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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Etant donné que c'est le post de OREEDARMOR nous allons enlever les messages à disputes. mais comme je n'ai pas que ça à faire, je n'aurais le temps que ce soir. Donc, je le verrouille jusqu'à ce que les messages soient supprimés. Je mêts également des avertissements. Je demande aux modos et admin adjoint de m'envoyer la liste des membres à problèmes pour un 1er avertissement. En arriver là, franchement.
  2. Mais qu'est ce qui passe ici ? C'est quoi ces façons de faire. Je n'ai pas tout lu et ne le ferais pas. Vous y avez passé votre soirée ou quoi . Je mêts ce sujet à la poubelle et le verrouille.
  3. Loire - Chiens : déjà 165 morsures cette année dans la Loire Le meilleur ami de l'homme peut se retourner contre son maître ou un membre de sa famille et mordre. Des comportements inattendus pour le grand public, qui peuvent souvent être évités En 2008, 174 morsures de chiens ont été déclarées dans la Loire. 165 en 2009, alors que l'année est loin d'être bouclée. « Sur ces 339 morsures, douze ont été commises par des chiens dangereux », précise Maurice Defonds, chef du service santé et protection animale à la direction départementale des services vétérinaires (DDSV). Les chiens les plus mordeurs : des labradors et des bergers allemands. Car ces races restent nombreuses dans les familles. Cet été, à Usson-en-Forez, un chien a mordu un bébé de 15 mois. À Saint-Foy-Saint-Sulpice, un épagneul breton s'en est pris à la petite fille de son propriétaire. Et début octobre, un boxer mordait sévèrement au visage un garçon de deux ans dans l'Ain. Catherine Faisandier-Kirchhoff, vétérinaire, distingue plusieurs cas. « Pour des chiens qui ont des troubles du comportement dus à une hiérarchie mal définie, la morsure est prévisible. Elle peut venir aussi de la situation : si le chien se sent en danger ou agressé. » Pour elle, le chien demeure un animal de meute, l'agression fait partie de son comportement. « Il faut se méfier quand il y a des enfants », admet-elle. Assis, couché, debout. Ce matin-là, Valérie Lavore, éducateur canin, fait grimper Baloo, un Beagle, sur un pont mobile. Elle explique : « C'est pour lui apprendre la peur du vide. Par peur, un chien peut mordre. » Une cliente, Céline Juillard, vient inscrire son rottweiller coupé beauceron de quatre mois. « On l'éduque pour avoir un animal de compagnie. » Avec deux enfants en bas âge, elle reste sereine mais vigilante. « Après une morsure, les propriétaires doivent effectuer une évaluation comportementale du chien », explique Thierry Hebrard, directeur de la réglementation à la préfecture. Un test réalisé par un des 58 vétérinaires agréés du département. Pendant quinze jours, l'animal doit aussi faire trois visites afin de déterminer s'il a la rage. Alors qu'ils ne sont pas les plus mordeurs, c'est bien envers les chiens dangereux que la législation reste la plus sévère. « S'ils attaquent, ils peuvent laisser des séquelles importantes voire mortelles », justifie Maurice Defonds. Catherine Faisandier-Kirchhoff regrette qu'après un accident, « les gens trouvent souvent des excuses au chien. » De son côté, Valérie Lavore insiste sur deux points : comprendre pourquoi un chien a mordu et se remettre en question. Linda Kerfa Le chien demeure un animal de meute et l'agression fait partie de son comportement, rappelle une vétérinaire forézienne. Il faut donc se méfier quand il y a des enfants / Fabrice Roure Source : http://www.leprogres.fr/fr/reg(...)
  4. Chiens : Nice - Maîtres, vos papiers s'il vous plaît Au 31 décembre, les propriétaires de chiens réputés dangereux devront détenir un permis : le comportement des animaux sera analysé et les maîtres « éduqués ». Photo : Philippe Arnassan L'attaque d'un rottweiler dans le Var relance le débat, alors qu'un permis sera obligatoire à la fin de l'année pour détenir un chien dangereux. Les professionnels sont sceptiques. L'attaque, mardi, par un rottweiller d'un caniche et de sa maîtresse à Fréjus relance le débat sur la dangerosité présumée des molosses et de l'éventuelle nécessité de durcir la loi. Justement, un texte voté en 2008 va modifier la réglementation à compter du 31 décembre, rendant obligatoire un permis de détention des animaux de 1re et 2e catégorie. De quoi éradiquer les accidents ? Rien n'est moins sûr, mais ce permis est soumis à un test d'évaluation du comportement de l'animal puis à une mini-formation à l'éducation de son chien. Ces mesures devraient permettre aux propriétaires d'entendre les préconisations de professionnels agréés. En cas d'attaque Encore une loi qui stigmatise les chiens de mauvaise réputation ? Peut-être, mais les détenteurs de « chiens mordeurs » (qui ont déjà mordu, donc), comme on les appelle à la brigade canine de Toulon, pourront être soumis au même régime que les chiens « classés » (1re et 2e catégorie). De son côté, le Dr Proy rappelle que le chien « descend du loup, l'agressivité naturelle existe donc dans toutes les races ». Face à une attaque ? « Aux USA, on apprend aux gens à faire l'arbre, c'est-à-dire à se mettre les mains sur la tête et à ne pas bouger. Et si on est au sol, à faire la souche : se protéger la tête en l'entourant de ses bras. ». Source : http://www.nicematin.com/ra/co(...)
  5. Chiens dangereux : il faudra être jugé apte Nouveau. Christian Le Mellec vient d'être habilité à la formation des maîtres de chiens dangereux. Christian Le Mellec en compagnie de son fidèle compagnon, « Bamby ». Photo DDM. L e préfet de l'Aveyron vient d'habiliter, par arrêté du 14 octobre, Christian Le Mellec à la formation des maîtres de chiens dangereux. Natif de la commune de Theix, en Bretagne, ce dernier réside depuis 35 ans dans l'Aveyron. Quand ce grand solitaire, un peu casse-cou selon ses dires, a décidé de s'engager, à la suite du décès de ses parents, il n'avait que 17 ans. « Mon souhait en incorporant l'armée, c'était de devenir dresseur de chiens. Pour cela, il a fallu que j'effectue plusieurs stages », explique-t-il. Durant une dizaine d'années, il a arpenté les quatre coins de l'Hexagone, de Dijon à Toulouse, et il a fini son parcours dans le camp militaire du Larzac. « Il faut savoir que la France est découpée en six régions militaires. J'avais en charge tout le sud de la France ». À 50 ans à peine, Christian Le Mellec a conservé son savoir-faire en matière de cynotechnie militaire dont la vocation est de former un binôme homme-chien indissociable. Aujourd'hui, ce féru de moto et passionné de rugby vit entouré de sa femme et de ses huit enfants près de Campagnac. « Nous venons de créer le premier centre de formation et d'éducation canine de l'Aveyron. Nous pouvons accueillir une dizaine de chiens, soit en simple pension, soit pour les éduquer », ajoute-t-il. En arrivant dans son antre, il faut montrer patte blanche à « Bamby », un rottweiler à la dent dure. « C'est le maître des lieux mais aussi l'élève modèle », indique son propriétaire. Ce dernier possède une ferme de 80 hectares où il peut à sa guise aller promener tout son petit monde, leur proposer des activités ludiques (saut d'obstacles, du cani cross ou cani VTT), les observer et leur imposer des limites tout en respectant leur nature. Le maître doit arborer une attitude de dominant en regardant le chien en face, en le caressant sur le poitrail, en lui mettant sa laisse et en lui imposant une éducation. Dominance et soumission sont les deux mots qui gèrent les relations homme-chien. Le parcours du combattant « Pour rééduquer un chien et ce quelle que soit sa race, il faut compter 6 semaines. Nous proposons des forfaits allant de 750 à 900 €». Depuis le 15 octobre, cet ancien chef d'équipe cynophile militaire peut se vanter d'être un des rares à posséder un agrément visant à former les maîtres de chiens dangereux. « Pour obtenir cette autorisation, il a fallu que je m'arme de patience et que je justifie de mon aptitude par de multiples dossiers », avoue-t-il. Une chose est sûre, il voue une fidélité sans faille à ces doux molosses. -------------------------------------------------------------------------------- L'attestation d'aptitude obligatoire Les personnes actuellement propriétaires d'un chien de 1ère ou de 2e catégorie doivent obtenir leur attestation d'aptitude avant le 31 décembre. Christian Le Mellec est apte à délivrer cette attestation. Il faut savoir qu'elle n'est valable que durant 5 ans. Elle est destinée aux propriétaires de chiens. La formation dure une journée, elle a lieu uniquement les mardis et jeudis. Il vous en coûtera 100 €, repas de midi compris. L'objectif est de comprendre le comportement canin, d'améliorer les relations avec son chien, de prévenir les accidents et de connaître les bases de l'éducation canine. En Aveyron, on recense près de 150 chiens considérés comme dangereux. Source : http://www.ladepeche.fr/articl(...)
  6. Chiens dangereux : A Lattes, les tueurs courent-ils toujours ? Le 2 novembre 2008, près de Montpellier, Nadia Druet, 56 ans, a été tuée par des molosses. Mais lesquels ? « J’ai la preuve irréfutable que ce ne sont pas les chiens de la casse qui ont tué, que ces chiens doivent être restitués à leur propriétaire et que les chiens tueurs courent toujours ». Me Jean-Robert Phung en est convaincu : un an après la mort de Nadia Druet, retrouvée déchiquetée par des molosses, à Maurin, près de Montpellier, policiers et magistrat font fausse route. Les chiens de son client, propriétaire de la casse auto devant laquelle la victime a été dévorée, ne seraient pas les coupables, ce qui vaut à leur maître d’être mis en examen pour "homicide involontaire résultant de l’agression de chiens". La brigade criminelle, grâce aux écoutes téléphoniques, s’était rendue compte que le témoin crucial de l’affaire qui avait raconté avoir mis les chiens en fuite, avait menti. Il avait affirmé qu’il ne les connaissait pas alors qu’il s’agissait de chiens de la casse, dont le gérant est un de ses amis… « Il a vu un chien, Tyson, près de la victime, pas en train de l’attaquer, rétorque l’avocat. Elle est morte dévorée, c’est une certitude. Mais quand la police est arrivée, les chiens étaient calmes et propres. S’ils s’étaient acharnés sur la victime, il y aurait eu de la chair entre les dents, du sang sur leurs poils. Il aurait fallu les laver, or ce n’est pas possible au niveau du temps, donc ce ne sont pas les chiens tueurs ». Me Phung qui a aussi soulevé un vice de procédure sur le déroulé de l’enquête avance d’autres arguments qui balaient à ses yeux toute preuve scientifique. Un : aucune trace d’ADN de Nadia Druet n’a été retrouvée sur les chiens. Deux : le magistrat instructeur aurait dû saisir les selles de Tyson, le rottweiller aperçu près du corps, pour les analyser. Trois : les très longues et coûteuses analyses d’empreintes de la victime confiées à un laboratoire de Nantes se sont soldées par un cuisant échec. Les experts ont trouvé un ADN sous l’auriculaire gauche de la quinquagénaire, l’attribuant à Tyson. « Or, ce n’est qu’une empreinte de chien de type Tyson et ils disent qu’il faudrait une étude sur 100 chiens pour être certain. Ils disent aussi ne pouvoir donner la race du chien ! ». Bref, l’avocat conclut qu’il y a aucune preuve et formule une demande auprès du juge pour la restitution des chiens. Côté police, on reste persuadé de tenir les auteurs, évoquant un comportement de « prédation naturelle » lorsque les chiens ont dévoré la victime, sans doute inconsciente, à cause d’une ivresse avancée. « Des vétérinaires expliquent qu’ils peuvent manger proprement !, s’insurge un proche de l’enquête. Mais le plus important, c’est le mensonge de départ. Le témoin a vu les chiens de la casse ». Et lors de ses premières déclarations, ce fameux témoin avait parlé de molosses s’en prenant à coups de dent à ce qu’il croyait être « un sac poubelle ». Yanick PHILIPPONNAT Source : http://www.midilibre.com/artic(...)
  7. Chiens dangereux : une loi un poil difficile à appliquer Les propriétaires de chiens dits dangereux doivent se former et faire évaluer le comportement de leur animal avant la fin de l'année. Dans le Jura, la première formation de ce type a eu lieu seulement cette semaine Ces dernières années, plusieurs faits divers tragiques impliquant des chiens ont choqué l'opinion publique. Au début du mois, dans l'Ain, un enfant de deux ans a été sévèrement mordu au visage. C'est parce que les accidents graves, voire mortels, causés par des chiens persistent que la loi du 20 juin 2008 a vu le jour. Celle-ci oblige les propriétaires de chiens dits dangereux à suivre une formation d'une journée et à faire évaluer le comportement de leur animal par un vétérinaire, avant le 31 décembre. « L'objectif de la formation, c'est de faire prendre conscience aux gens de la dangerosité d'un chien. Souvent, ils oublient que ce sont des animaux qui ont l'instinct de garde, de chasse… Et il y a toujours une part d'imprévisibilité », résume Aline Aublé, formatrice habilitée par la préfecture du Jura. « C'est une journée d'information qui porte notamment sur l'éducation et le comportement canin. On revoit des gestes simples, comme mettre et enlever correctement une muselière », ajoute Norbert Barboux, qui figure également sur la liste départementale des personnes habilitées à dispenser cette formation. Celle-ci est obligatoire pour tous les propriétaires ou détenteurs de chiens de première et deuxième catégories (dits d'attaque, de garde et de défense, dont les pitbulls et rottweilers par exemple) et pour les propriétaires ou détenteurs d'un chien désignés par le maire ou le préfet parce que leur animal est susceptible de présenter un danger ou parce qu'il a déjà mordu quelqu'un. Les maîtres doivent prendre contact avec l'un des quatre formateurs habilités par la préfecture (lire ci-dessous). Seuls deux sont basés dans le Jura. « Le problème, c'est que les gens n'ont pas forcément été informés et qu'il y en a qui vont attendre le dernier moment », souligne Norbert Barboux. Alors qu'un peu plus d'un millier de chiens de première ou deuxième catégories ont été déclarés auprès des maires du Jura depuis 2000, on peut craindre des « embouteillages ». La première formation de ce type vient seulement d'avoir lieu cette semaine dans le département. « Il y aura certainement une prolongation des délais », concède l'éducateur canin. « Même si les gens veulent se mettre en règle, ils ne pourront pas », lâche le délégué-président de la Société protectrice des animaux, Yves Amizet, qui regrette que l'« on crée de nouvelles lois alors que l'on ne fait pas appliquer celles qui existent déjà, comme l'obligation de tenir les molosses en laisse et muselés ». Autre interrogation, les maîtres se plieront-ils de bonne grâce à cette obligation ? « Parmi les détenteurs de ce type de chiens, il y a des marginaux », note Yves Amizet. « Il y a toujours des gens qui se servent des chiens comme outils à des fins délictuelles, et ceux-là nous ne les verrons pas », renchérit Norbert Barboux. Les propriétaires qui auront suivi la formation se verront délivrer une « attestation d'aptitude ». Un document indispensable pour obtenir le permis de détention qui sera obligatoire pour les chiens de première et deuxième catégorie à partir du 1er janvier 2010. En cas de constatation de défaut de permis de détention par les services de police ou de gendarmerie, le maire, ou à défaut le préfet, exigera du propriétaire qu'il régularise la situation dans un délai d'un mois. Si ce n'est pas fait, il pourra ordonner l'euthanasie de l'animal. Cloé Makrides cmakrides@leprogres.fr repères 1 010 chiens de deuxième catégorie (de garde et de défense) et 49 de première (chiens d'attaque) ont été déclarés auprès des maires du Jura depuis 2000 150 à 250 euros, c'est le coût (à la charge du propriétaire du chien) comprenant la formation du maître et l'évaluation comportementale de l'animal 4 formateurs ont obtenu à ce jour l'agrément de la préfecture du Jura et sont donc habilités à former les propriétaires de chiens dangereux (la liste est disponible sur le site internet de la préfecture) 2 seulement sont basés dans le Jura : Norbert Barboux, à Arbois, et Aline Aublé, à Menotey. « Pourquoi ne pas l'étendre à tous les chiens ? » « Cette formation est utile, il est vrai que beaucoup de maîtres en ont besoin. Mais pourquoi ne pas l'étendre à tous les chiens ? » Comme Julien, propriétaire de Volka, un american staff de 5 ans, ils sont nombreux à poser la question. « Ce ne sont pas les chiens qui sont dangereux, ce sont les maîtres qui ne les ont pas, ou mal, éduqués, relève Yves Amizet, de la SPA. S'il s'agit d'un chien de petite taille, le risque est moins grand, mais un molosse de 40 kg, quelle que soit sa race, peut faire de gros dégâts. Cette loi est une aberration, car les gens vont se rabattre sur d'autres races, comme les dogues argentins, qui ne rentrent pas dans les catégories concernées. » En France, les chiens les plus mordeurs sont les labradors, pourtant réputés « gentils avec les enfants ». « Cette loi a du bon sur le fond, mais elle devrait concerner tous les chiens. C'est un peu un délit de sale gueule », renchérit Norbert Barboux, éducateur canin à Arbois. Aline Aublé, également formatrice habilitée par la préfecture du Jura, craint quant à elle que les propriétaires n'abandonnent leurs molosses, alors que ce sont des chiens qui ont déjà du mal a être adoptés lorsqu'ils sont recueillis par la SPA. « Pour moi qui suis au chômage, 150 euros, c'est un vrai budget », confie Stéphanie, qui a suivi la formation cette semaine de peur qu'Ameur, son american staff de 9 ans, ne soit « piqué ». « Je pense qu'il y a des gens qui n'ont pas les moyens. » Source : http://www.leprogres.fr/fr/reg(...)
  8. Quatre chiens sont morts empoisonnés ces derniers jours UNE étrange affaire secoue, depuis plusieurs jours, le village de Quilly, d'ordinaire plutôt tranquille. Mercredi dernier, Cécile Martinet, une habitante de 27 ans, met ses deux bassets artésiens normands de 9 et 10 ans, Pato et Sidonie, dans leur enclos adjacent à son domicile. « Ils dorment à la maison, mais ils sont du style chiens de chasse, ils aiment bouger… » explique Cécile. Ce matin-là, elle part à 10 heures, revient vers 13 h 30 sans remarquer immédiatement le calme de l'enclos. « Ils aboient pour le facteur, mais pas toute la journée, ce ne sont pas des gueulards » précise la jeune femme. Quand elle va « aux volailles », à 16 heures, Cécile s'étonne tout de même que le duo ne vienne pas quémander une douceur comme à l'habitude, l'enclos étant contigu. « Je suis entrée dans l'enclos et j'ai vu ma chienne se débattre, convulser… se souvient Cécile, encore sous le choc. Pato, lui, s'était réfugié dans les grandes herbes, au fond. D'après le vétérinaire, il était mort sur le coup de midi, vu comme il était froid. » Sidonie est emmenée en urgence à la clinique vétérinaire. Malgré une nuit sous perfusion, la chienne succombera vers 4 heures du matin. « Le premier diagnostic indiquait qu'ils avaient avalé de l'anti-limaces, en très grande quantité. » C'est la stupeur : il n'y a pas d'anti-limaces dans l'enclos. « On a demandé une autopsie et des prélèvements ont été effectués pour une analyse approfondie ». L'empoisonnement devient la seule hypothèse possible. Mais quel serait le mobile du crime ? « Est-ce que quelqu'un surveillait mes allées et venues ? Est-ce que ça a été déposé la nuit ? Ça ressemble à une vengeance, mais franchement, on ne se connaît pas d'ennemis. Ça aurait été des chiens qui gênaient tout le monde, encore, mais là… » PHOTO : Les deux bassets artésiens de Cécile Martinet ont été empoisonnés alors qu'ils étaient dans leur enclos. Les gendarmes enquêtent Il faut dire que l'enclos n'est entouré que de parcs et pâtures, à l'exception de la maison des Martinet, assez excentrée par rapport au cœur du village. Les questions se bousculent dans les têtes. D'autant qu'il y a peu, une dame du village avait déjà retrouvé ses deux chiennes mortes après une fugue. Du raticide, cette fois-là. Grâce au dépôt de plainte, la gendarmerie de Machault mène l'enquête sur la mort de Pato et Sidonie. Mais comment avancer en l'absence d'indices ? Au moins Cécile aura mis tout le voisinage sur ses gardes. « On aura bataillé jusqu'au bout pour nos bêtes » conclut-elle, très émue. Jacques BERTHION Source : http://www.lunion.presse.fr/in(...)
  9. L'education et la santé du chien en vidéo Les meilleurs conseils et démonstrations des spécialistes : http://www.chien.com/general/v(...)
  10. COMMENT DONNER UN MÉDICAMENT À SON CHIEN ? Explication avec vidéo : http://www.chien.com/general/v(...)
  11. : Qu'est ce que le Flyball? Explication et vidéo : http://www.chien.com/general/v(...)
  12. ASTAFFORT. Les champions d'un éleveur, des braques, ont été dérobés Six chiens de race dérobés Jean-Pierre Oustrin, éleveur de braques français type gascogne à Astaffort, l'un des plus titrés de France, était hier effondré, dégoûté. La veille, semble-t-il entre 12 heures et 13 h 30, alors que l'éleveur se trouvait chez lui, six de ces chiens, tous des champions, ont été volés. Parmi eux, une chienne de 8 ans, Silla, championne des championnes, la fierté de Jean-Pierre Oustrin. « La perte est considérable sur le plan sentimental et financier. Ces chiens, c'étaient vingt ans de travail et un capital de 20 à 35 000 euros », assure l'Astaffortais qui appelle depuis le jour du vol tous les éleveurs de France et d'Espagne (point de chute pour les voleurs de chiens de race, NDLR) spécialisés dans cette race pour les alerter. « Cela me fait mal, répète-t-il. Mon élevage est foutu. J'ai mis des dizaines d'années à le monter. C'est inadmissible de faire cela. » Le ou les individus ont pénétré dans le chenil de Jean-Pierre Oustrin, situé à une dizaine de mètres de sa maison, en découpant le grillage du parc de détente de 5 000 m2. « Un ami était venu pour réparer mon ordinateur. On a entendu les chiens aboyer. Quand je suis allé voir vers 13 h 40, ils n'y étaient plus. » Jean-Pierre Oustrin a porté plainte à la gendarmerie. Voilà vingt ans qu'il n'avait pas été victime d'un vol de chiens. Il encourage toutes les personnes ayant vu ses chiens ou disposant d'informations à le joindre au 06 08 70 11 15. Auteur : B.S. Source : http://www.sudouest.com/lot-et(...)
  13. Suisse - Une fille de 7 ans mordue au visage par un chien de race Leonberg Une fillette de 7 ans a été mordue au visage par un chien de race Leonberg à Bachs (ZH). Elle a été hospitalisée. En accord avec le propriétaire, l'animal a été endormi, a indiqué la police cantonale zurichoise. Les circonstances dans lesquelles la fillette a été attaquée ne sont pas encore établies. Elle était avec son frère et sa soeur en visite dans une ferme. Les trois enfants jouaient avec le chien, âgé de 11 ans, qui n'était pas tenu en laisse. Soudainement, sans raison apparente, le chien a mordu la fillette au visage. Elle a été conduite à l'hôpital pour y recevoir des soins. La fillette et sa famille, des Allemands, passent des vacances en Suisse. (ats / 23 octobre 2009 11:25) Source : http://www.romandie.com/infos/(...)
  14. chiens, chats : Quid de nos animaux en cas de divorce ? Une question revient souvent : que deviennent les animaux de compagnie d'un foyer lors d'un divorce ? C'est à cette question que la Fondation 30 Millions d'Amis, entourée d'experts et d'avocats spécialisés dans le droit de la famille, tente de répondre. Les époux se séparent. Le juge va régler toutes sortes de problèmes comme la répartition des biens du couple. Mais qui va se voir attribuer la garde du chien ? Le chien est-il un "objet" de droit ou un "sujet" de droit ? Autrement dit, l'animal a-t-il voie au chapitre et peut-il décider lui-même de son choix ou pas ? La question est légitime à l'heure où l'on recense qu'une famille sur trois en France possède un chien, soit 52% des Français*. 68 millions d'animaux domestiques pour quelques 62 millions d'habitants : c'est dire l'importance ! Un record en Europe. Les poissons, rouges et autres, tiennent le haut du pavé (36,7 millions), juste avant les chats (10 millions) et les chiens (8,6 millions). Viennent ensuite les oiseaux (8 millions de volatiles) et les petits mammifères (4,1 millions) rats, souris, mulots, hamsters. Quant aux NAC, ce sigle désigne les nouveaux animaux de compagnie sous lequel se cache 1 million de serpents, araignées et autres grouillants. Avec la place grandissante occupée par les animaux domestiques dans la société, c'est au tour des chiens, chats et autres bêtes à poils et plumes d'être présentés à la barre. Dans son livre, Le Droit des animaux de compagnie (2005, éditions Chiron ), la juriste Valérie Svec note que "lors des procédures de divorce, les tribunaux sont de plus en plus nombreux à connaître de demandes relatives à la garde de l'animal". Impossible de mesurer la tendance. Maître Méjean, avocat spécialiste du divorce, est le premier à avoir plaidé la garde alternée pour enfants, concept importé de Suède en 1979. Un concept qu'il a du appliquer aussi à un chat, il y a plus de 20 ans, en le faisant garder une semaine chez monsieur, une semaine chez madame. "C'est la seule et unique fois où le cas s'est présenté, alors que j'ai plaidé plus de 6200 dossiers" rappelle l'avocat. Mais le phénomène fait flores Outre-Atlantique et Outre-Manche. Une étude menée au Royaume-Uni en janvier et février 2005 auprès d'un millier de propriétaire montre que 39% d'entre eux sont prêts à se lancer dans une bataille judiciaire pour la garde de leur animal. Aux Etats-Unis, des avocats se sont même spécialisés sur le thème avec comme slogan : "You get the car, I get the cat". Traduction, "Tu as la voiture, je garde le chat". En droit français, l'animal est considéré comme un bien "meuble" selon l'article 528 du Code Civil : "Sont meubles par leur nature les animaux et les corps qui peuvent se transporter d'un lieu à un autre, soit qu'ils se meuvent par eux-mêmes, soit qu'ils ne puissent changer de place que par l'effet d'une force étrangère". L'animal appartient donc, théoriquement, à celui ou celle qui l'a acheté ou s'est déclaré comme son propriétaire auprès des fichiers contrôlés par le ministère de l'Agriculture. Pourtant, les juges sont amenés à affiner leur décision en fonction de paramètres tels que : qui a le plus de temps, d'argent, d'espace pour répondre au mieux aux besoins de l'animal ? Que faire et dans quelle situation ? Si les époux sont mariés sous le régime de la séparation de biens ou si l'animal a été acheté avant le mariage, sa garde (ou plus exactement son attribution en pleine propriété) reviendra à l'époux qui apportera la preuve de sa propriété exclusive en présentant le certificat de vente ou la carte de tatouage. La Cour d'Appel de Paris a ainsi décidé dans un arrêt du 5 juin 1991 que "les animaux étant des meubles par nature, il appartient à l'époux qui, après divorce, demande l'attribution d'un chien, de faire la preuve de ses droits privatifs comme sur un meuble ordinaire". Si les époux sont mariés sous le régime de la communauté de biens et qu'aucun d'eux ne peut prétendre à la propriété exclusive de l'animal, c'est-à-dire que l'animal a été acheté en commun : soit les époux arrivent à se mettre d'accord sur qui garde quoi, soit les époux n'arrivent pas à se mettre d'accord et à négocier à l'amiable le sort de l'animal, alors c'est le pouvoir discrétionnaire des juges qui tranchera comme dans le cas de la garde d'enfant. En l'absence de contrat écrit concernant l'acquisition de l'animal, plusieurs possibilités sont offertes aux maîtres qui souhaiteraient solutionner ce problème à l'amiable. En commençant par choisir en commun avec l'autre conjoint, une personne faisant autorité en matière de connaissance canine, ou féline – juge de la société centrale canine, président ou membre du bureau de club canin régional ou du club de race… – à laquelle les parties accepteront de soumettre le différent et à l'avis de laquelle elles accepteront de se ranger. Ces conciliateurs peuvent aussi être nommés directement par la Cour d'Appel sur la demande de l'un ou l'autre maître de l'animal. Le rôle du conciliateur et ses conclusions pourront, le cas échéant, avoir la force d'une décision de justice. Maître Bozarelli précise à ce propos que "même si ce n'est pas directement aux juges de régler le problème du devenir du chien ou du chat de la famille (comme le stipule l'article 288 du Code Civil, NDLR), ils sont tout de même obligés de se pencher sur l'intérêt du ou des enfants de la famille qui ne supporteraient pas la séparation de leur animal de compagnie, et sur l'intérêt de l'animal, lui-même susceptible de souffrir de maltraitances". Quelques cas qui ont fait avancer les choses C'est ainsi que le Tribunal de Grande Instance de Créteil (94) a franchi un pas, en juin 1979, en fixant des droits de visite et d'hébergement en faveur de l'époux non-gardien et en reconnaissant au gardien le droit d'obtenir une pension alimentaire pour satisfaire les besoins de l'animal. Mieux, les juges peuvent tenir compte des circonstances de la séparation, comme ce fut le cas pour le chien Platoon, en septembre 2001. La Cour d'Appel de Paris avait laissé la garde de l'animal à l'époux arguant du fait qu'il était resté avec ce dernier dans la maison conjugale alors que Madame avait, depuis longtemps, quitté les lieux avec le nouvel objet de ses amours. Le cœur à ses raisons dit-on… Outre-Atlantique, certains juges ont pris délibérément le parti de laisser l'animal choisir de lui-même. Ils procèdent alors à des "mises en situation". L'animal installé à équidistance de ses deux maîtres est appelé par l'un et l'autre. Le juge accordera sa garde à celui des deux époux qui a su faire venir l'animal à lui. Dans certains cas inconciliables, des maîtres sont allés jusqu'à demander l'euthanasie de leur animal tant ils étaient incapables de se mettre d'accord. Mais fort heureusement, on en n'est pas encore là en France. Côté chien, un divorce peut être perçu comme une dislocation de la meute, un démembrement plus ou moins bien vécu. Le maître qui en aura la garde aura donc aussi à sa charge de donner à son toutou de nouveaux repères en étant plus présent, en le sortant peut-être davantage et en lui faisant faire de l'exercice. Source : http://www.30millionsdamis.fr/(...)
  15. C'est un triste jour pour Hollywood, un nouvel acteur vient de nous quitter. Âgé de seulement 5 ans, il avait déjà tourné dans de nombreux clips de Lady Gaga, comme les célébrissimes Poker Face et Paparazzi. Mais cet acteur est un peu spécial: il s'agit... d'un chien ! Ce Grand Danois nommé Rumpus est décédé un peu plus tôt dans le mois, lors d'une simple randonnée dans les alentours de Los Angeles. En principe, cette race de chien a une durée de vie moyenne de 10 ans, sa mort si soudaine a donc intrigué les services de protection des animaux. Selon les première constations, il n'aurait subit ni violence, ni maltraitance quelconque. Comme pour Michael Jackson ou dans les épisodes des Experts, une autopsie a été réalisée il y a quelques jours, et les résultats sont attendus d'ici la fin de la semaine. Coup dur pour Lady Gaga, car Rumpus devait apparaitre dans son prochain clip, Bad Romance. C'est Lava, sa maman, qui reprendra le flambeau. Voici Rumpus (à droite) et sa mère Lava (à gauche) : Source : http://www.staragora.com/news/(...)
  16. Voici un lien .. Ou l'on peux voir une vidéo et l'article de France 3 Aquitaine avec la participation du Capitaine Yves Fischbach, adjoint au commandant de la compagnie de gendarmerie d'Agen . http://aquitaine.france3.fr/info/lot-et-garonne/Vol-de-chiens-de-race-%C3%A0-Astaffort-58357549.html Si quelqu'un a une info même si elle parait minime n'hésitez pas à contacter Jean - Paul qui est trés affecté ... Contact propriétaire JP Oustrain 06.08.70.11.15 Diffuser le plus possible Vol de chiens de race à Astaffort L'un des éleveurs les plus titrés de France a été victime du vol de six de ses chiens de race, des braques. Le forfait a été accompli mercredi entre 12 h. et 13h30 alors que l'éleveur, Jean-Paul Oustrain, était à son domicile. Les voleurs se sont introduits dans le chenil pour s'emparer d'une femelle et de cinq mâles, tous des champions dans leur catégorie. Le préjudice se monterait à environ 30 000 euros. L'éleveur, atteint moralement et financièrement par ce vol, n'a pas cessé depuis de téléphoner à tous les éleveurs de France et d'Espagne susceptibles d'être contactés par les voleurs. Ceux-ci pourraient souhaiter leur revendre leur prise, des braques français type Gascogne.
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