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INDE : Mise en place d'un programme pour sauvergarder les rhinocéros

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de SARAH WOODHOUSE

Les bonnes nouvelles concernant la faune sauvage sont suffisamment rares pour être relevées... surtout quand cela concerne les rhinocéros ... Même si, en l'occurrence il s'agit du rhinocéros indien qui a une toute autre histoire que son cousin africain... Bien qu'il soit, lui aussi, braconné pour sa corne !!!

En effet, en raison de la menace écrasante du braconnage, des rhinocéros ont été transférés de certains parcs au Parc National de Manas , conformément au programme indien IRV20 (Rhino Vision 2020*). A ce jour on compte une vingtaine d'animaux qui ont été transférés dans ce parc : 10 en provenance du sanctuaire de la faune 8 du Parc national de Kaziranga. L'observation de deux bébés rhinocéros montre que les rhinocéros adultes s'adaptent bien à leur nouvel environnement.

* Le programme indien Rhino Vision 2020 a été mis sur pied en partenariat avec un certain nombre d'organisations différentes, y compris le gouvernement de l'Assam, le World Wildlife Fund et le ministère indien de l'Environnement et des Forêts, avec le soutien de diverses organisations locales.

Le but du programme est d'atteindre, d'ici 2020, un total d'au moins 3.000 rhinocéros unicornes sauvages, installés dans l'une des 7 zones protégées de l'Assam.

Le Parc national de Manas est doté d'outils essentiels pour construire et entretenir ses infrastructures ainsi que d'un système de surveillance fiable pour assurer la protection des rhinocéros.

Pour atteindre l'objectif visé de 3.000 rhinocéros protégées, il est essentiel de surveiller attentivement les nouveau-nés, ainsi que les nouveaux arrivants (adultes)au parc... Car à cause de la forte demande de cornes de rhinocéros, le braconnage continue d'être la plus grande menace pour les populations locales.

A noter, cependant : A la dernière réunion de la CITES (mars 2013) plusieurs gouvernements se sont engagés à prendre des mesures contre les pays ne faisant pas suffisamment d'efforts pour stopper le commerce illégal de l'ivoire et des cornes de rhinocéros.

Encourageons les mesures prises, en soutenant tous les intervenants qui travaillent à la protection et au sauvetage des rhinocéros.



CLIQUEZ ICI pour signer le manifeste de soutien
Il suffit d'indiquer votre prénom et nom (First and last name) et votre adresse mail (Email) et de cliquer sur Sign Petition...


FORCE CHANGE 4/4/2013

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Le Rhinocéros indien (Rhinoceros unicornis) est un rhinocéros unicorne présent en Asie. C’est la plus grande et la moins rare des trois espèces que compte le continent. Ce mammifère vit plus particulièrement au nord de l’Inde et au Népal.

C'était jadis un animal très répandu, mais la chasse et le développement de l’agriculture ont entraîné l’effondrement de sa population, qui ne comptait plus que 100 à 200 animaux au début du xxe siècle. Protégé à partir de 1910, le rhinocéros indien a pu augmenter sa population, qui comptait environ 2 500 individus en 2006 et 2 700 en 2010. Un cinquième des rhinocéros sont confinés dans dix petites réserves, dans le nord de l'Inde et au Népal. Presque tous les autres vivent dans les 860 km² du parc national de Kaziranga.

Une mère et son petit, au zoo de Nuremberg -
Photo : Jo Oh GNU Free Documentation License / Wikipedia


Ce rhinocéros d’apparence «préhistorique» possède une peau épaisse brun-argenté, avec des plis énormes aux épaules et aux cuisses. Les pattes et les épaules antérieures sont couvertes de sortes de verrues. L’animal possède des poils très courts et dispersés sur le corps. Ils forment une petite touffe à l'extrémité de la queue.

Les mâles adultes sont plus grands que les femelles. Dans la nature, avec une longueur de 370 cm (maximum 380 cm) pour le mâle en-dehors de la queue (330 cm pour la femelle), une hauteur au garrot de 180 cm, exceptionnellement 200 cm (160 cm pour la femelle) et un poids allant de 1,7 à 2,7 tonnes (1,6 tonne pour la femelle), le rhinocéros indien constitue la plus grande des trois espèces de rhinocéros d’Asie. En captivité, les mâles et les femelles atteignent des poids beaucoup plus importants (jusqu’à 3,5 tonnes).

Mâles et femelles ont une corne unique, qu’on ne trouve pas chez les jeunes. La corne, comme les cheveux humains, est en kératine pure. Elle commence à apparaître vers l’âge d’un an. Elle atteint une longueur comprise entre 20 et 60 centimètres, dépassant toutefois rarement 50 cm.

Le rhinocéros indien est un herbivore. Il mange de l’herbe, des fruits, des feuilles, des plantes aquatiques, et même parfois des plantes cultivées par l’homme. Dans le parc népalais de Chitawan, une étude de Laurie en 1978 a montré qu’il consommait 183 espèces de plantes, les espèces herbacées représentant 70 à 89 % de sa consommation. Sa lèvre supérieure est préhensile et aide l’animal à attraper sa nourriture. Les incisives pour couper les végétaux sont bien développées.

Il peut courir jusqu’à une vitesse de 55 km/h, sur de courtes distances. Ses pattes en pilier ont trois doigts chacune. Il a une excellente ouïe et un très bon odorat, mais sa vue est assez mauvaise. L’espérance de vie est de 30 à 40 ans, avec un record enregistré en captivité de 47 ans.

Le rhinocéros indien préfère les paysages de plaines et de marais ouverts avec une densité forestière faible. Forcés à se retirer devant la poussée des hommes, certains rhinocéros indiens se sont mis cependant à habiter la forêt. Les rhinocéros indiens sont surtout actifs dans la soirée, la nuit et tôt le matin. De par leur adaptation aux milieux marécageux, ils sont une espèce plus attirée par l’eau que leurs cousins africains, et nagent assez bien. Ils aiment en particulier les bains dans les marécages, lesquels ont entre autres pour fonction de les enduire d’une couche de boue les protégeant contre les parasites de la peau. Toujours dans le cadre de la lutte contre les parasites externes, Rhinoceros unicornis accueille volontiers sur son dos des oiseaux insectivores, comme ses cousins les rhinocéros africains.

À l’exception de l’homme, Rhinoceros unicornis n’a pas vraiment de prédateur, si ce n’est le tigre qui attaque parfois des jeunes non gardés, voire, très exceptionnellement, des adultes. Les animaux sont par contre régulièrement victimes de diverses maladies, en particulier parasitaires.

Les rhinocéros indiens vivent presque toujours en solitaire, bien qu'assez rarement on puisse trouver de petits groupes stables de 2 ou 3 individus (en-dehors de la mère et de son petit). Le record enregistré en 1983 était de 6 subadultes vivant régulièrement ensemble. On trouve de façon temporaire des associations plus larges, jusqu’à une dizaine d’animaux. Sauf ces cas particuliers, chaque animal a son propre territoire, qui peut cependant recouper celui d’autres rhinocéros.

Les marquages olfactifs par le biais d’une odeur présente dans l’urine et dans les excréments sont un instrument de communication entre individus vivant sur des territoires proches, tout comme les cris, dont il existe plusieurs variétés. Grâce à ces interactions, les animaux définissent leurs territoires, et peuvent éviter ainsi leurs congénères, mâles et femelles ne se rencontrant normalement que pour s’accoupler.

Rhinocéros indien au zoo de Whipsnade - Photo : Alison Wheeler Creative Commons Attribution-Share Alike 2.5 Generic / Wikipedia

Il est rare que les rhinocéros indiens se battent entre eux. Cependant, les femelles avec des nouveau-nés se montrent particulièrement agressives envers des intrus de leur propre espèce, voire envers les grands mâles et les hommes. On a également noté une tendance à l’augmentation des combats entre mâles (parfois mortels) là où les populations sont les plus denses.

La reproduction peut avoir lieu toute l’année. Les mâles peuvent se reproduire à neuf ans. Les femelles atteignent la maturité sexuelle à quatre ou cinq ans. La femelle siffle pendant ses chaleurs pour que les mâles sachent quand ils peuvent la rejoindre. Après l’accouplement, la gestation dure entre 462 et 491 jours (environ 16 mois) et les premières mises bas ont lieu entre six et huit ans. La mère donne naissance à un petit unique pesant entre 40 et 80 kg, mesurant de 96 à 122 cm de long et 56 à 67 cm au garrot. La parturition se fait debout ou couchée, et se déroule généralement rapidement, en une trentaine de minutes. Le petit est allaité régulièrement pendant un an, puis de façon plus ponctuelle jusqu’à 18 mois. Il reste ensuite quelque temps auprès de la mère, qui le chasse au plus tard une semaine avant la naissance du petit suivant. Il y a une naissance environ tous les 3 ans.


Le poids augmente rapidement, puisque le petit pèse environ dix fois son poids de naissance à l’âge d’un an (du moins en captivité, où les croissances sont nettement plus rapides). Il prend pendant les premiers temps 2 à 3 kg par jour (toujours en captivité). Le jeune mesure dans la nature environ 1 mètre à 1 an (56 à 67 cm à la naissance), 1,20 m à 2 ans, 1,35 m à 3 ans et 1,45 m à 5 ans. Les croissances en poids et en tailles enregistrées dans les zoos sont sensiblement plus rapides, du fait de la nourriture plus abondante. Un jeune mâle du Zoo de Bâle faisait ainsi 1,57 m à l’âge de 33 mois.


WIKIPEDIA avril 2013

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Au xixe siècle, quand l’espèce était déjà devenue rare du fait de la destruction de son habitat, le tourisme de chasse est devenu très populaire chez les Européens. Ceux-ci pourchassèrent les derniers rhinocéros. Vers le milieu du xixe siècle, certains officiers britanniques affirmaient en avoir tué plus de 200. En outre, le gouvernement colonial indien (britannique) accordait une prime pour chaque rhinocéros indien tué, ces animaux étant censés détruire les plantations de thé.

Aujourd’hui, le braconnage reste un grand problème, puisque la corne du rhinocéros indien est utilisée en Extrême-Orient dans la médecine traditionnelle chinoise, ainsi qu’au Yémen pour la fabrication des gardes de poignards traditionnels (le jambia) des classes dominantes. Les prix payés sont élevés, surtout pour des zones assez pauvres, au point qu’un trafiquant peut gagner jusqu’à 15 000 dollars pour une seule corne passée en contrebande en Chine (les braconniers eux-mêmes gagnent moins d’argent : aux alentours de 5 000 dollars vers 2000).

Avec l’accroissement du nombre de garde-chasse, l’Inde et le Népal essaient avec un certain succès de venir à bout de ce problème. Mais de 1986 à 1995, on estime qu’environs 500 animaux ont été tués illégalement (450 en Inde et 50 au Népal), d’après le rapport de l’UICN de 1997 citant Martin (1995) et Menon (1996). Entre 1998 et 2000, il y a encore eu au moins 34 bêtes abattues rien que dans le parc népalais de Chitawan, ou la situation semble cependant s’améliorer depuis une réorganisation.

Au début du xxe siècle, il ne restait pas plus de 100 à 200 rhinocéros vivants. C’est en 1910, alors que la disparition de l’espèce paraissait imminente, que la chasse fut interdite par le gouvernement impérial britannique et que furent aménagées des zones de protection. Les plus grandes se situent dans le parc national de Kaziranga, en Inde, et dans le parc national de Chitawan, au Népal. Aujourd’hui, il subsiste 1 500 rhinocéros indiens à Kaziranga, population qui s'est reconstituée à partir de la douzaine d'individus recensés en 1908. Il y en a 600 au Népal, essentiellement à Chitawan, où ils n’étaient qu’une soixantaine vers 1960, et environ 400 dans d’autres régions indiennes.

En Inde, les lois nationales sont complétées par des règlements régionaux, comme le Assam Rhinoceros Preservation Act de 1954 ou le Bengal Rhinoceros Preservation Act de 1932.


Wikipedia avril 2013

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La protection de l’espèce est un incontestable succès. À l’extrême limite de l’extinction au début du xxe siècle, l’espèce a opéré un spectaculaire rétablissement. De nombreux problèmes subsistent cependant. Outre le braconnage, déjà cité, le nombre total des animaux reste trop limité pour assurer la pérennité de l’espèce à long terme : il doit encore augmenter.

Les populations de rhinocéros indiens sont par ailleurs trop localisées, dans un nombre trop restreint de zones : quatre parcs nationaux concentrent plus de 90 % des individus, ce qui rend l’espèce très vulnérable à des problèmes locaux (épidémies, catastrophe naturelle, guerre, ...). La taille trop réduite de ces parcs explique la tendance régulière des rhinocéros indiens à sortir de leurs territoires réservés pour empiéter sur les zones humaines, dévorant les cultures et entraînant des conflits avec les agriculteurs.

Ces animaux migrants sont aussi plus facilement victimes des braconniers, les patrouilles anti-braconnage étant moins nombreuses à l’extérieur des parcs nationaux.

La rupture des échanges de gènes entre les différents centres de peuplement entraîne enfin des problèmes de consanguinité et de dérive génétique. L’enjeu des prochaines décennies serait donc d’augmenter le nombre et la taille des territoires où vivent les rhinocéros indiens, mais la croissance démographique humaine des régions concernées ne rend pas cet objectif aisé à atteindre.

Conscient du problème, les autorités népalaises mènent des opérations de translocation depuis 1986. Des animaux ont ainsi été transférés depuis le parc de Chitawan vers le parc national de Bardia, d’où les rhinocéros avaient disparu depuis des décennies. Treize animaux ont été relocalisés en 1986, 25 en 1991, 4 en 1999 et 16 en 2000. En 2003, le WWF a transféré de nouveaux rhinocéros du parc de Chitawan vers d’autres parcs du pays, comme le parc national de Sulkhlaphanta, afin d’améliorer l’emprise géographique de l’espèce.

Une tentative ancienne de réintroduction dans le parc pakistanais de Lal Sohanra semble être un échec. En 1982, le Népal a donné un couple au parc, mais celui-ci, toujours vivant, ne s’est pas reproduit. L’introduction d’au moins une femelle supplémentaire est envisagée.


Rhinoceros unicornis intéresse les parcs zoologiques depuis assez longtemps. L’impact sur des populations sauvages déjà très affaiblies fut négatif à l'origine, mais les prélèvements dans la nature ont cessé. Les élevages en captivité étant relativement productifs, ils représentent une garantie supplémentaire de survie pour l’espèce. Il existe un programme européen d’élevage (EEP) concernant cet animal, ce qui signifie que les zoos européens participant au programme échangent des reproducteurs, des informations sur les techniques d’élevage et de reproduction, et suivent l’arbre généalogique de chaque individu élevé pour éviter la consanguinité. Il y aurait en 2005 dans le monde environ 140 rhinocéros indiens élevés en captivité.


Aujourd’hui, le rhinocéros indien est le rhinocéros asiatique le moins rare, cependant, l'UICN et la CITES le considèrent encore comme menacé (classé dans la catégorie vulnérable).





WIKIPEDIA avril 2013

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Le parc national de Manas est une zone protégée située sur six districts de l'État de l'Assam en Inde. Ce parc national abrite notamment des tigres et des pandas rouges (Ailurus
fulgens
). Il est inscrit sur la liste du
patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1985 et a été considéré comme en péril de 1992 à 2011.
[/b]Le nom du parc vient de la rivière Manas qui tire elle-même son nom du dieu serpent Manasa. La rivière Manas est tributaire du Brahmapoutre qui passe lui aussi dans le parc national.

[b]Cette aire est protégée depuis le début du xxe siècle, elle était alors composée de deux Reserved forest, la Manas Reserved Forest et de la North Kamrup Reserved forest, protégées respectivement en 1907 et 1927. La famille royale de Cooch Behar et le Raja de Gauripur l'utilisaient comme une réserve de chasse. Le 1er octobre 1928, 360 km² sont regroupés en une seule entité qui obtient le statut plus protecteur de sanctuaire de chasse sportive (Game sanctuary).

De 1951 à 1955, le domaine est porté à 391 km². Il a été déclarée Tiger Reserve en avril 1973. En 1985, l'UNESCO l'inscrit sur sa liste du patrimoine mondial. En septembre 1990, le sanctuaire obtient, avec les Kahitama R.F., Kokilabarila R.F. et la Panbari R.F. qui le jouxte, le statuts de parc. Le 25 février 2008, la surface de la zone protégée a été portée à 950 km².

Une vue du parc national de Mans - Photo : daimalu Creative Commons Attribution 2.0 Generic / Wikipedia



Les prairies humides de Manas révèlent une grande biodiversité (Cerfs sambars, axis, cochons, Leopards, Civettes, etc... ©️ CERZA, Houssaye



WIKIPEDIA avril 2013

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L’IRF (International Rhino Foundation) est une organisation internationale agissant pour la protection des 5 espèces de Rhinocéros. Le projet IRV 2020 (mené conjointement par IRF, WWF India, USFWS et le gouvernement Indien) a pour but d’augmenter le nombre de Rhinocéros Indiens de 2 500 à 3 000 individus d’ici 2020.

Pour cela, il faut sécuriser les parcs nationaux mais aussi désengorger les réserves accueillant une trop grande population de Rhinocéros.

En 2007, les parcs nationaux Kaziranga et Pobitora possèdaient plus de 85% de la population mondiale de Rhinos Indiens. Cette forte concentration exposait plus encore l’espèce aux conséquences néfastes d’une éventuelle maladie ou des inondations. Bibhab Talukdar, responsable du projet, et son équipe ont ainsi transféré, en l'espace de 4 ans, un vingtaine de Rhinos des parcs Pobitora et Kaziranga vers le Parc National de Manas en y assurant leur protection.

Les premiers transferts ont débuté au printemps 2007 avec 2 mâles. Toutefois, le nombre de rhinocéros continue d'augmenter et il a été décidé de continuer les transferts dans la réserve de Manas qui peut encore accueillir d'autres animaux. La fondation a également pour but de trouver d'autres espaces à protéger pour y introduire également des rhinocéros.

L’équipe est constituée de 2 biologistes (pour la surveillance et l’étude des comportements), de vétérinaires (pour le suivie des Rhinocéros avant, pendant et après le transport), de personnes chargées de la logistique et du transport. De plus, près de 150 gardes seront recrutés pour la surveillance des Rhinocéros dans le Parc Manas.

Dans le cadre du programme «Rhino vision 2020», les infrastructures du Parc national de Manas ainsi que son système de surveillance ont été modernisés afin de permettre une meilleure protection des rhinocéros transférés. Il est primordial aujourd’hui de veiller à la sécurité des nouveau-nés, de leur mère et des autres rhinocéros vivant actuellement à Manas, afin de garantir à long terme une population stable de rhinocéros.

Le WWF et la Fondation Internationale du Rhino (IRF) sont enthousiastes à l’idée d’un partenariat avec le département des forêts de l’Assam, qui permettrait, dans les années à venir, de transférer à nouveau les rhinos à Laokhowa-Burachapori, leur habitat d’origine dans lequel ils ont été braconnés dans les années 80.

Le WWF et l'IRF, en tant que parties prenantes et partenaires du programme «Rhino vision 2020», continueront à soutenir le Département des forêts de l’Assam dans leurs efforts pour assurer un avenir sûr et sécurisé pour les rhinocéros répartis sur les différentes aires protégées du Parc.


CERZA avril 2013 - Actu Orange avril 2013

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