pacemaker91 0 Posté(e) le 20 décembre 2012 http://refuge-arpa.over-blog.com/article-19-decembre-2012-113624621.htmlAprès un mois sans électricité, l'ARPA vit à nouveau un véritable enfer grâce aux travaux de terrasssement et défrichage entrepris pour l'APAJH, acheteur du terrain. Du matin au soir, le parking est occupé par des camions, des grues, des pelleteuses et autres engins de chantier, rendant l'accès au refuge très difficile. Les employés ne peuvent plus garer leur voiture et ont dû récemment porter un chien, encore sous l'effet de l'anesthésie, à travers la boue et les fondrières. La terre tremble, les pelleteuses tournant à moins d'un mètre des murs du refuge, les grues transportant des troncs et de la ferraille survolent les cours où se trouvent les employés, les bénévoles et les chiens affolés par tout ce vacarme et cette agitation. Tout cela n'était encore rien jusqu'à aujourd'hui (19 décembre) où nous avons dû appeler les pompiers (4 camions). Juste derrière le bureau est apparue une flaque nauséabonde dont la puanteur âcre remonte par les canalisations provoquant chez certains chiens des crises d'épilepsie , chez les employés de fortes migraines et des vomissements, nous obligeant à évacuer les boxes intérieurs de toute urgence. Quel est le nom de l'entreprise responsable ? Quel interlocuteur trouvé à l'APAJH ? MYSTERE ?? C'est l'anonymat le plus total Nous craignons que tous les coups ne soient permis pour nous faire déguerpir le plus vite possible alors que rien n'est encore décidé pour notre relogement Merci l'APAJH ! Nous savons maintenant ce que veut dire être traité comme des chiens Irène BOUDSOCQ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 décembre 2012 http://www.leparisien.fr/essonne-91/ris-orangis-alerte-au-risque-chimique-19-12-2012-2420849.phpUn périmètre de sécurité encercle le refuge pour animaux de l’association Arpa à Ris-Orangis, sur le rond-point de la rue Pierre-Brossolette. Ce mercredi soir, une alerte au risque chimique a été déclenchée après que trois employés du refuge ont été incommodés par « une odeur âcre ». Sur place, une dizaine de camions et 37 pompiers, dont plusieurs de la cellule risque chimique de Viry-Châtillon, sont intervenus. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites