Admin-eleveurcanin

Il voudrait un lien de site perso pour construire son site d'élevage. Merci pour lui

Je suis inscrit sur http://stafford-connection.chiens-de-france.com

Bonjour et bienvenue Voici un lien de site http://www.chiens-de-france.com/

Stafford Connection Bonjour, Je suis éleveur depuis le 17 Janvier 2007. Mon affixe est: Stafford Connection. N° éleveur: 881506. siret: en cours, DSV Epinal 88000. Race: Staffordshire Bull Terrier. Je n'ai pas encore de site internet, mais il serais temps que je m'en occupe. " si vous avez une adresse de construction de site, je suis preneur ? cordialement Mr C. Johann

Moi je les vois toutes !!! j'ai voté.

Bienvenue avec le Basset Hound

Bonjour voici les infos demandées site : http://archedelacrau.chiens-de-france.com/ affixe : De l'Arche de la Crau n°70523 n° éleveur SCC : 137601 M. Patrice M. 385-1, rue des Félibres CAPHAN 13310 SAINT-MARTIN DE CRAU +33 (0)4 90 47 44 74

J'en remettrais demain

Bienvenue à tes bébés.

La personne qui a filmé est éleveur de bovins ...

en attente

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aie !!! (j'enleve mon message)

L'Angleterre remise ses lévriers au chenil http://www.lemonde.fr/sports/article/2008/08/13/l-angleterre-remise-ses-levriers-au-chenil_1083175_3242.html Après le tour de présentation, les six lévriers sont dans la boîte de départ. A 19 h 45, le stade de Walthamstow est soudain plongé dans l'obscurité. Des applaudissements nourris saluent les mammifères les plus rapides du monde, après les guépards, qui s'élancent à la poursuite d'un leurre dans une course de 475 mètres. Dans les tribunes, le public hurle quand, trente secondes après le départ, le dossard numéro six l'emporte au sprint. Dougie Tyler, le bookmaker rugueux, l'avait donné gagnant à quatre contre un. Glissez-lui le coupon de la victoire et son regard s'illumine : "Je gagne juste de quoi vivre, mais j'ai enrichi beaucoup de types dans votre genre." ...

Info du 16/08/2008 Suisse - Neuchâtel offre l’asile aux molosses vaudois qui risquent l’euthanasie faute d’intéressés Parce que plus personne ne veut les adopter, des chiens potentiellement dangereux sont envoyés dans un refuge hors du canton. Depuis janvier, une dizaine de molosses vaudois ont passé par les cages de la Société vaudoise de protection des animaux. Considérés par la loi comme «potentiellement dangereux» en raison de leur race, certains ont été séquestrés par l’Office vétérinaire vaudois parce qu’ils présentaient une dangerosité ou parce que leur propriétaire n’était pas apte à les maîtriser. D’autres ont simplement été abandonnés. Neuchâtel ou la mort Sur la dizaine de chiens, «seuls deux ou trois ont été euthanasiés parce qu’ils étaient agressifs, affirme Samuel Debrot, président de la SVPA. Nous avons cherché une famille d’accueil pour les autres.» Mission presque impossible, car selon lui, s’ils étaient auparavant faciles à placer, les pitbulls, amstaffs et autres rottweilers ne trouvent plus preneur depuis que les conditions ont changé. Samuel Debrot a donc cherché une alternative à l’euthanasie. Et il a trouvé. Neuchâtel, où la loi est plus libérale, accordera l’asile aux chiens vaudois: «Nous avons passé un accord avec un refuge pour pouvoir envoyer quatre animaux là-bas. Deux sont encore ici en attente.» Selon Carole Andrey, une des responsables du chenil de Cottendart, les chiens vaudois ne posent pas de problème. «En deux mois, trois ont été placés et le dernier a été réservé et va partir prochainement.» Pléthore à venir? Que faire des pitbulls? La question n’est pas anecdotique. A l’automne commenceront les tests de maîtrise auxquels devraient se soumettre les 1500 chiens potentiellement dangereux du canton. En cas d’échec, ou si les propriétaires ne remplissent pas les conditions, les chiens pourront être séquestrés. Si la loi est appliquée à la lettre, la fourrière pourrait rapidement crouler sous des dizaines de pitbulls, amstaffs et rottweilers. Le refuge de Cottendart sera-t-il prêt à accueillir tous ces orphelins? «Impossible à dire pour l’instant, répond Carole Andrey. Nous évaluerons au cas par cas, car cela dépend de l’occupation de notre refuge au moment de la demande.» La mouture actuelle de la loi sur les chiens en sursis «Je suis dans les starting-blocks pour réformer cette loi sur les chiens.» Le député libéral Jean-Marie Surer n’attend plus que le bon moment pour intervenir au Grand Conseil, probablement l’année prochaine. «A mon avis, il faudra aller dans le sens d’une simplification et s’aligner sur ce que Berne décidera.» Aujourd’hui, trois propriétaires de molosse sur quatre sont en situation illégale par rapport à la loi vaudoise. «Au moment du vote, nous savions déjà qu’elle serait extrêmement difficile à appliquer.» Même la porte-parole du Département de la sécurité et de l’environnement, Catherine Lavanchy, reconnaît «qu’il y aura certainement des aménagements l’année prochaine, mais qu’il est encore trop tôt pour faire un bilan». Jean-Marie Surer entend aussi laisser encore quelques mois à l’Office des affaires vétérinaires pour s’organiser, car il n’a le personnel suffisant que depuis peu. Le libéral estime que les choses peuvent encore changer d’ici à la fin de l’année, lorsque les propriétaires de molosses auront été contactés les uns après les autres. A. H. Photo : AFP/JOEL SAGET | Les rottweilers abandonnés ou séquestrés dans le canton risquent d’attendre en vain qu’une famille se décide à les adopter. Source : http://www.24heures.ch/pages/h(...)(contenu)/253044

http://www.reseaulibre.net/rage/video.html Je tiens à vous signaler que ces scènes sont très difficiles à regarder ... Je n'ai regardé que 3 minutes et quelques secondes et sans le son. Je ne suis pas aussi courageuse que celui qui a filmé

Swiss Animal Protection/EAST International http://www.animal-protection.net/

Alors que se déroulent les jeux olympiques, les nombreux visiteurs qui arpentent les rues de Pékin ont-ils conscience de la façon dont sont traités les animaux dans ce pays ? Les Chinois, par exemple, brûlent les chiens vivants à l’aide de lampes à souder. Motif : leur souffrance rendrait leur chair plus délicatement goûteuse et apporteraient aux hommes « plus de virilité ». Il en serait de même pour les chiots à qui on arrache les dents. Dans l’attente d’une fin sordide, ces pauvres bêtes sont enfermées dans des cages, le long de restaurants dans des ruelles mal éclairées. Il existe aussi des fermes spécialisées dans la fourrure où renards, visons, lapins, chiens, chats et bien d’autres partagent la même cruauté dans des cages exposées au froid, à la pluie mais aussi à la chaleur intense. Récemment, des membres de l’association Swiss Animal Protection/EAST International ont pu s’introduire dans quelques-unes de ces fermes, situées dans la province d’Hebei (est du pays) et filmer d’épouvantables scènes en caméra cachée. « L’horreur qu’il y règne dépasse l’entendement, conclut le rapport des enquêteurs, et fait injure aux plus élémentaires standards de protection de ces animaux, les privant, de par la vie et l indescriptible mort qu’ils endurent, du moindre acte de compassion ». Témoins impuissants du sort qui les attend, certains animaux développent des psychoses induites par une anxiété permanente. Aussi est-il fréquent de les voir rogner leurs membres ou se jeter violemment contre les bars de leurs cages… Des femelles en gestation, rendues folles par l’incarcération, n’ayant nulle part où se cacher pour mettre bas, mangent leurs petits sitôt nés. Le temps venu, les prisonniers sont extraits de leurs cages, jetés au sol, matraqués si besoin, puis retournés sur le dos, pendus par les pattes ou la queue pour être dépouillés. « Alors que la peau est arrachée de la partie prisonnière, rapporte l’un des enquêteurs, on peut voir le membre libre s’agiter frénétiquement. Parfois, pour les immobiliser, les employés n’hésitent pas à écraser de leur pied, les têtes ou les cous des victimes sans défense ». « Une fois la fourrure rabattue jusqu’à la tête de l’animal, poursuit un autre, son corps nu et sanglant est jeté sur le tas que forment d’autres cadavres. Certains sont encore vivants, haletant, le corps parcouru de soubresauts et clignant lentement des yeux… L’agonie peut durer de cinq à dix minutes. L’une des scènes les plus pénibles que nous ayons filmées est celle d’un raton laveur qui a eu assez de force pour relever sa tête ensanglantée et regarder droit vers la caméra. Pour nous, c’est un témoignage émouvant, un appel à l’aide que cet animal a voulu envoyer au monde… », ajoute-t-il.Cette vidéo est incrustée à la fin de l’article. Attention ! Les images sont choquantes et de nature à heurter la sensibilité des spectateurs, et pas uniquement des plus jeunes ou des plus sensibles. Est-ce donc là le pays de Confucius ? On ose espérer que ces pratiques ne sont pas de mise partout… Toujours est-il que cette lamentable illustration chinoise ne fait qu’ajouter à l’interminable liste d’abus perpétrés à l’encontre de nos amis les bêtes. L’utilisation de celles-ci à des fins mercantiles, où qu’elle se pratique, est condamnable. Car l’éthique veut que la grandeur d’une nation et son progrès puissent aussi être jugés par la façon dont elle traite ses animaux et la nature qui l’environne. Michelle Favard-Jirard pour Novopress France Source : http://fr.novopress.info/?p=12(...)

Info du 17/08/2008 Suisse - Vaud - Le couperet va tomber sur les maîtres de molosses en infraction Les propriétaires de molosses «potentiellement dangereux» rechignent à enregistrer leur animal. Au canton, on s’active pour débusquer les maîtres dans l’illégalité. Qui seront dénoncés dès le 8 septembre. Les vacances scolaires ne les auront pas décidés à sortir du bois. Près de 1100 des 1500 maîtres de molosses considérés comme «potentiellement dangereux» dans le canton n’ont toujours pas enregistré leur animal. Or avec l’entrée en vigueur de nouvelles directives, les propriétaires vaudois de pitbulls, amstaffs et rottweilers avaient jusqu’à fin juin pour s’annoncer au Service de la consommation et des affaires vétérinaires. Quelques jours après le délai, seuls 245 gros toutous étaient déclarés. Et ils ne sont guère plus nombreux aujourd’hui. Au canton, on a débuté la traque aux contrevenants. «Début juin, un courrier électronique avait déjà été adressé à toutes les communes vaudoises afin qu’elles rappellent aux maîtres des races concernées le délai du 30 juin», explique-t-on aux Affaires vétérinaires. Ces dernières semaines, l’Etat a également sollicité les communes n’ayant pas encore transmis à Lausanne la liste de tous les chiens qui «crapahutent» sur leur territoire – on en dénombre 60 000 en terres vaudoises. Courriers déjà partis A l’aide de ces listes et de la banque de données Anis – dans laquelle tous les canidés de Suisse doivent être enregistrés –, les Affaires vétérinaires s’emploient à rechercher les maîtres en infraction. Des courriers sont déjà partis pour sommer les contrevenants de s’annoncer dans les 30 jours. Faute de quoi, ils seront dénoncés au préfet de leur lieu de domicile. Les dénonciations débuteront le 8 septembre, précise-t-on au canton. Les préfets fixeront les amendes qui, selon la loi, pourraient grimper jusqu’à 20 000 francs. Les propriétaires des trois races de molosses jugés «potentiellement dangereux» sont tenus de remplir un formulaire et d’y joindre une attestation d’assurance en responsabilité civile, un extrait de casier judiciaire, ainsi que des copies de pièces de légitimation, du carnet de vaccination et de fiches d’inscriptions du chien. La facture d’autorisation de détention a été fixée à 800 francs et les 1500 chiens concernés devront subir des tests de conduite, d’obéissance et de maîtrise. Source : http://www.24heures.ch/pages/h(...)(contenu)/252753

Info du 16/08/2008 Maubeuge - Le parc zoologique, remis d'aplomb, rouvre ses portes dès aujourd'hui Sévèrement touché par la tornade, le zoo ne sera finalement resté fermé que onze jours : il rouvre ses portes ce matin, dans des conditions de visite normales. Et toutes les bébêtes sont au rendez-vous. Ça a sacrément dépoté du côté du parc zoologique depuis ce sinistre dimanche soir qui avait vu des arbres centenaires s'abattre sur les enclos des animaux. Du carnage découvert le lundi, on ne voit plus beaucoup de traces aujourd'hui, du fait de la formidable mobilisation du personnel du zoo, des services techniques et des diverses entreprises qui sont intervenues vite fait, bien fait. Résultat des courses, le zoo est déjà fin prêt pour recevoir les visiteurs lors de ce gros week-end du 15 août. Les allées ont été complètement déblayées et les enclos refaits : seuls les arbres élagués et quelques toitures non remplacées témoignent encore du passage de la tornade. Tous les animaux, fauves compris, sont donc présentés au public, à l'exception des lynx, dont la clôture de l'enclos a particulièrement souffert - trois de ces gros chatons s'étaient même fait la malle le soir du drame. Manque aussi une dizaine d'ibis toujours dans la nature et qui sont priés de rentrer rapido au bercail s'ils lisent ces lignes. la direction du zoo estime avoir perdu environ 15 000 visiteurs durant la fermeture, mais compte bien les rattraper dans les semaines à venir. Pour tous ceux qui ont travaillé d'arrache pied à la remise en état du zoo, ce serait un beau cadeau. • FLORENT MOREAU Réouverture ce matin à 10 h. Source : http://www.lavoixdunord.fr/Loc(...)