en cas de nouvelles catastrophes", ajoute le chercheur associé de l’Unesco. 

 D’où les mesures actuellement prises à l’aide d’un géoradar (GPR – Ground Penetrating Radar) pour explorer le sol de manière non-destructive, et fournir des informations précises sur l’état du sous-sol et des soubassements des sites classés avant que de nouvelles constructions soient érigées. Ce faisant, l’existence de structures médiévales méconnues et des murs antérieurs aux bâtiments détruits ont été mis au jour. Ces travaux entièrement financés par l’Unesco devraient durer jusqu’à la fin novembre 2015. (Photo : Utilisation d'un appareil géoradar (GPR) dans la ville de Patan, pour localiser des vestiges de murs anciens situés sous l'actuel pavement de briques. © Robin Conningham - Université de Durham (UK)/Unesco)





 Durbar (square), est le nom générique utilisé pour décrire les grandes places situées face aux anciens palais royaux au Népal. Ils se composent de temples, de sanctuaires... et représentent les vestiges les plus importants de la vallée de Katmandou. Les plus célèbres sont situés à Katmandou, Patan et Bhaktapur. Avant l'unification du Népal, le pays est composé de petits royaumes et les Durbar sont les vestiges les plus importants de ces anciens royaumes. (Photo Patan Durbar Square en 2010. RM Calamar / Flickr / CCBY-SA2.0). 




Sciences et avenir 18/10/2015

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Sydney - Un séisme de magnitude 7,3 s'est produit mercredi au large de l'archipel du Vanuatu, dans l'océan Pacifique, mais aucune menace de tsunami n'a été détectée et aucun dégât signalé, ont annoncé l'Institut américain de géologie (USGS) et des sismologues.

 EQForecaster 20/10/2015


L'épicentre du séisme a été localisé à une profondeur de 131 km et à 335 km de la capitale Port Vila, a précisé l'USGS. Sur la base de toutes les données disponibles, aucun tsunami (...) n'est attendu, a indiqué pour sa part le centre d'alerte spécialisé du Pacifique.

Le séisme a sûrement été ressenti, mais il est peu probable qu'il ait créé des dégâts, a déclaré le sismologue Dan Jackson à l'AFP. Il a expliqué que la région de Vanuatu avait connu 27 tremblements de terre dépassant la magnitude 7 ces 20 dernières annéesDes séismes de ce genre sont communs par là-bas. La région autour de Vanuatu et des îles Salomon est la plus sismique de la planète, selon M. Jackson.

L'archipel aux 80 îles, l'un des pays les plus pauvres de la planète, est situé sur la ceinture de feu du Pacifique, où la collision de plaques tectoniques cause de fréquents séismes et une importante activité volcanique.


Romandie 21/10/2015

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Katmandou - Installé depuis le séisme d'avril dans un abri de fortune au Népal, Bhim Bahadur Gurung s'inquiète de ne pouvoir reconstruire sa maison avant l'hiver, la pénurie de carburant l'empêchant de se procurer les matériaux indispensables.

Près de six mois après le tremblement de terre du 25 avril de magnitude 7,8 qui a tué près de 8.900 personnes et détruit un demi-million de logements, des milliers de rescapés vivent encore sous une tente ou un abri temporaire, dépendant de l'aide pour survivre.

 WorldVision Aus 22/10/2015



Romandie 24/10/2015

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Katmandou - La Chine va fournir au Népal 1,3 million de litres de carburant afin de l'aider à faire face à la pénurie née du blocus imposé à sa frontière avec l'Inde par des opposants à la nouvelle Constitution népalaise, a annoncé dimanche un responsable népalais.

Des files de camions sont bloqués depuis près d'un mois à un point de passage clé entre l'Inde et le Népal, ce qui empêche l'acheminement des biens de première nécessité et des matériaux indispensables à la reconstruction du pays, six mois après le tremblement de terre qui a tué près de 8.900 personnes le 25 avril.

Depuis des décennies, l'Inde a le monopole des approvisionnements en carburant du Népal mais les tensions nées de ce blocus ont poussé le petit pays himalayen à se tourner vers Pékin. La Chine a accepté de nous envoyer 1,3 million de litres de carburant, à titre d'aide, a déclaré dimanche Sushil Bhattarai, un responsable de la compagnie nationale Nepal Oil Corporation (NOC). Le carburant va être transporté par une route qui vient d'être réparée, après avoir été endommagée lors du tremblement de terre.

Le Népal a accusé l'Inde d'être derrière le blocus, par des centaines de manifestants, d'un pont traversant la ville de Birgunj, à 90 kilomètres au sud de Katmandou, par où transite 60% de l'approvisionnement du pays en carburants.

Les manifestants de la minorité ethnique des Madhesis, originaire des plaines du sud et proches culturellement de l'Inde, protestent contre la division du pays en provinces fédérales qui va, selon eux, les marginaliser.

Aux autres passages frontaliers, le trafic est ralenti, une situation que le Népal impute aussi à l'Inde, préoccupée par la nouvelle ConstitutionNew Delhi, craignant les répercussions d'une situation instable à sa frontière, a démenti et appelé au dialogue afin de mettre un terme à ce blocage qui dure depuis le 24 septembre.

La nouvelle Constitution népalaise devait mettre fin aux inégalités mais elle a déclenché une violente contestation de minorités ethniques qui ont estimé que la nouvelle structure fédérale prévue par la loi fondamentale allait les marginaliser au sein du Parlement.


Romandie 25/10/2015

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Kaboul - Un séisme de magnitude 7,5 a secoué lundi le massif de l'Hindu Kush, dans le nord-est de l'Afghanistan, touchant plusieurs pays d'Asie du Sud, dont le Pakistan où 100 personnes ont été blessées, selon des sources hospitalières.

L'Institut américain de géologie (USGS), qui avait initialement évalué la magnitude à 7,7, a révisé son estimation à 7,5. L'épicentre se situe à Jurm, à une profondeur de 213,5 km, selon l'USGS.

 earthsky102 26/10/2015


Romandie 26/10/2015

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