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Pour se nourrir, ils ont besoin d'eau potable : sans eau on peut mourir de faim

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Bonjour tout le monde,

Voici un message important que je vous retransmets. Je suis marraine de deux ou trois associations et pour moi les enfants c'est important. J'aide ma mère sur le forum mais, même si j'aime les animaux, ma priorité, chacun la sienne, sont les enfants, partout dans le monde ! Comme ont dit souvent on n'a pas deux coeurs, un pour les animaux et un pour les humains ! Comme tous je n'en ai qu'un ! Et je suis très sensible aux deux causes...

Effectivement, c'est déconcertant, mais sans eau, on peut mourir de faim.

Ainsi, au Tchad, outre le manque de pluie et la sécheresse qui ont entraîné deux mauvaises récoltes consécutives, les familles, pour leur consommation d'’eau, puisent les eaux stagnantes de mares ou de puits non couverts. Les bactéries présentes dans ces eaux entraînent des diarrhées, notamment chez les jeunes enfants.

Or, quand un enfant en souffre de manière récurrente, son organisme ne peut pas retenir les nutriments et se retrouve très vite menacé de malnutrition. Et inévitablement, quand un enfant est malnutri, il est beaucoup plus fragile face aux bactéries présentes dans l’'eau, tel le vibrion choléra.





C’'est un cercle vicieux, et l’'approvisionnement en eau de bonne qualité est une solution qui permet d’en sortir.

Expertes dans ce domaine, les équipes de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL sur le terrain ont identifié des solutions. Pour les mettre en place nous avons besoin de votre soutien !

Grâce à vos dons, SOLIDARITÉS INTERNATIONAL peut aider les populations sur plusieurs fronts :

En leur assurant au préalable un accès à l’'eau potable qui, nous venons de le voir, garantit l’'assimilation des denrées alimentaires distribuées. La réhabilitation de puits et la promotion à l’'hygiène permettront à 4000 familles de se prémunir contre les maladies hydriques.

En poursuivant des distributions alimentaires jusqu’'aux prochaines récoltes grâce aux foires alimentaires : un dispositif local et innovant qui permet de préserver la dignité de ces familles et de respecter leurs habitudes alimentaires.

Enfin, la distribution de semences permettra aux populations de relancer l’'agriculture dès la prochaine saison des pluies.

Pour vous informer, n'hésitez pas à lire les témoignages en provenance du terrain, révélateurs de la situation sur place.


Je vous remercie de votre soutien à nos côtés !
Sincèrement,





SOLIDARITÉS INTERNATIONAL - Association loi 1901 - 50 rue Klock, 92110 CLICHY LA GARENNE - Tél : (0)1 80 21 05 05[/color][/font][/b] Solidarités International : cliquez ici pour accéder directement au site.


Solidarités International 25/07/2012

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Pas moins de 3,6 millions de personnes par an, soit sept par minute, décèdent du manque de salubrité de l'eau. Il s'agit ainsi de la toute première cause de mortalité non reliée à l'âge, d'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Selon une étude de l'OMS (Organisation mondiale de la santé), il y aurait 3,6 millions de décès par an dus à l'eau non potable, à l'absence d'assainissement et au manque d'hygiène. Un chiffre astronomique qui semble encore plus inquiétant lorsque l'on sait qu'il correspond à sept morts par minute. Plus sérieux encore : parmi les personnes décédées à cause de problèmes d'insalubrité de l'eau, 90% auraient moins de quatorze ans.
L'insalubrité de l'eau serait donc désormais la première cause de mortalité non liée à l'âge, devant le sida qui tue chaque année 2 millions de personnes à travers le monde. La tuberculose, le diabète et les accidents de la route viennent seulement après.

D'autres causes de mortalité tuent plus de personnes mais elles sont généralement dues à une dégénérescence. C'est le cas des maladies cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires, qui déciment respectivement 7,3 millions et 6,2 millions de personnes dans le monde par an.

Dans le cas des maladies hydriques (causées par les eaux insalubres), les enfants et adolescents sont particulièrement touchés. L'ampleur des dégâts peut aujourd'hui être estimé par le nombre d'années perdues pondérées ou "dalys" (disability-Adjusted Life Year) : d'après cet indice, l'eau insalubre entraînerait la perte de 136 millions d'années de vie.

L'eau douce est nécessaire à la santé et au maintien des écosystèmes qui fournissent notamment notre alimentation. Pourtant, seuls 2,5% de l'eau de la terre est douce. La majeure partie de cette eau non salée est de plus inaccessible. Quant à la part disponible, elle est menacée par les activités humaines, que ce soit l'utilisation des terres, la déforestation ou la consommation accrue en raison de la croissance démographique.

Les changements climatiques jouent également un rôle important dans la disparition des ressources d'eau douce. La qualité de l'eau est elle aussi en danger à cause de la pollution, notamment due à l'urbanisation et à l'agriculture intensive.

Pour boire et combler ses besoins en hygiène, tout être humain nécessite quotidiennement 20 à 50 litres d'eau exempte de produits chimiques dangereux et contaminants microbiens. Or, plus d'un milliard de personnes dans le monde n'ont pas accès à une source sûre d'eau et 2,6 milliards ne peuvent l'assainir.

Alors que les problèmes d'insalubrité de l'eau causent sept morts par minute dans le monde, les autorités internationales sont accusées de ne pas en faire assez du côté de cet enjeu de santé publique. Pourtant, il est prouvé que les investissements dans l'eau potable et l'assainissement améliorent la santé et même la productivité économique. Beaucoup d'efforts restent donc à faire en faveur d'une eau salubre pour tous.


Maxisciences 02/08/2012

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