Ktema

Tu peux contacter directement la Humane Society International at 514 395 2914 or info@hsicanada.ca

Le ridicule ne tue pas au Québec. C'est Mme Gordon qui dénonce cet endroit pourri qui reçoit une grosse amende pour diffamation. Les Labombard et compagnie peuvent dormir tranquille au Québec. Clouso. La propriétaire du chenil dit avoir été victime d’un «coup monté» Giuseppe Valiante 18/09/2011 19h16 Nicole Labombard, une des propriétaires du Paws "R" Us. Photo Courtoisie MONTRÉAL – La propriétaire du chenil de Clarendon, en Outaouais, où plus de 500 chiens ont été saisis pour maltraitance affirme avoir été victime d’un «coup monté». Le centre d’élevage de Nicole Labombard et de sa famille a été perquisitionné vendredi par le gouvernement du Québec, la police locale et la Humane Society International/Canada. Selon la propriétaire, deux gros camions de transport se sont présentés à son chenil en après-midi, après avoir effectué une inspection de routine plus tôt dans la journée. Les 527 chiens que possédait l’entreprise ont alors été saisis. «Ils n’auraient pas pu avoir mobilisé deux camions de transport et autant de personnel dans ce court laps de temps», a affirmé Nicole Labombard, une des propriétaires du Paws "R" Us. Selon l’organisme de protection des animaux à l’origine de la saisie, les conditions dans lesquelles se trouvaient les chiens étaient carrément «inhumaines», parmi les pires que leur équipe de secours ait été témoin. «Nous avons constaté qu’il y avait de nombreuses infractions à l’égard de la santé et de la sécurité des animaux», a souligné un inspecteur du gouvernement, Guy Auclair. Aucune accusation n’avait encore été portée dimanche soir contre la famille qui exploitait cette entreprise depuis une quinzaine d'années. Elle accuse une cliente mécontente En entrevue, dimanche, Mme Labombard s’est défendue d’avoir maltraité ses chiens, prétextant que lorsqu’on travaille avec autant d’animaux, certains d’entre eux tombent inévitablement malades. «C’est comme dans un hôpital; il y a toujours quelqu’un qui n’est pas parfait», a-t-elle dit. La dame croit qu’un client mécontent pourrait avoir organisé la saisie, de pair avec des organismes de protection des animaux. Elle soupçonne plus particulièrement une dénommée Lorie Gordon, qui a rencontré des difficultés avec les chiens qu’elle s’était procurés chez Paws "R" Us. Jointe par l’Agence QMI, dimanche, Mme Gordon s’est réjouie de la saisie. Elle a raconté avoir été contrainte d’euthanasier les deux chiens qu’elle avait achetés à Mme Labombard, parce que ceux-ci étaient gravement malades. «J’ai appelé Paws "R" Us et je leur ai dit qu’il y avait quelque chose qui clochait dans les gènes de ces chiens», a-t-elle dit. Le premier des deux Labrador Golden Retriever a dû être euthanasié en raison de problèmes à la hanche, tandis que le second, offert par Paws "R" Us pour la dédommager de sa perte, souffrait de graves problèmes d’épilepsie. Mme Gordon a nié avoir organisé un «coup monté», mais avoue cependant avoir donné aux gens concernés des informations sur le chenil. La famille Labombard avait intenté avec succès une poursuite pour diffamation contre Lorie Gordon, après que celle-ci eut critiqué l’entreprise familiale sur internet. Selon Mme Gordon, l’affaire est en appel. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/09/20110918-191631.html

Appelle et tu verras. Montreal Office: 372 St. Catherine St. West Suite 319 Montreal, QC H3B 1A2

http://fr.video.canoe.tv/video/actualites/regional/20920440001/saisie-de-527-chiens-voyez-le-reportage/1165734537001 Il y a aussi d'autres reportages sur la page.

Les vétérinaires peu surpris par la saisie (PC) MONTRÉAL - La présidente de l'Association des médecins vétérinaires du Québec, Chantal Allinger, affirme ne pas avoir été vraiment surprise par la saisie de plus de 500 chiens dans un chenil de l'Outaouais, samedi. Selon Mme Allinger, les membres de sa profession sont bien au fait de l'existence d'usine à chiots dans la province. Du même souffle, elle félicite le gouvernement pour son action dans le domaine de la cruauté envers les animaux. Québec est en voie d'adopter une réglementation stricte en matière d'élevage de chiens et de chat. Des mesures encore plus sévères devraient être adoptées pour lutter contre les usines à chiots, affirme Mme Allinger, mais il s'agit selon elle d'un très bon début. Les petits animaux sont souvent maltraités et mal nourris dans certaines entreprises douteuses. La très grande promiscuité de ces chenils permet aussi aux maladies infectieuse de s'y propager à la vitesse de l'éclair, explique Chantal Allinger. Les éleveurs peu scrupuleux utilisent souvent des annonces sur internet et des fausses familles d'accueil pour écouler leurs chiots, selon la présidente de l'association professionnelle. Ils feignent d'avoir une ou deux chiennes qui ont récemment mis bas et vendent les petits animaux au plus offrant avant de répéter ce petit manège. Plus de 500 chiens ont été saisis dans un centre d'élevage de l'Outaouais, samedi matin, dans ce qui serait le plus important cas de cruauté envers les animaux jamais répertorié au Québec. http://www.branchez-vous.com/info/actualite/2011/09/les_veterinaires_peu_surpris_par_la_saisie__8853017.html

At Long Last For Quebec, for me and most of all for the dogs seized today. Some of my volunteer work is with a rescue organization based in the U.S called Red Rover . There are people from Montreal who like me, pass a course to become first responders to animals in distress all over North America. We are “deployed” whenever there are major mill raids or emergency weather condions that warrent temporary shelter. In many cases these deployments are in the southern U.S so its not always feasable to go. I was fortunate to be involved with this team in a Montreal raid 2 years ago and finally after much frustation, today’s raid which will prove to be the largest in Quebec history. In between I have helped with other raids in Quebec with the SPCA Emergency Shelter . This is my happy place, my reason for being. I held my breath all week knowing something was brewing but not being told where until the very last minute. You should know this happens a lot. Mill owners get a warning to clean up and if they pass inspection … basic food, water and shelter , raids are called off. Of course after the authorities leave the premises the misery returns. Today was different. The first truck arrived at our tempoary shelter at 3 a.m. Volunteers had been working up until that moment setting up rooms, building crates, organizing rows upon rows of clean , warm , comfortable places to lay a weary head. Vets were there setting up with medications for their triage. All in wonderful clean buildings that once were offices now transformed into a gigantic dog shelter. It really is amazing to see. And from that moment on , the lives of over 400 dogs had changed , hopefully forever. I say this because even though the dogs are freed , there is still the impending court case we have to win. It’s not always easy. And until this is settled the dogs cannot leave the premises. No adoption can take place as technically these dogs do not belong to us. But today one by one, each dog was removed from the transport truck cage, given a hug or a kiss and led to a clean space with fresh food and water. Then again one at a time, they were taken to a triage where they were vetted.. most likely for the first time. All the moms and babies have their own nursery tonight with round the clock care. All the adults don’t have to live in fear and go to sleep hungry or thirsty. They also will have all night care. They don’t know yet that we are there to help them. There are sad, lost eyes. And still fear…. for that’s all they have known. And have that puppy mill smell about them . (Baths will have to come later in the week.) We will see a change as they start to come along. I have yet to meet a puppy mill dog who didn’t progress somewhat. Each is a different case with different issues. They need patience and understanding. As do all dogs. There are dogs of all breeds, ages and sizes. I don’t normally see that. They certainly must have made a lot of money so I would expect they are going to fight this. Because this is a criminal case, I cannot post any personal pictures as of yet nor say where these dogs are…. but they are not in Montreal . In the coming weeks I would think they will be looking for volunteers for socializing and cleaning, Montreal Dog Blog will pass along this information as soon as we can. Today was hard both physically and mentally, as initial set up and intake always is. You get to see how bad they really looked and lived. Many had horrible skin conditions. But..I cannot tell you how wonderful this day was for anyone in Quebec animal rescue. It gives us some hope for the future. There were volunteers with Red Rover today from Maryland, Florida, Mass, all over Ontario . They knew us as the Puppy Mill capitol. We really need to give up that title. Will post tomorrow night on how Day 2 goes. When I left there were still people waiting for the last truck to unload. Some of them will still be there when I arrive tomorrow morning. TPK “In rescuing animals, I lost my mind, but found my soul.” ~anonymous http://www.montrealdogblog.com/10149/puppy-mill-seizure-long/

http://tvanouvelles.ca/video/1166378752001/legiferer-pour-eviter-la-cruaute-entrevue/ Après la saisie record de 527 chiens en Outaouais, le ministère de l'Agriculture tente maintenant de voir ce qui peut être fait pour éviter ces situations malheureuses à l'avenir. Québec serait d'ailleurs en train de développer un projet de règlement sur la sécurité des animaux de compagnie. «Comment peut-on s'occuper correctement de 527 chiens? C'est ridicule, c'est aberrant!» s'exclame Jacinthe Bouchard, spécialiste en comportement animal. D'après elle, un meilleur encadrement est essentiel. «Au Québec, il y a peu ou pas de législation en matière d'élevage des animaux. C'est pour ça qu'on retrouve souvent ce type d'usine près de l'Ontario», a-t-elle dit, en entrevue à LCN dimanche. Quand l'Ontario a décidé de légiférer sérieusement les pratiques entourant l'élevage d'animaux de compagnie, beaucoup d'éleveurs auraient quitté cette province pour venir s'installer tout près des frontières, au Québec, où ils ne sont pas soumis à des règles strictes. Dans la Belle Province, l'animal qui dispose de nourriture et de suffisamment d'espace pour se tourner n'est pas maltraité, explique la spécialiste, ce qui rend possible l'existence d'«usines à chiots». Le Québec gagnerait plutôt à s'inspirer de la loi ontarienne, assez sévère pour exclure ce type d'installation. Chez nos voisins de l'ouest, les propriétaires n'ont droit qu'à un nombre limité de chiens. S'ils désirent en faire l'élevage, ils doivent aussi se procurer un permis spécial. Éviter d'encourager les usines La vente de chiens est un marché «extrêmement lucratif», estime Jacinthe Bouchard, qui évalue que la compagnie Paws R Us - visée par la saisie de samedi - a pu vendre 4000 chiots à fort prix. Un acheteur qui se retrouve dans une usine à chiots ne doit pas encourager ce système. «Il doit s'en aller parce qu'il y a beaucoup de gens qui se disent qu'ils vont sauver la vie d'un animal, qu'il fait tellement pitié, sauf que ça fait tourner la roue et c'est ça, le problème», croit Mme Bouchard. «Il n'y a pas un chien qui sort de là en santé, ni physiquement ni mentalement», ajoute la spécialiste. L'amie des animaux invite également à la méfiance devant l'étiquette «élevage familial». Il s'agit souvent d'un stratagème: de gros éleveurs recrutent des familles autour et leur confient une portée, le temps de vendre les chiots, ce qui donne une fausse impression à l'acheteur. «On doit s'assurer que les parents [du chiot] sont présents. Il faut pouvoir évaluer les parents et visiter l'endroit où sont élevés les chiens», conseille Mme Bouchard. Elle note aussi que l'élevage saisi hier comportait plusieurs races de chiens très rares. Selon elle, ces animaux proviennent du marché noir. «La Russie et l'Europe de l'Est fournissent des chiens de race de piètre qualité», déclare-t-elle. 527 orphelins Le MAPAQ ne sait toujours pas ce qu'il adviendra des animaux saisis à Paws R Us. Le ministère demande l'aide de la population pour fournir jouets et couvertures. En attendant la suite, les animaux ont été confiés à ANIMA-Québec, jusqu'à ce qu'un juge décide s'ils seront rendus au propriétaire ou mis en adoption. Des accusations pourraient également être déposées. La compagnie Paws R Us, qui exploitait le chenil, avait déjà reçu des amendes pour diverses infractions. Cette saisie d'animaux de compagnie est la plus importante de l'histoire du Canada. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/archives/2011/09/20110918-093417.html

/t8168p255-endroits-a-eviter-pour-l-achat-d-un-chiot

Ça va me faire plaisir de fournir le ou les fouets !

J'ai eu la même pensée :«tu me feras pas brailler, désolée !» J'ai beau détester la H$I (H$U$), mais ils ont fait une bonne job. Est-ce que je peux te demander pourquoi ?

The owners of a dog-breeding kennel near Shawville, Que., say more than 400 dogs were taken away Friday after investigators showed up armed with a warrant. ANIMA-Quebec employees arrived Friday morning to inspect the kennel in Clarendon Township, about 90 minutes northwest of Ottawa, said owner Charlene Labombard. They left, but came back to the Paws “R” Us kennel around 4:30 p.m. with a warrant to seize all the dogs. “I’m losing my livelihood and I’m very upset,” Labombard said, trying to hold back tears. “It just breaks my heart.” The Labombards said the inspectors told them they were seizing the dogs because there were cobwebs on the ceiling, the floors weren’t tiled and the kennel didn’t have proper ventilation. By around 6 p.m., two transport trucks arrived on the Labombard property to take the dogs away. The rescued dogs were transported to an emergency shelter in Quebec, where they were to be checked by veterinarians, according to a release from Humane Society International/Canada. "By far, this was the largest commercial breeding facility, involving some of the most inhumane conditions, that our Animal Rescue Team has ever encountered in Canada," Lauren Scott, a campaigner for Humane Society International/Canada, said Saturday in a release. "Hundreds of dogs were denied their most basic needs and proper care and lacked adequate socialization." The Labombard family started breeding dogs on its former pig farm in Clarendon Township when the pork market collapsed almost 20 years ago. Puppies at the kennel are kept in open pens in a barn and an addition to the farmhouse. Larger dogs are housed in a larger barn in pens lined with plastic material. Daughter Nicole Labombard, who helps run the kennel, said they play country music for the puppies because it keeps them calm. The kennel does not screen the dogs for genetic disease, as some breeders do, but the buildings are cleaned and disinfected daily, Labombard said. The kennel breeds about 30 types of dogs in its barns. Nicole Labombard said the kennel added an outdoor, wood-burning furnace several years ago to provide hot water heating for all of its buildings. She said the kennel provides safe walls for the dog pens and comfortable, perforated floors to drain urine and feces. The Canadian Society for the Prevention of Cruelty to Animals in Montreal said in 2006 that investigators had visited the kennel four or five times in two years after receiving complaints about the condition of dogs. The SPCA did not lay any charges, but asked for changes to be made. Each visit showed a slight improvement in conditions, the SPCA said in 2006. The SPCA was legally responsible for regulating kennels until Quebec’s Animal Welfare Act changed to give that power to ANIMA-Quebec, an agency established by dog breeders and the Ministry of Agriculture. The kennel made headlines in 2006 when they sued Lorie Gordon, a Brockville, Ont., dog owner, for libel because of comments she made about the business on an Internet bulletin board. Gordon bought a Labrador retriever from Paws “R” Us and had it euthanized two years later after it developed a heart murmur and painful hip dysplasia. The kennel gave her a golden retriever as a free replacement. It scratched itself until it bled because of itchy mange and was now being treated for epilepsy. Gordon was ordered to pay $14,000 after a judge found she had libelled the commercial dog breeder online. http://www.ottawacitizen.com/life/More+than+dogs+seized+from+kennel+Quebec/5419209/story.html

Gestion animalière: Laval ne dévoile toujours pas ses intentions Aucune information ne filtre de l’Hôtel de Ville, plus de trois mois après la fin du contrat de service de fourrière avec Le Berger Blanc. Le maire parle d’un projet «novateur» en préparation, alors que les citoyens qui ont initié le Centre d’aide et de protection animalier de Laval (CAPAL) naviguent dans le noir. «On prend ça au sérieux. On va saisir la CMM [Communauté métropolitaine de Montréal] d’un projet novateur, a dit Gilles Vaillancourt, à la séance publique du conseil municipal, le 6 septembre. On va supporter les meilleures pratiques. On va défendre ce qui nous semble valable», a-t-il ajouté. Le maire répondait à Micheline Gignac, du CAPAL et à Lydia Aboulian, chef du Mouvement lavallois. Toutes deux demandaient des nouvelles du projet élaboré par ce nouvel organisme qui recevait ses lettres patentes en août. «On ne peut vous en dire plus avant que ce soit soumis», a indiqué l’attaché politique du maire, Jean-Maurice Duddin, au sujet du projet dont a parlé le maire. Future relève Le CAPAL était présenté par la Ville, en juin, comme étant la future relève du Berger Blanc, qui offrait le service de fourrière à Laval depuis 2008. Depuis, il a été impossible de soutirer quelque information que ce soit quant aux intentions de la Ville, tant au comité exécutif qu’au Service de protection des citoyens, responsable de la gestion du service animalier. Contrat renouvelé Depuis juin, le Berger Blanc assure le service de façon temporaire, à partir de son bureau de Montréal. Le contrat temporaire a d’abord été renouvelé pour trois semaines, du 25 août au 14 septembre 2011. Selon une communication adressée au comité exécutif, l’entreprise devait recevoir 19 836,15 $, pour ce contrat. Selon la porte-parole de la Ville, Nadine Lussier, l’entente a été à nouveau prolongée jusqu’au 5 octobre. Pierre Couture, président du Berger Blanc, a expliqué, lors d’un entretien téléphonique le 12 septembre, que la tarification mensuelle était la même qu’auparavant. L’entreprise ne fournit toutefois qu’un service réduit, dit-il. «Essentiellement, ce qu’on ne fait plus, c’est l’installation de cages-trappes pour capturer systématiquement des animaux.» Colère Le «projet novateur» évoqué par le maire le 6 septembre laisse perplexe Marie-Josée Tessier, porte-parole du CAPAL. «C’est quoi qui se passe? On ne le sait pas. Y a-t-il quelque chose qui se trame par derrière?» réagissait-elle le 9 septembre. Le 12 septembre, la porte-parole de la Ville indiquait qu’un appel d’offres était en cours, pour le service animalier, jusqu’au 27 septembre. Le président du Berger Blanc, Pierre Couture, indiquait de son côté que le nouveau cahier des charges était disponible depuis le 1er septembre. Deux choses qu’ignorait Mme Tessier, mise au fait par le Courrier Laval, en après-midi. «Le maire nous avait pourtant donné six mois pour nous préparer. Je trouve ça terrible, d’avoir fait perdre leur temps à des citoyens.» Le son de cloche était pourtant positif, quand l’organisme a présenté son plan d’affaires à la responsable du dossier, Martine Lachambre, directrice générale adjointe-module gestion stratégique et programmes, le 1er septembre. «Elle a dit qu’elle était très impressionnée.» On aurait dit à Mme Tessier que le comité exécutif de la Ville examinerait le plan le 7 septembre. Vérification faite, aucun point ne figure à ce sujet à l’ordre du jour de la séance du comité exécutif à cette date. Marie-Josée Tessier a fait part, au cours des dernières semaines, que la présence au conseil d’administration du chef du Parti au service du citoyen, Robert Bordeleau, nuisait vraisemblablement à l’organisme. M. Bordeleau, de concert avec les autres membres du C.A., devait prendre une décision le 12 septembre en soirée, quant à son avenir au sein du CAPAL. http://www.courrierlaval.com/Actualites/2011-09-13/article-2746449/Laval-ne-devoile-toujours-pas-ses-intentions/1#.Tm9jpRK0LR0.facebook

C'est ce qu'il m'a semblé, j'ai hâte de la rencontrer.. Je seconde, Isabelle est formidable avec les chats ! Félicitations !

Le Berger Blanc pourrait soumissionner Après avoir passé son tour en mai dernier, Le Berger Blanc n’exclue pas la possibilité de «soumettre des prix» dans le cadre d'un appel d’offres lancé par la municipalité pour le service animalier, valide jusqu’au 27 septembre. «Nous, ce que nous attendions, c’était de voir la proposition de la Ville dans un nouveau cahier des charges. Depuis le 1er septembre, il est disponible. Nous sommes à évaluer la possibilité de soumettre des prix à la Ville de Laval», a affirmé le président de l’entreprise, Pierre Couture, «sous toute réserve». Le Berger Blanc a offert le service de fourrière sur le territoire lavallois de juin 2008 à mai 2011. Il offre toujours le service sur une base temporaire, depuis la fin du contrat, le 31 mai. Changements M. Couture assure que beaucoup de changements sont intervenus dans les façons de faire de son équipe, depuis la diffusion dévastatrice, pour l’entreprise, d’un reportage de l’émission Enquête, en avril. Des pratiques cruelles de certains employés envers les animaux étaient révélées. Désormais, les corps des animaux euthanasiés sont incinérés et non plus enfouis et un comité de qualité a été instauré depuis deux mois, illustre le président, en rappelant que son entreprise offre un service de contrôle de la population animale. Une vocation qui diffère de celle de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). L’onde de choc provoqué par la diffusion du reportage avait incité l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec à déclencher une enquête. Le bureau du syndic en est à la rédaction du rapport, dit Suzie Prince, directrice générale de l’Ordre. Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation travaille de son côté sur un projet de règlement qui modifiera la Loi sur la protection sanitaire des animaux. La Ville de Montréal a créé un comité d’experts en gestion animalière. Deux arrondissements montréalais sur les dix qui étaient desservis par le Berger Blanc ne font plus affaire avec l’entreprise. http://www.courrierlaval.com/Actualites/2011-09-13/article-2746443/Le-Berger-Blanc-pourrait-soumissionner/1#.TnC4CvTWaMY.facebook

J'ai regardé partout et je n'ai rien vu non plus sur le sujet. Si jamais ça arrive, je vais le savoir...

Petland chain praised for decision to halt sales of puppies and kittens The decision by Petland to phase out the sale of puppies and kittens is the right move according to customers and an animal rights advocate. Actions Speak Louder Calgary, a puppy advocate group, was pleased to hear the news. “It’s a great step forward,” said Jennifer Kaiser, co-founder of ASLC. “It will definitely help bring more attention to rescue pets and pet overpopulation. “I definitely think they made the right decision.” Despite Petland’s decision, which was announced Friday, Kaiser said the ASLC will continue to push for the city to pass a bylaw that would effectively ban these types of sales. Petland customers spoken to Saturday also agreed with the company’s new policy. “The puppies made me sad,” said Tosheena Thompson, an owner of two dogs. “I’m glad because they have to stay in the little glass cages all day.” Allen Maskell added Petland will be able to find a new way to make up the revenue. “I’m glad they are still going to have the adoption to give people the option if they want to find a dog,” he said. “It’ll probably lower the foot traffic coming in since I know a lot of people come in to see the puppies.” A Petland spokesperson said a campaign against the sale of companion animals by the ASLC had “very little” to do with their decision, instead it was a business move. “We like having our kennel and we are going to change with it and move forward,” said Robert Church, a spokesman for Petland “It’s a huge shift for us, but it’s a change.” He added online sale websites like site d\'annonces cut into the business over the last three or four years, something they couldn’t compete with. On Saturday site d\'annonces Calgary had 954 listings for puppies and dogs for sale. Church said the company has gradually been phasing out the sale of puppies and kittens since March when they pulled the animals from a Winnipeg store. Since then, they have also stopped such sales at the Coventry store in Calgary, as well as in Red Deer and a second store in Winnipeg. Church wouldn’t disclose what kind of timeline they are working under since they don’t want to leave their breeders with an overpopulation of puppies. As well, Petland has about 70 jobs across the chain they will try to “assimilate” into other roles other than animal care. The company will still offer to set up adoptions. Rescue groups may be offered the use of their kennels, though that is still being negotiated, according to Church. Petland has nine stores in Calgary. http://www.calgaryherald.com/business/energy-resources/Petland+chain+praised+decision+halt+sales+puppies+kittens/5388741/story.html

Le mien est bien rendu à la ville de Mascouche. Je vais faire un petit rappel une semaine ou deux avant la rencontre.

Pourquoi ne pas faire tes propres recherches DreamyJack ? C'est un bon moyen d'apprendre.

/t39783-bill-bruce

Tu peux répéter, je n'ai aucun problème avec ça.

Tu as plein de liens ici qui t'aideront à faire le ménage, si tu veux naturellement : /t8168-endroits-a-eviter-pour-l-achat-d-un-chiot Mais si, la porte ne veut pas s'ouvrir, c'est ton choix. Les réponses vont aller avec ce choix.

http://www.journaldumuseau.ca/ Est-ce que ce journal Tessa ? Oui , qui d'ailleurs j'avais dans mon facebook et qui d'ailleurs j'ai retiré .. trop de BYB dans ce site...( je parle de leur page facebook et non du site a proprement dit ) Je ne connais pas. J'ai juste fait une recherche sur google.

http://www.journaldumuseau.ca/ Est-ce que ce journal Tessa ?