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Du sang d’alligator pour lutter contre le staphylocoque doré ? Les travaux sont en cours. Alors que notre instinct de survie nous pousse à les fuir, il semblerait que les alligators auraient des potentialités sanitaires particulièrement utiles à l’homme. Le sang de ces reptiles pourrait nous fournir des composants antibactériens redoutables contre certains pathogènes. Une alternative intéressante aux traitements actuels qui n’arrivent pas toujours à bout des bactéries, virus et autres champignons. Le système immunitaire des alligators est l’un des rares dans le monde animal capable de lutter contre des micro-organismes sans jamais avoir été en contact avec eux. Selon les scientifiques, il s’agirait d’une adaptation évolutive leur permettant de cicatriser rapidement après les rixes violentes. Les chercheurs de l’équipe de Mark Merchant, biochimiste à l’université McNeese en Louisiane, ont testé l’efficacité de ce système sur des bactéries pathogènes pour l’homme. C’est dans le sang des fameux reptiles qu’ils ont trouvé la perle rare. Les lymphocytes des alligators synthétisent naturellement des protéines capables de lutter contre une grande variété de bactéries pathogènes. Elles se sont notamment révélées efficaces contre Candida albicans, un champignon opportuniste dangereux pour les personnes récemment transplantées ou atteintes du Sida. Le staphylocoque doré, responsable d’infections nosocomiales, fait également partie de leurs cibles. Reste à identifier la structure chimique exacte des protéines antimicrobiennes et celles qui sont les plus efficaces pour tuer différents microbes. S’il est encore trop tôt pour que des antibiotiques à base de sang d’alligator fassent leur apparition sur le marché, Mark Merchant anticipe et a d’ores et déjà proposé que ces nouveaux médicaments soient classés dans la famille des « alligacines ». «A terme, cette découverte pourrait permettre de créer des crèmes antibiotiques, qui frictionnées sur des ulcères du pied de diabétiques, limiteraient les infections incontrôlées parfois causes d’amputation», conclut Mark Merchant. Source: http://www.lesoir.be/actualite/sciences_sante/biochimie-d-interessantes-2008-04-11-590834.shtml
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Le sang des d'alligator est riche en antibiotiques Le sang d'alligator contient des agents immunitaires capables de combattre des infections humaines résistantes aux traitements actuels. C'est ce que de viennent de découvrir Mark Merchant et son équipe de l'université d'Etat NcNeese, en Louisiane. Au moins quatre de ces protéines présentent des propriétés antibiotiques intéressantes notamment contre le redoutable staphylocoque doré (Staphylococcus aureus), responsable de maladies nosocomiales mortelles. Certaines pourraient également venir à bout de six des huit souches du champignon Candida albicans, très dangereux pour les patients immunodéprimés (malades du sida, greffés). Si les recherches aboutissent, elles pourraient donner naissance à une nouvelle famille d'antibiotiques, les "alligacines", comme l'a suggéré Mark Merchant à la réunion de la Société américaine de chimie qui se tenait début avril à La Nouvelle-Orléans. Source: Science et Avenir de Mai 2008
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Le sang des reptiles Comme chez les autres animaux, le sang des reptiles est constitué: - de plasma (eau + facteurs de coagulation + constituants biochimiques du sang) - de cellules sanguines (globules rouges, globules blancs et plaquettes) De même que chez les poissons, les amphibiens et les oiseaux, toutes les cellules sanguines des reptiles sont nuclées, c'est-à-dire qu'elles possèdent un noyau. Le rôle du sang est un rôle de transport de l'oxygène, des nutriments et des déchets. La teneur en oxygène est basse car la surface pulmonaire est réduite et le nombre de globules rouges est faible d'où l'incapacité des reptiles à soutenir des efforts prolongés. Le volume total occupé par le sang chez ces animaux représente environ 70 à 110 ml par kg de poids (c'est-à-dire 7 à 11% du poids corporel), le plasma seul occupant 60 à 80% de ce volume sanguin total. Un serpent sain de 1kg possède ainsi environ 100ml de sang. Chez les chéloniens, ce pourcentage de volume sanguin par rapport au poids est inférieur compte tenu du poids de la carapace, constituée essentiellement de tissu corné peu riche en vaisseaux sanguins. Chez elles, le volume sanguin n'excède pas 5% du poids total (poids de la carapace compris). Le pH sanguin (valeur qui témoigne du degré d'acidité du sang) est voisin de 7,8 chez les chéloniens et de 7,4 chez les autres reptiles. Il peut varier avec la température ambiantes, les prises de nourriture, le manque d'oxygénation, le stress et probablement beaucoup d'autres facteurs. Le sang est plutôt acide à haute température et plutôt basique à basse température. Les globules rouges (hématies ou érythrocytes) Les globules rouges des reptiles sont des cellules nuclées de "grande" taille (10/13 à 20/25 microns de longueur sur 5 à 12/16 microns de largeur selon les espèces). De forme ellipsoïdale, plutôt assez plates et légèrement bombées à l'emplacement du noyau. Elles renferment de l'hémoglobine, la molécule de transport de l'oxygène dans l'organisme. Le sang des reptiles est environ 8 à 10 fois moins riche en globules rouges que le sang des mammifères. De plus, ce nombre de globules rouges est influencé par divers facteurs: - Les saisons: ainsi, chez les reptiles qui sont soumis à d'importantes fluctuations climatiques au cours de l'année, la teneur du sang en globules rouges est nettement plus élevée à la fin de l'été qu'à la fin de l'hiver, à la sortie de l'hibernation. - le sexe: chez certaines espèces, les mâles possèdent plus de globules rouges que les femelles - la gestation: le sang est moins riche en globules rouges chez les femelles gravides. La durée de vie des globules rouges des reptiles est très nettement supérieure à celle des mammifères ou des oiseaux. Elle peut atteindre trois ans chez certaines espèces. Cette longévité cellulaire est inversement proportionnelle à la température du milieu de vie de l'animal et à son niveau de métabolisme. Les globules blancs (ou leucocytes) Les globules blancs des reptiles peuvent être regroupés en trois catégories de cellules: les granulocytes, les lymphocytes et les monocytes. Les granulocytes (appelés aussi polynucléaires) rassemblent eux-mêmes quatre types de cellules: - les éosinophiles (dont le nombre peut augmenter en cas d'infestation parasitaire interne) - les hétérophiles (dont une élévation significative est souvent associé à une inflammation au sens large, une infection bactérienne ou à un stress chronique intense) - les basophiles (dont le nombre peut augmenter en cas de parasitisme sanguin ou d'atteinte virale) - les neutrophiles (dont le nombre ne dépasse jamais 10% de la formule leucocytaire) Les lympocytes sont les principaux globules blancs sur le plan numérique. Ils peuvent représenter plus de 80 % de la formule chez certaines espèces de reptiles. Ce nombre de lymphocites circulants est influencé par quatre principaux facteurs: - les changements de saison: leur nombre augmente en été et diminue en hiver - le sexe: les femelles ont davantage de lymphocytes que les mâles - la mue: l'exuvie engendre une augmentation transitoire du nombre de lymphocytes - l'état d'embonpoint: la malnutrition provoque une diminution du nombre de lymphocytes Une augmentation pathologique du nombre de lymphocytes peut être observée en cas d'inflammation, au cours de la cicatrisation d'une plaie, en cas d'infestation parasitaire et en cas de maladies virales. Le rôle des lymphocytes des reptiles est semblable à celui des lymphocytes de mammifères ou d'oiseaux. Les lymphocytes B produisent différents types d'anticorps et les lymphocytes T modèrent la réponse immunitaire. Les monocytes sont les plus grands globules blancs des reptiles. Leur taille est variable selon les espèces (mais aussi chez un même spécimen) et oscille entre 8 et 20 microns. Ils ressemblent beaucoup aux monocytes des vertébrés supérieurs. Ils sont généralement peu présents dans le sang périphérique de la plupart des espèces de reptiles (0 à 10% de la formule leucocytaire) et leur nombre varie très peu avec les saisons. Ces cellules sontà l'origine de la formation des macrophages tissulaires et participent à la réaction inflammatoire. Par conséquent, leur nombre augmente en cas d'infection et de stimulation antigénique. Ils jouent également un rôle actif dans la formation des gramulomes. Les plaquettes (ou thrombocytes) Les plaquettes sanguines des reptiles sont des petites cellules (8 à 16 microns de longueur sur 5 à 9 microns de largeur), ellipsoïdales à fusiformes, possédant un noyau, central et lobé, de contour irrégulier. Le nombre de plaquettes chez un reptile peut augmenter en cas d'anémie et d'affection bactérienne. Les plaquettes des reptiles jouent plusieurs rôles dans l'organisme: - elles se comportent comme des plaquettes des mammifères et jouent un rôle actif dans la coagulation sanguine - elles sont dotée d'une activité phagocytaire - elles sont capables de se transformer en globules rouges fonctionnels - elles peuvent, comme les globules rouges, se multiplier par divisions cellulaires et par scissiparité. Source bibliographique: Brogard, J. (1992) - Les maladies des reptiles. Edt du point vétérrinaire Schilliger, L. (2004) - Anatomie des reptiles: Le sang des reptiles. Reptil-mag N°18. Edt Animalia Schilliger, L. (2004)- Guide pratique des maladies des reptiles en captivité. Edt Med'com
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Le sang des d'alligator est riche en antibiotiques
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Du sang d’alligator pour lutter contre le staphylocoque doré ? Les travaux sont en cours. Alors que notre instinct de survie nous pousse à les fuir, il semblerait que les alligators auraient des potentialités sanitaires particulièrement utiles à l’homme. Le sang de ces reptiles pourrait nous fournir des composants antibactériens redoutables contre certains pathogènes. Une alternative intéressante aux traitements actuels qui n’arrivent pas toujours à bout des bactéries, virus et autres champignons. Le système immunitaire des alligators est l’un des rares dans le monde animal capable de lutter contre des micro-organismes sans jamais avoir été en contact avec eux. Selon les scientifiques, il s’agirait d’une adaptation évolutive leur permettant de cicatriser rapidement après les rixes violentes. Les chercheurs de l’équipe de Mark Merchant, biochimiste à l’université McNeese en Louisiane, ont testé l’efficacité de ce système sur des bactéries pathogènes pour l’homme. C’est dans le sang des fameux reptiles qu’ils ont trouvé la perle rare. Les lymphocytes des alligators synthétisent naturellement des protéines capables de lutter contre une grande variété de bactéries pathogènes. Elles se sont notamment révélées efficaces contre Candida albicans, un champignon opportuniste dangereux pour les personnes récemment transplantées ou atteintes du Sida. Le staphylocoque doré, responsable d’infections nosocomiales, fait également partie de leurs cibles. Reste à identifier la structure chimique exacte des protéines antimicrobiennes et celles qui sont les plus efficaces pour tuer différents microbes. S’il est encore trop tôt pour que des antibiotiques à base de sang d’alligator fassent leur apparition sur le marché, Mark Merchant anticipe et a d’ores et déjà proposé que ces nouveaux médicaments soient classés dans la famille des « alligacines ». «A terme, cette découverte pourrait permettre de créer des crèmes antibiotiques, qui frictionnées sur des ulcères du pied de diabétiques, limiteraient les infections incontrôlées parfois causes d’amputation», conclut Mark Merchant. Source: http://www.lesoir.be/actualite/sciences_sante/biochimie-d-interessantes-2008-04-11-590834.shtml -
Le sang des d'alligator est riche en antibiotiques
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Le sang des d'alligator est riche en antibiotiques Le sang d'alligator contient des agents immunitaires capables de combattre des infections humaines résistantes aux traitements actuels. C'est ce que de viennent de découvrir Mark Merchant et son équipe de l'université d'Etat NcNeese, en Louisiane. Au moins quatre de ces protéines présentent des propriétés antibiotiques intéressantes notamment contre le redoutable staphylocoque doré (Staphylococcus aureus), responsable de maladies nosocomiales mortelles. Certaines pourraient également venir à bout de six des huit souches du champignon Candida albicans, très dangereux pour les patients immunodéprimés (malades du sida, greffés). Si les recherches aboutissent, elles pourraient donner naissance à une nouvelle famille d'antibiotiques, les "alligacines", comme l'a suggéré Mark Merchant à la réunion de la Société américaine de chimie qui se tenait début avril à La Nouvelle-Orléans. Source: Science et Avenir de Mai 2008 -
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Avant de traiter, il faut connaitre la cause de cette diarrhée... Voici les causes les plus communes: - transition alimentaire brutale (ex: poussins distribués à un ophidien ayant toujours été nourri de rongeurs) - parasitose intestinale (helminthose, protozoose digestive) - gastro-entérite bactérienne (ex: Salmonella, Aeromonas, Pseudomonas...) - infection virale (ex: paramyxovirus, retrovirus, adénovirus...) - d'une mycose digestive, souvent secondaire à une antibiothérapie per os (ex: Candida, Aspergillus) - traitement irritant pour le tube digestif (ex: anti-inflammatoires) ou perturbant la microflore du côlon (ex: antibiotique) - corps étrangers digestifs (ex: sable, copeaux), traumatisant la muqueuse intestinale au cours du transit - conditions de maintenance inadaptées (ex: température trop basse ou trop élevée, proies de taille excessive ou mal décongelées, digestion perturbée par le stress...). Et si ce n'est dû qu'à un petit refroidissement comme danou le pense. Il faut simplement suivre les conseils de bitis...
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Diarrhée Comme l'anorexie, la diarrhée est un symptôme commun à diverses affections chez les reptiles. Ethiologie Les diarrhées des reptiles peuvent être d'origine nutritionnelle, parasitaire, infectieuse, fongique, tumorale, iatrogène, mécanique ou environnementale. Quelle que soit leur cause, elles sont toujours liées à des troubles de la motilité, de la perméabilité, de la sécrétion ou de la réabsorption intestinale. Ces perturbations plus ou moins sévères peuvent elles-mêmes être la conséquence: - d'une transition alimentaire brutale (ex: poussins distribués à un ophidien ayant toujours été nourri de rongeurs, ingestion d'une grande quantité de fruits fermentescibles chez les chéloniens) - d'une parasitose intestinale (helminthose, protozoose digestive) - d'une gastro-entérite bactérienne (ex: Salmonella, Shigella, Aeromonas, Pseudomonas...) - d'une infection virale (ex: paramyxovirus, retrovirus, adénovirus...) - d'une tumeur (ex: lymphome) - d'une mycose digestive, souvent secondaire à une antibiothérapie per os (ex: Candida, Aspergillus) - d'un traitement irritant pour le tube digestif (ex: anti-inflammatoires) ou perturbant la microflore du côlon (ex: antibiotique) - de corps étrangers digestifs (ex: sable, copeaux), traumatisant la muqueuse intestinale au cours du transit - de conditions de maintenance inadaptées (ex: température trop basse ou trop élevée, proies de taille excessive ou mal décongelées, digestion perturbée par le stress...) Symptomatologie Une diarrhée se caractérise par une évacuation fréquente de selles anormalement molles ou liquidiennes. Elle s'accompagne fréquemment de déshydratation extracellulaire. Les diarrhées sont assez rarement hémorragiques chez les reptiles. Les déjections de certaines espèces, telles que les colubridés aquatiques ou les cobras, ont un aspect aqueux physiologique, et ne doivent pas être considérées, à tort, comme des selles diarrhétiques. Diagnostic Clinique Il se fonde sur l'aspect ramolli ou liquidien des selles du reptile. Microbiologique L'analyse des selles doit être le premier examen complémentaire à entreprendre en cas de diarrhée chez un reptile tant ces animaux sont sujets aux parasitoses digestives. Radiographique, échographique, endoscopisque Le recours à des examens d'imagerie médicale peut s'avérer nécessaire pour visualiser l'intensité de l'inflammation du tube digestif. Les biopsies per-endocopiques intra-luminales permettent d'en rechercher l'étiologie. Thérapeutique Le traitement de fond d'une diarrhée passe obligatoirement, chez les reptiles, par le traitement de la cause qui l'a induite: vermifugation en cas d'helminthose, traitement protisticide en cas de protozoose intestinale, antibiothérapie en cas d'infection, corrections diététiques s'il y a lieu, et vérification des conditions d'hébergement. Source:Guide Pratique des Maladies des reptiles en captivité" du Docteur Lionel Schilliger. 2004 - Edt MED'COM
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Spalerosophis dolichospilus (Werner, 1923) Synonymes Zamenis diadema Schlegel var. dolichospila Werner, 1923 Coluber diadema dolichospila Werner, 1929 Spaelosophis diadema dolichospila Schmidt, 1930 Coluber Choumowitchi Domergue, 1954 Spalerosophis dolichospilus Schleich, Kästle & Kabisch, 1996 Répartition géographique Afrique Algérie (Nord), Maroc, Tunisie (Nord). Portrait Photo pour illustration. Source: google
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Spalerosophis diadema (Schlegel, 1837) Sous-espèces Spalerosophis diadema diadema (Schlegel, 1837) Spalerosophis diadema atriceps (Fischer, 1885) Spalerosophis diadema cliffordii (Schlegel, 1837) Spalerosophis diadema schiraziana (Jan, 1865) Commentaire Spalerosophis diadema dolichospilus est considéré comme une espèce valide Spalerosophis dolichospilus Synonymes Coluber diadema Schlegel, 1837 Coluber cliffordii Schlegel, 1837 Periops parallelus Duméril, Bibron & Duméril, 1854 Zamenis cliffordii Günther, 1858 Zamenis diadema Boulenger, 1887 Spalerosophis diadema Schmidt, 1930 Spalerosophis cliffordii Ovadia, 1985 Répartition géographique Afrique Algérie, Egypte, Lybie, Mali, Maroc (Sahara occidental), Mauritanie, Niger, Soudan (Nord), Tunisie, Asie Afghanistan, Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Inde (Nord), Irak, Iran, Israël, Jordanie, Kazakhstan (Sud), Kirghizstan, Ouzbekistan, Pakistan (Ouest), Russie, Sultanat d'Oman, Syrie, Tadjikistan, Turkménistan (Sud), Turquie. Portraits Spalerosophis diadema cliffordii Spalerosophis diadema atriceps Photos pour illustration. Source: google
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