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BelleMuezza

Yéti: découverte de "preuves irréfutables", jure une région russe

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MOSCOU, 10 oct 2011 (AFP) - Une délégation internationale de scientifiques a collecté des "preuves irréfutables" de l'existence du yéti dans la région russe de Kemerovo, en Sibérie, a annoncé l'administration régionale sur son site internet.

"Lors d'une expédition dans la grotte Azasskaïa, les participants ont collecté des preuves irréfutables démontrant que +l'homme des neiges+ vit dans la (contrée de la) Choria montagneuse", explique le communiqué publié dimanche soir, sur la base des découvertes de chercheurs russe, américain, canadien, suédois et estonien. "Des empreintes de l'homme des neiges, son antre supposée et différents marqueurs avec lesquels le yéti démarque son territoire ont été trouvés. Dans l'une des empreintes découvertes, le scientifique russe Anatoli Fokine a trouvé des poils appartenant potentiellement au yéti", selon la même source.

La région de Kemerovo souligne dès lors que ces trouvailles prouvent "à 95% que l'homme des neige vit "sur son territoire" et qu'elles seront "étudiées dans un laboratoire scientifique". A ce titre les chercheurs de l'expédition ont milité pour la création à l'Université d'Etat de Kemerovo d'un centre d'étude du yéti, reprenant une proposition de l'administration régionale formulée en mars mais qui avait été rejetée alors par la faculté. "Ces études feront en sorte que la société et les médias prendront plus au sérieux ce qui concerne (le yéti). Les données (du centre d'étude) pourront être utiles aux biologistes, aux médecins et à d'autres scientifiques", relève encore le communiqué de l'administration régionale.

Le vice-gouverneur de Kemerovo, Dmitri Islamov relève lui que l'important n'est pas "l'existence" du yéti dans la région mais que les touristes venant en Choria montagneuse --dans la chaîne de l'Altaï-- profitent "du caractère unique de la nature dans la région". La région de Kemerovo cherche à développer le tourisme et organise régulièrement des évènements autour du légendaire yéti, notamment des expéditions médiatisées. L'ancien champion du monde de boxe poids lourds WBA, le géant russe Nikolaï Valuev, a participé à l'une d'entre elles en septembre.

30 millions d'amis 10/10/2011

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Réalité ou entretien / récupération d'une "mythologie"... ? J'ai lu cet article sur plusieurs sites sérieux qui ont repris cette information... Trouvant cependant que le sujet relève plus d'une légende je n'avais pas jugé bon de l'évoquer sur le forum... D'autant plus que je ne savais pas où le caser ! 30 millions d'amis l'ayant catégorisé faune sauvage... Je suis le mouvement afin de vous faire partager l'information...

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Un projet britannico-helvétique s’attaque une nouvelle fois au mythe du yéti. Des échantillons attribués à cet animal vont être rigoureusement analysés avec le top de la technologie des analyses génétiques..



René de Milleville était un spécialiste de l'Himalaya. Il a pris cette
photographie en 1976. Son empreinte est à droite, mais à qui appartient donc
celle de gauche ? Au yéti ? ©️ Asterix99, Wikimedia common, CC by-sa 3.0


L’objectif ? Prouver son existence bien sûr. Un appel au don a même été lancé pour obtenir une plus grande quantité de matériel cryptozoologique.

Le yéti existe-t-il ? Voilà maintenant près de soixante ans que la question est posée. Tout est parti d’une photographie prise en 1951 lors de l’expédition d’Éric Shipton sur le mont Everest dans l’Himalaya. Que représente-t-elle ? Une empreinte géante laissée dans la neige, qui n’appartiendrait à aucune espèce animale connue.

De nombreuses hypothèses plus ou moins scientifiques ont depuis vu le jour afin d'expliquer cette découverte.

Pour certains, cette empreinte appartiendrait à des descendants d’anciens Hommes tels que Homo erectus, Homo floresiensis ou encore Homo neanderthalensis.

Pour d’autres, elle aurait été laissée par un grand primate théoriquement disparu à ce jour, peut-être un gigantopithèque.

Enfin, les plus réticents attribuent ces traces à des animaux tels que des ours bruns ou noirs.

Diverses analyses ont bien sûr été réalisées dans le passé sur des échantillons qui auraient appartenu à un représentant de cette espèce inconnue. Les résultats ont bien souvent été décevants, attribuant les os ou les poils trouvés respectivement à des restes humains ou à des chèvres.

Bernard Heuvelmans, un biologiste suisse, a enquêté durant plus d’un demi-siècle, de 1950 à 2001 (année de sa mort), sur l’existence possible de l’Homme des neiges en Himalaya, mais aussi sur le Bigfoot en Amérique du Nord ou l’Almasty au sein des montagnes de Caucase, en se basant sur des témoignages récoltés un peu partout sur la Planète. Il a aussi accumulé de très nombreux éléments biologiques ayant pu appartenir à ces créatures mystérieuses dans les collections du Musée de zoologie de Lausanne, en Suisse.

Une équipe britannico-helvétique va maintenant exploiter ce matériel pour essayer de confirmer ou d’infirmer avec une rigueur absolue l’existence de ces êtres grâce aux toutes dernières technologies en matière d’étude génétique. Bryan Sykes, de l’université d’Oxford, et Michel Sartori, du musée de zoologie de Lausanne, sont les codirecteurs de l’Oxford-Lausanne Collateral Hominid Project (OLCHP).

Ils invitent d’autres institutions, chercheurs ou passionnés, à leur envoyer tout matériel cryptozoologique qui aurait pu appartenir à un yéti ou à l’un de ses camarades.

Pour information, la criptozoologie désigne l’étude des animaux dont l’existence n’a pas été prouvée.

Les techniques d’analyses génétiques qui vont être utilisées n’ont pas été précisées mais l’on sait qu’elles permettent, par exemple, de déterminer avec un très faible pourcentage d’erreur le nom de genre et d’espèce du propriétaire d’un seul cheveux ou poil. Le protocole d’étude se veut rigoureux et sans faille.

En effet, les résultats ne sont pas destinés à alimenter une liste de travaux farfelus déjà réalisés à ce sujet. Ils seront publiés dans une revue scientifique dotée d’un comité de relecture.

Que les plus sceptiques se rassurent, le projet OLCHP a également un autre objectif, moins médiatique. Bryan Sikes espère que les échantillons récoltés en divers points du Globe permettront également d’étudier d’éventuelles interactions entre différentes espèces d’Hommes disparus à ce jour, ainsi que leurs migrations au cours de l’histoire de la Terre.

Les premiers résultats sont prévus pour la fin de l'année en cours ou pour le début de 2013.



Futura Sciences 24/05/2012

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L'énigme de l'"abominable homme des neiges" a-t-elle été résolue? Selon un chercheur britannique de l'université d'Oxford, le légendaire "yéti" pourrait être le résultat d'un croisement entre un ours polaire et un ours brun.

Le généticien Bryan Sykes a expliqué jeudi avoir soumis à des tests ADN une série d'échantillons de poils d'animaux trouvés dans l'Himalaya. "Nous avons trouvé une correspondance génétique totale entre deux échantillons provenant de l'Himalaya et un ancêtre de l'ours polaire", a-t-il dit sur la BBC.

L'ADN de deux créatures non identifiées, provenant de la région de Ladakh en Inde et du Bhoutan, correspondait à 100% avec un échantillon prélevé sur la mâchoire d'un ours polaire trouvée sur l'archipel norvégien de Svalbard où il a vécu à une période remontant à au moins 40'000 ans et jusqu'à 120'000 ans.

"C'est un résultat passionnant et complètement inattendu, qui a été une surprise pour nous tous", a déclaré le scientifique.

"Il y a encore du travail à faire pour interpréter les résultats, a-t-il poursuivi. Mais nous pouvons nous interroger sur les explications possibles. Cela pourrait dire qu'il y a une sous-espèce d'ours brun dans l'Himalaya qui descend de l'ancêtre de l'ours polaire". "Ou alors cela veut dire qu'il y a eu une hybridation plus récente entre l'ours brun et le descendant de l'ours polaire ancestral", a-t-il ajouté. "Si son comportement est différent des ours classiques, comme le rapportent des témoins, cela (son caractère hybride) peut être la source du mystère et de la légende", a estimé le scientifique.

Le mythe du "yéti", souvent décrit comme une bête mi-homme, mi-singe, a été nourri par des photographies d'empreintes géantes dans la neige, prises par l'alpiniste britannique Eric Shipton lors de son expédition dans l'Everest en 1951.

romandie 17/9/2013

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Des ours, des chevaux, des canidés, des vaches, un humain et des ratons laveurs... mais aucune créature légendaire. L'inventaire dressé par des chercheurs, qui ont analysé l'ADN de poils réputés appartenir au yéti, au bigfoot et autres mystérieux primates, brise le mythe.

 "Pour faire un peu de lumière sur ce sujet souvent trouble, nous avons mené une analyse génétique systématique d'échantillons de poils attribués à ces créatures", expliquent Bryan Sykes, professeur de génétique humaine à l'université britannique d'Oxford, et son équipe. (Image, illustration d'un Yéti. Philippe Semeria CC BY-SA 3.0)

En mai 2012, les chercheurs ont lancé un appel aux musées et aux collections privées susceptibles de détenir des poils de yéti pour qu'ils leur en cèdent un échantillon. Ils en ont reçu 57 au total.

Une fois écartées les fibres de verre et substances végétales, les scientifiques ont sélectionné 36 échantillons "en raison de leur provenance ou intérêt historique", puis ont analysé leur profil génétique.

Ils sont parvenus à extraire l'ADN de trente échantillons pour les comparer avec le génome d'espèces répertoriées.


Pas de yéti, d'almasty - son équivalent russe - ou de bigfoot, mais des animaux de tout poil: nombreux ours et chevaux, ainsi que quelques vaches et canidés (loup, chien ou coyote).

Les analyses ont peut-être tout de même mis les généticiens sur la piste d'une nouvelle espèce animale. Deux échantillons, l'un provenant de la région du Ladakh, en Inde, l'autre du Bhoutan, "correspondent à 100% avec l'ADN d'un fossile d'ours polaire (Ursus maritimus) âgé de plus de 40'000 ans, mais pas avec des spécimens modernes de cette espèce", écrivent-ils.

"Même s'il y a quelques signalements d'ours blancs en Asie centrale et dans l'Himalaya, il est plus probable que ces poils proviennent d'une espèce d'ours inconnue jusqu'à présent, ou d'une variété d'ours polaire de couleur différente, ou encore d'hybrides d'ours polaire et d'ours brun", estiment les chercheurs. Ils jugent toutefois nécessaire de procéder à des analyses génétiques plus poussées pour pouvoir trancher.

Romandie 2/7/2014

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