terrienne 0 Posté(e) le 1 octobre 2007 Le parlement Français se comporte comme s'il était au bout des fusils des pires braconniers. Nous le disons. Nous le prouvons. Systématiquement, les parlementaires intervenant sur la chasse le font contre la Nature, contre le respect de l'animal et pour les tueurs . Le mode de scrutin et la psychologie profonde du politicien expliquent ce décalage entre les aspirations majoritaires des français, désireux d'instaurer un lien pacifique avec la faune, et ces sénateurs et députés qui pensent démagogique et populiste de flatter l'arriéré. Un sondage réalisé en 2005 à notre demande révélait que 47% des contemporains souhaitaient, non pas une limitation de la chasse, mais son abolition. Comment s'étonner du divorce entre le citoyen et les représentants lorsque ceux-ci se muent en valets de lobbies grotesques, minoritaires et nocifs. Il faut changer les politiques: vaste programme! Il faut que le parti écologiste monte en puissance sur l'éthique écologiste, terrain qui lui évitera toute récupération par les imposteurs illusionnistes, terrain sur lequel une forte attente de la société est laissée en jachère. Etre écologiste, c'est vouloir changer le rapport à l'autre, aux humains, à la Nature, aux animaux. C'est demander l'abolition de toutes les formes de mépris du vivant et de la souffrance des êtres sensibles. Gérard Charollois CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE. message transféré Préservez l'environnement: n'imprimez ce document qu'en cas de nécessité. Adresse du document : http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ070901943 Inquiétudes des chasseurs de gibier d'eau 13 ème législature Question écrite n° 01943 de Mme Sylvie Desmarescaux (Nord - NI) * publiée dans le JO Sénat du 27/09/2007 - page 1692 Mme Sylvie Desmarescaux attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables sur les inquiétudes des chasseurs de gibier d’eau en raison de la position prise le 7 septembre dernier par l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments. Alors que l’Europe a validé le fait de chasser avec des appelants, dans le respect de certaines normes, l’AFSSA a émis un avis défavorable au transport et à l’utilisation d’appelants sur les zones humides de l’intérieur et sur le Domaine public maritime de Méditerranée. Or, considérant, l’absence totale de développement de propagation du virus H5N1, l’important investissement réalisé par les chasseurs en matière de traçabilité et de contrôle sanitaire des appelants et l’autorisation donnée pour le domaine public maritime de l’Atlantique, Manche et Mer du Nord, elle souhaite connaître sa position sur le sujet et savoir si des mesures sont envisagées pour que le milieu cynégétique ne soit pas une fois de plus lésé. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites