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Durden1

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Messages posté(e)s par Durden1


  1. Mon chouchou, 3cm a peine... Ne sors que très rarement... Je l'ai vu trois fois en 8 mois, et elle n'as mangé qu'un seul micro grillon... De plus cette petite femelle originaire du Chili semble être gravide *

    * pleine/enceinte


    QUI a dit "Scorpion de poche?!"


    Une belle pose durant l'une de ses rares sorties


    Réussi a la prendre en coup de vent


  2. Vous remarquerez que le Pandinus Imperator change facilement de couleur selon la luminosité, parfois il sera vert foncé, parfois bleu océan, parfois noir anthracite, parfois il sera "mauve pétrole"....

    Ceci est le tout premier scorpion que j'ai maintenu il s'agit d'un beau mâle de 18 cm !






    Chélicères en action ! (Désolé pour les âmes sensibles)


  3. Comme vous avez tous été sages, quelques nouvelles photos, plus "techniques"


    Pas sur la bouche...


    8 au total, les vestiges des branchies (il y'a bien longtemps). Ces fentes sont gérées par des muscles, derrière elles : les poumons du scorpion!



    Les peignes, permettent de déterminer le sexe d'un spécimen, dans ce cas ci 20 à 27 cils de peignes chez la femelle, 27 à 32 chez le mâle.


  4. TEST ELISA

    Toxines de venins de serpents et de scorpions

    Les venins de serpent et de scorpions sont de riches sources de protéines toxiques qui possèdent des sites d'action variés (jonction neuromusculaire, hémostase..). De nombreux tests d'immunodétection des venins dans leur totalité ou de toxines isolées ont été développés (pour revue, Selvanayagam et Gopalakrishnakone, 1999). Les radioimmunoessais ne sont guère plus employés du fait de la difficulté de manipulation des radioéléments et ont fait place aux tests de type RPLA ou aux tests ELISA. Les tests d'immunodétection des toxines isolées ou de la fraction toxique d'un venin sont utilisés soit pour identifier les espèces responsables d'envenimation (Li and Ownby, 1994), soit pour quantifier les antigènes de venin :

    1/ dans les échantillons biologiques d'animaux expérimentaux afin d'en déterminer les paramètres pharmacocinétiques (Nakamura et al., 1995; Barral-Netto and Sohsten, 1991),

    2/ dans les échantillons biologiques de patients envenimés dans un but de diagnostic ou de suivi du traitement spécifique des envenimations (Krifi et al., 1998; Amaral et al., 1997).

    L’immunodétection des venins de serpent, par exemple celui des vipères européennes, présente un intérêt particulier pour l’optimisation du traitement des envenimations. Les envenimations ophidiennes représentent un problème de santé publique dans de nombreux pays et l'immunothérapie antivenimeuse est le seul traitement spécifique de ces affections. Ce traitement a été longtemps controversé en Europe du fait du manque d'études contrôlées prouvant son efficacité et établissant rigoureusement ses conditions d'utilisation. Afin d'optimiser l'immunothérapie antivenimeuse, nous avons choisi comme modèle l'envenimation par les vipères européennes. Une enquête prospective a été menée durant deux ans auprès d'hôpitaux français, afin de collecter des données épidémiologiques, cliniques et biologiques des envenimations. Cette enquête a permis d'établir une gradation clinique de la sévérité de l'envenimation basée sur les signes cliniques les plus précoces. En parallèle, un test d'immunodétection des antigènes de venin dans les échantillons biologiques des patients envenimés a été mis au point (Audebert et al., 1992). Les concentrations de venin mesurées à posteriori à partir d'échantillons biologiques prélevés dans les 4 premières heures après l'envenimation ont montré une bonne corrélation avec la sévérité clinique (gradation) de l'envenimation. Ce test ELISA permet de déterminer une concentration seuil de venin, au dessus de laquelle l'envenimation est modérée, ou sévère et nécessite un traitement spécifique. Il permet ainsi de confirmer un diagnostic clinique et est un outil pronostic de la gravité de l'envenimation. Ce test peut être également utilisé pour vérifier l’efficacité de l’immunothérapie antivenimeuse.
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