Volga 0 Posté(e) le 28 mai 2011 Samedi 28 mai :« Même si l'on a l'impression que nos émotions ou nos sentiments sonttributaires des circonstances externes, en réalité, nous en sommespleinement responsables. Lorsque le monde extérieur nous prodigue ceque nous désirons et nous « rend heureux », notre satisfaction demeureéphémère, car nous pensons qu'il nous en faut toujours davantage pouraccéder à la félicité. Or, en nous assujettissant ainsi à notreenvironnement, nous perdons graduellement contact avec notre moiprofond. Tant que nous entretiendrons cette dépendance et cetteexigence à l'égard de l'extérieur, nous ne connaîtrons que des bonheurspassagers. En revanche, nous commencerons à éprouver une joie bien plusdurable si nous ressentons régulièrement combien les circonstancesaffectent peu notre état intérieur. »J. Gray Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites