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C'est juste une info du magazine du chien

Joyeux anniversaire

Belgique - Onkelinx au chevet des animaux La ministre des Affaires sociales et de la Santé Laurette Onkelinx a demandé au service Bien-être animal de travailler à un code du bien-être animal relatif à l'utilisation d'animaux dans les programmes télévisés, répondant ainsi à la question écrite de Margriet Hermans (Open Vld). Mme Hermans, à l'instar de l'organisation de défense des animaux GAIA, avait constaté plusieurs cas de maltraitance animale dans différents programmes télévisés. Laurette Onkelinx a déclaré que tout programme télévisé causant de la douleur, de la souffrance ou des lésions à des animaux doit être condamné. La loi du 14 août 1986 interdit la maltraitance animale dans les médias, mais les infractions doivent se produire sur le territoire belge, ce qui n'est pas le cas des programmes contre lesquels Margriet Hermans s'élève. Une fois le code du bien-être animal établi, il sera soumis et débattu avec les chaînes les plus importantes. "Le service du Bien-être animal va contrôler que les médias appliquent bien ce code dans leurs programmes de détente. Les premiers contacts que nous avons établi avec les chaînes sur ce sujet sont très positifs", a indiqué la ministre Onkelinx. Source : 7sur7.be

URGENT : On m’appelle « Rally », non parce que je suis véloce mais parce qu’on m’a trouvé abandonné sur l’autoroute, tout seul au beau milieu des voitures qui passaient à toute vitesse… Je pèse deux kilos et j’ai neuf ans. Si vous voulez m’adopter, appelez le 93 417 01 24. Rally cherche une famille d'accueil Des appels à l’aide comme celui de ce petit chien dont vous voyez la photo, il y en a plus d’une centaine sur la page Internet de la Protectora de Animales de Barcelone . Depuis 50 ans, la Ligue Protectrice des Animaux de Barcelone se charge de recueillir et protéger les chiens et chats abandonnés. Fonctionnant entièrement grâce à des bénévoles, aux dons et aux parrainages, le refuge accueille plus de 100 chiens et 250 chats trouvés dans la rue, parfois maltraités ou simplement déposés devant l’entrée de la Protectora par des maîtres qui ne voulaient plus d’eux… « La première cause d’abandon est la grossesse, nous raconte Laïa, une des responsables du refuge. Pas la grossesse du chien ou du chat, non, celle de la propriétaire de l’animal qui, une fois enceinte d’un enfant ne veut plus de l’animal qu’elle considérait pourtant il y a peu comme son « bébé ». Viennent ensuite les allergies et les séparations de couple. Ce sont ainsi entre 30 et 40 chiens et chats qui sont accueillis chaque mois au refuge. « Heureusement, nous explique Laïa, il y a à peu près autant d’animaux adoptés dans ce même temps car nous sommes toujours au maximum des capacités d’accueil du refuge. » Chaque adoption fait donc le bonheur de deux animaux. Celui qui est adopté bien sûr, mais aussi celui qui pourra être accueillit au refuge du fait de la place libérée. Les animaux sont remis après une visite vétérinaire d’usage qui a lieu à l’infirmerie de la Protectora, ils sont tous déparasités, vaccinés et stérilisés. Et si vous ne pouvez pas adopter, il y a d’autres manières d’aider En attendant l’adoption de ses animaux, le refuge a besoin d’aide pour nourrir, soigner, promener et tout simplement redonner un peu d’amour et le goût à la vie à ces chiens et ces chats abandonnés, parfois dans des conditions extrêmes. Le principal problème du refuge est financier : pas évident d’acheter de la nourriture, des vaccins et tout ce dont ont besoin les animaux en fonctionnant uniquement grâce à la générosité des donateurs. La Protectora de Animales de Barcelone est donc en permanence en recherche de financements, sous la forme de dons (déductibles de la déclaration de Hacienda) ou de parrainage d’entreprises ou de particuliers. Mais outre les dons financiers, ce sont aussi les dons de temps et d’amour de la soixantaine de personnes bénévoles qui se relaient, venant en moyenne une fois par semaine nettoyer les cages, nourrir les animaux et promener les chiens, qui permet au refuge de fonctionner. Elodie REGERAT (http://lepetitjournal.com - Barcelone) jeudi 29 mai 2008 Protectora de Animales y Plantas de Barcelona C/ Guarda Anton n°10 08035 - Barcelona - (bus n°95, Ferrocarril « Avinguda del Tibidabo » ou métro L3 « Penitents ») Tel: 93.417.01.24 Fax: 93.418.83.99 email : info@protectorabcn.com http://protectorabcn.com Photo : Rally cherche une famille d'accueil Source : LePetitJournal.com

Roumanie - Des chiens errants en guise d'affiches électorales Avant les élections municipales prévues dimanche en Roumanie, un candidat à la mairie de Bacau a trouvé une utilité aux chiens errants de sa ville. Vêtus de t-shirts à son effigie, les animaux qui parcourent la ville sont de véritables affiches électorales sur pattes. Pour ceux qui en doutaient encore, voici la preuve que les Roumains ont du chien. Las de la campagne plutôt terne en vue des municipales prévues dimanche à Bacau, dans l'est du pays, l'un des candidats a décidé de mettre au travail les chiens errants de la ville, en les transformant en agents électoraux. Radu Nicolau a ainsi affublé douze canidés de maillots rouge portant son nom et son slogan électoral, "Nous en avons marre". "Il s'agit d'une manière très efficace de faire campagne car les chiens se promènent à travers la ville et tout le monde peut lire mon message", a déclaré le candidat. Risque d'insolation Impossible de savoir si les électeurs lui seront fidèles. Cette initiative a en tous cas fait aboyer Marcela Lungu, présidente d'une association de défense des animaux. Le plus sérieusement du monde, elle s'est émue du risque que les chiens ainsi vêtus "attrapent une insolation" et a menacé de porter plainte contre Radu Nicolau. Afin d'intéresser les gens à la vie politique de la cité, et alors que le taux de participation aux municipales s'annonce faible, les candidats roumains ne manquent pas d'imagination et n'hésitent pas à recourir à des méthodes peu conventionnelles. Un candidat de Constanta, dans le sud-est du pays, a ainsi sillonné les rues de la ville en compagnie d'un éléphant, tandis qu'un autre, à Bistrita (nord), a assorti de préservatifs ses affiches électorales, dont le message était un jeu de mots autour de l'anglais "fuck". Source : LCI.fr

J'ai Kidnappé un nez artificiel pour me faire des amis(es) ....................

De florian13500 A Admin, Hier à 14:34 bonjour, merci de nous accueillir ici voici notre affixe "Du Paummeroi" pour le site nous sommes présent sur chiens de france: http://dupaummeroi.chiens-de-france.com ou alors www.elevage-berger-belge.fr

C'est la belle vie par ici ! Magnifiques photos. Très bon reportage en safari.

En choix multiple 17 photos Deux en page d'accueil No 1 No 2 No 3 No 4 No 5 No 6 No 7 No 8 No 9 No 10 No 11 No 12 No 13 No 14 No 15 No 16 No 17

En choix Multiple 26 Photos dont deux en page d'accueil No 1 No 2 No 3 No 4 No 5 No 6 No 7 No 8 No 9 No 10 No 11 No 12 No 13 No 14 No 15 No 16 No 17 No 18 No 19 No 20 No 21 No 22 No 23 No 24 No 25 No 26

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Chien - Pour se protéger des séismes, écoutez les animaux, conseillent des rescapés TANGSHAN (AFP) — Pour les survivants du violent séisme de Tangshan en 1976, près de Pékin, des vies auraient pu être épargnées au Sichuan le 12 mai, si plus d'attention avait été prêtée aux comportements étranges des animaux. Le tremblement de terre survenu il y a plus de trente ans dans le nord de la Chine avait accumulé les signes annonciateurs, racontent aujourd'hui ses rescapés. Les chiens avaient poussé des hurlements sauvages des heures avant que le séisme ne frappe à 03H42 du matin, se souvient l'un deux, Fu Wenran, dont la femme avait été emportée avec quelque 240.000 personnes dans la catastrophe le 28 juillet 1976. Les souris et les serpents s'étaient agités à l'air libre, comme fous. Les chevaux et les vaches s'étaient mis à frapper les murs de leurs écuries et étables. "Les animaux essayaient de nous dire quelque chose. Si seulement nous l'avions su, il n'y aurait pas eu autant de morts", regrette Fu. Pour lui comme pour d'autres survivants du séisme de Tangshan, il aurait aussi fallu mieux écouter les bêtes au Sichuan il y a deux semaines. Quelques jours avant le 12 mai, des centaines de milliers de crapauds ont fui la ville de Mianyang, proche de l'épicentre. Après coup, le phénomène a d'ailleurs suscité nombre de commentaires de bloggeurs convaincus qu'il s'agissait d'un signe annonciateur. Difficile d'affirmer avec certitude que la migration des crapauds avait un lien avec le tremblement de terre de magnitude 8 qui a suivi et fait au moins 86.000 morts et disparus. Mais les scientifiques reconnaissent que les animaux, sensibles aux ondes, peuvent sentir l'imminence de catastrophes de ce genre. "Des stimuli chimiques et physiques émanent de la terre avant un tremblement de terre et les animaux les sentent probablement", explique George Pararas-Carayannis, chimiste et océanographe président de la Tsunami Society basée à Honolulu. "Au bout du compte, l'étude du comportement des animaux pourrait conduire à des outils de détections meilleurs et plus sophistiqués pour des prédictions à court terme", estime-t-il. Les scientifiques peuvent détecter des risques accrus de séisme en surveillant l'accumulation de pressions sismiques, des inclinaisons du sol ou des modifications de champs magnétiques. Mais aucun tremblement de terre n'a pu être repéré à l'avance avec exactitude grâce à ces techniques, ajoute l'expert. Une équipe avait été mise sur pied dans les années 60 en Chine pour étudier de près le possible lien entre les comportements animaliers et les tremblements de terre. En 1975, il avait prédit avec une étrange précision un séisme de magnitude 7,3 au Liaoning, une province du nord-est de la Chine. Mais les études sur le sujet restent insuffisantes pour vraiment pouvoir se fier aux animaux, estime Huang Zhujian, ancien chef du groupe aujourd'hui retraité. "Nous savons que les animaux peuvent voir venir un séisme, mais cela ne peut être qu'un indice supplémentaire. Nous continuons de dépendre principalement des méthodes géologiques, même si elles-mêmes ne peuvent pas prédire précisément les tremblements de terre", explique-t-il. Source : AFP

Désormais, les chiens policiers de la capitale seront équipés de chaussettes « avec semelles en caoutchouc, anti-percement » ! Des chaussettes High-tech, mises au point par les services techniques de la Préfecture de Police de Paris (PPP). Elles offriront une protection des pattes de l’animal sur des sols parfois très accidentés ou critiques (verres brisés …) et permettront également de préserver les scènes de crimes, indique la PPP. Chaque jour, ces animaux exemplaires sauvent des vies, retrouvent des personnes disparues ou encore, rattrapent des criminels et des trafiquants de drogue. En savoir plus : http://www.30millionsdamis.fr/(...) Source : Fondation 30 Millions d'Amis

opération commerciale autour du clonage d’animaux de compagnie… Thierry Dupiereux Source : RTLinfo.be Zéro, ce matin, à BioArts International qui vient de lancer une opération commerciale autour du clonage d’animaux de compagnie… Bon je suis sans doute un peu vieux con, Fabrice, mais moi, ces histoires de clonage, ça me fout les boules… L’idée qu’on pourrait répliquer des individus à l’infini… Vous voyez ça un parlement rempli d’Yves Leterme, des pelotons cyclistes rien qu’avec des Frank Vandenbroucke, des chorales pop rien qu’avec des Britney Spears. Il y a là-dedans quelque chose d’inhumain, de monstrueux. J’ai des visions d’apocalypse, des cauchemars de duplication… Et BioArts International ne fait que multiplier mes craintes. Cette société américaine, qui se targue d’être la seule entreprise au monde ayant reçu l’autorisation de cloner chiens, chats et espèces en danger, cette société, donc, a lancé une grande vente aux enchères de clonages de chiens… La vente effective aura lieu en juin. Vous avez bien entendu, monsieur tout le monde va pouvoir s’acheter le droit de cloner son toutou… Enfin quand je dis monsieur tout le monde, c’est exagéré… Déjà, l’offre se limite à cinq clonages. Et puis la mise de départ, elle est quand même de 180 mille dollars… Et pour être sûr que son opération marche, l’entreprise prévient déjà… Attention, il n’y aura peut être pas de nouvelle offre commerciale de chiens après cette enchère… En clair, y aura toujours bien un milliardaire frappadingue pour participer à ces enchères histoire de cloner Leblenec, son épagneul breton, ou Sultan, son insupportable yorkshire terrier…. Si les gens ont les moyens de se payer ce clonage, pourquoi pas ? Ah bien sûr, pourquoi pas ? M’enfin, Fabrice, c’est quoi ce monde où on commence à faire des machins pareils… Avec 180 mille dollars vous imaginez le nombre de vie qu’on peut sauver en Birmanie ou en Chine… Sauver des vies… Là, cet argent, on le dépenserait uniquement pour fabriquer artificiellement une vie histoire de satisfaire les petits besoins égoïstes d’un maître qui voudrait garder son animal favori près de lui toute sa vie… Sans lui demander son avis à cet animal… ça vous plairait vous Fabrice d’avoir un clone… Ouaip, à voir la lumière dans votre regard, je suis sûr que vous êtes déjà en train de trouver tous les avantages d’un clone… Comme par exemple l’envoyer travailler à votre place, tondre la pelouse ou rentrer plus tôt de la grande réunion annuelle de la Confrérie des Tchats. Mais enfin Fabrice, dépassez ce stade bêtement utilitaire… C’est indécent. Et le jour où votre clone décidera de se faire cloner à son tour… Vous imaginez les situations impensables… Enfin bon, cela nous détourne de nos chiens… Et là, non, je n’en démords pas… C’est une aberration… Surtout que ce ne sont pas des paroles en l’air… La société en question, elle a déjà cloné un chien… Missy qu’il s’appelait au départ… Il a servi de matière première à la création de Mira, Chingu et Sarang, trois chiots nés il y a quelques mois et qui ressemblent comme trois gouttes d’eau à Missy… Il y aurait aussi des ressemblances au niveau du comportement… En clair, chassons l’inconnu et la découverte, répliquons ce qui nous plait comme ça on ne sera jamais déçu… Pouah ! Je dis arrêtons de faire le clone. En plus 180 mille dollars, en mise de départ… Visiblement, à côté de sa connaissance pour dupliquer les animaux, BioArts International semble également avoir trouvé le moyen de multiplier les billets de banques… ça par contre je veux bien, si Bioarts parvient à cloner les billets de banques, je veux bien faire une entorse à mes convictions. Je suis pour. Thierry Dupiereux Source : RTLinfo.be

A quoi servent les chiens dans les films ? 61ème Festival de Cannes Pas bête Pour Darroussin, les chiens apparaissent forcément dans les films de campagne, de la même façon que les chevaux galopent dans les westerns. «Dans “Dialogue avec mon jardinier”, Jean Becker s’arrachait les cheveux pour une scène où je devais être poursuivi sur ma mobylette, par un chien. On lui avait mis un truc à manger à l’arrière de la mob, mais ça n’a marché que pour une prise. Or, dans le film, il y a deux plans sur cette poursuite, mais c’est deux fois la même image, car on n’avait pas d’autre choix.» Car, à moins de faire tourner un animal entraîné pour le ciné, les chiens lambda comprennent après la première prise le stratagème mis en place pour les faire se déplacer d’un point à un autre. Du coup, le réalisateur n’a droit qu’à une prise. Une seule. C’est nous, ou il y a eu un débarquement de chiens dans les films sélectionnés à Cannes cette année? «Valse avec Bachir» s’ouvre sur une scène où des chiens enragés courent la langue pendante à toute allure dans les rues de Beyrouth, renversant tout, chaises comme humains, sur leur passage. Dans «De La Guerre», un énorme dogue allemand assiste en spectateur aux gesticulations d’une communauté à la recherche forcenée de plaisir. Dans «Wendy and Lucy» de Kelly Reichardt et «Blindness» de Fernando Meirelles, le casting est encore canin. A quoi servent les chiens dans les films? La question n’est pas facile à poser aux réalisateurs et acteurs, qui ouvrent des yeux ronds comme des billes quand on ose formuler l’interrogation, nous prenant pour, au mieux, un clown ou, au pire, un être mono-neuronal. «Ça change des acteurs humains» «J’ai toujours mis beaucoup d’animaux dans mes films, dit Bertrand Bonello, le réalisateur de «De La Guerre». C’est un challenge, ça change des acteurs humains. Mais c’est quand même plus facile de tourner avec un chien qu’avec un hérisson. Une fois, j’ai voulu faire jouer un âne qui n’avançait pas, c’était un cauchemar!» Dans son film, le dogue sert d’élément de transition entre les séquences. Pour Fernando Meirelles, en revanche, l’utilisation du chien est plus compliquée. Le voici ici quasiment loup dévorant le cadavre d’un homme étalé sur des marches. Une sauvagerie aussitôt annulée par le plan suivant où un autre chien, sorte de gentil Milou en plus grand, vient câliner le personnage principal (Julianne Moore). «Une petite consolation animale» En réalité, l’usage du chien dans les films ne date pas d’hier. «Les chiens font partie du paysage des hommes. Ils permettent d’évoquer toute une palette de sentiments, allant de la tendresse à l’agressivité», décrit Jean-Pierre Darroussin, qui se remémore une scène du film de Christine Carrière, «Qui plume la lune?» où son personnage, «dans un moment de désespoir, pleurait tout seul dans la forêt» jusqu’à ce qu’une chienne vienne lécher ses larmes. «Une petite consolation animale», rit l’acteur. «Le chien a une fonction sociale dans le cinéma: il est un substitut d’amour», résume le réalisateur Bruno Dumont, président du jury de la Caméra d’or cette année, un prix qui récompense les premiers films au Festival de Cannes. «Au fond, on n’est pas obligé de faire des films qui parlent de sujets nobles comme la connaissance ou le bien. On peut faire un très bon film sur la vie d’un chien, à condition que la mise en scène montre ce qu’il se passe à l’intérieur de cet animal. Si c’est juste pour faire défiler des images de chiens, ce n’est pas du bon Alice Antheaume, à Cannes Source : 20Minutes.fr

Nature et Vénerie en Fête 31 mai-1er juin à Fontainebleau Le plus grand rassemblement de Vénerie Plus de 1 500 chiens et chevaux seront réunis les 31 mai et 1er juin à Fontainebleau à l'occasion de la manifestation "Nature et Vénerie en Fête". Après avoir accueilli près de 25 000 visiteurs l'an dernier, cette manifestation revient en 2008 avec toujours plus d'animations pour petits et grands sur la Nature et les animaux. Les 31 mai et 1er juin 2008, la ville de Fontainebleau, capitale du cheval, accueillera, sur l'Hippodrome du Grand Parquet, le plus grand rassemblement sur la nature et la vénerie jamais réalisé en Ile-de-France. Depuis 2002, cette manifestation familiale, organisée par l'équipage “Rallye Tempête” rencontre chaque année un succès croissant. En 2007, ce sont près de 25 000 visiteurs qui sont venus admirer chevaux, chiens, veneurs et sonneurs. Par son passé intimement lié à la chasse à courre, la ville impériale était prédestinée à accueillir une manifestation d'une telle ampleur. Plus de 1 500 chiens et chevaux ainsi que des professionnels viendront d' horizons divers pour animer ce week-end. Des initiations et spectacles permettront ainsi de découvrir tout ce qui fait la noblesse de l'équitation, de la vénerie, de la chasse et de la nature. Sous l'égide de Marie-Hélène et Pierre-François Prioux, maîtres d'équipage du Rallye Tempête, cet évènement est devenu le rendez-vous incontournable des amoureux de la nature. La complicité entre l'homme et l'animal sera à l'honneur dans la cathédrale de verdure du Grand Parquet où résonneront les trompes, pendant tout le week-end. Dans un même temps, la manifestation servira de cadre à la finale du championnat de France du cheval de chasse. En exclusivité cette année : des poursuites de levrier le samedi après-midi et pour le spectacle semi-nocturne. Source : http://www.infosjeunes.com/

La traque aux chiens dits « dangereux » se poursuit L’Assemblée Nationale a validé le 15 mai dernier en deuxième lecture le projet de loi destiné à renforcer les « mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux ». Cependant, certaines divergences opposant le Sénat et l’Assemblée Nationale, le texte fera l’objet d’une révision en commission mixte paritaire avant d’apparaître sous sa forme définitive. Même si certains points restent à débattre, les grandes lignes de cette loi apportent des changements non négligeables. Ainsi, à partir de la date de publication de l’arrêté ministériel, les propriétaires de chiens estimés dangereux, appartenant soit à la première catégorie des chiens d’attaque (1), soit à la deuxième catégorie des chiens de défense ou de garde (2), devront être en mesure de présenter une « attestation d’aptitude » à la détention de ces chiens. Celle-ci sanctionnera une formation à l’éducation et au comportement canin, laquelle vise à éviter les erreurs éducatives et à familiariser le détenteur du chien aux signes précurseurs d’une réaction agressive. Si la responsabilité du maître est engagée, le chien, entre son huitième et douzième mois, devra lui aussi se soumettre à une « évaluation comportementale ». Etalées sur une période de 15 jours, le vétérinaire traitant aura trois consultations pour dresser le profil de l’animal. Mais alors que l’on prévoit d’étendre cette évaluation du comportement canin aux chiens ayant déjà mordu et aux « gros chiens », sa mise en application pose problème. Tout d’abord, figurant parmi les principaux points portant à discussion, les services vétérinaires doivent s’entendre sur les modalités des grilles d’évaluation qui serviront de support à leur diagnostic. L’autre problématique concerne l’extension de cette évaluation à d’autres chiens que ceux jugés « dangereux ». Si une précédente morsure est un critère incontestable, l’appellation « gros chiens » est en revanche beaucoup plus floue. Pour définir les chiens à inclure dans cette catégorie, un critère de poids a été proposé avec un seuil de 30 kg, les chiens dépassant ce poids devant être soumis à la réglementation. Mais cette proposition n’a pas fait consensus, de nombreux chiens plus légers pouvant être tout aussi dangereux. Mais, qu’il s’agisse de « l’attestation d’aptitude » ou de « l’évaluation comportementale », tous les frais sont à la charge du propriétaire. Les contrevenants non titulaires de l’attestation seront passibles de 3 mois d’emprisonnement et de 3 750 euros d’amende. Des contraintes financières et juridiques qui pourraient en encourager plus d’un à abandonner discrètement un compagnon devenu trop encombrant. Doté d’un pouvoir grandissant en la matière, le maire de la commune où réside le chien pourra demander une réévaluation comportementale de tout animal présentant un risque potentiel pour les habitants de la commune. Pour permettre un suivi optimal, tout propriétaire de chiens dits « dangereux » doit le déclarer à la mairie de son lieu de résidence. Il dispose d’un délai d’un mois pour régulariser la situation, délai au-delà duquel le maire peut exercer sa mainmise et ordonner, sous avis vétérinaire, l’euthanasie pure et simple de l’animal. Avis aux personnes possédant un compagnon fugueur, ce pouvoir s’applique également à tout animal errant domestique ou sauvage apprivoisé. Ainsi, sous réserve que celui-ci représente une menace pour les personnes, il pourra être, selon l’appréciation du maire, euthanasié, vendu ou cédé à une association de protection animale. Source : http://www.univers-nature.com/(...)

La SPA brave une décision de justice pour sauver un chien condamné à mort ! La SPA brave une décision de justice pour sauver un chien condamné à mort ! La Société Protectrice des Animaux, lance un appel pour se mobiliser autour du sort d’Anna, pit-bull, parfaitement socialisée et dont le maître ne demande qu’une chose, récupérer son animal. « En tant qu’association de protection animale, nous ne pouvons plus supporter et cautionner ces décisions totalement arbitraires. Etre né pit-bull ne doit pas être un délit », déclare Caroline LANTY, Présidente Nationale de la SPA. Les forces de police se sont présentées au refuge de Saint Parre aux Tertres, près de Troyes, à 14 heures. La direction du refuge, agissant sur les consignes de la Présidente Nationale de la SPA, Madame Caroline LANTY, a refusé de laisser partir Anna se faire « piquer » chez un vétérinaire. « Non, nous n’accepterons pas ces euthanasies. Non, nous ne souhaitons pas cautionner et massacrer à l’échelle nationale, sous prétexte qu’une race est dans le collimateur de certains technocrates du Ministère de l’Agriculture. Nous braverons donc cette décision de justice », poursuit Caroline LANTY. Le Procureur de la République qui souhaitait procéder à « la confiscation au profit de l’Etat » de l’animal, signifiant son arrêt de mort, n’obtiendra pas gain de cause. « La SPA se doit de protéger les animaux, tous les animaux », conclut la Présidente de la SPA. L’association n’hésitera pas à s’opposer à ce genre de décision D’ailleurs le Docteur Sylvain BIDAULT, Vétérinaire et Secrétaire Général de la SPA lance un appel à ses confrères afin qu’ils refusent d’être réquisitionnés pour ces euthanasies de « convenance ». « Il y a encore trop de confrères qui acceptent de piquer les animaux sans connaître leur passé et leur environnement. La profession doit refuser de pratiquer ces euthanasies. Elle ne doit plus être le bras armé du Gouvernement », indique Sylvain BIDAULT. Source : SPA

Je vois 4 finalistes !!! Qui n'a pas voté ? (Il m'en faut 3)

Avons nous nos 3 finalistes pour la page d'accueil de demain ?

Demain, nous voterons pour ce concours. à vos photos. 3 en page d'accueil

Je viens de me renseigner. C'est beaucoup trop lourd pour les autres modèles à faire venir en France. Ce sont des équipements à systèmes Hydrauliques . C'est beaux mais assez chers et lourds.