Admin-lane 0 Posté(e) le 11 juillet 2012 [b]Le petit Argoun, panthère de l'Amour, fait sa première sortie[/b]Argoun, petit mâle panthère de l'Amour (panthera pardus orientalis), né en avril, a fait mercredi sa première sortie dans l'enclos du zoo de Mulhouse (Haut-Rhin) où il devrait rester au moins un an, avant d'être transféré au Canada.Accompagné de sa mère, Elixa, il a rapidement pris possession des lieux sans se soucier des nombreux objectifs et caméras. Argoun devrait rester "un an à un an et demi" au parc zoologique de Mulhouse avant de rejoindre un zoo canadien, ont expliqué les responsables du zoo. Photo AFPAvec une population estimée à environ 50 dans la nature, la panthère de l'Amour est gravement menacée en Sibérie Orientale par le braconnage et la diminution de son habitat. Argoun fait partie d'un lignée génétiquement importante pour l'élevage de l'espèce en captivité et sa survie en milieu naturel, affirme le parc mulhousien. Sa soeur, Katanga, âgée d'un an, a rejoint lundi un mâle au zoo de Moscou.SCIENCES ET AVENIR 11/07/2012 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 19 avril 2013 "Dimbi", un petit mâle lémurien aux yeux turquoise, une espèce extrêmement rare et en danger critique d'extinction, est né le 8 mars dernier au Parc zoologique et botanique de Mulhouse, a annoncé jeudi l'établissement."A la naissance, "Dimbi" a été rejeté par sa mère. Nous l'avons élevé en couveuse et nourri au biberon pendant une semaine, puis nous avons introduit progressivement des légumes et des fruits à sa nourriture", a raconté à l'AFP Benoît Quintard, le vétérinaire du zoo. "Il est rare que les élevages à la main pour ce type d'animaux réussisse. C'est une première!", s'est-il réjoui.Dimbi "va bien", il pèse 250 grammes, contre 75 grammes à sa naissance, et devrait multiplier son poids par dix à l'âge adulte. Photo Le PointLe lémurien aux yeux turquoise (Eulemur flavifrons), endémiques des forêts sub-tropicales sèches de la péninsule de Sahamalaza, au nord de Madagascar, souffrent du braconnage et de la disparition de leur habitat naturel. L'espèce est considérée "en danger critique d'extinction" par l'Union internationale pour la Conservation de la Nature.Depuis 1980, le zoo alsacien s'investit pour la protection des lémuriens aux yeux turquoise, dont il reste moins de 2.000 spécimens dans la nature. C'est l'un des fondateurs de l'Association européenne pour l'Etude et la Conservation des Lémuriens (AEECL) qui regroupe 31 établissements animaliers et de recherche.LE POINT 19/4/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 3 avril 2014 Un bébé lémurien est né le 1er mars au zoo de Mulhouse (Haut-Rhin). La petite Olanna ne pesait que quelques grammes à sa naissance, et sa maman n'était pas en capacité de nourrir le petit primate. Après 19 jours de biberons toutes les trois heures, les gardiens du zoo sont fiers et heureux de montrer leur petite protégée. Olanna est aujourd'hui en pleine santé. francetv info 20/3/2014Les gardiens du zoo ont trouvé le bébé lémurien enlacé autour du ventre de sa mère, le matin de sa naissance. Ils ont tout de suite compris que la maman avait des difficultés à nourrir son nouveau-né. Avec l'aide de vétérinaires, d'une couveuse et d'un gros nounours blanc, Olanna a repris une croissance normale, et cela se voit. Depuis, le personnel du zoo s'est pris d'affection pour la petite bête.FRANCETV INFO 20/3/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 9 novembre 2014 Dans les zoos, les ours polaires s'ennuient parfois. Pour les stimuler le plus possible, les soigneurs ont plusieurs techniques, notamment en variant tous les jours la nourriture, les couleurs, les textures, les saveurs, pour la cacher ensuite un peu partout, jusque dans les arbres. Au micro de France 3, Delphine Jacquot, soigneuse animalière, confirme essayer "de leur compliquer la tâche pour avoir à manger". Francetv info 7/11/2014L'ennui provoque en effet chez les ours polaires du stress, qui produit alors des comportements répétitifs. "Pour anticiper un stress potentiel" de l'animal, le zoo a donc fait venir "une spécialiste qui a observé pendant une semaine les ours, leurs interactions entre eux, avec le milieu, pour donner des pistes d'amélioration de nos conditions d'hébergement des ours", explique le vétérinaire Benoît Quintard.Les salariés du zoo ont donc notamment mis en place de tout nouveaux jeux pour lutter contre l'habitude. "Ils vont mieux, on les voit qui s'éclatent. Il y a une bonne adaptation des trois ours à leur nouvel enclos", conclut Benoît Quintard.Francetv info 7/11/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 20 décembre 2014 Au parc zoologique et botanique de Mulhouse, une lionne d'Asie a donné naissance à quatre lionceaux, un événement rare mais pas unique car cela s'est déjà produit dans le parc. Comment soigne-t-on de tels animaux en captivité ? Quels risques courent-ils ? Y a-t-il une utilité à préserver des individus de cette sous-espèce presque éteinte ? Le docteur Brice Lefaux, directeur du parc, répond aux questions de Futura-Sciences. La lionne Sita et ses quatre lionceaux, nés au parc zoologique et botanique de Mulhouse. Dominique VilliseckLa naissance de lions d’Asie en captivité est un événement rare. À l’état sauvage, il n’en existe plus que quelque 400 individus, et une centaine dans les différents zoos européens impliqués dans leur sauvegarde dans le cadre des programmes EEP (European Endangered species Programmes). Sur les deux dernières années, deux parcs zoologiques français peuvent se targuer d’avoir contribué à relever les effectifs des populations sauvages : Besançon (trois lionceaux) et Mulhouse (quatre lionceaux). Le parc zoologique de Mulhouse s’en sort mieux que le zoo de la Citadelle. En effet, à Besançon, deux lionceaux ont été tués par leurs parents. Le troisième a été retiré in extremis par les soigneurs afin d’éviter qu’il ne subisse le même sort. L’infanticide est assez courant dans la nature chez les fauves. Et comme si cela n’était pas déjà assez triste, il y a quelques mois, la femelle Shiva, âgée de 9 ans, a été retrouvée morte dans son enclos emportée par une crise cardiaque. Visit Mulhouse 22/3/2012Futura Sciences : Le lion d’Asie était quasiment en voie d’extinction en 1907. Il ne restait plus qu’une quinzaine d’individus dans leur milieu naturel. En un siècle de protection totale, leur nombre s’est accru et atteint aujourd’hui un peu plus de 400 individus. Leur territoire actuel (le sanctuaire de Gir) dans l’État du Gujarat en Inde, ne devient-il pas trop étroit ? De nouveaux sanctuaires sont-ils prévus en Inde ?Brice Lefaux : Effectivement, l’espace commence à manquer car les lions ont besoin de vastes territoires. Une tentative d’introduction a été réalisée en Uttar Pradesh dans les années 1960, mais a échoué. Le Rajasthan ne possède pas suffisamment de proies naturelles. Un nouvel essai devait être tenté dans l’État de Madhya Pradesh, mais l’option d’un second site dans la partie ouest de l’état du Gujarat semble prendre forme.Futura Sciences : Avec l’urbanisation et le surpâturage, qui s’ajoutent au manque de proies naturelles, les lions (comme les tigres et les panthères) ont-ils encore leur place dans un pays qui compte plus d’un milliard deux cents millions d’habitants ? Jetpur, le lion d’Asie du zoo de Mulhouse. Patrick StraubBrice Lefaux : Il est effectivement difficile de concilier cette cohabitation. Les super-prédateurs ont besoin de se nourrir et posent effectivement problèmes aux villageois qui ne sont pas riches et dont ils attaquent le bétail. Les Indiens vivent depuis l’origine en contact avec les grands fauves et acceptent les prélèvements sur leur cheptel, ainsi que les pertes humaines occasionnelles qui malheureusement arrivent encore. Les habitants de ces régions font partie intégrante des zones de réserves naturelles et les populations humaines doivent continuer à se développer et à se maintenir. Il s’agit de trouver une méthode éco-durable qui permettrait de continuer à gérer cet équilibre hommes-animal.Futura Sciences : Le choix de nouvelles zones d’introduction ne risque-t-il pas de provoquer des réticences de la part des populations dont les villages seraient intégrés dans les réserves ? Dans les secteurs où sont maintenus les tigres, les autorités parlent même de déplacer les villageois.Brice Lefaux : L’évolution de la conservation in situ consiste à trouver des zones refuges sans en retirer l’Homme. L’échec de la tentative de réintroduction dans l’Uttar Pradesh est un parfait exemple des difficultés qui existent à réintroduire un grand prédateur dans des zones d’élevage et de cultures. Le territoire doit pouvoir accueillir suffisamment de proies naturelles pour que les lions ne s’en prennent pas aux troupeaux. La première sortie des lionceaux. Thomas Itty, M2AFutura Sciences : Les configurations géopolitiques sont-elles un frein à l’implantation de réserves dans des pays en conflit où vivaient originellement les lions d’Asie ?Brice Lefaux : La politique n’intervient pas directement dans la préservation des espèces, encore qu’il en faille une pour créer des réserves et faire respecter leurs frontières. Sous la pression des activités humaines, les animaux auront tendance à se retirer dans les zones montagneuses difficilement accessibles pour se préserver. Ce qui est le cas de la panthère de Perse en Iran.Futura Sciences : Les parcs animaliers et les zoos deviendront-ils à terme les derniers sanctuaires des lions d’Asie ?Brice Lefaux : La notion de sanctuaire ou d’Arche est erronée car on ne peut sauver ainsi des espèces. Le but du zoo consiste en la conservation sur une durée la plus longue possible et à être un lieu de découverte. L’essentiel des programmes de sauvegarde consiste en la conservation in situ. Les lionceaux n'ont pas encore de noms mais cela ne va pas tarder, grâce à un vote en ligne. Guilhem de Lepinay/Parc zoologique et botanique de MulhouseFutura Sciences : L’élevage en captivité permettra-t-il de conserver l’espèce ad vitam aeternam ?Brice Lefaux : Pas sur le long terme. La captivité n’a qu’une utilité scientifique en maintenant des populations saines, susceptibles de pouvoir être réintroduites un jour si les moyens nécessaires sont mis en œuvre par les pays concernés, et pédagogique. Le rôle des zoos pour l’instant s’arrête au maintien des espèces le plus durablement possible, pas de les réintroduire.Futura Sciences : La reproduction en captivité ne risque-t-elle pas d’entraîner un phénomène de consanguinité ?Brice Lefaux : Il s’agit de maintenir au mieux la diversité biologique. Le risque de disparition d’une espèce animale est plus grand du fait de l’homogénéité provoquée par l’érosion de la diversité génétique. Celle-ci générera une baisse de la natalité, une moindre qualité du sperme et des gamètes, et fera apparaître des tares. Notre travail dans les zoos, avec la gestion des différents programmes de conservation, est de reculer cette échéance le plus loin possible en essayant de maintenir une diversité génétique de qualité. Sita et ses quatre lionceaux. Guilhem de Lepinay/Parc zoologique et botanique de MulhouseFutura Sciences : Est-ce qu’à un moment donné, il deviendra nécessaire de limiter les naissances et de pratiquer l’euthanasie, comme cela s’est produit au Danemark ?Brice Lefaux : Nous avons en effet tellement progressé ces dernières années dans la reproduction des différentes espèces animales qu’il y a saturation actuellement dans les zoos pour certaines espèces pourtant menacées dans la nature. Les zoos participant aux programmes européens d’élevage pratiquent donc parfois la reproduction ciblée. On peut contenir les naissances par la contraception ou la séparation des mâles et des femelles lors des périodes de rut. Les professionnels des zoos ne pratiquent pas l'eugénisme et partagent l’attachement que peuvent ressentir les visiteurs envers les pensionnaires. Cependant, l’euthanasie peut malheureusement, dans certains cas, faire partie des moyens utilisés pour la gestion des espèces. Elle est également utilisée pour mettre fin aux souffrances d’un animal parvenu en fin de vie ou gravement malade.Futura Sciences : Quelles sont les conditions optimales pour espérer que les lions d’Asie se reproduisent ?Brice Lefaux : Les principales exigences sont la nutrition, la santé d’ailleurs aussi bien le bon état physique et mental des animaux, ainsi que l’aménagement de l’enclos et les conditions d’hébergement. Il faut impérativement éviter la frustration et l’anxiété aux animaux. Afin de leur éviter l’ennui, nous mettons en place des « animations » appelées « enrichissement du milieu », du type pistes d’odeurs, ballons ou autres objets sur lesquels ils peuvent se défouler. Nous repérons rapidement les individus adoptant des troubles du comportement ou devenant neurasthéniques. Ce n’est pas le cas de Sita, la lionne, qui semble parfaitement épanouie entourée de ses quatre lionceaux.Futura Sciences : Les lions bénéficient-ils d’un régime alimentaire particulier ?Brice Lefaux : Nous les nourrissons essentiellement de viande blanche. En moyenne entre 1 à 3 kg par jour. Ils reçoivent également de la viande rouge mais en moindre quantité, car un apport de protéines trop important peut être nuisible au bon fonctionnement des reins. Les fauves doivent néanmoins respecter un jeûne hebdomadaire de deux jours afin de leur éviter des troubles stomacaux. En effet, dans la nature, les lions ne mangent pas quotidiennement, mais lorsqu’ils tuent une proie, ils engloutissent de grosses quantités de viande en une seule fois. Ils ont besoin de laisser reposer leur estomac avant de se nourrir à nouveau.Futura Sciences : De quels types de soins ont-ils besoin ?Brice Lefaux : Nous pratiquons régulièrement des prélèvements coprologiques afin de les analyser et procédons à des vermifuges ou à des vaccinations lorsque cela s’avère nécessaire. L’examen de la dentition se fait visuellement. Nous n’intervenons que si l’animal manifeste des problèmes d’alimentation. Les maladies les plus fréquentes chez les fauves sont le typhus, la rage, la leucose et le coryza. Ils sont donc systématiquement vaccinés contre ces zoonoses. L’hygiène des cages et des enclos est primordiale également.Futura Sciences : Les lionceaux ont-ils déjà trouvé un lieu d’accueil lorsqu’ils seront en âge de vivre sans leur mère ?Brice Lefaux : Nous savons souvent immédiatement dans quel parc seront placés les jeunes de certaines espèces rares, mais pour l’instant nous n’avons pas de lieu d’accueil pour les lionceaux. Bien que le comportement de la mère nous incite à le croire, et nous l’espérons, rien ne dit que les quatre survivront. Photo de famille. Guilhem de Lepinay/Parc zoologique et botanique de MulhouseFutura Sciences : Est-il envisageable de remettre dans la nature des fauves élevés en captivité, comme cela se pratique pour d’autres espèces ?Brice Lefaux : La réponse est négative. Le félin extrait d’un zoo est trop imprégné de la présence humaine pour être relâché dans la nature. Il s’en prendrait automatiquement à l’homme qui l’a nourri. Il faut le déshabituer sur une ou deux générations, et s’assurer qu’il ait bien acquis un comportement naturel, et sache choisir les bonnes proies. Dans le cas du lion d’Asie, les cerfs sambars ou axis, voire de jeunes buffles d’eau. La mission du parc zoologique et botanique de Mulhouse est la conservation des espèces. Le parc fut l’un des premiers zoos européens à se préoccuper d’élever « ex situ » des espèces menacées. La préoccupation des responsables de l’établissement n’est pas d’héberger une espèce susceptible d’attirer beaucoup de visiteurs, mais d’héberger une espèce dont la sauvegarde nécessite une conservation en captivité.Futura Sciences 19/12/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 30 avril 2015 Le prochain week end sera malgache au zoo de Mulhouse. L'occasion de faire la connaissance des lémuriens. L'espèce est de plus en plus menacée dans son pays d'origine. A Mulhouse, les naissances sont désormais régulières et parmi elles on trouve même des lémuriens aux yeux turquoise.Mawu sera la vedette du prochain week end au zoo de Mulhouse Reportage de Vincent Lemiesle et Nicolas MeyerDe grands yeux dans une petite boule de poils, ce petit lémurien n'en a pas conscience mais il est le fruit de beaucoup d'attentions depuis sa naissance, le 10 mars au zoo de Mulhouse. Sa mère ne peut s'en occuper, ce sont donc les soigneurs qui le nourrissent au biberon toutes les trois heures. Mawu n'est pas encore sorti de sa pouponnière depuis qu'il a vu le jour. Il pèse à peine plus de 300 grammes et ne peut pas encore jouer avec son frère Dimbi et sa soeur Olanna, nés comme lui au zoo en 2013 et 2014.Il devrait toutefois apparaître pour la première fois en public cette semaine à l'occasion du traditionnel week-end de Madagascar oragnisé par le zoo. Ce sont deux jours pleinement consacrés à l'animal emblématique qu'est le lémurien à Madagascar. L'occasion pour les visiteurs de parler avec les soigneurs ou d'assister au nourrissage du petit lémurien. Et apprendre aussi que l'espèce est en danger critique d'extinction.F3 Alsace 30/4/2015 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 3 novembre 2015 Jetpuhr, un lion d'Asie mâle âgé de 12 ans, a quitté jeudi le zoo de Mulhouse pour rejoindre celui de Dudley en Angleterre, dans le cadre du programme de conservation de cette espèce très rare, a-t-on appris auprès du zoo alsacien.Jetpuhr est né à Dudley, mais avait été envoyé à Mulhouse en 2005, où il a eu 10 petits avec la lionne Sita, dont les derniers sont nés en 2014.Jetpuhr, un lion d'Asie mâle âgé de 12 ans, a quitté le zoo de Mulhouse pour rejoindre celui de Dudley en Angleterre, dans le cadre du programme de conservation de cette espèce très rare, le 29 octobre 2015 - SEBASTIEN BOZON AFP«Le couple ayant eu assez de petits ensemble, Jetpuhr va désormais faire connaissance avec une jeune femelle en Angleterre», car il est «doté d'une génétique intéressante pour la reproduction et la conservation de l'espèce», a précisé le zoo dans un communiqué. KiniTV 29/10/2015Les lions d'Asie sont des animaux extrêmement rares et particulièrement menacés dans leur milieu naturel, où on n'en compte plus que 450.L'espèce est classée «En Danger» par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).20 Minutes 29/10/015 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites