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Tout ce qui a été posté par Ktema
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Grand Danois perdu à Rawdon le 21 juillet - DÉCÉDÉ
Ktema a répondu à un(e) sujet de Sasha1111 dans Perdu/trouvé
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Maintenant, beau reportage à Radio-Canada sur la zoothérapie
Ktema a répondu à un(e) sujet de Canelle09 dans À faire, à voir!
C'est sûr que quelques fois, on ne peut pas tout dire sur le net (et c'est mieux de ne pas). Je n'ai pas tout dit non plus au sujet du berger blanc et même aujourd'hui encore je ne dis pas tout. Mais, dire que dans un an on va pouvoir en parler... Tsé c'est long un an, surtout lorsqu'on a aucune idée du kossé etc. -
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Il est signé ce courriel ? Plusieurs membres fondateurs et bénévoles ont en effet quitté pour divergence d'opinion. Oui la directrice, c'est la femme du maire (mais, je ne vois pas le rapport qu'elle était une ancienne danseuse ou pas ?!). Les heures d'ouverture sont limitées. Elles sont écrites sur leur site.
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Je suis allée rencontrer la personne responsable du cas berger blanc à Mascouche. J'ai fait une proposition pour une fourrière gérée par la ville. C'est loin d'être gagné, même si j'ai reçu l'appui d'Alanna Devine, qui est prête à nous aider. Je vais chercher des solutions aux réponses qui j'ai recues. Je n'ai pas l'intention d'abandonner, mais je suis déçue. Si les gens arrêtaient d'aller porter leurs animaux là-bas, ça règlerait le problème assez vite. Mais, ce n'est pas le cas !
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Aslan et Phoenix du Repaire de Sasha:Ajout vidéos
Ktema a répondu à un(e) sujet de Vega03 dans Familles d'accueil
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Aslan et Phoenix du Repaire de Sasha:Ajout vidéos
Ktema a répondu à un(e) sujet de Vega03 dans Familles d'accueil
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De retour de chez le vétérinaire avec Lindy
Ktema a répondu à un(e) sujet de Lindy dans Parlons chiens
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Pourquoi le gouvernement du Québec se contente-t-il d'un remodelage des conditions de garde, alors que la population demande que les animaux de compagnie soient mieux protégés? Martine Lachance L'auteure est professeure au Département des sciences juridiques à l'UQAM et directrice du Groupe international de recherche en droit animal (GRIDA). Dans son rapport publié le 17 mai dernier, Animal Legal Defense Fund (ALDF) analyse pour une quatrième année consécutive les lois qui régissent la protection des animaux dans les 13 régions du Canada. ALDF décrit le Québec comme étant la province idéale pour les personnes qui maltraitent les animaux puisque, toutes provinces et territoires confondus, seul le Nunavut affiche un bilan moins enviable. Des nombreuses améliorations relevées en 2010, aucune n'est survenue au Québec. La condition juridique des animaux de compagnie se détériore au Québec: du 10e rang (2008), il se retrouve maintenant au 12e rang (2011). Le président du Groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie, Geoffrey Kelley, accompagné du ministre de l'Agriculture, Pierre Corbeil, a présenté le 23 juin dernier le projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens. Au moment de son allocution, M. Kelley a déclaré que le règlement offrira des outils supplémentaires aux inspecteurs pour intervenir plus efficacement. Est-ce vraiment le cas? Les conditions minimales de garde des chats et des chiens sont régies au Québec par la Loi sur la protection sanitaire des animaux. Plutôt qu'un avantage, sa flexibilité est vite devenue un inconvénient majeur en raison de l'impossibilité pour un propriétaire ou un gardien de connaître ses obligations. On ne peut donc qu'accueillir favorablement la création de normes qui apportent des précisions quant à ces conditions, notamment quant à la qualité de l'eau qui doit leur être servie et aux critères de construction et de propreté des lieux où ils sont maintenus en captivité. Les inspecteurs aptes à appliquer la loi P-42 sont bien outillés pour faire leur travail. Outre le Guide des pratiques généralement reconnues - Espèce canine (GPGR) préparé par Anima-Québec (après quatre ans, nous attendons toujours un guide pour l'espèce féline!), ils disposent d'un guide d'inspection conçu spécialement pour eux. Le contenu réellement nouveau se situe donc au titre de l'euthanasie. Alors que le guide se limite à énumérer des principes généraux, tels que la mise à mort rapide et sans douleur des animaux, le règlement prévoit des normes précises pour l'euthanasie par inhalation d'un gaz. Utilisées à tort et à travers, ces chambres à gaz mettent effectivement trop souvent en danger le bien-être des animaux. Autre gain notable: un registre devra dorénavant être tenu par tout propriétaire ou gardien visé par le règlement. En exigeant que les coordonnées de l'ancien propriétaire ou gardien y soient notées, peut-être les autorités arriveront-elles à retracer les usines à chiots qui déversent année après année des animaux malades et non socialisés dans certaines animaleries. Mais pourquoi reste-t-on sur notre faim? Parce que c'est trop peu. En novembre 2010, M. Kelley soulignait que les principaux enjeux du bien-être animal étaient entre autres le manque d'inspecteurs et les faibles amendes prescrites par la loi actuelle. Alors, pourquoi le gouvernement se contente-t-il d'un remodelage des conditions de garde, alors que la population demande à hauts cris que les animaux de compagnie soient mieux protégés? Vraisemblablement, nos autorités ne sont pas prêtes à s'engager activement dans la protection de ces animaux. D'une part, ce remodelage ne changera en rien le montant des pénalités imposées par la loi. Alors que d'autres provinces prévoient des pénalités élevées, le Québec se limite à imposer de faibles amendes variant de 400$ à 3600$ en cas de récidive. Quant aux ajouts proposés, auraient-ils permis que soit évité le sort malheureux réservé à tous ces animaux tués au Berger Blanc? La réponse est non. Comme le souligne l'Ordre des médecins vétérinaires du Québec, les actes qui y ont été commis «sont contraires aux normes de pratique, aux règlements en vigueur et à la Loi sur les médecins vétérinaires». Seules des inspections répétées de la fourrière par des inspecteurs nommés par le MAPAQ auraient permis d'y découvrir les gestes qui y étaient régulièrement posés. La solution paraît d'une évidence crasse, tellement elle est simple. Publié le 18 juillet 2011 à 06h00 sur CyberPresse http://cruauteenverslesanimaux.posterous.com/le-quebec-traine-la-patte
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Bonne nouvelle a Longueuil ! (fourrieres)
Ktema a répondu à un(e) sujet de Zouzoune dans Lois et réglementation
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Quelqu'un le connait ? Cesar Millan est un professionnel de l’éducation canine qui fait sa marque aux États-Unis. Il est aussi le modèle de Jean-Claude Gingras, propriétaire du Loft des 4 pattes, une garderie pour chiens et chats, située à L’Assomption. Sujets : États-Unis , L’Assomption , Québec « En fait, j’ai pris le meilleur de mes idoles pour créer mon caractère pour être maître chez moi. Mais pour faire ce que je fais, il faut que tu aimes les chiens tout en devenant l’Alpha de la meute. Et ça, tu l’as ou tu l’as pas, c’est une question de leadership », affirme Jean-Claude Gingras. Depuis le 24 décembre 2006, il garde des chiens et des chats dans sa demeure. « Notre premier client a été Zorro, depuis avec le bouche-à-oreille et Facebook, nous avons quelque milliers de clients de partout, principalement du Québec et de l’Ontario », explique-t-il. D’ailleurs, quand il parle de clients, il veut parler des animaux. « C’est le chien qui me dit s’il est bien ici ou pas, c’est lui qui décide s’il revient ou pas. Je dois faire bonne impression devant le maître, mais ça reste l’animal qui choisit », souligne M. Gingras. Traités aux petits oignons C’est dans sa demeure familiale que la pension Loft des 4 pattes est installée. En fait, ça prend deux garages doubles, modifiés en salon pour chien, un sous-sol, une grande cour arrière et une grande pièce pour les chats. « Au sous-sol, on trouve les chambres des chiens. Il y a l’air conditionné pour que la température soit maintenue entre 15 et 17 degrés. Toute la journée, les chiens jouent et ont chaud, ça leur prend un endroit frais », dit Jean-Claude Gingras. Il y a des caméras un peu partout dans l’aire des chambres, ainsi que dans la cour arrière qui est clôturée. « Tout est fait pour la sécurité du chien », précise le Cesar assomptionniste. La cour est séparée par grand secteur où les chiens peuvent s’amuser, creuser ou se prélasser au soleil. Les chambres sont l’endroit où ils mangent et dorment. Elles sont grandes. Le salon est l’endroit où on se retrouve quand il pleut ou neige, il y a des divans et une télévision. Pour les chats, une grande pièce a été aménagée, à l’intérieur de la maison. On y trouve des litières, des fenêtres à large rebord et des poteaux à gratter pour soulager les griffes. Si le chat est dégriffé, il peut vaquer librement à ses occupations, partout dans la maison. Sinon, il reste dans la verrière où il a de la place pour courir, sauter et se reposer. Ce qui fait la différence « Des garderies, il y en a beaucoup. Ce qui fait la différence, c’est la manière dont elles sont organisées. Ici, c’est selon un concept d’un vrai milieu familial », explique M. Gingras. Il est donc présent toute la journée et toute la nuit, avec les animaux. Il est accompagné, côté garderie pour chiens, de ses trois bêtes, Sam, Venus, deux bouviers bernois, et Shadow, le berger allemand. Du côté de la pension féline, c’est Toscane, le chat noir, qui accompagne Jean-Claude Gingras. « Je m’en occupe seul, sauf quand il y a beaucoup de monde. Là, j’ai des employés qualifiés », ajoute M. Gingras. Et du monde, il peut y en avoir. « J’ai parfois jusqu’à 35 chiens, sauf quand j’ai des danois qui sont de grande race et qui prennent de la place. J’ai parfois ces animaux pour de longues périodes, car les propriétaires voyagent ou travaillent à l’extérieur », raconte-t-il. Le pouvoir de la meute Comme M. Gingras croit beaucoup au principe de Cesar Millan, il met l’accent sur le pouvoir de la meute, mais l’intégration se fait en douceur. « On s’adapte au caractère du chien pour l’intégrer tranquillement à la meute », précise-t-il. Il rappelle qu’il n’y a pas de mauvais chiens, juste de mauvais maîtres. « Le problème, c’est quand on demande aux chiens d’adopter des comportements humains. Ça rééquilibre l’animal que de se retrouver en meute, où il redevient chien », conclut-il. http://www.hebdorivenord.com/Economie/Portraits-dentreprise/2010-11-02/article-1916893/Educateur-canin-a-temps-plein/1
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Bonne nouvelle a Longueuil ! (fourrieres)
Ktema a répondu à un(e) sujet de Zouzoune dans Lois et réglementation
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Bonne nouvelle a Longueuil ! (fourrieres)
Ktema a répondu à un(e) sujet de Zouzoune dans Lois et réglementation