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Vanuatu : cyclone Pam dévastateur

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Le puissant cyclone Pam, de catégorie 5, menace l'archipel du Vanuatu dans l'océan Pacifique sud. La capitale Port-Vila est déjà confrontée à des inondations et des rafales de vent, ont indiqué vendredi les autorités.

Quatre provinces de cet archipel pauvre, de 270'000 habitants, ont été placées en alerte rouge par le bureau des catastrophes naturelles. Les services d'assistance craignent pour les personnes vivant dans des habitations précaires.


 Nature Reporter 12/3/2015


Une représentante de l'UNICEF, Alice Clements, a déclaré que Port-Vila ressemblait à une ville fantôme alors que tous les habitants se sont retranchés chez eux. "Les vents se sont vraiment renforcés, les palmiers sont secoués dans tous les sens et l'on commence à entendre siffler les rafales", a-t-elle déclaré. Elle estime désormais peu probable que le cyclone change de trajectoire et évite le pays. "Ces phénomènes sont très imprévisibles, mais l'oeil du cyclone ne va pas passer si loin, et même si l'on n'est pas directement frappé, l'impact va être très significatif", a-t-elle ajouté.

Le directeur de l'organisation Save the Children au Vanuatu, Tom Skirrow, a estimé que près de 50'000 enfants se trouvaient en danger dans cet archipel, où les deux tiers de la population vivent d'agriculture.

En Nouvelle-Calédonie, territoire français à 500 kilomètres au sud-ouest du Vanuatu, l'alerte cyclonique numéro un a été déclenchée vendredi à midi dans les îles Loyauté. Selon Météo-France, Pam devrait passer à 170 kilomètres à l'est de l'île de Maré, samedi dans la matinée.



Romandie 13/3/2015

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L'archipel du Vanuatu, dans le Pacifique Sud, a été balayé samedi par le violent cyclone Pam, accompagné de vents soufflant jusqu'à 340 km/h. Un premier bilan provisoire fait état d'au moins huit morts et d'énormes destructions. Mais on craint que le bilan soit beaucoup plus important.


 Weather News 13/3/2015


Romandie 14/3/2015

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Suva (Fidji) - Le cyclone tropical Pam, qui a frappé l'archipel du Vanuatu et touché également les îles Solomon, pourrait être l'une des pires catastrophes naturelles de l'histoire du Pacifique, a déclaré samedi l'Unicef Nouvelle-Zélande.

Bien qu'il soit encore trop tôt pour en être sûr, les premières informations indiquent que cette catastrophe naturelle pourrait être l'une des pires dans l'histoire du Pacifique, a écrit dans un communiqué Vivien Maidaborn, directrice exécutive de l'Unicef Nouvelle-Zélande.


 Sommer Titus 14/3/2015



Le cyclone, de catégorie 5, a frappé le Vanuatu vendredi soir et les premières informations font état d'important dégâts, y compris dans la capitale Port Vila, et de la probabilité de nombreuses victimes.  La seule force de la tempête combinée à des communautés qui ne sont tout simplement pas préparées à y résister pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour des milliers (de personnes) dans la région, selon le communiqué.

Les lignes électriques et les communications ont été coupées dans la majeure partie de l'archipel et l'aéroport de la capitale Port-Vila a été fermé. La principale préoccupation pour l'Unicef est désormais d'assurer le relogement des personnes touchées.

  Shery Lemmon 13/3/2015


La responsable des communications de l'Unicef pour la région Pacifique, Alice Clements, qui se trouve à Port Vila, a affirmé que la puissance de Pam avait été bien plus importante qu'annoncée et qu'il s'agissait d'une catastrophe pour le Vanuatu.  "J'ai vu les portes coulissantes de mon hôtel de trois étages être entièrement soufflées, c'était terrifiant", a-t-elle dit. Nous disposons d'informations venant des îles alentour faisant état également de victimes, mais nous attendons d'avoir une confirmation officielle là-dessus, ce serait une nouvelle très triste si elle se révélait exacte, a-t-elle ajouté.

 Abntelugutv 14/3/2015


Les agences d'aide humanitaire sont mobilisées et l'Unicef a précisé qu'elle collaborait avec les autorités du Vanuatu et des îles Fidji et Solomon pour offrir de l'aide.




Romandie 14/3/2015

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"Quinze ou trente minutes de terreur absolue." C'est ainsi qu'Alice Clements, une responsable de l'Unicef, a décrit le passage d'un cyclone de catégorie 5 (la plus élevée) sur l'archipel de Vanuatu, dans le Pacifique Sud, dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 mars. Le bilan provisoire est d'au moins huit morts et d'une vingtaine de blessés, selon le directeur de l'organisation Save the Children. Mais les agences humanitaires redoutent des pertes bien plus lourdes et le président Baldwin Lonsdale appelle à l'aide internationale.

 Des bateaux échoués à Port Vila, au Vanuatu, après le passage du cylcone Pam, le 14 mars 2015. ( AP / SIPA )

"Nous avons pu voir des victimes, (il y a) potentiellement un nombre important de victimes, mais nous ne savons pas encore" quelle est l'ampleur du bilan, avait indiqué un peu plus tôt Sune Gudnitz, chef du bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (Ocha) dans le Pacifique. L'ONU dispose d'informations non confirmées selon lesquelles 44 personnes auraient péri dans une seule des provinces du Vanuatu.

Le cyclone a traversé la principale île de l'archipel, où habitent plus de 65 000 personnes, et un groupe d'îles situées plus au sud et qui comptent 33 000 habitants. Avant l'arrivée de Pam, quatre provinces de cet archipel pauvre de 270 000 habitants avaient été placées en alerte rouge par le Bureau des catastrophes naturelles. Mais le cyclone a changé de direction à la dernière minute, passant bien plus près de la capitale, Port-Vila, que ce qui était prévu.

 ©️ UNICEF Port-Vila pendant le cyclone PAM

Le vents ont soufflé à 330 kilomètres/heure. Au cours de la nuit, l'administrateur de la page Facebook Humans of Vanuatu a écrit : "C'est vraiment très mauvais. Le vent hurle sans arrêt. Toute personne qui n'est pas à l'abri à l'heure actuelle est en danger de mort ".

"Bien qu'il soit encore trop tôt pour en être sûr, les premières informations indiquent que cette catastrophe naturelle pourrait être l'une des pires dans l'histoire du Pacifique", affirme dans un communiqué Vivien Maidaborn, directrice exécutive de l'Unicef Nouvelle-Zélande.

L'étendue des destructions est impossible à évaluer précisément samedi, les communications ayant été coupées dans une grande partie du Vanuatu.

"Ce matin, c'est un spectacle de dévastation totale ici", décrit Tom Skirrow, de l'organisation humanitaire Save The Children, parlant depuis Port-Vila. "Les maisons sont détruites, les arbres sont au sol, les rues sont bloquées et les gens errent dans les rues à la recherche de secours", ajoute-t-il. Voici une vidéo des dégâts, diffusée sur le site de nos confrères de la chaîne 1ère.

 euronews 14/3/2015


Francetv info 14/3/2015

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Le Vanuatu a décrété l'état d'urgence dimanche après le passage dévastateur du cyclone Pam dans l'archipel du Pacifique Sud, où des villages entiers ont été rasés. Selon l'ONG Oxfam, jusqu'à 90% des habitations de la capitale Port Vila ont été endommagées.


 LoneWolf Sager 14/3/2015


"Les gens n'ont pas d'eau, pas d'électricité; la situation est désespérée actuellement", a décrit Alice Clements. "Les gens ramassent les fruits qui sont tombés à terre, puis ils passeront aux racines et après cela, ils n'auront plus rien".

Le cyclone s'éloignait vers le sud dimanche. Les alertes cycloniques ont été levées en Nouvelle-Calédonie, pour laquelle, selon Météo France, Pam ne représente plus une menace.

La Nouvelle-Zélande s'apprête à en subir les effets à son tour. Les autorités néo-zélandaises ont invité la population à se préparer à des vents violents, à de fortes pluies et à une mer agitée.


Appel à l'aide internationale


Baldwin Lonsdale, président de l'achipel de 270 000 habitants, a lancé samedi un appel pressant à une aide internationale d'urgence devant la conférence de l'ONU sur la réduction des risques de catastrophes naturelles, qui se tenait au Japon et à laquelle il participait.

"J'en appelle, au nom du gouvernement et du peuple du Vanuatu, à la communauté mondiale pour nous tendre la main en réponse à ces calamités qui nous ont frappés", a déclaré Baldwin Lonsdale.

Le Royaume-Uni a promis deux millions de livres (2,8 millions d'euros), l'Union européenne un million d'euros, la Nouvelle-Zélande 730 000 dollars. L'Australie a annoncé une aide de 5 millions d'AUD (3,6 millions d'euros) et le déploiement d'équipes pour participer aux opérations de secours.

La conseillère pour la sécurité nationale du président Barack Obama a assuré sur Twitter : "Nous serons là pour eux". Et le président François Hollande a affirmé que les autorités françaises "répondront aux demandes d'assistance du Vanuatu".

Une équipe de l'ONU est attendue sur place. Les agences humanitaires espèrent pouvoir commencer à livrer de l'aide d'urgence par avion, lorsque l'aéroport de Port Vila aura été rouvert. France24


Romandie 15/3/2015

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Le Vanuatu a décrété l’état d’urgence dimanche après le passage dévastateur du cyclone Pam sur cet archipel du Pacifique Sud, où des villages entiers ont été rasés dans l’un des pires désastres météorologiques jamais survenu dans la région. Le Bureau national des catastrophes a confirmé que six habitants avaient été tués par le cyclone alors que l’ONU avait fait état de la mort non confirmée de 44 personnes dans cet archipel aux 80 îles, l’un des pays les plus pauvres du monde.


 Photo (c) World Vision


Les autorités tentent d’évaluer l’ampleur des dégâts tandis que le bilan humain était impossible à déterminer précisément, 48 heures après le passage de Pam, un cyclone de catégorie 5 - la plus élevée - avec des rafales dépassant 300 km/h. Les six victimes, confirmées, ont toutes été tuées à Port Vila, la capitale de l’ancien condominium franco-britannique des Nouvelles-Hébrides. Le Bureau des catastrophes a dit s’attendre à une aggravation du bilan.

[...]Baldwin Lonsdale, président de l’achipel de 275.000 habitants, a évoqué sur la BBC, la voix brisée par l’émotion, un « monstre qui a dévasté notre pays ». « La plupart des bâtiments ont été détruits, de nombreuses habitations ont été détruites, des écoles, des cliniques ont été détruites », a-t-il ajouté depuis le Japon, où il participe à la conférence de l’ONU sur la réduction des risques de catastrophes naturelles.

 Photo (c) World Vision


Le directeur pour le Vanuatu de l’ONG Save The Children, Tom Skirrow, a décrit le spectacle « d’une dévastation totale ». « Les maisons sont détruites, les arbres sont tombés, les routes sont bloquées et les gens errent dans les rues, cherchant de l’aide ».

« Nous voyons des maisons et des villages entiers qui ont été entièrement emportés », a ajouté Chloe Morrison, porte-parole de l’ONG World Vision. « Ces maisons étaient des constructions plutôt fragiles qui n’avaient aucune chance de résister devant un cyclone de catégorie 5 ». « Les gens n’ont pas d’eau, pas d’électricité, la situation est désespérée actuellement », a-t-elle expliqué.



Les ONG humanitaires craignent en particulier que la nourriture ne manque et soulignent que les conditions sont difficiles dans les centres d’hébergement d’urgence. « Dans la plupart des centres d’évacuation, de nombreux femmes et enfants sont entassés comme des sardines, alors les questions de santé et de sécurité vont être primordiales dans les semaines à venir », a dit Nichola Krey (Save the Children).

Malgré tout, l’aide internationale commence à arriver en réponse à l’appel pressant lancé la veille par le président Londsdale :

- Un avion militaire australien a pu atterrir sur l’aéroport de Port Vila, avec à son bord de la nourriture, des abris d’urgence et des médicaments. 

- Un avion militaire néo-zélandais a apporté des vivres.

- Tandis qu’un appareil français chargé de matériel de secours est parti de Nouméa (Nouvelle-Calédonie).

Face au désastre, la France, l’Australie et la Nouvelle-Zélande coordonnent leurs moyens d’assistance : la France doit évaluer la situation tandis que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui envoient en tout quatre avions, vont répondre aux besoins prioritaires de la population, selon Paul-Marie Claudon, directeur de cabinet du haut-commissaire de la République française à Nouméa.


Les Echos 15/3/2015

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Les vents ont dépassé les 330 km/h et les vagues ont atteint les 7 mètres de haut. Le Vanuatu, l'un des pays les plus pauvres du monde, a été balayé, samedi 14 mars, par le cyclone Pam. Classé catégorie 5 (la plus élevée), le phénomène météo a semé la désolation.

Le bilan provisoire s'élève à huit morts, mais toutes les agences humanitaires redoutent des pertes bien plus lourdes. D'après des images partagées par un vidéaste amateur de la capitale, Port Vila, presque tous les arbres sont à terre et quasiment tous les édifices ont subi des dégâts.



"Le vent hurle dans ma chambre. Là, je suis dans la salle de bain. Je tiens mon dos contre la porte. J'écoute le son qui provient du toit et je tiens le coup désespérement", a témoigné Alice Clements, responsable de l'Unicef au Vanuatu. Une responsable de la Croix-Rouge sur place indique que la capitale manque déjà de riz et de nourriture en général.

Ironie du sort, le président de l'archipel, Baldwin Lonsdale, était au Japon pour participer à un sommet sur les catastrophes naturelles. "Je vous parle aujourd'hui avec le cœur lourd. Je ne connais pas encore l'impact du cyclone Pam sur Vanuatu. Aujourd'hui, on appelle à l'aide", a-t-il déclaré.

Dans un communiqué, François Hollande a adressé "son soutien à la population et aux autorités". Et d'ajouter : "Cette tragédie démontre, une fois de plus, l'urgence de lutter contre les dérèglements climatiques et d'aider les plays les plus vulnérables a y faire face".


Francetv info 14/3/2015

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Un premier avion militaire chargé de matériel de secours a décollé dimanche en début d'après-midi de Nouméa.

Le bilan est toujours incertain mais le temps presse. Des premières cargaisons d'aide humanitaire ont commencé, dimanche 15 mars, à être acheminées vers le Vanuatu. Les autorités y ont décrété l'état d'urgence après le passage dévastateur du cyclone Pam, qui a fait au moins huit morts, rasé des milliers d'habitations et rompu partiellement les communications au sein de cet archipel du Pacifique. Le bilan, qui fait aussi état de 20 blessés, risque de s'alourdir alors que les autorités ne parviennent toujours pas à entrer en contact avec les îles reculées de l'archipel.

 Un habitant du Vanuatu constate les dégâts après le passage du cyclone Pam sur l'archipel du Pacifique, le 14 mars 2015. (UNICEF PACIFIC / MAXPPP)

Les Nations unies doivent dépêcher sur place dimanche une équipe de neuf membres chargée d'effectuer une première évaluation des dégâts après le passage de ce cyclone de catégorie 5, le niveau maximal, qui, à son paroxysme, a recouvert entièrement l'archipel sur les images satellites tout en le balayant avec des rafales de vent supérieures à 300 km/h.

Un premier avion militaire français chargé de matériel de secours a également décollé dimanche en début d'après-midi de Nouméa à destination de Vanuatu,  indique le haut-commissariat de la République. "L'avion militaire de type Casa contient notamment un groupe électrogène, des rations de vivres, un transmetteur, un véhicule, un officier du génie militaire, un membre de la sécurité civile de Nouvelle-Calédonie et un membre de la Croix Rouge", précise-t-il.

La France, l'Australie et la Nouvelle-Zélande coordonnent leurs moyens d'assistance. "C'est une réponse articulée avec nos alliés qui est en train de s'organiser. La France va se charger de l'évaluation sur place, et l'Australie et la Nouvelle-Zélande, qui envoient en tout 4 avions sur zone, vont répondre à des besoins prioritaires de la population" ajoute le haut-commissariat de la République

Selon lui, la priorité est "de dresser un état des lieux" des dommages et d'avoir "une vision plus précise des besoins locaux", alors que l'évaluation complète des dégâts dans cet archipel de plus de 80 îles risque de prendre plusieurs jours. La Communauté du Pacifique (CPS), principale organisation régionale de développement, va en outre financer la prise d'images satellites du Vanuatu, pour avoir une interprétation plus précise du sinistre sur les zones reculées.

Le président Baldwin Lonsdale, qui se trouvait au Japon pour une conférence sur les risques naturels au moment du passage du cyclone, a appelé le monde à "tendre sa main" au Vanuatu. Il devait tenter de rentrer dans son pays ce dimanche.

Francetv info 15/3/2015

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Le président du Vanuatu a appelé à l'aide la communauté internationale lundi après le passage dévastateur du cyclone Pam sur cet archipel du Pacifique Sud. Les associations humanitaires éprouvent pour l'heure les pires difficultés pour secourir les habitants.

 (c) Un pont et une route effondrés aux alentours de Port-Vila, le 15 mars 2015 (conséquence du cyclone). (c) Photo Unicef / Getty images

Baldwin Lonsdale, président de ce pays parmi les plus pauvres du monde, a expliqué, la voix étranglée par l'émotion, que les besoins étaient immenses. Le cyclone de catégorie 5 - la plus élevée - a ravagé l'archipel de 270'000 habitants vendredi, accompagné de rafales de vent supérieures à 320 km/h.

 euronews 15/3/2015


D'après le Bureau des Nations unies de la coordination des affaires humanitaires (BCAH), neuf pays du Pacifique ont été secoués par le cyclone à des degrés divers: outre le Vanuatu, les îles Salomon, Kiribati, Fidji, Tuvalu et la Papouasie-Nouvelle Guinée.



Romandie 16/3/2015

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Plusieurs associations, et même des particuliers, organisent des collectes de dons pour venir en aide au Vanuatu, archipel voisin de la Nouvelle-Calédonie, violemment frappé par le cyclone Pam.

La Croix Rouge (délégation de Nouvelle-Calédonie) a envoyé quelqu’un à Port Vila pour évaluer les besoins des populations et cibler au mieux les dons. Pour l’instant les dons d’argent serait donc les plus adaptés (voir page Facebook). Toutefois, le local de l’organisation à Koné accueille déjà les dons en nature: (Tel 44 50 84). La nourriture non périssable,  des produits comme les bougies et les piles et tout ce qui peut servir d'abri comme des tentes ou des bâches sont les bienvenus...

Les associations Saint-Vincent de Paul et le Secours Catholique ont fait part de leur intention de s’associer aux actions de la Croix Rouge. Une réunion est en cours pour établir les modalités de ce partenariat. Autre organisation, l’Unicef, qui a lancé une campagne de don sur son site internet

Les communes se mobilisent aussi. A Dumbéa, un centre de don sera ouvert dès mardi à partir de 8h à la médiathèque. Par ailleurs, la ville qui est jumelée à Port-Vila va attribuer une aide exceptionnelle sous forme de subvention à la Croix Rouge.

Une jeune femme a réussi à obtenir 500 kg de fret sur un vol Aircalin à destination de Port-Vila. Un appel aux dons est donc lancé...

Mobilisation aussi de l’association Solidarité Tanna qui organise des collectes dans plusieurs lieux à travers le Territoire. La liste entière est disponible sur leur page Facebook, mais sachez que si vous êtes en brousse, vous pouvez faire vos dons dans les stations-services. Tout sera rapatrié à Nouméa en fin de semaine.

Les artistes ne sont pas en reste puisqu'une grande journée de solidarité est organisée à la Bibliothèque Bernheim le samedi 21 mars de 9h à 16h. Le dimanche 22, ce sont les meilleurs joueurs calédoniens de tennis qui seront sur les courts pour la bonne cause au Ouen Toro. Pour plus d’information sur ce tournoi, vous pouvez appeler le 75 07 89.

Enfin bien sûr, il faut être très prudents avec tous les appels aux dons qui vont apparaître sur les réseaux sociaux sans être clairement identifiés, attention aux éventuelles arnaques...


Appel aux dons de la Croix Rouge pour Vanuatu



Nouvelle Calédonie 1ère 16/3/2015

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Alors que toute l'attention se porte sur le Vanuatu dévasté par le "monstre PAM", plusieurs associations humanitaires, comme Plan International Australia, tentent d'alerter le monde sur les dégâts occasionnés par le cyclone Pam sur les archipels "oubliés" du Pacifique Sud.

Cette association humanitaire a publié des photos des dégâts occasionnés par Pam à Tuvalu et à Kiribati. Enele Sopoago, Premier ministre de Tuvalu, a déclaré sur Radio New Zeland International que " 45% de la population des Tuvalu, ont été touchés, gravement touchés...De nombreuses habitations ont été entièrement détruites sur ces deux archipels dont on connaît le niveau de pauvreté...


 Photo ©️ PLAN INTERNATIONAL AUSTRALIA Tuvalu...

Colin Tukuitonga, Directeur général de la CPS (Communauté du Pacifique Sud) a déclaré que son organisation pouvait à tout moment dépêcher des équipes à Vanuatu, à Kiribati, à Tuvalu et aux Îles Salomon, en fonction des besoins que communiqueraient leurs gouvernements respectifs après le passage de ce violent cyclone.

Kiribati, qui souffre déjà depuis plusieurs années de la montée des eaux due au réchauffement climatique, est dans une situation très critique après le passage de Pam. Les cultures vivrières ont été noyées sous les pluies diluviennes du puissant cyclone.

  Photo ©️ PLAN INTERNATIONAL AUSTRALIA

L'Est des Salomon a aussi été frappé par le cyclone Pam, plus particulièrement Tikopia où des habitants ont été sérieusement blessés par des chutes d'arbres ou les débris de leurs habitations...

Un important élan de solidarité commence à se mettre en place pour venir en aide au Vanuatu, ancienne colonie franco-britannique (indépendante depuis 1980) dévastée après le passage du "monstre" selon le terme utilisé par le Premier ministre vanuatais.

 Photo ©️ Plan International Australia Kiribati...

Mais les autres archipels voisins de la Nouvelle-Calédonie ne doivent pas pour autant être oubliés, c'est en tous cas le message que plusieurs organisations non gouvernementales tentent de faire passer auprès de la communauté internationale.



Nouvelle Calédonie 1ère 16//2015

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Le gouvernement a décidé de porter secours au plus vite aux Vanuatais sévèrement touchés par le cyclone Pam. Un avion avec des vivres a été dépêché sur place, une frégate est partie et une collaboration est envisagée à moyen terme.



L’archipel du Vanuatu a été dévasté par le terrible cyclone Pam. Le premier bilan établi par l’ONU fait état d’au moins 46 morts, et sur place, plus de 90% des infrastructures ont été ravagées par ce phénomène naturel d’une rare violence. La France, à l’instar de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, s’est empressée d’envoyer des secours.

 Les associations internationales expliquaient n'avoir aucun moyen de distribuer les vivres dans les îles les plus reculées. Selon elles, il faudra des jours pour réussir à atteindre chaque village rasé par la tempête. UNICEF PACIFIC / AFP

Un avion a décollé depuis Nouméa (Nouvelle-Calédonie). Des militaires français sont chargés de vivres et emportent un groupe électrogène et un véhicule tout-terrain en direction de Port-Vila, la capitale.

 Plusieurs pays, dont la France, ont déjà promis une aide humanitaire pour l'archipel. L'aide française est organisée depuis la base militaire de Papeete, à Tahiti. GREGORY BOISSY / AFP

"Une frégate est partie", ajoute George Pau-Langevin, ministre des Outre-mer contactée par France 3. "Nous allons participer à la reconnaissance internationale des besoins du Vanuatu. C’est une collaboration à moyen terme, il y a des liens très étroits entre la Nouvelle-Calédonie et le Vanuatu".


Francetv info 16/3/2015

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Le cyclone qui a frappé de plein fouet le Vanuatu en plein océan Pacifique est le plus puissant depuis 2006. "C'est un monstre. Plus fort encore que celui qui avait frappé les Philippines il y a deux ans", s'exclame le journaliste météo de France 2.




Le cyclone a été exceptionnel, il avait un niveau de 5 sur 5 sur l'échelle de Simpson, avec une pression en son centre de 900 hectopascals, des vents moyens de 270 km/h avec des rafales allant jusqu'à 330 km/h. Il a ensuite poursuivi vers le sud, en perdant en intensité. Il a été rétrogradé en catégorie 4, puis 1 dans les prochains jours.

Dans l'œil du cyclone, tout est calme. Tout autour, "c'est l'enfer", assure le journaliste. Il y avait des torrents de pluie, une houle très forte. Résultat, les îles sont ravagées, les bâtiments en dur sont très durement touchés. "C'est bien un cyclone exceptionnel", conclut-il.


Francetv info 14/3/2015

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Le climatologue Jean Jouzel analyse pour francetv info le passage dévastateur du cyclone Pam sur l'archipel du Vanuatu.

"Un monstre" a frappé l'archipel du Vanuatu. Alors que l'aide internationale s'organise, l'état d'urgence est toujours en vigueur dans cette nation du Pacifique Sud, deux jours après le passage du cyclone Pam, dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 mars. Les vents supérieurs à 300 km/h ont dévasté l'archipel, faisant au moins six morts et trente blessés, selon un premier bilan officiel.

 Les vents supérieurs à 300 km/h ont dévasté l'archipel du Vanuatu, entre le 13 et le 14 mars 2015, comme ici sur la plage de Port-Vila, la capitale. (KRIS PARAS / REUTERS)

Pour mieux comprendre la puissance de ce cyclone, francetv info a interrogé le climatologue Jean Jouzel, vice-président du Groupement d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec).

Francetv info : Pam était classé en catégorie 5, la plus élevée de l'échelle de Saffir-Simpson, lorsqu'il a frappé l'archipel. De tels cyclones sont-ils fréquents ?

Jean Jouzel : Non, la catégorie 5, où les vents peuvent atteindre 300 km/h, est assez rare. Le dernier cyclone de ce type, survenu dans cette région, remonte à 2010. En 2013, il y a eu le typhon Haiyan aux Philippines, mais si vous regardez dans le Pacifique Sud, ce n'est pas très répandu. Ils apparaissent tous les cinq ans environ.

Francetv info : Pensez-vous, comme le président du Vanuatu, Baldwin Lonsdale, que le réchauffement climatique a contribué à ce désastre ?


Jean Jouzel : Au Giec, nous restons très prudents sur ce point car il est très compliqué d'attribuer les grands cyclones au réchauffement climatique. Il y a des régions où ces phénomènes météorologiques s'intensifient, mais pour l'instant, c'est surtout le cas dans l'Atlantique. Ce qui est clair, c'est qu'il y a un lien entre la force des cyclones et la température de la surface de l'océan. En effet, si on simplifie, ce qui fournit l'énergie, et donc la force du cyclone, c'est l'évaporation de l'eau. Plus sa température est élevée, plus il y a de la vapeur et plus les nuages sont chargés d'énergie. Or, c'est cette énergie qui crée les vents et occasionne les dégâts. Dans les Vanuatu, on a eu trois éléments qui se sont conjugués : les vagues, la vapeur d'eau et le vent.

Francetv info Pourquoi est-ce si difficile d'établir un lien entre réchauffement climatique et cyclones ?


Jean Jouzel : Ce genre de cyclone est un événement rare, donc il ne suffit pas de dire que la température des océans se réchauffe pour l'expliquer. Il faudrait davantage de recul dans les études, car nous ne disposons que d'une cinquantaine d'années de données, ce qui n'est pas suffisant. Pour attribuer un phénomène au réchauffement climatique, il faudrait savoir le caractériser sur une période antérieure à la révolution industrielle. On sait que les températures n'ont jamais été aussi chaudes qu'actuellement, mais pour les cyclones, on n'a pas ce recul. Y avait-il des cyclones de catégorie 5 dans cette région il y a deux cent ans ? On ne sait pas.

Francetv info Mais le réchauffement climatique risque tout de même de jouer un rôle sur ce genre de phénomène ?


Jean Jouzel : Cela dépend des régions. D'après les projections du Giec, si on a un réchauffement de l'ordre de 4°C à la fin du siècle, il y a un risque que les cyclones les plus violents deviennent encore plus intenses, à la fois en puissance de vents mais aussi en quantités de précipitations. Ainsi, la force des vents pourrait augmenter de 10% et atteindre 330 km/h au lieu des 300 km/h que l'on connaît actuellement. Et les précipitations pourraient augmenter, en volume, jusqu'à 20% à la fin du siècle. Or, c'est cela qui provoque les dégâts. Du coup, certains spécialistes songent à créer une nouvelle catégorie. En revanche, il n'y a pas de projections sur l'augmentation du nombre de cyclones en raison du réchauffement.

Francetv info Comment les régions concernées peuvent-elles se préparer à ces phénomènes météorologiques ?

Jean Jouzel : La préparation se fait d'abord grâce à la prévention. Aujourd'hui, dès qu'un cyclone est annoncé, les prévisions météo sont assez précises pour que les populations soient prévenues à l'avance. Malheureusement, pour l'archipel du Vanuatu, il y a eu une déviation de Pam au dernier moment. Il faut aussi adapter les constructions dans les zones à risques, notamment sur les régions côtières plus sensibles aux grosses vagues qui déferlent. Il faudrait que les populations puissent se réfugier loin de ces zones. Mais on voit bien la difficulté qu'il y a de résister à des vents de 320 km/h !


Francetv info 16/3/2015

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Alors que se profile une véritable catastrophe humanitaire, la désolation règne au Vanuatu ce lundi 16 mars, trois jours après le passage d'un cyclone dévastateur. Pam est présenté comme l'une des pires catastrophes de l'histoire du Pacifique. Ses vents de 350 km/h et ses pluies diluviennes ont détruit beaucoup d'habitations et d'infrastructures.

Certaines Vanuatais essayent déjà de reconstruire leur frêle maison. Mais les rescapés ont besoin d'aide. Ils n'ont plus ni abris, ni eau potable.



Les premiers secours, en provenance d'Australie et de France, sont arrivés hier. Officiellement, on déplore six morts et 30 blessés, mais ce bilan va s'alourdir. Beaucoup d'îles de cet archipel très pauvre sont encore coupées du monde.

Tim Nelson, de l'association Save the children, confie à France 2 : "On commence seulement à savoir ce qu'il se passe là-bas. Je pense que nous allons avoir un travail absolument colossal". Le président du Vanuatu, Baldwin Lonsdale, appelle la communauté internationale à l'aide après le passage de ce qu'il appelle le "monstre Pam".


Francetv info 16/3/2015

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Les Nations unies font état d’un bilan de onze morts au Vanuatu, ce pays insulaire du Pacifique sud, après le passage du puissant cyclone Pam. Ce bilan, qui décomptait 24 morts, a été revu à la baisse.


 CNN 16/3/2015


Le Bureau onusien de la coordination des affaires humanitaires a déclaré mardi que le bilan précédemment annoncé était erroné.




NHK WORLD 17/3/2015

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Port-Vila (Vanuatu) (AFP) - Les habitants du Vanuatu pourraient rapidement manquer de nourriture après le passage dévastateur du cyclone Pam qui a fait au moins 24 morts, des dizaines de blessés et des dégâts considérables sur cet archipel du Pacifique Sud.


  20Minutes 16/3/2015


Sciences et avenir 16/3/2015

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TANNA (Vanuatu) (AFP) - Des îles du Vanuatu durement touchées par le cyclone Pam attendaient mercredi de recevoir de l'aide humanitaire, mais des zones reculées de l'archipel du Pacifique Sud restaient coupées du monde, cinq jours après le passage dévastateur de la tempête.

Les associations d'aide internationale font face à un casse-tête logistique pour desservir l'archipel aux 80 îles, l'un des pays les plus pauvres de la planète. Les pistes d'atterrissage manquent, de même que les ports en eau profonde. L'ampleur des destructions et des besoins restent en grande partie inconnueLe Premier ministre Joe Natuman a prévenu qu'il faudrait au moins "encore une semaine" avant que la situation ne s'éclaircisse.

 Une femme et son enfant devant leur maison endommagée durant le passage du cyclone Pam à Port-Vila, le 17 mars 2015 (c) Afp

Le Vanuatu et ses 270.000 habitants ont été balayés vendredi par le cyclone Pam, une tempête de catégorie 5 sur 5, avec des rafales dépassant les 320 km/h. Le Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) a revu son bilan humain à la baisse, faisant état de 11 morts au lieu de 24.

Port-Vila, la capitale, sur l'île d'Efate, a été fortement touchée par le cyclone, de même que les îles méridionales de Tanna et Erromango, selon les ONG et l'ONU. 

"A Tanna et Lenakel, la capitale de la province, 70% des logements sont endommagés", a dit à l'AFP Tom Perry, de l'association CARE. Sur la côte nord-est de Tanna, la localité de Waesisi était "totalement inondée et endommagée à 100%", a-t-il dit. "Plus aucun bâtiment n'est debout". Selon un photographe de l'AFP parvenu sur Tanna, les cocotiers ont été sortis de terre comme de vulgaires cure-dents, les puits ont été ensevelis par des glissements de terrain et les médecins travaillent dans des pièces au sol recouvert de débris.

Les îles d'Anatom, Aniwa et Futuna, également dans le sud de l'archipel, ont été en revanche moins fortement touchées, selon l'ONU.

Les équipes de secours ont réussi pour la première fois mardi à gagner Tanna, où vivent 30.000 personnes, et d'autres vols étaient attendus mercredi. Un ferry chargé de vivres devrait accoster jeudi. L'aide, fournie par des ONG comme Oxfam et l'armée australienne, comprend des médicaments, de l'eau, des bâches et des équipements sanitaires.

Mais nombre d'îles restaient hors de portée pour les secouristes. Les équipages à bord de vols humanitaires ont vu des habitants demander de l'aide, a raconté Colin Collett van Rooyen, d'Oxfam. "Les gens avaient peint des grands +H+ blancs au sol pour signifier qu'ils avaient besoin d'aide (Help en anglais)", a-t-il dit. "Sur Tongoa, les gens tendaient des miroirs pour faire comprendre également qu'ils avaient besoin d'aide".

Même si le bilan a été revu à la baisse, les ONG s'inquiètent des risques de maladies dus à la contamination de l'eau et à la destruction des installations sanitaires, et des risques de pénurie alimentaire. "Les ignames pourrissent dans la boue. Il n'y a plus de bananes, plus de fruits, rien. Pam a tout pris", se lamentait Philemon Mansale, chef d'une grande famille qui habite Mele, tout près de Port-Vila.

Une équipe de la BBC parvenue dans l'île de Moso, dans le nord-ouest, a rapporté que les gens avaient commencé à boire de l'eau de mer, ce qui peut conduire à la déshydratation et à la mort. Il n'y a aucun commerce sur cette île et les cultures ont été balayées. Malgré tout, les habitants semblaient tenir bon. "Nous sommes tristes, mais avec les voisins, on s'assoit ensemble et ça nous rend heureux", expliquait Lida Chilia dans le village de Mele.

Plus de 3.300 personnes se trouvent dans 48 centres d'hébergement sur l'île d'Efate, selon l'ONU.

A Port-Vila, la distribution d'eau potable et d'électricité était en cours de rétablissement. L'ONG Telecoms Sans Frontières s'employait aussi à remettre sur pied le réseau de télécommunications dans cinq centres provinciaux de gestion des catastrophes, un travail qualifié par les Nations unies de priorité.

Les magasins ont commencé à rouvrir leurs portes et les habitants à reconstruire leurs maisons.

L'archipel prisé des touristes pour ses plages de sable blanc et ses eaux turquoise est habitué aux intempéries. Mais les anciens ont dit n'avoir jamais vu un tel désastre, déclarant que la tempête était pire que le terrible cyclone Uma de 1987, qui jusqu'à Pam demeurait une référence.

Le président Baldwin Lonsdale a estimé que le changement climatique avait aggravé la catastrophe. "Nous assistons à la montée du niveau de la mer, à la modification des schémas météorologiques", a-t-il dit.



Sciences et avenir 18/3/2015

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Une semaine après le passage du cyclone Pam sur l’archipel des Vanuatu, les habitants tentent de reconstruire.





Peu à peu, la vie quotidienne reprend. Une semaine après le passage du cyclone Pam, les habitants de l’archipel des Vanuatu, dans le Pacifique sud tentent de reprendre leurs habitudes de vie. Dans les villages, la boue, drainée par le passage du cyclone est encore présente. Les habitants continuent de déblayer les rues et de réparer les dégâts "L’eau nous arrivait là", explique Nuku Kalorib, une habitante, en indiquant ses épaules.


"On a mis nos enfants sur nos épaules, il était deux heures du matin, il faisait nuit. Le vent se renforçait, on a nagé jusqu’à l’autre côté", se rappelle-t-elle, au micro de France 2.

Dans l’archipel, tout le monde explique que si le cyclone a été si violent, c’est à cause du réchauffement du climat. Les habitants disent n’avoir jamais vu un phénomène d’une telle ampleur dans l’archipel.



Francetv info 21/3/2015

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