Rudy04

Bon a l'heure ou j'arrive l'arène n'est plus qu'une champ de ruines ou gisent diverse écorces coupées trop nettes pour que cela ne soit le résultat de la bataille... Pour le prix de tes plantes en plastiques sur GDBObalcons... /t18708-gd-bo-balcons-est-votre-partenaire?highlight=balcons

Bon je vais peut etre faire un effort pour terminer mon terra désertique du coup... Merci. Bien entendu il faut faire attention à ce que la photo de base ne soit pas trop petite!

Paaaaas bien d'accueillir un animal sans connaitre ses besoins.... Ce gecko est originaire du Asie du Sud-Est. Il est nocturne et assez farouche, les manipulations de sont donc pas de mise. Le terra devra est assez grand, (60*40*80) car il fait de 20cm pour les femelles à 25 cm pour le males. Point chaud: 30°C Point froid: 25°C Nuit: 22°C Certains disent que les Uv ne sont pas indispensables comme il est nocturne, perso j'en mettrais quand même, ça peut pas faire de mal, disons 5.0. En fait le maintien est similaire à celui pour le gekko geko.

Tupinambis merianae Albinos Tupinambis merianae Blue Tupinambis merianae Snow Photos pour illustrations Source: http://www.bluetegu.com/

Je veux bien qu'il arrive parfois que certaines écailles ne se décollent pas, ça m'est déja arrivé aussi, mais là... c'est les 3/4 de la peau qui sont encore là... Donc pour moi il n'y a pas encore d'inquiètude à avoir. Il faut aussi un peu de temps à ce que la peau tombe, une semaine n'a rien d'extraordianire pour moi. Je pense que la partie de peau qui est tombé en premier n'a rien de choquant car cette partie est soumise au frottement de le peau lors des déplacement du lézard, à l'inverse de la patte. Ensuite, je trouve que c'est bizarre qu'il se cache, c'est pas franchement une espèce sensible au stress, même jeune. Mais d'un coté, si on arette pas de le chopper pour le mettre au bain et qu'on l'asticote... Le grillage qui filtre les UV, c'est une rumeur qui court pas mal sur les forums, je ne vois pas en quoi les mailles qui laissent des parties de vides, puisque ce sont des mailles justement, empêcheraient les Uv de passer... Pour les Uv, la règle est que, la source doit etre situé à 30cm d'un point ou peut se poser l'animal. Au dela de 30cm et de 6mois d'utilisation, ça sert à rien. Vu comme ça je ne le baignerais que tous les deux jours, même si j'ai l'impression que Pinodzo tu stresses plus que ton pogona.

Tupinambis refuscens Red Tegu Tupinambis teguixin aussi nommé T. nigropunctatus Gold Tegu Photos pour illustrations Source: Google images

Tupinambis merianae Black and White Tegu Merci à Ludo.B. pour la photo Tupinambis quadrilineatus Photos pour illustrations Source: Google images

Tupinambis duseni Yellow tegu Tupinambis longilineus Photos pour illustrations Source: Google images

12.0 c'est bon, je me demande même si c'est pas mieux que du 10.0, même si un écart de seulement 2.0 c'est pas immense. Qui t'a dit que c'était nocif... Des UvB nocif pour un lézard diurne désertique, on aura tout vu.

Oula, mais c'est pas un petit bout ça... il est carrément en mue enfait... Laisse faire les choses ça partira tout seul. Pour le terrarium, met lui une deux pierres naturelles plutot rapeuses pour qu'il puisse se frotter lorsqu'il est en mur justement.

Ah ben c'est sur que si elle vient de la dame qui s'apelle Chance, ça peut qu'etre une belle gutt. Et puis p'tet même du Monsieur au pseudo Askook

Tympanocryptis tetraporophora Eyrean earless dragon Photos pour illustrations Source Google images.

Tympanocryptis lineata Lined Earless Lizard Tympanocryptis pinguicola Grassland Earless Dragon Photos pour illustrations Source Google images.

Tympanocryptis diemensis Mountain Dragon Tympanocryptis intima Gibber earless dragon Photos pour illustrations Source Google images.

Tympanocryptis centralis Centralian earless dragon Tympanocryptis cephalus Blotch-tailed earless dragon Photos pour illustrations Source Google images.

Il ne perd le membre touché que si l'ancienne peau ne fait un garrot comme je t'ai déja dit. Pour que cela arrive, la mue doit faire comme une bague. S'il n'y a que des écailles par ci par là, ce n'est pas grave. Fait nous des photos de la mue qui ne part pas.

Continue le bain une fois par jour. ça partira tout seul, mais bien attention a que la vieille peau ne reste pas coller autour des doigt ou autour de la queue, sinon cela provoque un garrot et la partie du membre touchée tombera. En revanche s'il est agressif, c'est qu'il y a un problème. Il est possible que tu lui fasse mal si tu essaye de lui enlever la peau morte toi même. Essaye seulement avec un coton tige et dans le sens des écailes. Est il toujours dans sa grotte? A quelle heure allume tu est éteind tu le terrariums? Tu as toujours les même température? Pour pallier au manque de bouffe, tu peux monter un tout petit élevage de blattes dont tu te servira de temps en temps. C'est rapide, et ça coute casiquemnt rien en temps comme en en argent. Moi ça m'aide bien.

Quel age a til déja? 3 jours sans manger du tout c'est pas mal quand même. Tu peux lui en donner 5 Dimanche et 5 Mardi, histoire qu'il n'ai pas trop le ventre vide. Et en attendant tous les jours jusqu'a mercredi donne lui des végétaux, essaye le pissenlit c'est souvent apprécié, avec de la mache, carrotes, figue sèche, poivron...

Il était issue de farming et venait de chez Reptile-home au prix de 150€. C'était la première fois que j'en voyais en dehors des docu ou des livres... J'adorerais en remaintenir si un jour je peux lui fournir des conditions de vie adéquates. Ils sont fascinants. En revanche je me tournerais plus vers les particuliers, cette espèce se reproduit plutot bien en captivité. Tu peux en trouver assez facilement sur le net chez les fanas de Caméléons.

Je cherche pas à jetter la pierre a qui que se soir hein... C'est juste pour me conforter dans l'idée que je ne suis pas le seul à faire des conneries. En Janvier dernier, j'ai acheté un Chamaeleo jacksonii sur les conseils de maintenance du vendeur. Sauf que lorsque je me suis rendu compte que la température de nuit devait etre 15°C et non pas 20°C, c'était trop tard. J'ai préféré le vendre avant que n'arrive l'été et ses températures...

Et personne n'a jamais eut de gros soucis ? Du genre des conditions qu'on en peut pas recréer, un taille adulte sous estimé...

Il a l'air d'avoir bien grandit aussi =)

L'école de Vétérinaires d'Alfort met en ligne les thèses de ses étudiants. Certaines sont portées sur les reptiles. http://theses.vet-alfort.fr/index.php

Salut, J'aurais tendance à te dire que la température létale pour un Pogona vitticeps, voir pour les reptiles est surtout la TmC (Température minimale Critique) est surtout une température trop froide. J'ai lu sur le net qu'elle est de 4°C.... Je ne pourrais pas me prononcer là dessus, je n'ai jamais exposer le mien en dessous de 18-17° maximum. Le soucis c'est que la même source indique la TMC (Température Maximale Critique) est de 46°C or c'est une ânerie, car c'est la température indiquée pour le Point chaud en moyenne. Mes Pogona supportent les 50°C sans problèmes sous le point chaud et ce n'est pas rare de les voir y prendre des bains de soleil. Certains élèvent de la même manière les juvéniles et les adultes, donc cela doit etre a peu prés équivalent. En clair pour moi il vaut mieux trop chaud que trop froid. Sans excès non plus hein... Si une gamelle d'eau est a disposition et que les proies sont bien nourries, il n'y a pas de problèmes au niveau hydratation. Pour dire, je n'ai jamais vu mon Pogona boire et pourtant contrairement aux idées reçus ils peuvent le faire car j'ai observé ce comportement chez P.henrylawsoni... Tu ne dois pas t'inquiété a cause du comportement actif de ton Pogona maintenant. Et d'ailleurs c'est normal qu'il soit plus actif, vu que maintenant il peut se chauffer et se thermoréguler correctement. Une fois qu'il aura bien vadrouiller et se sera refroidit, il reviendra se chauffer au point chaud. Sa digestion devrait aussi mieux se dérouler, et tu vas avoir droit à de bons patés

Hermann Schlegel, né le 10 juin 1804 à Altenbourg dans la Thuringe et mort le 17 janvier 1884 à Leyde, est un ornithologue et herpétologiste allemand. Son père est brasseur et collectionne les papillons. Il initie très tôt son fils aux sciences naturelles. La découverte, par hasard, d'un nid de buses lui fait découvrir l'étude des oiseaux. Sa vocation est encouragée par le pasteur Christian Ludwig Brehm (1787-1864), père du fameux zoologiste Alfred Edmund Brehm (1829-1884). Schlegel commence à travailler à la brasserie de son père mais abandonne très vite cette occupation. Il part à Vienne en Autriche en 1824 où, à l'université, il fréquente Leopold Joseph Franz Johann Fitzinger (1802-1884) et Johann Jacob Heckel (1790-1857). C'est grâce à une lettre de Brehm à Joseph Natterer, le frère du fameux explorateur, qu'il obtient un poste au Muséum de Vienne. Un an après son arrivée, le directeur de ce muséum, Carl Franz Anton Ritter von Schreibers (1775-1852), le recommande auprès de Coenraad Jacob Temminck, directeur du muséum d'histoire naturelle de Leyde, qui recherche alors un assistant. Temminck a recours à de nombreux naturalistes allemands, comme Heinrich Boie (1794-1827), Johann Jakob Kaup (1803-1873) et Heinrich Kuhl (1797-1821). Schlegel part à Leyde et se consacre tout d'abord à la collection de reptiles mais peu à peu son champ d'activité s'élargit aux groupes zoologiques. Il avait été convenu que Schlegel parte à Java pour participer à une expédition scientifique, mais la mort prématurée du successeur désigné de Temmlinck, Heinrich Boie (1794-1827), empêche la réalisation de ce projet. C'est à ce moment que Schlegel rencontre Philipp Franz von Siebold (1796-1866), début d'une longue amitié et d'une riche collaboration. Ils travailleront notamment sur la Fauna Japonica (1845-1850). Il signe, avec Temminck, la partie consacrée à la faune herpétologique mais c'est lui qui la rédige véritablement. En 1837, il fait paraître son Essai sur la physionomie des serpens, qui est souvent considéré comme le premier traité véritablement scientifique sur les serpents même s'il est rapidement dépassé par d'autres ouvrages, notamment ceux de André Marie Constant Duméril (1774-1860), Gabriel Bibron (1805-1848) ou Auguste Duméril (1812-1870). Entre 1839 et 1844, il rédige avec Salomon Müller (1804-1864) la partie zoologie de Verhandelingen, compte rendu des recherches de la commission d'histoire naturelle des Indes orientales. On doit également à Schlegel la paternité d'un ouvrage de référence sur la Fauconnerie, Traité de Fauconnerie en association avec A.H. Vester de Wulverhorst (1796-1882). Cet ouvrage majeur a été illustré par Joseph Wolf (1820-1899). Le frontispice est dû à Pierre Louis Dubourg (1815-1873). Édité en une centaine d'exemplaires à Leyde puis à Dusseldorf de 1844 à 1853. Guillaume III, roi des Pays-Bas, lui même fauconnier, a dédicacé cette oeuvre répertoriant, illustrations à l'appui, tous les oiseaux de chasse. Schlegel est l'un des premiers ornithologues à adopter l'idée de races géographiques proposées par le géographe Friedrich Faber mais dénie le fait que celles-ci soient la conséquence du climat (il expose d'ailleurs des exemples contraires). Pour Schlegel, la distribution géographique des races reflète la création divine et ne peut donc pas subir d'évolution. Lorsque Temminck meurt début 1858, Schlegel lui succède à la direction du muséum après avoir passé 33 ans sous sa direction. L'Asie du Sud-Est intéresse tout particulièrement Schlegel, surtout la Nouvelle-Guinée. En 1859, il y envoie un voyageur-naturaliste, Heinrich Agathon Bernstein (1828-1865), pour y récolter des oiseaux. Puis après la mort de Bernstein, Hermann von Rosenberg (1817-1888). À la même époque, il commence à faire paraître un magazine scientifique, les Notes from the Leyden Museum ainsi qu'un vaste ouvrage de 14 volumes, intitulé Muséum d'histoire naturelle des Pays-Bas (1862-1880). Il emploie trois illustrateurs talentueux, John Gerrard Keulemans (1842-1912), Joseph Smit (1836-1929) et Joseph Wolf (1820-1899). La fin de la vie de Schlegel est difficile. Sa femme meurt en 1864, son assistant Friedrich Hermann Otto Finsch (1839-1917) le quitte pour le muséum de Brême qui lui offre un meilleur salaire, les collections du British Museum commencent à éclipser celles de Leyde. Il demeure toute sa vie fermement opposée à la théorie de l'évolution de Darwin qu'il considère comme une simple spéculation, opinion confortée par les publications de Johann Heinrich Blasius (1809–1870) et de Jean Baptiste Cabanis (1725–1786). Son fils est le sinologue Gustaaf Schlegel (1840-1903). Taxons éponymes: Arremon schlegeli Bothriechis schlegelii Cercomela schlegelii Casarea dussumieri Eudyptes schlegeli Francolinus schlegelii Merle de Schlegel Mandigoa nitidula Pachycephala schlegelii Philepitta schlegeli Pterodroma incerta Sénégali vert de Schlegel Tomistoma schlegelii Turnagra tanagra Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Hermann_Schlegel