BelleMuezza 0 Posté(e) le 19 avril 2012 Chaque année, du 1er juillet au 15 novembre, se déroule en Namibie le second plus grand massacre de mammifères marins au monde. Des dizaines de milliers d’otaries sont tuées à des fins commerciales. Les quotas ne cessent d’augmenter d’année en année. À cela s’ajoutent la mortalité naturelle, la famine dont les otaries sont victimes à cause de la surpêche et l’enthousiasme des touristes qui encouragent cette barbarie. Ces événements cumulés peuvent conduire à l’anéantissement d’une population entière de jeunes otaries. De plus, les chasseurs utilisent des manières particulièrement cruelles et redoutables pour atteindre leur objectif. Ils rassemblent les otaries sur une parcelle de terre éloignée de la mer et les poignardent ensuite. Les bébés otaries rejètent le lait de leur mère et agonisent lentement avant de succomber. Image Fourrure TortureLes chasseurs retirent la peau des otaries alors que certaines sont encore vivantes et conscientes et coupent les parties génitales des mâles adultes pour alimenter le marché asiatique en produits aphrodisiaques.Alors que l’Afrique du Sud a mis fin à ces pratiques barbares en 1990, la Namibie refuse de suivre l’exemple.Je soutiens cette pétition initiée par Fourrure Torture pour l’arrêt du massacre des otaries en Namibie et refuse d’alimenter l’économie namibienne par le tourisme.CLIQUEZ ICI pour signer LA PETITIONFourrure Torture avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 19 avril 2012 Comme tous les ans à partir du mois de juillet, le sable des plages namibiennes devient rouge sang par le massacre de plusieurs dizaines de milliers d’otaries. Malgré leur co-existence paisible avec les humains, les petits sont séparés de leurs mères pour être massacrés. Comme le montre les enquêtes vidéos, les petits rejettent le lait maternel par la bouche et le nez, après avoir été poignardés.Un peu d’histoire !À une période très éloignée, des colonies d’otaries vivaient sur les deux plus grandes îles côtières d’Afrique du Sud, Robben Island et Dassen Island. Des otaries étaient régulièrement retrouvées échouées ou noyées sur les côtes d’Afrique du Sud, à leur naissance. Le gouvernement sud africain qualifiait cette tragédie de naturelle.Chassés de leurs îles natales, les otaries ont été parquées dans des îles de la taille d’un rocher et sans cesse inondées lors de la hausse du niveau de la mer, par temps d’orage. La politique de contrôle de la population de ces animaux n’autorisait alors qu’un seul mètre carré pour trois ou quatre otaries. En cas d’inondation, les otaries se retrouvaient entassées de huit à douze sur un seul mètre carré, ce qui rendait tout mouvement insupportable. Les nouveaux-nés, ne sachant pas encore nager, étaient quant à eux emportés par la mer. En plus de la noyade, la famine causée par la surpêche, l’emprisonnement dans les filets des pêcheurs et bien sûr le massacre sont les causes évidentes de la considérable diminution de la population des otaries. Pour survivre, les colonies d’otaries, proches de l’extinction, se réfugient sur le continent.Un programme de Seal Alert SA, organisation active depuis 1999, qui lutte pour mettre fin aux injustices, à la cruauté et aux abus, directement sur le terrain et dont les principales méthodes sont l’enquête, le secours et la réhabilitation des otaries, est actuellement en place pour rendre l’île de Robben Island aux otaries.De l’exil au massacre ! Image Fourrure TortureMalgré le fait que les otaries du Cape figurent sur la liste de la CITES (Convention on the International Trade in Endangered Species), ces animaux continuent d’être exportés à travers le monde. En 1990, l’Afrique du Sud met fin à la chasse aux otaries. Protégées par le Seal Protection Act depuis 1973.Les otaries continuent d’être massacrées en Namibie sans qu’aucun chasseur n’ait été arrêté pour ces actes de cruauté. La Namibie demeure l’un des seuls pays à utiliser des pratiques particulièrement cruelles et inadmissibles.Les chasseurs rassemblent les bébés otaries sur la terre, en les empêchant de rejoindre la mer. Et comme les otaries tentent de s’enfuir, ils les poignardent à coups de couteau. Elles s’effondrent alors, rejetant le lait de leurs mères, et agonisent lentement, tout ceci avec la bénédiction du gouvernement namibien, qui accorde aux chasseurs le droit de torturer et de massacrer ces créatures sauvages et protégées. Les touristes encouragent également ce massacre et certains n’hésitent pas à y participer. La moitié du quota de l’abattage sélectif s’explique par le nombre de touristes participant à ces cruautés. Le quota de l’année 2006 était de 85000 bébés otaries et de 6000 adultes tués. Le quota 2007 excède même le nombre de bébés otaries à l’intérieur des colonies.Que faire ? Ecrivez aux autorités namibiennes Signez la pétition contre la chasse aux otaries en Namibie.Fourrure Torture avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 19 avril 2012 À cause d’anciennes lois, les pêcheurs sont autorisés à emporter dans leurs excursions des armes et des explosifs par «peur des pirates». Chacun sait que le seul objectif réel est de cibler secrètement les otaries. Le prétexte de la Namibie pour justifier ces horreurs est l’industrie du poisson. Image Fourrure TortureDes scientifiques ont mené des recherches et ont prouvé que ce massacre ne se justifiait pas, puisque 98% de la récolte de poissons sont exportés, contre seulement 2% consommés localement, mais le gouvernement namibien refuse de l’admettre. Par ailleurs, entre 250.000 et 500.000 otaries meurent de faim à cause de la pêche intensive et la plupart des espèces de poissons ont considérablement diminué. Encouragés par le gouvernement, les pêcheurs touchent une généreuse récompense par tête. Beaucoup d’otaries, à défaut d’être tuées, se retrouvent prisonnières des filets des pêcheurs et blessées par les sangles qui s’enroulent autour de leur cou. Les otaries du Cap sont une espèce protégée depuis 1973, mais étrangement, aucun texte n’a été rédigé à ce sujet. Les courriers adressés au Président namibien restent ignorés. Quant au Premier Ministre Nahas Angula, il réclame fermement l’augmentation des quotas chaque année. Le massacre des otaries de Namibie est le second plus grand massacre de mammifères marins au monde. La Namibie ne s’aligne pas sur les autres nations à propos de la protection des animaux marins, et l’augmentation continue des quotas représente une véritable menace pour l’avenir de la vie sauvage.Une absurdité économiqueComme le montrent les études récentes sur la globalité des revenus générés par la présence des otaries en Namibie, il est irréfutable que ces dernières rapportent une véritable fortune au gouvernement namibien lorsqu’elles sont vivantes ! En effet, comme ces dernières ont dû établir leurs colonies sur le continent, elles attirent chaque année l’attention des touristes du monde entier sur les plages de Cape Cross, Atlas Bay et Wolf Bay. Un rapport établi par Economists at Large [1] à l’initiative de plusieurs associations internationales de protection animale [2] compare ces revenus à ceux générés par l’utilisation des fourrures de ces mêmes animaux. Le rapport indique que pour l’année 2008, la chasse n’a rapporté que 513.000$ contre 2 millions de dollars engendrés par l’observation des otaries. Il se base en outre sur une analyse très précise des deux industries et de leur fonctionnement pour déduire que la chasse représente une menace sérieuse pour l’avenir de l’observation des otaries. Cette dernière est une source bénéfique fiable et durable pour l’économie et son potentiel est impressionnant : en 2016, les revenus qu’elle génère devraient atteindre 3,2 millions de dollars. Ces revenus sont également bien mieux répartis dans la société namibienne en favorisant les établissements dédiés au tourisme.Ce développement bénéfique est directement menacé par la chasse qui se déroule le matin sur les plages entre juillet et novembre, quelques heures avant l’arrivée des premiers touristes. Malgré les efforts du gouvernement pour la dissimuler, une telle activité nuit de plus en plus à la réputation des compagnies Eco-tours namibiennes et menace donc l’économie du pays.Que faire ? Ecrivez aux autorités namibiennes Signez la pétition contre la chasse aux otaries en Namibie.[1] The economics of seal hunting and seal watching in Namibia[2] WSPA, HSI, Respect for animals et Bont voor DierenFourrure Torture avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 19 avril 2012 L’abattage des otaries en Namibie est inutile et injustifié. Les pouvoirs publics namibiens n’ont pas l’ombre d’une preuve scientifique plausible qui permette de démontrer que ces populations d’otaries ont un impact négatif sur leurs réserves de poisson. En outre, les méthodes utilisées pour tuer les otaries sont d’une cruauté inacceptable et, de l’avis d’IFAW, n’accordent aucune attention aux problèmes de protection animale. IFAW demande instamment au gouvernement namibien de mettre un terme immédiatement à l’abattage des otaries", ajoutait Jason Bell-Leask, Directeur du bureau sud-africain d’IFAW. Mais le gouvernement est resté sourd à toutes les demandes.Pour manifester contre cette pratique, des militants ont donc décidé cette année de lancer une campagne internationale de boycott visant toutes les industries clés de la Namibie. Une mesure destinée à faire pression sur le gouvernement et l'inciter à interdire la chasse à laquelle de nombreux pays ont mis fin depuis plus de vingt ans. De son côté, l'organisation Fourrure torture a décidé de mettre en place une pétition et invite chacun à se mobiliser pour faire arrêter le massacre.-----> www.chasse-aux-phoques.com -----> Pour le boycott des produits namibiens, je fais une recherche et vous communiquerai les informations dès que possible. Maxisciences 19/04/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 19 avril 2012 Protestez auprès du gouvernement namibienVoici les contacts des autorités namibiennes. Nous vous invitons à demander aux autorités namibiennes de faire cesser la chasse aux otaries. Pour construire votre lettre, veuillez vous référer à la page Massacre des otaries en Namibie. Ambassade de Namibie en France80 Avenue Foch75116 ParisTél : 01 44 17 32 65Fax : 01 44 17 32 73Mail : namparis@club-internet.fr Ambassade de Namibie en Belgique454 Avenue de Tervuren1150 BruxellesTél : 02/771 14 10Fax : 02/771 96 89Mail : nam.emb@brutele.be Permanent Mission of the Republic of Namibia to the United Nations360 Lexington Avenue, Suite 1502New York, NY 10017USATel : 212-685 2003; 212-685 1561Mail : Namibia@un.int Ministry of Fisheries and Marine ResourcesPrivate Bag 13355WindhoekNAMIBIATel : (061) 2053911Hon. Minister Dr. Abraham IyamboMail : aiyambo@mfmr.gov.naHon. Deputy Minister Kilus Nguvauvaknguvauva@mfmr.gov.naPermanent Secretary Nangula Mbakonmbako@mfmr.gov.na, secretary@namibia.org.zaTel : + 264 61 233 286 ou + 264 61 224 566 Office of the Prime MinisterHon. Prime Minister Nahas AngulaPrivate Bag 13338WindhoekNAMIBIATel : (061) 287 9111Fax : (061) 230648Mail : nangula@opm.gov.na Namibia Ministry Of Environment & TourismWindhoekNAMIBIAHon. Minister Willem KonjoreMail : wkonjore@met.gov.naDr. M. Lindeque, Permanent Secretarymlindeque@met.gov.naTel : +264 (0)61 284-2287Mail : amieze@met.gov.naTel : +264 (0)61 284 2178Parks & Wildlife ManagementMail : nghitila@dea.met.gov.na Namibia Tourism BoardWindhoek, Ground Floor, Sanlam CentreCnr. Of Fidel Castro & Werner List St Private Bag 13244WindhoekNamibiaTel : +264 61 290 6000Fax : +264 61 254 848Mail : info@namibiatourism.com.naFormulaire web : http://www.namibiatourism.com.na/contact.php Fourrure Torture avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 19 avril 2012 Quelques conseils pour écrire aux autorités namibiennes - Précisez vos coordonnées complètes. - Rappelez dans un premier temps le sujet de votre courrier, c’est-à-dire le problème du massacre des otaries, qui entraîne d’atroces souffrances chez ces animaux sans défense, et qui conduit à leur génocide. Mentionnez le fait qu’ils sont rassemblés loin de la mer, poignardés, puis dépecés alors que beaucoup d’entre eux sont encore vivants et conscients. Il s’agit de montrer la torture vécue par les otaries. - Puis, dans un deuxième paragraphe, parlez de l’indifférence totale du gouvernement namibien face à ces atrocités, et précisez que, malgré le fait que ce massacre soit injustifiable, le gouvernement continue d’augmenter les quotas d’année en année (S’inspirer de la page sur les otaries de Namibie ou du texte de la pétition).- Concluez en demandant de cesser ce massacre cruel et intolérable. - Ajoutez, en dernier lieu, une formule de politesse ainsi que votre signature.J'ajoute qu'il convient de rester courtois : ne jamais utiliser d'insultes (même si ça vous démange) car ces courriers ne sont en général pas pris au sérieux.Fourrure Torture avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 19 avril 2012 Les activistes, entendez par là, les associations de protection animalière, ont lancé une campagne internationale de boycott des secteurs industriels clés namibiens à cause de son massacre annuel des phoques : 91.000 pour cette année.(...) La chasse au phoque canadienne avec des images obsédantes de glace sanglante? La majorité de ces animaux sont tués pour leur fourrure. La chasse moins connue en Namibie? Une grande partie de celle-ci peut être attribuée à Hatem Yavuz(King of Seal Killers), un australien d'origine turque qui est maintenant responsable de 85% du marché. Je l'ai interviewé pour une histoire qui a été publiée aujourd'hui dans The Ecologist (a story that was published today in The Ecologist) ; il affirme que son opération est la «meilleure qui soit là-bas».Mais les défenseurs des animaux sont en désaccord avec cette pratique et ont lancé un boycott de toutes les industries clef de la Namibie jusqu'à ce ce que le gouvernement cesse le massacre (abattage brutal) annuel des otaries pour leur fourrure et certaines parties de leur corps. Cette année, le quota est de 91.000.Chaque année, entre juillet et septembre, dès les premières heures du jour et avant que les touristes affluent pour admirer les phoques (otaries) à fourrure du Cap qui vivent en colonie à Cap Cross, en Namibie, des hommes rassemblent par centaines des bébés qui ne sont souvent pas sevrés. Paniqués, ils cherchent à fuir vers l'océan Atlantique pour rechercher la sécurité de la mer. Mais des hommes leur assènent des coups sur le crâne. Parfois, ils arrivent à assommer l'animal, ce qui est considéré comme étant la meilleure pratique entre chasseurs de phoques et la European Food Safety Authority (EFSA), mais souvent ils ne le sont pas. En conséquence, lorsque les chasseurs plongent un couteau dans leur coeur pour les tuer, les animaux sont conscients, conscients de ce qui se passe. Presque tous les pays (y compris ceux dans l'Union européenne) ont interdit la chasse aux phoques car il est devenu de plus en plus évident que la chasse à des fins commerciales, par opposition à la chasse de subsistance, est inutilement cruelle. Mais les hommes et les femmes qui profitent de cette "affaire sanglante" sont convaincus que leur travail est justifiée. Pour les militants et les medias, la chasse au phoque semble en être à ses derniers moments. C'est une situation insupportable. Personne n'aime regarder de petits animaux qui souffrent sur la glace ou le sable, pour que des hommes et des femmes, égoïstes puissent porter leur fourrure. Mais Yavuz affirme que son entreprise se porte mieux que jamais ! Mais nous avons découvert que ce n'est pas vrai, grâce à une dénonciation anonyme. Yavuz a, semble-t-il, du mal à écouler un important stock de fourrures et un fournisseur en Namibie affirme qu'il est "à court d'argent". Dans l'intervalle, les rapports montrent que le développement de l'éco-tourisme (eco-tourism) autour des phoques vivants est plus rentable pour un plus grand nombre de personnes que l'abattage annuel. À l'heure actuelle, seule une petite poignée de namibiens profiter réellement de cette industrie "cruelle". Même si Yavus affirme qu'elle permet de construire des écoles et de soutenir des efforts de conservation... Boycotter La Namibie va commencer sa chasse annuelle dans seulement quelques mois, mais les défenseurs des animaux ont lancé des campagnes, à travers le monde entier, pour encourager les gens à boycotter le tourisme en Namibie et d'autres industries clef. En outre, Seals of Nam et Seal Alert SA, avec une équipe de tournage, comptent mener leur propre enquête sur les colonies de phoques le long de l'Afrique australe la côte Atlantique afin de mieux évaluer l'impact écologique de ces massacres annuels. Alors que je travaillais sur cette histoire en Namibie et en essayant de le convaincre de me mettre en contact avec les populations locales, Yavuz m'a accusé d'essayer de mettre mon nez dans ses affaires. . Green Prophet 12 avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 22 avril 2012 C’est une vieille tactique éculée que de créer des organisations qui se présentent comme étant au service de l’environnement, mais qui, en fait, sont exactement le contraire. Par exemple, nous avions des "Amis des Lions de Mer" et "Amis des Dauphins", les deux groupes ayant été créés et financés par l’industrie de la pêche au thon, industrie qui participe en réalité au massacre de lions de mer et de dauphins.Le public a vite compris, parce qu’il n’est pas aussi stupide que les départements de relations publiques de ces firmes voulaient bien le croire. Il semblerait que cette tactique soit aujourd’hui utilisée en Namibie, où un groupe appelé Namibian seal conservation (Protection namibienne des otaries) vient de se former.La première chose que ce groupe ait fait fut de dénoncer chaque orga-nisation travaillant à faire cesser le massacre des otaries en Namibie.Le journal “Namibian Economist” a publié cet article cette semaine::Une nouvelle organisation dénommée “Namibian Seal Conservation” s’est violemment opposée à tous les autres groupes de défense des droits des animaux, qui ont en particulier appelé au boycott de produits fabriqués localement, à cause de ce qu’ils appellent «les massacres inhumains d'otaries» dans le pays. Oswald Theart, un porte-parole du groupe, a demandé au gouvernement cette semaine d’ignorer les activistes tels que "Seal Alert, Seals of Namibia, et Sea Shepherd Afrique du Sud", "parce qu’ils sont seulement des rebelles sans cause". [size=18]Le groupe "Namibian Seal Conservation" a déclaré être contre la cruauté à l’encontre des animaux mais croit que les pratiques actuelles d’abattage sont les plus humaines connues par l’homme à ce jour. Mais qui est Oswald Theart, vous demandez-vous? C’est un homme blanc qui se décrit lui-même comme un artiste, spécialisé dans les sacs à main en cuir, et dont le fils gère le "Ngandu Safari Lodge". Sur sa page Facebook,il écrit: "MON COMBAT EST CONTRE LES FANATIQUES DES OTARIES QUI REPANDENT TELLEMENT DE MENSONGES SUR MON BEAU PAYS LA NAMIBIE, S’ILS NE SONT PAS ARRETES ILS CAUSERONT UN ENORME PREJUDICE SUR LE PAYS, MERCI, ET S’IL VOUS PLAIT PARTAGEZ CETTE INFORMATION AVEC TOUS VOS AMIS." Il faut savoir que l’Organisation Namibian seal conservation n’est pas une grande menace pour ceux qui se battent pour faire cesser le massacre des otaries à fourrure du Cap. Ce groupe a seulement 231 supporters sur leur page Facebook. Mais ce que l'administrateur de ce groupe nous dit en revanche, c’est que les organisations qui s’opposent au massacre ont un impact. Le gouvernement de Namibie est inquiet, ainsi que la communauté des affaires, dont font partie Oswald Theart et son fils, et ils ont raison de s’inquiéter parce que se développe actuellement un véritable boycott touristique de la Namibie. Malgré le communiqué ridicule de Theart, qui déclare que la tuerie est "la plus humaine connue de l’homme aujourd’hui", le monde sait désormais à quel point le massacre des bébés otaries est en réalité sauvage et cruel.|/size] J’aime particulièrement qu’il nous désigne comme “des rebelles sans cause”. C’est à mourir de rire! Leur groupe bien sûr a une cause – faire de l’argent- mais ils ont seulemment 231 supporters et il parle de groupes qui ont rallié collectivement des centaines de milliers d’adhérents comme n'ayant pas de combat réel. Ce qu’il dit en réalité c’est que la compassion et la protection de l’environnement ne sont pas des causes justes, alors que gagner de l’argent en est une.[i] le Capitaine Paul Watson a écrit cet article dans le seul but de montrer que la tactique employée par cette organisation a déjà échoué dans les années 80 et échouera à nouveau. Le public n’est pas aussi stupide qu’Oswald Theart et sa petite poignée de supporters semblent le penser. [i][colore=darkblue]En tout état de cause, leur désespoir représente une avancée encourageante[/color], et je conseille à tous ceux d’entre nous qui travaillent à faire cesser le massacre inhumain des otaries d’ignorer ce prétendu "groupe de protection", tout comme je vais le faire dès la diffusion de ce communiqué. Il n’est pas nécessaire, pour aucun d’entre nous de perdre du temps et de l’énergie à répondre ou à réagir à quelque déclaration que ce soit émanant de ce Cheval de Troie namibien. Nous devons nous concentrer sur le seul langage que les politiciens comprennent – l’économie. Le boycott du tourisme en Namibie est en progression et nous devrions apporter une attention toute particulière au boycott du "Ngandu Safari Lodge". Le massacre des otaries en Namibie est une véritable menace écologique, et c’est aussi un problème de cruauté. Le nombre des otaries à fourrure a considéra-blement diminué le siècle dernier et cela représente un danger pour tout l’écosystème marin de l’Afrique du sud. Le massacre des bébés otaries est une pratique cruelle qui n’a pas sa place dans le monde civilisé. Nous devons mettre fin globalement au marché des peaux d'otaries, et à ce sujet, nous avons déjà beaucoup progressé. C’est vers le marché et l’économie de la chasse aux otaries que nous devons diriger notre attention, pas vers des petites organisations stupi-des comme "Namibian Seal Conservation" et leurs supporters intéressés. Sea Shepherd avril 2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 25 mai 2012 Début : 23/05/2012 - Fin : 23/07/2012Auteur : Dumont OlivierCible : gouvernement namibienChaque année, du 1er juillet au 15 novembre, se déroule en Namibie le second plus grand massacre de mammifères marins au monde. Des dizaines de milliers d’otaries sont tuées à des fins commerciales. Les quotas ne cessent d’augmenter d’année en année. À cela s’ajoutent la mortalité naturelle, la famine dont les otaries sont victimes à cause de la surpêche et l’enthousiasme des touristes qui encouragent cette barbarie. Ces événements cumulés peuvent conduire à l’anéantissement d’une population entière de jeunes otaries.De plus, les chasseurs utilisent des manières particulièrement cruelles et redoutables pour atteindre leur objectif. Ils rassemblent les otaries sur une parcelle de terre éloignée de la mer et les poignardent ensuite. Les bébés otaries rejètent le lait de leur mère et agonisent lentement avant de succomber. Les chasseurs retirent la peau des otaries alors que certaines sont encore vivantes et conscientes et coupent les parties génitales des mâles adultes pour alimenter le marché asiatique en produits aphrodisiaques.Alors que l’Afrique du Sud a mis fin à ces pratiques barbares en 1990, la Namibie refuse de suivre l’exemple.Je demande par cette pétition au gouvernement Namibien de stopper immédiatement ce massacre!Mes Opinions.com 25/05/2012 http://www.mesopinions.com/Pétition-contre-la-chasse-aux-otaries-en-Namibie-petition-petitions-999512e16ad0402f2bbca9b7fcecc2ba.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 9 janvier 2013 Alors que 2012 tire à sa fin, nous pensons à ceux qui ont perdu la vie alors que nous nous battions pour les protéger. Chaque année, les gouvernements, les entreprises et les industries se donnent toujours plus de mal pour nous empêcher de préserver la vie sur cette planète. Nous avons fait face, et nous continuons, à un mal redoutable, mais le massacre de bébés animaux, brutalement battus à mort, est certainement une nouvelle bassesse de l’humanité. Otaries massacrées sur les côtes namibiennes.Photo: Sea ShepherdCes massacres se produisent tous les ans dans un petit pays d’Afrique, la Namibie. Tous les ans sans exception, pendant quatre mois, un groupe de travailleurs saisonniers sous-payés se lèvent avant l’aube, ramassent de sommaires bouts de bois, et sont conduits jusqu'à une réserve d’otaries où ils matraquent à mort des bébés otaries. Ces bébés appartiennent à une espèce protégée appelée otarie à fourrure du Cap. On les trouve principalement sur les côtes sud de l’Afrique.Pendant que ces travailleurs se trouvent aspergés du sang des bébés otaries fraîchement tués, les responsables de ce commerce savourent une tasse de café en sécurité dans leur foyer. Plus tard dans la journée, alors que la main d’œuvre rentre chez elle, dans des baraques en tôle fragiles, où elle doit faire face à ses actions et à sa vie misérable, les riches responsables de ce commerce comptent leurs pièces d’or. Cette année n’a pas dérogé à la règle. Bien que le nombre réel de morts ne sera probablement pas révélé, on peut penser que des milliers et des milliers de bébés otaries ont perdu la vie à cause de la cupidité des hommes.Comme tous ceux qui seront prêts à tout pour cacher leur inhumanité, le gouvernement de la Namibie n’a pas regardé à la dépense pour cacher sa honte. Ci-dessous, un aperçu de l'économie de l'abattage des bébés animaux:. Un petit nombre de travailleurs saisonniers sont payés sous le salaire minimum pour récolter un produit qui rapporte à la Namibie seulement 120 000$.. Chaque peau est vendue à un unique commerçant, le Turco-Australien Hatem Yavuz, entre 3 et 5$. Ces peaux seront transformées en vêtements de mode qui seront vendus plus de 30 000$, au profit de cette seule personne.. D’autres revenus sont tirés de la vente de produits en cuir, de l’huile d’otarie, de bijoux en os, car le gouvernement a décrété qu’il ne devait y avoir aucun gaspillage. Ce sont des revenus supplémentaires pour l’industrie de l’otarie mais, si l’on en croit les données de CITES, l’huile d’otarie est le seul produit qui rapporte un petit peu d’argent à cette industrie.. Si l’on prend en compte les coûts d’exploitation supplémentaires, le bénéfice tiré de cette industrie est vraiment risible.. Les bénéfices de cette industrie diminuent un peu plus si l’on prend en compte l’argent prélevé par le gouvernement namibien sur le dos du contribuable pour protéger ce commerce. Depuis l’arrivée de Sea Shepherd en Namibie, des millions ont été dépensés pour envoyer des vaisseaux de la Marine pour nous empêcher d’intervenir ou de prendre des photos de ce crime haineux.. Ajoutons encore au chapitre "protection" l’argent dépensé pour déployer police et sécurité pour nous empêcher de divulguer ce message au monde. Bébé otarie à fourrure dans la réserve des otaries de Cape Cross.Photo: Sea ShepherdSEA SHEPHERD 10/12/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 15 février 2013 l n’est nul besoin d’avoir un doctorat en économie pour se rendre que compte que la Namibie ne tire aucun bénéfice financier de cette industrie. Une étude indépendante a montré que l’écotourisme est 300 fois plus profitable que ce commerce sanglant. [...]Selon certaines sources, un nouveau joueur est entré sur le terrain. Depuis que l’Union Européenne a interdit les produits dérivés de l’otarie, la Namibie ne peut plus envoyer ses produits nulle part, mais voilà que la Chine a fait son apparition. La Namibie ne fait pas mystère du fait qu’elle vend son infrastructure aux Chinois. Les Chinois ont gagné plusieurs appels d’offres publics contre des concurrents namibiens, et plusieurs partenariats ont été conclus entre les deux pays. Cela comprend le Ministère de pêches et des ressources marines, qui contrôle la législation concernant le matraquage des otaries. La Chine n’a pas d’embargo sur les produits dérivés de l’otarie, aussi la Namibie y envoie-t-elle ses résidus obsolètes d’otaries.Après avoir rencontré le médiateur de la Namibie en 2011, l’avocat John Walters a finalement publié ses conclusions concernant cette rencontre. Loin d’admettre que la chasse aux otaries peut être mieux faite, le Médiateur a conclu de manière choquante que l’otarie n’est pas un animal. Il est incroyable de constater qu’une des autorités les plus hautes de la Namibie soit incapable d’identifier ce qui constitue un animal. Ceci pourrait expliquer pourquoi la Namibie a du mal à intégrer le concept d’économie. Ceci prouve sans l’ombre d’un doute que l’avocat John Walters a non seulement failli à sa mission, mais qu’il est incapable de remplir les tâches complexes que demande sa fonction.Malgré ce mur très épais en face d’elle, Sea Shepherd promet de continuer la lutte pour protéger ces animaux en voie de disparition. Voici comment vous pouvez nous y aider:- Si vous voyez une agence de voyage faisant de la publicité pour un voyage en Namibie, s’il vous plaît prenez le temps de leur dire à quoi va contribuer l’argent de leurs clients.- Assurez-vous de faire savoir à l’ambassade de Namibie proche de chez vous que non seulement ils détruisent leur héritage naturel mais que cette industrie leur coûte cher en termes d’image et qu’ils gâchent une opportunité de mettre en place des pratiques économiques durables. Faites ceci de manière répétée, car les gens ont tendance à oublier les faits.- Parlez à tout le monde du destin de ces animaux. Plus les gens sont informés, plus ils sont puissants, et plus ils sont puissants, plus ils peuvent en faire.- Faites diffuser cette histoire par vos contacts afin de l’aider à toucher le plus de monde possible.- Vous pouvez aussi contacter le Ministère namibien des pêches et des ressources marines pour leur dire poliment et fermement ce que vous pensez de cette industrie. Ministry of Fisheries and Marine ResourcesHon. Minister Bernard Esaubesau@mfmr.gov.na- Faites un don à Sea Shepherd pour l'aider à empêcher le sang de couler sur les plages namibiennes. Des travailleurs saisonniers, payés en dessous du salaire minimum, massacrent des bébés otaries dans la réserve des otaries de Cape Cross. Photo: Sea Shepherd----->Je suis surprise que peu de gens se sentent concernés par les otaries de Namibie, comparées aux bébés phoques, les réactions ne sont pas aussi fortes et ce massacre n'a pas non plus la même médiatisation... Pourtant là aussi ce sont des bébés qui se font tuer... Là aussi des mères sont assassinées parce qu'elles défendent leurs petits.... Pourquoi ? Est-ce parce que ces animaux ne portent pas de fourrure d'un blanc immaculé ? Ou parce que la majorité des gens préfère fermer les yeux ? Si comme moi vous pensez que toutes les vies sont importantes, si comme moi vous pensez que toutes les espèces sont indispensables au maintien des écosystèmes et par extension à la vie sur notre planète... Merci de diffuser un maximum la triste histoire des otaries de Namibie et d'agir, comme proposé par Sea SHEPHERD, de signer les pétitions ou même d'en créer de nouvelles... .SEA SHEPHERD 15/2/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites