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Ktema

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Tout ce qui a été posté par Ktema

  1. Ktema

    Mascouche

    Je vais avoir un rendez-vous avec le (la) conseiller (ère).
  2. Ktema

    Mascouche

    L'argent des médailles va au berger blanc. C'est comme ça qu'ils sont payés !
  3. Ktema

    Tout un fumeur!

    J'espère qu'il ne fait pas ça à tous les jours !
  4. Ktema

    Serez-vous capable de deviner?

    En tout cas, si vous en avez besoin, ça l'air d'être le TOP du TOP !
  5. Ktema

    Mascouche

    Réunion du conseil hier soir. Le contrôleur qui s'occupe du dossier berger blanc va m'appeler pour répondre à mes questions. Semble-t-il que ni le maire et ni les conseillers sont au courant de quoique se soit... Lorsque j'ai mentionné que j'avais le contrat entre la ville et le berger blanc, ça chuchotait pas mal dans la salle. Mais personne ne parle de ce sujet en avant ! Point peut-être positif, lorsque je partais, une demoiselle qui a vu ma photo dans le journal et lu les commentaires est venue me parler. À suivre. Il y a aussi un(e) des conseillers(ères) qui a l'air de moins dormir que les autres. J'va essayer d'avoir un rendez-vous avec cette personne. Prochaine réunion le 11 juillet.
  6. Ktema

    Mascouche

    Criss qui ont rien compris ! Tout cas, moi infraction ou pas je refuse de la payer, point final ! Y m'enverront la police ! Non, y'ont RIEN compris ! Comme j'ai déjà dit, je ne pense pas que les villes vont poursuivre une centaine de personnes... Évidemment si ce n'est pas juste une ou deux personnes qui ne prendront pas la médaille ! Le mieux, c'est de ne pas ouvrir la porte... Ils vont laisser un ti-papier dans la boite aux lettres.
  7. Assez de preuves La plainte officielle contre Jean-Gilles Bélisle a été déposée par Nathalie Bouille, une inspectrice-enquêteuse de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). «C'est une des rares fois où nous avions des éléments suffisants pour présenter un dossier, indique-t-elle, prudente dans ses commentaires. Le procureur a jugé qu'un plus un faisaient deux.» Selon elle, seulement 10 % des 1 000 plaintes reçues chaque année se traduisent en justice, faute de preuve. Dans ce cas-ci, David Mance a, notamment, fourni des radiographies de Benji. Présidente des Centres d'adoption d'animaux de compagnie du Québec, Johanne Tassé n'est pas étonnée de cette histoire. «C'est tout le temps la même merde, déploret- elle. Le but des propriétaires de refuge est de faire le plus d'argent possible, alors ils ne paient pas pour soigner les animaux, même s'ils sont tenus de le faire.» Par ailleurs, David Mance affirme que Benji n'est pas le premier animal en mauvaise condition provenant du SPCM qu'il soigne. Le Journal a tenté de joindre Jean-Gilles Bélisle à plusieurs reprises. Au moment de mettre sous presse, il ne nous avait pas rappelés. http://fr.canoe.ca/infos/regional/archives/2011/06/20110609-062701.html
  8. Ktema

    Mascouche

    Dossier du Berger Blanc : Terrebonne et Mascouche étudient d’autres alternatives Malgré qu'elles maintiennent toutes deux leur contrat avec Le Berger Blanc, les municipalités de Terrebonne et de Mascouche étudient présentement toutes les alternatives possibles en ce qui a trait au service de contrôle animalier sur leur territoire respectif. Du côté de la Ville de Terrebonne, c'est la Commission de la sécurité publique, du milieu et des personnes qui a obtenu le mandat d'analyser les options qui se présentent à elle. «Nous souhaitons explorer toutes les solutions possibles : fournisseur privé, organisme parapublic, organisme à but non lucratif, entente intermunicipale et même gestion à l'interne. L'important, c'est que nous trouvions une solution qui sera valable, durable et respectueuse des valeurs de nos citoyens», de dire le maire Jean-Marc Robitaille. En parallèle, la Municipalité continue de suivre assidûment le dossier du Berger Blanc. Ce dernier devait d'ailleurs se conformer à une série de mesures correctives avant le 30 mai. «La Ville a obtenu un avis légal stipulant qu'elle ne pouvait pas mettre fin unilatéralement au contrat sans exiger des mesures de correction, ce qui a été fait. Par conséquent, Le Berger Blanc reprendra ses activités sur le territoire de la ville jusqu'à la fin du contrat, en janvier 2012», a-t-on fait savoir par voie de communiqué. Par ailleurs, Terrebonne compte lancer une campagne de sensibilisation auprès des citoyens sur les responsabilités inhérentes à l'adoption d'un animal domestique. Discussions avec la SPCA Lanaudière Du côté de Mascouche, la situation est sensiblement la même. En entrevue avec le journal La Revue, Sylvain Goulet, de la Sécurité publique, confie que la Municipalité étudie elle aussi d'autres possibilités. «C'est sûr que le contrat qui nous lie au Berger Blanc est valide jusqu'à la fin de l'année. En ce moment et à notre connaissance, aucune accusation n'a été portée contre notre fournisseur, et nous avons donc des responsabilités légales en ce sens. Cela ne nous empêche pas, toutefois, d'explorer les autres avenues qui se présentent à nous. Nous avons notamment rencontré les responsables de la SPCA Lanaudière et nous attendons une offre de leur part.» En situation d'infraction Par ailleurs, la Ville entend elle aussi suivre le dossier de près et envisage entre autres de faire une visite surprise chez son fournisseur. «Nous tenons également à rappeler aux citoyens qu'ils sont tenus de payer les licences de leurs animaux et qu'en refusant de le faire, ils se trouvent en infraction avec le règlement municipal. Nous avons été informés que certaines personnes refusaient de payer leurs licences aux représentants du Berger Blanc qui se présentaient à eux, et nous comprenons leur geste de manifestation. Toutefois, s'ils ne souhaitent pas faire affaire directement avec le personnel du Berger Blanc, ils peuvent venir acheter leurs médailles au comptoir des taxes, à l'hôtel de ville.» http://www.larevue.qc.ca/actualites_dossier-berger-blanc-terrebonne-mascouche-etudient-autres-alternatives-n20817.php
  9. Ktema

    Bella du Repaire de Sasha

    Ben au moins, ce n'est pas Thunder de l'autre côté de la clôture.
  10. Ktema

    Bella du Repaire de Sasha

    Bambi trouve ça comment d'avoir une amie chez elle ?
  11. Ktema

    Mascouche

    Penses-tu que je vais les laisser continuer à abuser des gens et des animaux ? Je n'ai pas l'intention de les laisser faire. Alors, je vais continuer à me battre. C'est une partie des *statistiques* que j'avais demandées à la ville. Ça va mieux quand tu as une tite idée pour pouvoir essayer de faire changer les choses. Lorsqu'on voit les chiffres, c'est plus *fatiguant* que juste du blabla. Et si on pense que Mascouche est juste une petite ville... ça fait combien de chiens et de chats pour Montréal et les environs qui sont passés là-bas ?!
  12. Ktema

    Mascouche

    En 2008, 116 chiens et 216 chats de Mascouche ont passé au berger blanc. 64 chiens et 189 chats ont été tué là-bas. 9 mois de 2009, 179 chiens et 454 chats, 60 chiens et 343 chats ont été tué. En 2010, 213 chiens et 483 chats, 89 chiens et 357 chats ont été tué. Les 4 premiers mois de 2011, 51 chiens et 93 chats, 32 chiens et 61 chats ont été tué. Ces chiens et ces chats ont été soit abandonné ou trouvé *errants*.
  13. Ktema

    la famille s'agrandit

    Félicitations !
  14. Ils sont vraiment mignons. Tu dois avoir tres hate !
  15. Montréal dépense 74 cents par habitant en une année MONTRÉAL – Montréal dépense environ 74 cents par habitant et par an pour ses services animaliers, ce qui est «largement insuffisant» pour assurer le contrôle de la population animale, selon le Regroupement pour la protection des animaux du Québec (R-PAQ). Le regroupement, constitué notamment de la Société protectrice canadienne des animaux (SPCA) de Montréal et de l’Alliance animale du Canada, estime que la Ville devrait dépenser entre 5 et 7 $ par habitant et par an pour éviter la surpopulation des animaux abandonnés. Le R-PAQ croit notamment que le Grand Montréal, qui compte environ trois millions d’habitants et où environ 50 000 animaux se retrouvent dans des refuges et des fourrières chaque année, devrait prendre exemple sur Calgary. Celle-ci, qui compte 1,2 million d’habitants, dépense annuellement l’équivalent de 5 $ par habitant pour ses services aux animaux. Seulement 5000 animaux y sont abandonnés chaque année. Par ailleurs, la fondatrice des Centres d’adoption d’animaux de compagnie du Québec, Johanne Tassé, juge qu’il est inacceptable de ne «pas savoir» quelle est la proportion des 74 cents qui est directement consacrée aux animaux, parce qu’ «une partie de ce montant peut se rendre dans les proches des propriétaires de fourrières». À son avis, ces organismes à but lucratif contreviennent au bien-être des animaux, ont souvent des «cages insalubres de dimension restreinte». Le R-PAQ réclame donc la création d’un comité, constitué de tous les arrondissements de la Ville de Montréal, afin de mettre en place une réglementation uniforme. Le regroupement demande aussi la création de programmes de services financés par les municipalités. Responsabiliser les citoyens Si les services animaliers doivent être améliorés, les propriétaires d’animaux domestiques devraient aussi se responsabiliser, a rappelé Johanne Tassé. «Les Québécois achètent des animaux, ne les stérilisent pas et s’en débarrassent», a-t-elle déploré. Celle-ci pense d’ailleurs que ces propriétaires devraient opter pour l’installation d’une puce électronique, afin de retrouver facilement leur animal de compagnie s’il se perd. Le R-PAQ s’est formé à la suite des récentes dénonciations de mauvais traitements subis par les animaux sous la responsabilité du Berger Blanc, le plus grand organisme de contrôle des animaux à but lucratif du Québec. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/actualites/regional/montreal/archives/2011/05/20110512-155449.html
  16. Conseil de villes pour le mois de juin. Mercier/Hochelaga-Maisonneuve Mardi 7 juin 2011 à 19 h Maison de la culture Maisonneuve - 4200, rue Ontario Est Rivières des Prairies/Pointe-aux-Trembles Mardi 7 juin 2011 à 19 h Centre Roussin - 12125, rue Notre-Dame Est Rosemont/Petite-Patrie Lundi 6 juin 2011 à 19 h 5650, rue D’Iberville, 2e étage Saint-Léonard Lundi 6 juin 2011 à 19 h 8420, boulevard Lacordaire Sud-Ouest Mardi 7 juin 2011 à 19 h 815, rue Bel-Air, 2e étage Ville-Marie Mercredi 15 juin 2011 à 19 h 888, boulevard De Maisonneuve Est, 5e étage Villeray/St-Michel/Parc Extension Mardi 7 juin 2011 à 19 h 405, avenue Ogilvy, bureau 201 Montréal-Est Lundi 13 juin 2011 à 19 h 11370, rue Notre-Dame Mascouche Lundi 13 juin 2011 à 19 h 30 3038, chemin Sainte-Marie Repentigny Mardi, 14 juin 2011 à 19 h 435, boulevard Iberville Terrebonne Lundi 13 juin 2011 à 19 h 30 754, rue Saint-Pierre Charlemagne Mardi 7 juin 2011 à 20 h 84, rue du Sacré-Cœur Saint-Sulpice Lundi le 6 juin 2011 à 19 h 1089, rue Notre-Dame L'Épiphanie (P) Lundi 6 juin 2011 à 20 h 331, rang du Bas-de-l'Achigan Lavaltrie Prochaine séance : Lundi le 6 juin 2011 à 19 h 30 1370, rue Notre-Dame L'Assomption Mardi 7 juin 2011 à 19 h 30 (heure à valider) 399, rue Dorval
  17. Ktema

    enfin une bonne nouvelle

    Y'a pas grand danger pour ça. Regarde m. couture sur la photo et une photo de lui de v'la un mois...
  18. Ktema

    enfin une bonne nouvelle

    Tu ne la vois pas la tite caméra en arrière de la photo qui date de je ne sais pas comment d'années !
  19. Y'en a pas ! Tant que c'est à but lucratif, c'est de la m...
  20. Ktema

    enfin une bonne nouvelle

    La page est revenue !
  21. Accès a appris que le propriétaire du Service de protection canine des Monts a été formellement accusé de négligence criminelle à l'endroit d'un animal dont il avait la garde. Jean-Gilles Bélisle comparaîtra en cour le 21 juin prochain pour faire face à ces accusations. Le 19 août 2010, Sylvie Duguay se rend au SPCM à la demande d'une amie pour sauver un animal de la mort. On lui présente un jeune Lhassa Apso de 3 ans, trouvé dans un fossé à Sainte-Marguerite 6 jours auparavant. Aussitôt sorti de sa cage, elle se rend compte que le chien a du mal à se mouvoir. La dame à l'accueil lui dit que l'animal ne mange pas beaucoup, ne fait aucune selle, urine rarement et reste couché. Elle défraie 60$ et quitte l'animalerie. Benji est aussitôt conduit à l'Hôpital vétérinaire de Piedmont. Les radiographies indiquent que le chien a subi une triple fracture du bassin avec déplacement et un rétrécissement du canal pelvien. Ses blessures nécessitent une intervention chirurgicale. Les douleurs empêchaient l'animal de faire des selles. Le bas de son corps était couvert d'importantes ecchymoses et ses testicules étaient cramoisis et anormalement enflés. Le vétérinaire David Mance a indiqué que le chien était très souffrant et n'avait pas encore été ausculté. Compte tenu de son état lamentable, l'euthanasie était la seule solution. Des confessions inquiétantes Un ex-employé de longue date qui préfère garder l'anonymat n'est pas tendre à l'endroit de Jean-Gilles Bélisle. «Il n'a jamais eu de respect envers les animaux et n'a jamais été intéressé à offrir l'adoption. Pour lui, c'est l'argent qui compte.» Ce témoin affirme avoir vu jusqu'à 5 chiens dans une même cage. «Ça n'a pas été long qu'ils sont tombés malades. On a eu un jugement de la cour pour les faire euthanasier.» Dans les fourrières, bon nombre d'animaux meurent faute d'avoir été adoptés à temps. Dans ce cas, les animalistes préfèrent utiliser le terme «tuer». Au SPCM, deux congélateurs servent à récupérer les cadavres. Les animaux sont euthanasiés à même le local qui abrite les chiens et chats errants. Notre témoin affirme que pour éviter des frais, l'entreprise a obtenu un contrat avec un éboueur de Sainte-Adèle qui venait directement récupérer les carcasses d'animaux derrière le bâtiment. Celles-ci étaient déposées dans la benne à vidanges avec les ordures de la municipalité et aboutissaient au site d'enfouissement. Jean-Gilles Bélisle aurait mis fin à cette pratique après que la nouvelle ait été ébruitée. «Je me suis fait manipuler», confie notre source. Aujourd'hui, l'homme est rongé par les remords. «Un jour, je devais tuer un chien. Je l'ai gardé plus que le temps réglementaire. Il me parlait dans son langage et me suppliait de ne pas le faire. Je ne comprenais pas. Je n'avais pas le choix. Je l'ai tué quand même. Aussitôt que j'ai passé la porte, le téléphone a sonné. C'était son propriétaire. Je m'en voudrai toute ma vie.» Lundi, deux superviseures du SPCM ont accepté la visite d'Accès. Pour une première fois et en cachette des propriétaires, nous avions droit de scruter les lieux. Visiblement, les jeunes femmes font tout pour sauver les animaux. L'une d'elle s'est déjà rendue à Trois-Rivières de son propre chef et à ses frais pour conduire un chien à sa nouvelle demeure. «Faut que les villes cessent de payer pour l'euthanasie, clame Carole. C'est plus payant que l'adoption! On travaille pour faire changer les choses, mais ce n'est pas facile.» Trop d'abandons La fin de semaine dernière, trois jeunes bergers allemands ont été abandonnés à la pluie battante dans une cage sous un pont de Val-David. Au cours du même week-end, une chatte et ses 5 chatons ont été déposés devant la porte de l'animalerie. Il y a deux mois, un chat a été arrosé d'essence et incendié. Un passant l'a conduit en panique au SPCM. «Il faut que ce soit réglementé, s'insurgent les superviseures. Il n'y a aucune conséquence pour les fautifs. Il n'y a aucun moyen de les retracer. On a même retrouvé un chien avec une flèche dans le corps. Un autre était pendu dans le bois. Des histoires d'horreur, on en a plein!» Les deux jeunes femmes semblent dédiées à la cause des animaux. Mais pour l'instant, la réglementation et les contrats municipaux font en sorte que trop d'animaux meurent inutilement. Les usines à chiots et les prétendus élevages familiaux amplifient la problématique. «Les anglophones adoptent, les francophones achètent et abandonnent», soutient Johanne Tassé, présidente du Centre d'adoption d'animaux de compagnie du Québec. Depuis sa fondation en 2008, le Centre a conduit près de 700 animaux en Ontario. Autant de chiens et de chats non désirés dans nos contrées. La stérilisation est la solution, précise les superviseures du SPCM. Carole et Josée travaillent de concert avec l'organisme Paw for life, qui offre des familles d'accueil aux animaux délaissés. Dans la même semaine, l'animal est stérilisé. Sur Internet, la vente va bon train. Et le problème se perpétue. Et le marché aux puces de Prévost pullule de revendeurs de chiens sans scrupule, indique une source. «On vend des chiens malades. Il y en a un qui avait le Parvo virus. Tu lui pesais sur le ventre et ça sortait à l'autre bout.» Un fléau national Le reportage télévisé sur le Berger blanc en a offusqué plus d'un. Pourtant, les animalistes de la région dénoncent des pratiques tout aussi contestables sinon plus dans les Laurentides. Louise Auger se bat depuis des années pour faire fermer L'inspecteur canin de Saint-Lin, qui opère depuis 17 ans. Elle est poursuivie pour avoir organisé une manifestation et fait signer une pétition. Plusieurs jugements ont été rendus contre l'entreprise. Samedi, une manifestation a attiré une cinquantaine de personnes à Saint-Jérôme. Une seule demande : faire fermer les fourrières à but lucratif. Le SPCM n'a toujours pas voulu commenter. Et que fait Anima Québec dans le dossier? «Nous, on les appelle Inanima Québec», lancent les activistes avec ironie. http://www.journalacces.ca/Actualité/2011-06-01/article-2549646/Cruaute-animale-Le-proprietaire-du-SPCM-accuse-au-criminel/1
  22. Ktema

    La chasse aux araignées

    Pareil ici. Depuis que j'ai Sonate et Satine, je ne vois pratiquement plus d'araignées... sauf celles qui sont au plafond !
  23. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/05/20110528-155120.html SPA Canada manifeste devant l’Hôtel de Ville Près de 300 personnes ont manifesté samedi devant l’Hôtel de Ville de Montréal pour réclamer la fermeture de la fourrière Berger Blanc, ainsi que toutes les fourrières à but lucratif au Québec. Avec la pluie qui tombait et les dizaines de chiens qui accompagnaient leurs maîtres, une forte odeur de chien mouillé donnait le ton à l’action organisée par la Société protectrice des animaux (SPA) du Canada. La manifestation a eu lieu en simultanée dans neuf villes de la province. « C’est un modèle absurde qui répète le même processus chaque année. On récupère les animaux, puis on les euthanasie. Ça coûte cher et c’est inefficace », affirme Patricia Tulasne, actrice et porte-parole de la SPA. C’était la troisième manifestation organisée par la SPA en près d’un mois pour dénoncer la cruauté envers les animaux. « On veut que Montréal se dote d’une fourrière municipale à but non lucratif. Elle devrait imiter Calgary qui a un modèle de gestion qui a permis de réduire le nombre d’euthanasies d’animaux de 34 000 à 4 000. À Montréal, on ne prend même pas la peine de retrouver le propriétaire alors que là-bas, on rapporte l’animal dans sa famille sans même passer par la fourrière », lance Mme Tulasne. La porte-parole reconnait toutefois qu’il faut sensibiliser davantage la population. Selon la SPA, au Québec, les gens gardent leurs animaux 17 mois en moyenne. « C’est beaucoup trop court. Quand on se procure un animal, il faut imaginer qu’il va vieillir avec nous. Au Québec, c’est trop facile de se procurer un chien ou un chat, et encore plus facile de s’en débarrasser », soutient cette dernière. Des pressions pour Jean Charest La prochaine manifestation de la SPA aura lieu dans trois semaines, en partie devant les bureaux du premier ministre du Québec Jean Charest. « S’il a 200 millions pour un amphithéâtre, il doit avoir 10 millions pour une fourrière à Montréal. À Québec, les partis disent ne pas tolérer la violence envers les animaux, mais ils n’agissent pas », dit l’actrice. SPA Canada menace la Ville de Montréal de déclencher une campagne de boycottage internationale, fort du support de l’actrice française Brigitte Bardot.
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