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toxine

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Tout ce qui a été posté par toxine

  1. Les lézards muent comme les serpents, mais c’est moins délimité dans le temps, et moins facile à voir venir. Mais dans l’ensemble, le lézard qui va muer ternit, et change de comportement. Dans tous les cas, la robe change de couleur, pour aller jusqu’au brun-gris, ou au vert très terne ! Pendant ce temps, le lézard concerné mange aussi moins, et en quantité moindre. Ne cherchez pas trop, et patientez un peu : à partir du moment où quelques morceaux de peau commenceront à se décoller, il reprendra une meilleure humeur et un appétit concidérable. Les lézards, eux aussi, muent pour grandir, et après chaque mue, leurs couleurs sont beaucoup plus vives et belles ! En ce qui concerne les soins à apporter, ils peuvent être les mêmes que pour un serpent : s’il mue difficilement, des bains à 30-35°C sont très utiles. Certains lézards apprécieront même une fois habitués. Cependant, il faut vous demander la raison pour laquelle il a des difficultés à muer, car normalement, il doit savoir muer seul en se frottant contre des branches ou des pierres, en s’aidant de sa mâchoire ou de ses griffes. Certains lézards mangent même leur peau au fur et à mesure qu’ils la décollent donc ne panniqué pas si vous retrouvé pas de peau dans le terrarium mais informer vous toujours sur votre lézard pour évité les mauvaises surprises ! Si la peau persiste et ne se décolle pas, c’est que vous avez un problème d’hygrométrie (d'humidité) dans votre installation, ou que l’animal est stressé. Le premier problème se résoud, alors que le second dépend de votre environnement, de la taille de l’installation, du chauffage qui peut être insuffisant, de vos relations avec l’intéressé (si il ne se manipule pas ou trop de manipulation justement.) il faut chercher l’erreur et prendre la mue difficile comme un signe.
  2. Cette maladie qui affecte sauriens et chéloniens, est cause : - D’un régime alimentaire inadapté (pauvre en calcium et trop riche en phosphore) - De mauvaises conditions (éclairage, un manque d’UV causant une hypovitaminose D3. La vitamine D3 permet l'ingestion du calcium pour nos protégé. L’hypocalcémie signifie une carence en calcium sanguin, qui se voi par des tremblements, un manque de tonus. Souvent, elle est associée à une ostéofibrose (un ramollissement du squelette et à une faiblesse et se manifestant par des déformations du squelette, la formation d’un tissu autour des os fracturés caractérisant par de gros membres, exemple des cuisses énormes) une incapacité à se déplaçer normalement. Il n’est pas rare qu’une personne s’inquiète que son caméléon n'arrive plus à grimper, tremblant lorsqu’il se déplaçe et attrapant sa patte avant avec sa patte arrière, manquant de coordination. Chez la tortue, nous observerons un ramollissement de la carapace sur sa partie inférieure appelée plastron. La prévention joue un rôle capital et suppose de distribuer une ration alimentaire adaptée, en nourrissant les proies avec des aliments riches en calcium ou les soupoudré d'un complément calcique, de metre un néon UVB et A adapté a son animale et non un néon de jardin ou autres. Beaucoup de gens ne prennent pas au sérieux les conseils qui avançent que les UV sont très importants pour les reptiles et les lézards et les tortues. Il est vrai que le reptile ne va pas se plaindre, et que les problèmes liés à cette carence mettent du temps à se voir. Mais quand elle est installée, il est difficile même pour certains cas impossible de guérir ! Conseil, aides : - Plaçez un tube UVa et b spécial reptiles, ou une lampe UV du même critère, DANS votre terrarium. Sachez que les UV seront porter à 30cm maximum. etoui si votre animal est à 50cm du tube, il n’a pas d’UV !! Il faut savoir aussi que le verre ne laisse pas passé les UV. - Donner a vos insectes des minéraux ou des aliments riches en calcium. - Pour les tortues vous avez des compléments, mais une alimentation adaptée suffit. - Changez votre tube tous les 6 mois maximum car Le filtre s’abime et ensuite le néon ne sera plus adapté. si ces conditions n'était pas remplie avant, on peut commençer par installer les UV manquants et donner une ration calcique adaptée (demandez à votre reptile), et dans un cas grave, on peut procèder à des injections de calcium (contrôle vétérinaire). Mais n’espérez pas rattraper totalement un retard de croissance ou des déformations importantes.
  3. toxine

    La coccidiose

    La coccidiose est une maladie parasitaire interne, provoquée par des organismes unicellulaires appelés coccidies, colonisant la muqueuse intestinale des reptiles, où ils se reproduisent directement. Chez les reptiles et les sauriens en particulier, ce sont Eimeria sp. et Isospora sp. qui sont les plus fréquemment rencontrés. Ce sont des coccidies à cycle direct, leur transmission a lieu par voie oro-fécale. les coccidies sont très résistantes en milieu extérieur, ce qui en fait une menace à ne pas prendre à la légère lorsqu’on a un doute ! D’après le Dr. Shilliger, les geckos attrapent la coccidiose chez les éleveurs, à partir d’animaux infectés, achetés sur des salons. Les grillons peuvent aussi être vecteurs de coccidies, ainsi qu’une écorce de chêne liège, un cep de vigne, du substrat douteux ou encore une gamelle ayant déjà servi...D’où la necessité d’acheter dans un lieu sùr, dans une animalerie spécialisée de préférence pas d’occasion ! Est-ce que les coccidies peuvent infecter un humain ? Les coccidies les plus communes n’affectent pas l’homme. Symptômes : La coccidiose se manifeste par une diarrhée pouvant devenir sanguinolente et par un rapide amaigrissement. Il y a des régurgitations (proie, mue,...), des excréments de consistance liquide et à forte odeur. L’animal arrête de manger sans raison, et une tâche marron/noire apparait au niveau du ventre. Elle peut grossir en moins de 12h. D’après le Dr Schilliger, la tâche noire constatée sur le gecko correspond à une extravasation de bile hors de la vésicule biliaire. C’est classique chez tous les reptiles peu de temps avant ou après la mort. A faire en cas de doute : - Analyse des excréments au laboratoire vétérinaire (en spécifiant que l’on veut rechercher). Il sera utile de donner un maximum de renseignement sur la détention, les symptômes, etc. Attention l’analyse prend au minimum 1 semaine. Il convient donc de ne pas attendre les résultats pour commencer la quarantaine mais pas donner de médicament avant résultats. - Il faut simplement réhydrater l’animal et lui proposer à manger à la pince. - Bain d’eau tiède pour l’animal avec massage du ventre. - Réhydratation de l’animal avec du glucose (ça lui sert de boisson et de «nourriture») + vitamine (attention pas de surdosage). Désinfection tout les jours des terrariums et des décors restants avec du javel. - Mise en place de terrariums de quarantaine. - Gamelle d’eau changée et nettoyée 2 fois par jour. - Sopalin pour tout substrat. facilité pour l'hygienne. - Plus de boite à humidité (elle favorise la prolifération des bactéries, champignons et autres) - Cachette. - Conditions de chauffage normale. Traitement medicamenteux : L’éradication de ces parasites digestifs est quasi-impossible et malheureusement, le traitement est souvent décevant. mais ce n’est pas une raison pour ne rien tenter ! Il faudra utiliser de la sulfadiméthoxine (Ocecoxil) par voie buccale selon la posologie suivante : 90mg/kg le 1er jour en dose d’attaque, puis 45mg/kg/jour pendant les 7 jours qui suivent. A savoir Si vous avez un doute et que vous traitez l’animal contre les vers ou contre une bactérie quelconque, vous risquez d’entrainer le développement de mycoses ! Les mycoses digestives sont ainsi souvent secondaires à une autre affection comme la coccidiose ou à un traitement antibiotique inapproprié. Contre celle - ci, utilisez donc l’itraconazole (le moins toxique, comme tous les antifongiques, sur le foie). Son nom commercial vétérinaire est "ITRAFUNGOL" : 1 goutte/gecko/2jours en hydratant beaucoup l’animal pour forcer l’élimination hépato-rénale. Cette maladie parvient souvent au gecko léopard et au pogona
  4. toxine

    Anatomie du lézard (Iguane)

    http://img172.imageshack.us/img172/1167/3393440146dl.jpg
  5. toxine

    Anatomie du lézard (Iguane)

    Autotomie de la queue L'autotomie de la queue est un mécanisme de défense passif que les lézards utilisent lorsqu'ils se sentent menacés. Certains les lézards sont trop petits pour se défendre, quoique certains mordent, etc. Ils doivent donc distraire le prédateur pour pouvoir ne pas passer aà la casserole. Souvent, ce bout de queue continuera de bouger pour occuper le prédateur. La perte de sang est minime. La queue ne peut pas se sectionner n'importe où! Elle se sectionne à l'intérieur d'une vertèbre, plus faible, développée avant la naissance. La queue peut repousser, mais elle ne sera jamais aussi comme avant (certains dévelloppe un boudin a la section). En plus d'être moche, la perte de la queue du lézard est néfaste, car la majorité des lézards ont des réserves de graisse dans la queue, qu'ils perdent lors de l'autotomie. Cette perte peut empêcher le lézard de se reproduire, peut amener des troubles de locomotions et des troubles de communication entre lézards. L'hiver, l'autotomie peut même entrainer la mort. La majorité des lézards ont cette faculté de perdre leur queue. Au moins quelques espèces de toutes les familles le peuvent (certains plus facilement que d'autres) sauf : * les agamidés * les caméléonidés * les hélodermatidés * les lanthanotidés * les xénosauridés * les varanidés lors d'une autotomie, il vous faudra donner des vitamines a votre lézard affaiblie.
  6. toxine

    les tortues

    Les tortues terrestres et aquatiques existent depuis 200 000 000 d'années. Les tortues sont renommées pour leur longue vie qui va parfois jusqu'à 150 ans. Les tortues happantes sont des tortues aquatiques d'eau douce carnivore. Elles peuvent broyer le poignet d'un homme d'un coup de dents. Elles vivent en Amérique du Nord et s'alimente de poissons et de mammifères. La plus célébre est la tortue alligator qui vit dans le sud-est des Etats-unis. Certains spécimens iront peser jusqu'à 100 kg. Pour attraper ses proies elle se retrouve la bouche ouverte au fond de l'eau. Elle possède sur la langue un petit appendice qui ressemble à un ver qui se tortille. Lorsqu'un poisson s'approche elle n'a plus qu'à refermer sa bouche. observez le dessin ci-dessus. La colonne vertébrale de la tortue et sa cage toraxique sont intégrées à sa carapace qui est elle même constituée d'os et recouverte de kératine (même constituant des ongles ou des cheveux). Ses épaules ne sortent pas de sa carapace.
  7. toxine

    Le terra de mon Uromastyx

    j'adore l'uromastyx comme le terra mais l'uro...
  8. très jolie de plus tu as changer la gamelle d'eau
  9. toxine

    pampan le pachy

    Gecko mal né en septembre 2005.
  10. toxine

    candy ma gut

    http://img462.imageshack.us/img462/9976/imag00162lw.jpg http://img476.imageshack.us/img476/305/imag00194nd.jpg http://img376.imageshack.us/img376/2091/imag00246cv.jpg http://img454.imageshack.us/img454/5809/imag00277ai.jpg http://img73.imageshack.us/img73/5320/imag00293bn.jpg http://img77.imageshack.us/img77/2076/imag00308mb.jpg voila candy aujourd'hui lors d'une petite manipulation pour une jolie séance photos. si vous trouver la phase dite la moi car plus elle mue et plus la phase change. de candy cane rouge je pensse a une albinos rouge enfin voila si quelqu'un peut m'aiguiller...
  11. toxine

    un ptit reportage.

    http://www.mavilletv.com/tv44/diffs/m/maville_v5/?une=o&e=portraits_tv44&f=croco# petite vidéo sympas.
  12. http://www.henodus.com/TORTUES/TORTUESsommaire/Ttitre.html ame sensible s'abstenir certaines photos sont ou peuvent heurter la sensibilté de certaines personnes.
  13. toxine

    création de blog

    pour creer un blog pas comme les autres ofrant plus de possibilité http://www.oldiblog.com/
  14. toxine

    l'atn

    http://asso.atn.free.fr/ le lien de l'association terrariophile du nord. un bon site une bonne association avec des bons avantages. déplacement mis en oeuvre lors de bourses ou autres. voyage (dernierement astérix.) prix atractif au point de vue nourriture, un locale a notre disposition avec des permanences. enfin tout pour ravir.
  15. toxine

    le gecko léopard

    voici des phases de gecko léopard, je vais intégrer au fur et a mesure des photos ne vous inquiéter pas. La phase high yellow La phase Golden La phase Ghost La phase Jungle ou Designer La phase lignée ou Stripped ???????? La phase Mélanique ou Black La phase Tangerine La phase Super hypotangerine La phase Carot Tail ou Queue de Carotte La Phase Blizzard La phase banana blizzard La phase Patternless Albinos La phase Albinos Designer La phase Albinos Tangerine La Phase Albinos Tangerine Banded La Phase Hypo Tangerine La phase Albinos Super Tangerine La phase Albinos superhypotangerine ou appelé aussi Supbino La phase Albinos Rouge La phase Hypomélaniques Les photos sont la pour illustrer !!!!
  16. Hydrosaurus weberi est originaire d’Indonésie. Nous ne connaissons malheureusement pas la localité exacte d’où proviennent nos reproducteurs. C’est le plus grand représentant de la famille des agamidés, les mâles peuvent atteindre 120 cm. Ce lézard impressionnant par sa taille et son allure, possède, chez les mâles adultes, une crête sur la nuque, une sur le dos et une troisième haute crête soutenue par des vertèbres à la base de la queue. Autre caractéristique liée à ses mœurs aquatiques, les doigts de ses pattes postérieures sont « palmés ». Principalement insectivore quand il est jeune, il devient végétarien à l’âge adulte. Les animaux issus d’importation sont souvent très parasités et farouches, difficiles à acclimater. En revanche, les hydrosaures d’élevage sont très robustes et familiers. AMENAGEMENT DU TERRARIUM Les dimensions minimales pour garder correctement un couple d’Hydrosaurus adultes sont 2 m x 1 m x 2 m ; un vivarium mesurant 2,0 m x 2,0 m x 2,5 m serait toutefois préférable. Pour accueillir un couple d’hydrosaures, par exemple, j’ai fermé un coin de ma salle d’élevage avec des plaques de « placo » de manière à agencer une pièce de 3,0 m x 2,0 m x 2,3 m, dans laquelle on entre par une porte. Le carrelage, une haute plinthe et la peinture lavable sur les murs garantissent hygiène et étanchéité. Un grand bassin d’eau, qui ait au moins les dimensions de l’animal, est indispensable. Etant donné que Hydrosaurus défèque dans l’eau, le nettoyage sera quotidien, pour cela il est préférable d’équiper le bassin d’une bonde d’évacuation. Pour ma part, j’ai installé une baignoire reliée au tout-à-l'égout et qui est remplie par un tuyau raccordé au robinet. Des rondins sont vissés aux murs à une distance de 30 cm environ des tubes néon (type Reptisun) fixés au plafond : l’animal, installé sur ces perchoirs, peut ainsi bénéficier du rayonnement UV. Une lampe à vapeur de mercure mixte (type Powersun) de 150 W est suspendue au-dessus de la baignoire. Quand le lézard se repose sur la grande écorce en chêne–liège qui de la baignoire atteint le plafond, il profite pleinement du rayonnement de la lampe, il se chauffe et absorbe en même temps les UVA et UVB, indispensables à une bonne absorption du calcium. D’autres branches et souches permettent à l’hydrosaure de monter jusqu’aux poutrelles qui traversent, en haut, son vivarium. La température dans le vivarium varie, au printemps et en été, entre 35 et 25° C ; en automne et en hiver, elle varie entre 28 et 18° C. La photopériode est de 14h en été et de 8h en hiver. Les changements dans la durée du jour sont programmés en ôtant ou en ajoutant une demi heure de lumière par semaine. Je pense que ces changements favorisent la reproduction. De fait, les accouplements en captivité, à ces conditions, ont toujours lieu au printemps et en été. Un autre facteur qui marque la succession des saisons est l’hygrométrie. Au printemps–été je vaporise quotidiennement les animaux et le vivarium, tandis que le restant du temps l’hygrométrie est déterminée uniquement par la présence de la baignoire remplie d’eau. La boite de ponte est constituée par une bassine (45 x 35 x 25 cm) remplie de tourbe humide. Les plantes véritables sont à éviter car pour Hydrosaurus elles ne sont que des garde–manger. Les plantes en plastique ne sont pas une solution non plus, puisque les hydrosaures en mangent les feuilles sans difficulté et ils s’exposent ainsi aux dangers d’une occlusion intestinale. D’après mes observations, les hydrosaures passent le plus clair de leur temps en hauteur, sur les branches et poutrelles. Dès qu’ils se sont accoutumés à leur environnement, ces lézards assez paisibles et calmes ne craignent plus la présence du soigneur, ni d’éventuels "visiteurs". Toutefois, ils acceptent toujours mal les manipulations et, si on essaye de les toucher, ils réagissent souvent par la fuite ou par un coup de queue d’avertissement. Très territoriaux, deux mâles Hydrosaurus adultes ne peuvent cohabiter, l’agression est inévitable. En revanche, un mâle peut partager le vivarium avec plusieurs femelles (tout dépend naturellement des dimensions de la surface occupée), notamment si les animaux ont grandi ensemble ou s’ils ont été introduits au même moment dans leur nouveau territoire. ALIMENTATION Hydrosaurus juvénile, c’est–à–dire jusqu’à l’age d’un an environ, est presque exclusivement insectivore. Sa diète comprend grillons (Acheta domestica, Gryllus assimilis), blattes (Nauphoeta cinerea), criquets (Locusta migratoria, Shistocerca gregaria) de taille adaptée. De temps à autre, je donne aux juvéniles également des souriceaux, pinkies ou blanchons selon la taille du lézard, et des végétaux. Au fur et à mesure que l’animal grandit, il devient de plus en plus végétarien. A l’âge adulte, 95 % du régime alimentaire d’Hydrosaurus est composé de végétaux, à savoir : légumes (haricots verts, carottes, petits pois, tomates…), fruits (figues, pêches, abricots, mangues, raisins…) et feuilles (les salades qui ont un bon rapport calcium/phosphore (2/1), comme la romaine, la frisée, la mâche, le pissenlit…). Le restant 5 % est constitué par des blattes (Blaptica dubia, Nauphoeta cinerea, Blaberus atropos, Gromphadorrhina (blatte souffleuse de Madagascar), grillons (Gryllus bimaculatus), larves de Zoophobas morio, souris, cuisses de grenouilles que je propose aux hydrosaures une ou deux fois par mois. Si je nourris de cette manière mes lézards, c’est en raison d’observations accomplies au cours de 7 années d’élevage. Quand la nourriture animale était abondante, les pontes n’étaient pas viables, les œufs étaient déformés –peut être en raison de la masse trop importante des lobes de graisse dans la cavité abdominale– et ils moisissaient en quelques jours. De plus, certains signes d’obésité, comme la déformation de la crête dorsale, non plus droite mais ondulante, commençaient à se manifester. De ce fait, en connaissant les dangers d’une excessive accumulation de graisse chez les reptiles, j’ai changé le régime alimentaire de ces lézards et, depuis, non seulement ils sont en parfaite santé mais les pontes ont été toutes productives. Les proies, ainsi que les végétaux, sont saupoudrés de carbonate de calcium deux fois par semaine et de vitamines (Petphos croissance pour chiots mélangé avec Ocevital pour oiseaux) tous les 15 jours (une fois par semaine pour les juvéniles). REPRODUCTION Bien qu’on ne puisse pas parler d’hivernage pour cette espèce tropicale, je lui impose cependant un changement saisonnier par une modification dans la durée du jour. A partir de la mi–septembre, quand la photopériode est de 14h, je diminue progressivement d’une demi heure par semaine la photopériode, jusqu’à avoir des journées de 8h au début décembre. Cette condition dure un mois. Début janvier, les journées rallongent d’une demi heure par semaine jusqu’à avoir 11h30 de lumière à la fin février ; ensuite la photopériode est encore augmentée au début mars (12h), à la mi-mars (12h30), à la fin avril (13h), à la mi–juillet (13h30) et finalement au début août (14h). Pendant cette période hivernale, les températures demeurent relativement hautes : de 18 à 25° C. Pour ce faire, je remplace la lampe Powersun par une lampe à vapeur de mercure mixte de 250 W (type Osram), le rayonnement UV étant toujours assuré par les tubes néon. D’après mes observations, les accouplements commencent fin–janvier/février. La femelle peut pondre 4 à 5 fois par saison. La période de gestation est de 37–38 jours. Les œufs sont déposés dans un trou creusé jusqu’au fond du pondoir. Le nombre d’œufs n’est pas très important, de 4 à 8. Les œufs sont mis en incubation dans une boite, fermée par un couvercle troué, contenant 5 cm de tourbe humide et ils sont recouverts de tourbe. Cette boite est placée soit dans un incubateur à une température stable de 28° C (au début de saison), soit, dès que la température ambiante devient trop élevée (+ de 30° C), sur une étagère dans la pièce d’élevage. De cette manière, les œufs ne sont pas exposés à des valeurs trop hautes trop longtemps, puisque la nuit la température baisse (28° C environ). C’est pour cette raison que la durée d’incubation est plus longue en début de saison (86 à 90 jours) et plus courte en plein été (72–74 jours). Les nouveau–nés, assez craintifs, sont installés au calme, dans un terrarium mesurant 60 x 30 x 12 cm, avec beaucoup de branches, feuilles et cachettes. Un bassin d’eau relativement grand (50 x 20 x 30 cm) sera nettoyé quotidiennement. En grandissant, les juvéniles deviennent de moins en moins farouches, mangent à la main et, certains individus, grimpent sans problème sur l’épaule du soigneur. Cependant, j’évite toujours de les manipuler. En effet, un "stress" trop important peut provoquer un prolapsus ( descente d’organes) cloacal qui peut se solder avec la mort de l’animal. Chez les juvéniles il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Ce n’est qu’à partir de l’âge d’un an, voire deux ans, que la crête dorsale commence à se développer, en permettant ainsi de différencier les mâles et les femelles.
  17. Classe: Reptilia - Reptiles. Sous-classe: Lepidosauromorpha - Lepidosauriens. Ordre: Squamata - Squamates (Sauro-ophidiens). Sous-ordre: Sauria - Lézards (lacertilia). Ordre intermédiaire: Iguania - Iguanes. Famille: Agamidae - Agamidés. Sous-famille: Agaminae - Agaminés. Genre: Physignathus. Espèce: Cocincinus. Nom vernaculaire: Dragon d'eau vert. Nom scientifique: Physignathus cocincinus. Hygrométrie: 80 à 90%. Température: La Température Moyenne Préférée: de 28 à 31 °C. joli lézard à l'oeil matois et curieux : http://img98.imageshack.us/my.php?image=oeil3ou.jpg Plus connu sous le nom de "dragon d'eau", le physignatus est un reptile tropical qui vient de l'est de la Thaïlande, du viètnam et du sud de la chine. cette espéce arboricole et semi-aquatique, aime rester percher sur une branche ou un perchoir au dessus d'un point d'eau. Il est insectivore mais peut toute fois avec le temps accepter certainnes verdures tels que le pissenlit, le trèfle. il est possible aussi les oranges, les figues et autres selon les gouts de votre physi. les bananes ou salades sont à donner en faible quantité et rarement car les valeurs nutritionnelle completement inadéquate. pour les insectes comme beaucoup de lézard la nourriture de base restera le grillons mais on peut toujour varier la nourriture en fesant bien attention au valeur nutritionnelle telle que teigne de ruche ou encore blanchon sont a donner avec parcimonie. le physignatus est un animal assez calme à condition de le manipuler régulièrement et de ne pas prolonger les séances qui dureront environ 10 minutes par jour. le physi comme tout les reptil n'auron aucune reconaissance ou autre envers leurs guérisseur cela reste des reptils et non des chiens de compagnies. le terrarium devra être équipé d'un bac d'eau assez vaste pour qu'il puisse s'y tenir, d'un ou plusieurs perchoire (un au dessu du bac d'eau et un en dessou du spot ou néon), un neon ofran 0.5 uvb, un système de chauffage adéquate et bien sûr un substrat. Ensuite la final touch personnel servant a recréer son habitat naturel. un mâle adulte peut atteindre 90 cm, je pense qu'un terrarium d'un minimum de 1.60 m de longueur, 1 m de largeur, 1.80 m de hauteur. mais un 150*80*140 ira très bien. Pour que le "dragon" puisse profiter des uv du neon il lui faudra pouvoir s'en aprocher jusque 30 cm. Un point chaud de 30° à 32°C et un point frais de 25°à 27°C, la nuit la température devra pas descendre en dessou de 22°C. L'éclairage sera de 14 heures de jours pour 10 heures de nuit et que deux mois par ans seront descendu a 10 heure de jour et 14 heures de nuit abaisser progressivement bienssure pour pas le stresser. se sera utile lors de reproduction. L'hygrométrie devra se situé entre 80% et pas en dessou de 65% car sinon cela joue sur la mue de votre reptile entre autre. Si l'hygrométrie descend de trop pulvériser dans le terrarium et bien sur les feuillage. une hygienne irréprochable devra regner dans le terrarium en commancent par changer l'eau du bac tout les jours, enlever les escrements tout les jours car sinon cela aurra pour effet de produire des bacteries. Pour la reproduction, le male se distingue par une tête plus massive et une crete plus developer que la femelle et on peut voir leurs pores féromaux situés sur l'entrecuisse prés du cloaque. comme dit plus haut pendant la periode hivernale il faudra les séparé afin que le couple reprenne des forces puis les remettre ensemble afin que suit la parade nuptiale. les reproducteurs devront être agés d'au moins 2 ans et en très bonne santé. D'aprés les infos que j'ai pu réunir, l accouplement dure entre 10 et 20 minutes, la gestation dure à peu prés 60 jours. pendant cette période on donnera de plus petites proies a la femelle. il arrive même qu'elle refuse de se nourrire quelque temps avant la pontes. A l'approche de la ponte elle creuse un peu partout, il faut donc offrir un bac assez vaste pour qu'elle s'y tiens remplie de vermiculite humide sur environ 20 cm d'épaisseur pour qu'elle puisse y pondre car elle risque de le faire dans son bac d'eau. Elle pond entre 8 et 12 oeufs mais parfois il peut arriver que lors de la première ponte elle n'en fasse que 3 ou 6. Une fois la ponte finie il faudra retirer les oeufs SANS LES RETOURNER pour les transférer dans un incubateur avec de la vermiculite humide, il faut garder une hygromètrie de 90% pour une température de 28° à 30°c pendant environ 65 jours, l'éclosion se fait en 24h voir 48h, les bébés mesures 10 à 12 cm et commencent à s'alimenter au bout de 2 ou 3 jours.
  18. Physignathus lesueurii lesueurii est originaire de l’est de l’Australie, du Cape York dans le Queensland jusqu’à la partie centrale de la Nouvelle Galles du Sud, entre la Cordillère australienne et la bande côtière. Le dragon d’eau australien est un grand agamidé, les mâles mesurent 80–90 cm environ de longueur totale (1 mètre au maximum), 25 cm environ de longueur museau–cloaque ; les femelles adultes atteignent une taille maximale inférieure à celle du mâle (70 cm environ). Très robuste et adaptable, il peut être élevé toute l’année en extérieur dans le sud de la France. En captivité –quand il est dans son terrarium– P. l. lesueurii est un lézard calme, qui reste paisiblement perché sur les branches ou immergé dans l’eau. D’une manière générale, il accepte la nourriture à la main, mais il n’apprécie pas les manipulations. AMENAGEMENT DU TERRARIUM La seule véritable "contrainte" pour maintenir Physignathus lesueurii est relative à sa grande taille et à ses mœurs semi–arboricoles et semi–aquatiques. Il est donc nécessaire de prévoir un grand terrarium ou un vivarium. Un aménagement extérieur est également envisageable, étant donné sa tolérance aux basses températures. En ce qui me concerne, je maintiens un trio d’animaux adultes, un mâle et deux femelles, dans un terrarium d’1,0 x 1,0 x 1,5 m. Afin de conserver une bonne aération et d’éviter la surchauffe du terrarium, deux côtés du terrarium et la partie supérieure sont presque entièrement grillagés. Sur la grille du "plafond" j’ai posé une lampe à vapeur de mercure mixte (type Powersun), avec son support. Elle apporte la chaleur, les UVA et UVB. J’aménage ainsi un gradient thermique entre le haut et le bas du terrarium. En dehors de la période d’hibernation, la température varie entre 35° C au point le plus chaud et 28° C au point le plus frais ; la nuit elle descend autour de 22–25° C environ. Deux néons "lumière du jour" garantissent une luminosité supplémentaire. A l’intérieur du terrarium il n’y a aucune lampe afin d’éviter tout risque de brûlure. Une branche est fixée à 20 cm du "plafond" et recouverte d’une écorce entière de chêne–liège. Ceci permet aux lézards de se chauffer au plus près de la lampe et de se sentir en sécurité en demeurant en hauteur. Ils peuvent également se cacher à l’intérieur de l’écorce, pour dormir aussi. Pour monter jusqu’à cette écorce, des grosses branches et des rondins sont installés, mais souvent mes animaux préfèrent grimper sur le grillage des parois. Sur le fond du terrarium le substrat est constitué d’un tapis de linoléum, plus facile à nettoyer, donc plus hygiénique. Un bac d’eau de volume suffisant pour que les lézards puissent s’y baigner entièrement (45 x 35 x 15 cm) est le seul objet présent sur le mètre carré de surface. Les lézards peuvent ainsi évoluer aisément, s’adonner aux parades nuptiales et aux accouplements. L’eau doit être changée quotidiennement, étant donné que P. lesueurii a l’habitude de déféquer dans l’eau. Eventuellement, l’installation d’une bonde d’évacuation facilite cette opération. Quand la saison des accouplements commence, j’ajoute une boite de ponte constituée d’une simple bassine (45 x 35 x 25 cm) remplie de tourbe humide et partiellement cachée par des plantes en plastique. Le dragon d’eau australien peut être maintenu en extérieur pendant une bonne partie de l’année, voire toute l’année, par exemple dans le Sud de la France, si on lui aménage un vivarium partiellement enterré et exposé au sud, où la température ne descend pas au–dessous de 5 °C. ALIMENTATION En milieu naturel P. lesueurii se nourrit de grenouilles, crabes, poissons, petits lézards, fleurs, fruits, baies etc. En captivité, il a un régime assez varié : il est principalement insectivore, mais pas exclusivement. En ce qui me concerne, je donne à mes animaux en premier lieu des insectes comme : grillons (Acheta domestica, Gryllus bimaculatus, Gryllus assimilis), blattes (Blaptica dubia, Blaberus atropos, Gromphadorrhina (blatte souffleuse de Madagascar), Nauphoeta cinerea), criquets (Locusta migratoria, Shistocerca gregaria), larves de Zoophobas morio, vers de farine (en quantité limitée), vers de terre. Alternativement, je leur propose également : souriceaux (pinkies ou blanchons), poissons (rarement, car trop riches en phosphore), escargots, cuisses de grenouilles et fruits bien mûrs (pêches, bananes, figues de barbarie, abricots, melons…). En revanche, je nourris les juvéniles surtout avec des insectes. Les proies sont saupoudrées avec du carbonate de calcium à chaque fois qu’elles sont distribuées. Une fois tous les 15 jours pour les adultes, une fois par semaine pour les juvéniles, j’ajoute également des vitamines (Petphos croissance pour chiots mélangé avec Ocevital pour oiseaux). Le dragon d’eau australien est un lézard plutôt indolent, en dehors de la période d’accouplement il ne bouge pas beaucoup et passe ses journées sur les branches ou dans l’eau. Pour cela il risque facilement l’obésité, avec toutes les pathologies qui y sont liées. J’ai pu constater qu’une femelle trop nourrie avait pondu des œufs mous ou déformés où l’embryon ne se développe pas. Ainsi, je distribue les repas aux P. lesueurii adultes deux, voire une fois par semaine environ, selon la saison : plus souvent au printemps, moins en été et en automne, pas du tout pendant l’hibernation. En revanche, les juvéniles mangent tous les jours. REPRODUCTION EN CAPTIVITE En captivité, la femelle P. lesueurii peut être sexuellement mature à l’âge de 13 mois (LANGERWERF, source Internet). Pour déclencher les accouplements et les pontes une période de latence hivernale est nécessaire. Dans cette intention, j’ai commencé à baisser la photopériode d’une demi–heure par semaine à partir du mois de septembre, afin de descendre de 14 heures jusqu’à 8 heures de lumière à la fin novembre. A partir de janvier, la photopériode est de nouveau augmentée. D’une manière générale, les pontes sont constituées de 4 à 12 œufs, le plus souvent 7 (LANGERWERF, comm. pers. 2003). Les œufs sont pondus dans un trou creusé par la femelle dans la boite de ponte, et aussitôt recouvert. Ils sont placés en incubation dans une boite profonde de dix centimètres, remplie à moitié de tourbe humide et fermée avec un couvercle troué. Cette boite est ensuite installée dans l’incubateur où la température est maintenue entre 26 et 28° C, l’hygrométrie étant de 100% environ. La durée d’incubation est d’environ 70 jours. Les nouveau–nés sont tout de suite bien vifs mais très farouches aussi. Pour leur éviter au maximum le stress, je les installe au calme dans une boite en plastique translucide (55 x 38 x 33 cm) sans couvercle. Sur la boite, un néon UV (type Reptisun) assure l’apport d’UVA et UVB et la luminosité nécessaire. Je ne mets pas de spot car la température de la pièce d’élevage est suffisamment élevée en été, 30–34° C le jour et 28° C la nuit. En effet, le jeune P. lesueurii craint la chaleur excessive. Dans cette boite, un bac d’eau 30 x 10 x 5 cm permet aux nouveau–nés de se baigner, l’eau étant changée dès qu’elle est souillée. Des vaporisations journalières gardent une hygrométrie assez importante. L’absence de couvercle évite l’apparition de problèmes respiratoires ou de peau (champignons) liés à une humidité excessive. Des nombreuses feuilles en plastique et quelques petites branches fournissent aux animaux des cachettes à leur mesure, indispensables pour les sécuriser. Les jeunes P. lesueurii peuvent être élevés ensemble. Ils restent farouches envers l’homme bien que je puisse les prendre régulièrement pour nettoyer leur terrarium sans provoquer des réactions négatives sur leur comportement alimentaire. BIBLIOGRAPHIE · ANTONINI O., 2004. Physignathus lesueurii (GRAY, 1831). Reptil Mag 16 : 16–23. · BROGARD J., 1992. Les maladies des reptiles. Collection Médecine Vétérinaire : 320 p. · COBORN J., 1996. Water Dragons, Sailfins Lizards and Basilisks. TFH : 12–13. · COGGER H. G., 2000. Reptiles and Amphibians of Australia. New Holland Publishers : 345–346. · DE VOSJOLI P., 1997. The lizards keepers handbook. Advanced Vivarium Systems. 176 p. · DE VRIENT E., 1998. Raising the Brown Australian Water Dragon Physignathus l. lesueurii. Reptilian october 1998 : 15–18. · GERARD P., 1997. L’élevage des lézards. Philippe Gérard Editions. 82 p. · GERARD P., HUSSARD N., ROSSELLE S., SAVARIN P., SCHILLIGER L., 2003. Atlas de la terrariophilie. Les lézards. Animalia Editions Vol. 3 : 192 p. · GREER A. E., 1989. The Biology and Evolution of Australian Lizards. Surrey Beatty & Sons Pty Limited : 1-19, 40-49. · GUTZKE W. H. N., CREWS D., 1988. Embryonic temperature determines adult sexuality in a reptile. Nature 332 : 832–834. · HOSER R. T., 1989. Australian Reptiles & Frogs. Pierson & Co. : 62–64. · LANGERWERF B., 1983. Über die Haltung und Zucht von Agama caucasia, Eichwald 1831 (Sauria, Agamidae). Salamandra 19 (1/2) : 11–20 · LANGERWERF B., 1998. Einfluß schwankender Temperaturen auf den Schlupf bei zwei Echsenarten. Elaphe 6 (3) : 22–24. · MANTHEY U., SCHUSTER N., 1996. Agamid Lizards. TFH : 135–141. · MATTISON C., 1989. Lizards of the world. Blandford : 192 p. · MATZ G., VANDERHAEGE M., 1978. Guide du Terrarium. Delachaux et Niestle : 190–191. · MEEK R., WEIR E., SUTCLIFFE G., 2000. Nest temperatures of the dragon Physignathus lesueurii in Southeast Australia. Herp. Bull. n° 76 : 26-27. · OBST F. J., RICHTER K., JACOB U. 1988. Atlas of Reptiles and Amphibians for the Terrarium. TFH : 608–610. · ROGNER M., 1997. Lizards. Krieger Vol. 1: 174–176. · SCHILLIGER L., GERARD P., 1998. Allo, véto! Philippe Gérard Editions. 82 p. · SCHILLIGER L., 2004. Guide pratique des maladies des reptiles en captivité. Editions MED’COM : 224 p. · SPRACKLAND R. G. 1992. Giant Lizards. TFH : 181–183. · STORR G. M., SMITH L. A., JOHNSTONE R. E., 1983. Lizards of Western Australia II. Dragons and Monitors. Western Australian Museum : x. · WEIGEL J. 1989. Care of australian Reptiles in captivity. Reptile Keepers Assoc. : 103. · WERNING H., 2002. Wasseragamen und Segelechsen. Natur und Tierverlag – Münster. 126 p. Source : bebesaurus
  19. Corucia zebrata est originaire d’une aire très restreinte, les Iles Salomon, y compris Bougainville. Ce scinque arboricole géant peut atteindre la taille de 80 cm. C’est un lézard nocturne et végétarien dont les mœurs sont assez inusuelles. En effet, il est ovovivipare, les femelles gardent dans le corps leurs oeufs fécondés (un seul, en général, rarement deux) jusqu'à l’éclosion des jeunes. Les adultes et les juvéniles vivent "en famille" soudé. AMENAGEMENT DU TERRARIUM En raison du caractère arboricole de ces lézards, un terrarium adapté aura une hauteur importante : par exemple, pour maintenir un couple, il mesurera 150 x 80 x 200 cm minimum. Il sera aménagé avec beaucoup de branches et des écorces entières de chêne–liège, dans lesquelles le lézard peut se cacher tout en demeurant en hauteur. Le sol des mes terrariums est revêtu de linoléum, plus facile à nettoyer étant donné que Corucia défèque, en général, à même le sol. Une lampe à vapeur de mercure mixte de 100W (type Powersun) fournit aux Corucia zebrata les UVA et UVB dont ils ont besoin, ainsi que luminosité et chaleur. Les branches et écorces seront placés de manière à permettre aux animaux de se rapprocher de la source lumineuse sans pouvoir l’atteindre, pour éviter les brûlures. En effet, même s’il s’agit d’un lézard crépusculaire et nocturne, Corucia zebrata sort de temps en temps la journée et s’installe sous la lampe, pour se chauffer et absorber les rayons ultraviolets. Ce sont surtout les femelles "gestantes" qui ont ce comportement. La température varie entre 32° C au point chaud et 25–28° C au point frais. En hiver, elle peut descendre jusqu’à 20° C. Pour éviter des températures inférieures, je fais tourner un chauffage de salle de bain de 2000W, avec thermostat. En effet, le terrarium dans lequel je maintiens mes Corucia zebrata est assez grand, 350 x 60 x 200 cm, et il est séparé en 3 parties par 2 cadres grillagés amovibles. La cohabitation de plusieurs individus étant souvent problématique, cet aménagement permet de garder séparés les individus incompatibles, tout en leur permettant de se voir. On peut ainsi étudier l'évolution de leur comportement et, éventuellement, réunifier les groupes ou en former de nouveaux. Grâce à cette méthode, j'ai pu former 2 couples qui s'entendent bien, et qui se sont reproduits. Au jour d’aujourd’hui, un couple partage son territoire avec trois de ses jeunes (âgés de trois ans, deux ans et un an), tandis que l’autre couple cohabite avec un jeune de deux ans. Le troisième groupe est composé d'un adulte non sexé, et d'un juvénile (4 ans environ) non sexé. Naturellement, chaque groupe possède une lampe à vapeur de mercure mixte, alors que le chauffage est unique, étant donné que les trois terrariums sont séparés par un grillage. Une bassine d’eau de 50 x 30 x 20 cm est placée à terre, les animaux s’y baignent parfois, notamment quand ils muent. Etant donné la zone de répartition du scinque à queue préhensile des Iles Salomon (écosystème tropical), des vaporisations régulières sont nécessaires afin de maintenir un taux d’humidité élevé, entre 60 et 80%. Je vaporise donc les terrariums quotidiennement en hiver et au printemps, tandis que le reste de l’année les vaporisations seront plus espacées. Ceci me permet d’établir aussi un certain rythme saisonnier, la photopériode étant constante tout au long de l’année, 12 heures de lumière par jour. La coupelle de nourriture est installée en hauteur, dans un plateau fixé sur les branches. D’après mes observations, les accouplements se passent à terre ; toutefois, les naissances ont lieu en hauteur, dans ou sur les écorces. ALIMENTATION Corucia zebrata est un lézard exclusivement végétarien. Son régime alimentaire sera constitué de salades ayant un bon rapport phospho–calcique (romaine, frisée, endives, chicorée, scarole, mâche, cresson, pissenlit, trèfle, luzerne, fanes de carottes, de navets et de radis etc.), de feuilles (mûrier–platane, pothos, faux acacia (robinier), lierre terrestre (Glechoma hederacea), grand plantain (Plantago major), Malva silvestris etc.), mélangés avec des légumes (haricots verts, courgettes, carottes, tomates etc.) et des fruits (pêches, abricots, cerises, fraises, oranges, clémentines, bananes etc.). Les aliments proposés varient selon les disponibilités saisonnières. La prise de nourriture s’effectue un jour sur deux, pour les adultes et les juvéniles. Deux fois par semaine (trois fois quand la femelle est gravide) j’ajoute aux aliments du carbonate de calcium. Une fois tous les quinze jours j’ajoute aussi des vitamines (un mélange de "Petphos croissance" (complément vitaminique pour chiots) et de vitamines pour oiseaux (Ocevital). REPRODUCTION La reproduction de Corucia zebrata est particulière en raison de sa spécificité de lézard ovovivipare. Chez les couples que je maintiens, aux conditions susmentionnées –notamment en ce qui concerne les vaporisations et la baisse hivernale de température–, les accouplements ont toujours eu lieu au printemps, de fin février à début mai. Après 6 à 8 mois de gestation, le jeune sort, formé, directement du ventre de la mère. Il est assez grand, 14 cm de longueur museau–cloaque et 31 cm de longueur totale, pour une masse corporelle de 60 g. Presque aussitôt, le nouveau–né avale son vitellus. Le premier jour, la mère l’ignore mais, à partir du deuxième jour, elle le défend farouchement contre tout danger potentiel, en premier lieu contre le soigneur. Souvent, je me suis rendu compte que la naissance avait eu lieu en observant le changement radical dans l’attitude de la femelle qui m’agressait la bouche grande ouverte dès que j’ouvrais le terrarium, ou même au–delà des vitres. Ce comportement dure environ six mois. Pendant cette période, la femelle suit presque toujours son petit, parfois elle le pousse à l’intérieur de l’écorce ou, par des légères morsures, l’incite à ne pas s’éloigner. Si le cas le plus fréquent est celui d’un seul bébé par femelle, il arrive que celle–ci donne naissance à des jumeaux. Les naissances peuvent avoir lieu tous les ans –comme c’est le cas d’une des femelles Corucia zebrata que je maintiens– ou se manifester avec moins de régularité –comme c’est le cas de l’autre femelle. Je pense que l’âge de l’animal, son état de santé et l’alimentation sont les facteurs qui ont une incidence dans la fréquence des naissances. En effet, la femelle nécessite d’une grande quantité d’énergie pour porter à terme la gestation. Corucia zebrata est un lézard très territorial. Son agressivité contre les congénères qui pénètrent dans son territoire est souvent meurtrière. D’une manière générale, deux mâles adultes ne peuvent cohabiter, mais il se peut qu’une femelle nouvellement introduite dans le terrarium soit agressée et blessée par les autres Corucia. Les morsures qu’ils s’infligent sont très dangereuses, un doigt, un bout de queue peuvent être sectionnés nets, une morsure au ventre peut s'avérer fatale. Cependant, cette territorialité se manifeste contre ceux qui sont externes au groupe. Par exemple, fait assez inusuel chez les reptiles, les jeunes sont reconnus et acceptés par les parents. La meilleure manière de constituer un groupe est donc, à mon avis, de commencer par installer un couple et ensuite garder, avec les parents, les jeunes nés de ce couple. Toutefois, il est nécessaire de tenir compte de la taille du terrarium, qui doit pouvoir "grandir" avec l'élargissement du groupe. Dans un terrarium 150 x 80 x 200 on ne devrait pas garder plus de trois, quatre individus maximum. A chaque nouvelle naissance, le plus âgé parmi les juvéniles doit être séparé. Corucia zebrata est un lézard gravement menacé d’extinction à cause de la disparition de son biotope (déforestation). Il est désormais interdit d’importation et il est devenu très rare en captivité. Pour ces raisons, sa détention doit être réservée aux éleveurs expérimentés qui visent sa reproduction en captivité.
  20. Description : Petit lézard au corps mince et aplati de 12 à 17 cm, gris brunâtre, souvent taché de marron surtout chez le mâle. Au soleil sur support rocheux. Se nourrit de petits invertébrés. Très commun. Présent dans presque tous les milieux, jusqu'à plus de 2500 m. Nourriture : Les proies sont principalement composées d'arthropodes adultes (arachnides, mouches, coléoptères, guêpes, abeilles, grillons, sauterelles, criquets...), mais la diète comprend également des gastéropodes, des chenilles, des larves d'insectes, etc... A propos des relations prédateur-proie qui lient le Lézard des murailles et les abeilles, il semble que le reptile soit totalement immunisé contre leurs piqûres venimeuses. Reproduction Le Lézard des murailles étant ovipare, il y a généralement deux pontes par an, parfois trois. Ces deux pontes sont peu abondantes: la première contient 3 à 8 oeufs, la seconde est souvent moins productive. Les oeufs, d'un diamètre de 5 à 6 mm pour 10 à 12 mm de long sont déposés dans un trou profond (10 cm, voire plus du double) que la femelle aura creusé elle-même. Au cours de l'incubation, les oeufs grossissent. L'éclosion a lieu 2 à 3 mois plus tard, en fonction de la température. Les nouveaux-nés atteignent alors 56 à 65 mm de long dont une part importante pour la queue. il faut généralement attendre deux ans pour qu'une femelle soit sexuellement mature. Pour pouvoir s'accoupler, les mâles doivent faire preuve de force et les combats entre mâles sont assez vigoureux. L'accouplement est du même type que celui des Lézards vivipare et des souches. Un été particulièrement chaud semble influencer favorablement la durée de la période de reproduction et donc, le succès de reproduction. Taille : Ce lézard mesure 25 centimètres de long. Habitat : Cette espèce thermophile affectionne les parois rocheuses escarpées et ensoleillées. Les nombreuses anfractuosités qui caractérisent son territoire sont gagnées précipitamment lorsqu'un intrus ou un danger potentiel se manifeste. Cependant, cette fuite se réalise en dernier recours. C'est généralement le mouvement brusque et imprévisible qui surprend l'observateur. La distance de fuite étant relativement faible, on peut observer cette espèce près des habitations humaines et généralement aux abords des ruines ou des vieux murs. La restauration locale d'une ruine ou d'un vieux mur peut se révéler être dramatique pour une population (suppression de la possibilité d'ensoleillement et destruction des cachettes). Par ailleurs, et comme son nom l'indique, le Lézard des murailles affectionne particulièrement les milieux caillouteux comme les éboulis, les voies de chemin de fer, les talus ensoleillées, les falaises, les bordures de bois et les carrières. La préférence va généralement aux milieux relativement secs. Statut : Espèce en forte régression. Gestion conservatoire : Dans les stations où l'espèce est présente, il convient de maintenir l'ensoleillement des parois rocheuses naturelles ou artificielles. Le Lézard des murailles peut coloniser de nouveaux milieux à condition que ceux-ci soient bien pourvus en proies potentielles d'une part, c'est-à-dire d'insectes, eux-mêmes dépendants d'une végétation herbacée abondante et, d'autre part, de vastes surfaces rocheuses exposées au sud. La mise en communication de sites intéressants pourrait se faire grâce à l'implantation ou la restauration de murets de pierres (non cimentées) limitant deux parcelles herbacées. Distribution géographique : La station la plus septentrionale est située dans la ville de Maastricht. Au sud, on retrouve cette espèce jusqu’au nord de l'Espagne, en Italie et en Grèce. La répartition comprend également une grande partie de l'Europe centrale (Roumanie, Balkans...)
  21. toxine

    acheter son lézard

    ce qu'il faut bien ce dire et comprendre c'est qu'un lézard n'est pas un animale de compagnie et encore moins un N.A.C. (nouvel animale de compagnie) mais belle et bien un reptile. on ne sortira pas le lézards en laisse dans le jardin ou dehors car ils risque de mourir. cela est dû a son sang. Il regule la chaleur de son sang avec la température ambiante ou un endroit chaud. un lézard ne sent pas les brulûre mais il a des conséquence tout de même c'est pour sa que je déconseille les pierre chaufante il reigne tout de même un risque bien que se soit un accesoire adapter reptile. Il ne demandera pas de caresse, ne reconnaîtra pas la main qui le soigne pour bien des espèces et n'hésitera pas a mordre si il est d'une certaine agressivité (exemple le tokay). En ce point avant d'acquerir un lézards un bon nombre de questions seront bonnes a se poser ! Du genre celle des finances car c'est assez couteux. Sans oublier qu'on est responsable d'une bête quelqu'elle soit une foie acheté ou que l'on élève. méditè a cela ... voici les questions principale a se posé avant l'achat : ais - je les moyens financiers d'acquérir l'animale en plus de sa nourriture, de son habitat (terrarium adapté à l'interressé), le matériel adéquate, la nourirture et les soins vétérinaires (et oui une maladies peut arrivais !) ?? ais - je un vétérinaire situé prés de chez moi ou arriverais je à allai au vétérinaire qui s'occupe des réptiles ?? (car tout vétérinaire ne soigne pas les reptiles.) ais - je la place pour installé un terrarium correspondant à ces besoins ?? ais - je du temps a lui consacrer ?? (le nourire, observer qu'ils mangent a leurs faim, qu'il n'y ai aucun problème, nettoyé le terrarium.) mon entourage ne développe aucune pobies sur les reptiles ?? qui s'en ocupera ?? quand je partirai en vacances ais je quelqu'un digne de confiance qui sera s'en ocupé convenablement ? ( car sinon aucune vacances.) j'insiste sur le fait que le lézards n'est pas un jouet. qu'on ne le sort que lorsque cela est nécésaire ou pour certaines espèces manipulable que quelques minutes. j'avoue qu'au niveau maintenance il est plus facile de tenir un lézard qu'un hamster ou autres. le lézard on nettoie le terra une foie tout les 15 jours ou tous les mois. Mais se n'est pas un animale pour impressionné ou faire peur aux voisins. comme dit plus haut certains spécimens seront pris d'une curiosité à découvrir l'exterieur du terrarium, dans ce cas c'est à vous de restreindre la sortie en l'habituant a découvrir l'exterieur en plusieur fois a la même heure chaque jours. une fois ces conditions en tête et remplie on engage des recherche sur l'espèce que l'on souhaite et qui nous conviendra le mieu. caractère (docile, agressif, diurne, nocturne), biotype (montagneux, forestier), alimentation, taille le l'animale et dimenssion du terrarium. pour ceci rechercher des fiche d'élevage sur internet ou inscrivez vous a notre forum où plusieurs fiches sont disponnible. le budget : C ' est une passion qui est très couteuse. une personne astucieuse et fouinneuse trouvera toujours une ocasion a ne pas loupé défiant toutes concurences et pourra assuré a moindre coup. (certaines astuces disponnible dans le forum.) le terrarium varie entre 30 et 500 € pour les plus spacieux. (le prix depend aussi si c'est un terrarium fait maison, si il est d'ocasion ou neuf.) un système de chauffage : un cable chauffant entre 30 et 50 € selon la taille et la puissance. un paterre avec lampe chauffante donc ampoule. 10/30€ le paterre et l'ampoule 5/10 € balaste pour néon ce qui fait que le tube de néon fonctionne. un système d'éclairage : néon spéciale reptiles entre 20 /30 €. ampoule de jour ou de nuit entre 9/90 € système pour ampoule de 5/30 € (spot ou système special terra) balastre de néon entre 20/50 € réflecteur entre 5/15 € système de contrôle : un thermomètre entre 5/30 € (anonalogique, digitale) un hygromètre entre 5/30 € (anologique, digitale) système d'eau : il permetra d'augmenter l'hygromètrie sinon pulvériser le terrarium un bac d'eau entre 5/40 € cascade 40/80 € goutte a goutte 5/20 € substrat : le sol du terrarium va du papier journale (souvent dans les fauna box) au sac de sable calcisand entre 0/10€ pièce car plus votre terrarium aurra une grande suface plus il vous en faudra. l'achat de l'animale : si vous étes sûr de pouvoir remplir cela, alors on peu reflechir a l'achat d'un lézard. maintenant différent mode d'achat se présente a vous. achat de particulier à particulier : le favori de tous les terrariophiles car aucun soucy de transport le lézard n'arrive pas stresser et tout dépité. on est sur de la provenance et d'avoir aucun soucis par la suite car il a étè tenu en de bonnes conditions. moins chers qu'en animaleries cet achat a tous les atous pour ravir. parfois dû à la distance séparant les deux terrariophile on fais apelle a une sociétè de transport agrée exmple sernam. mais c'est cher et animale stresse ensuite les condition ne sont pas toujours géniale donc moi personnellement je déconseille ou voir la resistance de l'animale mais je déconseille tout de même. achat en bourse : la qualité n'en parlons pas elle est géniale tout comme le prix. achat en animaleire : elle peu s'averai dangereuse dans certaines. bien vérifier l'état du lézard, du terrarium dans lequels il est, ne pas trop tenir compte des infos donné par le vendeur car eux vendent et ne regarde pas autre chose. ne surtout pas accepter d'import (il favorise l'extinction des espèce. cela est reserver au professionnel ou expert misant la reproduction.) achat en ligne : tous dépend de quels site internet cela est un peu la surprise. bien vérifier les clause avant l'achat. le prix varie du mode de l'achat, de l'espèce, de la phase, de la rareté de l'animale. pour les débutants on prendra ces espèces conseillé. les agamidés : le physignatus le pogona les chamaéléonïdés : le chaméléon calyptratus le furcifer pardalis les geckonïdés : le gecko gecko (tokay) le gecko vittatus le gecko auratus le gecko smithii le eublépharis macularius l' hémidactylus mabouïa l' hemitheconyx caudicinctus le pachydactylus bibronii le rhacodactylus ciliatus certains phelsumas mais pas tous. les iguanïdés : les anolis le crotaphytus le leïocephalus les scéloporus les lacertidaés : le holaspis guenther les scinsïdaés : le emoya le mabuya la riopa fernandi les teiidaés : le cnémidophorus l'hygiène : le terrarium sera netoyé tout les 15 jours voir 1 mois. changer l'eau du bac tout les jours sauf si reservoir et dans ce cas toutes les semaines. avant et apres chaque manipulation vous devrez vous lavez les main pour ne pas se retrouvez a lui infligé des bactéries. le repas : les proie devront être adapter a la tête du lézards pour qu'il puisse les mangées. la proie devra etre entre la moitié de la taille de tête à la tête elle même, jamais plus gros. on donnera de préférence du vivants pour différentes causes : carences, acoutumence, développe les techniques de chasses. parfois nous somme obligé de donné du mort (lézard difficile, habitué au mort) mais il serai preferable pour son bien être de l'habitué au vivant et developper ses techniques. pour se faire des gamelles vibrantes existe sur le marché ou on viendra y metre du mort et petit a petit dissilmilé des vivants mais avec des pattes aracher pour pas qu'ils se sauvent trop vite. et ainssi il retrouvera la chasse. certaines espèces deviennent partiellement herbivore ou frugivore (uromastix) en vieillissant il est imperatif de se renseigné au préalable sur son alimentation. (de même que certains légumes et autre seront acide pour lui et peuvent avoir des répercutions.) il faut varié leurs alimentation car grillons et criquets formant leurs "bases" en alimentations chez de nombreuses espèces. alors pour varié il existe les teignes de ruches, morios, buffalo, lombrics, vers de soies, drosophiles, blattes ... la fréquence comparer a un serpent c'est que le lézard sera nourrit tout les jours. mais a vous d'adapté la tailles des proies et le nombres. (exemple 20 grillons pour un pogona fais juste tandis que pour une anolis s'à en est beaucoup trop.) les juvéniles seront nourrit a volonté pour évité les carences tandis que les adultes auront une limite pour evité un surpoids, l'obésité et autres ...
  22. Nom Commun : Scinque crocodile aux yeux rouge, Tribo aux yeux rouges, Crocodile des buissons. Nom scientifique : Tribolonotus gracilis Distribution naturelle et habitat : Vit dans les jungles denses d'Indonésie et de la Nouvelle Guinée. Il se trouve particulièrement sous des bûches en couvertes de mousse ou en décomposition, où l'humidité est très élevée (95-100%) et la température généralement dans les 25ºC. Généralement importé d'Indonésie. Description : Petit scinque crépusculaire à nocturne. Sa couleur de fond est brun pâle à brun foncé. Le contour des yeux est orange fluorescent et a l'air d'avoir été tracé avec de la peinture, l'iris est jaune serin et la pupille est ronde. Les écailles qui couvrent le corps rappellent le cuir ou les écailles d'un crocodilien. Il y a 4 rangées d'épines très robustes sur le dos et queue. Les écailles très rigides de la tête sont particulièrement impressionnantes. La tête est triangulaire et est très découpée au niveau du cou, ce qui laisse l'impression que le lézard porte un casque dimorphisme: les mâles sont sensiblement plus grands que les femelles et présentent une petite portion d'écailles ventrales élargies au milieu de l'abdomen. Taille Adulte : De 150-200mm. Je n'ai vu que très rarement des spécimens dépassant 170mm. meurs: crépusculaire et nocturne, est avant tout une espèce fouisseuse que l'on peut trouver sous des souches pourries et très humides, ou dans des dédales de galeries qu'il creuse dans le sous sol forestier. Cet animal est d'un naturel calme, ne mord que si il se sent menacé ou manipulé molestement. Les jeunes ont la faculté de "faire le mort" si ils sont effrayés. Comme la plupart des lézards, le Tribolonotus a la possibilité de perdre sa queue (autotomie). Terrarium: de taille raisonnable (100/40/40cm), avec un substrat humide composé de tourbe, de feuilles mortes et de terreau sur une épaisseur de 20cm doté d'un taux hygrométrique élevé (humide mais pas trempé!); la température doit être comprise entre 23° et 28° le jour, et entre 17° et 20° la nuit avec une variante de plus ou moins 2°C. Il est nécessaire de prévoir une amplitude de 10° environ au sein même du terrarium afin que le Tribolonotus puisse choisir sa température en fonction de ses besoins. Il est possible de maintenir le terrarium plus au sec en mettant une bassine d'eau d'un centimètre de profondeur pour pallier aux besoins d'humidité; attention toutefois de ne pas baisser trop l'hygrométrie sous peine d'influencer sur la mue: celle-ci se fera difficilement surtout au niveau des épines et de la queue, des mycoses ou attaques bactériennes pourront alors s'y localiser. Pour diminuer le stress, il est indispensable de lui fournir de nombreuses cachettes sous forme d'écorce de liège, de pierres plates ou de souches légères. Malgré ses moeurs nocturnes, un apport en UV semble nécessaire pour cet animal: en effet, certains spécimens élevés au Zoo de Dallas (Texas) ont présenté des troubles de l'alimentation, une léthargie, une anorexie et des lésions bactériennes rapidement améliorées en quelques jours avec une exposition quotidienne d'UVB. Après plusieurs mois de traitement préventif, le lézard n'a plus représenté ces symptômes. Le Tribolonotus doit être impérativement maintenu en couple sous peine de voir les mâles se battre au moment de la reproduction qui a lieu tout au long de l'année avec une prépondérance en fin de printemps. Il semble qu'il y ait également des problèmes de comportement entre femelles sexuellement matures. Température : 23-25ºC le jour (27-28ºC au point le plus chaud) et 18-20ºC la nuit. Alimentation : Insectivore. Offrir une variété d'insectes et leur larves. Particulièrement gourmand des vers de terre, larves de zoophobas et araignées. Certains spécimens acceptent les souriceaux. Saupoudrer la nourriture de Calcium et vitamines. reproduction: Tribolonotus gracilis est essentiellement ovipare: les oeufs (1-2?) sont déposés toutes les cinq semaines sous de pierres ou des écorces, l'incubation dure en moyenne 60 jours (de 42 à 83 jours) et la femelle surveille le lieu de ponte. Le ratio mâles/femelles n'est pas influencé par la température d'incubation. La maturité sexuelle semble être plus tardive que chez les autres lézards, entre 3 et 5 ans suivant les sources. Tempérament et particularités: Facile à manipuler, je n'ai jamais remarqué d'agression d'un Tribo envers d'autres lézards, y compris leur progéniture. Les Tribo sont capables d'émettre des sons! Mis à part les geckos, les lézards qui peuvent émettre des sons sont très rares. Le Tribo émet souvent de petits croassements quand on le manipule ou qu'il est effrayé...
  23. Classe: Reptilia - Reptiles. Sous classe: Lepidosauromorpha - Lepidosauriens. Ordre: Squamata - Squamates (Sauro-ophidiens). Sous ordre: Sauria - Lézards (lacertilia). Ordre intermédiaire: Gekkota. Famille: Gekkonidae - Gekkonidés. Sous-famille: Gekkoninae - Gekkoninés. Genre: Gekko. Espèce: Smithii. Nom vernaculaire: Nom scientifique: Gekko smithii. Répartition: Sud de la Thaïlande, Singapour, Ouest de la Malaisie, Inde, Indonésie. Biotope: Forêts, rizières. Biologie: Arboricole. Alimentation: Insectivore. Comportement: Nocturne. Reproduction: Ovipare. Taille: 20 à 28 cm. condition de maintenance similaire au gecko tokay
  24. Classe: Reptilia - Reptiles. Sous-classe: Lepidosauromorpha - Lepidosauriens. Ordre: Squamata - Squamates (Sauro-ophidiens). Sous-ordre: Sauria - Lézards (lacertilia). Ordre intermédiaire: Iguania - Iguanes. Famille: Agamidae - Agamidés. Sous-famille: Agaminae - Agaminés. Genre: Agama. Espèce: Agama. Nom vernaculaire: Margouillat. Nom scientifique: Agama agama. Répartition: Ouest et Centre de l'Afrique. Biotope: Terrains découverts rocheux, proximité des habitations. Biologie: Arboricole. Alimentation: Insectivore. Comportement: Diurne. Reproduction: Ovipare, 3 à 8 oeufs. Taille: 28 à 40cm. Description : On le trouve dans la majeure partie de l’Afrique sub-désertique, comme on trouve en France des moineaux un peu partout ; ses caractéristiques physiques sont les suivantes : le dessous et le dessus de son corps est brun-gris, les pattes également, ainsi que la queue parfois ; sinon cette dernière est colorée en jaune, bleu, rouge, selon la sous-espèce dont il s’agit. Il y a un certain dysmorphisme sexuel : alors que les femelles restent peu colorées voire entièrement grises, les mâles et les jeunes subadultes possèdent une tête colorée en jaune, rouge ou orange selon la sous-espèce. L’Agama Agama a une grande tête séparée du corps, une longue queue, des ouvertures d’oreilles bien développées et des paupières. La taille maximum pour les mâles est de 35 cm et les femelles 25-30 cm. Les femelles atteignent la maturité sexuelle à l’âge de 14-18 mois, les mâles à deux ans. L’agama se reproduit pendant la saison des pluies bien qu’ils soient capables de se reproduire toute l’année dans les zones plus moins arides. La femelle pondra ses oeufs (cinq à sept) dans un trou qu’elle creuse avec son museau et ses griffes. Le trou sera de cinq centimètres de profondeur dans un sol humide exposé à la lumière du soleil presque toute la journée. On obtient des mâles à une température de 29°C, et des femelles à 26-27°C. Les oeufs éclosent dans un délai de huit à dix semaines. Maintenance : l’Agama Agama est poïkilotherme, comme les autres reptiles ; il lui faudra des températures de 22-23°C la nuit, et 30°C le jour, avec un point chaud à 35°C (gradient thermique). Dans la nature, on peut les observer en plein soleil la majeure partie de la journée, sauf pendant les heures où le soleil tape trop fort à la saison sèche. Il va donc de soi qu’il leur faut un maximum d’UV, ce que vous pourrez leur donner avec un néon adapté, et une Basking spéciale. Nourriture : L’Agama Agama est surtout insectivore, cependant dans la nature il mange aussi des petits mammifères ou reptiles, et un peu de végétation telle que des fleurs, des herbes, et des fruits. Leur régime se compose principalement de sauterelles, de coléoptères, et de termites (dans la nature, des fourmis également). N’oubliez pas de lui fournir des vitamines régulièrement pour palier au manque certain qu’ils ont en captivité, mais sans excés. Le mâle adulte défend le jour son territoire occupé par quelques femelles et des jeunes. La maturité sexuelle est atteinte au bout de deux ans. La reproduction est plus liée à l'abondance de la végétation qu'à une saison particulière. Il y a une à deux pontes par an de trois à douze œufs, l'incubation durant quarante jours pour une température de 30°C.
  25. Répartition : Asie du Sud Est Alimentation : insectes, lézards Taille : 25 à 30 cm pour les femelles, 35 cm pour les males Température jour: 26-29°C et 32-35°C au point chaud Température nuit : 19 à 24°C Hygrométrie : 60-80% Ovipare Description : Ce lézard gris foncé à gris clair, tacheté de pastilles orange vif, est l’un des reptiles les plus curieux ! Ses yeux énormes à la pupille verticale en font un chasseur nocturne au gros appêtit pourvu qu’il dispose de nombreux abris de plantes où se dissimuler. Sa taille impressionnante ajoutée à ses "aboiements" sonores lorsqu’il se sent menacé en font également un animal relativement effrayant : si vous l’approchez il ouvre la gueule, se prépare à vous assaillir, et n’hésite pas à bondir pour vous mordre si décidément vous abusez de son hospitalité !! Vous l’avez compris, ce gecko magnifique n’a pour lui que sa beauté particulière...Il reste néanmoins accessible aux débutants sérieux qui lui offriront l’installation qu’il mérite. Il est recommandé de ne pas le manipuler, mais plutôt de l’attraper avec un filet ou une boite (attention à ne pas couper la queue, même si elle repousse) ; bien installé il sera bon mangeur et facile à maintenir. Il sera d’ailleurs préférable d’accueillir un couple. Maintenance : des températures de jour égales 27°C avec 30°C au point chaud, et une température nocturne de 22-23°C sont recommandées. Pour l’hygrométrie, approchez les 80%, en pulvérisant les feuillages, en mettant un brumisateur (la meilleure solution) programmé sur quelques plages horaires distinctes, ou en plaçant un goutte-à-goutte : attention quand même au fait que ces geckos craignent l’humidité EXCESSIVE ! De même, préférez ne pas mettre de néon, car il est nocturne : cela le stresserait. Préférez un complément en vitamine D3 (poudre à donner aux insectes avec modération). Enfin, même s’il s’habitue bien à l’homme en fin de compte, mettez un maximum de fausses plantes et de branches et/ou lianes dans le terrarium, pour lui offrir de nombreuses cachettes. Nourriture : il mange surtout des insectes, mais vue sa taille il ne refuse pas des proies plus grosses, comme des souriceaux ou même des souriceaux ! Veillez à lui donner régulièrement des produits vitaminés !! En Inde le Gecko Tokay est signe de chance. Le tokay : un chanteur à voix Le tokay est capable d’émettre des sons comme le font les oiseaux ou les batraciens. Seul le mâle est doué de la « parole ». Il pousse des cris étranges rappelant tantôt un aboiement, tantôt le chant d’une cigale. Le tokay possède trois cris nettement différents : * Un cri d’appel * Un cri de détresse * Un cri associé à la période de reproduction Son cri d’appel fait songer aux deux syllabes « to-kay » d’où son nom. On peut entendre son cri à plus de 100 mètres.C’est un solitaire nocturne. Chaque nuit, il pousse ses puissants cris qui peuvent inquiéter. Le voyageur peut être effrayé car ce lézard pousse de véritables hurlements à l’intérieur même des maisons. Le tokay chasse à l’affût. Son menu ordinaire se compose d’insectes mais il n’hésite pas à s’attaquer à des jeunes serpents, des oisillons ou des petits mammifères. Il rampe vers sa proie puis bondit sur elle et s’en saisit avec la gueule. Là, il ne lâche plus sa victime, lui cognant la tête contre le sol jusqu’à ce qu’elle soit assommée. Il ne lui reste plus qu’à la déchiqueter avec ses petites dents bien acérées. Mais, si la proie reste immobile, elle a toutes les chances de s’en sortir. En effet, le tokay ne distingue pas les formes immobiles. Son excellente vue ne détecte que les mouvements. L’espèce est ovipare. La femelle pond 1 ou 2 œufs entre 4 à 6 fois par an, l’accouplement ce fait tout au long de l’année. Les œufs sont ronds, blancs, à coquilles calcaire et mesure +- 2 cm. La durée d’incubation varie de 80 et 120 jours, la température devra atteindre 30%C.
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