BelleMuezza 0 Posté(e) le 24 juillet 2011 Sauver les blaireaux de l’abattagePETITION TERMINEE VOIR SUIVANTESLe blaireau est une espèce protégée au Royaume-Uni et en Europe. Mais, en Angleterre, une nouvelle proposition de loi, si elle était adoptée, permettrait aux agriculteurs de tirer sur les blaireaux partout où ils pensent que leur bétail est menacé par la tuberculose que peut véhiculer le blaireau. Cela, malgré qu’aucune preuve scientifique ne soit établie que le blaireau soit responsable de la tuberculose bovine et que cette action serait à même de lutter contre cette maladie. Pourtant, le parlement semble résolu à légaliser l’abattage des blaireaux ! Exterminer une espèce naturelle au profit du monde agricole est inepte… Même la science est du côté des blaireaux : une étude récente montre que leur abattage ne diminue pas la fréquence de la tuberculose bovine ! En réalité, dans certains cas, l’infection augmente même de 20% !Les dirigeants du Royaume-Uni ne doivent pas céder la place à la cupidité et utiliser la science de mauvaise qualité contre la vie d’une espèce protégée… !Sauvez les blaireaux de cette pratique inhumaine aujourd'hui en signant la pétition..Cliquez ICI pour signer la pétition.Source : Care2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 31 mai 2013 LONDRES - L'abattage de près de 5.000 blaireaux dans deux régions du sud de l'Angleterre pour lutter contre la transmission de la tuberculose au bétail doit débuter ce week-end, alors que les opposants à la mesure ont prévu de manifester samedi à Londres.Ces opérations pilotes d'abattage dans l'ouest du Gloucestershire (ouest de l'Angleterre) et du Sommerset (sud-ouest) seront effectuées à l'arme à feu et observées par des experts indépendants qui devront s'assurer que les animaux sont tués rapidement.Les experts devront également contrôler que l'abattage a un effet significatif sur la réduction des cas de tuberculose dans les troupeaux. Une étude a révélé que l'abattage de 70% des blaireaux sur une zone déterminée permettait de réduire de 16% les cas de tuberculose dans le bétail.Mary Creagh, membre de l'opposition travailliste, a dénoncé cette campagne affirmant qu'elle allait coûter 4 millions de livres (4,68 millions d'euros) aux contribuables britanniques et que la tuberculose bovine allait augmenter ces deux prochaines années parce que les abattages conduisent au déplacement des blaireaux.Les défenseurs de ces animaux ont mené une intense campagne contre ces opérations d'élimination, un mouvement de protestation sans précédent au Royaume-Uni depuis la mobilisation contre la chasse au renard dans les années 1990-2000. Ils prônent la vaccination des blaireaux.Les opposants comptent manifester samedi dans les rues de Londres et remettre à Downing Street une pétition portant 228.000 signatures.Personne ne veut tuer les blaireaux mais des preuves scientifiques et l'expérience d'autres pays nous montrent que nous n'allons pas prendre le dessus sur la tuberculose bovine sans traiter l'infection chez les animaux sauvages comme sur le bétail, a fait valoir le secrétaire d'Etat à l'Agriculture David Heath.La vaccination des blaireaux présente des difficultés pratiques et il n'y a pas encore de preuves de son efficacité, a-t-il également dit. Près de 35.000 bovins ont été abattus en 2012 en raison de la tuberculose, selon les chiffres du gouvernement.Le ministre britannique de l'Environnement, Owen Paterson, a affirmé que la maladie avait coûté aux contribuables britanniques 500 millions de livres (580 millions d'euros) sur les dix dernières années et qu'elle pourrait coûter un milliard de livres (1,16 milliard d'euros) au cours de la prochaine décennie, si elle n'est pas maîtrisée.Selon un sondage effectué auprès de 1.763 personnes et rendu public vendredi, un tiers des sondés (34%) sont contre les abattages et presque autant les soutiennent (29%) tandis que le troisième tiers n'a pas d'opinion tranchée sur le sujet.ROMANDIE 31/5/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 1 juin 2013 LONDRES - Plusieurs centaines de défenseurs des animaux, dont la rock star Brian May, ont défilé samedi à Londres pour protester contre les opérations d'abattage des blaireaux, destinées à lutter contre la transmission de la tuberculose au bétail.Halte à l'abattage, ont clamé les manifestants, vêtus en noir et blanc et portant pour beaucoup des masques de blaireaux.Lancée par Brian May, guitariste du groupe Queen, une pétition rassemblant plus de 235.000 signatures a été adressée au gouvernement pour lui demander de renoncer à ces opérations d'abattage, qui doivent commencer à partir de ce week-end dans deux régions du sud-ouest de l'Angleterre. Près de 5.000 blaireaux doivent être tués par balles dans l'ouest du Gloucestershire et du Somerset, lors de ces opérations pilotes qui suscitent une résistance farouche des défenseurs des animaux. Si le gouvernement ne nous écoute pas aujourd'hui, la pression va continuer, a prévenu Brian May, qui s'est dit ému de la mobilisation.L'abattage ne marchera pas. C'est une perte de temps, d'argent et c'est extrêmement dommageable à de nombreux égards, a ajouté le musicien. Il n'y a aucune justification scientifique, aucun soutien populaire, aucune base morale, a-t-il ajouté.La manifestation s'est déroulée dans le centre de Londres, à quelques rues seulement du rassemblement organisé par le parti d'extrême droite British National Party à la suite du meurtre du soldat Lee Rigby, et d'une contre-manifestation d'organisations antifascistes.L'intense campagne de protestation menée par les défenseurs des blaireaux -qui prônent la vaccination de ces animaux- est sans précédent au Royaume-Uni depuis la mobilisation contre la chasse au renard dans les années 1990-2000. Un débat doit se tenir mercredi au Parlement sur ces opérations d'abattage, à l'initiative du parti travailliste, opposé à ces mesures. Selon les chiffres du gouvernement, près de 35.000 bovins ont été abattus en 2012 en raison de la tuberculose.Les blaireaux sont des grands vecteurs de la tuberculose bovine et sont capables de retransmettre la maladie au bétail. Une étude a révélé que l'abattage de 70% des blaireaux sur une zone déterminée permettait de réduire de 16% les cas de tuberculose dans le bétail.Selon un sondage effectué auprès de 1.763 Britanniques, rendu public vendredi, un tiers des sondés (34%) sont contre les abattages et presque autant les soutiennent (29%) tandis que le troisième tiers n'a pas d'opinion tranchée sur le sujet.ROMANDIE 1/6/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 21 octobre 2013 Bruyant et court sur pattes, le blaireau fait la fierté de la Grande-Bretagne où son abattage pour raisons sanitaires a provoqué un tollé jusque devant le Parlement: "Et dire que maintenant ils veulent le gazer", s'indigne Louise.Il est 22 heures et il fait un froid de canard dans le Gloucestershire lorsque soudain une détonation déchire la nuit noire. "Oh non, ils tirent sur les blaireaux!", murmure Louise, trentenaire dévouée à la protection du plantigrade. xavier lenel / Youtube 16/5/2011Plus que jamais il s'agit de faire vite pour secourir l'animal à grand renfort de sifflets et de hurlements.Cette scène a lieu toutes les nuits depuis la fin août dans le Somerset et le Gloucestershire, deux zones rurales de l'Ouest de l'Angleterre. Depuis que le gouvernement, sous pression des éleveurs, y a autorisé l'abattage du blaireau, accusé de transmettre la tuberculose bovine, qui a fait 300.000 victimes dans le bétail sur les neuf dernières années. 2b3n4m5q / Youtube 2/10/2013Ailleurs l'histoire se serait sans doute arrêtée là. Pas au Royaume-Uni, où on ne badine jamais avec la protection des animaux. Une réalité que Louise résume ainsi: "ici, on les aime davantage".Ainsi, avant même que les premiers tirs n'aient fusé, l'opposition s'est organisée, cornaquée par quelques vieilles gloires comme Brian May, le guitariste de Queen. Qui s'est d'abord fendu d'une reprise de "Flash Gordon" pour chanter: "blaireau, blaireau, blaireau, blaireau, sauvez le blaireau". Avant de parler de "génocide", s'attirant les protestations d'associations juives. DailyNews1900 / Youtube 12/9/2013Sur le terrain, des collectifs se sont formés. On compte 500 "patrouilleurs" rien que dans le Gloucestershire. "On a des médecins, des instituteurs, des pompiers et même un juge", avance Louise qui refuse de donner son nom de famille. "Parce qu'on a des problèmes avec les fermiers. Certains ont déjà essayé de nous écraser avec leur voiture", lance-t-elle, l'oeil noir.Ce soir encore, elle est fidèle au rendez-vous en rase campagne, pour partir en patrouille vêtue d'un gilet fluo frappé du sceau du blaireau. Ils sont une trentaine à se répartir en petits groupes de "quatre minimum au cas où ça tourne mal", explique David, 79 ans dont 40 "au service du blaireau". TheGuardian / Youtube 8/8/2013 - La réforme à propos des blaireaux divise les communautés...Du haut de son expérience, c'est lui qui tient le téléphone portable reliant le petit groupe au "QG". Qui se résume à "une copine assise dans sa cuisine", chargée de rameuter l'ensemble des troupes sur la première "scène de crime" détectée."Et là on gesticule, on crie, on utilise des sifflets pour empêcher les +shooteurs+ de faire du mal à ces adorables petites bêtes", souligne Helen, une quinquagénaire qui a, elle aussi, bravé le froid.Ayant interdiction de faire feu dès qu'une présence humaine est signalée, les tireurs n'ont alors pas d'autre choix que de se retirer. On devine leur énervement après avoir patienté jusqu'à quatre jours pour attirer le blaireau hors de son terrier à coups de cacahuètes. Katy Jackson / Youtube 26/82013Mais aucun tireur ne tient à s'exprimer, de peur d'être identifié par les "saboteurs", ces militants extrémistes pro-animaux qui donnent du fil à retordre à la police. La police, la voilà justement, qui s'approche sous forme de trois fonctionnaires emmitouflés dans leur parka. "Parfois ils sont douze, vous imaginez le fric que ça coûte", grince Louise qui sourit d'un air entendu lorsqu'elle apprend que les policiers viennent exprès de... Londres."Je nage dans le bonheur, la pression est infernale", commente, ironique, un policier."Les pauvres, ils sont perdus. Mais ils sont aussi là pour nous protéger", dit Louise, alors qu'un 4x4 passe pour la énième fois dans le champ à côté. "Probablement un fermier qui essaye de nous intimider", croit savoir David. Sheffield Saboteurs / Youtube 16/7/2013Pourtant David n'est pas inquiet. Au contraire. "Notre travail paye", dit-il. La semaine dernière le ministre de l'Environnement Owen Paterson a dû reconnaître devant le Parlement que la campagne d'abattage avait fonctionné moins bien que prévu avec seulement 850 bêtes abattues dans le Somerset. Du coup, le gouvernement réfléchit désormais à gazer les blaireaux.La proposition a été qualifiée de "bénédiction" par l'Union nationale des éleveurs. Ailleurs, c'est l'indignation. "Cela rappelle les heures les plus sombres de notre histoire", grogne le comédien Bill Oddie, autre personnalité pro-blaireau, interrogé par l'AFP. DepartementAIN / Youtube 18/2/2013Le point 18/10/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 27 mai 2014 Début 27/5/2014 - Fib ?Auteurs : L'Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS) et l'association MELESCible : Premier MinistreEn France, le blaireau est victime d’une chasse-loisir qui consiste à extraire violemment cet animal de son terrier avant de l’abattre. Blaireau européen (Meles meles) Peter Trimming Flickr / CC BY 2.0. Cliquez ICI pour en savoir plus sur les blaireaux.Encore appelé « vènerie sous terre », le déterrage consiste à lâcher des chiens pour acculer un blaireau au fond de son terrier puis de l’extirper à l’aide d’énormes pinces métalliques qui lui infligent des douloureuses blessures. Le blaireau endure de longues heures de stress avant d'être exécuté ou donné vivant aux chiens qui finissent le travail en l’éviscérant.Le déterrage est pratiqué de la mi-septembre au 15 janvier. Mais dans 74 départements français, sur simple volonté du préfet, il peut commencer dès le 15 mai, période où les blaireautins sont encore dépendants de leurs mères et du groupe social. Chassé 9 mois et demi, le blaireau n’a aucun répit !En France, au moins 165 000 blaireaux seraient impitoyablement exterminés chaque année par ce seul mode de chasse.Il est urgent de réagir face à ce véritable fléau : L’ASPAS et MELES demandent la fin de la période complémentaire de chasse au blaireau, l’interdiction de ce mode de chasse et une réelle protection du blaireau.Pour que le déterrage cesse et que le blaireau soit protégé, signez et diffusez !CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITIONMes opinions 27/5/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites