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Je vais bientôt faire l'acquisition soit de Aplopeltura boa ou soit de Pareas carinatus. Peut-être les deux Ce sont des serpents d'origine asiatiques, possèdant des moeurs arboricoles et ce qui est intéressant c'est leur nourriture qui est constituée d'escargot ou de limaces. Seul problème, c'est des spécimens d'origine sauvage Ne me frappez pas
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... LES PARASITES EXTERNES ....
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Notes médicales
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Pantherophis Guttatus Candy Cane... Ponte
askook a répondu à un(e) sujet de Snake bar1 dans Vos P'tits Virus
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Les serpents possèdent des organes copulateurs pairs, appelés hémipénis. Ce nom trompeur provient d'une vieille croyance selon laquelle les deux organes devaient être pressés l'un contre l'autre pour conduire le sperme, ou de l'observation mal interprétée d'espèces chez lesquelles chaque hémipénis est très profondément bifide. En réalité, un seul hémipénis est utilisé à la fois, celui qui se trouve le plus proche de la femelle au moment de l'intromission. On a émis l'hypothèse que ces organes pairs seraient une adaptation à une méthode d'accouplement dans laquelle la queue du mâle vient se placer latéralement sous celle de la femelle. La position du pénis en érection qui se projette latéralement hors du cloaque serait alors plus favorable que celle d'un organe médian unique. L'anatomie et le mode de fonctionnement des hémipénis ont été soigneusement étudiés chez les serpents. A l'état de repos, ils sont placés côte à côte dans la partie antérieure de la queue, derrière le cloaque. Chaque organe est creux. La cavité s'ouvre en avant, sur le côté de l'orifice cloacal, et se termine en cul-de-sac en arrière, près de l'extrémité de l'hémipénis. Sa paroi contient de grands sinus sanguins et lymphatiques et est bordée, sur sa surface interne, par la gouttière séminale. La plupart des serpents possèdent, au-dessus des hémipénis, de grandes glandes cloacales en forme de saucisse. Un ou plusieurs muscles rétracteurs, partant des vertèbres caudales, s'insèrent à l'extrémité et sur les flancs de chaque hémipénis. Les deux organes, avec leurs muscles rétracteurs et les glandes cloacales paires, sont entourés d'un grand muscle propulseur fixé, sur la ligne médiane, aux os en chevron des vertèbres caudales. Ses fibres circulaires revêtent l'ensemble de ces organes d'une couche musculaire unique qui s'étend à quelque distance en arrière, au-delà des hémipénis. Vue ventrale schématique des hémipénis et de leurs muscles chez un serpent. Le cloaque (à gauche) étant intact. l'hémipénis droit (en bas de la figure) est retracté à l'intérieur de la queue avec ses épines, son sillon séminal, etc. Sur sa face interne, tandis que l'organe gauche, avec ses sinus veineux engorgés et ses épines à l'extérieur, est en érection. Gmr: grand muscle rétracteur de l'hémipénis Pmr: petit muscle rétracteur de l'hémipénis Ohp: orifice du sac hémipénien L'érection et la rétraction de l'hémipénis sont dues à des actions musculaires et vasculaires combinées. Chaque organe est alimenté par une grosse veine qui peut être bloquée par un sphincter et détermine ainsi l'engorgement des sinus sanguins. En même temps, le muscle propulseur se contracte, faisant jaillir à l'extérieur la partie interne de l'hémipénis comme un doigt de gant retourné, de telle sorte que la gouttière séminale se trouve maintenant sur la face externe. la rétractation et l'invagination sont dues à l'action des muscles rétracteurs, au moment où le sphincter veineux se relâche. l'ensemble du mécanisme est donc tout à fait différent de celui du pénis des autres reptiles, qui peut s'ériger et faire saillie, mais sans s'invaginer. La forme de l'hémipénis présente d'importantes variations, comme l'a montré E.D Cope dès la fin de XIXe siècle. Chez les serpents, l'hémipénis est cylindrique, conique, bulbeux ou cannelé. Il peut être divisé en deux lobes, pourvus chacun de sa propre cavité, ou encore profondément bifide. Sa surface peut être ornée de papilles et de plis, et chez beaucoup d'espèces elle est armée d'épines. L'hémipénis des Typhlops et des Leptotyphlops comporte un sillon séminal simple, comme celui des Cylindrophis ou des Dasypeltis. Chez d'autres espèces, le sillon est bifurqué,soit avec un hémipénis simple (Epicrates), soit avec l'hémipénis lui-même bilobé ou profondément divisé (Elapidae, Viperidae). La plupart des couleuvres sont dotées d'un hémipénis asymétrique dont le sillon séminal simple se termine sur un lobe de grande taille. La surface des hémipénis est ornée de papilles ou d'épines (Viridovipera stejnegeri). Chez certaines espèces (Prosymna), les hémipénis sont extraordinairement longs, presque aussi long que la queue. On peut encore trouver des formes d'hémipénis très diverses, sphériques, en massue ou en "corne d'escargot". D'autres sont lisses comme chez certains Trimeresurus. A l'autre extrême, ils sont filiformes (longs et fins) comme chez les Psammophis, Malpolon ou Psammophylax). On doit à Clifford Cope une fort intéressante description de la façon dont l'hémipénis s'adapte à l'intérieur du cloaque de la femelle. L'observation a été faite sur un couple de Liophis poecilogyrus tué in copula et conservé tel que dans l'alcool. La forme bilobée du cloaque est bien adaptée à celle de l'hémipénis, et chaque branche de la rainure séminale se termine par une sorte de cratère qui s'adapte sur l'orifice de chaque oviducte. les épines qui arment la base de l'hémipènis l'ancrent très fermement quand il est turgescent, et ce lein est si fort que des serpents mâles sont parfois entraînés par des femelles plus grosses qu'eux durant les copulations prolongées. Le fait que l'hémipènis s'invagine lorsqu'il se retire évite toute blessure à la femelle, puisque la surface externe épineuse de l'organe devient sa surface interne au moment où il se rétracte à l'intérieur de la queue. Toutefois, en règle générale, les parois du cloaque de la femelle sont épaisses chez les espèces où l'hémipénis est épineux. Elles sont minces dans le cas contraire. Source: Les reptiles d'Angus Bellairs. Edt Edito-Service S.A Les serpents Oeuvre collective sous la direction de Roland Bauchot. Edt Bordas
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La maladie des ampoules, mieux connue dans le milieu de la terrariophilie sous son appellation anglo-saxonne de "blister disease", est une maladie dermatologique des ophidiens qui se caractérise par la présence de multiples vésicules d'abord stériles, puis surinfectées, au niveau des écailles ventrales. On l'appelle aussi en France la "variole des serpent" ou la "dermite de mauvais entretien". Etiologie Cette dermite, particulièrement fréquente chez les colubridés aquatiques (Thamnophis, Natrix, Nerodia) et chez les boïdés, apparaît généralement chez les serpents maintenus dans un environnement souillé, insuffisamment ventilé et trop humide. Le contact de la peau avec le substrat détrempé aboutit alors à la formation de ces vésicules. Une "blister disease" peut apparaître par exemple lorsqu'un serpent renverse sa gamelle d'eau et stagne pendant plusieurs jours sur un sol humide, ou au contact de selles diarrhétiques qui "brûlent" ses écailles ventrales. Tous les serpents, même aquatiques, doivent pouvoir se positionner quand ils le désirent dans une zone sèche dans leur terrarium. Symptomatologie Les serpents atteints de "blister disease" présentent, dans un premier temps, des lésions vésiculaires parfois très étendues sur leur surface ventrale, très semblables cliniquement à des phlyctènes provoquées par des brûlures. Ce sont des structures bulleuses à paroi très fines contenant un liquide stérile. Très rapidement, ces cloques éclatent et se déchirent du fait des frottements sur le sol pendant la reptation. Elles sont alors secondairement contaminées par des bactéries aérobies et anaréobies (Areomonas, Proteus, Pseudomonas, Salmonella...). La maladie revêt alors un aspect de dermite suintante. Diagnostic Clinique Il s'effectue lors de l'inspection du tégument et se fonde sur la constatation d'une dermite ventrale vésiculeuse surinfectée; Différentiel La maladie des ampoules est toujours très difficiles à distinguer de lésions ventrales secondaires à des brûlures thermiques. Ce sont généralement les circonstances d'apparition de la maladie (excès d'humidité dans le terrarium, diarrhée, régurgitation liquidienne,...) qui permettent d'effectuer le diagnostic différentiel. Microbiologique Il ne présente aucun intérêt: la mise en culture de l'exsudat présent au niveau des lésions fait toujours apparaître une flore abondante polymorphe constituée de bacille Gram négatifs qui ne sont que des contaminants. Thérapeutique Le protocole de traitement de cette dermite vésiculeuse est en tous points comparable à celui de brûlures ventrales du second degré. Il consiste à: -protéger et assécher les plaies par un spray poudre antibiotique (ex:OROSPRAY N.D) -préserver au mieux les vésicules encore intactes (éviter les manipulations et les sols abrasifs) -il est possible d'aspirer le liquide que contiennent les vésicules avec une seringue et de le remplacer par de la BETADINE -baigner le serpent quelques minutes par jour dans une solution antiseptique (BETADINE) -instaurer une antibiothérapie par voie générale (ex:BAYTRIL N.D) -à réhydrater l'animal en fonction de l'ancienneté et de l'étendue des lésions cutanées Prophylaxie L'hygiène du terrarium est la clé de la prophylaxie sanitaire de cette affection dermatologique typiquement liée à l'environnement. Le terrarium doit être correctement ventilé et facile à maintenir propre (si possible, pas de substrat (juste du papier essuie-tout doux), tout excès d'eau au sol doit être rapidement épongé, et les déjections doivent être systématiquement nettoyées. Références bibliographiques: Brogard. J (1992) - Les maladies des reptiles - Edt du point vétérinaire Schilliger. L (2004) - Guide Pratique des Maladies des reptiles en captivité- Edt MED'COM
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pas de suite , faut pas oublier la quarantaine avec tout nouvel arrivant C'est même quelque chose d'essentielle dans votre cas, car vous n'êtes pas sur de la cause du décès de votre Pituophis catenifer affinis. Votre dernier spécimen est peut-être lui aussi malade. Dans l'intérêt du nouveau et de l'ancien spécimens, faites une longue quarantaine. Par la suite, vous pourrez faire cohabiter vos deux femelles.
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La parthénogenèse, reproduction sans fertilisation par un mâle, a été rapportée, chez les reptiles dans différentes familles. Chez les lézards, les familles de Teiidae, Lacertididae, et récemment Varanidae, ainsi que pour les serpents la famille des Typhlopidae (Ramphotyphlops braminus) sont concernées par cette reproduction. Dans tous ces cas, les populations se composent entièrement, ou presque entièrement, de spécimens féminins génétiquement identiques. Quelle fut la surprise du Professeur D. Chiszar, de l'université du Colorado quand il assiste à la naissance de plusieurs Crotalus horridus (1 vivant, 2 morts-nés, 3 ovules non fécondées) engendrés par une femelle, qu'il détient en captivité depuis des années. Un évènement plutôt inattendu, car celle-ci ne s'est jamais accouplée. Des tests d'ADN sont effectués. La totalité du matériel génétique des serpenteaux provient bien de la mère. Plus de doute, on parle bien de reproduction parthénogenèse. La deuxième surprise est que tous les nouveaux-nés (vivant ou morts) sont des spécimens mâle. C'était la première fois que ce mode de reproduction aboutissait à des mâles. Depuis, le cas c'est de nouveau reproduit avec Varanus komodoensis. PARTHÉNOGENÈSE: Développement d'individu à partir d'un œuf non fécondé. On distingue la parthénogenèse arrhénotoque, donnant uniquement des mâles, la parthénogenèse thélytoque, donnant uniquement des femelles, la parthénogenèse deutéroque, donnant des mâles et des femelles.
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Ton Python molurus n'a qu'une seule mue sur son oeil, ou plusieurs Voici un extrait d'une note médicale: "Le traitement de cette pathologie est délicat: le seul fait de tirer, même avec précaution, sur la lunette persistante peut occasionner d'irréversibles lésions de la lunette sous-jacente, de la cornée ou des fragiles structures annexielles du pourtour oculaire. En fait, il faut se garder d'être trop interventionniste et plutôt favoriser le décollement des deux lunettes superposées à la mue suivante (augmenter l'hygromètrie du terrarium, pulvériser fréquemment ou faire prendre des bains au spécimen concerné, appliquer un gel de larmes artificielles sur l'oeil quotidiennement (HUMISCREEN N.D, OCRYGEL N.D) ainsi qu'un mucolytique à base d'acétyl-cystéine (MUCOMYST N.D). Dans certains cas, la lunette persistante n'est pas adhérente à la lunette sous-jacente et se décolle très facilement. Lorsque la persistance est secondaire à une infestation par des acariens, un traitement local à l'ivermectine (IVOMEC N.D) ou au fipronil (FRONTLINE N.D) doit être appliqué au coton tige ou au pinceau autour de la lunette." Source: /TERRARIOPHILIE-c2/Medical-f17/Notes-medicales-f68/Pathologie-de-la-lunette-pre-corneenne-t4406.htm
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Naja anchietae Naja annulifera Naja atra Naja haje haje Spécimen juvénile Naja haje arabica Naja haje legionis Naja kaouthia Spécimen albinos Naja katiensis Naja mandalayensis Naja melanoleuca Naja mossambica spécimen juvénile Naja naja Naja nigricollis nigricollis Spécimens nouveau-nés Naja nigricollis nigricincta Naja nigricollis woodi Naja nivea Naja nubiae Spécimen juvénile Naja oxiana Naja pallida Naja philippinensis Naja sagittifera spécimen juvénile Naja samarensis Naja siamensis Naja sputatrix Naja sumatrana Photos pour illustration. Source: Google
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Généralité sur les Ortrhriophis taeniurus.
askook a répondu à un(e) sujet de RAF-nacannonce dans Carte d'identité Ophidiens