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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Bonjour, Ma grande passion : les Cockers Anglais. Je possède un petit élevage de cockers Anglais en Picardie, j' élève depuis 1992 sous l' affixe "des aubépines de La.Vilco", vous pouvez visualiser mon site: www.desaubepinesdelavilco.com Merci de votre accueil sur ce forum.
  2. Je n'ai pas compris grand chose! La vraie question est: Comment obtenir un affixe sans l'accord du club en question ? Prendre deux races à élever et s'inscrire sur celle qui est le plus calme dans tes relations. Quand au reste, nous ne connaissons rien des faits qui apparement trainent depuis des années. Il faudra donc "éditer" ton poste et ne laisser que tes vraies questions à poser aux éleveurs professionnels. Sur ce forum, tu ne trouveras pas ce genre de discours car il est reglé dans la journée même par tout nos modérateurs. Bon forum
  3. Bonsoir, Mon affixe est : Les Rottweilers de l'Héritage du Néckar Mon site est : www.chien.com/HeritageNeckar/ Mon blog est : www.hdn.skyblog.com/ voilà je pense ne rien avoir oublié [Bonne soirée et à bientôt
  4. Si tout comme dawny vous êtes futur éleveur, faites vous connaitre sur ce forum et poser vos questions aux professionnels.
  5. Si vous avez besoin d'avoir des réponses à vos questions concernant votre future activité, vous devez ouvrir un sujet en cliquant sur "nouveau"
  6. Pour les membres Handleurs du forum. Respecter la charte et le règlement du forum. Bon forum à vous. Si tout comme Emmanuel&Diabolo vous êtes Handler faites vous connaitre sur ce forum. Emmanuel&Diabolo http://handlingpassion.free.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=49 Faites nous partager votre passion, votre activité agrémentée de photos. Merci d'ouvrir des sujets en cliquant sur "nouveau" Merci
  7. Bonjour, J'élève des Rottweilers (groupe II)depuis 9 ans et en suis propriétaire depuis 15 ans. J'ai aussi une Westie (groupe III). Voilà c'est fait .... A bientôt
  8. Comment trouvez vous le nouveau thème installé ? J'attends vos commentaires. Couleurs, couleur d'écriture, grosseur de la lecture etc ...
  9. JE FAIS DES TESTS JUSQU'A 15H30 à l'autre maintenant
  10. NE CRIEZ PAS AUX GRANDS CRIS TESTS JUSQU'A 15H00
  11. je garde notre logo au chaud ici pour pouvoir le recuperer
  12. ATTENTION !!! JE FAIS DES TESTS SUR LE FORUM DE 14H00 à 15H00
  13. Je vais déjà mettre en bas du forum le Je garde le notre ici au cas où
  14. Je peux essayer de faire un petit mélange du notre et de celui arriver en tête ...
  15. Suisse (Valais) - Chiens sauvés in extremis Le refuge d'Ardon (VS) a récupéré 26 bêtes qui vivaient dans une remorque et dans un état sanitaire désastreux. Gaëlle Cajeux Une vingtaine de chiens affamés, bourrés de puces et de vers, les poils noircis par leurs déjections fécales, souffrant de fièvre, d'otites ou de conjonctivites. C'est une vraie scène d'horreur, à laquelle les employés du refuge d'animaux d'Ardon (VS) ont dû faire face lundi soir. Peu après 18 h, deux hommes, un père et son fils, se présentent au refuge. Ils sont Belges, ont environ 75 et 50 ans, des vêtements totalement souillés et paraissent complètement perdus. Dans leur véhicule 4x4 et leur remorque - utilisée habituellement pour transporter 4 ou 5 huskies - s'entassent 17 caniches (dont 3 petits), 2 pékinois, 1 labrador, 5 dalmatiens et 1 chat. Dans un état sanitaire déplorable. Les deux individus cherchent à placer leurs animaux, que les autres centres de la région avaient refusés. Refuge débordé «Nous avons accepté, pour les animaux, explique Chantal Oberson, responsable bénévole du refuge d'Ardon. Mais nous accueillons déjà 27 chiens et une soixantaine de chats. Avec ces nouveaux pensionnaires, le refuge déborde. Nous avons dû engager une personne à 100% pour s'en occuper.» «Cette prise en charge représente un coût supplémentaire de plusieurs milliers de francs. Alors que nous avons déjà du mal à boucler notre budget», poursuit Jean-Charles Zimmermann. Déclaration de cession Mais le vice-président de la Ligue valaisanne pour la protection des animaux tient surtout à souligner «le drame de la misère humaine» qui se cache derrière cette affaire tragique. «C'est un cas de dé-tresse morale.» Et non pas une crapuleuse affaire de commerce d'animaux. Ayant perdu la ferme où il élevait ses chiens en France, le cinquantenaire belge les a placés dans un chenil. Avant de découvrir que ses bêtes n'étaient absolument pas soignées. Il les a alors retirées d'urgence et s'est retrouvé, sans domicile, avec cette meute à prendre en charge. «C'est une personne en détresse, prise dans une spirale et qui n'a plus les moyens de s'occuper de ses chiens», précise le vétérinaire cantonal, Jérôme Barras. Grâce à la collaboration de la police de proximité, de la Ligue valaisanne pour la protection des animaux* et de l'Office vétérinaire cantonal, ce cas dramatique a finalement été résolu hier soir. Le propriétaire des chiens a signé une déclaration de cession des animaux au refuge et n'a désormais plus le droit de détenir de chiens en Valais. Source : http://www.lematin.ch/actu/sui(...)
  16. Suisse - Les mushers devraient pouvoir s'élancer le week-end prochain Photo : SPECTACLE NON-STOP Samedi et dimanche prochains, environ 700 chiens nordiques devraient prendre le départ à Saignelégier dès 9h30 le matin. (ARCHIVES RICHARD LEUENBERGER) Annulées en 2007 et 2008 faute de neige, les courses internationales de chiens de traîneaux ont de bonnes chances d'avoir lieu les 24 et 25 janvier. Elles s'inscriront sous le thème des «Trappeurs du Grand Nord» «Cette fois-ci, on a de la neige, et elle est dure!» Depuis que René Jaquet préside la Société de développement et d'embellissement de Saignelégier, en 2007, les Courses internationales de chiens de traîneau et la Fête du chien nordique n'ont jamais eu lieu. Mais vu la couche de neige bien tassée qui couvre en ce moment les Franches-Montagnes, la manifestation devrait bel et bien faire son retour, samedi 24 et dimanche 25 janvier. La décision définitive sera prise lundi soir. Une cinquantaine d'attelages ont déjà rendu leur inscription et trente devraient confirmer la leur cette semaine. Avec 80 attelages attendus, ce sont environ 700 chiens nordiques qui devraient s'en donner à cœur joie à travers la région et la rendre digne du Grand Nord. «Les courses devraient être particulièrement corsées, car la saison d'hiver a débuté tôt et les mushers ont bien eu le temps de s'entraîner», se réjouit Maurice Jobin, alias «leFrisé», grand manitou de l'événement depuis sa création en 1973. «Mais les concurrents sont des amoureux des chiens de race et courent plus pour le plaisir que pour le chronomètre.» Les onze courses se dérouleront en deux manches, soit samedi et dimanche dès 9h30 au départ de Saignelégier, pour des parcours de 8, 12, 18 ou 35 km. Elles se déclinent en catégories «races nordiques», «huskies de Sibérie», «skijoering», ou sont totalement ouvertes. Une course dédiée aux enfants de 6 à 16 ans se tiendra samedi et dimanche dès 14h30. Résultats complets le soir dès 16h30. Du côté de l'animation, les organisateurs annoncent un concept «encore plus beau, plus grand et plus soigné» que jamais. La manifestation ayant été annulée en 2007 et en 2008, des projets originaux sont en effet «en gestation» depuis deux ans. Pour assurer le spectacle entre les départs et les arrivées, une animation «Trappeurs du Grand Nord» sera proposée au public, les deux jours dès 13h30 sur l'esplanade du Marché-Concours (lire encadré). Des démontrations de fumerie de saumon à l'ancienne, de patinettes finlandaises et des présentations de races de chiens de traîneaux seront aussi proposées. Une vaste exposition de Jacques Tournel, photographe animalier, sera accrochée le long de la galerie supérieure de la halle du Marché-Concours. A noter qu'il y aura de quoi se restaurer et boire un pot au Bar du trappeur tout au long de la manifestation. Tout ça, grâce à plus de 150 bénévoles. /DWI Informations mises à jour à l'adresse http://www.sde-saignelegier.ch(...) DELPHINE WILLEMIN Trappeurs du Grand Nord Durant les deux jours de la manifestation, une animation ludique intitulée «Les trappeurs du Grand Nord» va créer le spectacle sur l'esplanade du Marché-Concours. Vêtus d'un costume de circonstance, les mushers s'affronteront sur un parcours semé d'embûches d'environ 500 mètres, avec un attelage à deux chiens de race nordique et un traîneau de style traditionnel. Les concurrents devront démontrer leurs talents de trappeurs, avec une besace contenant un couteau, trois allumettes et une feuille de journal. Le défi? Conduire les chiens avec dextérité, tout en franchissant une colline, une rivière, un slalom, avant de chercher du bois et d'allumer un feu, en chaussant des raquettes à neige. Les arbitres choisiront le meilleur trappeur ou la meilleure trappeuse, en fonction du temps, des épreuves accomplies et du déguisement. /dwi Le point sur la neige Enneigement Les conditions telles qu'aujourd'hui seraient idéales pour la manifestation. Point critique Le passage le plus délicat se situe entre Saignelégier et Les Emibois. Prévisions Les conditions météo n'arrêtent pas de changer ces derniers jours, difficile de s'y fier. A la pelle! Les nombreux bénévoles n'hésiteront pas à sortir la pelle si besoin. /dwi Source : http://www.arcinfo.ch/home/hom(...)
  17. Japon - L’amour des propriétaires de chiens pour leurs animaux concurrence l’affection maternelle Les scientifiques ont montré que les propriétaires de chiens obtenaient le même niveau d’émotion en regardant leur animal que les mères avec leurs enfants en bas âge. Ils ont constaté que les propriétaires de chiens montraient une montée de l’hormone appelée ocytocine en jouant avec leur animal de compagnie. Également appelée hormone de l’amour, il a été prouvé qu’elle diminuait le stress, combattait la dépression et augmentait la confiance chez l’Homme. D’après ces recherches, jouer avec son chien libère l’hormone de l’amour chez le propriétaire. Les biologistes Miho Nagasawa et Tekafumi Kikusui, de l’université Azuba au Japon, se sont inspirés de leur propre expérience pour mener cette étude. M. Kikusui explique dans le New Scientist que Miho et lui sont de grand amoureux des chiens, et sentent quelque chose changer en eux lorsque leurs chiens les regardent. Ils ont recruté 55 propriétaires de chiens accompagnés de leurs animaux de compagnie et ont prélevé un échantillon d’urine des propriétaires avant et après une demi-journée de jeux en laboratoire. Certains propriétaires ont été placés dans une pièce comme groupe témoin avec leur animal et on leur a demandé d’éviter le regard de leurs chiens. Ceux qui ont passé 2 minutes et demi à regarder leur chien dans les yeux pendant la séance de jeu montrent une augmentation de 20% du niveau d’ocytocine. A l'inverse, le groupe qui a évité le regard de l'animal a montré une légère diminution du niveau d’ocytocine. Ceux qui ont regardé leur animal plus longtemps ont eu tendance à évaluer leur relation avec leur chien comme plus satisfaisante que ceux qui ne les ont regardé fixement que pendant un court instant. M. Kikusui explique qu' « une augmentation de l’hormone de l’amour pourrait expliquer pourquoi jouer avec les chiens peut améliorer l’humeur, et diminuer les symptômes d’inquiétude et de dépression ». Il suggère également que l’ocytocine aurait joué un rôle dans la domestication des loups, il y a 15 000 ans. « Peut-être que lors du processus d’évolution, l’Homme et le chien ont partagé les mêmes répliques sociales, comme le contact visuel et les gestes des mains. Ce serait l’explication de l’adaptation du chien à la société humaine », dit M. Kikusui. Source : http://www.maxisciences.com/ch(...)
  18. Chiens, Chats : . Tes papiers STP! à chaque franchissement d'année correspond son lot de nouvelles réglementations. C'est une visite de dernière minute chez notre vétérinaire, le 31 décembre 2008 en fin de journée pour procéder au rappel du vaccin contre la rage de notre cher toutou, qui nous a mis la puce à l'oreille afin de lever le voile sur l'une des nouveautés 2009. Depuis le 1er janvier, chaque personne qui conduira son animal de compagnie se faire vacciner contre la rage, pour la première fois ou pour un rappel, se verra dans l'obligation de faire réaliser un passeport pour celui-ci. Même pour le territoire français ! Jusqu'à présent, comme nous l'explique le Docteur Hugot « ce passeport était obligatoire pour passer les frontières. » Que contient-il ? « C'est un document officiel numéroté pour le compte duquel un registre est tenu. Il comporte des informations sur le propriétaire et sur l'animal. La vaccination antirabique de ce dernier mais aussi son identification par puce ou tatouage (l'identification d'un animal est obligatoire depuis 1999, N.D.L.R.). Jusqu'alors, en France, seul un papier Cerfa, bleu pour la première vaccination ou rose pour les rappels, suffisait. Même si l'animal ne franchit pas de frontières, le passeport devient aussi obligatoire en France pour prouver que l'animal a bien été vacciné contre la rage. » s'y prendre à l'avance pour voyager Pour ceux qui souhaiteraient voir leur chien les suivre dans des contrées telles que le Royaume-Uni, la Suède ou dans des pays hors Union Européenne, ce passeport dispose d'autres pages. « Elle concerne le test de validité du vaccin antirabique également obligatoire pour voyager dans ces pays. Et qui doit être confirmé pour le retour en France pour certains pays comme le Maroc où des foyers endémiques de la rage sont connus. » Cela demande un certain temps. Ce pourquoi le Docteur Hugot conseille à tous ceux qui veulent voyager avec leur animal «de se renseigner sur les formalités auprès de votre vétérinaire, des services vétérinaires de votre département ou de l'ambassade de France du pays où vous souhaitez aller. » Pour ceux qui restent dans l'hexagone il précise que « le passeport est délivré lors du rappel pour les chiens déjà vaccinés. » Inutile de vous presser chez votre vétérinaire si vous ne souhaitez pas quitter la France dans les prochaines semaines. Source : http://www.ladepeche.fr/articl(...)
  19. attaque d’un lynx sur un chien de chasse dans le Doubs Publié par lynxologie.org http://www.lynxologie.org/ Dimanche 4 janvier 2009, à l’occasion d’une partie de chasse, dans la forêt de Vaufrey, dans le Doubs, un chien a été attaqué par un lynx. Le lynx s’est jeté à la gorge du welsh-terrier qui n’a eu la vie sauve que grâce au coup de fusil tiré en l’air par son maître. Le lynx a déguerpi dans la forêt et le chien s’est retrouvé chez le vétérinaire pour seize points de suture et vingt-huit agrafes. Les lynx qui ont été réintroduits dans les forêts de Franche-Comté sont, en règle générale, très pacifiques… (Source: L’Est Républicain / Le Parisien) Source : http://actulynx.wordpress.com/(...)
  20. de grands champions parmi les épagneuls et setters SENDETS. Loïc Le Provost n'a pas son pareil pour détecter de grands champions parmi les épagneuls et setters. Il part pour quatre mois faire concourir 25 chiens en Europe Éleveur et entraîneur de champions Loïc Le Provost a fait de Tonka des Hauts du Barry, le setter Gordon de Claude Jofroit, le vice-champion d'Europe de la race. (Photo A. M-R.) Championnat du monde gibier tiré, vice-champion d'Europe des setters Gordon, championnat d'Espagne dans la catégorie, meilleur chien étranger, vainqueur du Challenge perdreaux, vainqueur Open de France printemps, etc. Les titres prestigieux, Loïc Le Provost les collectionne. Lui, ou plutôt les chiens de chasse qui lui sont confiés. Et plus particulièrement les épagneuls bretons et setters anglais. Depuis cinq ans, cet ancien pompier dans l'aérospatial, originaire du bassin d'Arcachon, s'est installé sur la commune de Sendets. Sur une dizaine d'hectares entre plaine et bois, avec son épouse Virginie, ils ont monté de toutes pièces un site dédié aux chiens. Un espace qu'il se félicite de partager en bonne intelligence avec l'association locale de chasse. Si madame a pris en charge l'activité pension canine toute race, pour une cinquantaine de chiens, Loïc, lui, consacre son temps et son énergie aux compétitions internationales de chiens de chasse. Preuve en est, lundi, après un aller-retour express en Italie pour récupérer un véhicule spécialement équipé pour le transport en commun de chiens, il partira une dizaine de jours en Andalousie, avant une nouvelle semaine en Grèce et une série de concours qui achèveront de le mener en région parisienne et en Haute-Normandie. Quatre mois durant lesquels Loïc Le Provost fera concourir 25 chiens en fields de printemps. Ces chiens racés, Loïc se les voit confier par leur propriétaire six mois de l'année. « Je les prends jeunes pour les dresser à la compétition. » Un investissement d'au moins 5 000 euros par an, qui, s'il ne rapporte pas en monnaie sonnante et trébuchante, comme cela peut être le cas pour les éleveurs de chevaux, ouvre une lignée de chiens de pedigree, dont les saillies peuvent ensuite se négocier de « 600 euros à beaucoup plus cher ». Par passion et attachement Mais le plus souvent, c'est bien la passion pour une race et l'amour d'un chien qui pousse ces personnes, parmi lesquels beaucoup de Bordelais, à confier leur animal à Loïc. « Et le sentiment qu'ils ont un potentiel », confie le dresseur qui, avec chaque animal, établi tune relation bien particulière. Claude Jofroit est de ceux-là. Installé à Escaudes, ce retraité comme son épouse se sont découvert un attachement quasi viscéral pour le setter Gordon, après un premier animal plutôt destiné aux concours d'élégance. Puis il y eut Tonka. Tonka des Hauts du Barry de son vrai nom, mâle de 6 ans, est aujourd'hui vice-champion d'Europe de la race. Un jeune chien « à fort tempérament », dont Claude cherchait à l'origine « à canaliser le trop-plein d'énergie ». « Un chien qui n'attendait en fait qu'à voir ses désirs comblés », souligne pour sa part le dresseur, révélant immédiatement les qualités de ce chien exceptionnel. Une bête qui fait la fierté des deux hommes à la veille de cette nouvelle saison de concours qui s'ouvre à lui. Pour tout savoir de ces races et des compétitions, http://le-provost.com Auteur : Axelle Maquin-Roy a.maquinroy@sudouest.com Source : http://www.sudouest.com/girond(...)
  21. MOUGUERRE. Guidé par sa meute Complicité entre René et l'un de ses jeunes chiens. (photo N. P.-L.B.) À 70 ans, René Etchegoin affiche une santé rayonnante. Le regard bleu vif et la démarche assurée, ce passionné de chasse, et surtout de chiens, vient d'achever sa seconde et dernière mission en tant que lieutenant de louveterie. « J'ai ça dans le sang ». Dans la famille, il faut remonter à l'arrière-grand-père pour trouver un chasseur. L'aïeul entretenait en son temps une meute de chiens à sangliers pour le compte d'une famille bourgeoise de Mouguerre. L'arrière petit-fils ne l'a découvert que bien plus tard, alors que son goût pour la chasse occupait déjà une bonne partie de son temps. À 14 ans, il partait chasser le lapin avec ses chiens. Au contact des anciens, il parfait son art mais c'est surtout en multipliant les sorties que René s'est formé « sur le tas « dit-il. À force d'observation et d'entraînement il a appris à connaître le terrain, le gibier et surtout ses chiens auxquels il voue un réel attachement. De parties de chasse en parties de chasse, René a acquis une solide réputation de meneur de meute. En décembre 1997, après avoir présenté sa candidature, il est nommé lieutenant de louveterie par le préfet. Une seconde famille Cette mission, bénévole, René Etchegoin la considère comme un devoir envers la population. Son travail consiste à répondre dans les meilleurs délais à toute demande de l'administration pour la régulation des espèces dans le respect des règlements et des règles de sécurité. Cette fonction demande un solide sens de l'organisation pour la mise en place des battues, de l'écoute afin d'entretenir de bonnes relations entre les chasseurs et les non -chasseurs et une bonne connaissance en matière de biologie et de comportement des espèces. Elle nécessite enfin d'être un homme de terrain qui entretient des chiens courants ou de déterrage. René est père de deux filles et grand-père de deux garçons. Chacun désormais vole de ses propres ailes. René a donc tout le loisir de s'occuper de ses chiens. Il en possède plusieurs, Griffons, Bleus de Gascogne, Anglo-français de petite vénerie qu'il reconnaît au premier coup d'oeil avec un faible pour ceux qui ont une belle gorge. Certains seront destinés au sanglier, d'autres au chevreuil d'autres encore au lièvre ou au renard, « tout dépend de leur comportement, petit », explique René. Les chiots qui reniflent vers le bas seront orientés vers le lièvre, ce seront des ''rapprocheurs'' , ceux qui ont toujours le nez en l'air iront vers le chevreuil. Les vieux chiens de la meute apprennent aux petits sous l'autorité de René qui observe les affinités des uns et des autres. Pour les conditionner, René conduit sa meute dans des parcs privés car il n'existe pas de forêt domaniale dans les Pyrénées-Atlantiques, seul espace public autorisé pour l'entraînement des chiens. René Etchegoin ne tire aucune gloire de son statut. Il souhaite juste vivre et partager sa passion, laquelle avoue-t-il, lui a permis de « rester digne dans les moments difficiles de sa vie ». À 70 ans, il est obligé, à son grand regret, de cesser sa mission de lieutenant de louveterie dont l'âge limite d'exercice est de 69 ans. Qu'importe, les chasseurs des environs font souvent appel à lui pendant la période de chasse, trop heureux de profiter des qualités de sa meute. René Etchegoin repart alors dans la campagne avec pour seules armes un bâton et ses chiens. Auteur : Nathalie Possémé Le Blac'h Source : http://www.sudouest.com/pays-b(...)
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