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Voitures électriques type AUTOLIB' et bornes de recharge

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PARIS - L'installation de bornes de recharge pour véhicules électriques en libre accès a pris du retard en France, même si le marché commence à décoller, selon des industriels et des experts interrogés par l'AFP.

Selon des sources concordantes, de nouvelles mesures de soutien doivent être annoncées début octobre lors du Mondial de l'automobile. Parmi les pistes: rendre gratuits des stationnements et certains péages pour les véhicules électriques, mais aussi faciliter les financements publics des bornes.

Dans son plan de soutien à l'automobile, très centré sur le véhicule électrique, le gouvernement a nommé en juillet un coordonnateur de l'installation du réseau de bornes de charge, Philippe Hirtzman, chargé de donner un petit coup d'accélérateur, selon ses termes.

Il faut sortir un peu du cercle vicieux "pas de voitures électriques, pas de bornes" et "pas de bornes, pas de voitures électriques", a résumé cet ingénieur des Mines de 63 ans lors d'une récente rencontre avec des professionnels.

En 2009, dans la foulée du Grenelle de l'environnement, le gouvernement de l'époque avait fixé un objectif de 4 millions de bornes (dont 400.000 en service public) en 2020, pour 2 millions de véhicules rechargeables. Honnêtement, il est raisonnable de dire qu'il va être difficile à atteindre, concède M. Hirtzman. Raison de plus pour s'y mettre et se retrousser les manches. Mais cela ne va pas être l'explosion mirifique pour tout le monde tel qu'annoncé dans certaines enceintes il y a quatre ans, dit-il.

Contrairement à d'autres secteurs des technologies propres, la France a déjà une filière solide en matière de bornes.

Outre les géants français du matériel électrique Schneider et Legrand, on compte des PME historiques, comme le leader DBT à Douai (Nord), mais aussi l'Alsacien Hager ou Saintronic à Saintes (Charente-Maritime), qui a partagé le contrat Autolib à Paris avec IER (groupe Bolloré).

Il y a des bornes qui apparaissent. Il y en a eu pratiquement le double au premier semestre 2012 par rapport à 2011, souligne Michel Couture, le patron de Sodetrel, la filiale d'installation de bornes d'EDF. Mais c'est le tout début. Les premières affaires dignes de ce nom ont eu lieu cette année. Pour l'instant c'est plus des investissements que du chiffre d'affaires, souligne-t-il.

Les experts interrogés par l'AFP s'accordent sur une fourchette basse de 2.000 à 2.500 bornes en accès public en France (hors autopartage type Autolib). Même sans objectif fixé année par année, on peut considérer que l'on est à peu près à moitié moins que ce qui était prévu, reconnaît Jean-Louis Legrand, Monsieur véhicule décarboné au ministère de l'Ecologie. Et tous les torts ne viennent pas de la sphère publique: On a pris du retard, environ deux ans, reconnaît un industriel sous couvert de l'anonymat, évoquant un tâtonnement technologique.

Quant à savoir s'il faut d'abord multiplier les bornes publiques - comme le demandent Renault ou PSA - ou attendre l'essor des voitures électriques en France, les avis divergent. Je prêche un peu pour ma chapelle, mais il n'y aura pas de voitures sans bornes, croit savoir le patron de DBT, Hervé Borgoltz.

Autre point de vue du côté de M. Couture, chez EDF: Les bornes sur la voie publique il en faut. Le public a surtout besoin qu'elles soient visibles. Mais en fait elles sont très peu utilisées, pour moins de 5% des recharges. Donc pas de surinvestissement, il faut y aller avec parcimonie.

Beaucoup, comme Schneider, reconnaissent ainsi que la priorité est donnée aux entreprises et aux collectivités, avant le grand public.




ROMANDIE.COM 24/09/2012

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PARIS - La Caisse des Dépôts, ERDF, PSA Peugeot Citroën et Renault ont annoncé jeudi la création d'un répertoire national des bornes permettant de recharger les véhicules électriques et hybrides rechargeables.

Les intéressés ont signé mercredi un protocole pour la création du Groupement pour l'Itinérance des Recharges électriques de Véhicules, baptisé GIREVE, dans le cadre d'une réunion avec les ministres concernés.

Parmi les services de ce nouveau dispositif figure un répertoire national des bornes qui, une fois créé, sera mis à disposition des opérateurs pour développer leurs services aux utilisateurs (services de cartographie, de recharge, de mobilité, d'accompagnement clients), indique un communiqué commun.

Les conducteurs pourront ainsi localiser et utiliser les bornes de recharge existantes, quel qu'en soit le propriétaire: collectivité locale, propriétaire de parking, opérateur de mobilité, etc, soulignent-ils.

Le gouvernement a dévoilé mercredi des mesures de soutien pour les véhicules électriques, qui incluent un tarif préférentiel sur les péages autoroutiers et pour le stationnement, ainsi que des aides au déploiement des bornes de recharge, complétant ainsi le plan d'aide à la filière automobile française annoncé en juillet.


ROMANDIE.COM 04/10/2012

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Strasbourg - La Communauté urbaine de Strasbourg (CUS) a inauguré jeudi les premières bornes du projet CROME, un projet transfrontalier de bornes de recharge adaptées à tous les types de véhicules électriques et permettant un temps de chargement réduit.

C'est un projet franco-allemand qui a démarré il y a moins de 2 ans et qui vise à démontrer que la mobilité électrique est une réalité aujourd'hui. Tout est fait ici pour faciliter les choses pour l'utilisateur, quel que soit son véhicule, quel que soit le lieu ou le pays, a détaillé Patrick Gagnol, responsable du projet chez EDF, lors de la présentation des nouvelles bornes.

Avec une carte unique, l'utilisateur aura accès à l'ensemble des bornes situées des deux côtés de la frontière, d'abord ici, autour de Strasbourg, mais par la suite également vers la Moselle, a ajouté M. Gagnol.

Ces huit nouvelles bornes, qui viennent s'ajouter aux 13 d'ancienne génération déjà existantes sur l'agglomération, sont accessibles à tous les véhicules électriques, même ceux des utilisateurs allemands, avec un chargement rapide, s'est félicité Alain Fontanel, vice-président en charge des finances à la CUS.

Ce projet a pour ambition d'essaimer sur l'ensemble du territoire, a fait valoir M. Gagnol.

Les bornes sont financées via le fonds villes de demain, de la Caisse des Dépôts, qui a vocation à financer des projets démonstrateurs et duplicables préfigurant la ville de demain, a précisé Patrick Heberlé, chargé de mission Ville Durable à la Caisse des Dépôts.



ROMANDIE 28/2/2013

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Bordeaux : le système d'autopartage de voitures de Bolloré déployé fin 2013

BORDEAUX - Le système d'autopartage de voitures électriques du groupe Bolloré, similaire à Autolib', lancé en 2011 à Paris, va être déployé au dernier trimestre 2013 à Bordeaux et dans quelques communes de l'agglomération, a-t-on appris auprès de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB).

Le système, dont le nom reste à définir, avait été présenté le 26 février par Vincent Bolloré à la ville de Bordeaux. Le projet retenu impliquera finalement une centaine de véhicules, répartis dans quarante à cinquante stations situées dans Bordeaux et plusieurs agglomérations voisines. Pour s'en servir, l'usager devra payer un abonnement mensuel de 8 euros et six euros la demi-heure.

Au départ, le système prévoyait pour la seule ville de Bordeaux une centaine de véhicules, 40 stations et 180 bornes de charge, pour un abonnement mensuel de 10 euros et un coût de cinq euros par demi-heure.

Les premières réunions de travail avec les représentants du groupe Bolloré ont (...) permis de faire avancer ce dossier, indique dans un communiqué la CUB, selon laquelle le déploiement des véhicules se fera au dernier trimestre de l'année 2013.

Selon la CUB, ce système constituera un nouveau maillon de la chaîne de la mobilité à l'échelle de la métropole bordelaise et fonctionnera en complément du tramway, des bus, des navettes fluviales, des (vélos en libre-service) VCub, mais aussi d'Autocool, un système d'autopartage de voitures en libre-service, dont la Communauté souhaite préserver la spécificité.

Alors qu'à Paris Autolib' est encadré par une délégation de service public (DSP), le système sera déployé dans l'agglomération bordelaise sur la base d'une autorisation temporaire d'occupation (AOT) du domaine public, délivrée par la CUB pour l'installation de bornes de recharge des véhicules électriques. Les communes délivreront pour leur part une AOT pour le stationnement.

Le groupe Bolloré prendra à sa charge l'installation des bornes, ainsi que la mise à disposition de la centaine de véhicules dans cette première étape, l'objectif étant de développer encore le système fin 2014, dans le cadre de la future DSP des transports. Bolloré veut également lancer un projet similaire d'autopartage à Lyon fin 2013 et l'installer à l'étranger.


ROMANDIE 25/3/2013

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LYON - Après Paris, la ville de Lyon devrait mettre en service une flotte de 130 voitures électriques Autolib' en septembre prochain, selon un article des Echos en ligne, partiellement confirmé par la ville jeudi soir.

La ville de Lyon a confirmé jeudi soir la mise en service à la rentrée prochaine du fameux système de voiture électrique en libre service de Bolloré.

Selon Les Echos, cinquante premières stations entreront en service avec 130 véhicules, entre septembre et décembre 2013 uniquement à Lyon, puis 120 autres voitures électriques rouleront courant 2014 dans Lyon et Villeurbanne où seront aménagées vingt stations. Le groupe Bolloré devrait quant à lui investir 15 millions d'euros, selon le quotidien économique.

Le PDG du groupe Bolloré, Vincent Bolloré, avait déjà indiqué fin février qu'il souhaitait lancer avant la fin de l'année à Lyon ce projet d'autopartage similaire au service Autolib', lancé fin 2011 en région parisienne en lien avec la ville de Paris et de nombreuses collectivités franciliennes.

La stratégie de notre groupe, c'est d'aller répéter Autolib' dans d'autres villes et couvrir déjà la France et, si possible, une partie du monde, avec nos bornes et avec notre système d'autopartage, avait déclaré M. Bolloré lors d'une conférence de presse.

Ce système d'autopartage devrait aussi voir le jour fin 2013 à Bordeaux. Le système, dont le nom reste à définir, a été présenté le 26 février par Vincent Bolloré à la ville de Bordeaux.


ROMANDIE 28/3/2013

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LYON - Le Grand Lyon va lancer à la rentrée son service de voitures 100% électriques en auto-partage, baptisé Bluely, financé entièrement par le groupe Bolloré.

Deuxième grande agglomération après celle de Paris à proposer un tel service, le Grand Lyon mettra à la disposition des habitants, de Lyon et de Villeurbanne dans un premier temps, une flotte de 130 véhicules dès 2013. Leur nombre atteindra 250 en 2014.

Cinquante stations Bluely, équipées de 250 bornes de charge, seront opérationnelles dès le 10 octobre. En 2014, le Grand Lyon disposera d'un maillage de 100 stations.

Lyon va devenir ainsi une des villes du monde les plus équipées en bornes, a dit Vincent Bolloré, le PDG du groupe, qui présentait lundi ce nouveau service à la presse avec le président du Grand Lyon Gérard Collomb. L'électricité, d'origine 100% hydraulique, sera fournie dans le cadre d'un partenariat avec la Compagnie nationale du Rhône (CNR).

Les véhicules, des Bluecar de 4 places développées par la groupe Bolloré, et alimentées par des batteries LMP (Lithium Métal Polymère), ont une autonomie de 250 km en cycle urbain et 150 km en cycle extra-urbain. D'autres types de véhicules, notamment des Twizy de Renault devraient ensuite rejoindre la flotte des véhicules en auto-partage.

Pour les utilisateurs, le système se veut simple et facile d'accès. Entièrement connecté, le véhicule permet ainsi de réserver une place de stationnement à l'arrivée depuis l'ordinateur de bord. Il sera également possible d'effectuer un stationnement temporaire en cours de trajet.

Les tarifs d'utilisation varient de 6 euros la demi-heure avec un abonnement annuel (99 euros) à 9 euros pour la même durée, sans abonnement.

Le groupe Bolloré, qui a investi 20 millions d'euros dans l'opération, estime à 7.000 le nombre d'abonnés annuels nécessaire pour arriver à l'équilibre, a précisé son PDG, soulignant que 50 emplois seront créés pour le fonctionnement de Bluely.

Le maire de Lyon, Gérard Collomb s'est félicité du lancement de ce nouveau service de voitures 100% écologique, qui fait partie de la politique globale menée par le grand Lyon en matière de mobilité et de lutte contre la pollution et les effets de serre. Nous souhaitons être exemplaires en ce domaine, a-t-il dit.

Il a souligné que la mise en place de Bluely ne coûtera rien au Grand Lyon, puisque financé intégralement par Bolloré qui versera en outre à la collectivité chaque année une redevance de 500 euros par station et 1,5% du CA.

A Paris et dans les 52 communes d'Ile-de-France, le système Autolib', également mis en place en 2011 par le groupe Bolloré, dispose de 80.000 abonnés, dont 35.000 à l'année.


ROMANDIE 3/6/2013

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PARIS - La première borne parisienne accessible au public capable de recharger une voiture électrique en moins d'une demi-heure a été inaugurée lundi, la Mairie visant rapidement une quinzaine d'exemplaires sur les boulevards périphériques de la capitale.

Financée par un partenariat entre Nissan et le réseau BP en France (propriété de l'israélien Delek), la borne du fabricant français DBT est installée dans une station-service BP Boulevard Victor, à proximité de Balard dans le sud de Paris, a constaté un journaliste de l'AFP.

Ce type de borne vient s'ajouter aux quelque 4.000 bornes du système d'autopartage Autolib et quelques 150 bornes équipant les parkings publics souterrains, a souligné Julien Bargeton, adjoint du maire de Paris en charge des transports.

Le réseau Autolib va bientôt passer à 4.250 bornes, tandis qu'environ 400 bornes semi-rapides (quelques heures pour une recharge) doivent être installées sur les espaces de livraison d'ici fin 2014, a-t-il dit. Quant aux bornes rapides telles que celle inaugurée lundi, l'objectif est plus modeste, avec 10 à 15 espérées dans les stations aux abords des boulevards des Maréchaux et le boulevard périphérique parisien. Une deuxième doit ainsi voir le jour sous peu Porte de Vincennes. Avec tout cela, nous aurons un réseau extrêmement dense, c'est le signal de la mairie de Paris, a fait valoir M. Bargeton.

Boulevard Victor, les conducteurs d'automobiles Nissan ont accès gratuitement à la borne, tandis que les autres paieront 5 euros par recharge, quel que soit le volume d'électricité vendu, a expliqué Eric Terefenko, vice-président de Delek.

Il s'agit de la première borne rapide accessible au public dans Paris. Une borne de ce type équipe depuis cet été le service auto-train de la gare de Paris-Bercy, tandis qu'une autre est présente chez un concessionnaire Nissan, a précisé Grégory Nève, de Nissan France.

Le manque de points de recharge est un des principaux freins au développement des véhicules électriques et hybrides. D'où l'intérêt des constructeurs à les développer. Si on continue à attendre l'essor de l'infrastructure, on n'aura pas d'essor du véhicule électrique, a plaidé M. Nève.

L'essor des bornes en zone urbaine dense comme le centre de Paris est rendu plus compliqué par des exigences de sécurité. Ainsi, dans les stations service, les pompiers exigent une distance minimale entre les cuves de carburant et les bornes d'alimentation électrique pour limiter les risques.

romandie 9/12/2013

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Paris - La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a déclaré vendredi que les grandes villes devaient donner l'exemple pour accélérer la révolution de la voiture électrique qui, selon elle, constitue la vraie réponse au problème du diesel.

Mon souhait est que lorsque quelqu'un voudra changer une vieille voiture diesel, il puisse s'acheter une voiture électrique, a indiqué Mme Royal, en marge d'un déplacement sur les perturbateurs endocriniens, à Paris.

20Minutes 9/5/2014


Plutôt que de passer par une voiture essence moins polluante, je préfère qu'on passe tout de suite à l'étape suivante, a-t-elle insisté.

Inciter plutôt que renchérir le prix du diesel, a souligné Mme Royal. Elle s'est en effet montrée très réticente à l'idée d'augmenter la taxe sur ce carburant qui bénéficie d'un avantage fiscal.

Quand on a encouragé pendant des années le diesel, quand on a des millions de familles qui roulent au diesel, des millions de travailleurs qui vont au travail avec leurs voitures diesel, ce n'est pas du jour au lendemain qu'on peut les punir parce qu'ils ont fait ces choix et qu'ils n'ont pas d'argent pour remplacer leurs voitures, a-t-elle dit.

Il faut faire très attention, dans le bon équilibre des choses et dans le respect du pouvoir d'achat des gens, a-t-elle ajouté.

Pour Ségolène Royal, la révolution de la voiture électrique se fera beaucoup plus rapidement (...) si les grandes villes donnent l'exemple. Elle les a appelées à leur donner un avantage, comme le stationnement gratuit et la possibilité de rouler dans les couloirs de bus en cas d'embouteillages, mais aussi à aider financièrement les taxis à acheter des véhicules électriques et convertir la flotte de bus municipaux.

Tous les bus dans Paris devraient être électriques, a-t-elle estimé. Il n'y a aucune raison que ça traîne autant, a ajouté la ministre, soulignant que les villes n'avaient pas besoin de l'aide de l'Etat pour opérer la révolution électrique.

La ministre a aussi appelé les constructeurs automobiles à faire beaucoup plus d'efforts sur la voiture électrique pour en baisser le prix.

Ségolène Royal a indiqué étudier des pistes pour baisser le prix des voitures électriques, donner un bonus à l'achat de voitures électriques et pourquoi pas baisser la TVA au niveau européen sur les voitures électriques.

Romandie 9/5/2014

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Le Jury de déontologie publicitaire épingle les constructeurs pour leurs publicités.

Un feu rouge pour ces voitures "vertes". Le Jury de déontologie publicitaire (JDP) estime jeudi 26 juin que les véhicules électriques d'autopartage Bluely à Lyon et Autolib à Paris, tout comme la Zoé de Renault, ne peuvent prétendre au qualificatif "écologique" dans leurs publicités.

 Des Autolib garées à Paris, le 27 mars 2013.  ( JACKY NAEGELEN / REUTERS)

En avril, ce jury avait déjà épinglé, pour les mêmes raisons, la Bluecub, la voiture électrique d'autopartage de Bordeaux, appartenant comme Bluely et Autolib au groupe Bolloré.

Dans sa décision, le JDP, instance liée à l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP), constate que les publicités pour Bluely et Autolib "font état du caractère 'écologique' du service promu sans le moindre élément de relativisation ou de comparaison, précise le document du JDP. Or, l'utilisation de ce service induit nécessairement certains effets négatifs sur l'environnement, notamment les pièces d'usure des véhicules utilisés et l'électricité nécessaire à leur rechargement, dont il n'est pas établi qu'elle serait intégralement issue de sources renouvelables."

Et pour appuyer son jugement, Jury de déontologie publicitaire cite une résolution "développement durable" de l'ARPP, stipulant que "dans le cas où il serait impossible de justifier des formulations globales [comme écologique], la publicité doit les relativiser en utilisant des formulations telles que 'contribue à'."

C'est pour non-respect de cette résolution que le jury a également épinglé, à la suite d'une plainte de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports, une publicité pour la Zoé de Renault, qui affirmait : "Pour lutter contre la pollution, roulez en voiture". L'association Observatoire du nucléaire qui, de son côté, avait saisi le JDP concernant Bluely, Autolib et Bluecub, a salué ces décisions.

L'ONG anti-nucléaire avait notamment mis en avant le fait que l'électricité utilisée pour le rechargement des batteries est à 75% d'origine nucléaire. Sans oublier l'importation de lithium, pour les batteries, de pays d'Amérique du Sud "dont l'environnement est gravement pollué". "Certes, la voiture électrique ne pollue pas au moment où elle circule, affirme-t-elle. Mais elle pollue avant et après, et, surtout, elle délocalise la pollution."

Après le jugement concernant Bluecub, le groupe Bolloré a assuré "qu'en bons élèves", ils allaient retirer le mot "écologique" de leur publicité. "Mais une fois obtenus des certificats d'énergie renouvelable pour nos véhicules, on remettra le mot qu'on veut", a-t-il ajouté, estimant que le vrai sujet était "la pollution dans toutes les villes".

Francetv info 26/6/2014

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Bordeaux - Une association anti-nucléaire, qui conteste le caractère écologique des voitures électriques Bolloré, déjà épinglées par le Jury de déontologie publicitaire pour le recours à ce terme dans des publicités, a déposé mardi une plainte au pénal à Bordeaux pour publicité mensongère.

En dépit d'une décision rendue en avril par le Jury de déontologie publicitaire (JDP), le site internet de la Bluecub, voiture électrique du groupe Bolloré proposée en partage dans Bordeaux et son agglomération, continue d'accoler le terme écologique à la Bluecub, a déploré le directeur de l'Observatoire du nucléaire, Stéphane Lhomme, qui a déposé la plainte au tribunal de grande instance.

Je conteste que la voiture électrique soit écologique (...) parce qu'elle est rechargée à l'électricité nucléaire, a-t-il déclaré à des journalistes. Après une première procédure devant le JDP plutôt symbolique, Bolloré n'a absolument pas changé ses publicités et donc aujourd'hui, c'est directement au +vrai+ tribunal que nous attaquons cette société, a-t-il dit.

Mardi à la mi-journée, le site internet de Bluecub (https://www.bluecub.eu/fr) vantait une voiture économique, écologique, agréable, affirmant que la planète profitait aussi de ses qualités écologiques.

Nous voulons faire cesser ses publicités et, plus généralement, interpeller l'opinion publique sur le fait que remplacer des voitures à essence ou diesel par d'autres voitures polluantes n'est pas une solution, a poursuivi Stéphane Lhomme, qui a ensuite apposé sur deux Bluecub garées non loin du TGI des autocollants proclamant certifié pro-nucléaire. Il a également débranché les deux véhicules connectés à des bornes électriques et qui étaient en charge.

En avril, le Jury de déontologie publicitaire, instance liée à l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP), avait déjà épinglé la Bluecub, jugeant qu'elle ne pouvait se prévaloir, contrairement à ce qu'indiquait les publicités, du qualificatif d'écologique.

Jeudi dernier, cette même instance a réitéré ses critiques envers d'autres voitures électriques: Zoé de Renault, Bluely à Lyon et Autolib à Paris, ces deux dernières, proposées en partage, appartenant aussi à Bolloré.

L'utilisation de ce service induit nécessairement certains effets négatifs sur l'environnement, notamment les pièces d'usure des véhicules utilisés et l'électricité nécessaire à leur rechargement, dont il n'est pas établi qu'elle serait intégralement issue de sources renouvelables, écrivait le JDP dans sa décision.

luisacmarinho 2/9/2009


Romandie 1/7/2014

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Paris (AFP) - La loi visant à faciliter l'installation des bornes de recharge pour les véhicules électriques dans l'espace public a été publiée mercredi au Journal officiel.

Ce texte, adopté le 23 juillet au Parlement, prévoit d'exonérer de redevance l'opérateur qui implante, dans le cadre d'un projet de dimension nationale, des bornes de recharge de véhicules électriques sur le domaine public. Jusqu'ici, seules les communes étaient responsables de l'installation d'un réseau d'infrastructures de bornes de recharge.

TV Tours 17/11/2012


"Le principe de la loi n'est pas de retirer toute initiative aux collectivités locales mais de permettre de déployer un réseau essentiel" (axes rapides et interrégionaux), a indiqué à l'AFP l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere).

Déjà mi-juillet, le gouvernement avait prolongé et élargi le dispositif de soutien au secteur dépendant de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Créé en 2011 et doté de 50 millions d'euros, il permettait aux villes ou groupements d'agglomérations de plus de 200.000 habitants de bénéficier d'une aide (allant de 30 à 50% du montant du projet) pour le déploiement de bornes de recharge.

Initialement prévu pour s'arrêter à la fin de l'année, il a été prolongé d'un an et est ouvert désormais à toute collectivité qui respecte une densité d'un point de charge pour 3.000 habitants. Le montant minimal d'investissement donnant droit à une aide a lui été réduit de moitié passant de 400.000 à 200.000 euros. L'objectif est de permettre aux territoires ruraux et aux petites villes de pouvoir bénéficier de ce dispositif.

Actuellement, la France compte 10.000 bornes de recharge, selon les chiffres du ministère de l'Écologie et de l'Énergie. Or le déploiement de ces infrastructures est crucial pour le développement à grande échelle des véhicules électriques, dont l'autonomie reste encore limitée.

C'est aussi un des points principaux de la future loi sur la transition énergétique qui sera examinée à partir d'octobre au Parlement. Son objectif est d'atteindre les 7 millions de points de recharge d'ici 2030.

Au 31 juillet, le parc automobile français comptait près de 36.000 véhicules électriques (particuliers et utilitaires) sur un total de plus de 38 millions de véhicules en circulation, selon les données de l'Avere.

Sciences et avenir 6/8/2014

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Paris - Les Français ont un a priori favorable sur la voiture électrique mais sont finalement peu à en acheter, en raison principalement d'un manque d'information sur ce type de véhicules, en termes de prix et d'autonomie notamment, selon une étude Ipsos.

Cette enquête a été réalisée pour l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere) et le groupe Mobivia - Norauto, Auto 5, Midas, Carter-Cash, Synchro Diffusion, Oxyo-pneus.fr et Bythjul.com - auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes, du 22 au 29 août.

energiesactu 26/2/2014


La France est le deuxième marché de véhicules électriques en Europe, avec 5.415 immatriculations depuis le début de l'année, selon l'Avere et Mobivia.


Romandie 15/9/2014

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Paris - Les industriels de la mobilité électrique ont appelé mercredi soir à ce que la prime à la conversion, prévue dans le projet de loi sur la transition énergétique pour l'achat d'un véhicule propre en remplacement d'une voiture très polluante, ne soit pas limitée aux zones urbaines.

Il ne va pas falloir se restreindre aux centres villes pollués parce que les personnes qui circulent dans ces centre-villes là n'y vivent pas forcément, a jugé Marie Castelli, secrétaire générale de l'Avere, principale organisation des acteurs de la mobilité électrique en France, devant la commission spéciale de l'Assemblée nationale consacrée au projet de loi.

Le projet de loi sur la transition énergétique, qui doit être examiné en plénière à l'Assemblée nationale à partir du 1er octobre, prévoit dans son chapitre consacré à la mobilité propre que le bonus écologique, qui pourrait atteindre 10.000 euros, soit versé en fonction de critères sociaux et géographiques, notamment dans des zones où la qualité de l'air est mauvaise.

Jean-Christophe Béziat, directeur des relations institutionnelles pour l'innovation chez Renault, a lui souligné la complexité d'intégrer de tels critères sur une mesure qu'il juge positive pour le développement du parc de véhicules électriques.

Marie Castelli a dénoncé d'ailleurs l'idée reçue selon laquelle le véhicule électrique serait un véhicule urbain. On a énormément parlé de véhicule électrique en milieu urbain parce qu'il répond à la question de la pollution en ville, a-t-elle expliqué, tout en rappelant que selon les données de l'Avere, la majorité des ventes de véhicules électriques ont lieu dans les zones rurales et périurbaines.

Cela s'explique par le fait, selon elle, que l'autonomie des voitures électriques, aujourd'hui entre 100 et 200 km, correspond aux trajets pendulaires domicile-travail dans ces zones et que l'habitat pavillonnaire, plus propice à l'installation de bornes de recharge privées, y est plus répandu. Dans ce sens, l'instauration du crédit d'impôt développement durable pour l'installation de bornes privées par les particuliers est très positive, a estimé M. Béziat.

Le gouvernement s'est fixé un objectif de 7 millions de points de charge sur le territoire d'ici 2030. Au 31 juillet, le parc automobile français comptait près de 36.000 véhicules électriques (particuliers et utilitaires) sur un total de plus de 38 millions de véhicules en circulation, selon les données de l'Avere.


Romandie 18/9/2014

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aris - Un groupement d'industriels français, dont Bouygues, Alstom et Renault, ont présenté jeudi le programme Eco2charge, pour accélérer le déploiement des infrastructures de recharge des véhicules électriques intégrées aux bâtiments, campus ou écoquartiers.


Le système qu'ils ont mis en place repose sur le pilotage intelligent en temps réel à la fois de la recharge des véhicules en fonction des besoins des conducteurs, de la quantité d'électricité disponible via le réseau traditionnel ou des panneaux photovoltaïques sur le site, du stockage du courant grâce à des batteries installées sur place et des besoins en électricité du bâtiment pour ces usages traditionnels (climatisation, chauffage, éclairage, etc...).

Ce pilotage intelligent permettra ainsi de limiter la sollicitation du réseau électrique pour fournir la puissance nécessaire à la recharge des voitures, un des problèmes majeurs aujourd'hui pour le développement de la mobilité verte.

L'objectif est double a expliqué Servan Lacire, directeur Innovation et technologies chez Bouygues énergies et services: instaurer la confiance de l'usager sur la capacité à recharger son véhicule (...) et limiter les coûts d'investissement et de possession de l'infrastructure de recharge.

Les industriels associés au projet l'expérimentent depuis plusieurs mois sur deux sites : le Technocentre Renault et le siège social de Bouygues Construction près de Saint-Quentin-en-Yvelines et les premiers retours sur l'équilibre du système sont jugés positifs.

Pour les automobilistes qui le testent, le mécanisme est simple: ils réservent en amont un emplacement sur le parking de recharge et indiquent leur heure de départ et la quantité d'électricité dont ils auront besoin.

Le logiciel de pilotage qui collecte toutes les informations émises par les conducteurs, le bâtiment, le réseau électrique et le système de stockage, est capable d'étaler la recharge des véhicules dans le temps pour satisfaire toutes les demandes.

Le stockage de l'électricité s'effectue lui grâce à la réutilisation de batteries automobiles dites de seconde vie plus optimales pour un usage dans les voitures mais qui conservent une capacité de stockage de courant.

Ce projet d'un montant de 13,2 millions d'euros, lancé en 2013 avec une part de financement public via le Programme d'investissements d'avenir, doit se déployer sur le plan commercial à partir de 2016, à la fois en France et à l'étranger.

Il regroupe six entreprises (Bouygues, Alstom Grid, Renault, Nexans, Actility et Embix) ainsi que l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et le Commissariat à l'énergie atomique (CEA).

 Ademe.fr

Romandie 18/9/2014

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Un système d'auto-partage de véhicules électriques est actuellement mis en place dans la ville française de Grenoble.

Agence PLUS2SENS 30/9/2014

Le constructeur automobile japonais Toyota fournit 70 véhicules électriques ultra-compacts, dont la moitié sont des voitures à trois roues.

NHK WORLD 2/10/2014

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Paris - Le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, a affirmé jeudi qu'un opérateur privé allait annoncer la semaine prochaine l'installation de 16.000 bornes de recharge pour les véhicules électriques en France.

La semaine prochaine, un opérateur annoncera l'implantation de 16.000 bornes avec de l'argent privé, a déclaré M. Macron lors de la 3e Conférence environnementale censée fixer la feuille de route verte du gouvernement pour 2015. Le ministre n'a pas dévoilé l'identité de l'opérateur.

Le déploiement de ces infrastructures constitue un des principaux points de la loi sur la transition énergétique. Son objectif est d'atteindre les 7 millions de points de recharge d'ici 2030. La loi visant à faciliter l'installation des bornes de recharge pour les véhicules électriques dans l'espace public a été adoptée cet été au Parlement. Elle prévoit d'exonérer de redevance l'opérateur qui implante, dans le cadre d'un projet de dimension nationale, des bornes de recharge sur le domaine public. Cet opérateur pourra être l'Etat, une société privée seule ou dans laquelle l'Etat aura une participation.

En mai, lors du vote de la proposition de loi, l'ancien ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, avait indiqué à l'Assemblée nationale qu'EDF et Bolloré avaient déjà manifesté leur intérêt pour être opérateur.

La mobilité, c'est 15% de notre PIB (Produit intérieur brut) et presqu'un million et demi de personnes travaillent dans ce secteur en France, a souligné M. Macron. Sur les 34 plans industriels de la France, 11 concernent la transition énergétique dont sept concernent la mobilité, a-t-il ajouté.


Romandie 27/11/2014

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Paris - Le groupe diversifié Bolloré a déposé un dossier auprès du ministère de l'Economie afin de déployer 16.000 points de charge publics pour véhicules électriques et hybrides en France, a annoncé Bercy lundi.

 Le projet de Bolloré représente un investissement de 150 millions d'euros sur 4 ans, précise le ministère de l'Economie dans un communiqué. Bercy et le ministère de l'Ecologie décideront d'ici fin janvier si ce projet est reconnu de dimension nationale et donc exempté de redevance d'occupation du domaine public. (Photo : borne de recharge électrique modèle IER 980 (c) IER groupe Bolloré)

En cas d'avis favorable, Bolloré lancera dans chaque région concernée une concertation sur les modalités précises d'implantation de ses stations de recharge.

 Ce projet, comme tous les projets de dimension nationale qui seront validés au cours des prochains mois, sont complémentaires de ceux des collectivités locales, soutenus par le programme d'investissements d'avenir, rappelle le ministère de l'Economie. (Photo borne de recharge électrique modèle IER 981 (c) IER groupe Bolloré)

La loi sur la transition énergétique, actuellement en débat au Parlement, prévoit d'atteindre 7 millions de points de charge en 2030, contre 14.000 aujourd'hui.

En mai, l'ancien ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, avait indiqué à l'Assemblée nationale que Bolloré et le géant français de l'électricité EDF avaient manifesté leur intérêt pour devenir opérateurs de bornes de recharge.


Romandie 8/12/2014

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Paris - Le géant français de l'électricité EDF installera 200 bornes de recharge rapide pour véhicules électriques et hybrides en 2015, le long des autoroutes et en périphérie de grandes villes françaises, a indiqué à l'AFP mercredi une source proche du dossier, confirmant une information du Parisien.




Les 200 bornes, permettant une recharge complète en 20 à 30 minutes, seront déployés entre janvier et décembre 2015, sur des aires d'autoroutes et à proximité de noeuds de communication structurants près de grandes villes, a précisé cette source.

Mardi, Le Parisien évoquait des implantations autour des frontières avec l'Allemagne, la Belgique et l'Italie. Selon le quotidien, l'Europe financera ces bornes à hauteur de 4,5 millions d'euros, sur un montant total de 10 millions d'euros.

Le projet, porté par un consortium associant EDF et quatre constructeurs automobiles français et allemands (Renault, Nissan, BMW et Volkswagen), a en effet obtenu le soutien financier de la Commission européenne, dans le cadre du programme RTE-T (réseau transeuropéen de transport), a expliqué la source ayant eu accès au dossier.

L'électricien français n'a cependant pas déposé de dossier auprès du gouvernement pour être reconnu en tant qu'opérateur de bornes de recharge, qui ouvre droit à une exemption de la redevance pour occupation du domaine public.

En mai, l'ancien ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, avait indiqué à l'Assemblée nationale qu'EDF et le groupe diversifié Bolloré avaient manifesté leur intérêt pour l'obtention de ce statut.

Lundi, le ministère de l'Economie a annoncé que Bolloré avait présenté un projet d'installation de 16.000 bornes de recharge, pour lequel une éventuelle exemption de redevance doit être décidée d'ici fin janvier 2015.


Romandie 10/12/2014

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Paris - La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a indiqué mercredi que le bonus de 10.000 euros accordé pour l'achat d'une voiture électrique en remplacement d'une vieille voiture diesel sera mis en place en avril.

Le bonus qui va permettre d'acheter des voitures électriques avec une aide de 10.000 euros par véhicule sera opérationnel au mois d'avril, à condition de mettre au rebut une vieille voiture diesel, a indiqué Mme Royal au micro d'iTÉLÉ. "Ce coup de pouce financier est un engagement pour cette année mais ne sera pas ad vitam aeternam", a prévenu Mme Royal.

Le bonus s'élève à 6.500 euros pour l'achat d'une voiture hybride rechargeable.

La ministre, qui roule en véhicule propre a appelé tous les constructeurs à se mobiliser pour commencer à baisser les prix des voitures électriques et ensuite d'avoir des systèmes de vente de voitures électriques par mensualité pour que tous les Français puissent y accéder.

L'Etat va donner l'exemple, a-t-elle assuré, annonçant que le Premier ministre Manuel Valls, qui présentera ce mercredi la feuille de route environnementale du gouvernement, allait demander dans la journée à l'administration de rouler en voiture électrique. "L'objectif est de diminuer de 20 à 30% les consommations d'énergie et de fournitures dans les administrations pour lutter contre le gaspillage", a-t-elle dit.

Pour inciter les Français à choisir la voiture électrique, Mme Royal a indiqué que 7 millions de bornes de recharge électrique vont être installées sur tout le territoire et deviendront obligatoires dans les parkings privés et publics, les gares, les grandes surfaces et les aéroports.

La ministre a rappelé l'existence du nouveau crédit d'impôt qui permet la baisse de 30% du coût d'installation de bornes par les particuliers.




Romandie 4/2/2015

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Paris - Une enveloppe de 140 millions d'euros est prévue en 2015 pour les primes destinées à favoriser la conversion des vieux véhicules diesel, responsables de la majeure partie de la pollution aux particules, a indiqué mercredi Ségolène Royal.

Le dispositif de primes pour favoriser la conversion des vieux véhicules diesel, ceux qui ont plus de treize ans et qui n'ont pas de filtre à particules, bénéficiera d'une enveloppe de 140 millions d'euros en 2015, a déclaré la ministre de l'Ecologie, lors d'un point de presse sur la feuille de route écologique du gouvernement.

Cette feuille de route entérine le fait qu'en échange d'un vieux diesel, les aides pour l'achat d'un véhicule électrique pourront aller jusqu'à 10.000 euros et jusqu'à 6.500 euros pour un véhicule hybride. Ces primes avaient été annoncées cette automne.

Le gouvernement a en revanche annoncé mercredi une nouvelle prime de 500 euros attribuée aux ménages non imposables pour l'achat d'un véhicule essence neuf ou d'occasion à la place d'un vieux diesel.

Ségolène Royal a indiqué que les 140 millions d'euros seraient puisés dans le compte alimenté par les bonus-malus sur les véhicules, actuellement excédentaire de cette somme.

Le gouvernement prévoit également l'instauration avant l'été d'un système de certificats qui permettront d'identifier les véhicules les plus propres. Ces certificats seront apposés sur le pare-brise des véhicules.

Ils seront gratuits et seront délivrés via internet sur la base de la carte grise des véhicules, a indiqué Mme Royal, précisant que le dispositif technique devait encore être finalisé. Il y aura plusieurs certificats en fonction du niveau de pollution des véhicules.

Dans sa feuille de route, le gouvernement s'engage également à publier en 2015 une étude d'impact environnemental et socio-économique de la baisse des vitesses routières maximales autorisées.

Dans le prochain projet de loi de finances, devrait aussi être intégré un mécanisme incitant les entreprises à promouvoir l'usage du vélo par les salariés.




Romandie 4/2/2015

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Paris - Le projet 16K du groupe Bolloré, qui prévoit d'installer 16.000 points de charge publics pour véhicules électriques et hybrides en France d'ici 2019, a été reconnu de dimension nationale, selon une décision publiée au Journal officiel vendredi.


 Le projet de Bolloré reconnu de dimension nationale pour la création d'un réseau de bornes de recharge maillant tout le territoire afin de permettre l'essor de la voiture électrique. Ouest France / Marc Ollivier


Bolloré avait demandé la reconnaissance de la dimension nationale de son projet afin d'être exempté de redevance d'occupation du domaine public pour son projet représentant un investissement de 150 millions d'euros sur quatre ans, avait indiqué Bercy début décembre.

Rappel : le projet 16K vise à déployer jusqu'à 16.000 points de charge (...) sur près de 4.000 communes, réparties dans 94 départements des 22 régions de France métropolitaine, précise la décision de la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal, et de son collègue à l'Economie, Emmanuel Macron.

La moitié au moins de ces points de charge se présente comme conforme par avance à la directive européenne sur les carburants alternatifs, en particulier en matière d'interopérabilité à l'échelon européen, précise le texte.

L'installation se fera en deux phases d'égale ampleur, la première s'achevant le 31 décembre 2016 et la seconde, le 30 juin 2019. La totalité des départements voire des communes concernées a vocation à être couverte dès la première phase, ajoutent les ministres.


Romandie 6/2/2015

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