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Niveau d'indice de dangerosité

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Suite aux photos, de son scorpion, postées par Durden et de son commentaire:
Espèce déconseillée aux débutants ! Indice de dangerosité : 4

Je me posai la question scratch
Comment et qui défini l'indice de dangerosité d'un scorpion Question

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Invité
L'indice va de 1 à 5...5 étant très dangereux et très toxique

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ANTHONY a écrit:
L'indice va de 1 à 5...5 étant très dangereux et très toxique


Mais comment est défini pour telle ou telle espèce son indice Question

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Invité
Bah selon la toxicité du venin du specimen

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Il faut sacrifier des entomologistes et récolter leurs impressions...

Franchement, je ne sais pas, je présume que cela se passe sur base d'une analyse du venin ?

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ANTHONY a écrit:
Bah selon la toxicité du venin du specimen



Bien vu... lol

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Durden a écrit:

Franchement, je ne sais pas, je présume que cela se passe sur base d'une analyse du venin ?


tres certainement.
Si on sait isoler les differents composants ( differentes enzymes, protéines, facteurs...) de venin de serpents (par exemple) et leur attribuer un rôle biochimique, on sait aussi le faire chez les scorpions http://www.pasteur.fr/recherche/RAR/RAR97/Lrmn.html

couplons à ca les quelques cas d'envenimation, et les études des effets du venin et de la DL50 sur nos chères Mus....

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Sur base du taux de décès par cas de morsures aussi, les stats des hopitaux ne mentent pas

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je ne sais pas si on peut prendre ca en compte dans les niveaux de toxicité, trop de facteurs jouent: la répartition, les niches écologiques par raport à l'homme, la qualité des soins suivant la richesse du pays , la disponibilité du personnel...
certainement instructif du point de vue de la letalité, mais rien d'interessant concernant les niveaux de toxicité.

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Invité
Durden-------> regarde moi là
lol!

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TEST ELISA

Toxines de venins de serpents et de scorpions

Les venins de serpent et de scorpions sont de riches sources de protéines toxiques qui possèdent des sites d'action variés (jonction neuromusculaire, hémostase..). De nombreux tests d'immunodétection des venins dans leur totalité ou de toxines isolées ont été développés (pour revue, Selvanayagam et Gopalakrishnakone, 1999). Les radioimmunoessais ne sont guère plus employés du fait de la difficulté de manipulation des radioéléments et ont fait place aux tests de type RPLA ou aux tests ELISA. Les tests d'immunodétection des toxines isolées ou de la fraction toxique d'un venin sont utilisés soit pour identifier les espèces responsables d'envenimation (Li and Ownby, 1994), soit pour quantifier les antigènes de venin :

1/ dans les échantillons biologiques d'animaux expérimentaux afin d'en déterminer les paramètres pharmacocinétiques (Nakamura et al., 1995; Barral-Netto and Sohsten, 1991),

2/ dans les échantillons biologiques de patients envenimés dans un but de diagnostic ou de suivi du traitement spécifique des envenimations (Krifi et al., 1998; Amaral et al., 1997).

L’immunodétection des venins de serpent, par exemple celui des vipères européennes, présente un intérêt particulier pour l’optimisation du traitement des envenimations. Les envenimations ophidiennes représentent un problème de santé publique dans de nombreux pays et l'immunothérapie antivenimeuse est le seul traitement spécifique de ces affections. Ce traitement a été longtemps controversé en Europe du fait du manque d'études contrôlées prouvant son efficacité et établissant rigoureusement ses conditions d'utilisation. Afin d'optimiser l'immunothérapie antivenimeuse, nous avons choisi comme modèle l'envenimation par les vipères européennes. Une enquête prospective a été menée durant deux ans auprès d'hôpitaux français, afin de collecter des données épidémiologiques, cliniques et biologiques des envenimations. Cette enquête a permis d'établir une gradation clinique de la sévérité de l'envenimation basée sur les signes cliniques les plus précoces. En parallèle, un test d'immunodétection des antigènes de venin dans les échantillons biologiques des patients envenimés a été mis au point (Audebert et al., 1992). Les concentrations de venin mesurées à posteriori à partir d'échantillons biologiques prélevés dans les 4 premières heures après l'envenimation ont montré une bonne corrélation avec la sévérité clinique (gradation) de l'envenimation. Ce test ELISA permet de déterminer une concentration seuil de venin, au dessus de laquelle l'envenimation est modérée, ou sévère et nécessite un traitement spécifique. Il permet ainsi de confirmer un diagnostic clinique et est un outil pronostic de la gravité de l'envenimation. Ce test peut être également utilisé pour vérifier l’efficacité de l’immunothérapie antivenimeuse.
(source)

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