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Hier, un séisme d’une magnitude de 5,2 a été ressenti en Corse et sur la Côte d’Azur. Selon le Bureau central sismologique français de Strasbourg, l'épicentre se situait en Méditerranée, à 100 kilomètres à l'ouest d'Ajaccio.

La Terre a tremblé en France. Hier soir, à 21h21, un séisme d’une magnitude de 5,2 a secoué la Corse, plusieurs arrondissements de Marseille, les départements du Var (Toulon et Draguignan) et des Alpes Maritimes (entre Grasse et Saint-Laurent du Var).

Si le tremblement de terre n'a fait aucun dégât, ni aucune victime, il a crée la panique parmi les habitants des différentes villes touchées qui ont passé plus de 1.200 appels aux pompiers. Il s'agit en effet du plus fort séisme qui ait été ressenti dans le Sud depuis juillet 1963 (d'une magnitude de 5,6 à l’époque).

Suite à la secousse, le Bureau central sismologique français de Strasbourg a localisé l'épicentre en mer, à 100 kilomètres à l'ouest d'Ajaccio et, selon le Centre sismologique euro-méditerranéen, à 20 kilomètres de profondeur. Le journal La Provence souligne ainsi qu’une secousse de magnitude 4 avait déjà été enregistrée dans cette zone samedi dernier.

L'activité sismique française résulte du choc entre la plaque tectonique africaine qui remonte et la plaque eurasienne. La première plonge sous la seconde au niveau de la Méditerranée, expliquant l'activité sismique de la Provence.

La faille de la Trevaresse est à l'origine du plus important séisme qu'ait connu la France au siècle dernier, le 11 juin 1909 à Lambesc, rapporte lefigaro.fr. D'une magnitude de 6, la secousse avait frappé ce village des Bouches-du-Rhône ainsi que les localités avoisinantes, faisant 46 morts et provoquant la destruction de 1.500 habitations.

Un risque modéré en France
Selon la nouvelle carte de zonage sismique en France, le risque de tremblement de terre est en réalité globalement modéré en France. Cependant, l’implantation d’installations nucléaires demande à ce qu’une surveillance accrue soit mise en place. Ainsi, seules les Antilles, situées près de la frontière entre deux plaques tectoniques, sont en catégorie 5, le niveau de risque le plus élevé.

Maxisciences 8/8/2011

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La terre a tremblé dans le Gard


Les témoignages ont afflué de toutes parts dans le village où le phénomène a été ressenti de différentes manières. Une meyrannaise en a parlé aussitôt sur Facebook, il était 3h39, environ.
Mon lit a bougé … la porte du réfrigérateur s’est ouverte … mon petit-fils est tombé de son lit… j’ai retrouvé le papé par terre…j’ai cru qu’un animal cognait au volet…j’ai entendu un grand boum, j’ai pensé au mur du son… les verres du vaisselier se sont entrechoqués… j’ai cru que je rêvais… on aurait dit le tonnerre… j’ai senti des ondes qui me traversaient le corps… le mur de ma chambre a bougé etc.
Tous ont été réveillés avec plus ou moins de frayeur et de force. Bienheureux les sourds et ceux qui ont le sommeil très lourd, et il y en a... qui ont fait leur nuit entière sans avoir rien entendu ni ressenti!
L’évènement a quand même suscité quelques trois cent réactions sur midi libre.com qui, dès l'aurore, affichait l'évènement.

.Midi Libre 05/08/2011

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Séisme de magnitude 3,2 en Béarn

Un séisme de magnitude 3,2 sur l'échelle de Richter s'est produit lundi dans le Béarn, à l'est d'Oloron (Pyrénées-atlantiques), sans faire de dégâts, a-t-on appris auprès de l'Observatoire des sciences de la terre de Strasbourg et des pompiers du département.

Les pompiers du Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) des Pyrénées-atlantiques n'ont reçu aucun appel à la suite de ce séisme enregistré à 6H24 et qui n'a fait aucun dégât signalé.

L'épicente du séisme a été localisé à 10 km à l'est d'Oloron-Sainte-Marie, a indiqué à l'AFP l'Observatoire de Strasbourg, précisant que de tels phénomènes sont courants dans la région - cinq séismes de magnitude comparable s'y sont déjà produits depuis le début de l'année.

Des tremblements de terre de plus faible intensité - inférieure à 3 degrés sur l'échelle ouverte de Richter -, se produisent dans cette région quasiment tous les jours, a ajouté l'Observatoire qui en a dénombré 248 depuis le début 2011 dans un rayon de 100 km autour d'Oloron.


Sciences et Avenir 08/08/2011

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Le séisme qui s’est produit dans la nuit de dimanche à lundi dans les Alpes-de-Haute-Provence, à proximité de Barcelonnette, a secoué les habitants en pleine nuit mais continue de surprendre les scientifiques.

Le séisme de magnitude 4,9 qui a secoué les Alpes-de-Haute-Provence dans la nuit de dimanche à lundi était, selon le journal La Provence, le plus fort jamais ressenti depuis 1997. A Barcelonnette, sous-préfecture du département, le tremblement de terre dont l’épicentre se trouvait à 13 kilomètres a été sévèrement ressenti. Un habitant de la ville souligne même avoir été réveillé en pleine nuit en étant secoué. A proximité de l’épicentre, c’est le grondement qui s’est fait entendre le premier, vers 23h30, rapidement suivi d’une secousse qui a duré plusieurs secondes. Certains Barcelonnettes se sont réveillés en sursaut et d’autres ont eu du mal à aller se coucher par la suite.

Les deux répliques qui ont suivi le séisme sont intervenues quelques heures plus tard, en fin de nuit et dans la journée, toujours dans la vallée de l’Ubaye. D’amplitude très réduite, elles ont été beaucoup moins remarquées que la première qui avait fait vibrer les murs et les fenêtres. Bien que n’ayant occasionné aucun dégât matériel sévère, certains habitants ont retrouvé des objets placés sur des étagères par terre. Les vibrations ont en effet été suffisamment importantes pour amener des dossiers placés en hauteur à chuter sur le sol et des statuettes à se briser.

Ce séisme est assez marquant pour les Provençaux dans la mesure où ils ne sont que très peu habitués à ce type de manifestations. Si pour beaucoup cet événement a été aussi vite oublié, pour d’autres il reste assez inquiétant. Il n’a pourtant rien de comparable à ce que peuvent vivre certains Japonais ou Californiens qui résident au-dessus de plaques tectoniques très actives. En revanches, les sismologues se disent assez surpris de ce tremblement de terre qu’ils ont du mal à expliquer comme le souligne wikistrike.com.

Une activité sismique mystérieuse

Si, comme l’explique François Thouvenot de l'Institut des sciences de la terre de Grenoble, la vallée de l’Ubaye est une des régions françaises les plus actives sismiquement et parcourue de très nombreux microséismes (plus de 16.000 séismes de magnitudes comprises entre 1,3 et 2,7 ont été enregistrés entre 2003 et 2004), les raisons de cette activité reste un véritable mystère.

La plupart des scientifiques ont un temps pensé que la tectonique des plaques amenait la plaque africaine contre la plaque eurasiatique et que cela se ressentait au niveau des Alpes, mais cette explication a depuis été réfutée. En effet, on a constaté que les plus importantes déformations avaient lieu en Afrique du Nord. Toutefois, pour M. Thouvenot, un séisme de magnitude 7 n’est pas du tout impossible dans la région…

Maxisciences 29/02/2012

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Dans la nuit de dimanche à lundi, les habitants de l'axe Pau - Gourette ont été réveillés par un séisme d'une magnitude de 4,8. D'après les comptes rendus des pompiers, aucun blessé n'est a déplorer.

Les habitants de l'axe Pau-Gourette ont été surpris, vers 12h35 dans la nuit de dimanche à lundi, par un tremblement de terre d'une magnitude de 4,8, suivi d'une réplique, à 1h07, de 2,7 sur l'échelle de Richter.

L'épicentre se situerait entre les bourgades de Coarraze et Nay, selon l'Observatoire sismologique de Strasbourg.

La secousse aurait été ressentie comme "assez importante" et les communes de Pau, Escou, Denguin, Bizanos, Herrère, Bénéjacq, Nay, Baudreix, Arudy, Bordes, Uzos, Gan, Billère, Nousty, Mazères-Lezons, Lons, Mourenx, Bruges, Ger, Lestelle-Bétharram, Oloron, Soumoulou, Pontacq, Lasseube l'ont également ressentie. D'après les comptes-rendus des pompiers à l'édition numérique du Monde, il n'y aurait aucun blessé.

Plus de peur que de mal, donc, mais une peur qui a obligé les pompiers de la région de la vallée d'Ossau à de multiples interventions, pour rassurer les habitants sur la situation géologique, et sur les faiblesses immobilières pouvant naître de l'évènement.

Dans cette région, située sur la chaîne des Pyrénées, le phénomène n'est pas rare, mais un tremblement de terre de cette force pourrait survenir tous les deux ans d'après les dires de l'Observatoire sismologique de Strasbourg.


Maxisciences 31/12/2012

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Dans la nuit de samedi à dimanche, six légers tremblements de terre ont été ressentis dans les Alpes et la Côte d'Azur. Le plus puissant était à 4 sur l'échelle de Richter. Ils n'ont fait ni dégât ni victime.

La terre a tremblé ! Six séismes de faible intensité ont été détectés dans le sud-est de la France dans la nuit de samedi à dimanche. Ils n’ont heureusement fait ni victime ni dégât, même si les pompiers ont été mobilisés suite aux nombreux appels d’habitants paniqués.

Au niveau des Alpes et de la Côte d’Azur, le séisme le plus puissant a atteint 4 sur l’échelle de Richter tandis que celui ressenti à Annecy ne pointait qu’à 2,7 sur la même échelle. Les petits tremblements de terre sont relativement fréquents dans la région mais le dernier à avoir causé de gros dégâts a eu lieu en 1996. Il avait provoqué l’équivalent de 50 millions d’euros de dommages divers et était de magnitude 5.

MAXISCIENCES 7/4/2013

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TOULOUSE - Un séisme modéré s'est produit lundi après-midi dans les Hautes-Pyrénées, au nord d'Argelès-Gazost, sans faire de dégâts, a-t-on appris auprès du Bureau central sismologique français (BCSF) et des pompiers du département.

Le séisme de magnitude 4 sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit à 14H40, a précisé le BCSF. Cet organisme, dont le siège est à Strasbourg, s'appuie sur deux réseaux de surveillance sismique en France et est chargé de diffuser l'information sur les séismes tout en évaluant la sévérité des secousses au sol.

[b]Il n'y a pas eu de dégâts dans l'immédiat, d'après les pompiers.[/b]

Selon les témoignages recueillis par le BCSF sur son site (www.franceseisme.fr), la secousse a été ressentie dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres autour de l'épicentre. Elle a été perçue comme faible ou modérée par la plupart des personnes qui avaient témoigné vers 16H30.

Les Hautes-Pyrénées sont, avec les départements des Alpes, les zones de France métropolitaine où l'activité sismique est la plus forte.


ROMANDIE 13/5/2013

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TOULOUSE - Les Hautes-Pyrénées ont connu dans la nuit de samedi à dimanche un deuxième séisme modéré en une semaine, qui semble n'avoir fait aucun dégât, selon les informations du Bureau central sismologique français (BCSF), des pompiers et des gendarmes du département.

Le BCSF a fait état dans un communiqué dimanche d'un séisme de magnitude 3,8 sur l'échelle ouverte de Richter survenu à 00h48 à 3 kilomètres au nord d'Argelès-Gazost, non loin de Lourdes. Un séisme similaire de magnitude 4 était survenu pratiquement au même endroit lundi après-midi.

Selon une centaine de témoignages recueillis par le BCSF sur son site (www.franceseisme.fr) depuis la secousse, celle-ci a été ressentie comme faible ou très faible dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres autour de l'épicentre. Les pompiers comme les gendarmes du département n'ont reçu aucun appel à l'aide ou même signalement en relation avec le séisme.

Les Hautes-Pyrénées sont, avec les départements des Alpes, les zones de France métropolitaine où l'activité sismique est la plus forte.

Le BCSF, dont le siège est à Strasbourg, s'appuie sur deux réseaux de surveillance sismique en France et est chargé de diffuser l'information sur les séismes tout en évaluant la sévérité des secousses au sol.

ROMANDIE 19/5/2013

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Un tremblement de terre de magnitude 4,5 sur l'échelle de Richter a été ressenti jeudi en fin de matinée dans la région de Vannes, sans faire de dégâts, a indiqué la préfecture du Morbihan dans un communiqué. Dans la matinée, le Réseau national de surveillance sismique (Rénass), basé à Strasbourg, affichait sur son site internet une magnitude de 4,7, également sur l'échelle de Richter. La magnitude reste à affiner par les analystes, a-t-on indiqué au Bureau central sismologique français (BCSF).

"Aucun dégât n'est à noter pour le moment. Les services de l'État sont mobilisés pour suivre les conséquences de cet événement tellurique", a indiqué la préfecture dans un communiqué. "Des répliques de moindre importance sont possibles dans les heures qui viennent", a également précisé la préfecture. La secousse s'est produite à 10 h 53 à une profondeur de 7 kilomètres. Elle a été "ressentie largement dans le département entre Vannes, Languidic, Lorient", a dit David Myard, directeur de cabinet du préfet du Morbihan.

Selon une correspondante de l'AFP à Vannes, la secousse a duré moins de trente secondes. "Les objets sur le sol, sur le bureau, ont bougé. On est tous sortis de nos bureaux et on s'est tous demandé : Qu'est-ce qui se passe ?" "Tout était concomitant, la secousse et un bruit qui allaient en augmentant. On s'est demandé s'il n'y avait pas eu un crash d'avion. Puis, tout s'est arrêté d'un coup", a relaté cette correspondante. 

À Plescop, ville proche de l'épicentre, Rolande Liagre, une employée de mairie jointe par téléphone, a déclaré : "J'ai eu peur, ça a été très, très fort." Des secousses sont parfois ressenties dans la région, "mais jamais aussi fort", a-t-elle ajouté, tout en précisant qu'aucun dégât n'avait été signalé dans la commune. 


"L'activité sismique est assez régulière en Bretagne, de magnitude faible, pas ressentie par la population", a dit Jérôme Vergne, sismologue au BCSF, qui a expliqué que le séisme de jeudi était intervenu "sur une des branches d'un système de faille bien connu et très ancien qu'on appelle le décrochement sud-armoricain".

Jérôme Vergne a précisé que le séisme a été largement ressenti, car environ une centaine de personnes ont posté des témoignages sur le site du BCSF. En septembre 2002, un séisme de magnitude 5,4 s'était produit avec un épicentre situé près de Hennebont (Morbihan). Il avait été ressenti dans tout le Massif armoricain, en Bretagne et une partie de la région Pays de la Loire. Un tremblement de terre de magnitude 3,9 s'était produit mi-octobre dans le Finistère, à l'est de Brest, également sans faire de dégâts.


Le point 21/11/2013

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En cas de catastrophe, Internet et les réseaux sociaux deviennent des moyens de communication efficaces. Le séisme survenu en Bretagne près du golfe du Morbihan est un exemple de l’usage de ces moyens de communication. « Les pouvoirs publics doivent apprendre à bien utiliser les réseaux sociaux », nous explique Rémy Bossu, un des inventeurs de la sismologie citoyenne.

Mercredi 11 décembre, 23 h 49 : le Finistère se met à trembler. À l’est de la presqu’île de Crozon, les habitants entendent un grondement. Que se passe-t-il ? Rien de grave apparemment. Les tableaux des sismologues ne tardent pas à se garnir d’une nouvelle ligne : épicentre 4,257° O et 48,271° N (soit juste au sud de la commune de Landévennec, à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Châteaulin) ; profondeur 2 km ; magnitude locale (ML) 3,5. C’était bien un séisme, les habitants l’ont vite compris, avec une récidive plus tard dans la nuit, à 3 h 22, trois semaines après celui, d’une magnitude de 4,5, qui a secoué le sol au nord du golfe du Morbihan, près d’Auray et de Vannes, le 21 novembre à 10 h 53.


  Dans la nuit du 11 au 12 décembre, deux séismes de faible magnitude sont survenus dans le Finistère. La secousse a aussi atteint les réseaux sociaux... ©️ CESM

Dans les deux cas, bien avant les annonces sur les sites Web du BCSF (Bureau central sismologique français) ou du CSEM (Centre sismologique euroméditerranéen), la nouvelle se répandait déjà. Car quand survient ce genre de phénomène, c’est sur Internet que l’on va se renseigner, et c’est aussi sur les réseaux sociaux que l’on vient témoigner. Ainsi, le 21 novembre au matin, Twitter bruissait des commentaires laissés par ceux qui ont vécu ce tremblement. On apprenait que l’équipe de football de Vannes a été surprise en plein entraînement. Ce 12 décembre, en pleine nuit, les tweets d’habitants inquiets se sont multipliés.

Ces réactions ne relèvent pas du tout de l’anecdote et peuvent même être exploitées de deux manières. Tout d’abord, il est possible de repérer des pics d’accès sur les sites traitant de sismologie et provenant d’usagers du Web qui habitent une même région. On peut ainsi détecter un séisme et la manière dont il a été ressenti par la population, et l’on peut aussi récupérer des témoignages, des photos et des vidéos. La seconde possibilité est de répondre rapidement aux questions et aux angoisses des gens aux prises avec l’événement en utilisant les réseaux sociaux, pour rassurer ou pour aider les personnes et les secours.

La première voie a été explorée dans plusieurs pays, à commencer par la France. Le CSEM (une ONG), qui centralise les données sismiques de plus de 50 pays pour les redistribuer ensuite à tous, a entamé les premiers essais il y a près de dix ans. Après avoir mis au point une technique d’analyse des accès à leur propre site et de leur localisation par l’adresse IP, le CSEM parvient à repérer un événement sismique en une minute et demie, soit avant les réseaux de veille sismique. De là est née l’idée de la sismologie citoyenne, quand les témoins laissent dans un formulaire le récit de ce qu’ils ont observé, mais aussi des images saisies par exemple avec un téléphone portable. Des événements très rares peuvent être ainsi documentés. Depuis, le concept a évolué, et l’idée du CSEM et d’autres est d’informer les témoins, les victimes et leurs proches qui s’inquiètent.

  Les séismes survenus en France en 2013. La Bretagne, particulièrement le sud, n'est pas épargnée. En 2002, un tremblement de terre dans le Morbihan, près de Hennebont, avait atteint une magnitude de 5,4. En octobre 2013, un léger tremblement de terre a été ressenti près de Brest. La Bretagne ne se trouve pas à la frontière entre deux plaques, mais son sous-sol est parcouru de vieilles fractures datant de l’époque hercynienne, quand la région voyait pousser un massif montagneux il y a 360 millions d’années. Il en reste des cicatrices et, comme d’anciennes blessures, elles peuvent se rouvrir. ©️ Bureau central sismologique français


La seconde voie, que l’on pourrait qualifier de « sismologie citoyenne 2.0 », commence à peine. Elle passe par les réseaux sociaux et déborde largement du seul risque sismique. En France, le CSEM vient de mettre en place un fil Twitter baptisé @LastQuake, car cette organisation est par essence internationale. C’est là que l’on peut déposer et lire des témoignages dès que la terre tremble. Sur les sites du CSEM et du BCSF, qui présentent la liste des derniers événements, les témoins peuvent aussi envoyer des photos et raconter ce qu’ils ont ressenti en remplissant un formulaire. Ce 12 décembre, en fin de matinée, le CSEM en avait reçu une cinquantaine en provenance de Bretagne, et le BCSF environ 300.

« Les autorités doivent apprendre à utiliser les réseaux sociaux, affirme Rémy Bossu, secrétaire général du CSEM. La prochaine crise se passera en direct sur les smartphones. » L’idée est d’une part de recueillir des informations, et d’autre part de contrôler les informations et les rumeurs, qui peuvent être fausses ou alarmantes. Et de rappeler deux exemples aux États-Unis :

- Après la fusillade de l’université Virginia Tech, une communauté s’est spontanément créée sur Facebook et a permis de dresser la première liste des victimes. 

- Lors du passage de l’ouragan Sandy, des stations de recharge publiques de téléphones mobiles ont été mises en place pour permettre aux gens de continuer à communiquer entre eux ou avec les secours. À l’inverse, souligne Rémy Bossu, « de fausses nouvelles et des photos truquées ont circulé, affirmant que la Bourse de New York était noyée ou montrant une vague géante s’abattant sur la statue de la Liberté ». 

 Rémy Bossu devant les écrans qui centralisent les données sismiques d'une cinquantaine de pays, mais aussi les pics d'activité sur le site du CSEM, témoignant qu'un séisme a été ressenti quelque part. ©️ Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Selon lui, il faut savoir rapidement mettre en place une surveillance des réseaux sociaux. En France, par exemple, la fuite d’un mercaptan dans une usine de Rouen en janvier 2013 a provoqué une panique, car l’odeur était inquiétante, qui a été complètement sous-estimée par les autorités.

« Il faut pouvoir éteindre les rumeurs, plaide-t-il. Il faut donner des informations et permettre aux gens d’en donner et de signaler à leurs proches qu’ils sont vivants. On peut imaginer une application sur smartphone qui enverrait automatiquement un "je vais bien" sur les réseaux sociaux, par mail et par SMS. » Dans les années à venir, il est très probable que des services s’organiseront autour de la communication par mobiles pour mieux gérer les situations d’urgence.

 tebeo 25/11/2013


FUTURA SCIENCES 12/12/2013

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La secousse a été ressentie dans la nuit de samedi à dimanche à Sébrazac, ainsi que dans les vallées du Lot et de la Truyère, dans le sud du Massif central.

Un tremblement de terre a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche, mais il n'a fait ni dégât ni blessé, a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie. La secousse a été ressentie à Sébrazac, un village de 500 habitants situé à moins de trente kilomètres de Rodez, ainsi que dans les vallées du Lot et de la Truyère, dans le sud du Massif central, a indiqué la gendarmerie, qui évoque un événement "insolite".
 
LePoint.fr - Paysage aveyronnais




Ce "séisme de magnitude 3,9" s'est produit très précisément à 27 kilomètres au nord de Rodez, samedi, à 22 h 16, précise le Bureau central sismologique français sur son site internet. La zone n'avait pas connu de séisme de magnitude 4 depuis quarante ans, selon l'historique de cet organisme officiel.

Les gendarmes ont reçu des appels d'habitants du village de Mur-de-Barrez jusqu'à la commune d'Entraygues-sur-Truyère au confluent du Lot et de la Truyère. Ce type de séisme, dit "de perception humaine modérée", n'occasionne pas de destruction.

En 2011, le quotidien régional La Dépêche du Midi avait rappelé à ses lecteurs que 50 % des municipalités de l'Aveyron se situaient dans une zone présentant un "risque faible" de séisme. Le Grand Rodez en fait partie, de même que la zone de Millau où se trouve le viaduc.

Le Point 26/1/2014

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Un séisme de magnitude 5 sur l'échelle de Richter a frappé le Sud-Est de la France ce lundi soir, à une cinquantaine de kilomètres de Cannes et de Nice. Selon les données du Réseau national de surveillance sismique, il s'est produit à 21h27 entre Les Embruns et Barcelonnette, dans les Alpes-de-Haute-Provence, non loin de la frontière italienne.

Selon le commandant des pompiers des Alpes-Maritimes, cité par le président du Conseil général Eric Ciotti, "aucun dégât n'est signalé pour l'heure dans [son] département".

AFP 8/4/2014


"Ça a été assez impressionnant, mais nous ne déplorons aucun dégât dans le département", a confirmé l'élu UMP quelques minutes plus tard sur BFMTV. Il a tout de même noté "plus de 600 appels passés au centre d'alerte des sapeurs-pompiers des Alpes-Maritimes de personnes qui étaient inquiètes, qui se renseignaient sur la conduite à tenir".

A Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, le tremblement de terre n'a également fait aucun dégât, ont indiqué les pompiers joints par BFMTV. Ceux-ci n'ont eu à effectuer aucune intervention en lien avec le séisme.

rmc 8/4/2014


Idem à Barcelonnette, ville la plus proche de l'épicentre, dans les Alpes-de-Haute-Provence. "J'ai téléphoné à la gendarmerie, il ne doit pas y avoir de sinistre majeur", a réagi sur BFMTV le maire de la ville, Pierre Martin-Charpentel. Celui-ci fait néanmoins état de quelques secondes - une dizaine - impressionnantes: "Depuis plus de 40 ans que je vis ici, c'est la première fois que j'entends un tel grondement", a-t-il relaté. "D'un seul coup, quand la maison se met à bouger et que la charpente se met à trembler, on se dit que c'était un gros, gros tremblement de terre et cela m'a paru très, très long."

BFMTV 8/4/2014


"C’est quand même un séisme majeur pour la France", a expliqué chez Jean-Jacques Bourdin le sismologue Jérôme Vergne, de l'Institut du globe, à Strasbourg. "Un tel séisme se produit tous les 20 à 30 ans. L’épicentre est à 5 Km de Barcelonnette. C’est un endroit que l’on connaît bien, parce que c’est la région la plus active des Alpes. Donc on n’est pas surpris de la localisation de ce séisme mais par sa magnitude, qui est relativement élevée".

RMC 8/4/2014

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Un séisme modéré s'est produit le matin du mardi 29 avril dans la région de Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées, sans faire ni victimes ni dégâts, a fait savoir le Bureau central sismologique français (BCSF) et des pompiers et gendarmes du département.


La terre a tremblé dans les Pyrénées peu après 9 heures ce mardi matin. Selon le Réseau National de Surveillance Sismique, deux répliques ont suivi, de magnitude 4,4 puis 3,4 sur l'échelle de Richter. Capture d'écran du BCSF


Un séisme "modéré" de 4,7 de magnitude a eu lieu, mardi matin, à 9 heures à Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées, annonce sur son site le Bureau central sismologique français (BCSF). Ce tremblement de terre n'a fait ni victimes ni dégâts.

L'épicentre se situerait à 5 km d'Ossun et 11 km de Tarbes (Latitude : 43.0573°N Longitude : 0.0089°W). La secousse a été suivie d'une réplique de magnitude 4,4 à 9h07.

Il y a "des séismes réguliers dans cette zone" située sur "la faille nord-pyrénéenne", a ajouté le BCSF. Le tremblement de terre est dû à la "compression de la plaque africaine sur la plaque eurasienne".
   
Le BCSF, dont le siège est à Strasbourg, s'appuie sur deux réseaux de surveillance sismique en France et est chargé de diffuser l'information sur les séismes tout en évaluant la sévérité des secousses au sol.

l n'y a pas eu de dégâts ou de blessés dans l'immédiat, d'après les pompiers et les gendarmes. Les pompiers devaient cependant partir en reconnaissance sur le terrain pour vérifier.

Selon La Dépêche du midi, "la ville d'Argelès-Gazost et le secteur allant vers le Val d’Azun (Ayzac-Ost, Agos-Vidalos, Juncalas) ont été privés d’électricité" En Béarn, aucun dégât n'est à déplorer.

Le Réseau National de Surveillance Sismique évoque lui, deux séismes de magnitude 4,4 puis de 3,4 sur l'échelle de Richter, à côté de Tarbes.

Les Hautes-Pyrénées sont, avec les départements des Alpes, les zones de France métropolitaine où l'activité sismique est la plus forte.



BFMTV 29/4/2014 - Le Parisien - La République des Pyrénées

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En Bretagne et Normandie, un léger séisme de magnitude 4,8 sur l'échelle de Richter a été ressenti, ce vendredi. Le tremblement de terre n'a fait aucune victime, ni aucun dégât.


L'épicentre du séisme se situe près de l'île de Jersey.


La Bretagne a tremblé! Une secousse sismique d'une intensité de 4,8 sur l'échelle de Richter s'est produite en mer au large de l'île anglo-normande de Jersey, entre la Bretagne et la Normandie ce vendredi à 13h54. Selon le CEA (commissariat à l'énergie atomique), l'épicentre du séisme se trouve à 30 kilomètres au sud-ouest de Saint-Helier, la capitale de l'île anglo-normande Jersey.

Le séisme a été ressenti à terre par endroits. Les pompiers des Côtes-d'Armor ont indiqué avoir reçu seulement trois appels à ce sujet alors que les pompiers de la Manche, à Saint-Lô, ne l'ont pas ressenti et n'ont reçu aucun appel, ainsi que les pompiers d'Ille-et-Vilaine. Ce séisme "léger" n'a fait aucune victime, ni aucun dégât.

"J'ai cru que mon fauteuil allait tomber, on l'a bien ressenti, j'ai pensé que c'était un bulldozer qui passait déblayer la terre sur le chantier à côté. Mais quand j'ai rien vu, et que ça durait, je me suis dit que c'était autre chose", a expliqué Jean-Philippe Le Gall, un cadre commercial de 36 ans, habitant de Perros-Guirec (Côtes-d'Armor), qui a appelé l'AFP pour signaler avoir ressenti la secousse.
"Cela a duré une minute, ma femme était à l'étage avec le bébé qui a été réveillé d'un coup, elle est descendue en courant en me disant: 'T'as senti, t'as senti, c'était un tremblement de terre", a-t-il ajouté.

Le 21 novembre 2013 une secousse de 4,5 sur l'échelle de Richter avait été ressentie dans la région de Vannes sans faire de dégâts. Sur Twitter, les Bretons ont rapidement réagi à ce tremblement de terre avec des commentaires en tout genre. Certains ont surement des origines marseillaises, d'autres un humour décalé! (Exemple : Chaque #tremblementdeterre en #Bretagne correspond à la colère intérieure d'un des nôtres quand un parisien utilise Kenavo pour dire bonjour
2:43 PM - 11 Juil 2014)

L'Express 11/7/2014

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Dimanche soir vers 18h, le 31 août dernier,la terre a tremblé du coté de Saint-Méen-Le-Grand en Ille-et-Vilaine, un séisme de magnitude 2,4.

Habituellement, les informations relatives aux séismes de faible magnitude ne sont pas relayées ici. Toutefois, il m'est apparu opportun d'en parler parce que, depuis quelques mois, la région a été plus fois secouées par des tremblements de terre.

 ©️ site RéNaSS (Réseau national de surveillance sismique) La carte du réseau national de surveillance sismique fait état du séisme de Saint-Méen-Le-Grand (35) le dimanche 31 août 2014

La secousse sismique a eu lieu le 31 août à 18h04 avec un épicentre à 7km de Saint-Méen-Le-Grand. Répertorié par Le RéNaSS, le réseau national de surveillance sismique, le séisme a été d'une magnitude de 2,4. Une secousse légère comme il peut s'en produire plusieurs fois par semaine en métropole. Le tremblement de terre n'a pas occasionné de dégâts apparents, mais deux témoignages de signalisation du phénomène sont arrivés au Bureau Central Sismologique Français.

Il n'est pas rare que la Bretagne soit le terrain de séismes et depuis novembre 2013, le phénomène s'est renouvelé à cinq reprises.

- Le 11 juillet dernier, un séisme de magnitude 4,9 dont l'épicentre se situait entre l'île de Jersey et Paimpol a été ressenti du Mont-Saint-Michel à Brest, tout le long de la côte nord de la Bretagne.

- Le 8 avril, la région de Vannes était secouée (magnitude de 2,Cool.

- Le 26 février, la terre tremblait (magnitude de 2,7) au nord de Guingamp.

- Le 11 décembre 2013, un tremblement de terre d'une amplitude de 3,5 a secoué le Finistère en soirée, suivi plus de 3 heures plus tard par une réplique.

- Le 21 novembre 2013, à Vannes et Lorient, une secousse de magnitude 4,7 était ressentie par une bonne partie de la population.

Le massif Armoricain est une vieille chaîne de montagnes de plus de 300 millions d'années, avec des failles qui se sont constituées. "Depuis, il s'est largement érodé" expliquait en novembre dernier Evelyne Goubert, du laboratoire "Domaines Océaniques - Géosciences Marines et Géomorphologie du Littoral de l'UBS, "mais les failles sont toujours là".

Comme le sud des Alpes, les Vosges ou les Pyrénées, nous sommes donc en zone sismique, "mais de faible risque"". Il y a tout le temps des petites secousses, mais que les gens ne ressentent pas" précisait la scientifique.

FR3 Bretagne 2/9/2014

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De nombreux Béarnais ont ressenti des secousses hier, vendredi, vers 22h.  Ce séisme de magnitude 3 a été recensé par ReNaSS sur son site. C'est le deuxième séisme en deux jours observé dans cette zone.

 © ReNaSS


Le séisme a été ressenti dans une dizaine de communes :Billère, Lons, Gan, Bizanos, Monein, Gelos, Nay, Moléon-Licharre, Coarraze, Arudy, Bordes,Mazeres-Lezons, Oloron, Arette, Gurmençon, Bidos, Ogeu, Lées-Athas, Moumour, Goès...  Sur les réseaux sociaux les réactions ont été rapides.

Une secousse a eu lieu à 22h04 et était de magnitude 3. Elle a été recensée sur le site internet du ReNaSS.

Un tremblement de terre avait déjà été recensé le 1er janvier dans cette même zone proche de Pau. Il était alors d'une magnitude de 1,8. Depuis le 30 décembre dernier le ReNaSS a enregistré 10 séismes en France. La plupart étaient à l'est du pays (Thonon-les-Bains, Briançon, Gap...). Celui observé dans le Haut-Béarn hier est le plus important des derniers séismes recensés.

Le Réseau National de Surveillance Sismique (RéNaSS) est composé de 73 stations vélocimétriques réparties sur l'ensemble du territoire métropolitain en différents réseaux régionaux (Pyrénées, Alpes Fossé Thénan, Charentes et quelques stations isolées), leur densité est plus élévée dans les zones les plus sismiquement actives afin d'en suivre l'activité.

Les capteurs sont majoritairement des capteurs courte période (période propre 1 ou 2s), à 1 ou 3 composantes. Les modes de transmission des données sont diverses : satellite, ADSL, réseau téléphonique commuté, etc. Les données sont transmises soit en temps réel, soit en temps différé au site central du RéNaSS localisé à Strasbourg au sein de l'EOST, pour y être traitées, archivées et distribuées.

L'évolution du réseau s'insère dans le cadre du projet RESIF, il est prévu une mise à niveau des stations courte période (si elles répondent aux standards établis dans le cadre du projet) en stations large bande, 3 composantes et avec une transmission temps réel.

Le site central du RéNaSS localise quotidiennement les évènements ayant eu lieu principalement en France métropolitaine et dans les zones frontalières. Les localisations sont mises à jour quotidiennement sur le site web. 

Le réseau travaille en collaboration avec d'autres organismes ou d'autres réseaux en France ou en Europe.



FR3 Aquitaine 3/1/2015

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Ce mardi matin aux alentours de 6h25, la terre a tremblé dans les Pyrénées. L’épicentre du séisme d’intensité à 3,8 sur l’échelle de richter s’est produit à 2km d’Oloron Sainte-Marie dans les Pyrénées-Atlantiques.

©️CEA


Dans les Pyrénées, il se produit plusieurs fois par an de petits tremblements de terre, la plupart sans conséquence matérielle et humaine. Il est convenu de dire qu’un séisme est ressenti par la population locale au delà de l’intensité 4. L’activité sismique sur les Pyrénées est constante. La géothermie utilisée depuis toujours sous la forme de thermes fait partie de l’identité des Pyrénées. Les secousses n’en sont qu’une des manifestations.

Dans cette zone de la chaîne le dernier séisme enregistré remonte au 13 mars 2015. Sa magnitude avait été évalué à 2. Toujours selon le Centre d’étude antisismique, les 5 derniers séismes d’importances relevés à moins de 100km remontent au :

- 29/02/1980 20h40m48s Magnitude = 5.8
- 17/11/2006 18h19m50s Magnitude = 5.4
- 18/09/2004 12h52m18s Magnitude = 5.2
- 06/01/1982 16h32m49s Magnitude = 5.0
- 06/01/1989 19h33m08s Magnitude = 4.9


F3 Midi Pyrénées 14/4/2015

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Selon le Bureau central sismologique français (BCSF), l'épicentre de ce séisme de 4,4 se situait à l'extrême sud-est de l'Angleterre. Il a été ressenti à 3h52.

Le tremblement de terre a légèrement secoué le Pas-de-Calais. Un séisme de magnitude 4,4 a été ressenti dans le département du nord de la France dans la nuit du jeudi 21 au vendredi 22 mai, selon les signalements reçus par les pompiers.

 Un séisme, dont l'épicentre se situait au sud-est de l'Angleterre, a été ressenti dans le Pas-de-Calais, dans la nuit du 21 au 22 mai 2015. ( GOOGLE MAPS)

Le Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis) du Pas-de-Calais a reçu "cinq appels en tout de personnes qui disaient avoir ressenti un gros tremblement". Ces témoignages provenaient des villes de Calais, Boulogne-sur-Mer ou encore d'Arras. Ils n'ont nécessité aucune intervention de la part des pompiers.

Selon le Bureau central sismologique français (BCSF), l'épicentre du séisme se situait à l'extrême sud-est de l'Angleterre, dans le Kent, à 7 km de la ville côtiere de Douvres. La secousse aurait été ressentie à 3h52 heure française.



Francetv info 22/5/2015

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Un tremblement de terre a été ressenti ce vendredi à 9h55 à Brest et alentours. Ce séisme d'une magnitude de 3,4 a son épicentre entre Hanvec et Loperhet.

France 3 Bretagne  21/11/2013



Le CEA comme le Réseau National de Surveillance Sismique (RéNaSS) ont confirmé le tremblement de terre ressenti à 9h55 en Bretagne, dont l'épicentre est à 12km de Brest. Ce séisme, d'une magnitude de 3,4, n'est pas rare, la région étant située sur une faille appelée le "cisaillement sud-Armoricain". Le précédent remonte au mois de février dernier.


F3 Bretgane 30/10/2015

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