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Tout ce qui a été posté par ClaudeV
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À cause de son long poil, on ne peut pas trop serrer le collier autour du cou de Don Juan. Mais tout de même, le collier ne passe pas tout droit, loin de là. Pourtant, il l'enleve aussi facilement et de la même façon qu'un chat, en donnant un coup par derrière et en rabattant ses oreilles par en avant. Il m'a déjà fait le coup par surprise en se débarassant d'une halti et de son collier que j'avais attrapé par la main, rue Papineau à l'heure de pointe parce que Monsieur voulait aller jouer avec les écureuils du Parc Lafontaine Je l'ai rattrapé par la queue. Maudits caniches Est-ce que c'est fréquent??? Des suggestions ???
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Il ne m'a pas frappé. Il gueulait et postillonnait comme un chameau que mon chien était un vrai sauvage, entouré de sa meute usuelle de femelles soumises. Quand on a pas de contrôle de soi (je dirais de sa bête intime), est-ce qu'on peut avoir du contrôle sur son animal? Il a eu le temps de jeter mon chien sur le côté et de lui donner un coup de pied parce qu'il y avait beaucoup de neige et que Dondon, avec ses 4 pattes motrices est beaucoup plus rapide que moi avec ma vieille transmission arrière...
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cockapoo ? ça se peut certain !
ClaudeV a répondu à un(e) sujet de Marie-Claude111 dans Parlons chiens
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À mon avis, y'a pas que les balles, les os et les biscuits qui devraient être interdits dans les parcs à chien. Y'a des maîtres que Y'en avait un au parc que je fréquentais -- C'est fini. Il était là à toute heure. Avec son chien aux oreilles et à la queue basse, il avait fait de «l'obéissance» pendant trois ans -- chez les nazis, peut-être! Quand un chien ne se laissait pas monter par le sien, il allait voir tout le monde autour et il disait que ce chien là, il le ferait «sortir» du parc. Il a frappé mon chien parce qu'il n'a pas voulu se laisser monter par le-sien et lui a montré les dents. Aucun contrôle de lui-même, le pseudo maître-chien. J'ai été tellement surpris quans il m'a agressé à mon tour que je n'ai même pas songé à appeler les policiers quand c'est arrivé! Le danger, c'est pas les chiens, c'est les maîtres. Les chiens entre eux ne se disputent pas en général. C'est quand il y a un cercle d'humains autour d'un groupe de chiens que ça finit mal. Je me trompe????
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Avec les caniches, faut se méfier des apparences. Faut peut-être avoir un caniche pour savoir c'est quoi comme bête! Don Juan fait 75 livres (il a maigri de 2 livres depuis une semaine parce qu'on a réduit sa ration). C'est du chien! En plus c'est une race rustique, bien établie et vachement costaude, malgré ce que laissent penser certaines coupes de poils. J'avais moi-même des préjugés quand j'ai eu Don Juan. Je ne voulais pas qu'il soit le «poodle» de qui que ce soit. Pour me rendre service, la seule et unique fois que je suis aller voir une toiletteuse pour un conseil sur les griffes (ou un service le cas échéant), elle a offert de me le teindre en sept couleurs pour la Gay Pride ! J'étais vraiment fier de mon chien! Mais je ne lui ai pas laissé parce que moi aussi je pouvais l'assommer ou le pendre pour lui faire les griffes. Sur le coup, ça n'a pas guéri mes préjugés, disons, vu que je l'avais depuis seulement une semaine et qu'il n'avait pas encore montré son caractère. Depuis, j'ai eu l'occasion de changer d'avis sur les «poodles». Il a appris en deux semaines que se faire faire les griffes à la maison parce qu'on faisait très attention. Il reste méfiant, il observe de très près les manoeuvres, mais il se laisse faire sans bouger, le museau sur la main qui tient la patte et qu'il lèche doucement. Les dents ne sont pas loin! C'est tordant à voir et il n'a jamais mordu. Le caniche est un chien de chasse, un najeur. Il peut être berger, chien guide (j'en connais au moins 2 à Montréal), chien policier (contrôle des foules en France) et il a été utilisé abondamment comme messager par les Américains durant la 2e Guerre mondiale (L'armée US avait réquisitionné les chiens des vedettes de Hollywood). Le gros problème dans l'armée, c'est la toilette -- coupe carrée, etc. C'est un excellent sauteur et un bon pisteur. Bref il peut tout faire. Le problème selon moi avec les caniche, c'est l'intelligence. Parfois, ils dépassent les bornes. Voici un exemple véçu : Nous étions dans un gite rural (en France) idéal pour un chien -- très un grand terrain muré et boisé. Derrière, y'avait un autre terrain fermé - avec potager, verger et autres trucs. Don Juan avait visité cette partie du terrain lors de notre arrivée à Paris. Au retour en fin de voyage, nous sommes retournés à la même place. Mais y'avait du nouveau dans la cour arrière -- deux moutons, énormes, avec toute leur laine d'hiver sur le dos. À Longueuil, les moutons, c'est pas courant et Dondon n'avait jamais vu des bêtes aussi horribles. Panique ! Il a rôdé devant la clôture comme un vrai loup, tête basse et regard de travers, pendant une heure environ. Il ne savait pas quoi faire avec ces bêtes-là. Jusqu'à ce que la propriétaire de la maison aille chercher je sais pas quel légume dans le potager, accompagnée de son fils de trois ans qui a passé à côté des moutons sans qu'ils réagissent. Quand elle est revenue et qu'elle a ouvert la grille, Don Juan est entré à la cours et il s'est mis à tourner autour des pauvres moutons comme un vrai chien de berger. Il ne savait pas trop quoi faire, mais il courait autour des moutons qui eux étaient complètement paniqués. C'était je suppose son instinct de berger. Le cirque a duré dix minutes, le temps de rattraper et de calmer le Dondon complètement hystérique qui s'amusait comme un fou. Il avait vraiment analysé que si un enfant de trois ans pouvait passer près des moutons sans danger, il pouvait le faire lui aussi. Les moutons, eux, ils n'ont pas nécessairement apprécié. À la maison, Dondon c'est un ange -- ou presque. Il a tous les comportements d'un chien idéal. Je ne sais pas quoi lui enseigner. Il dort dans sa cage sans qu'on lui demande, n'utilise que son fauteuil, se laisse faire n'importe quoi, même les griffes et ... mange tout ce qui est à sa portée (OK, y'aurait matière à...) Dans les hôtels, il passe pour un chien d'accompagnement tellement il paraît sage, ce qui lui permet de venir souper avec nous (avec la complicité des bons hôteliers) Avec les copains par contre, en vieillissant, il commence à être franchement désagréable. Don Juan a appris rapidement comment jeter les danois et autres dobermans par terre d'un bon coup de hanches dans les côtes. Il ne s'approche jamais des chiens à gueule carrée comme les pitt bulls et il ne se laisse pas approcher par eux, comme s'il savait qu'il ne serait peut-être pas de taille. Tous les boxers sont ses esclaves, à cause de sa copine Xéna qu'il domine totalement. Pauvre petite! Mais elle aime bien quand même. Ils inventent de nouveaux jeux sans arrêt et complètement débiles. Au parc, en courant un jour il a fait mal à un vieux bouvier qui avait des problèmes aux hanches. Le bouvier lui a sauté dessus et Dondon a mangé sa volée sans se défendre (pour une fois). Il a revu souvent le même bouvier, mais il ne l'a jamais approché. Ils trottaient lentement tous les deux un à côté de l'autre, Don Juan suivant le rythme de l'autre, ce qui est tout de même étonnant. Il est fou des bébés, il peut jouer des heures avec eux. Malheureusement, il n'a pas vraiment conscience de sa taille et de sa force, ce qui fait un peu paniquer les maîtresses desdits bébés quand il s'en met tout un dans la gueule par exemple. Mais il n'a jamais fait mal à un petit. À une époque, il n'avait plus de poils après la queue, les petits chiens s'aggripaient après pour courir plus vite. Il n'a pas peur des BA ni des autres chiens de sa taille d'abord qu'ils n'ont pas la gueule trop carrée. Le hic c'est qu'il veut les dominer tous, ce qui n'est pas nécessairement l'affaire de tout le monde. C'est devenu avec le temps un problème. Quand il est grognon, il veut bouffer tous les chiens de sa taille. Un autre petit problème assez gênant, c'est qu'il fait de l'oeil et des mamours à toutes les femmes, surtout si elles sont blondes (souvenir de sa première maîtresse) ou si elles ont des biscuits. Ça confine souvent à la grossière indescence ! Il s'assied sur leurs pieds, lève la tête, leur fait de beaux yeux (noisettes) et leur montre ... ses attributs virils. Pourtant, les bijoux de famille sont loins. Je ne vais plus au parcs à chien depuis qu'un mâle alpha qui n'était malheureusement pas un chien lui a donné des coups de pieds au ventre. J'avais pas de fusil ... On dit qu'ils deviennent jaloux en vieillissant. Je pense qu'il se prennent pour ce qu'ils sont, tout simplement.
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J’en pense que je vais entamer des poursuites contre Zouzoune. J’avais jamais regardé de petites annonces sur les Internets (dixit GWB) avant, même si j’avais trouvé mon Don Juan sur un site, après consultation des sites des clubs membres du CKC sur les Internets, mais j’avais jamais pensé à regarder les petites annonces ordinaires (les PAO). À cause du post de Zouzoune, et aussi à cause de ma curiosité malsaine, je suis allé voir les PAO … Mais quelle erreur! Mais quelle horreur! À partir du site proposé par Zouzoune, j’ai eu l’idée de faire une petite recherche pour savoir de combien je m’étais fait avoir avec Dondon. J’ai cherché : « Caniche » Et je suis tombé sur ça : http://www.fouinez.com/Annonce_details.aspx?ID=459 Catastrophe! J’en ai perdu toute ma concentration professionnelle! Pourtant, j'étais et de demeure débordé - Faudra que je me lève à 4 h du matin pour reprendre ma journée perdue! L’annonce a mis la puce à l’oreille du « sérieux designer de chien» qui sommeille en moi, ce qui l’a réveillé! Plus moyen de travailler! J’ai vu passer une fortune en « dog design » avec les multiples lignées adaptées aux compétences des maîtres à partir de ce mélange génial : Le berniche de Terre-Neuve, sera issu d’une lignée ayant les grandes oreilles du caniche et la grande queue du berger allemand. Le berniche de Terre-Neuve sera vendu seulement pour la chasse à la bernache du Canada, selon la méthode de chasse exclusive à Terre-Neuve bien décrite dans des ouvrages compétents (500 jokes de Newfee, 500 nouvelles jokes de Newfie et autres) voulant que le terre-neuvien n’utilise pas de fusil pour chasser la bernache, mais pratique plutôt le lancer du chien dans les airs pour qu’il aille chercher lui-même l’oiseau en vol. En battant ses grandes oreilles de caniche, le berniche pourra s’approcher facilement des volées de bernaches, puis, en se servant de sa grande queue de berger allemand comme gouvernail, il pourra revenir se poser sans problème aux pieds de son maître! J'ai aussi dessiné un instrument très utile pour la chasse à la bernache terre-neuvienne -- le lance-berniche, dont je fais généreusement don à tous les artisans intéressés : Le berger callemand, sera une lignée alliant les oreilles courtes du BA et son aptitude à garder les troupeaux d’une part et la queue raccourcie du caniche et son tempérament particulièrement calme (lorsqu’il a dépassé les 20 ans d’âge) d'autre part. Compte tenu de son calme olympien, le berger callemand conaîtra un franc succès chez tous les héliculteurs du monde entier, à qui personne n’a jamais songé. Pourtant, quel travail, le soir venu, de ramener à ces immenses troupeaux de millions de bêtes à cornes au bercail, travail qui sera exécuté sans défaillance par le placide berger callemand, à condition qu’il n’aime pas les escargots à l’ail! Le gerber allaniche, lignée descendant du prototype illustré dans l’annonce, présentant à droite une grande oreille de caniche et à gauche, une oreille raccourcie de BA, avec un arrière-train à l’avenant, sera destiné à tous les amateurs de petits nègres en plâtre sur la galerie et autres kétaineries d’un goût atroce. C’est t’y légal de vendre un animal aussi laid! Pauvre bête, c’est pas sa faute, mais c’est un cas de suicide! J’ai à peine commencé à étudier les possibilités offertes par les autres langues, mais le German Poodle Sheppard (le GPS pour les initiés) devrait bien se vendre auprès de tous les cynophiles anglophones qui n'ont pas le sens de l’orientation! Zouzoune, je t’en prie, met plus des horreurs semblables sur le site. Ça perturbe mon précaire équilibre mental!
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Pour faire simple: Logos c'est selon Robert tandis que "-technie" c'est Donc « -logie» c'est la théorie, l'étude des chiens en général et des races en particulier dans le cas de la cynologie, tandis que cynotechnie, ça serait l'application des connaissance acquises plus haut - le dressage des maîtres en quelque sorte. C'est simple J'ai pas de mérite, seulement un Robert électronique avec la fonction copier-coller Pour ce qui est des cerveaux ramollis ben ... Join the club!
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Les dictionnaires ne contiennent pas tous les mots parce que les traducteurs ne pourraient pas les soulever .... Cynologie et son adjectif est bien français, depuis des lustres, comme l'indique le nom de la Fédération cynologique internationale fondée en 1911... Le Tralala n'est pas membre. Dommage, y'aurait matière à régler une fois pour toute la question des "éleveurs" Dans les règlements sur l'élevage http://www.fci.be/reglements.asp?lang=fr&sel=5 à la rubrique élevage. C'est clair et net: Avis aux mordus donc, à vos lettres, écrivez à votre député fédéral pour que le Tralala devienne membre de fédération. C'est probablement l'unique voie Mais faut pas être pressé. Écrivez leennntttteeeeemmmmmmeeeeeeennnnnnnnttttttttt
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Je crois que les éleveurs sérieux passent par les clubs canins pour les services d'accouplement. Il y en tout plein d'annonces sur les sites des races sur le net, Les antécédents sont bien connus et vérifiables. Non? Par contre, au coin de la rue chez-moi, y'au itou un service d'accouplement. Ils appellent ça un salon de massage ! Je vais aller vérifier les pedegree ???
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Les Usines et les Brookers nous surveillent
ClaudeV a répondu à un(e) sujet de Eli111 dans Parlons chiens
Croyez-vous que les gens qui achètent un chien dans un animalerie ou dans une SAC (Shop à chien) lisent avant d'acheter???? J'ai jamais vu un livre sur les chiens qui conseillait d'aller chercher son chien chez un porc Quand j'ai causé du règlement très restrictif de Longueuil -- j'attends d'ailleurs toujours de savoir si un trottoir est un endroit public, soit dit en passant, qu'est-ce qu'ils font les juristes mmbres de la patte douce??? -- il m'a dit que c'était parce qu'il y avait beaucoup trop de cochons qui avaient des chiens à Longueuil! Ça m'a comme vexé! J'ai dit merci monsieur et aux élections suivantes, j'ai voté pour qqun d'autre. Mais je pense pas que ça change quoi que ce soit. Tant que les chiens ne voteront pas ... -
Je posais la questioncomme ça, parce que Xéna, la copine à Dondon elle me fait toujours le coup de la patte musicale, même en juillet ... Je la plains : «Pauvre petite bête, depuis quand t'as pas mangé ... ? Ils t'ont encore fait laver toute la vaisselle... ?» Et des tas de conneries. Elle aime ça! À moins 30, elle n'a pas le temps d'y penser, elle doit être trop gelée. Mais les deux innocents, Dondon et Xéna, peuvent passer 2 heures au grand froid sans se plaindre. Je pense qu'ils se foutent carrément de nos gueules, parce que la maîtresse de Xéna et moi, on gèle! (faut rester dehors, sinon ils s'ennuient) Et eux ils s'amusent. Hier, il faisait +6 ... Z'ont pas joué ! Vraiment, ils sont pas sérieux ces chiens! J'ai acheté du Pawstick pour Dondon - ça se présente comme un déodorant, mais c'est tellement dur que le chien, il veut pas s'en faire étendre. C'est un douillet ! Je devrais peut-être essayer de lui faire fondre du beurre de cacao et lui tremper les pattes dedans??? C'est très bien le beurre de cacao ... Dans tous les sens du terme. Pas certain qu'il va marcher avec ça aux pattes, il risque plus de se coucher, mais je vais essayer quand y'aura bien du sel dans notre coin du Sud profond....
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Ben moi, c'est Bébert, le chat de Céline (pas Dion). C'était mon premier animal de "race". Comme il haissait tous les hommes sauf moi Et qu'il pouvait faire des mamours aux femmes qu'il trouvait de son goût, j'ai pensé que les animaux de race et moi on pouvait s'entendre. Je raconterai pas comment Don Juan se comporte avec les femmes, on risquerait de tomber dans le porno! C'est un Casanova ce Don Juan, surtout avec les blondes ... Je déplore, mais je comprend
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Je n'impose pas mon chien, je demande toujours la permission et si dégâts il y avait, j'assumerais. Comme je travaille, par choix, à la maison, un trop grand nombre d'heures par jour pendant lesquelles il dort tout son saoul, je profite de chaque sortie en auto pour amener mon chien avec moi - faire une promenade dans un quartier nouveau, aller le faire courir un peu puis faire diverses courses en même temps. C'est mon chien qui me fait découvrir des commerces que je n'aurais jamais fréquenté autrement. Les marchands sont généralement bien contents de me recevoir et de faire des affaires avec moi. Y'a des endroits où un chien peut entrer. Toutefois,même si c'est son rêve le plus cher, Dondon n'entrera jamais à l'Échoppe des fromages ... En partie parce que j'aurais pas les moyens de payer tout ce qu'il boufferait Ni dans un magasin de porcelaine, à cause de la queue qui possède sa propre volonté ... Dans un coin à l'ombre sur une terrasse, en été ! Absolument! Il n'y a aucune raison d'interdire les chiens dehors. Si je voyage, je demande avant de partir quelles sont les possibilités de coucher d'abord, de bouffer ensuite. Je démontre toujours qu'il est d'un calme absolu, en prenant l'apéro sur la terrasse avec lui. Généralement, c'est pas le chien qui est tanant, ce sont les employés et les clients qui veulent le déranger. Les cuisiniers sont absolument terribles à ce chapitre et ils ont plein d'arguments absoluments irrésistibles commes des bons os à moelle et d'autres trucs à donner Mais je ne vais jamais en ville parce que les gens sont moins tolérants. J'ai de la chance, j'ai un caniche C'était pas mon premier choix, mais c'est arrivé comme ça. Ça transporte tout plein de préjugés un caniche. Caniche = peluche, caniche = fric. Un caniche, c'est pas une peluche, c'est un gros chien très turbulent, mais quand même très sage quand il le faut. Quand tu as fini de payer l'hypothèque sur un caniche, ben, t'as plus de fric, c'est certain (avec un autre chien de race non plus, soit dit en passant). Je suis pas là pour guérir les gens de leurs préjugés. Exemple : Les chiens sont généralement interdits dans les magasins de meuble, sans doute parce qu'ils pissent sur tous les divans! Avec un caniche, c'est autre chose. Si, par exemple, j'entre dans un magasin de meuble et que ma femme reste dehors avec le chien, c'est le patron qui va les chercher sur le trottoir! Je te le jure, ça m'est arrivé trois fois l'été dernier! Pour le reste bien, il y a tellement d'interdits partout et pour tout que c'en est triste. J'aime bien faire encore l'ado malgré mon âge et briser quelques tabous ici et là. C'est pour ça que, oui, j'amène mon chien avec moi.
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Personnellement, à - 25, je peux endurer une heure dehors, mais habillé comme un ours. À -30, je deviens un ours, j'hiberne. Mais Dondon a jamais gelé avant moi! Sauf si je l'amène marcher en ville dans la sloche! Et pourtant, c'est un «faible» caniche! Sa copine Xéna qui a autant de poils que moi, c'est-à-dire sur le corps que moi sur la tête, soit pas du tout, ne montre jamais de signes qu'elle a froid (Bon, OK, elle me montre la patte, comme si elle était gelée, mais d'habitude c'est en juillet qu'elle le fait)! Des goldens avec des mitaines??? Dans la belle neige? Je ne peux pas le croire! Je pense que vos chiens vous font marcher! Vous pensez pas???
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Smouc_girl, Je suis un vieux Schnoc_Man et je viens d’effacer 3 pages de réflexions que ton message sur l’incompréhension des gens en général m’avaient inspiré. (Je les trouvais, soit dit entre nous, très bonnes, ces trois pages, j’étais fier de moi mais ça n'engageait que moi). Je vais faire un détour par la vie de mon grand père pour raconter comment je vois les chiens. C’est de mon grand-père que me vient l’amour des chiens. Comme il est né vers les années 1895, il avait une manière radicale avec les chiens et l'éducation dans son temps, ça n'existait pas. D'ailleurs il n'a jamais su lire ou écrire. Il a passé sa vie à faire de la prospection forestière, de La Tuque au Lac Saint-Jean et du Lac Saint-Jean jusqu’au Nouveau-Brunswick en passant par l’île d’Anticosti. Il a toujours eu des chiens pour l’aider dans son travail. Il partait au début de l’hiver raquettes aux pieds et suivait les cours d’eau pour savoir si la drave était rentable. Les chiens suivaient les pistes, retrouvaient les gars égarés, faisaient de la compagnie. Ils étaient plutôt bien traités, mais pas « élevés». C'était pas utile à l'époque. Mon grand-père employait aussi des « sauvages » et s’il ne comprenait pas leur façon de vivre, il les respectait, mais eux non plus n'étaient pas élevés. C'était à la bonne franquette; mon grand-père payait ses « sauvages » en argent ou plutôt en nature à la fin de chaque journée, du salaire convenu le matin, parce qu’il ne savait jamais si ses sauvages seraient là le lendemain. Les « sauvages » étaient un peu comme des chiens fous, un peu de bouffe (pour pas crever de faim) et ils disparaissaient le lendemain, ils n'en demandaient pas plus. C’était comme ça à l’époque et beaucoup de gens en ont profité. Pas lui. Pour te décrire le bonhomme, même s’il n’y a pas de rapport direct avec les chiens, je veux te raconter qu’il a toujours été d’une lucidité épouvantable. En 1980 j’ai eu le plaisir de faire une grève. Il avait alors passé les 90 ans, un âge ou les gens sont généralement assez conservateurs. Il m’a raconté comment s’était passé l’hiver de 1931 et il rigolait encore du boncoup qu'il avait joué aux boss. La crise de 1929 étant survenue un peu plus tard au Tralala et il dirigeait en 1931 un chantier de bûcherons au nord le La Tuque. Les gars étaient montés au chantier avec la promesse d’un salaire de 5 dollars par jour, mais à cause de la crise, les boss de New-York avaient décidé de réduire le salaire à 50 cents par jour. Comme par hasard, les gars l'ont appris une fois qu’ils ont été rendus sur place. Mon grand-père a refusé que ses hommes travaillent pour ce salaire de famine et il a dit qu’il préférait les ramener au village (à Sainte-Thècles, en Mauricie). S'il l'avait fait, le chantier aurait fermé donc rien rapporté, toute la bouffe pour l'hiver aurait été perdue et il aurait fallu rapatrier les gars sans aucun profit. Les hommes n’ont pas été ramenés et ils ont été payés 5 dollars par jour comme il avait été convenu avant leur départ. Ils ont été les seuls à avoir un salaire honnête cette année-là, tous les autres directeurs ayant accepté les conditions des boss. Mon grand-père ne savait ni lire ni écrire, ni même parler anglais, mais il tenait tête à des PDG de New-York pour ses hommes. (Je dois prendre un break parce que … c’est pas de tes affaires…) Il est mort à 95 ans, heureux et en forme après avoir fumé 2 pipes en regardant le Saint-Maurice, dehors en février à – 30. Il n’était pas riche, mais il avait beaucoup d’amis. Les chiens pour lui étaient des serviteurs ou alors des décorations. Les chiens vivaient en liberté, ils étaient nourris, logés (dehors) Il les traitaient très bien selon les normes de l’époque, ne les battaient jamais. Un chien « malfaisant » était abattu d’une balle dans la tête, sans pitié sans remord et sans douleur, après jugement – par exemple, un chien malfaisant était un chien qui allait tuer les moutons des fermiers des environs la nuit. Mon premier chien -- c'était à lui -- j’avais 3 ans, c’était un épagneul. Il m’a mordu, l'épagneul bien entendu, ( je m’en souviens pas, mais mes sœurs aînées, oui ... et de tout le reste... ). Au lieu de l’abattre il l’a donné à quelqu’un qui le voulait. C'était un très bel épagneul blond avec des oreilles qui allaient jusqu'à terre, ça je m'en souviens -- un cocker en fait. vraiment. Le chien mordu un autre enfant et le nouveau propriétaire a été condamné à payer 800 $ de frais médicaux – on cause des années 1950 – l’assurance maladie n’existait pas et 800 $ c’était quasiment un an de salaire). Mon grand-père ne s'est jamais pardonné d'avoir donné le p.. de chien. Nous (moi) avons eu 2 colleys. Ils étaient mes gardes du corps, parce que je passais mes étés au fond des bois avec eux et des millions d’ours (sinon plus) qui n’avaient qu’une idée, bouffer les framboises qui poussaient loin du chaler et par la même occasion, moi-même, qui allait voler leurs framboises … Aujourd'hui, je pense qu'il y avait un truc la dedans, mais j'étais très naïf à cet âge-là. D'éducation, les colleys n'en avaient pas eu. Ils étaient totalement libres, non élevés et passaient l’hiver seuls au chalet, un gardien venait les nourrir de temps à autre, avec la nourriture que mon grand-père lui laissait à l’automne. Mais tout le monde savait que le Dr Ballard – c’était la seule bouffe à chiens disponible à l’époque –c’était lui, le gardien, sa femme et ses 14 enfants qui le bouffaient. Ils n’avaient rien d’autre les pauvres, à part les patates que le bonhomme faisait pousser sur son bout de terre. Les chiens ont bien vécu quand même, en chassant le lapin en hiver et en bouffant des patates. Y’en a un qui avait failli me tuer un jour que nous étions allés (en jeep Willis avec des côtés en bois, ce qui ne rajeunit personne, de Trois-Rivières à Sainte-Thècles) au début de mars, dans la neige. Les chiens étaient un peu contents de me voir et ça avait plutôt mal fini pour moi. Mais c'était pas de la faute des chiens, seulement de leur exubérance. Le plus vieux a disparu, comme ça, un hiver, l’autre a fini doucement chez le curé, quand le chalet à été vendu. J’ai eu d’autres chiens par la suite et dans le temps, c’était au pet shop qu’on les prenait, ou à la SPCA. J’en ai eu un de la SPCA de Moncton, un amour de chien, rescapé de justesse, qu’on a gardé six ans, un beau poilu d’une vingtaine de livres pour lequel il a fallu choisir un jour entre lui et mon garçon qui avait développé des allergies … Il n'a jamais été élevé, mais il a eu une bonne instruction parce qu'il connaissait toutes les classes de l'université. Aujourd’hui, les choses on changé. Je regarde Don Juan, c’est un beau chien, il est très gentil, mais il demeure un chien malgré les bêtises que je peux écrire ailleurs sur le site. Et je l'ai eu tout éduqué. Ouf! En passant, Schmouc_girl, je n’ai pas encore reçu ta contribution pour le cadeau d’anniversaire de Don Juan!!! Quand je t’entends Schmouc-girl gueuler contre les gens qui ne savent pas élever leurs chiens, je comprends ta colère, mais je ne suis pas certain qu’elle soit bien dirigée. Que les gens soient bêtes, c’est pas la découverte du siècle, je m'en suis rendu compte avant toi. La question est de décider s’ils sont simplement bêtes ou alors bêtes, égoïstes et en plus excessivement cons! Je lis comme jamais sur les chiens et je me pose des questions, comme je m'en pose sur les couvertures à 600$ pour toutou ou les bains tourbillons à 8 000 $. Et ça me met franchement malallaise, un peu honteux de ne pas être unchien moi-même au fond. L’éducation canine, c’est joli, mais c’est quoi l’objectif? Faire des enfants à quatre pattes avec nos poilus? Je peux pas sentir les chouchous de prof qui ont deux pattes, les enfants qui sont toujours propres et ceux qui ont toujours la bonne réponse. Encore moins les chiens! C’est mignon d’avoir un chien, mais un chien en ville, est-ce qu’il peut rester chien? Où faut-il en faire un enfant ? L’éducation canine, est-ce que c’est un truc pour rendre les chiens aussi docile que les enfants???? Un turc pour pas que le chien t’emmerde pas quand ça te tente pas? Un chien est un chien – et un chien c’est un pur emmerdeur. Un chien c’est pas une peluche qu’on met en cage de 8 h le matin à 18 h le soir tous les jours parce qu’il faut travailler dans un bourreau où les chiens ne sont pas admis. Et en plus, il ne doit même pas japper! Ceux qui doivent garder un chien dans de telles conditions n’aiment pas les chiens, désolé! Je suis pour qu'on mette le maître dans la cage une semaine et qu'on envoie le chien travailler à sa place! (En général, personne ne verra la différence, alors!) Selon les normes nouvelles d’éducation que je lis, un chien c’est un membre d’une meute dont les humains sont les maîtres. D’accord. Mon chien a quelques notions de comportement de base avec une meute humaine. Je l’ai choisi pour qu’il ne fasse peur personne du fait de sa race. Il sait tenir sa place, il plaît aux gens, il les fait rigoler et généralement se sentir en confiance, il ne s’énerve pas, est très snob avec les étrangers et il n’aboie pour rien. Une fois ces notions acquises, ce qui n'est pas une peitie bière pour un chien, il devrait être autorisé à suivre la meute, c'est-à-dire nous ses maîtres, partout ou presque. Sinon, à quoi ça lui sert? À ME faire plaisir? C'est pas juste, désolé! Si c'est comme ça, pourquoi je n'en ferais pas un tueur qui mord tout ce qui bouge, hommes, femmes et enfants si je trouve que hommes, femmes et enfants me font chier!!! Au moins, y’aurais des compensations mutuelles. Et là je pense entre autre à certains types de personnes sur lesquels types je ne m’étendrai pas … et qui ont la viande probablement trop faisandée pour que Dondon les morde ... D’accord, il y a des limites, j’en conviens. Don Juan devant le comptoir de foie gras au super-marché, c'est pas poli, pas joli et il n’est pas certain qu’avec la meilleure éducation du monde , j’en vienne à bout! Je l’accepte et je le laisse dans l’auto. Mais il faut qu'il puisse profiter de son éducation pour entrer dans la librairie où j’achète les livres de recettes de foie gras… Il les bouffe pas, les livres. Et même là, il entre si les employés n’ont pas peur des chiens, ça existe des gens qui ont peur des chiens, et j’admets qu'ils ont le droit de gagner leur foie gras comme tout un chacun. J’ai pas le temps ni le goût de faire leur éducation. Bizarrement, je vois des tas de gens sans chien chez Mondou et dans d'autres aminaleries! Moi, je ne magasine pas d’os à chien sans mon chien! Même si c’est pas toujours facile, le cochon de Dondon, il les veux tous et à 70 livres, il n’est pas facile à retenir. Quand y'a un os sur une tablette, tu peux me croire qu'il y a aussi un os au bout de la laisse! Mais on fait des compromis. En plus qu'il a pas appris les bonnes manières et qu'il met ses coudes sur le comptoir comme un malpoli et si personne ne lui donne un biscuit, il demande de changer de crèmerie … T'aurais dû voir la tête de la libraire quand je lui ai expliqué que Dondon voulait un biscuit! Ailleurs encore, l'éducation, faut que ça serve. Si je suis prêt à payer 100 dollars pour souper sur une terrasse l’été (vin compris, et par tête de pipe), le « terrassier » à d’affaire à accepter mon chien comme il accepte mon fric, sinon, il peut bouffer … sa bouffe. Au resto, je suis plus coulant, c'est selon l’espace disponible, le lieux, la clientèle et le prix du souper. Je reste ouvertOn l'accepte dans les grandes salles à manger, hors de la ville, et la meilleure c'est que les clients ne s'en rendent jamais compte tant qu'on ne sort pas (et des fois, ma femme fait semblant d'petre aveugle au cas ou y'aurais un malfaisant.) Mon chien est poli, tranquille comme c’est pas possible (sauf quand sa copine est là). Il est beau, assez rare pour susciter des commentaires positifs et très … Don Juan. Si j’avais voulu un pitt bull, je serais moins exigeant pour les commercants qui ne sont pas «obligés» de l'accepter, parce que, bon ... Mais j'’ai fait un choix en prévision des conséquences, c'est aussi de ... l'éducation??? Je vois que je suis parti, grimpé dans les rideaux, mais bon … Je continue. L’éducation, c’est bien joli, mais malheureusement elle est mal dirigée. Les chiens apprennent rapidement bien quelle est leur place si le maître connaît la-sienne. C’est pas nécessairement toujours le cas. Tu ne viendras jamais à bout de maîtres qui n'ont pas eux-mêmes un début d'éducation. L'éducation, on la prend un peu partout, même chez César … Je le connais de réputation, mais j’ai jamais vu son émission, j’ai pas le câble et je n’en souffre pas. Je sais par les Internets (dixit le maître du chien de la Maison Blanche dont le nom m’échappe – Bearny qu’il s’appelle, le chien, pas l’autre … Parlant d'éducation, en v’la un de maître…) qu’il fait l’objet de nombreuses poursuites pour cruauté et mauvais traitements. Mais il enseigne des trucs et donne de bons conseils à l’occasion. J’en a eu deux par personnes interposées : 1) « Le parc à chiens est une récompense pour le chien et non un endroit où un maître dominant va passer la journée qu'il pourait gâcher ailleurs (et généralement à la recherche de femelles) et 2) comment avec deux doigts dans les côtes, même si c’est pas agréable, on rééussit à calmer les ardeurs canines pour les chats errants (Dondon adore les chats, il a été élevé avec quatre matous et il est certain que tous les chats errants ne rêvent que de se faire donner un massage dentaire par lui – En plus il est doué pour les massages) . C’est mieux que rien, mais je dois avouer que je n’ai jamais cherché à m’éduquer par la télé et que je me méfie des gens qui le font. Des trucs de-ci, de-là, pas plus! Bref, (bel euphémisme) pour moi l'éducation canine consiste à avoir un chien qui attire la sympathie par son allure et ses manières, qui connaît sa place (pas dans le lit, pas de grands pifs sur la table, pas de pistes glaiseuses sur les fauteuils réservés aux humains) ou alors pas vu pas pris pour les grandes pattes sur les comptoirs de cuisine-- je suis le fautif! Arrêter net pour sa sécurité, c'est tout ce qui lui reste à apprendre. Ce qui étonne le plus les «gens», c'est qu'il n'a pas appris à donner la patte! Ils sont engénéral très déçus de l'éducation de Dondon. Alors, te fais pas trop de bille, respire par le nez (et n'oublie pas ta contribution pour le cadeau d'anniversaire de Dondon) C’était long, mais ça fait du bien! Le pire, c’est que je suis pas certain d’avoir dit ce que je voulais ! ClaudeV
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Note du copiste : Don Juan a mis un copywrite sur la recette. Avant de la faire, vous devrez contribuer au fonds pour l'achat du cadeau d'anniversaire de Dondon - le 20 janvier prochain. La description du cadeau d'anniversaire et les formulaires de contribution seront postés sous peu. Il a trouvé en effet un cadeau qui convient à sa race, à sa noblesse et à sa grandeur sur les Internets ... Je dois encore traduire le texte descriptif avant de produire les formulaire de souscription ... ClaudeV Biscuits au sanglier et à l’orge de Don Juan Rendement – Environ 5 à 6 douzaines de biscuits Ingrédients : 60 ml (¼ de tasse) d’huile d’olive 125 g. de sanglier haché (ou de bison, auquel cas il faut changer le nom de la recette) 250 ml (1 tasse) de bouillon de bœuf (maison, naturellement) 500 g (4 tasses) de farine de blé entier 300 g (2 tasses) de grains d’orge cuits 4 c. à table d’origan séché 2 c. à table de sauce anglaise (Worcestershire) Méthode : Chauffer l’huile dans un poêlon, faire cuire le sanglier (ou le bison) quelques minutes, jusqu’à ce qu’il ne soit plus rose. Verser la viande et l’huile dans un mélangeur et ajouter le bouillon de bœuf (maison). Mettre en purée. Dans un grand bol mélanger la farine, l’orge, la purée de viande, l’origan et la sauce anglaise. Pour ceux qui ont la patience, étendre la pâte sur une table farinée, découper avec un emporte-pièce en forme de Dondon (caniche) etc. Pour les autres, faire des tas avec environ une grosse c. à table de pâte en écrasant un peu entre les mains. Cuire à 325 (170 C) une heure, fermer le four et laisser sécher le chien (à l’extérieur du four) et les biscuits (à l’intérieur du four) pendant au moins trois heures. Congeler les biscuits, qui sont sans conservateurs (et sans députés du BQ pour ne pas offusquer les susceptibilités délicates) Don Juan les mange congelés …
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Vos chiens patinent sur le bois franc?
ClaudeV a répondu à un(e) sujet de Snoopie1 dans Parlons chiens
Au contraire, ça prévient la formation des mottes de glace qui peuvent blesser les coussins. Mais pour la coupe des poils sous les pattes par contre Monsieur doit absolument voir ce qu'on lui fait aux pattes. Il met sa truffe sur la main qui tient la patte, toujours ... Et faut pas faire d'erreur, sinon, il nous pince. C'est crevant à voir et épuisant à faire (pour les deux). Sur le bois, sans poils, c'est moins glissant aussi. -