pacemaker91 0 Posté(e) le 16 mai 2012 Valras-Plage Battue à mort à 4 ans, elle n'osait même plus pleurerhttp://www.midilibre.fr/2012/05/16/battue-a-mort-elle-n-avait-que-4-ans-et-n-osait-meme-plus-pleurer,502109.phpRejugés, la mère de l’enfant et son compagnon ont dû retracer hier le calvaire infligé à Aliya, fillette battue à mort dans l’indifférence et morte en 2008 à Valras-plage. Aliya n'avait que 4 ans le 12 avril 2008, le crâne brisé, elle s'est effondrée, inconsciente, dans le minuscule appartement de Valras-plage. La petite fille ne se réveillera jamais du cauchemar qu'elle endurait depuis plusieurs mois.OAS_AD('Position1');cachePubVide('idPosition1');Trois gifles pour apprendre à compterSa mère, 30 ans, et le compagnon de celle-ci, 26 ans, jugés pour sa mort depuis lundi aux assises des P.-O., racontent que ce jour-là, l'accusé, légionnaire déserteur, venait de se lever vers 12 h 30. Il avait alors asséné trois gifles à l'enfant pour l'obliger à compter des abeilles sur son cahier de devoir.Intolérable : 92 lésions sur le corpsSur les murs, "absolument partout", sur sa petite chaise, les enquêteurs ont retrouvé de petites tâches rougeâtres "nettoyées". Et la liste des blessures relevées sur l'enfant est, elle, plus intolérable encore. Le corps et le visage tellement meurtris qu'ils en ont été rendus méconnaissables.D'un poids de 14 kg nettement inférieur à la normale. Avec pas moins de 92 lésions dont des brûlures de cigarettes, de multiples ecchymoses, un bras cassé, le pancréas fracturé, une dizaine de plaies sur la face et même les lèvres l'empêchant de se nourrir, et des hématomes cérébraux provoqués par des coups de pommeau de douche, à l'origine de sa mort.Au terme de plus de dix jours d'agonie, alors même qu'elle avait une chance de survivre. "Impressionnant, confesse l'expert légiste. Pour moi, elle était inconsciente au moins depuis la veille. Dans son état, elle ne pouvait pas parler".De véritables raclés à coups de poingCar, Aliya était battue tous les jours de manière de plus en plus violente. De véritables raclés à coups de poing et de pied. "Pour la punir de ses bêtises", "quand elle refusait de manger", "pour essayer de la cadrer", "quand il perdait le contrôle", "parce qu'elle était dissipée", ou le plus souvent "par jalousie quand elle se faisait câliner par sa mère".Un peu comme cet homme faisait souffrir le petit chien de sa mère quand il était enfant "parce qu'il ne supportait pas qu'elle lui donne de la tendresse". Et puis, il y avait la torture et le système de vidéo surveillance installé par le couple quand ils sortaient tous les deux. Elle avait interdiction de bouger du canapé même pour aller aux toilettes et était rouée de coups lorsqu'au vu de l'enregistrement, elle avait désobéi.La mère s'est tue jusqu'au dernier souffle de l'enfantPourtant, sa mère, "consciente de ces violences" n'a jamais rien fait pour mettre fin à ce calvaire. Elle se montrait "agressive", mais en restait aux "insultes". Elle ne l'a jamais emmenée chez un médecin. Elle se contentait de la soigner avec des pommades, de l'éosine et des granules d'Arnica, l'empêchait de sortir depuis un mois et demi et ne l'envoyait plus à l'école car les bleus "de partout" se voyaient trop et qu'elle avait "honte".Elle a refusé de confier la garde de la petite fille à son père et au frère jumeau de son compagnon. Et elle s'est tue jusqu'au dernier souffle de l'enfant. N'appelant les secours que lorsqu'il était trop tard."Il n'a pas maîtrisé sa force"Par indifférence pour sa fillette ? Par amour pour son bourreau ? Par peur d'aller en prison ? "Je lui pardonne. Il n'a pas maîtrisé sa force", explique-t-elle. "J'étais inconscient. Je ne voulais pas la tuer. Plus je me définis, plus je me dis que je suis un monstre. Je préfère ne pas en rajouter pour ne pas choquer les gens", lâche le père sans lever le regard. "J'ai l'impression qu'il est devenu fou, ajoute son jumeau. J'aurais tellement voulu qu'Aliya me dise quelque chose. Si j'avais su...".Si quelqu'un pouvait expliquer l'insupportable. Qu'Aliya, sans personne, sans même pouvoir se raccrocher à sa mère, son dernier espoir, continuer d'affronter la violence aveugle jusqu'au bout de ses forces. Qu'une petite fille, comme toutes les autres, "ni plus ni moins difficile" mais seule, avait, malgré la souffrance, fini par ne plus se plaindre et ne même plus oser pleurer. Jusqu'à mourir en silence.Le verdict est attendu aujourd’hui.(Source : L'Indépendant) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 mai 2012 http://www.sudouest.fr/2012/05/16/le-voisin-est-mort-depuis-des-mois-voire-des-annees-716257-7.phpBordeaux : le voisin est mort depuis des mois, voire des années Le père d'une résidente s'est trompé de porte et a fait la macabre découverte lundi soir. Un cadavre quasiment réduit à l'état de squelette gisait sur le sol.Il aurait eu 63 ans cette année. Jean-Marie Boudot est mort dans l'indifférence générale. Il y a des mois voire… des années. Sa dépouille a été retrouvée fortuitement, lundi, vers 20 heures, dans le petit studio qu'il occupait dans une résidence étudiante située au 6, rue Denise, à Bordeaux.Un père qui venait rendre visite à sa fille s'est en fait trompé d'étage et de porte. Au deuxième étage, sur la droite quand on emprunte l'escalier, celle du logement 32 était fermée mais pas verrouillée. Sûr de lui, le visiteur a ouvert, immédiatement assailli par une odeur putride.[b]Du courrier de 2009 Les rideaux n'étaient pas tirés et laissaient passer la lumière. Sur le sol gisait un corps presque réduit à l'état de squelette. Une vision d'horreur dont le père a tout de suite fait part aux pompiers et policiers. Rapidement sur place, les enquêteurs du groupe d'appui judiciaire ont su, au vu de l'état de décomposition du corps, que le décès remontait à plusieurs mois.Dans la petite pièce sommairement meublée, les policiers ont saisi des enveloppes posées sur une table. Ces derniers courriers datent de… 2009. Jean-Marie Boudot, si l'on considère que le squelette est bien celui de l'occupant des lieux, peut-il être mort cette année-là sans que personne ne le réclame ou ne s'inquiète ? Une autopsie ordonnée par le parquet doit être pratiquée aujourd'hui.« Quand je suis rentré vers 21 heures, les policiers étaient devant le studio », témoigne un locataire. François habite au 31. La porte, le mur d'à côté. Étudiant en première année d'école de commerce européenne, il est ici seulement depuis septembre. Il ne connaissait pas son voisin, chez lequel il dit n'avoir jamais entendu de bruit. Pourtant les murs sont fins.« Il y a beaucoup d'étudiants ici. Ça va, ça vient tous les ans. On ne se connaît pas bien. Juste bonjour, bonsoir. On a tous des horaires et des vies différentes. Ça ne m'a pas paru suspect de ne voir personne. » « C'est horrible », lâche Grégoire, également étudiant à l'école de commerce européenne. « Comment c'est possible que personne n'ait rien vu ? Ils faisaient comment pour le loyer et les factures ? Ils lui ont coupé l'eau ? L'électricité ? Et sa banque ? »« Personne ne s'est plaint » « Nous ne nous occupons que des parties communes », explique la responsable du syndic de l'immeuble, touchée par ce drame de la solitude. Le loyer de Jean-Marie Boudot était visiblement directement réglé au propriétaire par la Caisse d'allocations familiales, qui ne semble donc pas à jour de ses fichiers. « Nous n'avions aucune raison d'être alertés », poursuit la jeune femme. « Personne ne s'est jamais plaint de ce monsieur, personne n'a signalé une odeur dans le couloir ou une porte toujours close. »Depuis la rue, la porte sécurisée est cassée et laisse passer tout visiteur. Dans le hall, des rangées de boîtes aux lettres. Celle de Jean-Marie Boudot déborde de prospectus, de factures, de lettres de rappel. Un petit papier laissé par un huissier qui explique venir pour une saisie-vente mobilière afin de payer une créance. Et qui prévient qu'il se voit contraint de revenir prochainement, au besoin accompagné de la force publique.Les policiers sont venus plus tôt que prévu.[/b] Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 mai 2012 http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/30/1365585-noyal-sur-seine-nouveau-suicide-d-un-employe-de-la-poste.htmlUn postier âgé de 43 ans a mis fin à ses jours par pendaison, le week-end dernier, à son domicile à Rennes. Selon le syndicat SUD PTT, ce geste dramatique pourrait s'expliquer par des difficultés personnelles mais aussi professionnelles.Employé au centre de courrier de Noyal-sur-Vilaine depuis six ans, l'homme se serait suicidé pour des "raisons d'ordre privé" selon la direction du courrier Haute-Bretagne. Ce suicide n'aurait "aucun lien avec le domaine professionnel".De son côté, le syndicat SUD PTT a évoqué des problèmes personnels mais aussi sur son lieu de travail. La direction aurait notamment refusé "de lui accorder les congés auxquels il avait droit". L'homme avait également fait une demande de changement de service, mais celle-ci n'avait toujours pas été prise en compte, sans raison apparente.Une cellule de soutien psychologique a été mise en place mardi matin au centre de courrier de Noyal. Le syndicat SUD PTT a quant à lui exigé "la tenue d’un CHSCT extraordinaire dans les plus brefs délais". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 mai 2012 http://www.midilibre.fr/2012/05/30/a-12-ans-il-sauve-une-femme-de-la-noyade,508960.phpIl s’appelle Ryan, n’a que 12 ans et ce petit bonhomme a sauvé une mère de famille de la noyade. Il est environ 16 h 30, hier, au lieu-dit Réals, une base de canoé-kayak et un site de baignade prisé, au fil de l’Orb, en aval de la commune de Cessenon, à vingt kilomètres de Béziers. Une Cazouline de 52 ans, accompagnée de son fils, s’engage dans la rivière pour se rafraîchir.À cette époque de l’année, le courant est encore très fort et l’endroit est connu pour ses trous d’eau. La dame perd pied, avant d’être emportée soudainement par le bouillonnement de la rivière qui charrie 50 m3 à la seconde, au niveau de l’usine électrique. Sur la berge, Ryan s’aperçoit de la détresse de la quinquagénaire. N’écoutant que son courage, il se jette à l’eau. Il parvient à la ramener vers le bord. La dame est inconsciente et est prise en charge par des baigneurs.OAS_AD('Position1');cachePubVide('idPosition1');Mais Ryan, à son tour, est emporté par le courant de plus en plus fort. Les événements vont ensuite s’emballer. Un jeune homme, âgé de 18 ans, plonge pour tenter de sauver l’adolescent en perdition. Alerté par les cris, l’adjudant-chef Coquard, un gendarme de Clermont-l’Hérault, en repos, saute à son tour dans la rivière, rejoint le jeune majeur et l’aide à ramener le gamin vers la rive.Le garçon de 12 ans et la Cazouline sont alors pris en charge par les pompiers venus des casernes de Murviel-lès-Béziers et de Cessenon. Un hélicoptère des pompiers arrive sur place. Les gendarmes de Béziers interviennent également.La Cazouline a repris ses esprits mais se trouve en hypothermie. Le petit héros, lui, est blessé au genou et souffre de contusions occasionnées par les rochers affleurant.Les deux victimes ont été transportées au centre hospitalier de Béziers. Le sénateur maire de Saint-Chinian s’est rendu sur place et la sous-préfecture a été alertée de l’acte héroïque du gamin. Le sauvetage en cascade et l’implication de tous les témoins ont, sans aucun doute, évité un drame. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 mai 2012 http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/31/1365790-une-adolescente-de-13-ans-sauvee-de-la-noyade-par-les-pompiers.htmlUne adolescente de 13 ans a été transférée à l'hôpital, hier matin, après avoir été récupérée par les plongeurs des sapeurs-pompiers, en très mauvaise posture, dans les eaux de la Garonne.Hier, vers 9 heures, cette jeune collégienne se trouvait sur le Pont-Neuf. Elle a posé son sac au sol et a tendu son téléphone portable à un passant pour lui demander d'appeler sa mère. Au même moment, l'adolescente s'est jetée à l'eau sous les yeux de deux témoins.Les secours ont été très vite alertés et ont pu prendre en charge la jeune désespérée qui aurait pu se noyer. Consciente au moment d'être ramenée sur les berges, la collégienne inscrite en classe de 5e a été prise en charge, en premier lieu, à l'intérieur d'un véhicule d'assistance et de secours des pompiers, sur le parking Viguerie, non loin de l'Hôtel-Dieu. Dans un second temps, une équipe médicale du Smur s'est déplacée pour transporter la collégienne, indemne, à l'hôpital des enfants afin qu'elle y subisse des examens de contrôle.Dimanche, un homme est mort à l'hôpital Purpan après une chute depuis le Pont-Neuf, dans les eaux de la Garonne (notre édition de lundi). Une chute d'environ 12 mètres qui lui a été fatale.Des analyses sont toujours en cours pour savoir si sa chute accidentelle est liée à une absorption d'alcool. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 mai 2012 http://www.lavoixdunord.fr/region/m6-des-vacances-chez-les-ch-tis-tres-controversees-jna0b0n480980Dimanche soir, M6 a diffusé une édition de « Zone interdite » intitulée « Vacances en famille chez les Ch'tis ». Le reportage, suivi par 2,5 millions de Français (en 3e position derrière France - Islande et le film « Australia ») n'est pas passé inaperçu. Beaucoup de nos lecteurs se sont estimés choqués de l'image des gens du Nord. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 juin 2012 http://www.sudouest.fr/2012/06/01/une-jeune-femme-sauvee-dans-la-garonne-730455-2780.phpLéa, une Bordelaise de 20 ans, doit la vie à deux ouvriers qui travaillaient à proximité du miroir d'eau, face à la place de la Bourse. Il était 14 h 20, hier, lorsque ces deux ouvriers n'ont écouté que leur sang-froid et n'ont pas hésité à plonger dans les eaux tumultueuses de la Garonne pour repêcher la jeune Bordelaise, en état de choc, emportée par le courant.Léa, qui prend actuellement des antidépresseurs pour soigner son angoisse, s'était installée en début d'après-midi en bordure du fleuve, au niveau de la Cité mondiale, aux Chartrons. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 juin 2012 Pauvre débile qui se dit humoriste !http://www.midilibre.fr/2012/06/03/stephane-guillon-exige-que-l-on-ecarte-un-spectateur-handicape-de-sa-vue,511105.phpStéphane Guillon sur scène. (OLIVIER LABAN-MATTEI / AFP) L'humoriste Stéphane Guillon a été à l'origine d'un fâcheux incident avec un spectateur, lors de son spectacle du 26 mai dernier à Bastia. Corse Matin rapporte que l'ancien chroniqueur de France Inter a en effet demandé, avant le début du spectacle, que l'on déplace un spectateur en fauteuil roulant du premier rang de la salle vers les coursives du théâtre.Sur le groupe Facebook "Pour l'accessibilité des lieux publics corses en fauteuil roulant", Christian B. raconte s'être installé avec son accompagnatrice "sur le côté de la scène, là ou sont installés les PMR [Personnes à Mobilité Réduite – NDLR] habituellement". Le régisseur du spectacle de Stéphane Guillon ne tarde pas à aborder le spectateur, lui expliquant qu'il ne peut rester à sa place car "le fait que nous soyons au même niveau de la scène va troubler l'humoriste et lui faire perdre le fil de son spectacle".OAS_AD('Position1');cachePubVide('idPosition1');Un handicapé au 1er rang "peut empêcher les valides de rire"Après plusieurs minutes de discussions s'étant achevées par la menace par Guillon d'annuler le spectacle si Christian B. ne s'éloignait pas de sa vue, le spectateur handicapé est déplacé vers les coursives de la salle, "sur le côté de la scène, dans la pénombre, je m'y place, je verrais le spectacle de profil", à condition de pouvoir rencontrer Stéphane Guillon à la fin du spectacle.L'humoriste et sa femme Muriel Cousin ont alors demandé au couple s'ils avaient passé "une bonne soirée". Exigeant des explications, Guillon a affirmé que "dans ses spectacles, ayant un premier sketch sur les handicapés, aucune personne en fauteuil se trouve au premier rang", car cette présence "peut gêner les valides et les empêcher de rire".Contacté par Corse Matin, Stéphane Guillon a expliqué "qu'il voulait protéger cette personne et non pas l’éloigner de son regard. Cela a été interprété différemment, j’en suis désolé". L'affaire a néanmoins connu un très important écho sur les réseaux sociaus. Sur Twitter, Stéphane Guillon a notamment été distingué hier par un internaute du titre "le imbécile du jour". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 juin 2012 Florence Foresti vient de vivre une mésaventure qui n’a pas dû la faire rire du tout. Son domicile parisien été visité ce week-end et des biens de valeur ont disparu. Sale week-end pour Florence Foresti. Le domicile parisien de la jeune femme a été visité dans la nuit de samedi à dimanche selon une source policière. Les cambrioleurs se sont introduits sans effraction dans son appartement situé dans le 3e arrondissement de Paris et sont repartis avec près de 20 000 euros de bijoux appartenant à l’humoriste. Pour le moment, on ne sait pas si cette dernière était présente au moment des faits. L’enquête a été confiée au Service de l'accueil et de l'investigation de proximité (SAIP) du 3e arrondissement selon le Point. C’est un coup dur pour l’actrice à qui tout sourit pourtant en ce moment. Son dernier film, Hollywoo, dont elle est également co-scénariste, a fait plus de deux millions d’entrées au box-office et elle est en pleine préparation de son prochain spectacle Foresti Party, qui se jouera à la rentrée à Paris et Lyon. Son dernier spectacle, Mother Fucker, avait été sacré meilleur one man show aux Globes de Cristal 2011 et le DVD s’était classé dès sa sortie dans les dix meilleures ventes en France. Retrouvez cet article sur voici.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 juin 2012 http://www.midilibre.fr/2012/06/09/merci-a-tous-les-donateurs,514394.phpLes proches du garçonnet, qui a péri cet hiver dans un incendie, ont puisé du réconfort dans élan de solidarité exceptionnel. Ils tiennent à remercier "tous les donateurs", tous ceux qui se sont mobilisés.Mercredi 8 février, Orianne, 4 ans, périssait dans l’incendie accidentel de son habitation, au Rouet, près du Pic Saint-Loup, sur la propriété de ses grands-parents. Sa petite sœur, sauvée in extremis des flammes par son grand-père, vient tout juste de sortir du centre de soins de suite de Lamalou-les-Bains.La famille, qui panse ses plaies jour après jour, a été particulièrement entourée durant cette terrifiante épreuve. Une incroyable chaîne de solidarité s’est constituée spontanément au lendemain du drame.Claude et Michèle Salmon, les grands-parents, souhaitent, aujourd’ hui, remercier cette multitude d’anonymes. "Il est impossible de le faire individuellement. Environ 500 personnes ont assisté aux obsèques, plus du double a fait des dons.""Plus d’un millier de généreux anonymes"La famille a reçu des cartons pleins de vêtements, des fournitures scolaires, de la vaisselle, des meubles, de l’électroménager... Un habitant de Valflaunès prête même un toit à la maman et ses trois filles. Des dons anonymes ont été déposés sur un compte. Des chasseurs aux commerçants, des sages-femmes aux simples citoyens, tous ont donné plus qu’il n’en faut pour repartir de zéro."Chacun a fait selon ses moyens", explique le grand-père : une dame a offert un grigri, une autre un doudou ou encore des chocolats. "Nous avons rempli deux boîtes à chaussure de courriers." Autant de soutiens qui ont réconforté la famille dans ces pénibles moments.Outre les dons, la mobilisation spontanée de dizaines de bénévoles a aidé les proches d’Orianne à surmonter sa disparition. Des habitants de Viols-le-Fort se sont relayés pour s’occuper du troupeau de chèvres de Fabienne, la maman. Réquisitionnée au chevet de sa fillette, elle aurait été bien en peine de veiller sur le chevrotage. Elle se laisse un an de répit avant de reprendre la production de fromages.Greffe au visageClaude et Michèle Salmon n’en reviennent toujours pas de tant de générosité. "Une voisine nous apportait chaque soir un repas." Un habitant, connu au Rouet pour enlever le feu, a rendu visite chaque jour à la petite Cyanna durant son hospitalisation. D’abord plongée dans un coma artificiel puis placée en réanimation, la fillette a reçu une greffe au visage."C’est extraordinaire ce que le personnel soignant a fait pour lui éviter de souffrir", confie la grand-mère. Elle et sa fille se sont relayées au chevet de l’enfant jour après jour. D’autres ont conduit tour à tour la maman à l’hôpital. La maire de Notre-Dame-de-Londres, particulièrement mobilisée, a organisé le nettoyage du terrain. "Il ne reste plus une trace de l’incendie." Élus et secrétaires de mairie ont facilité les démarches administratives. Les pompes funèbres n’ont pas fait payer leur prestation.Du Gard à l’Aveyron, du campus de Supagro aux États-Unis, la générosité a fusé de partout. "On dit qu’on vit dans une société individualiste, cet élan de générosité est la preuve du contraire", affirme la grand-mère.La famille, à l’abri du besoin, est loin d’avoir fait le deuil. Voix nouée et regard embué, le couple confie n’avoir rien oublié du drame. "Ça tourne en boucle." Leur petit ange s’est envolé avant d’avoir soufflé ses cinq bougies. Personne ne l’oubliera jamais. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 juin 2012 http://www.lematin.ch/people/jerry-lewis-porte/story/27985866Le comédien et réalisateur de "Docteur Jerry et Mister Love", âgé de 86 ans, s'était écroulé mardi soir, dans sa chambre, alors qu'il devait assister à un événement en l'honneur de Tom Cruise au Friars Club de New York, a dit à l'AFP un porte-parole du club, Rob Goldstone.Une collaboratrice de Jerry Lewis Films, sa société de production basée à Las Vegas, a indiqué qu'il s'agissait d'un simple problème d'hypoglycémie, ce qu'a confirmé le porte-parole.Il a été conduit à l'hôpital "par précaution en raison d'un faible taux de sucre dans le sang", a indiqué M. Goldstone, ajoutant qu'il devait "sortir demain (jeudi) matin"."Il se porte bien, c'est juste une mesure de précaution", a assuré sa collaboratrice.Celle-ci a précisé que Jerry Lewis était à New York pour une série de répétitions d'une comédie musicale de Broadway sur laquelle il travaille, basée sur "Docteur Jerry et Mister Love", écrit et réalisé en 1963 puis l'objet d'un remake avec Eddie Murphy en 1996.Jerry Lewis était un des acteurs comiques les plus respectés dans les années 50 et 60. Il avait ajouté d'autres cordes à son arc, devenant aussi chanteur, écrivain, producteur et réalisateur. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 juin 2012 "La fille de la photo" sort du clichéhttp://fr.news.yahoo.com/fille-photo-sort-clich%C3%A9-045123743.htmlA QUOI TIENT LA FORCE D'UNE PHOTO ? A sa grâce, son magnétisme, son pouvoir d'interpellation ? D'où vient que, dans un déluge d'images, il en est une qui accroche le regard, imprime l'imaginaire et marque à jamais les mémoires ? Et comment expliquer qu'après avoir fait irruption dans nos vies son personnage central continue de nous hanter, qu'il devient familier et qu'on se l'approprie, qu'on se montre exigeant, qu'on souhaite entendre sa voix, donner à la photo une suite, une histoire, un destin ? Il nous a dérangés, fascinés, bouleversés ? Il n'a pas le droit de disparaître, il doit rendre des comptes ! Sa vie n'est-elle pas irrémédiablement liée à la nôtre ? Depuis qu'elle est enfant, Phan Thi Kim Phuc rumine toutes ces questions.Dans un hôtel de Toronto où elle s'apprête, ce 8 juin, à recevoir ses amis, la jeune femme, désormais canadienne, éternellement sourit. De ce sourire unique, bienveillant et radieux, qui réchauffe tous ses interlocuteurs et apaise leur gêne d'être accourus du monde entier pour la presser de questions. Elle sait leur gourmandise et leur curiosité. Cela fait quarante ans qu'elle vit avec l'une des photos les plus emblématiques du XXe siècle. Quarante ans qu'elle (...) Lire la suite sur lemonde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 juin 2012 http://www.ledauphine.com/france-monde/2012/06/25/30-ans-au-moins-requis-contre-les-parents-de-marinaL’avocat général Hervé Drevard a requis lundi au moins 30 ans de réclusion à l’encontre des parents de Marina, qui comparaissent depuis le 11 juin devant la cour d’assises de la Sarthe pour avoir torturé à mort leur fille de huit ans à l’été 2009.L’avocat général a laissé le choix aux jurés entre 30 ans de prison et la perpétuité. Il s’est dit plus favorable à une peine de 30 ans de réclusion criminelle avec une période de sûreté de 15 ans, mais a donné aussi la possibilité de la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de 18 ans à l’encontre des parents, qui sont jugés pour des actes de torture et barbarie ayant entraîné la mort de Marina à l’été 2009.Il a aussi requis 5 à 10 ans de suivi socio-judiciaire. "Les faits sont horribles, d’une horreur tout à fait exceptionnelle", a-t-il souligné dans son réquisitoire. Il a rappelé les "mensonges, manipulations des parents", la longue liste des tortures et humiliations infligées à la fillette dès son plus jeune âge. Les deux parents méritent la même peine, car "l’un sans l’autre il n’y a pas cette succession de sévices", a-t-il souligné.L’avocat général a estimé que "malgré cet acharnement, Marina n’aurait jamais dû mourir". Certains, comme les enseignantes qui sont à l’origine de la première alerte, ont su voir la détresse et les souffrances de la fillette. Mais l’enfant "n’a pas eu la protection qui lui était due", a-t-il ajouté, en soulignant "le manque de clairvoyance, de pugnacité des services chargés de la protection des mineurs, dans lesquels j’inclus bien évidemment le parquet"."C’est un échec éminemment douloureux pour nous", a-t-il dit. Les associations de défense des enfants, parties civiles au procès, ont affirmé que Marina aurait pu être sauvée de ses parents bourreaux si les administrations et institutions chargées de la protection de l’enfance avaient mieux joué leur rôle. L’association La Voix de l’Enfant va "déposer plainte contre X" à l’issue du procès, a d’ailleurs indiqué lundi lors de sa plaidoirie l’avocat de l’association, Me Francis Szpiner. "Un peu de compétence, un peu d’humanité, un peu de curiosité auraient peut-être changé la face des choses", a dit Me Szpiner."Comme si le sort s’acharnait, le système n’a rien fait" pour protéger Marina, avait pour sa part relevé Me Clémence Witt au nom de l’association Innocence en danger. Son confrère Me Pierre-Olivier Sur, plaidant pour la même association, avait pour sa part tiré à boulets rouges sur les "fautes de service de la gendarmerie" et les "fautes de service du parquet". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 juillet 2012 http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/25/1407066-russie-248-f-tus-humains-retrouves-dans-une-foret.htmlRussie. 248 fœtus humains retrouvés dans une forêtRussie. 248 fœtus humains retrouvés dans une forêt C'est un pêcheur qui a fait cette horrible découverte dimanche. Alors qu'il se trouvait dans une forêt de l'Oural, près du village d'Anik, en Russie, l'homme est tombé nez-à-nez avec quatre barils de plastique de 50 litres contenant 248 fœtus humains.Selon la police russe, ces fœtus seraient apparemment issus d'avortements. "Nous sommes en train d'enquêter sur la découverte. Nous attendons les résultats", a déclaré à l'AFP une porte-parole du parquet de la région de Sverdlovsk, sans plus de précisions.Les policiers auraient également découvert près des tonneaux des étiquettes portant les chiffres "40, 24, 27 et 14" qui pourraient être les numéros des hôpitaux ayant jeté ces fœtus."Selon les premières conclusions, au moins quatre hôpitaux peuvent avoir un rapport" avec cette affaire, a déclaré dans le communiqué le porte-parole de l'antenne locale du ministère, Valéri Gorelykh.Fœtus tardivement avortésPour Elena Mizoulina, présidente de la commission pour la famille, les femmes et l'enfance à la Douma, "la conclusion à tirer est qu'il s'agit des traces d'un commerce criminel" de fœtus.Elle indique également qu'entre « 5 et 6 millions d'avortements clandestins sont pratiqués tous les ans en Russie, clandestins, parce qu'ils sont faits au-delà du délai autorisé par la loi", c'est-à-dire au-delà de 12 semaines de grossesse.La taille des fœtus vient appuyer cette hypothèse : entre 10 et 15 centimètres, selon les médias russes, et les photos prises.Fins cosmétiques ?Elena Mizoulina a également dénoncé l'existence d'une filière clandestine en Russie, fournissant des fœtus tardivement avortés à des fins cosmétiques."Il n'est pas exclu que de crainte d'un contrôle, on ait voulu se débarrasser des preuves", a-t-elle ajouté.Selon les statistiques russes, 1,23 million d'avortements sont enregistrés tous les ans en Russie, un chiffre officiel déjà colossal comparé aux 1,7 million d'enfants qui naissent chaque année.La pilule contraceptive est toujours très peu répandue dans le pays, où elle n'a été autorisée qu'en 1991, au moment de la chute du régime soviétique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 juillet 2012 L'impossible deuil de l'accident de Beaune, 30 ans aprèshttp://www.laposte.net/thematique/actualites/france/article.jsp?idArticle=20120731111823-l-impossible-deuil-de-l-accident-de-beaune--30-ans-apres&idAgg=actu_franceCe 31 juillet, 53 ballons seront lâchés à Crépy-en-Valois (Oise), comme autant de victimes de l'accident de Beaune, il y a tout juste trente ans. Chaque année, les familles endeuillées et les élus de cette ville de 15 000 habitants à 65 kilomètres au nord de Paris se rendent à Beaune (Côte-d'Or) pour se recueillir sur le lieu du drame. A l'occasion des trente ans de la disparition des enfants, une messe a été organisée exceptionnellement.44 PETITS CERCUEILS ALIGNÉS À L'ÉGLISELe 31 juillet 1982, un accident sur l'autoroute A6 faisait 53 victimes. Parmi elles, 44 enfants de la région parisienne qui partaient en colonie. A 20 heures, les deux cars avaient pris la route depuis Crépy-en-Valois vers leur lieu de vacances, à Aussois, en Savoie. Il y avait beaucoup de monde sur la route et il pleuvait. Près de Beaune, un rétrécissement de chaussée provoque un ralentissement. Une collision se produit entre plusieurs voitures et les deux cars. Le réservoir d'un véhicule se perce, de l'essence se répand et s'enflamme. Quatorze enfants et l'un de leurs accompagnateurs parviennent à s'extirper du brasier.Ginette Berhamel, adjointe au maire de Crépy-en-Valois en charge des affaires sociales en 1982, confie passer encore des nuits blanches. A l'approche de la date anniversaire de l'accident, bien sûr, mais aussi à la rentrée scolaire ou à Noël. Car les enfants qui ont péri, elle les connaissait tous, elle dirigeait le centre aéré que beaucoup ont fréquenté en juillet, jusqu'au départ. C'est elle que la sous-préfecture a appelée pour la prévenir. Puis il a fallu se rendre sur place avec l'espoir, déçu, de pouvoir identifier les victimes, "mais il n'y avait rien à reconnaître". A l'époque, l'identification grâce à l'ADN n'existait pas. Puis il y a eu les funérailles et le souvenir de ces 44 petits cercueils alignés à l'église."ON VIT LE DRAME EN PERMANENCE"Marie-Andrée Martin a d'abord cru à une erreur. Elle s'est longtemps dit que ses trois enfants allaient revenir. Sylvie, l'aînée, a survécu. Trente ans après, cette petite femme vêtue de noir n'a pas fait le deuil de Bruno, Frédéric et Florence. A l'époque, aucune aide psychologique n'était mise à la disposition des familles. Pour Mme Martin, un hommage est nécessaire. "Je n'appréhende pas le 31 juillet, on vit le drame en permanence. Je ressens moins de douleur et de colère, le temps les atténue mais ne les efface pas."...Lire la suite sur LeMonde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 août 2012 http://www.midilibre.fr/2012/08/01/yazid-ou-l-histoire-du-heros-ordinaire-qui-a-sauve-denise-solidarite-l-samedi-l-octogenaire-se-fait-agresser-en-pleine-nuit-a-saint-martin-de-valgalgues-son-voisin-est-venu-a-son-secours,542345.phpIl y a des héros qui ont droit à des plaques, des livres et des récompenses. Et puis, il y a ces héros “ordinaires” qui en mériteraient autant, voire plus, mais qui restent finalement dans l’anonymat. Yazid, Cévenol de souche, appartient à la deuxième catégorie. Et modeste de surcroît : "Je n’ai rien fait d’exceptionnel. C’est normal, entre voisins"."Ils m’ont mis un coussin sur le visage"Samedi, un soir comme les autres à Saint-Martin-de-Valgalgues. Denise, 80 ans, s’endort comme à son habitude. Mais vers 4 h 30 du matin, elle entend du bruit dans la maison et son petit chien Whisky se met à aboyer. "Il essayait de me prévenir, mais j’ai cru que c’était mon fils." Au bout d’un moment, deux individus s’approchent de son lit et lui exigent de l’argent. L’octogénaire appelle alors à l’aide. "Ils m’ont mis un coussin sur le visage. Je n’arrivais plus à respirer, j’ai cru que j’allais y passer...""La police arrive, lâche le chien et prends mon fusil" C’est à ce moment-là, dans la maison d’à côté que Vanessa s’inquiète. "Je ne dormais pas car quand mon mari sort faire la fête, je ne me sens pas rassurée. J’ai entendu la voisine appeler et surtout son chien aboyer, j’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose..." Et en voyant des lampes torches par la fenêtre, elle prévient son mari Yazid, tout juste rentré de sa soirée, qui grignotait un bout.Yazid bondit hors de chez lui en criant : "La police arrive, lâche le chien et prends mon fusil." Les deux agresseurs prennent donc la poudre d’escampette. "J’ai un problème à la jambe, alors le temps que j’arrive au bout de la rue, ils étaient partis", explique le sauveur, presque avec déception. En allant réconforter Denise, les voisins se rendent compte que l’écran plasma a disparu. La télé sera découverte peu de temps après, derrière des buissons.Tout est bien qui finit bien. Surtout quand on pense que de nos jours, certains voisins ne connaissent même pas l’existence de ceux qui les entourent. "J’ai eu beaucoup de chance", raconte encore émue mais heureuse, Denise. Le fils de l’octogénaire, Claude, rassuré n’arrête pas de répéter depuis : "Si les gens pouvaient se rendre compte que la solidarité est la meilleure arme contre l’insécurité, le monde serait plus sûr..."Question héroïsme, Yazid, n’en est pas à son coup d’essai. Il avait sauvé deux enfants dans un incendie, il y a quelques années. Celui qui a aménagé à Saint-Martin depuis seulement un an est désormais le protecteur du quartier. Un héros ordinaire, qui maintenant sort un peu de l’anonymat. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 août 2012 http://www.maxisciences.com/bombe-atomique/il-y-a-67-ans-une-bombe-atomique-frappait-hiroshima-au-japon_art26060.htmlAujourd'hui, 6 août 2012, cela fait 67 ans jour pour jour que la bombe atomique s'est abattue sur la ville d'Hiroshima au Japon. Une catastrophe qui a fait plus de 140.000 victimes et que commémore chaque année le pays.C'était il y a 67 ans jour pour jour, le 6 août 1945, la ville d'Hiroshima connaissait l'une des plus graves catastrophes que l'Histoire ait jamais traversé. Une catastrophe cette fois-ci déclenchée par la main de l'Homme. En effet, alors que la Seconde guerre mondiale s'est achevée en Europe depuis plusieurs mois, le conflit fait encore rage dans la zone Asie-Pacifique. Pour y mettre fin, les Etats-Unis décident alors de larguer une bombe nucléaire sur la ville japonaise d'Hiroshima puis une seconde sur la ville de Nagasaki trois jours plus tard. Deux attaques qui vont faire plus de 100.000 victimes (le nombre de décès restant difficile à estimer) et rasé tout sur leur passage, marquant à jamais les mentalités. Aujourd'hui, c'est donc un bien triste anniversaire que commémore le Japon. Des dizaines de milliers de personnes se sont réunies pour rendre hommage aux victimes du bombardement atomique, alors que les autorités avaient comme chaque année organisé une cérémonie officielle. Des survivants, parents de victimes, membres du gouvernement et invités étrangers se sont ainsi rendus au Mémorial de la Paix où a retenti le carillon d'une cloche à 8H15 précise. Soit à la même heure, où 67 ans plus tôt, le bombardier américain Enola Gay avait largué la bombe baptisée Little Boy et sortie de la soute à près de 9.450 mètres d'altitude. Moins de deux minutes plus tard, elle explosait en plein vol à quelque 540 mètres de haut en plein coeur de l'agglomération, formant une énorme bulle de gaz incandescent.Emettant un puissant rayonnement thermique, la bombe a déclenché des incendies un peu partout, tandis que le flash provoqué a brûlé des centaines de personnes. Puis l'onde de choc est arrivée dévastant totalement l'agglomération. Aspirant de la poussière et des débris, le champignon a ensuite provoqué de gigantesques déplacements de masse d'air, créant une véritable "tempête de feu". Mais il fallut plusieurs heures aux autorités japonaises avant de savoir ce qu'il se passait réellement à Hiroshima et de découvrir le paysage de désolation laissé par Little Boy. Un premier aperçu très marquant de la puissance du nucléaire suivi d'un second avec le bombardement de Nagasaki qui a précipité la capitulation du pays. Une mobilisation anti-nucléaire de plus en plus importante Bien que le Japon commémore chaque année la catastrophe, depuis quelques temps, les cérémonies ont pris une ampleur encore plus grande. En effet, si Hiroshima était déjà la ville symbole de l'opposition à l'arme nucléaire, la récente catastrophe survenue à la centrale de Fukushima Daiichi n'a fait que renforcer le mouvement de contestation de cette énergie. Lundi, une des manifestations a ainsi vu se mélanger pas moins de 700 personnes avec parmi elles, des survivants d'Hiroshima et des habitants des environs de la centrale de Fukushima. Une mobilisation d'autant plus forte que le Premier ministre, Yoshihiko Noda, a décidé en juin de redémarrer deux réacteurs atomiques sur les 50 arrêtés suite à la catastrophe. Une décision qu'il a justifié par un risque de pénurie d'électricité mais qui est fortement critiqué depuis. "J'appelle le gouvernement à mettre en place sans délai une politique énergétique qui préserve la sécurité des habitants", a lancé pendant la cérémonie le maire d'Hiroshima, Kazumi Matsui cité par l'AFP. Ce à quoi le Premier ministre Noda a rétorqué : "nous mettrons en place une politique énergétique mixte, grâce à laquelle les gens pourront se sentir en sécurité sur le moyen et long terme". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 août 2012 http://www.midilibre.fr/2012/08/07/en-malaisie-une-fillette-de-3-meurt-apres-une-seance-d-exorcisme,545097.phpUne fillette de trois ans est morte étouffée lors d'une séance d'exorcisme en Malaisie, où sept membres de sa famille et une bonne se sont empilés sur elle, a-t-on appris mardi de source policière.Prévenue par un oncle de l'enfant, la police a fait irruption dimanche soir dans la maison de la famille, d'ethnie chinoise, dans la ville de Bukit Mertajam (nord), a indiqué à l'AFP le responsable de la police locale, Azman Abdul Lah. "Nous avons découvert huit personnes, dont une bonne indonésienne, allongées dans un lit sous une couverture. La victime était immobilisée sous la pile humaine. Elles étaient en train de psalmodier. La police croit qu'il s'agissait d'un exorcisme visant à chasser les mauvais esprits", a-t-il expliqué. Selon le quotidien malaisien The Star, le rituel durait depuis vingt heures quand la police est intervenue. Il incluait la mère, enceinte de trois mois, le père, la grand-mère, un oncle, une tante, deux cousins et la bonne indonésienne, âgés de 16 à 67 ans.La famille, dont la religion n'a pas été dévoilée, était connue dans le voisinage pour ses croyances dans les sciences occultes. Les affaires d'exorcisme ne sont pas rares en Malaisie, pays majoritairement musulman mais où perdure parmi une frange de la population un certain culte des forces surnaturelles.Ce cas faisait cependant particulièrement les choux gras de la presse locale après la révélation que la mère, une enseignante, avait été licenciée il y a quelques mois après avoir été accusée de faire du prosélytisme dans sa classe, selon des médias locaux. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 août 2012 horrible pour cette petite gamine de 3 ans Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 août 2012 http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/08/07/Faute-de-moyens-elle-dort-dans-son-magasinIsabelle Couture, atelier de confection et de retouches. La petite boutique, au 222, avenue de Grammont, ressemble à d'autres commerces de ce type. Pas vraiment pompeux. Vitrines obturées par un rideau désuet aux motifs papillons. A droite de l'atelier, une table avec une machine à coudre et des bobines de fil multicolores à foison.Sur les étagères qui grimpent assez haut dans le local d'environ 20 m2, sont entassées des centaines de coupons de tissus. Sur quelques casiers de fortune, Isabelle Douet, la couturière, a rangé des catalogues. Des revues avec des modèles pour ses clientes. Le problème est que ses clientes – « une majorité de personnes très âgées » concède-t-elle – ne fréquentent plus son échoppe depuis le début des travaux du tram. « L'accessibilité est trop compliquée pour ces personnes qui s'aident à la marche avec des cannes », explique-t-elle. Positionnée sur une niche bien précise de la confection, la modeste affaire d'Isabelle, qui s'est installée en 2007, a complètement périclité. Pour preuve, son chiffre d'affaires. En chute libre. « J'ai perdu 70 % de mon chiffre d'affaires depuis le début des travaux », assure-t-elle. Aussi modeste que fût ce chiffre depuis son installation – 20.000 € à l'année – il permettait à la couturière de vivre, voire survivre.« Je me suis mise à mon compte après plusieurs licenciements, une création de Scop. J'ai fidélisé une petite clientèle. Je pouvais payer le loyer de mon local, 150 €, l'assurance des commerçants, 400 € au mois, et le loyer d'un appartement en face, dans la rue », détaille la couturière.Aujourd'hui, lorsque le chiffre d'affaires dépasse les 500 €, c'est Byzance. Enfin, manière de parler. Car cette perte énorme de revenus ne permet plus à Isabelle de faire face. Faute de paiement, elle a été expulsée de son logement en octobre dernier. Sans logement social attribué, elle vit jour et nuit dans son petit atelier. Comment ? « Je me débrouille », répond-elle, essuyant subrepticement de grosses larmes qui jaillissent et roulent sur ses joues.Un point d'eau pour se laver, un réchaud pour mangerLe soir, lorsqu'Isabelle Douet baisse le rideau de fer, elle déplie un lit de camp, se fait cuire un peu des pâtes sur un petit réchaud. La toilette ? Avec un gant, au lavabo au point d'eau installé dans le commerce. Les toilettes ? Celles dans le couloir de l'immeuble d'à côté. « J'ai passé l'âge de vivre comme ça alors que je travaille, non ? », interroge-t-elle. « Je bénéficie de 113 € de RSA. L'assistante sociale qui s'occupe de mon cas m'a dit qu'à Tours, on ne me logerait pas », poursuit-elle. A moins peut-être, lui a-t-on laissé entendre, qu'elle cesse son activité. « J'adore mon métier, je n'ai pas envie de me retrouver entre quatre murs, ce métier c'est mon seul lien social, je veux continuer », assure-t-elle, décidée.repèresSeulement trois mois d'indemnisationEt cerise sur le gâteau, en marge de cette spirale ascendante, Isabelle vient d'apprendre le 19 juillet dernier par un courrier émanant du Sitcat, qu'elle ne percevra une indemnisation pour son commerce que sur une période courant du 1er septembre au 30 novembre 2011, trois mois en fait. La commission d'indemnisation amiable a rejeté les périodes de décembre 2011 à mai 2012. Un rude coup pour la couturière, dont le commerce a totalement régressé à cause des travaux, comme les autres commerces tourangeaux qui ont souffert et souffrent encore de cette pourtant inéluctable réalisation de la première ligne de tram de la ville. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 août 2012 http://www.lematin.ch/monde/faits-divers/garcon-neuf-ans-sauve-cinq-ans/story/11439697Vendredi dernier, le jeune intrépide s'est rendu compte qu'un autre enfant était immobile, à plat ventre contre le fond de la piscine: «J'ai cru d'abord qu'il jouait au jeu de l'apnée, mais ça durait trop longtemps», a-t-il raconté ensuite, selon le quotidien local, la Tribuna de Trevise, qui rapporte que Lorenzo fait du rugby et est un fan de Mickey.Faisant ni une ni deux, Lorenzo s'est aussitôt jeté à l'eau, a saisi le bras de l'enfant, pour le remonter. Puis, en deux brasses énergiques, il est arrivé à la surface et a hurlé à l'aide. Un maître nageur a aussitôt plongé et sorti de l'eau l'enfant qui était en train de suffoquer. Le garçonnet, très rapidement hospitalisé, a pu être sauvé. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 10 août 2012 http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/08/09/tout-le-monde-peut-sauver-une-vieBoris Robitaille est encore ému quand il en parle. Il a sauvé sa fille de la noyade, grâce à une formation de trois heures aux gestes qui sauvent. À l’époque, il n’avait qu’une dizaine d’années. « 20 ans après, j’ai su utiliser ces secondes plus que précieuses, affirme-t-il. Il ne faut pas avoir peur de mal faire le massage et le bouche-à-bouche, c’est toujours mieux que rien, sinon le cerveau manque d’oxygène et un instant après, c’est trop tard. Tout le monde peut sauver une vie, tout se joue à quelques secondes près. Trop de gens pensent qu’ils ne sont pas aptes », déplore-t-il.Une formation indispensableLes pompiers et le Samu sont arrivés cinq minutes après l’accident. Après trois semaines à l’hôpital, dont une dans le coma artificiel, Faustine, 16 mois, est en pleine forme. Elle n’a aucune séquelle.« Nos amis et nos voisins ont été très touchés par cette histoire. Ils ont mis des barrières et des protections autour de leur piscine. Et beaucoup comptent suivre une formation de premiers secours », ajoute-t-il.La crèche de Faustine a offert ce stage de quelques heures au personnel et aux parents, il y a trois semaines. « Je pense que les gens ne sont pas assez sensibilisés à ces gestes pourtant vitaux. Un enfant peut se noyer dans un seau ! » J’espère que cet incident incitera le plus de monde possible à apprendre les gestes qui sauvent », conclut Boris. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites