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BelleMuezza

Pour un véhicule en autopartage, 9 voitures en moins, selon l'Ademe

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PARIS (AFP) - Une voiture en autopartage, système d'abonnement en place dans la plupart des grandes agglomérations françaises, remplace neuf voitures personnelles, selon une enquête de l'Agence de l'Environnement et maîtrise de l'énergie (Ademe) publiée jeudi.

Moins de voitures en circulation et plus de places de stationnement (8 libérées pour une voiture en autopartage), un gain précieux quand les véhicules en recherche d'un espace de parking représentent 5 à 10% du trafic urbain, et que les Français passent 70 millions d'heures par an à en chercher.

Cette grande enquête nationale menée auprès de 2.090 autopartageurs (abonnés de 20 services d'autopartage répartis dans toute la France) révèle aussi des changements d'habitude des usagers: avant de passer à l'autopartage, ils conduisaient en moyenne 5.246 km par an, un chiffre qui passe à 3.115 km, soit un nombre de kilomètres parcourus en tant que conducteur en baisse de 41%. Ils marchent alors plus à pied (pour 30% des personnes interrogées), font plus de vélo (29%), ou encore se déplacent davantage en transports collectifs (25%).

La motivation principale du passage à l'autopartage est "le coût de revient moins élevé qu'une voiture individuelle", l'usager se débarrassant des coûts fixes (amortissement, assurance) et ceux liés au stationnement, précise l'Ademe.

Le système d'autopartage de voitures électriques Autolib' à Paris (groupe Bolloré) comptait fin 2012 47.000 abonnés, dont 17.000 à l'année. Dans le reste du pays, une vingtaine de grandes villes sont concernées avec près de 25.000 abonnés à l'année, selon l'Ademe.

Ce système "est encore marginal mais il a connu dans les dernières années une croissance exponentielle et dispose d'un potentiel de développement très important", précise l'Ademe.


SCIENCES ET AVENIR 22/3/2013

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LYON - Un service d'autopartage avec des véhicules électriques alimentées avec des énergies 100% renouvelables sera lancé mi-octobre dans le nouveau quartier de la Confluence à Lyon, a annoncé jeudi Toshiba, partenaire du projet.

Baptisée SunMov', cette flotte d'une trentaine de véhicules se distingue parce qu'il est le premier service d'auto-partage "Smart gridready" (compatible avec les réseaux électriques intelligents, ndr) reposant à 100% sur des sources d'énergie renouvelable, notamment photovoltaïque, souligne le groupe japonais dans un communiqué.

Le service de location, opéré par Proxiway, une filiale de l'opérateur de transports publics Transdev, sera proposé à partir du 15 octobre aux personnes travaillant et habitant le quartier de la Confluence, précise Toshiba.

Le système proposé par l'industriel nippon sert d'interface entre le grid (réseau, ndlr) électrique, les sources de production d'énergie renouvelable, l'infrastructure de recharge des véhicules et le système de réservation.

Il permet de piloter et d'optimiser le cycle de recharge des véhicules (charge rapide en 30 minutes ou normale) en fonction des besoins des clients (réservations) en tenant compte des sources de production d'énergie disponibles et de la charge du réseau électrique, précise Toshiba.

Si l'utilisation d'un véhicule électrique ne génère pas d'émissions polluantes ou contribuant au réchauffement climatique, la production de l'électricité qui l'alimente peut en générer. Dans certains cas (si l'électricité est produite au charbon par exemple), la pollution est parfois supérieure à celle d'un carburant pétrolier, d'où l'intérêt de pouvoir alimenter le véhicule électrique à une électricité propre ou décarbonée.


ROMANDIE 5/9/2013 - L'énergie en question

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BORDEAUX - La Bluecub, voiture électrique d'autopartage du groupe Bolloré, a été lancée jeudi à Bordeaux, troisième grande ville à accueillir ce système en France, après Paris et Lyon.

La ville de quelque 250.000 habitants et sept communes de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) disposeront dans un premier temps de 90 voitures, des Bluecub de quatre places d'une autonomie de 250 km, rechargeables dans une quarantaines de stations, disséminées dans la CUB.

La Bluecub, qui concurrence à Bordeaux le système d'autopartage Autocool récemment rebaptisé Citiz, était en test depuis un mois et a attiré 250 abonnés (bien 250), selon Vincent Bolloré, PDG du groupe éponyme.

A l'horizon 2015, quelque 200 voitures devraient être mises en service pour 80 stations. Une quarantaine d'emplois seront créés. L'utilisateur pourra se rendre d'une station à une autre, sans obligation de retour à la station de départ. C'est un service qui va plaire aux habitants de la région bordelaise et permettre aux industriels que nous sommes de créer des emplois et de gagner de l'argent, s'est encore félicité M. Bolloré.

Le système a été entièrement financé par le groupe, qui a investi 20 millions d'euros à Bordeaux, et versera chaque année à la ville 230 euros par place de stationnement.

Vincent Bolloré a assuré que l'autopartage permettra aux conducteurs de dépenser 80 euros par mois au lieu de 350 pour un véhicule privé et au groupe de rentrer dans ses frais après quatre ou cinq ans, hors investissement en recherche et développement. Pour l'usager titulaire d'un abonnement annuel de 99 euros, la demi-heure coûtera 6 euros.

Il sert surtout de vitrine à Bolloré pour les batteries de ces véhicules, développées par son groupe à Quimper. Cette batterie LMP (Lithium-Métal-Polymère), pour laquelle le groupe a investi deux milliards d'euros en recherche et développement, est adaptable sur ces voitures et peut notamment stocker de l'électricité issue des énergies renouvelables, solaire ou éolienne.

Le marché mondial du stockage de l'électricité est estimé par les experts à 50 milliards par an. Si nous réussissons à avoir 5 ou 10% de ce marché, notre groupe grandira de 25 ou 50%, a déclaré M. Bolloré à des journalistes.

En 2011, Bolloré s'était lancé à la conquête de Paris avec Autolib, représentant 2.000 véhicules et quelque 830 bornes, pour 38.000 abonnés à l'année. A Lyon, où le service a été lancé en octobre 2013, la Bluely a attiré quelque 700 abonnés, dont la moitié annuels.

Au cours de la conférence de presse de lancement, le président de la CUB Vincent Feltesse, a proposé pour Bordeaux un prototype de tram sur pneu testé actuellement par Bolloré. Le député socialiste l'a mis au défi de le développer d'ici vingt mois, lorsque se tiendra à Bordeaux un Congrès mondial des systèmes de transport intelligents. Ce bluetram pourrait desservir l'aéroport, a-t-il suggéré.

 

BordeauxTV La webTV 23/12/2013. Il est question de la Bluecub en fin d'interview.



romandie 9/1/2014

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BORDEAUX - Les acteurs de l'autopartage, la location en libre-service, se multiplient et se positionnent, pour des raisons parfois inattendues, comme l'industriel Bolloré qui entend ainsi promouvoir sa batterie, mais son usage reste encore embryonnaire. 

Jeudi matin Vincent Bolloré, entouré du maire de Bordeaux Alain Juppé et du président de la Communauté urbaine de Bordeaux Vincent Feltesse, s'est prêté de bonne grâce à l'exercice de pédagogie. 


 LCM 23/10/2012


Avec sa Bluecub tout juste lancée à Bordeaux, une voiture électrique en autopartage soeur cadette de la Bluely de Lyon et Autolib à Paris, les automobilistes dépenseront 80 euros par mois au lieu de 350 avec leur véhicule privé, et n'émettront ni gaz à effet de serre ni particules, a-t-il dit. 

Mieux, a-t-il rappelé, en évoquant des études récentes sur le sujet, ce partage permettra de libérer quelque sept places de stationnement, non sans améliorer aussi la mobilité urbaine, alors que les Français passent quelque 70 millions d'heures à chercher une place de parking chaque année (étude du bureau de recherches 6-T). 


 
MargueriteNantes 6/2/2012


France Autopartage, plus grand réseau de location en libre service de courte durée, est présent désormais dans une cinquantaine de villes sous la marque Citiz, avec 700 voitures, et prévoit de décupler son offre d'ici une dizaine d'années. 

Bolloré, a lui 2.000 véhicules et quelque 830 bornes de recharge à Paris avec Autolib, tandis qu'à Lyon, la Bluely lancée en octobre, a attiré 700 abonnés, dont la moitié annuels, pour 130 voitures. 

En France une douzaine d'agglomérations testent l'autopartage électrique, avec une multiplication des expérimentations depuis 2011 (Nice, Neuilly, Besançon, Angoulême, Saint-Quentin-en-Yvelines se sont lancées depuis cette année-là, en plus de Paris, Bordeaux et Lyon). 

 

mbanderi 1/10/2012


VuLog, société basée à Nice fournissant des logiciels et de l'électronique embarquée pour les systèmes d'autopartage espère entamer un vrai virage en 2014, en doublant son chiffre d'affaires à deux millions d'euros, témoigne aussi Antonin Guy, en charge du développement commercial de cette entreprise innovante. 

Selon lui, dans ce marché naissant, on ignore encore qui seront les opérateurs de demain, mais tous se positionnent, constructeurs automobiles, collectivités et surtout loueurs, comme Avis, qui a racheté deux leaders de l'autopartage aux Etats-Unis, pays numéro un, avec un million d'utilisateurs. 

 

François et Charlotte Lesage 13/4/2012


L'intéret grandit cependant lentement pour ce système qui doit en principe se combiner avec transports publics et vélo pour rendre les villes plus vivables s'accordent à dire les experts. 

En France, on mesure une stabilisation (...) avec environ 200.000 utilisateurs depuis 2009, note Benedicte Charvet, spécialiste de la mobilité au sein du cabinet de conseil BIPE, soulignant que la part de personnes intéressées, par ces systèmes est cependant passée de 6 à 10% entre 2009 et 2013. 

Parallèlement un tiers des conducteurs préfèrent posséder leur voiture, contre 41% en 2010. Ce n'est pas un marché de masse, souligne son collègue Clément Dupont-Roc, spécialiste de l'électro-mobilité chez BIPE.  Ce sont des petites niches, des étudiants, des gens qui remplaçent ainsi la seconde voiture ou qui remplacent les transports en commun, notamment à Paris, dit-il en soulignant qu'un certain nombre de conducteurs n'ont pas renoncé à posséder cette chère voiture. 

Il faut encore faire évoluer les mentalités, constate Denis Leroy, adjoint au maire de La Rochelle, pionnière en matière d'autopartage électrique avec un système testé dès 1986, mais ne comptant pas augmenter son parc actuel de 44 voitures. 

Ainsi, à Lyon, seules 80 locations par jour sont pour l'instant rapportées par Bluely, note Gilles Vesco, vice-président de la communauté urbaine en charge du dossier, tout en se disant très confiant.

 

FRANCE 24 24/2/2009


Bolloré n'a pas hésité à investir encore 20 millions d'euros pour les quelque 200 bluecub qui seront installées à Bordeaux à l'horizon 2015, car le système lui sert de vitrine pour ses batteries, estime Clément Dupont-Roc. Cette batterie LMP (Lithium-Métal-Polymère), pour laquelle le groupe a dépensé deux milliards d'euros en recherche et développement, est adaptable sur ces voitures et peut surtoutstocker de l'électricité issue des énergies renouvelables. 

Or le marché mondial du stockage de l'électricité est estimé par les experts à 50 milliards par an. Si nous réussissons à avoir 5 ou 10% de ce marché, notre groupe grandira de 25 ou 50%, a expliqué M. Bolloré à des journalistes jeudi. 



romandie 11/1/2014

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Dans la station de l'Alpe d'Huez, les skieurs trouveront les curieux véhicules électriques Twizy pour se déplacer dans l'agglomération. Le service I-Moov les rend disponibles en autopartage. Utilisables avec une simple carte, ils pourront être laissés n'importe où et seront rechargés la nuit.

   Des Twizy Renault, un peu modifiés, circuleront bientôt, en autopartage, à l'Alpe d'Huez proposera dès cet hiver le système d'autopartage I-Moov, avec les véhicules électriques Twizy. ©️ Tous droits réservés

L'Alpe d'Huez (en Isère) mettra en place cet hiver un premier système de voitures électriques en autopartage, baptisé I-Moov, destiné aux déplacements ponctuels dans la station. Les véhicules utilisés sont les Twizy de Renault, transformés pour s'adapter aux conditions de montagne. Ils seront par exemple dotés de pneus neige et d'un casier pour le transport des skis ou des vélos en été. Différent du système des Autolib', le service n’impose pas de trouver une borne pour emprunter ou garer ces véhicules. Concrètement, une application Smartphone permet de les géolocaliser et l’utilisateur se sert d’une carte portant un crédit temps décrémenté au terme du parcours.

La station annonce que les premières Twizy seront utilisables la semaine du 15 février 2014, pour le début des vacances scolaires. Dans un premier temps, les douze véhicules seront disponibles auprès de certains hébergeurs, qui proposeront ce service à leur clientèle. La saison prochaine, pour l'hiver 2014-2015, le système devrait être généralisé à toute la station. En plus de la carte rechargeable sur Internet ou sur smartphone, l'utilisation sera également accessible grâce au forfait de ski.

La société Keymoov, l'opérateur de ce système d'autopartage, annonce que le service devrait s'étendre à cinq autres stations françaises l'hiver prochain. Face à l'affluence saisonnière, les préoccupations environnementales gagnent de plus en plus les stations françaises, première destination mondiale pour les sports d'hiver. Plusieurs d'entre elles ont mis en place des navettes électriques, jugées moins polluantes, dans leur circuit de transports en commun, à l'instar de l'Alpe d'Huez justement, mais aussi Les Saisies (Savoie) ou encore Les Rousses (Haut-Jura). La station jurassienne testait d'ailleurs cet été les voitures électriques Twizy pour son personnel, un premier essai avant d'étudier la possibilité de proposer elle aussi ce service à sa clientèle.


F - S 18JANV.2014

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PARIS - Renault offrira pendant un an aux acheteurs de ses modèles électriques un abonnement à Autolib', a-t-il annoncé jeudi, cette offre étant la conséquence de l'alliance conclue entre le constructeur automobile et le groupe Bolloré.

Renault offre l'abonnement annuel +recharge auto+ sur le réseau de bornes Autolib' jusqu'au 28 février 2014 à tous les utilisateurs de véhicules électriques qui en auront fait la demande, indique-t-il dans un communiqué.

Ceci leur permettra d'utiliser pendant un an les 4.200 bornes situées en Ile-de-France du service d'autopartage de voitures électriques Autolib', géré par Bolloré.

Ce geste commercial résulte de l'accord conclu entre la marque au losange et le groupe français dans le domaine du véhicule électrique, annoncé en septembre et signé définitivement depuis.

Ils prévoient de commercialiser ensemble des solutions d'autopartage, la fabrication du modèle Bluecar - qui équipe notamment les Autolib' - dans l'usine Renault de Dieppe, et la conception et l'industrialisation d'un véhicule trois places autour d'une batterie Bolloré.


romandie 23/1/2014

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PARIS - Le patron du groupe diversifié Bolloré, Vincent Bolloré, s'est dit jeudi prêt à investir 100 millions d'euros dans les bornes publiques de recharge électrique s'il remportait le contrat du futur réseau de recharge national pour les véhicules électriques.

D'ici à 2017, le gouvernement prévoit un point de charge tous les 50 kilomètres, soit 16.000 bornes. Si nous décrochons le contrat, nous sommes prêts à investir 100 millions d'euros, a-t-il déclaré au quotidien Le Parisien.

En 24 mois, notre groupe serait capable de déployer un tel réseau, a ajouté le fondateur du service de voitures électriques en libre-service Autolib', estimant ne pas être en compétition avec le groupe énergétique EDF avec lequel il peut collaborer.

M. Bolloré, qui a lancé le système Autolib' à Paris en 2011, avant de l'étendre à Lyon et à Bordeaux, prévoit d'équiper cette année Londres et Indianapolis, capitale de l'Etat de l'Indiana aux Etats-Unis. En outre, il espère signer prochainement un contrat à Singapour, où nous ambitionnons d'y installer des bus et des tramways.

Le marché des batteries électriques ne sera rentable, selon lui, ni cette année, ni l'an prochain mais en revanche, avec Autolib', on devrait gagner de l'argent dès novembre.

M. Bolloré a dévoilé un autre projet d'utilisation des batteries rechargeables en Guinée, qui consiste à stocker en journée l'énergie solaire dans un grand nombre de batteries installées dans des conteneurs pour alimenter un quartier en courant la nuit. Si cela fonctionne, d'ici un an et demi, nous vendrons cet outil qui peut intéresser à peu près tous les pays, a prévu M. Bolloré.

Par ailleurs, il prévoit avec le groupe automobile Renault de créer ensemble une voiture électrique 3 places, dans le cadre d'un partenariat annoncé l'an dernier.

Romandie 20/2/2014

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Grenoble - La communauté d'agglomération de Grenoble a présenté vendredi un service expérimental de véhicules électriques en autopartage connecté au réseau de transports en commun, en partenariat avec Toyota et EDF.

A partir du 1er octobre et pour une durée de trois ans, soixante-dix petits véhicules électriques Toyota, à trois ou quatre roues, seront disponibles dans 27 stations de Grenoble et des communes avoisinantes.

Grenoble-Alpes Métropole - La Métro 10/9/2014


Au total, 161 points de recharge ont été installés sur le territoire de l'agglomération dont 41 pour des véhicules électriques et hybrides classiques.

Moyennant un abonnement au service Cité lib (0 à 15 euros par mois), les Grenoblois pourront emprunter ces véhicules en payant un tarif dégressif compris entre 3 euros et 1 euro par quart d'heure.

Ce n'est pas simplement le partage du véhicule, c'est aussi une connexion complète avec les autres modes de transport et la possibilité de réserver, a décrit Didier Leroy, patron de Toyota Europe, en évoquant une expérimentation unique au monde.

La réservation se fera via une application sur smartphone ou tablette. Les usagers des transports en commun bénéficieront de tarifs préférentiels et les véhicules électriques seront intégrés dans l'outil de planification de trajets élaboré par la société de transports en commun de l'agglomération.

C'est une expérimentation grandeur nature. On n'a pas, pour l'instant, de plan pour l'étendre à d'autres villes mais ça ne veut pas dire qu'on ne le fera pas, a commenté Jean-Yves Jault, responsable de la communication de Toyota Motor Europe.

Les véhicules, 35 Toyota COMS et 35 Toyota i-ROAD, aux allures futuristes et aux couleurs vives, ont été présentés vendredi à l'essai. J'ai eu l'impression d'être sur des skis, a commenté Christophe Ferrari, président de Grenoble Alpes Métropole (La Métro), après avoir essayé une i-Road.

L'évaluation de ce nouveau service portera aussi sur d'éventuelles dégradations ou actes de vandalisme. Les COMS ne sont en effet pas équipés de portières tandis que l'i-ROAD ne dispose pas de vitres. On va avoir des gens qui vont finir leur nuit dedans, souriait un élu sous couvert de l'anonymat.

Selon M. Jault, des discussions sont en cours avec les autorités locales pour apporter une surveillance autour des bornes de recharge.

Par ailleurs, le service de location de vélos de La Métro fêtera dimanche son 5000e vélo en circulation, ce qui le place en deuxième place au niveau national après Paris, selon un communiqué.

Romandie 13/9/2014

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