Ktema

Merci Bambi et Evy.

Je suis bien d'accord avec toi Shanti... une vraie joke !

Le pire ce n'est pas tant d'aller au micro, c'est d'être toute seule dans tes convictions. Merci Sylhan.

Berger Blanc : des mesures correctives sont mises en place Dans une correspondance acheminée à l’ensemble de ses clients, dont fait partie la Ville de Repentigny, l’entreprise Berger Blanc annonce qu’elle vient de mettre en place des mesures correctives visant à améliorer la qualité du service offert et l’application des normes et des règles dûment reconnues en matière de protection animale. Certaines de ces mesures, notamment en matière d’euthanasie, lui sont imposées par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ). Les autorités repentignoises sont du nombre des municipalités qui exigeaient, de façon non négociable, la mise en place rapide de telles mesures rattachées au bien-être, à la sécurité et à la prévention des animaux. La mairesse, Chantal Deschamps, en profite d’ailleurs pour réitérer à toutes ses citoyennes et à tous ses citoyens propriétaires de chiens, de chats ou de tout autre animal, sa ferme intention de voir à ce que Berger Blanc respecte à la lettre ses clauses contractuelles et qu’elle se plie et se conforme à ses récents engagements. Un Comité de la condition animale Entre autres, Berger Blanc s’est engagée à assurer la présence d’au moins deux employés, dont l’un dûment certifié et autorisé, dans son département d’euthanasie; le tout sous la supervision d’un médecin vétérinaire licencié aussi présent sur les lieux. L’entreprise montréalaise a aussi annoncé la création d’un Comité de la condition animale. Ledit comité tiendra des rencontres sur une base mensuelle et à tour de rôle, un membre de la direction de chacun des arrondissements et des municipalités liés par contrat avec l’entreprise pourra être invité à participer à cette rencontre mensuelle. Berger Blanc a aussi fait part de la mise en place immédiate d’un code de déontologie et d’engagement solennel pour tous ses employés, lequel réfère principalement au respect de la vie animale, à la compassion et au bien-être des animaux qui lui sont confiés. Le document fait aussi état de mesures disciplinaires appropriées à l’égard de tout manquement à ce code. L’entreprise va également procéder au réaménagement de son système de surveillance par caméras et le munir d’un système parallèle capable d’enregistrer. Enfin, une boîte à suggestions et à recommandations sera mise à la disposition de tous les employés de même qu’à celle de toute autre personne qui souhaiterait dénoncer, de façon confidentielle, une situation anormale ou un abus pouvant être commis à l’égard d’un animal. Rappelons que Berger Blanc fait l’objet d’enquêtes de la part du MAPAQ, de l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec et du Service de police de la Ville de Montréal, mais pour l’instant, aucune accusation n’a été portée contre l’entreprise. http://www.hebdorivenord.com/Actualites/2011-05-10/article-2491969/Berger-Blanc-:-des-mesures-correctives-sont-mises-en-place/1

Merci lyndab et Eiram.

Conseil de ville ce soir pour Villeray/St-Michel/Parc Extension.

Pour ceux que ça intéresse, conseil de ville d'hier soir... Premièrement, j'étais toute seule de nouvelle et pas mal toute seule de ma gang aussi. Je suis déçue, mais ce n'est pas grave, je vais y retourner et continuer de me battre. La police, un journaliste et tous ces gens qui se connaissent et qui se font un plaisir de critiquer le maire, c'est assez comique dans un sens. J'ai passé la 5e et personne n'avait encore parlé du berger blanc. J'ai dit ce que j'avais à dire et à la fin, j'ai demandé au maire de Mascouche, s'il avait des animaux et la réponse fut oui. Je lui ai ensuite demandé, s'il les enverraient au berger blanc. J'ai eu droit, qu'ils étaient en santé et blabla. J'ai reposé la question et il m'a répondu *non*... Je l'ai remercié et je lui ai dit que j'allais revenir ! J'ai eu droit à des applaudissements de la part du maire, des conseillers et de la cinquantaine de personnes présentes. Il devrait y avoir des démarches pour sensibiliser la population au sujet de la stérilisation et de l'abandon. J'ai appris que certains efforts avaient été fait, mais malheureusement aucune fourrière à but non lucratif n'a été trouvée. Une autre personne a mentionné qu'elle ne voulait plus du berger blanc, il n'a pas rallongé le discours sur le sujet, puisque j'en avais déjà parlé (c'est ce qu'il a dit). Il a continué avec d'autres questions. Une personne est venue me voir tout de suite après que j'ai eu fini de parler et quelques autres sont venus à la fin du conseil pour me poser des questions. Voila mon initiation à mon premier conseil de ville, mais sûrement pas le dernier !

Je suis prête ! J'attends juste une dernière vérification...

C'est demain pour Ville-marie, Mascouche et Terrebonne. Si vous avez quelque chose à dire, c'est le temps et il faut en profiter.

C'est 0,11% du budget annuel de la Ville, sans parler s'il inclut les frais d'exploitation dans ce montant ou les revenus générés (s'il y a lieu) par les médailles. Combien coûte annuellement les services de fourrière privée en ce moment à la Ville et aux 'usagers'? Merci du renseignement Aodhan !

Hier 18:00. A ecouter, les propos du maire au sujet de la lettre de Brigitte Bardot... http://www.radio-canada.ca/audio-video/#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2011/RDI2/2011-05-06_18_00_00_TJ_004_500.xml&pos=0

Tremblay dismisses calls for city to create animal control agency Montreal's opposition parties are calling for the creation of a municipally overseen animal control policy that will end the city's reliance on Berger Blanc, a controversial for-profit pound that has been accused of inhumanely euthanizing the animals in its charge. But Mayor Gérald Tremblay was lukewarm Friday to the idea of the city taking over from Berger Blanc, saying such a move would cost $5 million annually - money the city doesn't have. "Yes, a lot of owners abandon their pets on July 1," Tremblay told reporters. "(But) do we have to go public or can we maintain the private sector with the necessary measures to make sure that whatever we saw on television will never happen again? This is our challenge." He added: "We have concerns about homelessness and poverty, as well. "There are human beings whose needs have to be considered. . Every day I run into people who are excluded from society, who have financial needs. They concern me, too." Tremblay's comments follow the airing two weeks ago of an investigative report on Radio-Canada. A hidden camera captured images of animals apparently being euthanized inhumanely at Berger Blanc, a Rivière des Prairies based pound that provides animal control services for 10 of the city's 19 boroughs. In the firestorm of controversy that followed, Richard Deschamps, executive committee member responsible for services to citizens, said city inspectors had never reported any abuse at Berger Blanc but added spot checks would be stepped up. However, Projet Montréal - which will not renew its contract with Berger Blanc in the borough of Plateau Mont Royal - has called for the creation of a committee at city hall to examine how animal policies can be improved. On Friday, Vision Montreal, the official opposition, called upon Tremblay to consider following the lead of Toronto and Calgary and have the city create its own animal control agency. Flanked by Vision Montreal's five borough mayors, party leader Louise Harel said she had written to Tremblay asking the city to establish a "responsible" animal control service. She said something must be done to curb Montrealers' willingness to abandon their pets at a rate she estimated to be 2½ times that of Toronto. "We are the champions of pet abandonment," she said, comparing this city's annual rate of 25,000 abandoned pets to Toronto's 10,000. "Montrealers . have a very bad record and it has to stop." Harel did not dismiss the idea of a city register of pets that would require them to be licensed and allow for fines against owners who abandon their animals. But she said the city must have a service in place before cutting ties with the controversial pound. Michael Applebaum, mayor of Côte des Neiges-Notre Dame de Grâce and chairperson of the city's executive committee, has said his borough will not renew its contract with Berger Blanc and has entered into a partnership with the SPCA. As of Friday, only that borough and Plateau Mont Royal had announced their intention to stop dealing with Berger Blanc. SPCA spokesperson Alanna Devine said the shelter is busier after the Radio-Canada report and stressed the city needs a set of regulations clearly defining the responsibilities of pet owners. She pointed to bylaws adopted in Verdun borough that limit the number of pets per household and require dogs and cats to be licensed, with higher fees for non-sterilized pets. Activist and former film star Brigitte Bardot also sent the mayor a plea to improve the situation in Montreal. http://www.montrealgazette.com/life/Tremblay+dismisses+calls+city+create+animal+control+agency/4743304/story.html

Je n'ecris pas, je copie pour ceux qui ont basse vitesse et je mets le lien en-dessous. Publié: 06 mai 2011 14:57 Mis à jour: 06 mai 2011 15:09

http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2011/CBFT/TelejournalMidi201105061130_1.asx&epr=true

Afin que les chats et les chiens abandonnés ne subissent plus de mauvais traitements, Vision Montréal réclame qu’une fourrière municipale soit mise sur pied à Montréal. La chef de l’opposition officielle, Louise Harel, en a fait la demande par écrit au maire Gérald Tremblay. Elle souhaite qu’à la réunion de juin du conseil municipal, les conditions d’implantation soient exposées, de même que les coûts qu’exigerait un tel service. Cette fourrière municipale devrait offrir des services de capture, de stérilisation des animaux et d’adoption, selon Vision Montréal. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, s'est montré ouvert à la proposition du parti de Louise Harel. «[Cette idée] mérite d'être analysée», a-t-il dit vendredi. La mise sur pied d'une fourrière municipale coûterait 5M$, ce qui représente beaucoup d'argent, a toutefois indiqué le maire. L’émission Enquête de Radio-Canada a démontré il y a deux semaines que des employés du Berger blanc, une fourrière privée qui offre des services à la Ville, maltraitaient les animaux abandonnés. Le gouvernement du Québec a depuis imposé des mesures correctives au Berger blanc, notamment sur les conditions dans lesquelles les euthanasies doivent être pratiquées et sur la taille des cages pour animaux. http://www.journalmetro.com/montreal/article/853199

Berger Blanc: Mascouche garde l’œil ouvert Si la Ville de Mascouche n’a pas réagi tout de suite après la diffusion du reportage de Radio-Canada montrant des images choquantes sur les agissements du Berger Blanc, son fournisseur, c’est qu’elle attentait d’avoir plus d’information sur le dossier. Vendredi dernier, elle émettait un communiqué à ce sujet. Le document rappelle que la Ville dispose, et ce, depuis bien avant la diffusion du reportage en question, d’un agent de la Sécurité publique afin d’assurer un suivi de la réglementation municipale relative aux animaux. De plus, l’entente prise par le Berger Blanc et la Ville de Mascouche en ce qui a trait à l’application de ce règlement n’encourt aucun frais de la part de la Ville. «Le Berger Blanc s’autofinance grâce au paiement des licences par les citoyens», souligne Monique Muzzarelli, conseillère en communications, lors d’une conversation téléphonique avec Le Trait d’Union. Poursuite des activités L’administration émet également quelques précisions. «Selon l’entente, le contrôleur doit se conformer à toutes les lois, ordonnances, règlements et décrets gouvernementaux d’ordre fédéral et provincial s’appliquant aux services et travaux exécutés en vertu de l’entente.» Considérant que les deux paliers de gouvernements ainsi que l’Ordre des médecins vétérinaires mènent présentement une enquête à ce sujet, la municipalité «portera une attention particulière aux résultats de ces démarches». Ainsi, Mascouche estime qu’il n’est pas utile de suspendre les activités du Berger Blanc pour le moment. «Cette décision a été prise en considérant qu’une suspension immédiate de service obligerait les citoyens à se tourner vers les services de vétérinaire, et ce, à leur frais», conclut l’administration. Terrebonne rencontre le propriétaire Du côté de la Ville de Terrebonne, Diane Legault, attachée du maire, confirme qu’une rencontre entre le propriétaire du Berger Blanc, Pierre Couture, et un représentant du conseil d’administration mandaté pour le dossier s’est tenue cette semaine. Au cours des prochains jours, le représentant se rendra sur place, au point de services de Laval, afin d’évaluer la situation. Mme Legault rappelle qu’avant la diffusion du reportage de l’émission Enquête, aucune plainte sur le Berger Blanc n’avait été émise de la part des citoyens. Tout comme Mascouche, Terrebonne poursuit pour l’instant ses activités avec la fourrière. «Le contrat demeure toujours valide», termine Mme Legault. Soulignons que la Ville de Terrebonne fait affaire avec Le Berger depuis 2001, soit depuis l’union des Villes de Terrebonne, Lachenaie et La Plaine. Deux arrondissements remercient la fourrière À Montréal, l’arrondissement du Plateau Mont-Royal ainsi que celui de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce ne feront dorénavant plus appel au Berger Blanc. Le premier a choisi de ne pas renouveler son entente avec la fourrière tandis que le deuxième a choisi de résilier son contrat. Ordonnance du ministre Corbeil : le Berger Blanc devra se conformer aux règles Mardi dernier, le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, Pierre Corbeil, ordonnait à la fourrière Le Berger Blanc de se soumettre à des conditions bien précises, notamment en ce qui a trait aux euthanasies des animaux. «Toutes les euthanasies devront être faites sous la supervision étroite et directe d’un vétérinaire, et ce, dans le respect du bien-être animal», fait savoir le ministre par voie de communiqué. Les plages horaires lors desquelles les employés pourront agir en ce sens seront prédéterminées, permettant au ministère d’assurer une surveillance serrée. L’ordonnance du ministre indique également «que toutes les cages et tous les enclos doivent être suffisamment grands pour permettre à chaque animal de se tenir debout normalement, de se tourner facilement et de se coucher en position complètement allongée». De plus, «le nombre d’animaux gardés ne doit pas dépasser la capacité d’hébergement de l’établissement». Visites surprises Le ministère s’engage à effectuer des inspections aléatoires aux points de services de la fourrière afin d’assurer le respect de l’ordonnance. «La question de la santé et du bien-être animal est une priorité qui est traitée avec le plus grand sérieux par le gouvernement du Québec. La fourrière Le Berger blanc doit se conformer aux règles qui encadrent les façons de faire dans ce domaine», termine le ministre Corbeil. http://www.letraitdunion.com/Actualités/Faits%20divers/2011-05-05/article-2481943/Berger-Blanc-Mascouche-garde-lil-ouvert/1

Aucune confirmation à propos de l'inpecteur canin. Alors je crois que l'on doit se fier à la lettre que j'ai reçu du maire de Mascouche. Mascouche, vendredi 29 avril 2011 – Depuis la diffusion d'images et de textes choquants concernant l'organisme Le Berger Blanc inc., la Ville de Mascouche n'a pas voulu faire de déclaration hâtive avant d'avoir plus d'informations. Il est important de faire ressortir que la Ville de Mascouche a un agent de la Sécurité publique attitré au suivi de ce qui touche à la réglementation municipale relative aux animaux. L'entente prise entre Le Berger Blanc inc. et la Ville de Mascouche, concernant l'application de la réglementation municipale relative aux animaux, n'engage aucuns frais de la part de la Ville. L'organisme s'autofinance grâce au paiement des licences par les citoyens, dont les coûts sont fixés par résolution du conseil. À ce stade, les précisions que nous aimerions apporter sont les suivantes : − Selon l'entente, le contrôleur (Le Berger Blanc inc.) doit se conformer à toutes les lois, ordonnances, règlements et décrets gouvernementaux fédéral et provincial s'appliquant aux services et travaux exécutés en vertu de l'entente. − Dans un premier temps, le conseil municipal a approuvé l'entente avec Le Berger Blanc inc., en se basant sur le fait qu'aucune instance gouvernementale compétente en la matière n'avait émis quoi que ce soit permettant de croire que l'organisme n'était pas digne de confiance. − Dans un deuxième temps, pour faire suite aux événements récents, l'Administration de la ville de Mascouche portera une attention particulière aux résultats des enquêtes qui sont menées par ces instances gouvernementales compétentes en la matière, ainsi que par l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec. − Pour le moment, la Municipalité estime qu'il est plus adéquat de ne pas suspendre les activités de l’organisme Le Berger Blanc inc.. Cette décision a été prise en considérant qu'une suspension immédiate du service obligerait les citoyennes et aux citoyens de Mascouche à se tourner vers les services de vétérinaire, et ce, à leurs frais. L'Administration de la ville de Mascouche demeure proactive dans le cheminement de ce dossier. Source : Madame Monique Muzzarelli Communications de la ville de Mascouche 450-474-4133, poste 2790 Pour information : Monsieur Sylvain Goulet Sécurité publique de la ville de Mascouche 450-474-4133, poste 5040

Anie est-ce que tu viens au conseil de ville lundi ?

Sont pas les seuls...

Il ne résiliera pas son contrat avec la fourrière Le conseil d’arrondissement du mois de mai a été marqué par le témoignage de deux résidentes, heurtées par le reportage diffusé à l’émission Enquête sur la chaîne Radio-Canada, dénonçant les méthodes de la fourrière Le Berger Blanc. L’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension est sous contrat avec la fourrière jusqu’à la fin de l’année et ne compte pas le casser. Sujets : Le Berger Blanc , Radio-Canada , Arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension , Arrondissement de Saint-Léonard Les deux citoyennes ont demandé à ce que l’arrondissement cesse toutes activités avec la fourrière montrée du doigt. Le maire de l’arrondissement, Anie Samson, a fait preuve d’empathie envers les résidentes et les animaux malmenés. Elle a cependant répondu que pour résilier un contrat, il faut être « capable d’offrir un service équivalent. Pour le moment, on n’en a pas », a-t-elle déploré. Car c’est ici que le bât blesse, lorsque l’arrondissement a lancé un appel d’offres, il y a deux ans et demi, seule la société Le Berger blanc avait soumissionné. Dans ce délicat dossier, le directeur de l’arrondissement, Stéphane Chénier, a souligné que l’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension était lié à l’arrondissement de Saint-Léonard et que le contrat ne pouvait être résilié « compte tenu des dispositions [de ce contrat]. » « Pour résilier un contrat, ça prend des motifs et ceux-ci ne reposent pas juste sur des images prises par une caméra cachée. Ça prend aussi un constat », a expliqué le directeur de l’arrondissement. M. Chénier a souligné que l’arrondissement avait déjà fait une visite, sans préavis, avant la diffusion du reportage. « On a fait le tour de tous les locaux incluant la salle d’anesthésie. On a constaté aucune anomalie. On a constaté qu’il y avait un vétérinaire membre de l’ordre, sur les lieux. On n’a pas vu ce que les médias ont rapportés. » « [À la suite du reportage,] on a convenu que c’était choquant, inadmissible. Il y a des lacunes importantes dans leur méthode de fonctionnement. Ces manquements justifient amplement que l’on demande et exige de nous faire état des moyens qu’ils vont prendre pour corriger la situation. » « Pour résilier un contrat, ça prend des motifs et ceux-ci ne reposent pas juste sur des images prises par une caméra cachée. Ça prend aussi un constat », - Stéphane Chénier, directeur de l’arrondissement Cette réponse n’a pas satisfaite la résidente, pour qui l’arrondissement et les citoyens restent « complices de ce qui se passe présentement. » À propos de la diffusion du reportage, Mme Samson souhaite visiblement garder la tête froide « On ne peut pas être juge et partie en même temps » fait-elle valoir. En marge du conseil, le maire a ajouté « On ne justifie pas ce qui se passe. Nous laissons l’enquête se faire. » Selon elle, une réflexion devrait être approfondie sur la mise en place d’une fourrière municipale. Maximum : 3 animaux par foyer Par ailleurs, au cours du conseil, le directeur de l'Aménagement urbain et des services aux entreprises, Bernard Lacroix, a rappelé que les citoyens ne devaient pas héberger plus de trois animaux dans leur logement, pour des raisons d’hygiène. « Au-delà de trois animaux dans les logements, on demande à ce que les citoyens les remettent à un organisme. Accueillir des animaux errants à grande échelle, peut devenir un problème de santé publique », a-t-il précisé. Selon lui, de nombreux citoyens portent plainte. L’arrondissement a déjà dû faire sortir 28 chats de certains immeubles. http://www.leprogresvilleray.com/Actualit%C3%A9s/Vos%20nouvelles/2011-05-05/article-2481814/Larrondissement-reste-sous-contrat-avec-le-Berger-blanc/1

Hier aux nouvelles de 18:00 : http://fr.video.sympatico.ca/index.php/fr/video/nouvelles/11/national/29/nouvelles-nationales/152/un-berger-surveill/931336505001

Ça existe déjà et il paraît que c'est pas rose-rose. Qui va payer pour une SPA/SPCA qui a de l'allure: Mascouche? Vraiment pas convaincu... Je ne suis pas convaincue non plus, mais je vais m'essayer quand meme avec le maire de Mascouche.

J'attend la confirmation ou non de ca.

Si tu lis bien ce que le maire m'a envoye, Mascouche ne debourse pas un sous pour avoir le berger blanc.