Admin-lane 0 Posté(e) le 7 octobre 2011 Les compteurs électriques intelligents censés équiper 35 millions de foyers français d'ici à 2020 représentent-ils un danger pour la santé ? C'est la question que pose l’association Robin des toits, qui depuis plusieurs années dénonce les impacts des ondes émises par les antennes relais.L'association Robin des Toits a écrit une lettre au ministre de l’Industrie et de l’Energie Eric Besson, dans laquelle elle le met en garde contre les éventuelles conséquences sanitaires des compteurs Linky, rapporte le site d'Europe 1. Ces compteurs "intelligents" équiperont tous les foyers français d'ici à 2020, a récemment annoncé le gouvernement. Via des informations mises à jour en temps réel, ils sont censés permettre de mieux gérer sa consommation.Mais les compteurs Linky émettront pour communiquer avec le fournisseur d'électricité, le même type d’ondes que celles des téléphones portables, souligne l'association, qui dénonce depuis plusieurs années les possibles risques sanitaires des antennes-relais. "Le compteur intelligent utilise des radiofréquences qui viennent d’être classées par l’OMS dans la catégorie cancérigène potentielle", a affirmé à Europe 1 Etienne Cendrier, un porte-parole de Robin des Toits. "Et on s’est rendu compte au Canada et aux Etats-Unis, qu’il y a des gens qui devenaient électrosensibles quand ils étaient soumis au rayonnement des compteurs soi-disant intelligents" affirme-t-il. "Les gens qui ne supportent plus les ondes électromagnétiques, ils ont des problèmes avec leur famille, ils ont des problèmes avec leur boulot, dans certains cas ils sont obligés de quitter les villes. On a déjà un retour aux Etats-Unis et au Canada de gens qui ont été obligés de quitter leur maison" s'insurge-t-il.Tandis que l'association préconise de garder les compteurs actuels, et de les raccorder en filaire à la ligne ADSL ou en fibre optique, ERDF, qui a conçu le compteur, affirme avoir respecté la réglementation en vigueur en Europe. La filiale d'EDF assure que la population ne sera exposée à aucun danger.Maxisciences 07/10/2011 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 19 mai 2012 Alors que le compteur électrique "intelligent" Linky doit être déployé dans toute la France à partir de 2013, l'expérimentation menée dans les zones rurales d'Indre-et-Loire continue de diviser, avec de nombreuses interrogations sur son utilité réelle et son coût."Cette expérience a été menée de façon strictement industrielle par ERDF - filiale d'EDF chargée de la distribution du courant - sans tenir assez compte de l'intérêt des usagers", estime Jean Lagoutte, responsable du dossier Linky à l'association UFC-Que Choisir d'Indre-et-Loire.Le mois dernier, UFC-Que Choisir a relancé la polémique en lançant un recours auprès du Conseil d'Etat, doublé d'une campagne nationale d'information.Principal grief: le compteur ne permet pas aux usagers de faire des économies d'énergie, contrairement à ce qui était annoncé. Un reproche partagé par plusieurs responsables, élus, usagers interrogés par l'AFP, ainsi que par l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie)."On veut un afficheur déporté ou un outil moderne de communication, internet ou smartphone par exemple, qui permet d'avoir en temps réel la transcription des informations du compteur", résume Jean-Luc Dupont, président du Syndicat intercommunal d'énergie d'Indre-et-Loire (SIEIL). Ce syndicat regroupe les 150 communes intégrées à l'opération."En milieu rural, 80% des compteurs ne sont pas installés dans des lieux de vie, c'est un sur deux en moyenne en France", souligne M. Dupont.Deux expérimentations ont été menées ces dernières années: l'une en Indre-et-Loire, département à majorité rurale où quelque 87.000 compteurs jaune fluo ont été installés entre mars 2010 et mars 2011, l'autre en zone urbaine à Lyon.Au départ, l'objectif, imposé par une directive européenne, est simple: permettre au consommateur de connaître en temps réel sa consommation, pour mieux la maîtriser et donc faire des économies."Nous travaillons à la mise à disposition d'un site internet sécurisé gratuit, qui permettra aux clients de suivre l'évolution de leur consommation sur leur ordinateur, ou sur leur télé, voire de proposer des alertes sur le téléphone portable", répond Jean-François Quinchon, directeur territorial d'ERDF qui a piloté l'expérimentation en Indre-et-Loire.Il rappelle par ailleurs que Linky permet au fournisseur d'établir les factures sur consommation réelle et non plus sur estimation.Insuffisant, rétorquent les intéressés.Le SIEIL a ainsi mené une enquête auprès de 1.500 foyers: si 69% jugent Linky utile ou très utile, seuls 6% indiquent avoir changé leurs habitudes de consommation.Autre problème: le coût (4,5 milliards d'euros selon ERDF). L'installation du compteur est gratuite pour l'usager. Mais les associations soupçonnent que les consommateurs le paieront indirectement via le "TURPE", un prélèvement sur les factures d'électricité censé financer les investissements dans les réseaux électriques.Idem pour l'accès au suivi de consommation en temps réel: les sceptiques soupçonnent qu'il faudra mettre la main à la poche pour obtenir des appareils ou des services supplémentaires."Il faudra payer pour obtenir ce pour quoi Linky a été lancé", s'indigne M. Lagoutte. "Ca peut être discriminatoire pour les plus précaires, qui n'y auront pas accès alors que c'est eux qui en ont le plus besoin", renchérit M. Dupont.L'enquête souligne également les nombreux dysfonctionnements lors de la mise en oeuvre: compteurs mal posés, qui disjonctent fréquemment, factures qui s'envolent, manque d'information...ERDF assure que ces problèmes de jeunesse, qui portaient sur 1% des compteurs, sont résolus. Et avance d'autres arguments: interventions à distance - plus rapides et moins coûteuses - en cas de panne, mises en service accélérées...Mais certains pensent qu'en donnant son feu vert au déploiement de 35 millions de Linky dans tout le pays à compter de 2013/2014 (si ERDF et les collectivités s'entendent sur le financement), le gouvernement sortant est allé un peu vite."L'expérimentation n'a pas été évaluée jusqu'au bout, (l'ex-ministre de l'Industrie) Eric Besson a fait les choses à marche forcée", regrette le député PS d'Indre-et-Loire Jean-Patrick Gille.Pour l'UFC, il faudrait carrément reprendre l'expérience "en modifiant le type d'appareil".ERDF balaie ces critiques, avec un ultime argument: "Linky va créer 5.000 emplois de poseurs pendant cinq ans, avec les emplois induits on estime à 10.000 emplois l'impact de Linky".Sciences et Avenir 19/05/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 9 octobre 2012 PARIS - Le gouvernement va reprendre le dossier des nouveaux compteurs d'électricité Linky, dont le déploiement annoncé il y a un an par le précédent gouvernement n'est toujours pas lancé, a déclaré mardi la ministre de l'Ecologie et de l'Energie Delphine Batho.Nous allons reprendre ce projet pour faire aboutir le déploiement du compteur intelligent, a déclaré la ministre lors d'une audition au Sénat. Un groupe de travail est remis en place puisque ce projet était resté dans beaucoup d'incertitudes. Ma volonté est que ses conclusions puissent être présentées dans le cadre du débat sur la transition énergétique (soit entre novembre et avril, ndr) et qu'elles puissent aboutir, a ajouté Mme Batho.Le précédent gouvernement avait annoncé en septembre 2011 l'installation sur tout le territoire à partir de 2013 de 35 millions de compteurs Linky dits intelligents parce qu'ils transmettent en temps réel la consommation d'un foyer à ERDF, la filiale d'EDF en charge du réseau électrique de proximité. Mais le financement --estimé à 4,3 milliards d'euros n'avait pas été bouclé à l'époque-- et le dossier s'était embourbé.Il y a quatre questions prioritaires qui doivent être résolues dans une discussion avec ERDF, a estimé Delphine Batho mardi.Il s'agit de répondre aux attentes des consommateurs, intégrer des capacités liées à l'effacement (c'est à dire la réduction de la consommation d'énergie en heure de pointe) et d'établir une stratégie de déploiement national coordonnée qui ait des choix géographiques et un programme de déploiement comparable à des opérations nationales qu'on avait fait comme le passage à la TNT ainsi que la question du financement qui comme vous le savez n'est pas résolue, a détaillé la ministre.Si une meilleure intelligence des réseaux électriques français est souhaitée par tous pour permettre des économies d'énergie, Linky est critiqué --notamment par des associations de consommateurs-- parce qu'il est jugé exclusivement adapté aux besoins d'ERDF et pas du consommateur pour réduire sa consommation.Son installation devrait être gratuite, mais le surcoût devrait être répercuté sur la facture via le tarif d'utilisation des réseaux publics d'électricité (TURPE), la taxe qui facture l'acheminement du courant. ROMANDIE.COM 09/10/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 16 novembre 2012 MONTLUCON (Allier) - Le gouvernement a réenclenché jeudi le projet de compteur électrique intelligent Linky, resté au point mort pendant un an, en annonçant qu'il commencerait à être installé dans toute la France d'ici la fin 2014.On a vraiment la volonté d'aboutir rapidement, a souligné la ministre de l'Energie Delphine Batho, venue visiter à Montluçon (Allier) une usine de Landis+Gyr, fabricant suisse de compteurs et partenaire de Linky.Des groupes de travail se réuniront dès vendredi pour aider à régler les questions en suspens et mettre en oeuvre la finalisation concrète du projet. Sur cette base, un calendrier précis sera établi en 2013 afin que, d'ici la fin de l'année 2014, on entre dans la phase concrète du déploiement du compteur intelligent chez tous les Français, a-t-elle dit.Annoncé en fanfare l'an dernier par l'ex-gouvernement UMP, l'installation de 35 millions de compteurs Linky dans tout le pays devait initialement s'étaler entre 2013 et 2018, au rythme de sept millions d'appareils par an, avec à la clé 10.000 emplois. Un chantier comparable au passage à la télévision numérique terrestre (TNT).Mais le financement --4,5 milliards d'euros-- n'avait pas été bouclé à l'époque-- et le projet s'était enlisé, jusqu'à ce que Mme Batho s'engage en octobre à le relancer.Le nouveau gouvernement a souhaité reprendre ce projet parce que la France s'engage sur la voie de la transition énergétique, dont un des enjeux majeurs est la sobriété énergétique. Or, Linky est un outil au service du consommateur, et l'aidera à maîtriser sa consommation de courant, a-t-elle plaidé.Linky, petit boîtier fluo, est dit intelligent parce qu'il transmet en temps réel la consommation d'un foyer à ERDF, la filiale d'EDF en charge du réseau électrique de proximité, mettant fin aux factures sur des estimations. De plus, il permettra à ERDF de diminuer à distance l'usage d'électricité de consommateurs volontaires, aux heures où la demande de courant s'emballe.Concernant le financement, Mme Batho a souligné que la Commission de régulation de l'énergie (CRE) avait retenu dans un document publié cette semaine une option qui va dans le sens de ce que souhaite le gouvernement: la neutralité pour le consommateur.En clair, les Français ne devraient rien débourser. ERDF avancera les fonds et se remboursera grâce aux économies de fonctionnement générées par le système. Reste à régler la question des garanties réclamées par la filiale d'EDF.Enfin, les groupes de travail devront aplanir les tensions entre ERDF et les associations de consommateurs, en particulier l'UFC-Que Choisir, pour qui le projet néglige les consommateurs et qui l'avait attaqué au Conseil d'Etat.Les annonces de la ministre ont ravi les industriels, qui commençaient à désespérer. Nous ne demandons qu'une seule chose: pouvoir investir et embaucher, a lancé Christian Huguet, directeur de Landis+Gyr France, à Mme Batho et la présidente d'ERDF, Michèle Bellon, qui lancera les appels d'offres pour la fabrication des compteurs.La France ne doit pas perdre son avance technologique, sachant que Linky, concu dans l'Allier, est le compteur fonctionnellement le plus évolué au monde, a-t-il ajouté.Landis+Gyr (acquis l'an dernier par Toshiba), déjà numéro un mondial des compteurs électriques, vise 40% du marché, et embauchera 150 personnes, voire plus, selon la part qu'il obtiendra. Ce serait la 1ère réindustrialisation à Montluçon depuis 20 ans, se réjouit d'avance le député de l'Allier Bernard Lesterlin (PS).Le français Itron, autre partenaire de Linky, est également dans les starting-blocks, et de nombreux autres groupes devraient suivre.ROMANDIE.COM 15/11/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 25 septembre 2013 PARIS - L'UFC-Que Choisir a prévenu mardi que 15 millions de foyers risquaient d'être pénalisés par le déploiement programmé d'ici à 2020 du compteur électrique intelligent Linky, en les obligeant à souscrire un abonnement généralement plus cher, et à payer de lourds frais à ERDF.L'arrivée du compteur Linky va faire disjoncter le portefeuille des consommateurs, a lancé le président de l'association de consommateurs Alain Bazot, en présentant à la presse les conclusions d'une étude menée pendant un an auprès d'un panel représentatif de 201 foyers.Il en ressort que plus de la moitié (55%) des ménages français souffriraient d'un mal-abonnement : 5 millions payent un abonnement d'une puissance supérieure à leurs besoins, et à l'inverse, 10 millions ont souscrit une puissance inférieure à celle réellement utilisée. C'est possible du fait de la tolérance des compteurs actuels, qui ne disjonctent pas systématiquement lorsque la puissance appelée dépasse celle de l'abonnement, explique M. Bazot.Or le compteur Linky devrait mettre fin à cette situation. D'un côté, grâce aux informations transmises par ce compteur innovant, les 5 millions de foyers sur-tarifés pourront enfin connaître la puissance maximale qu'ils utilisent et en prendre un abonnement moins cher, leur faisant économiser 35 millions d'euros par an.Mais à l'inverse les 10 millions de ménages sous-tarifés seront poussés selon l'UFC à souscrire des abonnements plus puissants et donc plus cher, car Linky, beaucoup plus sensible à la puissance utilisée, disjoncte quasi-systématiquement lorsqu'elle dépasse le niveau souscrit. L'association chiffre le surcoût annuel pour ces ménages à 308 millions d'euros.En outre, chaque changement de puissance est facturé 36 euros par le distributeur d'électricité, ERDF (filiale d'EDF), une double peine pour l'UFC qui estime que le gestionnaire de réseau, à l'origine de projet de compteur intelligent, va ainsi empocher 724 millions d'euros... Selon l'association, il est injuste de facturer de tels frais aux consommateurs alors que la loi oblige les fournisseurs à leur conseiller un abonnement adapté.Les ménages devraient faire l'objet d'un choix éclairé et conseillé. Mais le conseil tarifaire est aux abonnés absents, dénonce M. Bazot.L'UFC propose deux mesures : affiner les grilles d'abonnement en instaurant des niveaux de puissance intermédiaires (pour facturer chaque foyer au plus près), et rendre le changement de puissance gratuit durant les 2 ans qui suivront l'installation de Linky.ROMANDIE 24/9/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 25 septembre 2013 PARIS - L'UFC-Que Choisir a prévenu mardi que 15 millions de foyers risquaient d'être pénalisés par le compteur électrique intelligent Linky, qui les obligerait à souscrire un abonnement généralement plus cher et à payer des frais importants, des affirmations qui ont été contestées vigoureusement par ERDF.[...]Le distributeur d'électricité ERDF (filiale d'EDF), à l'origine de Linky, a contesté vigoureusement les calculs de l'UFC auprès de l'AFP, en soulignant que l'expérimentation à grande échelle, menée auprès de 300.000 foyers à Lyon et en Indre-et-Loire, avait montré des cas de changements de puissance très inférieurs.Au total, nous avons observé moins de 1% (0,88% exactement) de demandes de changement de puissance effectuées suite à la pose de Linky, a déclaré à l'AFP Marc Boillot, directeur de la stratégie et des grands projets d'ERDF.En outre il juge légitime que le changement de compteur soit l'occasion d'adapter l'abonnement à la puissance du disjoncteur, lorsque les deux ne correspondent pas, s'agissant selon lui d'une anomalie contractuelle.Autre point de litige : l'UFC déplore que le changement de puissance soit facturé 36 euros par ERDF. [...]Sur ce point, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) avait elle-même recommandé, à la lumière de l'expérimentation menée par ERDF, que le distributeur effectue gratuitement les changements de puissance entraînés par la pose de Linky.De son côté, ERDF souligne qu'il respectera le barême de prestations décidé par la CRE et que cette question pourra être abordée dans le cadre de discussions auxquelles participe le régulateur.En France, les consommateurs d'électricité doivent payer en plus de leur consommation de courant proprement dite un abonnement dont le montant dépend de la puissance souscrite (le plus souvent de 6, 9 ou 12 kilovoltampères kVa).Cet été, le gouvernement avait confirmé que tous les logements seraient équipés du compteur Linky d'ici à 2020, soit 35 millions de boîtiers à poser, et annoncé le lancement d'un premier appel d'offres portant sur 3 millions de compteurs à installer d'ici 2016.L'UFC-Que Choisir, qui juge que Linky a été conçu exclusivement dans l'intérêt d'ERDF, avait déjà tenté sans succès un recours auprès du Conseil d'Etat contre sa généralisation.ROMANDIE 24/9/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 21 mai 2014 Paris - La ministre de l'Écologie et de l'Énergie, Ségolène Royal, souhaite accélérer le déploiement du compteur électrique intelligent, Linky, qui doit être généralisé d'ici 2020 en France et est censé aider les citoyens à mieux contrôler leurs consommation. itele 20/5/2014Je souhaite accélérer l'objectif, il faut aller plus vite, a déclaré mardi Ségolène Royal, ajoutant cependant qu'elle ne veut pas [s']immiscer dans un appel d'offres, en marge de l'inauguration d'un centre témoin d'ERDF sur les réseaux intelligents.ERDF a lancé un appel d'offres en 2013, dont le résultat doit être connu cet été, pour la livraison de 3 millions de compteurs à installer d'ici 2016. Des groupes comme Landis+Gyr (filiale de Toshiba), les sociétés françaises Itron ou Sagemcom sont sur les rangs.En principe, la totalité des logements français, soit 35 millions de boîtiers, doivent être équipés d'un compteur intelligent d'ici 2020.Le compteur Linky a été plusieurs fois critiqué, notamment par les députés Jean-Jacques Guillet (UMP) et François de Rugy (EELV) dans leur rapport d'information sur l'évaluation de la politique énergétique et climatique française, rendu public la semaine dernière.Censé aider les consommateurs à mieux suivre et donc contrôler leur consommation, ce compteur ne transmettra aux abonnés que les volumes globaux d'énergie consommés. L'information sur le prix, elle, ne sera disponible que via un abonnement spécifique, regrettent les députés, relayant des réserves de l'Ademe et de l'association UFC-Que Choisir. ----->J'ai le net sentiment que ce compteur est davantage axé sur les besoins internes du fournisseur et absolument pas pour sa clientèle. Sa fonctionnalité permettra entre autres de couper automatiquement l'électricité aux personnes en retard de paiement... sans avoir à faire déplacer un technicien... D'où une diminution des charges salariales de l'entreprise... ! En conséquence, il est anormal que le client doive payer un abonnement pour connaître le montant à acquitter (ou dépensé..). Si cet abonnement payant devait être confirmé, la taxe prélevé sur nos factures devrait être supprimée...Romandie 20/5/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites