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les pays vulnérables devraient "inspirer" les pays riches

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Certains des pays les plus touchés par le changement climatique devraient servir d'"inspiration" aux pays riches concernant la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre, a estimé lundi le secrétaire général des Nations unies, lors d'un forum au Bangladesh.

S'exprimant au Forum des pays "climatiquement vulnérables", où 18 pays doivent s'entendre pour constituer un front uni avant la conférence de l'ONU à Durban (Afrique du Sud), Ban Ki-moon a salué des pays tels que les Maldives, le Costa Rica ou les îles Samoa pour leur engagement à être "neutres en carbone".

"En ces temps d'incertitude sur l'économie mondiale, laissons l'engagement (de ces pays) pour une croissance verte être une inspiration pour un plus grand nombre de pays développés, les plus gros émetteurs", a-t-il déclaré.

Il est toutefois "injuste" de "demander aux plus pauvres et plus vulnérables de supporter seuls le poids le plus lourd de l'impact du changement climatique", a-t-il ajouté, appelant à la mise en place de fonds agréés pour les pays pauvres.

Ce Forum est une réponse au rythme "très lent et inadapté" des négociations internationales sur le climat, a estimé lundi lors de l'ouverture le Premier ministre du Bangladesh, Mme Sheikh Hasina.

Ban Ki-moon a appelé le pays hôte à devenir un "leader mondial sur le plan de la préparation aux catastrophes".

La mise en place de systèmes d'alerte rapide et le recours à un fort contingent de volontaires ont permis à ce pays défavorisé de réduire significativement le nombre de victimes de cyclones, montrant au monde que "les catastrophes naturelles peuvent ne pas aboutir à des catastrophes humaines", a-t-il estimé.

Sciences et Avenir 15/11/2011

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La première réunion du conseil du Fonds vert, mécanisme en construction pour aider financièrement les pays en développement à faire face au changement climatique, n'aura pas lieu comme prévu fin mai, faute d'accord sur la composition de ce conseil, a indiqué jeudi l'ONU.

La toute première réunion de ce Fonds vert était prévue du 31 mai au 2 juin à Genève (Suisse), après avoir déjà été repoussée de quelques semaines, en raison de retard dans le choix des 24 membres du conseil.

"La prochaine fenêtre pour se réunir sera la dernière semaine de juin ou la première de juillet", a précisé dans un communiqué Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques, en marge de discussions actuellement en cours à Bonn (Allemagne).

"Il y a un beaucoup d'enthousiasme de la part des pays pour être représentés dans le conseil. Même si j'aurais aimé le voir se mettre au travail immédiatement, un court report pour s'accorder sur sa composition signifie qu'il peut se lancer en douceur et avancer vers les tâches qui l'attendent", a-t-elle ajouté.

Les pays développés se sont engagés à acheminer, à partir de 2020, 100 milliards de dollars par an vers les pays les plus vulnérables pour les aider à faire face au changement climatique.

Le Fonds vert est le mécanisme phare devant permettre ce transfert financier même si, en l'absence de sources de financement très identifiées, il est pour le moment régulièrement qualifié de "coquille vide" par les ONG.

L'une des premières taches du conseil de Fonds vert doit être de choisir cette année le pays hôte de ce nouvel organisme, une décision qui doit être formellement approuvée lors de la prochaine grande conférence sur le climat, à la fin de l'année à Doha, au Qatar.

Six pays ont fait acte de candidature: l'Allemagne, le Mexique, la Namibie, la Pologne, la Corée du Sud et la Suisse.




Sciences et Avenir 17/05/2012

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