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STOP AU TRANSPORT D’ANIMAUX SUR DE LONGUES DISTANCES !

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Pour que cesse la souffrance de ces pauvres animaux

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Depuis, la Belgique, vous pouvez envoyer un SMS
au n°3019, 4€ par message envoyé,
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Chaque année, des millions de veaux, vaches, cochons, moutons, agneaux, chevaux etc. sont transportés d’un bout à l’autre de la France ou de l’Europe. Depuis sa création, la Protection mondiale des animaux de ferme dénonce ces transports, les souffrances qu’ils imposent aux animaux, et demande à ce que soit mis un terme aux transports d’animaux sur de longues distances.

Malgré les nombreuses actions qu’a menées la Protection mondiale des animaux de ferme pour dénoncer ce commerce, et les nombreuses images remises aux chaînes de télévision qui révèlent les maltraitances dont peuvent être victimes les animaux en cours de transport, ce commerce continue.

Vos dons et vos SMS aideront
la Protection mondiale des animaux de ferme
à financer les actions de communication, de lobbying,
le travail d’enquête réalisé sur les routes,
pour que cesse la souffrance de ces pauvres animaux.


Où sont transportés les animaux ?

Après avoir quitté l’élevage, les animaux peuvent être transportés sur un marché, vers un abattoir, dans une autre ferme pour y être engraissés, que ce soit en France ou dans un autre pays. Sur les marchés, les animaux sont parfois manipulés avec brutalité durant le chargement et le déchargement. Des bâtons sont parfois utilisés pour frapper les animaux et les forcer à avancer.

Les marchés aux bestiaux sont des lieux bruyants, les animaux y sentent de nombreuses odeurs inhabituelles, y côtoient d’autres animaux qu’ils ne connaissent pas, ils sont manipulés par des inconnus, etc. et de ce fait, ce sont des lieux très stressants et effrayants pour les animaux. Certains animaux sont vendus à des commerçants qui les exporteront vers d’autres pays. Ainsi, des animaux sont exportés depuis la France jusqu’en Espagne, en Italie, mais aussi dans des pays encore plus éloignés tels que la Grèce ou le Liban.

Quelles conséquences ces transports ont-ils pour les animaux ?

Les animaux n’ont pas l’habitude d’être transportés. De ce fait, ces transports peuvent être très stressants pour eux. Il est fréquent que les animaux soient entassés au-delà des densités de chargement tolérées par la réglementation. Si un animal tombe, il risque d’être piétiné par ses congénères et d’être dans l’impossibilité de se relever. Lors des fortes chaleurs, les animaux peuvent souffrir considérablement et même mourir.

Les porcs en particulier souffrent beaucoup des fortes chaleurs du fait qu’ils ne peuvent pas transpirer.

Si seulement quelques animaux sont dans le camion, sans séparation, ils peuvent être projetés d’un bout à l’autre du camion et être victimes de blessures, lorsque le camion freine, prend des virages trop brusquement, etc. En hiver, les animaux souffrent également du froid. Bien souvent, lors des transports sur de longues distances, les animaux ne reçoivent pas d’eau, de nourriture, ni de temps de repos. Le déchargement se fait souvent très brutalement, bien souvent à l’aide d’un aiguillon électrique.

Combien de temps durent ces transports ?

La durée de transport peut être courte si les animaux sont simplement transportés à un abattoir proche de l’élevage, mais de plus en plus, même le transport vers un abattoir en France peut prendre plusieurs heures. Les animaux qui voyagent depuis la France jusque dans un autre pays peuvent être parfois transportés jusqu’à 40 heures, parfois sans nourriture, sans eau et sans repos, en traversant différentes zones climatiques. Certains animaux sont exportés pour être engraissés. Par exemple, chaque année, la France exporte prés d’un million de taurillons vers l’Italie où ils seront engraissés. D’autres animaux sont transportés pour être abattus dès leur arrivée.

Pourquoi les animaux vivants sont-ils transportés ?

Certains abattoirs ne trouvent pas assez d’animaux à abattre dans la région où ils sont implantés. Ils sont donc près à payer le prix fort pour faire venir des animaux de très loin, et ainsi pouvoir fonctionner à plein régime. C’est donc uniquement pour des motivations économiques que les animaux sont transportés sur de longues distances.

La PMAF souhaite que les animaux soient engraissés à proximité de leur lieu de naissance et qu’ils soient abattus près de leur lieu d’élevage. Il n’y a aucune raison valable qui justifie que l’on transporte des animaux sur de longues distances, si ce n’est quelques profits économiques.

Que souhaite la PMAF ?

- La PMAF souhaiterait que la durée totale des transports d’animaux soit limitée à 8 heures maximum, qu’ils soient destinés à l’abattage ou à l’engraissement. Les animaux devraient être abattus à proximité de leur lieu d’élevage et ce sont leurs carcasses qui devraient être transportées.
- Les densités de chargement des animaux devraient être réduites de façon significative.
- Les chevaux devraient voyager dans des compartiments séparés.

IL Y A URGENCE !
TROP D’ANIMAUX MEURENT CHAQUE JOUR !




Clic Animaux 16/11/2011

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Strasbourg s’est officiellement prononcé pour une limitation à 8 heures des transports d'animaux destinés à l'abattage (15/3/12). Une belle victoire pour les associations de protection animale, même si le texte doit encore figurer à l’ordre du jour du Conseil de l’Europe.

Plus de la moitié des eurodéputés - 395 voix à ce jour (sur 754, NDLR) - se sont prononcés pour l’adoption de la déclaration écrite 49/2011, qui limite à 8 heures des transports d'animaux destinés à l'abattage. Une avancée conséquente alors qu’aujourd’hui la réglementation actuelle de l’Union n'impose aucune limite de distance ou de durée totale de transportspour les animaux.

« Cela concernera tous les animaux : les bovins et les cochons mais aussi les chevreaux et les poules de réforme » précise Brigitte Gothière, porte-parole de l’association L214*.


C’est une pétition - ayant recueilli plus d’un million de signatures - qui est à l’origine de cette initiative parlementaire. Le député danois Dan Jørgensen et le collectif Animals’Angels mènent depuis des mois une campagne de sensibilisation pour que les eurodéputés prennent enfin en compte la souffrance des animaux durant leur transport vers l’abattoir. Un rapport du Comité scientifique de la Commission européenne sur la santé animale et la protection des animaux avait, dès 2002, adopté comme règle de base que le transport des animaux devait être « aussi court que possible ».


Une recommandation qui ne se reflétait malheureusement pas dans la législation de l'UE : « Elle autorisait le transport de bovins, de moutons ou de chèvres pendant 29 heures d'affilées avant d'exiger une halte de repos » poursuit Brigitte Gothière. Des voyages sources de souffrances, d'angoisses et d'atteintes à la santé des animaux qui n’étaient, vidéos à l’appui, plus à démontrer. Chaque année, 133 000 convois d'animaux - traversant au moins une frontière - dureraient plus de 8 heures consécutives selon L214.

Le Parlement européen demande désormais à la Commission et au Conseil de réviser la réglementation encadrant les transports d'animaux. « Cela peut aller très vite car l’obtention de la majorité des voix implique que le texte va être inscrit à l’ordre du jour. Et à la différence d’une directive, dont l’application peut prendre du temps, un règlement peut être immédiatement transposé » explique Brigitte Gothière. Et imposé aux Etats les moins coopératifs, sous peine de sanctions.

« Une fois de plus, la France est en retard. D’abord parce que les autorités sont mal formées au contrôle des camions transportant des animaux ; mais aussi par la complaisance des peines infligées en cas d’infractions » rappelle la porte-parole de l’association L214. A titre d’exemple, un Français transportant des chevreaux dans des cages à dinde - l’animal ne pouvant alors pas se tenir debout - va être puni d’une amende de 90 euros, alors qu’en Italie, la même infraction est punie par une amende de... 5 000 euros !


L’Europe est un véritable moteur sur ces questions, contraignant les Etats les moins impliqués à modifier leurs règles, comme cela a été le cas pour les poules pondeuses dans l’hexagone.

Mais le chemin est encore long à parcourir pour mobiliser nos responsables politiques européens sur la condition des animaux d’élevage. Côté français, si la déclaration a reçu le soutien de Corinne Lepage et d’Eva Joly, elle n’a pas obtenu en revanche celui de Jean-Luc Mélenchon ni de Marine Le Pen.

Même constat au niveau des partis qui se sont peu, voire très peu mobilisés pour certains, comme le PS, le Modem ou dans une moindre mesure, l’UMP. « Les gros partis ont assez nettement montré le peu d’intérêt qu’ils accordaient à la question du bien-être animal, regrette Brigitte Gothière.

D’ailleurs, ce texte est avant tout la reconnaissance de l’expression des citoyens, et non des responsables politiques. »
La liste des eurodéputés français ayant soutenu la déclaration est consultable sur le site de L214


*L214 est une association de protection animale centrée sur les animaux utilisés dans la consommation alimentaire


30 millions d'amis 20/03/2012

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Je suis content mais je trouve quand même que 8heures sans arrêter c'est quand même long pour les animaux surtout en hiver quand il fait très froid et l'été quand il fait trop chaud.

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