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BelleMuezza

France: massacre à la tronçonneuse d'une défense d'éléphant au musée

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Un jeune homme a été arrêté par la police et placé en garde à vue, dans la nuit de vendredi à samedi, alors qu'il venait de découper à la tronçonneuse une défense d'éléphant dans la galerie de paléontologie d'un musée parisien.

Selon la police, c'est le bruit de la tronçonneuse qui a donné l'alerte.

L'individu, âgé de 20 ans, qui s'était introduit par effraction au Museum national d'histoire naturelle, s'est alors enfui avec la défense, mais a été arrêté par des policiers dans une rue avoisinante. La tronçonneuse a été retrouvée dans une allée du Museum.

Le Muséum est, avec les 62 millions de spécimens qu'il abrite, l'un des premiers établissements mondiaux de ce type, avec le Natural History Museum de Londres. Outre sa Grande galerie de l'évolution, il comporte une galerie de paléontologie et d'anatomie comparée, ainsi que de nombreux autres départements abritant différentes collections (animaux vivants ou naturalisés, plantes vivantes, objets ethnographiques...).


----->Acte isolé ? inspiré par les vols de corne de rhinocéros ? Juste le plaisir de saccager ? Ou acte laissant augurer une nouvelle façon pour les trafiquants de se procurer de l'ivoire ? Beaucoup de questions et pas de réponse pour l'instant... A suivre si tant est que les informations nous parviennent... Tout de même, comment cet individu s'est introduit dans le muséum avec son engin ?


LE POINT 30/3/2013 - FRANCETV INFO 30 mars 2013

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[...]La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso, a ensuite annoncé dans un communiqué transmis à l'AFP que cet individu s'était "introduit par effraction dans la Galerie d'Anatomie comparée de paléontologie du Muséum d'Histoire naturelle" et avait "tenté de dérober les défenses de l'éléphant de Louis XIV".

"Les dispositifs de sécurité ont correctement fonctionné, évitant ainsi ce vol", constate la ministre dans son communiqué, tout en déplorant "la dégradation de ce spécimen de grande valeur historique et scientifique". Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche, ministère de tutelle du Muséum, "apportera son concours" aux équipes du musée pour "étudier les conditions de sa restauration".

Selon une source au ministère, le cambrioleur n'est pas parvenu à sectionner entièrement la défense, ayant été stoppé dans son entreprise par le système d'alarme du Muséum et l'intervention de ses équipes de sécurité, puis de la police.

[...]Une conférence de presse était prévue dans l'après-midi au Muséum.

Le Muséum national d'Histoire naturelle est, avec les 62 millions de spécimens qu'il abrite, l'un des premiers établissements mondiaux de ce type, avec le Natural History Museum de Londres.


SCIENCES ET AVENIR 30/3/2013

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Le jeune monte-en-l'air du Muséum d'Histoire naturelle de Paris, qui a sectionné à la tronçonneuse la défense gauche d'une éléphante ayant appartenu à Louis XIV, est mal retombé sur ses pieds en tentant de fuir et a dû être hospitalisé en vue d'une intervention chirurgicale, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.

Le jeune homme, dont on ignore toujours l'identité, comme le mobile du cambriolage, avait été arrêté par la brigade anti-criminalité, dans la nuit de vendredi à samedi, après avoir sauté par une fenêtre de la "galerie d'anatomie comparée" qu'il avait brisée pour s'introduire dans le Muséum.

Après cette escalade réussie jusqu'à la galerie abritant des milliers de squelettes, dont celui de l'éléphante offerte à Louis XIV par le roi du Portugal en 1668, le vandale avait sectionné une incisive du pachyderme à la tronçonneuse, déclenchant et l'alarme et la fuite du cambrioleur, son butin sous le bras.

Le retour sur terre a été brutal. Arrêté par la BAC dans une rue voisine du Muséum, situé dans le 5e arrondissement de Paris, le jeune homme, d'abord placé en garde à vue, a dû être hospitalisé car il s'était blessé au pied.

Aucun mobile n'a jusqu'à présent été avancé pour expliquer le vol de la défense, laquelle n'était pas d'origine selon un responsable du Muséum. Il faudra attendre les suites de l'intervention chirurgicale, la garde à vue du monte-en-l'air ayant été suspendue, indique-t-on de source judiciaire.



LE POINT 31/3/2013

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Chaque site, donnant des informations complémentaires... voici quelques précisions à propos de l'éléphant vandalisé, en fait une éléphante... offerte à Louis XIV par le roi du Portugal en 1668.

Le Muséum a précisé que l'éléphante, d’une grande valeur historique et scientifique, avait peu souffert de l'incident. En effet, même si l'une des défenses a été sciée, "l’os n’a pas été endommagé, ce qui facilitera la restauration du spécimen. Par ailleurs, les défenses de ce spécimen n’étaient pas celles d’origine", a expliqué le MNHN dans un communiqué. (lors d'une visite avec ma fille et mon petit-fils, je l'ai photographiée dans le but de disposer des photos personnelles pour le forum...).

En attendant, l’éléphante de Louis XIV est toujours présente dans la galerie, restée ouverte au public. "Un diagnostic plus précis de son état sera réalisé et d’ici-là, il demeurera recouvert", a ajouté le Muséum.

D’origine congolaise, l'éléphante est décédée au cours de l’hiver 1681, au terme de treize ans de captivité dans la Ménagerie de Versailles. Le spécimen est considéré comme le type de l’espèce Loxodonta africana et a, après sa mort, notamment inspiré de nombreux artistes comme Gustave Moreau.


MAXISCIENCES 2/4/2013

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L'homme qui a récemment sectionné à la tronçonneuse dans le Muséum d'Histoire naturelle de Paris la défense d'une éléphante ayant appartenu à Louis XIV a été remis en liberté vendredi, a déclaré à l'AFP son avocate.

[...]Il avait réussi à découper près de 90 % de la partie visible de la défense (environ 3 kg) et à prendre la fuite par la fenêtre qu'il avait brisée. Quand les agents de la sécurité sont arrivés sur place, la tronçonneuse fonctionnait encore.

Mis en examen et incarcéré mardi, il a été remis en liberté vendredi matin à l'issue d'une procédure de "référé-liberté", a dit à l'AFP son avocate, Me Corinne Dreyfus-Schmidt. Le jeune homme, âgé de 20 ans, "a obtenu son Bac S l'an dernier mais a raté son inscription en fac. Cet acte insensé est une sortie de route dans le parcours de ce jeune homme bien inséré", a-t-elle ajouté. "Le laisser en prison n'aurait pas eu de sens", a-t-elle poursuivi.

Lui et ses deux complices présumés, qui n'ont pas été incarcérés, ont été mis en examen mardi pour "vol sur un bien culturel en réunion avec dégradation et effraction". L'exploitation des images de vidéo-surveillance a permis aux enquêteurs de déterminer que les deux jeunes complices présumés attendaient le cambrioleur à l'extérieur du Muséum.


----->OK sur le fond ! Le jeune a été libéré, mais quid de la sanction de son geste ? l'article n'en parle pas et je n'ai pas encore trouvé d'information à ce sujet...

LE POINT 5/04/2013

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