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sebmercedes94460

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0 Neutral
  1. oui je confirme,les bretons sont tres accueillants je peux le dire je suis bretonne mercedes
  2. je me suis inscrit bien sur et j ai mit la banniere du forum en partenariat sur la page d accueil de mon forum forum tres agréable avec une equipe du tonnerre
  3. sebmercedes94460

    Ma femelle Hogg

    superbe cette mémère elle mesure combien?
  4. d une tres grande débilité profonde et le pere se marre,ben si le serpent s'était enroulé autour d un gamin,le père il aurait moins rigolé trop taré
  5. color=#25437c]Fabrication d’un verrou pour terra en 10 minutes[/color] Matériel : Du fil de fer pas trop fin et assez rigide Une pince coupante Procédure : Prenez un morceau de fil de fer Pliez un morceau de l’épaisseur de la vitre Ensuite reportez sur le morceau de fil de fer la longueur qu’il y a entre les deux vitre qui se chevauche et plie à cet endroit vers le haut Ensuite une autre pliure vers le haut et faite un coude vers le bas et si c’est trop long, coupez le surplus Et voila le verrou en place voila un verrou qui ne coûte rien
  6. bravo askook tiens tiens,cette photo me dit quelque chose
  7. starlight la super star superbe la photo
  8. je n'en ai jamais vu ,peut etre un jour,qui sait et la fiche est tirée d un copier coller via mon forum
  9. c est clair que soul et starlight ont changés depuis leur pension chez nous(mercedes et moi)
  10. oh punaise,soul et starlight ont bien grandis,vraiment magnifique
  11. Distribution La Coronelle lisse possède une large répartition en Eurasie, qui s’étend jusqu’à l’Oural et l’Asie Mineure. Elle manque cependant dans le sud de la péninsule Ibérique, dans une grande partie des îles Britanniques et le nord de la Scandinavie. En France, elle est absente de l’Aquitaine, du Sud et de la Corse. Cette espèce de tendance plutôt nordique se retrouve principalement en montagne dans la région Rhône-Alpes ; dans les secteurs sous influence méditerranéenne ou à basse altitude, elle est remplacée par la Coronelle girondine. Sa répartition est intimement liée à celle des lézards qui constituent l’essentiel de ses proies. Description La Coronelle lisse (ou Couleuvre lisse) est un serpent assez court (70 centimètres), au corps fin et dont les écailles sont lisses. Sa tête est pointue et fine et porte de chaque côté un trait noir allant du museau au cou. Ses couleurs vont du gris au brun en passant par le verdâtre avec des taches noires alignées en 2 bandes parallèles Ecologie Cette espèce vit dans les milieux broussailleux secs mais pas trop chauds, les lisières boisées, les friches, les zones rocheuses et parfois les prés humides. Elle s’observe de mars-avril jusqu’à novembre. Active le jour, elle se nourrit de petits vertébrés, essentiellement des lézards qu’elle tue par constriction. Particularités de l'espèce Lorsqu’elle est inquiétée, la Coronelle lisse utilise un liquide nauséabond issu de ses glandes anales comme moyen de défense. Elle est assez agressive et mord facilement mais ses morsures sont peu douloureuses. L’espèce est ovovivipare (oeufs conservés dans les voies génitales jusqu’à l’éclosion des jeunes). Menaces et sauvegarde La Coronelle lisse est en régression en France et cela semble être également le cas à l’échelle de la région. Elle souffre de la disparition de ses habitats qui subissent divers traitements : débroussaillage, FEUX, désherbage chimique et urbanisation importante. Elle est aussi confrontée à la baisse de ses proies qui sont victimes des traitements agricoles. Enfin, elle pâtit de sa ressemblance avec les vipères et se trouve ainsi souvent détruite par l’Homme. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  12. Distribution La Couleuvre d’Esculape est présente dans le Sud de l’Europe, de l’Atlantique à la mer Noire, au sud du 50e parallèle. Elle est absente de Corse et de la péninsule Ibérique (à l’exception de la Catalogne). En Rhône-Alpes, elle est présente dans toute la région, essentiellement aux basses altitudes, se raréfiant au-dessus de 800 mètres et ne dépassant par 1 600 mètres d’altitude. Cette espèce passe souvent inaperçue et sa connaissance sur l’ensemble du territoire de la région n’est pas encore complète. Description La Couleuvre d’Esculape est un long serpent pouvant atteindre 2 mètres. La queue est effilée, la tête bien distincte du corps. La couleur est brune, luisante, plus claire vers l’avant avec de petits points blancs sur le bord des écailles. Le ventre est jaune. Une tache jaune en forme de croissant est présente de chaque côté du cou. Ecologie La Couleuvre d’Esculape fréquente les lieux secs et chauds constitués de broussailles, de rocailles et les lisières de bois. Active le jour et au crépuscule, elle n’hésite pas à se hisser dans les arbres pour s’exposer au soleil. Elle se nourrit de petits mammifères, d’oiseaux et d’oeufs, de lézards. Elle s’observe de mars à novembre. Particularités de l'espèce Le nom de la Couleuvre d’Esculape remonte à l’Antiquité, où l’espèce faisait l’objet d’un culte associé au dieu de la médecine, Asklepios chez les Grecs, devenu Esculape chez les Romains. C’est elle qui est enroulée sur le caducée (baguette surmontée d’un miroir symbolisant la prudence) des médecins et des pharmaciens. Menaces et sauvegarde Peu de menaces semblent peser localement sur la Couleuvre d’Esculape, même si elle régresse parfois suite à la destruction de ses habitats. Les écrasements sur les routes font de nombreuses victimes chez cette espèce, et les destructions directes persistent. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  13. coronelle girondine Distribution Espèce de l’Ouest méditerranéen, la Coronelle girondine se répartit entre le Nord de l’Afrique et le Sud de l’Europe (péninsule Ibérique, Sud de la France, Italie), plus ou moins cantonnée au sud du 45e parallèle. En Rhône-Alpes, l’espèce s’observe principalement dans le sud de la région, de la vallée de l’Ardèche à la région de Die (Drôme). Elle remonte plus au nord à la faveur des vallons rhodaniens bien ensoleillés. Elle se limite aux basses altitudes, relayée par la Coronelle lisse aux étages supérieurs. Description La Coronelle girondine a un aspect très proche de la Coronelle lisse, dont elle se distingue par un corps plus élancé. La coloration du ventre va du jaune au rouge avec des taches noires disposées en lignes. Le bandeau masquant l’oeil est, ici, plus court. Elle possède par contre derrière la tête une marque brune en forme de diadème assez caractéristique. Ecologie Cette Coronelle fréquente les milieux rocheux, secs et bien exposés jusqu’à 1 800 mètres d’altitude. De moeurs essentiellement crépusculaire et nocturne, elle reste cachée le jour sous une pierre ou une écorce d’où elle chasse des lézards et des petits serpents. Elle est observable de mars à octobre. Particularités de l'espèce La Coronelle girondine est calme et craintive. Elle mord très rarement même lorsqu’on la saisit. Contrairement à sa cousine la Coronelle lisse, elle est ovipare (6 à 9 oeufs pondus en juillet avant éclosion), mais l’ovoviviparité n’est pas exclue. Distribution Espèce de l’Ouest méditerranéen, la Coronelle girondine se répartit entre le Nord de l’Afrique et le Sud de l’Europe (péninsule Ibérique, Sud de la France, Italie), plus ou moins cantonnée au sud du 45e parallèle. En Rhône-Alpes, l’espèce s’observe principalement dans le sud de la région, de la vallée de l’Ardèche à la région de Die (Drôme). Elle remonte plus au nord à la faveur des vallons rhodaniens bien ensoleillés. Elle se limite aux basses altitudes, relayée par la Coronelle lisse aux étages supérieurs. Menaces et sauvegarde La Coronelle girondine semble a priori peu menacée, car elle fréquente des milieux peu utilisés par l’Homme. Cependant, les activités humaines étant plus présentes dans les vallées, les menaces pesant sur l’espèce y sont plus fortes et sont les mêmes que pour la Coronelle lisse : débroussaillage, FEUX, utilisation de produits chimiques, urbanisation. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
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