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Baïko

Akita inu

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Comme j'ai vu sur un autre post que des personnes s'interesse à l'akita inu, je crée ce post.

donc je rapelle (car je ne viens pas tous les jours parmis vous ) que j'ai moi-même un akita inu de deux ans (qui vient du même élevage que Angie de kasia).

que dire sur l'akita


le plus simple est que je fasse un copier-coller de la description qu'une poignée de personne (dont moi) avons fait pour notre forum :

SON HISTOIRE

Citation :
Au Japon, à partir du XVIIème siècle on vit apparaître dans de la région d’Akita, les chiens nommés « Akita Matagis ». C’était des chiens de moyenne taille utilisés pour la chasse à l’ours et autres gibiers principalement.


Ils ont été utilisés par la suite comme chiens de combat, pour rivaliser avec le Tosa inu (inu signifiant “chien” en japonais). La race a été alors modifiée pour devenir plus massive. Le type Matagi fut croisé avec des Mastiffs, des Tosas, et d’autres molosses. ce qui eu pour but d’alourdir le type matagi. On appela alors ces chiens “Shin Akita”


En 1908, les combats de chiens furent interdits et donc également le croisement des Matagis avec d’autres molosses. Tout fut mis en oeuvre pour améliorer la race avec l’objectif qu’elle devienne une grande race japonaise et ce fut confirmé en 1931 quand 9 chiens furent désignés “monuments historiques”. De même que 10 races furent alors consacrées monuments naturels dont l’Akita Inu.


Pendant la seconde guerre mondiale, il était d’usage de fabriquer vêtements et autres textiles en poil de chien, et toutes les races furent concernées par cette ”confection” sauf le Berger Allemand utilisé à des fins militaires. Certains essayèrent alors de contourner la loi, et croisèrent leurs Akitas avec des Bergers allemands.



A la fin de la seconde guerre mondiale, le nombre des Akitas était dangereusement réduit. On pouvait alors observer 3 types d’akitas bien distincts

Le Matagis Inu, type premier de l’akita, chien de chasse.


Le Shin Akita, issu des croisements entre Matagis / Molosses.



L’Akita croisé avec le Berger Allemand pendant la seconde guerre mondiale.


La situation de la race de l’Akita était donc plutôt critique…

On distinguait alors deux lignées, la lignée DEWA GO et la lignée ICHINOSEKI

Le plus connu de la lignée DEWA GO est le chien Kongo Go qui remportera un franc succès auprès des militaires américains. Cette lignée était caractérisée par une forte influence de Berger Allemand et de Mastiff, et les japonais lui préférèrent l’autre lignée pour essayer de travailler sur un type d’Akita plus Spitz et plus fin.



Les japonais parvinrent donc à stabiliser la race de l’Akita Inu telle que nous la connaissons aujourd’hui.



SON CARACTERE ET PHYSIQUE:
Citation :

première vue, il ressemble a une grosse peluche, ou alors on peut le prendre pour un husky…

Mais ne pas confondre…

L’Akita un chien pétri de subtilités, fascinant et intriguant. Il n’est en aucun cas à mettre entre toutes les mains.



L’Akita inu est un chien qui dès son plus jeune âge, doit être éduqué avec une ”main de fer dans un gant de velours”.

C’est un chien très fier, que certains pourraient même qualifier de snob…

Il est en règle générale assez réservé avec les étrangers, et ne se laisse pas caresser et approcher par n’importe qui. Il est même assez méfiant avec les gens qu’il ne connaît pas.



Même s’il ressemble pour certaines personnes à un husky ou un nordique, ce n’est pas un chien de traîneau, et l’Akita inu, sauf exception n’est pas un grand sportif…

Sa morphologie n’est pas adaptée pour tracter des traîneaux ou autres. Certains s’en sortent bien en Agility, mais ceux-ci restent très rares.



Le passe temps favori de l’Akita inu est…LA SIESTE ! C’est un chien très calme, limite “zen”, il s’adapte pour cette raison parfaitement à l’appartement, et peut même rechigner à sortir en balade, surtout s’il pleut !

Néanmoins en balade, à moins d’avoir un excellent rappel, il faut veiller à bien le tenir en laisse, car l’Akita inu est très peu sociable avec ses congénères, alors attention aux eventuelles bagarres, qui peuvent etre tres impressionnantes.

Il convient donc de bien l’éduquer, et de ne pas le lâcher dans les lieux ou il pourrait croiser d’autres chiens.

Et ceci qu’il soit mâle ou femelle…



Attention aussi à la campagne, l’Akita inu a gardé son instinct de chasseur, et gare aux animaux qui croiseraient son chemin.

Paradoxalement, l’Akita inu s’entend très bien avec les chats… d’où la description utilisée d’un “chien-chat” en raison de son “mode de vie” et de son délicat comportement à la maison.



C’est un chien peu aboyeur, il n’aboie qu’à bon escient. En appartement, il ne dérangera pas les voisins par des aboiements intempestifs. L’Akita réfléchit et adapte son comportement à la situation, il aboiera donc s’il estime utile de vous informer.



Le plus gros défaut de l’Akita inu, est qu’il est très têtu… de sorte que son éducation doit être prise en main très tôt, pour lui apprendre les règles et les bases de l’éducation, pour qu’il comprenne où est sa place dans la famille et qu’il assimile au plus tôt certains ordres de base comme le rappel.


Le rappel est le point faible de beaucoup d’Akita inu, ceux-ci étant tellement indépendants qu’ils adorent faire la sourde oreille et revenir quand bon leur chante…



L’Akita inu n’est pas un chien de meute, mais néanmoins il peut très bien vivre en couple.

On lui préférera des méthodes d’éducations douces, comme le “Cliker training” par exemple.

l’Akita Inu peut s’avérer extrêment “dominant”, et certains maîtres trop laxistes ou pensant avoir a faire à une grosse peluche peuvent alors se retrouver vite dépassés… attention à ne pas négliger son éducation.



C’est un chien puissant, il ne faut pas l’oublier…et très intelligent, il ne fait rien à la légère.

L’Akita inu est un excellent gardien, très dissuasif, et qui aime protéger sa famille.



Sa vocation première est la compagnie.



Si l’Akita est un chien au caractère pour le moins affirmé, il n’en est pas moins un être d’une sensibilité exacerbée. Plus peut-être encore que tous les autres chiens, sa sensibilité et son intelligence en font un animal qui ressent chaque chose.

Partout où vous irez il voudra venir avec vous, chaque fois que vous partirez il sera là et à chaque retour, il vous guettera. Un changement important dans votre vie n’echapera pas à sa sensibilité et pourrait le perturber. Accompagnez-le et il vous accompagnera.

De l’amour vous lui donnerez, au centuple il vous le rendra. Compagnon, ami fidèle jusqu’à son dernier souffle.



L’Akita inu présente 3 couleurs de robe : le bringé (qui peut être bleu ou roux), le roux et le blanc


L’Akita Inu naît parfois à poils longs.

ATTENTION ! Le poil long est un défaut de confirmation



car celui ci n’est pas toléré dans le standard de la race, de sorte que l’Akita inu poils longs doit être vendu moins cher que le prix dit “normal”.

Il n’en perd cependant pas son caractère et si vous ne pourrez pas faire d’expositions avec un Akita inu à poils longs, il n’en constituera pas moins un excellent chien de compagnie.


l‘Akita inu est doté d’une excellente fourrure qui lui sert d’isolant thermique. Son poil est auto nettoyant, et il ne nécessite pas beaucoup de bains, sauf si cela s’impose…

Il fait en général 2 grosses mues par an, qui sont assez impressionnantes… Tous ceux qui n’aiment pas les poils doivent le savoir, car même s’il perd un peu de poil toute l’année, lors des mues c’est vraiment énorme !

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SES MALADIES :

LE VKH :

Citation :

VKH sont les abréviations de Vogt-Koyanagi-Harada.

Le syndrome VKH est une maladie humaine. Ce nom est utilisé « vulgairement » pour décrire une maladie canine très proche du syndrome VKH rencontré chez l’Humain : cette maladie canine est le syndrome uvéo-dermatologique ; c’est-à-dire que c’est une maladie qui touche essentiellement les yeux et le système cutané.

Cette maladie a été décrite pour la première fois en 1977 au Japon par Asakura sur deux akita inu.

Elle touche principalement les races nordiques et japonaises et en particulier : Akita-Inu,Samoyède, Siberian Husky, Alaskan Malamute, Basenji et Chow- Chow. Quelques rares cas ont aussi été observés chez le Golden Retriever, le Setter Irlandais et le Bobtail.

L’apparition de cette maladie s’effectue généralement entre 13 mois et 6 ans mais la moyenne d’âge est de 2,8 ans. Mais des cas ont été recensés à partir de l’âge de 3 mois.

Chez l’akita, cette maladie est malheureusement de plus en plus répandue, il est donc important d’être bien informé pour réagir le plus rapidement possible face aux symptômes caractéristiques de cette maladie.

Description de la maladie

C’est une maladie auto-immune, c’est-à-dire un dysfonctionnement du système immunitaire de l’individu.

Le rôle du système immunitaire (organes + cellules + anticorps) chez le chien comme chez l’humain, est de détecter les particules ou organismes (virus, bactéries…) étranger à l’individu et de les détruire.Lors d’une maladie auto-immune, le système immunitaire reconnait des molécules ou des cellules de son propre organisme comme étrangère et les détruit.

Pour le syndrome uvéo-dermatologique, l’hypothèse admise par les scientifiques est que le système immunitaire des chiens semblent réagir contre la mélanine (molécule pigmentaire) ou des molécules présentent à la surface des mélanocytes (cellules sécrétant la mélanine) provocant la nécrose des tissus contenant de la mélanine tels que la truffe ou les babines. Les symptômes cutanés semblent résulter d’une extension du processus immunologique induit dans l’œil. .Il faut savoir que deux autres théories existent :
- Que ce syndrome serait une variante du vitiligo.

- Qu’un agent viral serait responsable d’une immuno-sensibilisation dirigées contre les mélanocytes.

Les phases de la maladie et les symptômes

Le syndrome se caractérise par une dépigmentation cutanée associée à une uvéitegranulomateuse. Les signes oculaires précèdent (de quelques jours à quelques mois) généralement les signes cutanés mais il arrive que les deux phases soient simultanées.

Signes occulaires :

Le premier symptome est une uvéite bilatérale : c’est une inflammation de l’uvée, qui est la membrane vasculaire de l’œil ; les 2 yeux sont touchés.

Cette première uvéite évolue rapidement en panuvéite (uvéite touchant à la fois l’iris, le corps ciliaire et la choroïde) qui va provoquer la fermeture de l’angle irido-cornéen (=angle que fait la périphérie de l’iris avec la partie superficielle du globe oculaire).

Puis, un glaucome (augmentation de la pression intra-oculaire qui provoque une dégénérescence des fibres optiques) apparait, puis une cataracte (opacification du cristallin) et finalement, la cécité peut apparaître provisoirement ou non.

Précisions sur les uvéites :
http://www.univ-st-etienne.fr/saintoph/finit/ophtal22/uveites2.htm
L’iris subit également une dépigmentation. .

Signes cutanés :

Il s’agit essentiellement de la dépigmentation de la truffe, des babines, des paupières, de l’anus et des coussinets.

Cette dépigmentation entraine souvent des lésions, des croutes et de l’érythème (= rougeur congestive de la peau, diffuse ou localisée, s’effaçant quand on appui dessus) surtout sur la truffe et les paupières.Cette dépigmentation peut s’étendre aux poils. De très rares cas on été décrit avec une dépigmentation totale du corps.Le plus souvent, il n’y a pas d’inflammation des zones dépigmentées. .

Signes généraux

L’état général du chien est altéré. Le chien est abattu et peut souffrir d’anorexie.

Le diagnostique

Il faut qu’il soit le plus rapide possible !!!!

La plupart du temps, le diagnostic se base sur la connaissance même de la maladie et des races de chiens qui sont le plus touchées.

Il faut savoir que tous les vétérinaires (même ceux spécialisé en ophtalmologie) ne connaissent pas forcément le VKH donc il ne faut pas hésiter à leur en parler !!! Ça évitera de passer de longs jours à chercher à calmer une « simple » uvéite alors que c’est du VKH en général que le chien est touché.

Alors première réaction face à de tels symptômes : aller consulter en urgence un vétérinaire ophtalmologiste ! .Le vétérinaire, même s’il connait le VKH, va faire un diagnostic différentiel pour éliminer toutes les autres maladies qui pourraient correspondre aux symptômes présents, tels que : un lupus cutané, un lupus érythémateux systémique, un pemphigus foliacé, un pemphigus érythémateux, un vitiligo ou une leishmaniose

Le vétérinaire effectue enfin des analyses histologiques à partir de biopsies cutanées réalisées sur les zones lésées à développement récent pour confirmer ou affirmer le diagnostic du VKH.

Traitement

Il doit être administré le plus tôt possible et même avant le résultat de la biopsie !!!!

Il ne permet pas de guérir du VKH car on ne peut pas guérir de cette maladie.

Le but du traitement est de permettre au chien de vivre le mieux possible et le plus longtemps possible avec cette maladie.

Il faut avoir à l’esprit que la seule issue de cette maladie est l’euthanasie du chien. Mais il faut garder espoir, car certains akitas ont vécu plus de 5 ans dans d’assez bonnes conditions de vie avec le VKH…

Le pronostic est réservé au niveau oculaire alors que la repigmentation cutanée est possible avec un traitement adapté.Le traitement doit être mis en place rapidement et de manière agressive. Une fois la cécité installée, le traitement des troubles oculaires devient illusoire. Il s’agit d’une urgence ophtalmique.

Le traitement consiste à l’administration d’immuno-suppresseurs qui réduiront la réaction auto-immune contre les mélanocytes. Ces médicaments affaiblissent beaucoup le système immunitaire du chien donc votre chien sera plus sensible aux agressions quotidiennes qu’à l’ordinaire. Ainsi, pour un chien atteint du VKH, un simple rhume sera une « grosse » maladie.

Voici quelques traitements pour diminuer l’action auto-immune :

–> Corticothérapie :L’utilisation de glucocorticoïdes par voie orale (prednisone, méthylprednisolone ouprednisolone) à la dose de 0,5-2 mg/kg BID par voie orale, est généralement nécessaire pourles lésions cutanées et oculaires. Après disparition des lésions, la dose peut être diminuée, bien qu’un traitement au long cours soit souvent nécessaire pour maintenir larémission.

-> Azathioprine : Utilisée à 2 mg/kg/j par voie orale, elle pourrait permettre une réduction des doses descorticoïdes. La posologie est ensuite progressivement diminuée après la guérison clinique(jusqu’à 0, 5mg/kg/j par voie orale). Chez certains patients, il est même possible d’arrêtercomplètement la corticothérapie et de se contenter de l’administration d’azathioprine

-> Association tétracycline/niacinamide : Elle semble donner de bons résultats

-> Cyclophosphamide : Un traitement au cyclophosphamide peut faire disparaître les signes cliniques maisengendre des cystites hémorragiques et prédispose l’animal aux cystites à Pseudomomasaeruginosa. Ces cystites peuvent être évitées par l’administration concomitante decorticoïdes. En effet la polyuro-polydipsie engendrée permet d’éviter ce genre decomplications (ECHOLS, 1994).

Mais l’utilisation de cette molécule n’est pas sans danger en raison de son importantemyelotoxicité. Des numérations et formules sanguines sont donc recommandées toutes les 3semaines.

L’efficacité du traitement ne doit pas être évaluée à partir de la rémission des troublescutanés puisque l’uvéite peut subsister alors que les troubles cutanés tendent à disparaître.

En raison de fréquentes rechutes, le traitement sera maintenu à vie.

Origines de la maladie

Malheureusement, elles sont inconnues pour l’instant.

Les scientifiques ayant travaillé sur cette maladie émettent l’hypothèse que cette maladie pourrait être génétique et héréditaire avec un mode de transmission très complexe (multi-génique).

Il faut savoir que la recherche vétérinaire ne dispose que de faibles moyens financiers et donc que de nombreux projets sur le VKH canin ont été abandonnés faute de subventions.

En étudiant les mariages entre différents chiens ayant donnés des chiots déclarant le VKH, on peut penser que les deux parents sont impliqués dans la transmission de cette maladie. Mais un même couple pourra donner plusieurs chiots malades sur une portée et aucun sur une autre. Certains mariages entre deux chiens sont “connus” pour engendrer une forte proportion de chiots déclarant le VKH, dans ce cas il ne faut plus reproduire ce mariage et ne pas faire repoduire les chiots de ce mariage!!!!!!

Il semblerait qu’il y ait un élément déclencheur de cette maladie ; et on évoque souvent un stress pour le chien (séparation, chute dans des escaliers, peur..). Ce facteur est contesté mais il semble le plus probable. Il faut rester conscient qu’un stress pour un chien peut ne pas être considéré comme tel pour nous, humains. Et que tout et rien peut être un stress…

Les vaccins semblent aussi pouvoir être un élément déclencheur.

Mais tout ceci n’est qu’hypothèse mais issus d’observations des chercheurs.



L'ADENITE SEBACEE
Citation :
L' ADENITE SEBACEE

L'Adénite sébacée est une maladie dermatologique d'origine auto-immune que l'on rencontre dans de nombreuses races dont l'Akita inu.
L'Adénite sébacée provoque une altération progressive de l'aspect du pelage qui petit à petit se raréfie. La peau s'assèche, elle devient squameuse, peut parfois noircir et dégager une forte odeur de sébum (odeur « rance »). L'Adénite sébacée n'est généralement pas prurigineuse mais il n'est pas rare cependant que le chien atteint déclenche une pyodermite secondaire avec des croûtes et des démangeaisons.
Le diagnostic de l'Adénite sébacée est basé d'après des biopsies cutanées qui montrent l'inflammation centrée sur les glandes sébacées et leurs destructions progressives.
Les signes cliniques sont similaires selon les races, seule la sévérité et l'extension des lésions varient. L'Akita inu constitue cependant un cas particulier car dans cette race, les formes graves sont fréquentes avec une dépilation spectaculaire avec parfois de la fièvre, de la prostration et une perte de poids.
La maladie peut se développer à n'importe quel âge et sans distinction de sexe.
Les chiens atteints par cette affection ne doivent pas reproduire.
L'adénite sébacée est très préoccupante dans certaines races comme l'Akita inu car il semblerait dans cette dernière que peu de lignées soient épargnées. Cette maladie n'est cependant pas mortelle.
Attention, il ne faut pas confondre l'adénite sébacée et les mues saisonnières qui parfois peuvent être très importantes.
Les soins

La médecine vétérinaire propose des shampooings kératomodulateurs ainsi que parfois des rétinoïdes. Cependant leurs effets restent assez discrets.
Un programme de soins corporel et naturel a été mis au point par M. Michael Rampak, allemand et propriétaire d'un Akita inu, Buchi, atteint d'Adénite sébacée.
Le but de ses soins est de remplacer le rôle de la glande sébacée détruite par la maladie.
Ces soins ne guérissent pas le chien mais font disparaître les symptômes liés à la maladie. Ils devront être donnés durant toute sa vie sinon le poil recommencera à tomber.
Ces soins consistent à apporter du "gras" afin de nourrir la peau et le poil.
Il faut donc une fois par mois enduire le chien d'huile. Il faut appliquer l'huile à la base des poils, sur la peau et masser pour la faire pénétrer.
L'huile d'olive est la plus communément utilisée car elle est assez proche du sébum et elle est peut onéreuse. Cependant d'autres huiles végétales ou même minérales ont été utilisé avec succès.
L'huile d'olive étant « épaisse » et donc peu commode à étaler sur le corps du chien, on peut la chauffer légèrement et s'aider de bouteilles vides de liquide vaisselle qui ont un embout pratique pour appliquer l'huile sur la peau de façon assez précise.
Il faut bien répartir l'huile sans oublier l'intérieur des oreilles qui sont souvent très sèches et squameuses.
Après cela, il faut laisser le chien deux à trois heures ainsi enduit afin que l'huile pénètre bien dans la peau (de préférence dans le jardin!!).Le chien peut se lécher, cela n'a pas d'importance. Il faut ensuite le laver. Deux shampooings sont nécessaires.
Il faut utiliser des shampooings doux (ou des shampooings vétérinaires) car la peau d'un chien atteint d'adénite sébacée est particulièrement sensible.
Il se peut que, malgré les shampooings, le chien garde un aspect un peu gras pendant deux ou trois jours le temps que la peau absorbe le gras.
Les deux premiers mois, il faut faire les soins tous les quinze jours, les deux mois suivant, toutes les trois semaines et après une fois par mois durant toute la vie du chien.
En plus des soins locaux, il est conseillé de donner quotidiennement un complément alimentaire d'acide gras essentiel dans la nourriture (huile de bourrache, huile de saumon...)
Les soins à base de « bain d'huile » peuvent paraître un peu contraignant au début mais quand on constate le résultat, on ne peut qu'être motivé pour continuer.
Chez certains chiens, la repousse du poil se fait de façon spectaculaire (en un à deux mois !!) et pour d'autre c'est plus long (6 mois). Mais dans tous les cas, il y a des effets bénéfiques observés, même chez des chiens atteints d'adénite sébacée depuis plusieurs années.
Ces soins apportent un grand réconfort aux chiens atteints d'adénite sébacée en stoppant ou limitant les symptômes.
Les chiens retrouvent la totalité ou une bonne partie de leur fourrure, il y a plus ou très peu de croûtes, il n' y a plus non plus l'odeur de "rance" qui caractérise cette maladie.





Pour tous ces qui auraient des questions, je serais ravie d'y répondre

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super description !! bravo ! j'ai appris beaucoup de choses sur l'akita mais je pense que cette race ne me convient pas car je cherche un chien hyper calin et pot de colle...
est-ce que l'adenite sebacee touche aussi le samoyede ? existe t-il un test pour ces 2 maladies ?

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Merci beaucoup, Baïko. draky et moi avons regardé pour un Shiba inu!! Beaucoup plus petit, et qui me conviendrait logiquement mieux car j'ai des soucis d'arthrite!!
Cependant connais tu cette race et peux tu me dire si un mâle pourrait s'entendre avec Drako, mâle également?

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Pour le shiba, je dirais qu'il est plus actif que l'akita mais sinon, le caractere se ressemble assez.
Ils sont plus cool avec les congeneres de meme sexe mais je pense que le mieux est quand meme de prendre une femelle si tu as deja un male Wink

Par contre, il faut faire tres tres attention a l'elevage car si le shiba est peu touche par des maladies specifiques comme l'akita, il y a un probleme recurent : le syndrome de privation sensorielle.
C'est a dire que si le chiot n'a pas eu un maximum de sociabilisation, cela fera un shiba peureux... et c'est tres courant chez les shibas...car ce sont des chiens tres sensibles Wink

si tu veux plus de renseignements (car je ne suis pas une specialiste des shibas : http://forum.aibu-suki-andfriends.com/index.php

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samou a écrit:
super description !! bravo ! j'ai appris beaucoup de choses sur l'akita mais je pense que cette race ne me convient pas car je cherche un chien hyper calin et pot de colle...
est-ce que l'adenite sebacee touche aussi le samoyede ? existe t-il un test pour ces 2 maladies ?


c'est sur que hyper calin et pot de colle correspond plus au Sam qu'a l'akita!

Pour l'AS, elle peut toucher les Sams mais cela reste tres anecdotique Wink
Il n'existe pas de tests de "prevention" pour ces 2 maladies. les chercheurs pensent qu'il y a plusieurs genes impliques dans la transmission et la recherche veterinaire est quasi inexistante...

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Baïko a écrit:
samou a écrit:
super description !! bravo ! j'ai appris beaucoup de choses sur l'akita mais je pense que cette race ne me convient pas car je cherche un chien hyper calin et pot de colle...
est-ce que l'adenite sebacee touche aussi le samoyede ? existe t-il un test pour ces 2 maladies ?


c'est sur que hyper calin et pot de colle correspond plus au Sam qu'a l'akita!

Pour l'AS, elle peut toucher les Sams mais cela reste tres anecdotique Wink
Il n'existe pas de tests de "prevention" pour ces 2 maladies. les chercheurs pensent qu'il y a plusieurs genes impliques dans la transmission et la recherche veterinaire est quasi inexistante...



ok merci baïko Smile

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merci pour les explications

reste plus qu'a nous mettre quelques photos maintenant

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Baïko a écrit:
Pour le shiba, je dirais qu'il est plus actif que l'akita mais sinon, le caractere se ressemble assez.
Ils sont plus cool avec les congeneres de meme sexe mais je pense que le mieux est quand meme de prendre une femelle si tu as deja un male Wink

Par contre, il faut faire tres tres attention a l'elevage car si le shiba est peu touche par des maladies specifiques comme l'akita, il y a un probleme recurent : le syndrome de privation sensorielle.
C'est a dire que si le chiot n'a pas eu un maximum de sociabilisation, cela fera un shiba peureux... et c'est tres courant chez les shibas...car ce sont des chiens tres sensibles Wink

si tu veux plus de renseignements (car je ne suis pas une specialiste des shibas : http://forum.aibu-suki-andfriends.com/index.php



Bjr,

tu es inscrite sur ce site ?

impossible d'y parvenir on parle code de confirmation trop court ! ! !

c'est quoi cette affaire là ? ?

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Merci beaucoup pour tes renseignements, une amie me disait également de prendre une femelle et de la faire stérilisée.
Nous verrons tout ça.
Merci encore.

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Baïko a écrit:
oui c'est un forum donc il faut d'abord s'y inscrire Wink


oui bien sur mais pas moyen .... ! !

a chaque fois on m'reclame un code de confirmation ! ! !

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Je pense qu'il faut que tu attendes l'activation via l'admin ou alors c'est passé dans tes spams peut être...

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je viens de voir qu'en fait tu n'as pas reussi a t'insrcire...
On vient de changer de design et il y a quelques bugs.
j'en parle a notre webmaster et je te redis Wink

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